• Mutation H1N1 : l’insoutenable légèreté informative des autorités médicales


    Nouvel effet de manche de l’OMS. Dans son communiqué du 27 novembre, l’organisation indique, avec le souci bien visible de noyer tous les détails, que la mutation D222G (qui est la D225G dans la numérotation H3) « a été détectée sporadiquement dans des virus de plusieurs autres pays depuis avril ». Une première reconnaissance officielle qui ne figurait pas dans leurs précédents rapports, l’OMS admet implicitement les lacunes de ses informations, ou, plutôt, sa désinformation.

     


    dmp7712@voila.fr
    Lundi 30 Novembre 2009


    Mutation H1N1 : l’insoutenable légèreté informative des autorités médicales
    Chez nous, les autorités médicales suivent la même escroquerie ; la même « mutation 222 » identique à celles reportées en Norvège a été détectée en France sur un prélèvement d’un patient décédé en septembre, selon le Dr Françoise Weber. Un retard expliqué par un travail d’identification « beaucoup plus long ». Il aura fallu que la population française attende 2 mois, à l’annonce de l’INVS le 27 novembre (même jour que le communiqué de l’OMS, quel synchronisme) pour savoir que le « 222 » (222 : noter l’approximation de l’information, là où Recombinomics emploie le très précis D225G), c’est-à-dire le D225G, était présent sur le territoire.
     
    Un phénomène minimisé par la directrice de l’InVS : « La découverte de ces mutations entraîne chez nous une très grande vigilance, mais on ne peut pas encore parler d’inquiétude particulière ». Mais mieux vaut être prudent. Ces 2 annonces tombant tout pile au moment du lancement de la campagne de vaccination auprès des écoles, collèges, lycées, et auprès de la population standard. Quelle chance, « Les trois spécialistes s’accordent à dire que les vaccins restent efficaces contre le virus muté » et « C’est une raison supplémentaire pour se faire vacciner rapidement avant que ce virus supplémentaire ne trouve le moyen de s’échapper et de devenir plus invasif », selon le Pr Hannoun.
     
    Y a-t-il vraiment lieu de ne pas avoir « d’inquiétude particulière » ? Ce qui n’apparaît nulle part dans les médias français, c’est que, en France, le virus muté H1N1 D225G est le même que celui se propage en Ukraine pour aboutir à « la destruction totale des poumons ». Mais les ennuis ne s’arrêtent pas là. Outre que, selon le Dr Niman (voir son document de référence, publié par l’american society of microbiology), le vaccin actuel serait inutile contre cette mutation, le centre londonien de l’OMS, Mill Hill, vient de cataloguer la mutation ukrainienne comme un « réacteur faible ». Selon Niman, « cela devrait tomber dans la catégorie des nouvelles extrêmement mauvaises. Cela signifie que non seulement le D225G dirige le H1N1 vers les poumons, mais il permet au virus d’échapper à la fois à la réponse immunitaire naturelle et au vaccin ».
     
    Un scandale, selon le scientifique dissident : « La traduction ci-dessus provient d’une nouvelle en France à propos de la découverte de D225G chez deux cas mortels de France, dont l’un d’entre eux était également résistant au Tamiflu. Étant donné l’incapacité de l’OMS de divulguer le statut de "réacteur faible" du H1N1 en Ukraine comportant D225G, des reportages de presse diffusent la mauvaise information, indiquant que l’activité du vaccin n’est pas affectée par D225G ». On appréciera par ailleurs dans son article que la propagation du D225G est probablement sous-estimée, vu que les échantillons d’analyse sont prélevés dans la trachée et non dans les poumons.
     
    Mais dans quelle mesure le mutant échappe-t-il à la machine immunitaire ? Dans l’analyse d’une interview radiophonique de Niman, un intervenant demande :
     
    « - Partant du principe que le vaccin ne touche pas le virus avec le D225G, le vaccin fournirait-il paradoxalement un avantage évolutif pour la variante D225G ?
     
