• Les prédateurs

    PETITE GÉNÉALOGIE DE LA BANQUE

    Mon dernier papier sur la dégringolade de notre État-nation qui abordait, entre autre, la question de la responsabilité de la loi du 3 janvier 1973 – modifiant le statut de la Banque de France – sur la liquidation de nos politiques sociales (retraites, Sécu…) en appelait un autre, plus général, sur ce qu’est la Banque, clef du pouvoir moderne. Le voici, rédigé de la façon la plus simple et la plus claire possible, ce qui n’est pas facile !

    Les banques et la Banque
    D’abord il faut comprendre que la Banque, comme principe et processus de domination, n’a rien à voir avec la banque de dépôt et de prêt du coin de la rue,son ancêtre et son origine dévoyée.

    Un dévoiement dont on peut marquer les étapes successives comme autant de sauts,du service vers la nuisance pure et simple…

    D’abord prêter de l’argent qu’on a
    À l’origine,l’argent prêté par la banque d’investissement et de dépôt aux uns, correspond à de l’argent déposé par d’autres, et le taux d’intérêt remboursé en plus du capital – soit de la masse monétaire crée en plus que celle déjà en circulation – correspond également à la création de richesse réelle d’une entreprise aidée par l’investissement productif.

    Ensuite prêter de l’agent qu’on a… en partie
    Mais l’argent réellement présent en banque ne risquant pas d’être retiré en même temps par tous les déposants, grande devient la tentation de prêter plus que les sommes effectivement en dépôt.

    Naît alors le “multiplicateur”,soit une fabrication d’argent scriptural, mais toujours dévolu à l’investissement productif.Argent temporairement fictif, mais devenant réel au final par la création de richesses (valeur ajoutée) due à cet investissement productif.

    Un mécanisme de fuite en avant peu dangereux à deux conditions :
    Un. Que l’économie se trouve dans une phase de développement et de croissance illimitée,comme c’était le cas au moment de l’invention de cette pratique à la Renaissance.
    Deux. Qu’une autorité politique,au-dessus de la Banque,régule et limite cette pratique au regard de la croissance et du développement économique réel, et pas seulement scriptural et spéculatif.

    Prêter de l’argent qu’on a de moins en moins
    Un contrôle et une modération de la fuite en avant des prêts bancaires, sans commune mesure avec la faiblesse des dépôts bientôt exigés,appelés “réserve fractionnaire”.
    Une réserve fractionnaire imposée aux banques par le politique, mais qui, par la force des choses et compte tenu de l’évolution du rapport de force entre le politique et l’argent, va avoir tendance, au cours du temps, à tendre progressivement vers zéro !

    Prêter de l’argent qui n’existe pas, mais toujours contre intérêt
    Suite à ce lent processus de dégénérescence et de prise de pouvoir – l’un étant permis par l’autre – la Banque devient donc progressivement une pure entreprise de racket et de dépossession.

    En effet,la masse monétaire mise en circulation par les banques étant toujours supérieure à la croissance possible (création de valeur ajoutée) et le taux d’intérêt,lui,mécaniquement impossible à rembourser.

    Ce prêt d’argent,fictif, mais que seules les banques ont le pouvoir de prêter, équivaut donc, à travers la garantie hypothécaire sur l’outil de travail et les biens, à une lente captation de toutes les richesses privées par la Banque. La Banque devenant ainsi progressivement propriétaire de tout,sans jamais rien produire,et avec de la fausse monnaie pour seule mise de fond !

    Nous touchons là à ce que nous pouvons appeler le vrai secret bancaire : arnaque de génie au coeur de tous les déséquilibres et de la domination contemporaine.

    Prêter de l’argent qui n’existe pas, mais toujours contre intérêt et qu’on est le seul à pouvoir prêter, y compris aux États
    Ce processus d’endettement voulu,fatal et généralisé, d’abord appliqué au monde de l’entreprise privée,connaîtra encore un nouveau bond en avant avec la privatisation des banques centrales dans tout l’Occident.

