• La Californication de Terminator

    La Californie sera-t-elle le premier état à faire cessession?

    Quel Etat ne rêverait pas de compter sur son sol DreamWorks, Walt Disney, Microsoft, Apple, Hollywood ou la Silicon Valley ? Les plus grands « monstres » de l’industrie et des services, synonymes de domination technologique et commerciale, de profits astronomiques, de richesses et d’emplois ...

    A ce tableau idyllique, ajoutons que la Californie produit 10 % de la richesse américaine et serait la huitième économie du monde si elle était indépendante.
    Et pourtant...
     
    L’Etat californien est au bord du dépôt de bilan. La vraie faillite, pas celle annoncée par un Fillon en 2007 en bon adepte de la secte des déclinologues de Nicolas Bazire, l’ancien chef de cab’ de Balladur...
     
    En effet, la Californie n’est plus en mesure de rembourser ses dettes, ni de payer les traitements de ses rares fonctionnaires... alors qu’elle concentre une industrie fleurissante et une population de milliardaires... Son déficit budgétaire représente 15% du Produit intérieur brut (PIB) américain.
    Victime de l’éclatement de la bulle internet ou d’une entreprise comme Enron dans les années 90, la Californie est également l’Etat le plus touché par la crise des subprimes et le ralentissement économique.

    votre commentaire
  • Washington continuera de soutenir la Géorgie et l'Ukraine (Pentagone)  30/07/2009

    Washington continuera de soutenir la Géorgie et l'Ukraine (Pentagone)
    Les Etats-Unis n'abandonneront pas leur soutien à la Géorgie et à l'Ukraine et confirment le droit de ces pays d'adhérer à l'OTAN, a déclaré Celeste Wallander, assistante du secrétaire d'Etat à la Défense pour la Russie et l'Eurasie. "Les Etats-Unis reconnaissent sans réserve l'intégrité territoriale et la souveraineté de la Géorgie et de l'Ukraine et respectent leur droit d'adhérer aux alliances internationales, y compris à l'OTAN", a-t-elle affirmé mercredi devant la commission aux affaires internationales du Sénat américain.
    Répondant aux questions des sénateurs, l'assistance du secrétaire d'Etat à la Défense a souligné que le président américain Barack Obama avait maintes fois déclaré son soutien à ces pays et avait "confirmé les engagements américains à leur égard au cours de sa visite en Russie".
    "Le sommet [américano-russe] de Moscou a offert aux Etats-Unis l'occasion de réaffirmer nos engagements visant à maintenir la stabilité et la sécurité en Europe et en Eurasie", a conclu Mme Wallander.

    http://fr.rian.ru/ http://fr.rian.ru/


    votre commentaire
  • De Gaulle et le sionisme


    votre commentaire
  • T-Shirts pour Tsahl


    votre commentaire
  • L'armée israélienne a bien utilisé du phosphore blanc à Gaza

     

    De jeunes Palestiniennes sur le balcon de leur maison à Rafah, Bande de Gaza, le 23 mars 2009.
    De jeunes Palestiniennes sur le balcon de leur maison à Rafah, Bande de Gaza, le 23 mars 2009. /I. ABU MUSTAFA / REUTERS

    PROCHE-ORIENT - Un rapport de l'Etat hébreux précise que Tsahal a toujours respecté le droit international...

    Dans un rapport publié ce jeudi, Israël admet avoir utilisé des munitions au phosphore blanc lors de l'offensive contre le Hamas dans la bande de Gaza au début de l'année. Plusieurs ONG accusaient Tsahal, l'armée de l'Etat hébreux, d'avoir fait usage de ces bombes incandescentes contre les civils. Amnesty International, dans un rapport publié début juillet, affirmait notamment qu'Israël avait tiré des obus au phosphore blanc «au dessus de zones à grande densité de population» provoquant de graves brûlures, parfois mortelles.

    >> Notre dossier spécial sur les événements à Gaza à lire ici

    Israël explique pour sa part avoir développé une «réponse proportionnée» aux attaques du groupe islamiste et affirme que Tsahal a toujours respecté le droit international. Les armes au phosphore blanc n'auraient notamment pas été utilisées dans les zones d'habitations.