    - Niman : Le D225G échappe à la réponse immunitaire (naturelle et vaccinale), donc oui, vous avez absolument raison de dire que le vaccin (et l’immunité par ceux déjà infectés) sera l’objet d’une sélection pour le D225G, donc des millions qui ont été déjà infectés seront à un niveau de risque accru pour le D225G »
     
    En clair : le vaccin favorise la propagation du D225G
     

    Certains experts, sentant peut-être le vent tourner, commencent à jouer la prudence et prennent leur distance avec l’OMS. Dans un article du New York Times, le Dr Fukuda estime que « les scientifiques de l’OMS n’étaient pas sûrs du niveau de menace posé par une mutation séparée qui aide le H1N1 à atteindre les poumons. Les experts ont encore besoin de voir si la mutation devient plus commune ». Traduction, très décevante venant de l’immaculée science médiacale : « Faut voir ». Par ailleurs, « un cas isolé en Ukraine avec une mutation a changé de telle manière que la vaccination contre la grippe A ne l’aurait pas bien protégé », avance timidement le laboratoire médical national anglais. Les rats se préparent-ils une passerelle pour quitter l’idyllique barque OMSienne ?


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  • Le vaccin H1N1 présente des risques et des dangers, mais pas où l’opinion les attend

    par Bernard Dugué (son site) 

    Ne pourrait-on mettre en relation l’afflux des patients avec l’annonce ce samedi matin de trois cas de mutations du H1N1 en Norvège et bien évidemment, le communiqué laconique des autorités médicales sur une protection par le vaccin contre ce virus mutant. Des conclusions scientifiques ont été délivrées dans la presse sans aucun souci des procédures en œuvre lorsqu’il s’agit d’établir des faits scientifiques. Ces savants sont-ils des devins pour savoir à l’avance que le vaccin sera efficace contre cette mutation ? Pourtant, chaque année, les souches du vaccin grippal sont modifiées, preuve s’il en est qu’un vaccin ne garantit pas une immunité croisée. En plus, d’autres mutations ont été identifiées ces derniers mois. Enfin, ce n’est pas avec trois cas de contamination qu’on construit une nouvelle épidémie avec un nouveau virus. Bref, si cette annonce avait pour effet d’affoler les populations et de les amener vers les centres de vaccination, alors, c’est plutôt réussi. Le scientifique connaît très bien les procédés de validation des publications. Un comité d’évaluation prend le temps de tout décortiquer et le cas échéant, de demander des expériences supplémentaires. Parfois, un article est publié un an après l’envoi du premier manuscrit. Certes, le Net a changé les choses mais l’urgence pandémique n’autorise pas à la science de donner des faits sans contrôle, prenant alors la tournure du cirque médiatique qu’on voit quand un fait crapuleux se produit. Sans qu’une instruction judiciaire ait eu lieu, les médias livrent un coupable. <o:p></o:p><o:p>
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    Pour finir, un élément pour discuter de la vaccination anti-grippale. Cette stratégie de santé publique mérite d’être discutée. Tout d’abord, parce que certaines voix mettent en doute l’efficacité du vaccin. Des biais statistiques pouvant intervenir. Ensuite, connaît-on vraiment l’organisme et le fonctionnement de l’immunité. Ne peut-on penser qu’une vaccination intempestive pourrait dérégler le système immunitaire en le mettant en contact avec des antigènes grippaux et le faisant produire une réaction précoce qui ensuite mémorisée, pourra être déclenchée avec plus d’efficacité et de rapidité lorsque la souche virale se présentera ? C’est là le principe de la vaccination, qui du reste a fonctionné avec d’autres virus, la variole, la polio, le tétanos… Mais ces virus n’avaient pas cette propriété de mutation intempestive qu’on connaît avec la grippe dont la singularité est d’avoir un patrimoine génétique scindé en quatre, ce qui permet les réassortiments. Au final, deux arguments s’opposent. Faut-il faire de la vaccination une ligne de Maginot anti-grippale ou bien ne vaut-il pas mieux laisser les organismes se coltiner une grippe, se défendre et de ce fait, jouer sur l’apprentissage naturel des défenses et le renforcement de l’organisme après un combat contre l’envahisseur ? N’oublions pas que notre système immunitaire est tout de même le résultat de millions d’années de perfectionnement grâce à l’évolution. On peut alors se demander si la vaccination généralisée contre la grippe ne relève pas d’une vérité théologique, au lieu de faire l’objet d’une évaluation critique, ainsi que d’une discussion sur de possibles dérèglements du système immunitaire dans ce contexte précis d’un virus qui mute et remute. <o:p></o:p><o:p>
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    Déjà en 1976, Foucault, dont les analyses manquent cruellement ces temps-ci, avait critiqué ce qu’il appelait la somatocratie, évoquant entre autres choses la productions d’individus plus fragiles par excès de thérapies. Mais aussi dénonçant la marchandisation des soins. La médecine a rencontré l’économie. Le système sanitaire s’est industrialisé. Ce qui pose problème, c’est le mélange des genres et l’intervention du politique dans l’expertise sanitaire, le tout relayé par la communication médiatique dont on voit comment elle court-circuite, avec son timing effréné, la temporalité plus longue nécessaire à l’élaboration de conclusions scientifiques. Alors que du point de vue normatif, nous voyons une évolution se dessiner depuis la santé considérée comme un droit, vers une sorte de devoir de santé qu’on pratiquerait comme il y a des siècles, on se devait d’aller à la messe. <o:p></o:p><o:p>
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  • Herman Van Rompuy est un Bilderberg