    Privatisation des banques centrales – inaugurée aux USA avec la FED dès 1913 – correspondant à l’ultime dépossession d’un pouvoir régalien fondamental :celui de faire émettre par la Banque nationale, sous contrôle de l’État, les masse d’argent nécessaires aux grands investissements publics (Plan, développement des infrastructures,politiques sociales…) prêtée à l’État à taux zéro.Cette masse d’argent crée de toute pièce, mais garantie par l’État en bons du Trésor, devenant, comme à la période vertueuse de la banque de dépôt et d’investissement, richesse réelle à terme validant cette masse monétaire supplémentaire, par la production de richesses effectivement produites grâce à ces investissements publics ; soit du développement et non de la pure inflation.

    Pure inflation, en revanche, si le pouvoir politique, par démagogie électorale, se met à abuser inconsidérément de la planche à billets ; raison invoquée pour privatiser le système sans rien y changer, si ce n’est limiter ce droit d’abuser au secteur privé !

    De la banque accélératrice de développement à la banque parasite
    Or, avec la privatisation des banques centrales, imposée à l’insu des peuples maintenus dans l’ignorance complète des processus bancaires, les États se voient tous désormais dans l’obligation d’emprunter l’argent nécessaire à leur développement sur le marché privé, avec taux d’intérêt. Pour la France ce sera, comme évoqué précédemment (voir Flash 49) :
    La fin du droit de prêt à l’État à taux zéro par la Banque de France.Décision prise le 3 janvier 1973 sous la présidence de Georges Pompidou (ancien directeur de la banque Rothschild). Une décision et une dépossession du pouvoir régalien de l’État qui avait nécessité,au préalable,l’éviction du Général de Gaulle.

    Pour l’Europe : La création de la Banque centrale Européenne (volet bancaire de l’UE) imposant en douce – par l’article 104 des accords de Maastricht rebaptisé article 123 dans le traité de Lisbonne – cette même interdiction à toutes les anciennes banques nationales des membres de l’Union Européenne.Et ce au nom, bien sûr, de la rigueur monétaire et de la fraternité des peuples !

    Un taux d’intérêt payé désormais pour les investissements publics nécessaire aux développements, qui est le vrai non de la “dette” et de la politique de la dette.

    Un racket privé imposé aux États sur le dos des peuples avec la complicité silencieuse des politiques, y compris du bouillonnant Besancenot qui sait fort bien qu’il ne doit jamais aborder ce sujet s’il veut continuer à passer chez Drucker.

    Un racket bancaire à l’échelle des États, et sur le dos des peuples, qui est la première raison de la fin de l’État providence au tournant des années 70. La raison majeure de la fin de toutes les politiques sociales de développement qu’on appelle “la Crise”. Le paiement de l’intérêt de la dette – en réalité pur racket de la Banque,absorbant désormais tout l’argent normalement dévolu au développement et au social – étant exactement égal, en France, à la totalité de l’impôt sur le revenu du travail.

    Une équivalence que l’on doit comprendre, au-delà du symbole, comme une pure équation.

    Conclusion politique
    Cette obligation pour les États d’emprunter de l’argent sur le marché privé, avec taux d’intérêt, contre garantie en bons du Trésor, produit, au niveau des nations occidentales, la même conséquence que la garantie hypothécaire pour le monde privé des affaires. Soit, à travers une dette toujours grandissante et structurellement inremboursable, le transfert progressif – notamment par les privatisations – de toute la richesse de l’État dans les mains de la Banque, pourtant pur parasite.

    Soit, dit encore plus clairement : la captation progressive, à travers la fiction de la dette et avec la complicité des politiques,de toute la richesse des nations par un petit groupe de prédateurs…

    Bloc-notes N°50 d’Alain Soral (paru dans Flash Magazine)


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  • Métissage à la carte (rediff)

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  • Trois barbus, c'est des barbouzes

    vendredi 29.10.2010, 05:09 - OLIVIER BERGER

    | LE TEMPS FORT |

    À l'instar de la grippe saisonnière, un autre genre d'épidémie semble frapper brutalement des journalistes traitant l'affaire Woerth - Bettencourt, ses innombrables ramifications et l'indéfectible fraternité transgenres unissant la finance et la politique.