    «Brûlures de la peau, spasmes et sérieuses difficultés respiratoires»

    Un avis qui n'est pas partagé par tous. Le Centre palestinien pour les Droits de l'homme, une ONG basée à Ramallah relatait, mi-janvier, sur Rue89: «Au seizième jour de l'offensive israélienne, au moins une centaine de civils de la région de Khan Younis souffraient de brûlures de la peau, spasmes et sérieuses difficultés respiratoires imputables à ces bombes.» Les autorités israéliennes enquêtent par ailleurs sur plusieurs accusations d'«écarts et d'abus» qui auraient été commis par des soldats.


    votre commentaire
  • <btn_espacement> </btn_espacement>

    Grippe A : deux vaccins contre le virus...bizarre non?

    ce ne sont pas un mais deux types de vaccins qui seront produits par les laboratoires. Les premiers en octobre. Les seconds, pas avant novembre.

    <btn_espacement> </btn_espacement>

     

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ load_com_js("/commentaires/get_nb_com.js.php", "list=2009/07/29/593171"); // ]]></script>

     souce:leparisien.fr
    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ wa('593171', '0') // ]]></script>  

    <btn_noimpr> </btn_noimpr> <btn_p> </btn_p>

    Alors que la ministre de la Santé Roselyne Bachelot a rappelé hier que le pays risquait de passer au niveau d’alerte maximale 6 en septembre, la course aux vaccins continue. Selon nos informations, ce sont deux types de vaccins qui sont en train d’être fabriqués par les trois laboratoires auprès desquels la France a passé commande de 94 millions de doses. <btn_noimpr> </btn_noimpr>

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ sas_pageid='2358/16836'; // sas_formatid=1278; // Format : rectangle 2 300x250 sas_target=''; // Targeting SmartAdServer(sas_pageid,sas_formatid,sas_target); // ]]></script>

     

    D’un côté, les vaccins dits maquette, produits en priorité et qui arriveront en octobre. De l’autre, les nouveaux vaccins qui débarqueront un ou deux mois plus tard.
    « Les premiers vaccins sont nés de la procédure d’urgence dite Mock-up qui nous a permis dès 2007 d’obtenir une homologation conditionnelle pour un vaccin pandémique. Cette maquette a été préparée avec une souche du virus aviaire H5N1 et adaptée ensuite au nouveau virus porcin H1N1 », détaille Eric Althoff, porte-parole du laboratoire suisse Novartis, qui prévoit de sortir 150 millions de doses par an. Et le nouveau ? « Il est basé exclusivement sur le H1N1. Il est en cours de production. Pour le valider, nous sommes en train de réaliser des essais cliniques sur 5 000 à 6 000 personnes, lesquelles viennent s’ajouter aux 4 000 individus testés pour le premier vaccin », poursuit-il.


    votre commentaire
  • Crise systémique globale : Le choc cumulé des trois « vagues scélérates » de l’été 2009

    Comme anticipé par LEAP/E2020 dès Octobre 2008, à la veille de l’été 2009, la question de la capacité des Etats-Unis et du Royaume-Uni à financer leurs déficits publics désormais incontrôlés s’est imposée comme la question centrale dans le débat international, ouvrant de ce fait la voie au double phénomène d’une cessation de paiement des Etats-Unis et du Royaume-Uni d’ici la fin de l’été 2009.

    Ainsi, à ce stade de développement de la crise systémique globale, contrairement au discours médiatique et politique dominant actuellement, l’équipe de LEAP/E2020 n’envisage pas du tout de reprise après l’été 2009 (ni d’ailleurs dans les douze mois à venir)

    Du fait de l’absence de traitement de fond des problèmes à l’origine de la crise, les chercheurs de LEAP/E2020 considérent que l’été 2009 va voir la convergence de trois « vagues scélérates » particulièrement destructrices qui traduisent la poursuite de l’aggravation de la crise et vont provoquer des bouleversements historiques d’ici les mois de Septembre/Octobre 2009....