     


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  • Témoignage plein de bon sens d'un médecin homéopathe (Edouard Broussalian de Genève)


    L’affaire de la pandémie de grippe H1N1 n’en est qu’à ses débuts.

    Je crains que seul le recul des historiens permette un jour d’en démêler l’écheveau, tant la manipulation médiatique est intense sur ce sujet. Tout semble fait pour attiser le sentiment de peur et comme d’habitude dans notre société occidentale on verra s’épanouir les réactions hystériques et paranoïaques. Que voulez-vous, c’est le système délirante qui oscille constamment entre angélisme et stigmatisation !
    Vous pourrez trouver sur Internet un large continuum d’avis depuis les zélateurs béats prêts à seringuer tout ce qui bouge, jusqu’aux paranoïaques qui imaginent un complot mondial visant à diminuer la population du globe.
    N’ayant pas accès au secret des dieux, je ne prétendrai pas apporter un avis définitif sur cette crise sanitaire annoncée. Ma réaction est celle du simple médecin homéopathe, écœuré chaque jour davantage de constater impuissant les dégâts de la thérapeutique classique, et qui lutte avec des moyens dérisoires pour qu’advienne un jour la révolution tant attendue en médecine.


    La médecine de la peur et le paradigme pétrochimique

    Face à la propagande démesurée de la médecine de la peur, mes propos seront ceux du simple bon sens, éclairé par une vision critique des excès d’une allopathie basée sur l’industrie pétrochimique. Nous vivons clairement la fin d’un paradigme lancé il y a à peine 100 ans par des hommes comme John D. Rockefeller qui ont saisi l’intérêt de conjuguer science et commerce.
    En moins d’un siècle, on a fait absorber aux patients des millions de tonnes de médicaments toujours plus puissants, et vacciné à tour de bras. Pourtant l’état de santé de la nouvelle génération est peut être la pire qu’on ait jamais vue. Finies les otites, les angines, les toux. Place désormais aux agités, perturbés, instables, suicidaires, dépressifs, autistes, schizophrènes. Combien de temps faudra-t-il pour réaliser qu’on a supprimé sur une vaste échelle les manifestations aigues pour les remplacer par des troubles chroniques profonds autrement plus graves ?


    Un refoulement de plus en plus grave de la pathologie

    Ce que je vais déclarer n’est pas encore établi « scientifiquement » faute de moyens, cependant l’observation un tant soit peu critique nous montre que plus on vaccine et l’on ingurgite de drogues suppressives moins le système immunitaire est capable de réaction.
    Peu à peu l’organisme s’engourdit dans une sorte de torpeur que les homéopathes nomment sycose, avec des idées qui se figent, le besoin de se protéger de l’extérieur, la formation de kystes, nodules et autres excroissances, etc. Le corps n’est plus capable de réagir et d’éliminer une agression extérieure, et il commence à développer insidieusement des maladies chroniques.
    Et vous cher lecteur, de quand date votre dernière fièvre ? Avez-vous fait la relation entre l’absence d’épisode aigu et le développement de votre maladie chronique, celle pour laquelle vous avalez maintenant ces cachets ? Avez-vous remarqué la corrélation entre la disparition de vos maux physiques d’antan et l’apparition de troubles émotionnels (dépression, apathie) ou mentaux (troubles de la mémoire, etc.) ?