    Un journaliste du Monde, un du Point et deux du site Mediapart, enquêtant sur ce joli monde, se sont fait barboter en quelques jours, des ordinateurs (dont un cadenassé au bureau !), un GPS, des CD-Roms et un disque dur externe. Comme les gens sont mal intentionnés.

    Et là, depuis la profondeur des gorges, émergent les « officines », publiques ou privées, grises assurément. Dans cette histoire, comme le déclamait doctement dans Les Barbouzes Lino Ventura, alias Francis Lagneau : « Un barbu, c'est un barbu.

    Trois barbus, c'est des barbouzes ! » On pourrait en sourire. On devrait.

    Sans remonter à l'affaire des plombiers du Canard enchaîné en 1973 (des agents de la DST pris en flagrant délit de pose de micros), des écoutes sous Mitterrand, le pouvoir s'est toujours plu à surveiller le quatrième (pouvoir). C'est assez navrant, convenons-en, mais l'affaire Woerth - Bettencourt avec ses cadeaux fiscaux douteux, ses remises de Légion d'honneur bienveillantes, ses financements de campagne hasardeux, ses cessions d'hippodrome amicales, ses emplois de complaisance et ses retours d'ascenseur pourraient bien gêner aux entournures. Bref, ça pue.

    Déjà, le procureur de Nanterre, Philippe Courroye, s'est prévalu d'écoutes, d'études illégales de « fadettes » (factures détaillées) menées par la DCRI pour dénicher le mécréant qui renseignait deux journalistes du Monde et chercher des poux dans la tête de la juge d'instruction Isabelle Prévost-Desprez. Somme toute, la rutilante loi du 4 janvier 2010 relative à la protection des sources des journalistes, les articles 77-1 et 56-2 du code de procédure pénale sur la perquisition dans les entreprises de presse ne pèsent pas lourd dans la magnifique balance de la Justice des « officines ».

    Les journalistes ont porté plainte mais restent très prudents, se gardant d'accuser quiconque. À qui profite l'indiscrète opération ? « Le commanditaire cherche à intimider nos sources, explique François Bonnet de Mediapart. Il cherche à couper le robinet de l'affaire Woerth - Bettencourt en envoyant un signal. Pas de sources, pas d'infos. Pas de secret des sources, pas de sources. » Et la vie est plus belle.

    Pour cacher durablement leur interview du professeur de kayak UMP de Liliane Bettencourt ou la remise de Légion d'honneur au maréchal-ferrant des Woerth à Chantilly, on conseille le cryptage ou le mot de passe introuvable genre : « Si la pluie continue, les fraisiers seront en retard.

    - Mais les grenouilles seront en avance... » Ah, les barbouzes.

    Et là, depuis la profondeur des gorges, émergentles « officines », publiques ou privées, grises assurément.

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  • Firesheep, l'extension Firefox pour pirater des comptes en un clic

    C’est une extension Firefox qui fait beaucoup parler d’elle depuis quelques jours. Elle permet de voler l’accès à des services en ligne à un utilisateur qui vient de s’y connecter en Wi-Fi.
    Attention à ne pas vous faire voler vos identifiants sur Facebook, Twitter, Windows Live et bien d’autres services en ligne depuis un point d’accès Wi-Fi ouvert. Voilà, en résumé, le message que tient à faire passer Eric Butler, qui a développé une petite extension Firefox déjà célèbre. Elle a été téléchargée plus de 130 000 fois en quelques heures, à tel point que le mot clé « firesheep » s’est retrouvé à la dixième place des recherches les plus souvent effectuées sur Google Etats-Unis hier.
    agrandir la photo
    Firesheep, présenté par Butler lors d’une conférence de « hacking » à San Diego, s’affiche dans un volet de Firefox. Le programme permet de capturer à la volée les cookies de connexion d’autres utilisateurs connectés au même point d’accès ouvert. L’outil peut récupérer, sans aucune intervention du pirate, des identifiants issus d’une trentaine de sites différents, d’Amazon à Google, en passant par Gowalla, Windows Live, Facebook et Twitter. Ils apparaissent simplement dans le volet. Il suffit alors de cliquer dessus pour se retrouver connecté sur le compte de la victime.
     