    Les trois « vagues scélérates » de l’été 2009

    Les « vagues scélérates » sont des vagues océaniques très hautes, soudaines et qui étaient considérées comme très rares, même si aujourd’hui on sait qu’elles apparaissent au cours de pratiquement toutes les tempêtes d’une certaine importance. Les « vagues scélérates » peuvent atteindre des hauteurs de crête à creux de plus de 30 mètres et des pressions phénoménales. Ainsi, une vague normale de 3 mètres de haut exerce une pression de 6 tonnes/m². Une vague de tempête de 10 mètres de haut peut exercer une pression de 12 tonnes/m². Une vague scélérate de 30 mètres de haut peut exercer une pression allant jusqu’à 100 tonnes/m². Or, aucun navire n’est conçu pour résister à une telle pression. Il existe aussi le phénomène des « trois sœurs ». Il s’agit de trois « vagues scélérates » successives et d’autant plus dangereuses, car un bateau qui aurait eu le temps de réagir correctement aux deux premières, n’aurait en aucun cas les possibilités de se remettre dans une position favorable pour affronter la troisième. Selon LEAP/E2020, c’est à un phénomène de ce type que le monde va être confronté cet été ; et aucun état (navire) n’est en position favorable pour les affronter, même si certains sont plus en danger que d’autres comme l’anticipe ce GEAB N°36.

    La vague du chômage massif : trois dates d’impact qui varient selon les pays d’Amérique, d’Europe, d’Asie, du Moyen-Orient et d’Afrique

    L’été 2009 va marquer un point d’inflexion en matière d’impact du chômage sur le déroulement de la crise systémique globale. En effet, c’est le moment où de conséquence, le chômage va devenir partout dans le monde un facteur d’aggravation de la crise. Bien entendu ce processus ne se déroulera pas partout au même rythme, ni avec des conséquences identiques. …

    La vague déferlante des faillites en série : Entreprises, banques, immobilier, états, régions, villes

    Au-delà de ces évènements à très grande visibilité, on assiste partout à une hausse rapide et continue des faillites d’entreprises et d’établissements financiers de grande, moyenne ou petite taille qui va s’accélérer après l’été 2009, tandis que se prépare aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et en Espagne en particulier, une deuxième vague de saisies immobilières et que l’été 2009 va être marqué par le début d’une vague de cessation de paiements d’états, de régions et de villes. Les « jeunes pousses » des médias financiers ne font que cacher les « feuilles mortes » de l’économie réelle.…

    La vague de la crise terminale des Bons du Trésor US, du Dollar et de <st1:personname productid="la Livre" w:st="on">la Livre</st1:personname>, et du retour de l’inflation

    Ce premier sommet des BRIC, dont il n’est pas difficile d’imaginer combien il a dû être difficile à organiser, constitue un premier signe de dislocation du système international actuel. Non seulement les Etats-Unis ont dû tout faire pour empêcher sa tenue, mais ils se sont en plus vus refuser la présence en tant qu’observateur, un signe clair que ce qui s’y est dit n’était pas destiné à être diplomatique. Et le sujet central n’était certainement pas un problème militaro-stratégique, mais bien une question monétaro-financière : que faire des centaines de milliards de Dollars US (sous forme de Bons du Trésor notamment) accumulés par ces quatre pays au cours des années récentes ?.


    votre commentaire
  • L’inconséquence des pubs israéliennes

     

    L'indécence semble depuis longtemps une caractéristique d'Israël, parmi les plus choquantes. Elle s'observe tant dans les propos que dans les actes, et peut littéralement laisser pantois celui qui en est témoin. Ainsi de cette pub cellcom dans laquelle des soldats israéliens renvoient un ballon reçu par dessus le mur de séparation. Evidemment la première chose qui stupéfie c'est le mauvais goût, puis la question s'impose : "comment osent-ils ?" La seule réponse qui vient est qu'ils continuent à se croire "le peuple élu" n'ayant à se soumettre à rien, existant avant les autres qui ne sont là que comme objets à instrumentaliser pour atteindre leurs buts.


    votre commentaire
  • Géopolitique et stratégie

    Collaboration Militaire Russie-Iran : D'abord En Mer Caspienne, Ensuite......Dans Le Golfe Persique ?


    Les Etats Unis aimeraient considérer la Russie comme un partenaire stratégique lorsqu'il s'agit de l'Iran. En réalité, les tensions géostratégiques entre Washington et Moscou restent suffisamment puissantes pour nécessiter une approche commune de la Russie et de sa voisine à l'Est, l'Iran, en matière de stratégie de dissuasion à l'égard d'une superpuissance occidentale intrusive.

