• Publié le 31.07.2012, 11h35 | Mise à jour : 12h01

    La crédibilité de l'Espagne sur les marchés a été une nouvelle fois mise à mal mardi alors que la Catalogne, l'une de ses régions les plus riches, a admis rencontrer d'importantes difficultés pour se financer et pourrait avoir besoin d'une aide du gouvernement.

    La crédibilité de l'Espagne sur les marchés a été une nouvelle fois mise à mal mardi alors que la Catalogne, l'une de ses régions les plus riches, a admis rencontrer d'importantes difficultés pour se financer et pourrait avoir besoin d'une aide du gouvernement. | AFP/Josep Lago

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    Le catalan, en butte à de lourdes difficultés financières, a annoncé mardi qu'il ne verserait pas en juillet les subventions aux organismes sociaux, comme les résidences pour personnes âgés ou les hôpitaux.
    «C'est un problème de liquidité», a expliqué une porte-parole du ministère de l'Economie catalan, en ajoutant que la situation «commencerait à revenir à la normale en septembre».
     

    Le gouvernement régional n'a pas précisé le montant des subventions qui ne pourraient être versées, mais selon le quotidien El Pais, il s'agirait de 400 millions d'euros, destinés aux hôpitaux, centres pour handicapés, résidences pour personnes âgées ou centres d'accueils pour mineurs.

    100 000 salariés privés de salaires

    Environ 100.000 salariés pourraient ainsi être privés de leurs du mois de juillet, selon la Confédération des associations du secteur social, qui réunit environ 800 organisations.
    La Confédération a immédiatement réagi en se déclarant "alarmée", rappelant que le secteur de la était déjà fortement affecté par les coupes budgétaires décidées depuis l'an dernier par le gouvernement régional.
    La Catalogne, riche région du nord-est de l'Espagne, qui contribue pour environ un quart du PIB de l'Espagne, avait admis le 24 juillet vivre «de fortes tensions de liquidités depuis un an».
    Une porte-parole du gouvernement régional avait alors expliqué que la Catalogne allait «étudier les conditions du fonds de liquidité régionale», récemment mis en place par Madrid afin de venir en aide aux régions du pays en difficulté.
    Selon le site d'informations El Confidencial, la région fait face à des échéances de dette de 13,47 milliards d'euros sur l'année 2012 et cumule une dette nette totale de 48 milliards.

    LeParisien.fr


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  • "Dans cette société de l'accusation perpétuelle et de l'expiation tapageuse qui arraisonne à tour de bras les fameuses heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire, je me prends parfois à rêver d'une mémoire sans oriflamme ni destrier, d'une mémoire pédestre, modeste, discrète, silencieuse ou qui ne fasse pas d'autre bruit que celui des pages que l'on tourne dans le colloque singulier de la lecture.
    Mais ceci n'est pas une solution non plus. Car la Shoah est un événement à la fois unique et paradigmatique et nous nous devons, à ce double titre, d'être affectés collectivement par lui."
     
    Souligné par nous. 
     
    Joli, non ? 
     
    Vous trouverez d'autres perles comparables dans le livre d'Alain Finkielkraut, L'Interminable écriture de l'Extermination (Stock, 2010).
    http://blanrue.blogspot.com.es/

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  • Trois bâtiments de guerre chinois viennent de traverser le canal de Suez pour appareiller vers la Syrie. selon e site d’information égyptien Al Bachaer al Vafd citant des sources égyptiennes basées à Suez, deux destroyers et un navire sont ainsi entrés en Méditerannée et devront bientôt accoster en Syrie.

    Des destroyers quingb 133 et noauio 83 transportent une charge de 4 tonnes et le navire waishqnhu avec un son bord 11 000 tonnes de charges ont traversé le canal alors qu’ils étaient escortés.

    Au moment du passage, les bateaux et embarcations se sont arrêtés tout comme les camions et les voitures sur les ponts juxtaposants le canal.


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  • L’état-major des forces armées russe a lancé un avertissement, vendredi, aux rebelles et à l’opposition au gouvernement syrien, pour annoncer qu’elle réagirait, avec fermeté, pour donner une « réponse appropriée » à toute velléité d’agression contre le port syrien de Tartous.

    Selon l’IRNA, un porte-parole de l’armée russe a annoncé que Moscou était prêt à défendre les installations de sa base logistique, dans le port syrien de Tartous.

    Ce porte-parole militaire russe a conseillé aux rebelles de ne pas s’approcher de la base maritime de Tartous. Il a ajouté que les forces militaires syriennes avaient pris, pour leur part, les mesures nécessaires, pour protéger la base navale de Tartous.

    La Russie a expédié, récemment, 10 bâtiments de guerre en Méditerranée. Par ailleurs, le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Gennady Gatilov, a déclaré, vendredi, devant l’Assemblée générale des Nations Unies que le renouvellement des propositions portant sur des sanctions contre le gouvernement syrien serait inadmissible pour Moscou.


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  •   28/07/2012



    L’Égypte a accepté d'ouvrir la frontière avec la bande de Gaza (BG) près de la ville de Rafah pour 12 heures chaque jour. Cela a été annoncé ce samedi par le chef de l'administration du Hamas dans la BG Ismail Haniyeh.