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  • "Les rois du monde viennent à Bucarest"


    15 octobre 2010 | Article par Golea Sorin
    traduit du Roumain avec google chromesource
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    Certains les appellent «éclairés» d'autres «groupe élitiste de l'humanité» ... Officiellement appelé la Commission Trilatérale, et selon leurs propres statuts, tirées de l'ombre, sur la tête de tous, le chemin futur de l'humanité. Pour la première fois dans l'histoire, ces "rois" sont réunis à Bucarest. Parmi ceux qui devraient inclure Bill Clinton.

    L'idée de l'humanité sur la tête des grandes nations est très ancienne. En début de l'ère moderne, soit environ 300 ans auparavant, la nécessité riche d'activités industrielles et commerciales pour renverser la noblesse des Etats leadership communément appelée la naissance secret organisation maçonnique. Théorie du complot défenseurs font valoir qu'il s'agissait d'un véritable «gouvernement mondial ombre" qui a tiré les ficelles dans le monde entier. Après le milieu du XXe siècle, la maçonnerie commence à perdre de son importance, sa place étant prise lentement corps n'ont pas caché leur identité et officiellement pris la direction du monde. 

    Timp de trei zile, astăzi, mâine şi poimâine, în România se iau decizii care privesc viitorul omenirii

    Commission trilatérale, qui comprend les personnes les plus influentes de différentes régions du monde, paru en 1973, fondée par le banquier David Rockefeller, de renforcer la coopération économique et politique entre les Amériques, Europe et en Asie - ce qu'on appelle la coopération trilatérale. La composition de ce comité sont devenues administrateurs de sociétés, les banquiers, les politiciens (y compris les anciens présidents U. S.), des économistes, des dirigeants syndicaux, les présidents des fondations - en général des personnes les plus influentes en Amérique du Nord, en Europe et au Japon . 

    Commission Trilatérale a 390 membres 

    Récemment, elle a été invitée à se joindre aux représentants de la Chine et l'Inde, deux pays asiatiques qui dit qu'ils deviendront grande puissance économique et militaire dans un proche avenir. Selon leurs propres statuts, la Commission Trilatérale »et transcendent les influences des systèmes nationaux, ce qui conduit le monde sur les gouvernements nationaux, mais dans l'intérêt de l'humanité. De travail trilatéral par trois équipes continentales. Après avoir fait la décision d'envoyer des membres du gouvernement, et ils s'appliquent dans chaque Etat. L'organisation compte 390 membres élus sur la base d'invitations de groupes nationaux et régionaux. Groupe européen, qui est venu à la réunion de Bucarest, compte 170 membres et a pour président Mario Monti. Selon nos sources, parmi les personnes présentes à la réunion d'aujourd'hui, demain et demain, qui aura lieu dans un endroit qui n'a pas été rendu public, est l'ancien président américain Bill Clinton.

                                «Les cerveaux du monde" sont efficaces, les peuples libres seront

    Les avis sont partagés au sujet de cet organe supranational à l'appui et la critique. Certains disent que d'une décision politique peut être plus facile dans un petit groupe peut être contrôlée plus efficacement et pourrait être mis en œuvre plus rapidement. Les critiques ont demandé quel est le point où il ya des élections libres et la démocratie, si une entité supranationale les nations.Dans la même veine, les analystes politiques préviennent que d'une centaine d'esprits bien jugé moins d'une centaine de millions d'esprits. Que le retrait des masses dans le mécanisme de prise de décision n'est pas une bonne chose.

                                         Ils font partie du gouvernement monde de l'ombre

        
    L'ancien président américain, un membre de la Trilatérale, on s'attend à une réunion à Bucarest Mario Monti en langue italienne est président de la Région européenne de la coopération trilatérale

                                         La Roumanie est représentée par Isarescu et Tanasescu

    Représentants de la Commission trilatérale dans notre pays sont Mugur Isarescu, gouverneur de la Banque Nationale, et Mihai Tanasescu, ancien de la Banque mondiale exécutif et ancien ministre des Finances sous en Roumanie. Leur position, en particulier par Mugur Isarescu, l'organisation sera établi dans les réunions suivantes, à Bucarest. La liberté a demandé une réunion sur le sujet par Mugur Isarescu, mais il a préféré ne pas commenter.

    Ancien ministre des Finances et ancien directeur exécutif adjoint de la Banque mondiale, il a été accroché et de gouvernement mondial

    Gouverneur de la Banque Nationale est un membre éminent de la région européenne la coopération trilatérale


       
    économiste et homme politique allemand Michael Fuchs est l'un de l'Europe vice-région Vladimir Dlouhy, économiste et homme politique tchèque, est le deuxième vice-européenne
     


                                    Le désarmement nucléaire est très controversée en Europe

    Des sources diplomatiques nous ont dit que lors de la réunion à Bucarest dans la période de Octobre 15 à 17, se débat le nouveau concept stratégique de l'OTAN (Alliance de l'Atlantique Nord qui sera autre chose que nous savions), le désarmement nucléaire et la façon dont l'Union montrent de l'UE dans les décennies à venir. Les problèmes sont particulièrement délicates - par exemple, en matière de désarmement nucléaire chapitre existe deux directives contradictoires sur le continent. L'Allemagne veut une Europe sans armes nucléaires, tandis que la France, qui est une puissance nucléaire, s'oppose. Pour l'OTAN, il semble que la Roumanie jouera un rôle important dans le rapport de l'alliance avec la Russie. Non d'ailleurs, cette semaine, les premiers documents ont été signés entre notre pays et les autorités de Moscou, le gazoduc South Stream, Gazprom.


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  • Florent Marchet / Narbonne Plage

     


    Florent Marchet / Narbonne Plage
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    Florent Marchet est né à Bourges dans le Berry le 21 juin 1975. Il apprend le piano à l’age de 5 ans et fait ses études musicales au conservatoire national de Bourges. Ses débuts remontent à 1996, il intervient alors comme musicien dans les écoles, les hôpitaux psychiatriques, les prisons.


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  • Le projet

     


    «Politique européenne de voisinage - Document d'orientation», la Commission européenne balise les prochaines étapes de la nouvelle politique européenne de voisinage, après l'élargissement de l'UE à dix nouveaux pays.
    Elle précise les contours de la PEV, soit dix pays méditerranéens (Algérie, Autorité palestinienne, Egypte, Israël, Jordanie, Liban, Libye, Maroc, Syrie, Tunisie) et trois pays est-européens (Biélorussie, Moldavie, Ukraine) et recommande l’intégration des trois pays du Caucase du Sud (Arménie, Géorgie, Azerbaïdjan).

    videos liées : Le 3eme pilier du judaïsme


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  • Deficit de l'Irlande 32% du PIB

    Hervé Juvin revient sur le deficit de l'Irlande approchant les 32% du PIB.


    Comment va le monde ? - Octobre 2010
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  • BP séduit de nouveau

    Le 28 octobre 2010

    Moins de six mois après le début de la marée noire dans le golfe du Mexique et à peine deux mois après avoir colmaté le puits responsable de la catastrophe, la compagnie pétrolière britannique British Petroleum est parvenue à emprunter auprès des investisseurs 3,5 milliards de dollars fin septembre, puis 2 milliards d’euros début octobre. La soif des investisseurs est donc vite revenue pour un groupe que certains disaient proche de la faillite au mois de juin. Les obligations en dollars ont fait l’objet de 12 milliards de dollars de demandes, celles en euros de 9 milliards. Le coût de l’assurance, monté jusqu’à 6,25 % fin juin au plus fort de la crise, est retombé
    à 1,72 % pour ses obligations en dollars arrivant à échéance dans quatre ans. En parallèle, aux environs de 435 pence, le cours de l’action a regagné à Londres près de 50 % de sa valeur depuis son plus bas de 14 ans à 296 pence, atteint le 25 juin 2010.

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  • Tentative de coup d’Etat contre l’Europe

    La réforme des retraites à peine votée, voilà que la crise ressurgit, que l’affaire Bettencourt fait à nouveau parler d’elle, que Ben Laden se manifeste à nouveau… de quoi satisfaire l’appétit des médias jusqu’à noël, pour la trêve de l’amour et du partage hypocrites.

    On oubliera alors le conflit d’intérêt majeur entre les deux frères Sarkozy à propos de la privatisation de la retraite, on aura nettoyé les soupçons (et les ordinateurs) des quelques “résistants-fouineurs” indésirables dans les médias, on préparera des mesures sécuritaires contre les méchants terroristes (et en même temps contre les vilains manifestants trop engagés), et ainsi on ne verra peut-être pas passer le coup d’état qui se prépare en Europe, c’est à dire la réforme arbitraire de la Constitution européenne, chapeautée par les quelques puissances nationales encore debout.

    Finalement, elle n’a que des bons côtés cette fameuse crise, capable de faire gober les pires injustices jusqu’aux confins de l’Europe ! rendez-vous compte, avec ce “petit amendement” que veulent faire passer ceux dont les finances pourraient être à terme englouties par la “solidarité” européenne, il se pourrait bien qu’en réalité l’Allemagne et la France soient en mesure de prendre le contrôle explicite de l’Europe : n’est-il pas proposé en effet de supprimer le droit de vote aux pays qui ne respectent pas la stabilité de leurs finances ?

    Regardez bien, et réfléchissez : la France, l’Allemagne, et tous les autres à leur suite, tentent désespérément d’assainir leurs finances, et cela au prix de mesures draconiennes imposées aux peuples, pour ne pas avoir à payer les pots cassés une fois l’effondrement de l’économie engagé. Ainsi, lorsque logiquement les plus faibles plongeront avant les plus forts, les Etats dont les finances tiennent encore debout seront capables d’imposer à leurs désormais “vassaux” à peu près n’importe quoi, sans avoir en retour à leur apporter une quelconque aide de quelque ordre que ce soit. Non seulement les plus endettés devraient payer des amendes (mais ça on est habitués, c’est pareil à la banque), mais en plus, en leur supprimant le droit de vote, ils se verraient supprimer le seul droit qu’ils n’aient jamais possédé, celui de s’opposer aux grandes campagnes de lobbying financées par les grands argentiers de la planète.

    Cela n’annonce rien qui vaille en matière économique, et prouve encore, s’il en était besoin, que la crise est loin d’être terminée. Mais cela prouve aussi que cette crise ne déplaît pas à certains, qui pensent qu’une fois ces “petites modifications apportées”, l’Europe sera (enfin) capable de porter d’une seule voix, notamment lors du prochain G20 présidé par la France, un pays qui, concernant la liberté de la presse, se situe derrière la Papouasie-Nouvelle Guinée.

    Même si, à l”heure où j’écris ces lignes, le danger semble être momentanément éloigné, le fait d’avoir mis cette proposition sur la table va pousser à de âpres discussions, car les plus rapides à sacrifier leurs services publics voudront se garder une place “au chaud”, et surtout ne pas avoir à payer pour les plus mauvais élèves. Les tractations qui en résulteront pourraient très vite anéantir l’illusion d’union des 27 membre, et déboucher sur une crise politique dont les conséquences seraient décisives : en effet, derrière cette mise au pas de l’Europe derrière les quelques “puissances” responsables de ce”coup d’état” se profile un problème plus vaste, plus profond, à savoir la réforme du système monétaire international, un des points les plus importants à l’ordre du jour du prochain G20.

    A cette occasion il sera sans doute question de l’impossible équation sino-américaine à propos du dollar, et donc de la dette publique. Et par extension de la place que l’Europe veut tenir dans cette partie. En contrôlant l’Europe, les quelques pays qui dirigeront cette entité se mettent de facto dans le camp des Etats-Unis, avec pour soutien implicite la Russie, sans doute plus à même de s’allier avec l’Occident qu’avec les Chinois. on nous reparlera du “bancor“, sans savoir vraiment à qui il profite, mais certains que ce ne sera pas à nous…

    Peu à peu, le jeu se dévoile aux yeux de tous, mais personne ne semble vouloir regarder les choses en face : l’avenir du monde se joue en ce moment, et il se joue contre le peuple. Combien de temps faudra-t-il attendre encore ?

    Caleb Irri

    http://calebirri.unblog.fr

    par caleb irri (son site) samedi 30 octobre 2010


    L'Europe prête à modifier le traité de Lisbonne
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