     


    Collaboration Militaire Russie-Iran : D'abord En Mer Caspienne, Ensuite......Dans Le Golfe Persique ?

    Collaboration rapprochée Russie-Iran

    Cette semaine, un signal petit mais significatif s'est manifesté lors d'exercices militaires conjoints Russie - Iran en Mer Caspienne impliquant 30 navires de guerre. Cela a été en partie dissimulé sous un prétexte environnemental mineur.

    La manoeuvre, intitulée " Regional Collaboration for a Secure and Clean Caspian" ( Collaboration Régionale pour une Caspienne Sûre et Propre) inclut des objectifs à la fois sécuritaires et maritimes en Mer Caspienne, le lac le plus étendue du monde et aussi une zone riche en ressources énergétiques donnant lieu à diverses initiatives pour le transport de ces ressources. C'est le signal d'une nouvelle tendance dans la coopération militaire Russie-Iran.

    Elle va certainement se développer à court et moyen terme à cause du statut d'observateur de l'Iran au sein de la Shangai Coopération Organisation (SCO). L'actuel blocage en ce qui concerne le programme nucléaire de l'Iran devrait avoir un impact sur le réchauffement de ces relations.

    La volonté de l'Iran de se joindre à ces exercices représente un volte face complet de ce qui s'était passé il y a 7 ans. En Mai 2002, Téhéran avait réagi vigoureusement à un exercice militaire russe en Mer Caspienne - qui s'était déroulé juste après un sommet infructueux - en refusant même d'envoyer un observateur militaire à la manoeuvre.

    Malgré tous les hauts et les bas des relations Iran -Russie depuis, le poids des considérations géopolitiques et géo - économiques pour les deux pays a fait qu'ils se sont de plus en plus orientés vers une coopération, au grand dam de Washington qui essaie par tous les moyens d'isoler L'iran "en voie de nucléarisation".

    Au moment où Moscou estime son pouvoir sapé par les projets de pipeline soutenus par les US dans la région, de même que déçu par l'absence de compromis de l'Administration Obama en ce qui concerne l'installation programmée d'un bouclier anti missile en Europe de l'Est, l'intention de Moscou d'intensifier ses relations militaires avec Téhéran est calculée. Le signal envoyé à Washington c'est que la Russie ne tolère aucun scénario direct ou indirect de "changement de régime" en ce qui concerne l'Iran, un pilier majeur du sentiment anti US dans la région.

    Les exercices militaires de deux jours dans la région sont observés attentivement par les autres états du littoral dans la région - Azerbaïdjan, Turkmenistan, et Kazakhstan - de même que par les pays voisins dans le Caucase et en Asie Centrale, certains étant alignés sur l'Occident et craignant un accroissement des liens militaires Russie-Iran.

    Si la Russie remplit sa promesse d'activer la centrale nucléaire de Bushehr qu'elle a aidé à construire en Iran et dont la mise en service à longtemps été retardée, une grande partie des malentendus iraniens concernant la Russie vont disparaître. Après tout, la Russie est le seul partenaire nucléaire de l'Iran et le Président russe, Dmitry Medvedev, a ouvertement repoussé la tentative d'Obama lors de sa récente visite à Moscou de lier le nouveau traité sur la limitation des armements avec la question de nouvelles sanctions contre l'Iran.

    Ce n'est donc pas surprenant que, la veille de l'exercice militaire conjoint Russie -Iran, la secrétaire d'état US, Hillary Clinton, a manifesté une approche US plus dure envers l'Iran en déclarant catégoriquement que les US étaient opposés à ce que l'Iran possède un programme "d'enrichissement complet d'uranium" alors même que cela est autorisé dans les articles du TNP dont l'Iran est signataire. La déclaration de Clinton est à l'opposé de celle qu'Obama a faite lors de sa visite à Prague, quand il a dit que les US était prêts à accepter le programme d'enrichissement d'uranium de l'Iran à condition qu'il soit sous contrôle total de l'AIEA.

    Le fossé entre Moscou et Washington concernant l'Iran est entrain indiscutablement de s'élargir, et cela aura certainement un impact sur les plans de l'Administration Obama concernant de nouvelles sanctions sévères en fin d'année. Téhéran a déjà subi plusieurs vagues de sanctions de l'ONU, de même que celles imposées unilatéralement par les US à cause de son programme nucléaire.