    Une prise de conscience est urgente et nécessaire

    Peut être cette histoire de grippe servira-t-elle de déclencheur pour une prise de conscience ?
    Bien que la vaccination planétaire soit une innovation admirable sur un plan commercial, il se pourrait cette fois que la monstruosité du système basé sur la peur et le mensonge apparaisse au plus grand nombre et qu’enfin l’on réclame des réformes lorsqu’il ne sera plus possible de cacher les effets secondaires de la vaccination de masse qui nous attend.
    Historiquement, il suffirait de jeter un coup d’œil en arrière pour nous rendre compte que pas un seul des traitements de masse instaurés par l’ancienne médecine n’a survécu plus que quelques années avant d’être décrié par ceux-là même qui l’adulaient peu auparavant. C’est paraît-il le progrès médical, or je me permets de rappeler que toute chose vraie est à la fois simple et éternelle, indémodable : elle traverse le temps.
    Selon les modes et les époques, on a toujours instauré des traitements sans distinction à la foule des patients, toujours argumentés par la « preuve scientifique ». De même que nos politiques se retranchent derrière les commissions ou les rapports d’enquête, nos chers laboratoires utilisent eux la statistique, forgée à volonté selon ce que l’on désire « prouver ». Ainsi, personne n’affirme jamais rien, mais les « zétudes montrent que », c’est plus propre, plus neutre, plus « scientifique ». Il suffira ici de rappeler que les médicaments subissent 12 semaines de tests avant d’être mis sur le « marché », terme qui signifie bien « faire de l’argent ». Le nouveau venu sera jugé par des experts possédant quasiment tous des liens d’intérêts avec les laboratoires. Un employé peut il juger son patron ? Je vous laisse répondre à la question.
    Petite piste de réflexion supplémentaire : sachez que le budget marketing des labos est le double de celui consacré à la recherche et au développement, et qu’en moyenne les labos consacrent 25.000 euros par médecin et par an pour les amener à prescrire leurs produits.


    Cherche vaccinateur honnête ET intelligent

    Alors vu le contexte, je me pose la question de savoir s’il y a des partisans honnêtes et intelligents pour la vaccination contre la grippe A ?
    Ceux qui sont honnêtes sont-ils réellement intelligents ? Ils vous expliquent que le vaccin est une bonne chose, très bien tolérée, qu’il faut le faire, qu’il serait criminel de s’en priver pour « nous » protéger. Leur démarche ultra pasteurienne les rend prêt à inoculer autant de vaccins qu’on voudra contre tout ce qui existe. On se prend à regretter que les humains n’aient que quatre membres, car on va manquer de place pour les piqûres. Tous ces gens honnêtes, confortablement installés dans leurs croyances, se savent bien informés … par la propagande des labos. Ils constituent les innombrables rouages non pensants de l’immense machine à inoculer. Avec la même absence de recul et du moindre doute, les serviteurs du grand système ont vacciné en masse contre l’hépatite B (rappelez vous, un jour la France se réveillait pour découvrir qu’une épidémie gravissime sévissait sur tout le territoire) ou par le ROR (une vaccination une fois pour toute en était le slogan). Cette espèce foi aveugle dans le dogme vaccinal, au service d’une idéologie basée sur le sacro-saint principe de précaution doit nous rappeler à quel point nous sommes tous potentiellement manipulables et que les leçons de l’histoire n’ont jamais été tirées.
    Que dire des partisans intelligents de la vaccination ? Sont-ils tous honnêtes ? Eux au moins savent compter, et par milliards. On ne peut s’empêcher d’éprouver une certaine admiration sur la façon magistrale dont ils manipulent hommes et gouvernements. Ils ont su analyser les peurs les plus profondes des citoyens du XXIème siècle, tellement pétris de trouille à l’idée de leur mort éventuelle que tout leur est préférable plutôt qu’une affection aigüe contagieuse. Ils ont compris que les systèmes de sécurité sociale sortiront bénéficiaires d’une vaccination en masse plutôt que de rembourser des arrêts maladie. Ils ont compris que nos gouvernants ont toujours besoin de se poser en sauveurs et défenseurs du « risque zéro ». Les gens redoutent ce qu’ils ne comprennent pas, haïssent ce qu’ils ignorent, quoi de mieux que des gouvernements qui vous garantissent le risque zéro ?


    Une société en décomposition

    Je vois dans cette affaire de nombreux signes de déliquescence d’une civilisation. Je n’ai encore entendu aucune voix s’élever contre le principe même qu’un état décide de faire l’achat de vaccins pour protéger son bétail, pardon ! ses citoyens. « Soldat Allemand ne pense pas, le Führer pense pour toi ». Sommes nous tous devenus des êtres stupides, aveugles, bornés et apeurés ? Des petites créatures qui vivent dans la crainte parce qu’il existe une parenté entre le virus actuel et celui de la grippe de 1918 ? Je me prends à rêver d’une société d’hommes libres où chacun déciderait en conscience de son choix thérapeutique… Au lieu de cela, c’est une véritable sélection perverse et fort peu Darwinienne qui est en train de se mettre en place : les trouillards craintifs se rendent de plus en plus malades en acceptant sans réserves les traitements qu’on leur propose, tandis que ceux qui s’y refusent, et ils seront de plus en plus nombreux, restent en meilleure santé et deviennent plus forts.
    Le grand Benjamin Franklin prévenait déjà qu’une « société prête a sacrifier un peu de liberté contre un peu de sécurité ne mérite ni l'une, ni l'autre, et finit par perdre les deux ». Où sont donc passés les hommes qui ont fait la Révolution et énoncé nos grands principes fondateurs ? Entre temps ils ont été gavés de drogues issues de la pétrochimie et sur-vaccinés.


    Une médecine amnésique et autocratique

    La médecine moderne cherche si frénétiquement la « nouveauté » qu’elle en a renié ses propres racines. Les travaux de générations de médecins ont été jeté à la poubelle, notamment en ce qui concerne les épidémies. Depuis Pasteur, tout le monde se focalise sur l’agent supposé causal : bactérie, virus, etc. Mais on oublie qu’une épidémie (littéralement du grec « sur le peuple ») est soumise dans son développement et sa virulence à de nombreuses influences. La situation d’aujourd’hui n’est en rien comparable à celle de 1918 où l’Europe venait de se suicider, déplorant des millions de décès, avec toutes les privations qui s’en suivirent. Aux conditions socio-économiques, sanitaires et morales, il convient d’ajouter l’effet très important du climat. Tous ces facteurs n’ont jamais été évoqués tellement tout le monde est fasciné par un petit bout d’ARN. Le proverbe ne dit-il pas que lorsque le sage désigne la lune, l’imbécile regarde le doigt ?
    Alors, comme les morts se comptent sur les doigts de la main, on brandit l’argument de la mutation possible du virus. On avait sorti le même discours avec la grippe aviaire : nous attendions fermement les canards de l’est et ce sont les cochons de l’ouest qui nous assaillent. Que vaudra le vaccin, supposé efficace, contre la souche actuelle, si le virus mute ? Probablement pas grand-chose.


    La planète massacrée en un siècle

    Le pétrole a permis de créer de belles choses, mais à quel prix ? En un siècle nous avons assassiné la planète et mis en péril l’humanité elle-même. Je peux prédire facilement que nous allons voir se multiplier des pathologies comme les psychoses systématisées, les autistes, les schizophrènes, les suicidaires, les dépressifs, les troubles obsessionnels, les affections neurologiques, les troubles auto-immuns (dont la flambée des allergies étaient le phénomène précurseur).
    Le nombre de femmes atteintes de troubles ovariens atteint déjà des proportions inquiétantes et ira croissant ainsi que le nombre d’hommes dont le sperme s’appauvrit. Le bon vieux système allopathique restera toujours aussi aveugle : « pas de problème, on fera des inséminations artificielles », violant un peu plus un organisme arrivé à ce stade par les effets conjugués des pollutions et de la médicamentation…
    Je pense que la catastrophe annoncée ne sera pas celle provoquée par un virus, mais bien par un système complètement pervers qui rend les gens de plus en plus malades, les droguant toujours plus pour traiter… les conséquences des traitements. Heureusement il y a une limite à cette folie : c’est le système économique.


    La limite sera celle du système économique

    La vieille médecine n’a jamais cherché à distinguer les individus et elle a trouvé un allié précieux dans l’industrie chimique dont l’intérêt est d’abreuver les masses. C’est ainsi qu’ont été générés des profits colossaux.
    Mais jusqu’à quand le système va-t-il tenir ? Il y a de moins en moins de brevets innovants, de plus en plus de génériques, en un mot : la bête a faim ! Parallèlement, les systèmes de sécurité sociale, et même les états, sont au bord de la faillite. Il faudra bien qu’un jour les responsables de la sécurité sociale comprennent que c’est la médecine elle-même qu’il faut réformer et changent de paradigme. Pensez vous qu’on puisse aller loin avec une France endettée à hauteur de 84% du PIB ?
    La crise financière risque bien de n’être que le toussotement : la situation peut virer à la pneumonie d’un moment à l’autre. Cette crise n’a été traitée qu’allopathiquement : refoulée sans que rien n’ait changé fondamentalement. Ainsi on a semé les germes de quelque chose d’encore plus profond et catastrophique.
    Il y a urgence à former de plus en plus d’homéopathes pour nous tenir prêts le jour J.
    Je lance un appel à tous les médecins qui ont encore de l’esprit critique : rejoignez nous et venez vous former à une médecine rationnelle et basée sur des principes.

    Dernier point : si la vaccination contre la grippe A devait devenir obligatoire, je m’y refuserai et rejoindrai ceux qui pourront lancer un appel à la désobéissance civile.

    Dr Edouard Broussalian
    Genève, le 30 Octobre 2009


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  • Les Etats-Unis étaient en mesure de capturer Ben Laden en 2001
    LEMONDE.FR avec AP | 29.11.09 | 11h43


    n rapport du Sénat américain rendu public au cours du week-end révèle que l'armée américaine aurait pu capturer Oussama Ben Laden à la fin de l'année 2001, alors que celui-ci se cachait dans la région montagneuse de Tora-Bora, en Afghanistan. Selon le document, commandé par le sénateur démocrate John Kerry en prévision d'une augmentation du contingent américain en Afghanistan, l'armée américaine aurait pu mobiliser plusieurs milliers d'hommes pour traquer le leader islamiste, qui était à ce moment-là particulièrement "vulnérable".
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    Mais plutôt qu'envoyer les milliers de soldats à leur disposition, les responsables militaires américains auraient privilégié une approche moins "massive", en envoyant, en plus de frappes aériennes ciblées, un commando d'une centaine d'hommes aidés par des Afghans. "Les multiples atouts de la puissance militaire américaine (...) ont été laissés de côté", résume le document.

    Se basant sur des documents déclassifiés, des entretiens et des archives, les auteurs du rapport affirment que ces informations "lèvent tout doute à ce sujet et montrent clairement qu'Oussama Ben Laden était à notre portée à Tora-Bora" aux alentours du 16 décembre 2001. Par la suite, Ben Laden aurait quitté la région "sans encombres" pour se rendre dans les zones tribales du nord-ouest du Pakistan, où il se trouverait toujours.

    "Eliminer le leader d'Al-Qaida du champ de bataille il y a huit ans n'aurait pas éliminé la menace terroriste pesant sur le monde", explique le document. Mais les décisions prises par l'ancien président George W. Bush, son secrétaire d'Etat, Donald Rumsfeld, et le responsable des armées de l'époque, Tommy Franks, "ont permis à Ben Laden d'apparaître comme une figure symbolique qui continue d'attirer des fonds et d'inspirer des fanatiques dans le monde entier". Le rapport va plus loin, estimant que le fait d'avoir laissé Oussama Ben Laden en liberté a contribué "au renouveau taliban en Afghanistan, tout en attisant les tensions au Pakistan voisin".


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  • Raymond Ferrier, le père de la victime : «La ministre ne m'a pas répondu»

     

    « Un certain nombre d'interrogations persistent autour du décès de mon fils Aurélien le 13 septembre […] Je me permets de vous solliciter espérant ainsi obtenir des réponses satisfaisantes pour entamer mon deuil de façon plus sereine. »

    C'est un passage de la lettre envoyée par Raymond Ferrier à Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, le 30 septembre. « À ce jour, la ministre ne m'a pas répondu ». Raymond s'interroge : « Pourquoi on n'a pas prescrit du Tamiflu tout de suite à mon fils alors que j'entends à la radio qu'on en donne aux footballeurs ? ».

    Il n'est pas certain qu'Aurélien serait toujours en vie, « mais au moins, on lui aurait donné une chance supplémentaire ».

    En fait, le jeune homme a été placé sous Tamiflu dès son hospitalisation dans le service des urgences du CHU de Saint-Étienne le samedi 12 septembre. Le mardi précédent, le jeune homme avait consulté son médecin traitant qui lui avait prescrit du paracétamol et du sirop comme le préconise toujours le protocole.

    Raymond Ferrier ne reproche rien à l'hôpital, pas davantage au médecin traitant qui a appliqué les consignes. Mais ce sont ces fameuses consignes qu'il juge restrictives. « J'estime que quelque chose n'a pas été fait. »

    En l'absence de réponse de la ministre de la Santé, il envisage d'écrire à Nicolas Sarkozy. C'est notre journal qui a appris à Raymond Ferrier que son fils était l'une des victimes du virus mutant. « Tout de même, ils auraient pu me prévenir !

     

    Aurélien Ferrier, 26 ans, le premier patient « sain » décédé de la grippe A en France a succombé à un virus mutant, selon le résultat de nouvelles analyses


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  • C’est en 2012 que l’on atteindra un pic dans les défauts de paiements


    Les subprime, vous pensiez que c’était fini ? Surprise ! Ils vont revenir, et encore plus fort. Ce n’est pas nous qui le disons, c’est Maarten Slendebroeck, le directeur général de Blackrock Solutions pour l’Europe, dans Les Echos : “C’est en 2012 que l’on atteindra un pic dans les défauts de paiements”.

