• Un départ de Kadhafi serait le pire scénario pour la Libye


    TRIPOLI - Le porte-parole du gouvernement libyen Moussa Ibrahim a estimé mardi qu'un départ du dirigeant Mouammar Kadhafi, pressé par la communauté internationale de quitter le pouvoir, serait le pire scénario pour le pays.

    Un départ de Kadhafi (du pays) est le pire scénario pour la Libye, a indiqué M. Ibrahim au cours d'une conférence, mettant en garde contre une guerre civile.

    Si Kadhafi disparaît, la valve de sécurité disparaîtra, a-t-il ajouté, écartant à nouveau tout départ du pouvoir de Mouammar Kadhafi.

    M. Ibrahim a démenti par ailleurs que le président sud-africain ait négocié avec le Guide une stratégie de sortie, au cours de sa visite lundi à Tripoli.

    Jacob Zuma n'a jamais discuté d'une stratégie de sortie comme ceci a été décris dans la presse, a-t-il dit.

    Plus tôt, la présidence sud-africaine a indiqué que le colonel Kadhafi n'est pas disposé à quitter son pays malgré les bombardements de l'Otan et son isolement croissant.

    Lors d'une rencontre entre les deux hommes, le colonel Kadhafi a insisté sur le fait qu'il n'était pas disposé à quitter son pays, malgré les difficultés, selon un communiqué de la présidence.

    Le déplacement du président sud-africain a coïncidé avec une intensification des frappes de l'Otan, qui cherche à porter un coup fatal au régime libyen.


    (©AFP / 31 mai 2011 21h00)


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  • Finkytraining : Boniface se paie BHL


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  • Les USA entrent au gouvernement français (2005)

    Inconnue des Français, l’avocate Christine Lagarde  a été nommée ministre du Commerce extérieur dans le gouvernement de Dominique de Villepin. Il y a quelques jours encore, elle défendait les intérêts des multinationales états-uniennes contre ceux des entreprises françaises et européennes. Ses positions politiques s’accordent parfaitement avec son engagement militant au sein du CSIS, le think-tank du lobby pétrolier aux États-Unis.

    La composition du nouveau gouvernement français, annoncée le 2 juin 2005, étonne par son incohérence. Le Premier ministre, Dominique de Villepin, un gaulliste qui a acquis une stature internationale de premier plan avec son célèbre discours contre la guerre d’Irak devant le Conseil de sécurité, est flanqué d’un ministre d’État, Nicolas Sarkozy, soutien inconditionnel des États-Unis et d’Israël.

    Le ministère des Finances, lieu stratégique de la pénétration US, devient un bastion atlantiste. Le ministre de l’Économie, Thierry Breton, est membre d’un puissant think tank libéral, l’Institut Aspen, et administrateur de sa branche française. M. Breton s’est adjoint trois ministres délégués. Pour des raisons d’équilibre interne de la majorité présidentielle, François Loos est en charge de l’Industrie. Jean-François Copé est chargé du Budget et de la Réforme de l’État. C’est un « jeune leader » formé aux méthodes américaines de communication au sein de la Fondation franco-américaine par John Negroponte, actuel patron de l’ensemble des agences de renseignement US. Enfin, Christine Lagarde se voit confier le Commerce extérieur.

    Madame Lagarde est inconnue en politique. Brillante avocate, spécialisée en droit social, elle a rejoint, en 1981, le cabinet Baker & McKenzie à Chicago et a poursuivi toute sa carrière aux États-Unis. Tout en menant sa vie de femme, soulignent ses attachés de presse, elle a monté tous les échelons du premier cabinet mondial de droit des affaires (4 400 collaborateurs dans 35 pays) jusqu’à devenir membre de son Comité exécutif, puis à l’automne 2004 présidente de son Comité stratégique. En outre, en avril 2005, elle entrait au Conseil de surveillance de la multinationale néerlandaise ING Groep, une des principales sociétés financières au monde.

    Christine Lagarde figure en 5e position du classement des femmes d’affaires européennes établit par le Wall Street Journal et en 76e position du classement des femmes les plus puissantes du monde établit par Forbes.

    Éblouie par ce parcours exceptionnel, la presse française s’est abstenue de toute enquête sur la nouvelle ministre.

    Bien que cela ne figure pas sur sa biographie officielle, Madame Lagarde militait aux États-Unis au Center for Strategic & International Studies (CSIS) [3]. Au sein de ce think tank, elle co-présidait avec Zbigniew Brzezinski la commission Action USA/UE/Pologne et suivait plus particulièrement le groupe de travail Industries de défense USA-Pologne (1995-2002) et les questions liées à la libéralisation des échanges polonais. Or, dans ces instances, elle représentait les intérêts états-uniens contre ceux du Commerce extérieur français dont elle est aujourd’hui la ministre. En sa qualité d’avocate du cabinet Baker & McKenzie, elle poussait plus particulièrement les intérêts de Boeing et Lockheed-Martin contre ceux d’Airbus et de Dassault.

    En 2003, Christine Lagarde est également devenue membre, toujours au sein du CSIS, de la Commission pour l’élargissement de la communauté euro-atlantique aux côtés de son ami Brzezinki et de diverses personnalités dont l’ancien directeur de l’OMC Renato Ruggiero et l’ancien ambassadeur spécial pour la restitution des biens religieux en Europe centrale, Stuart Eizenstat. Cette commission s’est occupée des investissements possibles en Pologne, Slovaquie, Lettonie, Roumanie, République tchèque et Hongrie.

    Au sein de chacune de ces diverses commissions, un homme jouait un rôle central : Bruce P. Jackson, fondateur du Comité états-unien pour l’expansion de l’OTAN (US Committee for Expand NATO). Il représentait les intérêts de l’avionneur Lockheed Martin, dont il avait été vice-président. C’est au travers des relations nouées dans les commissions présidées par Christine Lagarde que M. Jackson monta le contrat du siècle : la vente, en avril 2003, de 48 chasseurs F-16 Lockheed-Martin à la Pologne pour 3,5 milliards de dollars. Cette transaction provoqua la consternation en Europe dans la mesure où le gouvernement polonais payait cette commande avec les fonds de l’Union européenne destinés à préserver son secteur agricole.

    Ce contrat était disproportionné par rapport aux besoins réels de la Pologne. En outre, la logique eut voulu que Varsovie s’équipe de Mirage 2000-5 MK2 Dassault ou de Jas-39 Saab en entrant dans l’Union.

    Cependant, ce contrat était indissociable de l’engagement de la Pologne dans la colonisation de l’Irak aux cotés des États-Unis, du Royaume-Uni et de l’Australie. M. Jackson était d’ailleurs le principal bailleur de fonds du Comité pour la libération de l’Irak (Committee for the Liberation of Iraq).

    Dans la continuité de ce marché, la Commission euro-atlantique de Madame Lagarde se donna comme mission « d’assister les entreprises polonaises pour améliorer leur capacité à devenir sous-traitants d’entreprises (notamment états-uniennes) qui ont remporté des marchés en Irak et en Afghanistan, et aussi pour la modernisation du système de défense polonais ».

    En supposant que Christine Lagarde ait abandonné ses fonctions précédentes sans l’intention d’y retourner, on pourrait admettre qu’elle ne se place pas dans un conflit d’intérêts. Cependant, au vu des positions politiques défendues par les groupes de travail qu’elle a présidé, on ne peut que constater qu’elle est en totale opposition avec la position française défendue par Dominique de Villepin à l’ONU.

    Enfin, les déclarations de la ministre, deux jours après sa nomination, ont choqué les syndicats français. Christine Lagarde s’est engagée à réformer le droit du travail qui, selon elle, « constitue souvent un frein à l’embauche et à un certain nombre de décisions d’entreprendre ». Toutefois, pour bien comprendre son point de vue, il importe de ne pas interpréter ses déclarations en les assimilants au discours du MEDEF, mais au regard des positions qu’elle a développées jusqu’ici. Elle fut en effet très active pour imposer le modèle anglo-saxon de droit social en Europe centrale et orientale. Son but était de promouvoir les intérêts des firmes états-uniennes, pas ceux du grand patronat de la vieille Europe.


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  • L’Egypte déclare la guerre au lobby sioniste mondial.

    La démonstration est faite au grand jour devant les peuples du monde.


    Au moment même où Israël vient de faire la démonstration que les USA sont leur valet dans la future organisation de l’ordre mondial, l’Egypte déclare la guerre, pour le moment diplomatique, à Israël en ouvrant de façon permanente l’odieux terminal de Rafah. Cela en appui avec les européens qui se déclarent prêts à accompagner ce mouvement pour la paix. Un véritable pavé dans la mare du sionisme mondial.

    La puissance du lobby sioniste mondial est maintenant à découvert. Le discours d’Obama demandant à Israël de revenir aux frontières de 1967 et d’accepter un état palestinien n’était que de la poudre aux yeux des nations libres. Son véritable projet a été démontré le lendemain en disant que son pays, USA, ferait tout pour garantir à Israël la supériorité militaire dans sa région. C’est une déclaration de guerre à peine voilée, on ne peut être plus clair. Cela démontre bien que la paix n’est pas une variable envisagée sérieusement par les états-majors occidentaux et qu’il faut bien au contraire se préparer à la guerre.

    Le lobby sioniste n’est bien sûr pas dominateur qu’aux USA, il domine aussi l’Europe et plus spécifiquement la France par l’intermédiaire du bureau parisien des B’nai B’rith la secte juive maçonnique d’influence qui a signé un pacte au plus haut niveau avec Albert Pike pour contrôler le monde. Une alliance entre les juifs, initiés et les wasps, initiés. Je précise initiés pour ne pas donner l’impression que tous les juifs et que tous les wasps tirent dans ce sens, même si bien évidemment dans la sphère publique ils seront OBLIGES de témoigner de leur solidarité.

    Une secte juive qui décide de l'orientation politique de la France.


    Vous avez lu? La modification des créneaux horaires pour les femmes ne vient pas des musulmans mais de la secte juive des Loubavitch! Celle-là même dont la ville de Paris finance des crèches pour ne pas mélanger ces juifs avec la racaille goy. Il est où le communautarisme raciste? Ouvrez les yeux!

    En France le lobby sioniste conditionne notre politique mondiale depuis des années. Le parti socialiste est son parti préféré puisqu’il y a ses entrées. C’est lui qui a financé son ascension politique. Mitterrand n’a pu que réussir avec son soutien, avant de s’en repentir proche de sa mort. Ce sera encore le cas aujourd’hui l’élu(e) socialiste, ou de gauche élargie, devra être franc-maçon et adoubé par le B’naï B’rith, la crème du lobby sioniste.

    On anticipe donc sur les effets de la déclaration égyptienne sur l’avenir du monde. Israël va-t-il céder à la pression? Que diront les USA? On peut faire le lien dès lors entre l’opération en cours en Libye qui permet aux forces de l’Otan de prendre pied sur le territoire africain de manière quasi-permanente, et surtout proche de l’Egypte. Exerçant ainsi comme une pression en tenaille sur ce pays s’il s’avisait d’aller trop loin dans la provocation anti-israélienne. C’est une hypothèse stratégique parmi d’autres. Le nouveau directeur de l’UPM (Union Pour la Méditerranée présidée par un binôme franco-égyptien) est un initié occidental. La nomination d’un vice-président chrétien parmi le mouvement religieux des Frères musulmans laisse augurer un avenir incertain. Quel jeu joueront réellement les Frères musulmans? Belliqueux avec Israël ou soumis? En tout cas la soumission apparente (?) aux codes internationaux de la démocratie, pouvoir civil et laïque, ne laisse entendre que deux options possibles: soit l’Islam a choisi d’accepter les dogmes occidentaux du moins en surface pour faire baisser la pression, soit c’est une vraie reprise en mains de l’Islam qui est commencé dans ce pays ô combien influent qu’est l’Egypte.

    L’avenir nous le dira. Le présent c’est donc cette déclaration d’ouverture du blocus de Gaza qui est une insulte aux droits humains dont la défense n’est évidemment pas une spécialité des sionistes qui considèrent toutes les autres races autres que juives (oui oui pour eux juif est une race) comme des sous-races dignes d’extermination. Ceci dans les plus hautes sphères dirigeantes même en occident comme nous l’a montré cette déclaration d’Attali prise en petit comité. Grâce aux technologies nul n’est à l’abri finalement eux comme nous. On comprend mieux dès lors leur volonté de contrôler internet qui peut être l’arme qui sera utilisée contre eux.

    Certes ils nous manipulent nous désinforment et exploitent nos préjugés pour nous mener sur leur chemin de pensée et d’action. Nous verrons bien. Certains d’entre nous se réjouissent des révolutions arabes en cours, moi je fais partie avec d’autres des sceptiques. Leur acceptation officielle au plus haut niveau ne peut cacher qu’une collusion à mon sens. Une collusion non pour une démocratie populaire mais pour un empire sioniste.
    Et si finalement la déclaration d’ouverture de Rafah n’était-il pas un moyen de précipiter la guerre mondiale, finale, entre l’Islam et le sionisme?

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  • Greenpeace met en garde contre une grave contamination marine 

    30/05/2011 10:17 (Par Jean-Charles BATENBAUM)

    Greenpeace met en garde sur les conséquences «sévères» que ces niveaux de radioactivité pourraient avoir sur la vie marine «et sur tous ceux qui en dépendent».

    Le 26 Mai dernier, Greenpeace a révélé les résultats des analyses effectuées sur des échantillons marins en provenance de la côte de Fukushima.

    Selon l’organisation, le taux de radioactivité constaté dans les algues, pourtant prélevées en dehors des eaux territoriales japonaises (à plus de 22 km des côtes), est 50 fois supérieur à la limite autorisée.


     

    Une mission du Rainbow Warrior, le navire de Greenpeace, a permis de collecter algues, poissons et coquillages au large de la centrale nucléaire de Fukushima, qui ont ensuite été analysés par des laboratoires belges et français.

     


    Greenpeace met en garde sur les conséquences sévères que ces niveaux de radioactivité pourraient avoir sur la vie marine et sur tous ceux qui en dépendent

    Le résultat des tests est pire que ce à quoi s’attendaient les membres de Greenpeace. Même en dehors des eaux territoriales japonaises, les taux d’iode 131 et de césium 137 et 134, éléments radioactifs, dépassent, parfois plus de cinquante fois, les seuils tolérés. «Ces résultats montrent que la contamination se propage sur de longues distances, et que la radioactivité ne diminue pas par dilution ou dispersion comme le prétendent les autorités», commente Sophia Majnoni, chargée de campagne nucléaire pour Greenpeace.

    Selon Greenpeace, le gouvernement a fait une grave erreur en supposant que l'absence de données signifiait qu’il n’y avait pas de problème. Le Japon doit maintenant prendre ses responsabilités et mettre en place un programme de surveillance global et continu de l'environnement marin et rendre l’information accessible à tous. »

    Greenpeace met en garde sur les conséquences «sévères» que ces niveaux de radioactivité pourraient avoir sur la vie marine «et sur tous ceux qui en dépendent». «La contamination des aliments est l’une des sources les plus dangereuses d’exposition à la radioactivité, ajoute Sophia Majnoni. Les Japonais ont le droit de savoir comment la centrale nucléaire de Fukushima affecte leur vie afin de pouvoir se protéger et protéger leurs familles. Les autorités japonaises doivent être complètement transparentes sur la contamination radioactive.»


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  • Le président Karzaï qualifie de "meurtre" la mort de 14 civils afghans par l'Otan

    Le président afghan Hamid Karzaï a qualifié dimanche de "grave erreur" et de "meurtre" la mort samedi de 14 civils dans une frappe aérienne américaine et a lancé "un dernier avertissement aux troupes et responsables américains", sommés de cesser leurs opérations "unilatérales".

    14 civils afghans, dont une majorité d'enfants, ont été tués samedi lorsque des hélicoptères, venus aider une position de l'Otan attaquée par des insurgés, ont tiré des roquettes sur deux maisons dans le Helmand, selon les autorités de cette province méridionale, bastion des talibans où la coalition a enregistré ses plus lourdes pertes depuis le début du conflit fin 2001.

    "Il a été dit de façon répétée aux Etats-Unis et à l'Otan que leurs opérations unilatérales et inutiles causaient la mort d'Afghans innocents et (...) violaient les valeurs humaines et morales, mais il semble qu'ils n'écoutent pas", a déclaré M. Karzaï, cité dans ce communiqué officiel au ton inhabituellement virulent. M. Karzaï a mis en cause "les troupes américaines" dans la mort de ces civils, alors que les autorités provinciales du Helmand n'avaient évoqué que des hélicoptères de l'Otan sans plus de détails. Le chef de l'Etat afghan a précisé que dix enfants, deux femmes et deux hommes avaient été tués et que six civils avaient été blessés dans cette frappe. Des images télévisées ont montré des hommes portant des cadavres d'enfants couverts de poussière et les présentant aux journalistes.

    Selon le général américain John Toolan, les hélicoptères de l'Otan, appelés en renfort, ont ouvert le feu sur un complexe dans lequel cinq insurgés avaient pris position après avoir attaqué une patrouille de l'Isaf et d'où ils continuaient à tirer.

    Malheureusement, nous avons découvert plus tard que le complexe, occupé à dessein par les insurgés, hébergeait des civils innocents, a poursuivi le général Toolan.


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  • Un typhon pourrait frapper la région de Fukushima

    Il s'appelle Songda. C'était un typhon, mais il a été rétrogradé en dépression. N'empêche. Il se dirige vers le nord-est du Japon, cette région déjà dévastée par le séisme du 11 mars et où se tyrouve la centrale nucléaire de Fukushima.

    Le typhon s'est affaibli. Il a donc été classé en dépression. Mais les services météo craignaient toujours des pluies violentes sur la région dévastée par le séisme et le tsunami du 11 mars. Il est attendu au-dessus de Tokyo lundi à 9 h (2 h à Paris).