    Le secrétaire à la défense US, Robert Gates, lors d'une visite en Israël cette semaine, a dit à ses hôtes qu'il gardait "espoir" en ce qui concerne le dialogue de l'Administration US avec l'Iran dans les prochains mois, laissant entendre qu'il y aurait probablement une date butoir pour ce "dialogue", qui agace Israël de même que certains pays arabes modérés.

    Comparées aux hypothétiques discussions US-Iran, les relations entre la Russie et l'Iran se rapprochent d'une lune de miel sur la base de considérations géostratégiques. La manoeuvre conjointe dans la Caspienne pourrait se révéler être un point de départ pour une collaboration militaire plus soutenue entre les flottes russes et iraniennes, tout particulièrement si Moscou met de côté son refus précédent d'autoriser de nouveaux navires de guerre iraniens à entrer en Mer Caspienne via le Canal de la Volga.

    Les voisins de la Russie situés sur le pourtour de la Mer Caspienne - en particulier l'Azerbaïdjan - pourraient ne pas l'apprécier car il existe une dispute entreTéhéran et Baku à propos d'un champ de pétrole en Caspienne. Néanmoins, l'impératif d'une coopération Russie-Iran pour faire face à une influence occidentale impose qu'il y ait un renforcement de la présence navale de l'Iran en Mer Caspienne.

    Une question importante se pose concernant les ramifications possibles d'une coopération rapprochée militaire Russie -Iran sur le blocage concernant la propriété de la Mer Caspienne. La plupart de la Caspienne est déjà découpée par des accords bilatéraux et trilatéraux, impliquant la Russie, l'Azerbaïdjan et le Kazakhstan. L'Iran reste insatisfaite du manque de coopération de la Russie sur cette question.Cela a d'une certaine façon été compensé par le fait que les deux pays ont accepté l'utilisation conjointe de la surface de la Mer Caspienne, qui remonte à un accord de 1921 dit Accord d' Amitié Russie -Iran. Ce pacte est la base légale de la coopération navale actuelle entre les deux pays.

    Cependant, le sentiment dominant en Iran c'est que Moscou doit faire quelques concessions à l'Iran su le problème épineux de l'autorité légale sur la Caspienne afin d'obtenir la confiance totale de l'Iran. Même les responsables iraniens en charge des affaires de la Caspienne ne savent pas exactement ce que la Russie peut faire à propos de cette situation qui dépend partiellement de l'attitude des autres états du littoral de la Caspienne.

    Accuser la Russie du blocage concernant les droits légaux sur la Caspienne est le passe temps favori de certains réformistes en Iran qui éprouvent du ressentiment à l'égard de Moscou à cause de l'acceptation rapide après l'élection du 12 Juin de la victoire du Président Mahmoud Ahmadinejad. De telles critiques doivent être atténuées par un raisonnement à froid sur les limites de l'influence de la Russie sur ses voisins du littoral Caspien qui se sont partagés entre eux la mer intérieure.

    Autre question soulevée par les manoeuvres, cette fois en lien avec le Golfe Persique considéré comme de facto un "lac américain" où la France est entrée en scène par un accord avec les Emirats Arabes Unis d'installation d'une base permanente. La faible réponse de l'Iran à l'arrivée de la France, inexcusable selon les normes de politique étrangère iranienne, pourrait être rééquilibrée par des exercices identiques militaires Russie-Iran dans le Golfe Persique.

    Kaveh L. Afrasiabi 30/07/09 Copyright www.atimes.com

    Kaveh L Afrasiabi, PhD, est l'auteur de "After Khomeini: New Directions in Iran's Foreign Policy (Westview Press). Son dernier livre, "Reading In Iran Foreign Policy After September 11 (BookSurge Publishing , October 23, 2008)" est disponible.


    Traduction Mireille Delamarre

    Mercredi 29 Juillet 2009

    Source :
    http://www.alterinfo.net

    votre commentaire
  • Observez la main droite de Nicolas Sarkosy. N'y reconnaissez-vous pas des symboles?voir aussi Dark side of Madonna

     

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires