• Selon le journal britannique The Independent un plan de sauvetage à la grecque pour l’Espagne devrait être inévitable avant décembre.


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  • Crise : l'Espagne entame une diète "très sévère"

    Mariano Rajoy

    Mariano Rajoy / AFP

    Le gouvernement espagnol a présenté vendredi un projet de budget draconien pour 2012 dans l'espoir de réduire son déficit budgétaire et d'apaiser les marchés obligataires. L'effort d'assainissement budgétaire annoncé par Madrid prévoit de réduire le déficit du gouvernement central de 27 milliards d'euros pour le reste de l'année en cours, ce qui représente 2,5% du produit intérieur brut (PIB). Ce chiffre inclut des hausses d'impôts et des coupes dans les dépenses - pour un montant total de 15 milliards d'euros - déjà dévoilées fin décembre. Les ministères devront réduire leurs dépenses de près de 17% et les traitements des fonctionnaires seront gelés en 2012.

    Quelle voie entre la récession et l'explosion de la dette ?
      
    Ce budget "très sévère", selon les termes employés mardi par le président du gouvernement, Mariano Rajoy, a été dévoilé au lendemain d'une vaste grève générale contre l'austérité qui a paralysé une partie du pays et dégénéré à Madrid et Barcelone.
       
    L'Espagne serait à nouveau entrée en récession au premier trimestre et affiche le taux de chômage le plus élevé de l'Union européenne, avec 23%. Dans ce contexte tendu, le gouvernement est pris entre le risque de plonger encore plus le pays dans la récession et celui de voir le coût de sa dette s'envoler s'il ne maîtrise pas les comptes publics.
     
    Le cabinet conservateur, arrivé au pouvoir en novembre fort de la plus large majorité au Congrès des députés depuis trente ans, a déjà fait adopter des réformes du code du travail et du secteur bancaire dans le but de réduire le coût de l'emploi salarié et améliorer la compétitivité.

    Mariano Rajoy a obtenu le mois dernier une concession de la Commission européenne, qui a accepté de ramener l'objectif de déficit public pour cette année à 5,3% du produit intérieur brut (PIB) contre 4,4% auparavant.

    Mais l'Espagne, dont le déficit a atteint 8,5% du PIB l'an dernier, est désormais sous surveillance des marchés, comme l'illustrent les tensions sur le rendement de sa dette à long terme, et doit toujours revenir sur le seuil des 3% du PIB en 2013.

    "L'Espagne sur une pente glissante"

    Le gouvernement compte ramener le déficit du gouvernement central à 3,5% du PIB cette année, celui des régions à 1,5% et celui des autres collectivités locales à 0,3%, a annoncé le ministre du Budget, Cristobal Montoro. Les comptes de la Sécurité sociale seront équilibrés cette année, a-t-il ajouté.
       
    Les régions ont annoncé un déficit de 2,9% du PIB en 2011, qu'il leur faudra réduire d'environ 15 milliards d'euros cette année si elles veulent atteindre l'objectif fixé par Madrid.
       
    Le gouvernement n'a guère donné d'autre détail sur son projet de budget qu'il présentera mardi devant le parlement, mais certains économistes s'inquiètent de ces mesures d'austérité qui risquent de plomber encore la croissance et par contrecoup remettre en cause les objectifs de baisse du déficit.

    "L'Espagne est sur une pente très, très glissante désormais (...) Le risque pays spécifique refait surface, l'Espagne est confrontée à des problèmes structurels et il faudra des années et des années pour les résoudre. Ce paquet fiscal est auto-destructeur", estime Nicola Spiro, du cabinet de consultants spécialisé dans les risques souverains Spiro Sovereign Consulting.

    http://www.rtl.fr/actualites/economie/article/crise-l-espagne-entame-une-diete-draconienne-7746117372


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  • film_goulon_1 por Scriptomaniak


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  • Billets d'auteur - Société

    lunenoireNous n’aimons guère notre  époque, ou, plus exactement, notre époque ne nous aime guère. Depuis des décennies, la société mondialiste qui nous est vendue comme promesse de paradis terminal, de fin de l’Histoire béate, ne fait plus illusion auprès des observateurs un tant soit peu critiques, des hommes de bon sens qu’on rejette dans le camp de l’ennemi en les appelant « réactionnaires ». Le vaste supermarché global, pacifié et unifié, recèle d’insondables horreurs derrière les sourires figés des hordes d’homo oeconomicus qui arpentent les allées. La société mondialiste n’a pas besoin d’hommes, elle n’a besoin que de consommateurs, d’humains réduits à leurs plus basses fonctions d’absorption, d’assouvissement des pulsions et des désirs mimétiques. En cela, cet Empire du Bien dont parlait le regretté Philippe Muray est un totalitarisme. Totalitarisme doux ou mou, certes, mais totalitarisme tout de même, dans ses procédés comme dans ses objectifs. L’Empire veut donc produire à la chaîne des consommateurs, des hommes dociles, souples à l’injonction. Pour ce faire, les déraciner est indispensable, charnellement et spirituellement. Au cœur de cette entreprise nihiliste, la culture est la cible prioritaire. Il faut faire en sorte que les personnes ignorent de plus en plus qui elles sont : on effacera donc d’abord leur histoire, on les privera de chronologie ; on dissoudra leurs traditions, rejetées dans les Ages Sombres d’avant le Village global ; on leur coupera l’accès aux œuvres artistiques et techniques, fruits du génie des leurs ancêtres ; on détruira toute échelle de valeur et de comparaison, sapant l’esthétique et le goût. On les rendra étrangers à leur propre langue, inaptes à l’expression de la pensée et de l’émotion, donc inaptes à être des hommes, ces singuliers animaux faits à l’image du Créateur. On en fera des zombies dénués de toute arme et de toute stratégie pour s’opposer à l’ablation de leur âme et à leur disparition à terme.


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    13 000 euros de dommages et intérêts, une interdiction de diffusion assortie d'une amende de 1000 euros par jour tant que le film ne sera pas retiré du web : voici ce que risque Dieudonné avec "L'Antisémite".
     

    Dieudonn%c3%a9+et+%22L%27Antis%c3%a9mite%22+censur%c3%a9s+%3f

     
    Nouveau rendez-vous entre Dieudonné et la justice !! Et cette fois-ci, c'est grâce à (ou à cause de) L'Antisémite, sa première réalisation, qui aura les honneurs du circuit VOD, à défaut de passer par les salles obscures. Mais les choses pourraient encore changer, puisqu'un avocat de la LICRA (Ligue Internationale Contre le Racisme et l'Antisémitisme) demande à ce que le film soit censuré. L'humoriste encourt donc 13 000 euros de dommages et intérêt, assortis de 1000 euros d'amende par jour où L'Antisémite sera encore disponible en ligne. Verdict le 3 avril.

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