    De grosses pluies attendues sur les régions dévastées le 11 mars
    Ce dimanche, les services météo n'étaient pas encore en mesure de préciser si la tempête allait frapper de plein fouet la centrale nucléaire Fukushima, déjà gravement endommagée lors du tremblement de terre et du tsunami géant du 11 mars. "Mais on craint qu'elle provoque de grosses pluies sur la côte pacifique de l'île de Honshu, y compris sur la région dévastée par les catastrophes", déclarait un responsable de l'Agence japonaise de météorologie.

    La centrale de Fukushima sous haute surveillance
    La tempête a d'ores et déjà causé des pluies violentes sur la région de Fukushima, soulevant des inquiétudes sur le déversement dans l'océan Pacifique d'eaux de pluies contaminées. L'opérateur de la centrale, Tepco, a recouvert le complexe nucléaire de résines synthétiques afin d'éviter que des dépôts radioactifs soient emportés par le vent ou la pluie.

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  • La distorsion démocratique


    Franck ABED reçoit Maitre COLLARD por GENERATIONFA


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  • La Grèce sous pression maximale 

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    Par Claire Gallen

    « Le FMI ne peut agir pour débloquer une tranche de prêts que lorsqu'il y a une garantie de refinancement pour les douze mois suivants », a souligné Jean-Claude Juncker.
    « Le FMI ne peut agir pour débloquer une tranche de prêts que lorsqu'il y a une garantie de refinancement pour les douze mois suivants », a souligné Jean-Claude Juncker. Crédits photo : © STRINGER Belgium / Reuters/REUTERS

    L'Union européenne et le FMI pourraient bloquer la prochaine aide prévue. Au risque de la «banqueroute», prévient Athènes. 
    » Sarkozy rejette une restructuration en Grèce

    La pression s'accroît sur la Grèce. Sommée par ses partenaires d'accélérer ses réformes, Athènes se voit aussi menacé d'un possible gel de l'aide du FMI en cas de manque de garanties financières.

    Vendredi, les partis politiques locaux ont échoué à s'entendre sur un nouveau plan d'austérité. Le peuple grec «ne doit pas être prisonnier d'un chantage», a lancé le Parti communiste à l'issue d'une réunion de crise convoquée par le chef de l'État. Les représentants des for­mations politiques devaient se ­prononcer sur un programme de rigueur mêlant accélération des privatisations - télécoms, Banque postale - et coupes budgétaires à hauteur de 6 milliards d'euros. L'opposition conservatrice avait rejeté à l'avance le plan.

    Ce programme est pourtant un préalable au déblocage, fin juin, de la cinquième tranche de 12 milliards d'euros sur les 110 milliards de prêts consentis l'an dernier. Une mission de la troïka BCE-UE-FMI envoyée sur place devrait rendre son verdict dans les jours à venir. «Il y a des règles spécifiques au FMI et l'une de ces règles est que le FMI ne peut agir pour débloquer une tranche de prêts que lorsqu'il y a une garantie de refinancement pour les douze mois suivants», a souligné jeudi soir le patron de l'eurogroupe, Jean-Claude Juncker. Une règle confirmée à Washington par une porte-parole du Fonds : «Nous ne prêtons jamais si nous n'avons pas l'assurance qu'il n'y a pas de rupture dans le financement.» Or la Grèce doit théoriquement retourner dès 2012 sur les marchés pour lever 30 milliards d'euros - une hypothèse de plus en plus irréaliste, compte tenu des taux prohibitifs qu'elle devrait affronter. Bref, l'horizon s'obscurcit.

    Une «part du fardeau» pour les banques 

    Si le FMI n'obtient pas les assurances nécessaires au déblocage de son prêt, le problème tournerait au casse-tête, le Fonds estimant qu'il reviendrait aux Européens de prendre en charge cette part de l'aide. «Ce ne sera pas possible car dans certains Parlements nationaux, en Allemagne, en Finlande, aux Pays-Bas et dans d'autres pays, on n'est pas prêts à faire cela», a prévenu Juncker. Dimanche, le premier ministre grec, Georges Papandréou, a averti qu'un refus de versement équivaudrait «selon toute probabilité à la banqueroute» du pays. Un saut dans l'inconnu pour l'ensemble de la zone euro.

    «Nous soutiendrons l'euro et la solidarité à l'intérieur de la zone euro», a affirmé vendredi Nicolas Sarkozy à l'issue du G8. Le président français a redit écarter toute restructuration de la dette grecque… tout en se disant prêt à «réfléchir» à ce que les «banques privées» créancières «puissent prendre une part du fardeau», comme l'Allemagne le réclame. La frontière entre ces deux options est ténue.


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