    Bien, bien. Donc – quelle découverte ! –, les banques ont encore des tonnes d’actifs pourris dans leurs coffres. Alors que tous crient à la reprise, l’origine de la crise – les crédits immobiliers – n’est pas complètement réglée. C’est d’ailleurs ce que confirme aujourd’hui Dominique Strauss-Kahn dans Le Figaro : “Il reste d’importantes pertes non dévoilées : 50% sont peut-être encore cachées dans les bilans. La proportion est plus forte en Europe qu’aux Etats-Unis. Je le redis : l’histoire des crises bancaires, notamment au Japon, démontre qu’il n’y aura pas de croissance vive et saine sans un nettoyage complet du bilan des banques”.

    Mais revenons à M. Slendebroeck : “2007 a été l’année où le nombre de prêts accordés a été le plus important. Au regard de la dégradation de la conjoncture et du retrait de certaines banques du secteur immobilier, c’est en 2012 que les remboursements des créances immobilières vont être difficiles et que l’on atteindra un pic dans les défauts de paiement”.

    Bon, d’accord, les défauts de paiement n’ont pas encore atteint leur maximum. Mais ce n’est pas bien grave, non ? Après tout, les banques ont démontré leurs capacités de résistance lors des stress tests.

    Et puis, elles ont été sommées d’augmenter leurs fonds propres afin de pouvoir affronter sans dommages une nouvelle vague de défaillances… Toute la presse bruisse des efforts des banques pour augmenter fonds propres, Tiers-One, RAC (risk adjusted capital) et autres termes barbares. “S&P passe au crible les fonds propres des grandes banques mondiales”, annoncent Les Echos. “Les banques chinoises sont dans l’obligation de se recapitaliser. Les projets de levées de fonds se multiplient. Les besoins sont estimés à plusieurs dizaines de milliards de dollars”, nous apprend L’Agefi.

    Encore un peu plus dans cette voie, et nous apprendrons qu’elles prennent tous les jours des yaourts “alicaments” pour renforcer leurs “défenses naturelles” contre la crise

    Ah, cher lecteur, si seulement…

    Oui, si seulement les banques faisaient preuve de prévoyance. Mais voilà, elles ont été trop occupées – soit à faire faillite, soit à accumuler les bénéfices grâce au trading pour s’être préoccupées de l’avenir et d’une future vague de défauts sur les crédits immobiliers. Les banques sont de monstrueuses cigales. Elles dansent au son du fifrelin du rebond boursier sans voir la bise venir.

    Les banques ont beau jeu d’augmenter leurs fonds propres, elles auront du mal à affronter une nouvelle crise, comme l’expliquait hier Philippe Béchade dans La Chronique Agora : “La catastrophe de l’automne 2008 a été provoquée par un taux de défaut de 8% sur l’ensemble des prêts immobiliers — la proportion atteignant 30% sur les subprime. Comment le système résistera-t-il avec un taux qui dépasserait les 16% (le double) début 2010 sur des montants empruntés bien plus importants (de 30% en moyenne sur les Alt-A) que ceux constatés il y a un an et avec des pertes de valeurs latentes de 20% à 40% sur les biens hypothéqués (contre -10% à -15% en 2008) ?”.

    Conclusion ? Vous voulez réellement faire confiance aux banques ? Nous, non ! A la prochaine pichenette, elles risquent de dégringoler de nouveau…
    moneyweek


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  • Nigel Farage fait des siennes au parlement européen.

    Un échange stupéfiant a eu lieu au Parlement de l’Union Européenne plus tôt cette semaine où le Député Européen, Nigel Farage, a été réprimandé pour avoir osé exposer le fait que l’UE est une dictature autoritaire dirigée par des bureaucrates non élus, au détriment de la souveraineté nationale. Farage a effectivement violé une loi tyrannique de 1999 qui stipule que critiquer l’UE est illégal.
    Des gens comme le Président de la Commission Européenne, Manuel Barroso, ont laché leur fiel étant donné que Farage s’en est ouvertement pris aux élitistes de l’UE pour leurs mensonges et leur copinage.

     

    Encore un petit exemple, Anne-Marie Le Pourhiet qui dit ce qu’elle pense de l’europe d’aujourd’hui

     


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  • Dieudonné était en Iran pour récolter des fonds et pour libérer Reiss

    (AFP) – Il y a 15 heures

    PARIS — L'humoriste controversé Dieudonné a affirmé samedi avoir récolté des fonds pour mener un "combat culturel" contre le sionisme, lors de sa rencontre avec le président Mahmoud Ahmadinejad en Iran, assurant avoir tenté d'y faire libérer la Française Clotilde Reiss.

    "Nous avons reçu un budget important qui nous permet de faire des films à la hauteur de ceux d'Hollywood qui est le bras armé de la culture sioniste", a-il déclaré, lors d'une conférence de presse dans un climat tendu, organisée dans son théâtre parisien de la Main d'Or.

    Son projet est de réaliser deux films, l'un sur l'esclavagisme et l'autre sur la guerre d'Algérie pour "donner au peuple noir une autre vision que celle de Spielberg". Plusieurs scènes pourraient être tournées en Iran, mais aussi à Cuba et au Venezuela, grands alliés du régime islamique.

    L'humoriste est resté vague sur l'identité du donateur et s'est refusé à préciser le montant des fonds reçus.

    Des affiches montrant Dieudonné Mbala Mbala posant à côté du président iranien avaient été apposées sur la scène du théâtre, où les journalistes ont été fouillés au corps avant de pouvoir pénétrer dans la salle.

    L'humoriste, plusieurs fois condamné pour injures antisémites, a décrit M. Ahmadinejad comme un "homme simple" et un "grand résistant", l'estimant victime d'un "lynchage médiatique".

    "Ahmadinejad est plus aimé en Iran que Nicolas Sarkozy en France", a-t-il assuré, en qualifiant de "propagande sioniste" les manifestations qui ont suivi son élection.

    Dirigeant d'un centre chiite en France, Yahia Gouasmi, le président du "parti antisioniste" fondé par Dieudonné avant les européennes, a également participé à la rencontre avec M. Ahmadinejad.

    Il a déclaré s'être rendu avec l'humoriste à l'ambassade de France à Téhéran où est recluse Clothilde Reiss, accusée d'espionnage par Téhéran, afin de vérifier si elle était "innocente".

    "On ne nous a pas permis de la voir, alors que je souhaitais ensuite intervenir auprès du guide suprême iranien afin qu'il lui accorde sa clémence. Mais la France ne voulait pas que Clothilde rentre avec Dieudonné", a-t-il affirmé.

    "Le conseiller de l'ambassade nous a dit de faire confiance à Nicolas Sarkozy, ce à quoi j'ai répondu qu'elle n'était pas sortie de l'auberge", a ajouté Dieudonné, déclenchant les rires dans la salle où se trouvait une soixantaine de ses sympathisants.

    "Si son projet est de servir le sionisme, dans ce cas, elle a sa place en prison en Iran", a-t-il précisé, accusant Nicolas Sarkozy d'en faire une "affaire personnelle pour pouvoir attaquer l'Iran".

    Le président iranien a été dénoncé par de nombreux pays pour ses propos relativisant l'Holocauste et prônant la disparition de l'Etat d'Israël.


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  • Borloo accro à l'avion, même pour faire Paris-Bruxelles

    Jean-Louis Borloo avec Nicolas Sarkozy dans le cockpit d'un Airbus A330 à Toulouse en mai 2007 (Pascal Rossignol/Reuters)

    Nicolas Hulot n'est pas le seul à prôner le vélo du haut de son hélicoptère. Jean-Louis Borloo, le ministre de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement durables ne se déplace à Bruxelles qu'en avion, alors qu'un train pourrait le déposer à Bruxelles en une heure et vingt minutes chrono.

    Dans un premier temps il prenait un avion de la DGAC (service dépendant de son autorité), mais la Cour des comptes ayant toussé (pas que pour lui du reste), il se rabat désormais sur les avions de l'Etec (ex-Glam) à disposition des membres du gouvernement.

    Un choix ni très pratique, ni très écologique, ni même très sûr puisque durant la présidence européenne son avion était arrivé dans la capitale belge avec deux heures de retard, à cause du mauvais temps.

    Une question de standing pour le ministre

    Une question de « standing », souffle à mi-voix un collaborateur agacé. Autre raison avancée : le ministre ayant tendance à quitter les réunions internationales sans préavis, son avion doit toujours être prêt à le ramener à Paris.

    Bizarrement, sa secrétaire d'Etat Chantal Jouanno arrive à faire sans. Elle trouve des avions de ligne pour les grands déplacements et, surtout, elle prend le train pour aller à Bruxelles. Un comportement plus compatible avec les objectifs de son ministère.


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