    Selon lui, ils ont réussi à d'obtenir des autres arrangements avec les autorités égyptiennes. Le nombre de Palestiniens autorisés à traverser la frontière a été augmenté jusqu'à 1.500 personnes par jour. Pour la première fois depuis 2005, le poste frontière de Rafah sera ouvert pendant une si long période. Le gouvernement a également décidé d'augmenter le montant du pétrole fournis de l’Égypte à la bande de Gaza.
     

    http://french.ruvr.ru/2012_07_28/Egypte-frontiere-Bande-de-Gaza/ http://french.ruvr.ru/2012_07_28/Egypte-frontiere-Bande-de-Gaza/


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  • Espagne : manifestations d'écologistes contre une réforme de la loi littoral


    BARCELONE (Espagne) - Pour une côte sans béton: comme à Barcelone, des groupes d'écologistes ont manifesté sur plusieurs plages d'Espagne samedi contre le projet de réforme de la loi littoral qui menace, selon eux, l'environnement.

    Plus de 200 organisations avaient appelé à une journée d'action pour la défense du littoral dont Greenpeace, le WWF (fonds mondial pour la nature), Ecologistes en Action, les Amis de la Terre ou encore BirdLife, dans le cadre d'une plateforme .

    Elles entendent dénoncer un projet de réforme présenté le 13 avril et qui implique un retour en arrière sur le niveau de protection de la bande côtière, détruit les garanties de protection de l'environnement actuelles, tolère des constructions illégales et privatise plusieurs tronçons de la côte espagnole.

    Non à la réforme de la loi littoral, proclamaient aussi une banderole jaune des manifestants à Barcelone (nord-est de l'Espagne) et dans d'autres lieux très touristiques comme la plage d'El Medano à Tenerife ou celle de Palmeral à Almeria, et d'autres villes comme Valence, Cope ou encore Majorque.


    (©AFP / 28 juillet 2012 20h49)

    L'Espagne privatisera ses chemins de fer en 2013

    Samedi 21.7.2012. 15:00h Pour remédier à une dette de 20,7 milliards d'euros affichée par son service public ferroviaire, l'Espagne a choisi de privatiser sa compagnie nationale, la Renfe, tout en la scindant en quatre. Cette mesure est saluée par le gouvernement catalan, qui revendique le succès de sa propre société ferroviaire, Ferrocarrils de la Generalitat.

    La compagnie nationale des chemins de fer espagnols, Renfe, sera privatisée en juillet 2013 et donnera lieu à la création de quatre sociétés distinctes. La marque Renfe conservera sa force de référence, tandis que ses activités relatives aux voyageurs, aux marchandises et à la logistique, à la fabrication, à la maintenance et à la location, feront l'objet de redistributions. Cette décision, confirmée le 20 juillet par un décret royal approuvé par le ministère des Transports, doit libérer l'Etat Espagnol d'une gestion fastidieuse. En effet, les trois entreprises ferroviaires publiques espagnoles, Renfe, Feve et Adif, cette dernière en charge de la construction de la Ligne à Grande Vitesse Barcelone-La Jonquera, accumulent une perte de 447 millions d'euros et une dette de 20,7 milliards. La libéralisation permettra d'amputer le budget public de 2,5 milliards d'euros par an, et de transférer les tracasseries d'un certain manque d'efficacité, notamment de ponctualité des trains, au secteur privé. Selon la ministre Ana Pastor, pour laquelle "il faut rationaliser et améliorer le service", cette mesure concernera les chemins de fer conventionnels et les Lignes à Grande Vitesse, dans une exigence de "pertes zéro" en matière budgétaire. Dans le détail, 52 services de moyenne distance à fréquentation inférieure à 15 % et 176 gares en sous-régime feront les frais de l'austérité. Dans certains cas, des lignes TGV devant accueillir un convoi toutes les 5 minutes, mais n'en recevant qu'un seul par demi-heure, seront réétudiées.

    La Catalogne met en avant son propre modèle ferroviaire

    En Catalogne, cette évolution libérale est saluée par le ministre-conseiller du Territoire, Lluís Recoder, qui assure que l'ensemble des lignes de train gérées par le gouvernement catalan est rentable. Celles-ci, confiées à l'entreprise publique catalane "Ferrocarrils de la Generalitat de Catalunya", mériterait cependant, selon lui, une aide de l'Etat, afin de renforcer la fréquentation de certaines de ces lignes, dans un critère de développement durable.


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  • http://www.leparisien.fr/international/syrie-le-conflit-reveille-les-vieilles-haines-au-nord-liban-28-07-2012-2105394.php

    Timothée Boutry, envoyé spécial à Tripoli (Liban) | Publié le 28.07.2012, 08h22

    
tripoli (liban), lundi. Vue du quartier sunnite de Bab al-Tabbaneh depuis les escaliers qui descendent du quartier alaouite de Jabal Mohsen. Le conflit en Syrie
a ravivé les tensions entre les deux communautés : quarante personnes ont été tuées.

    tripoli (liban), lundi. Vue du quartier sunnite de Bab al-Tabbaneh depuis les escaliers qui descendent du quartier alaouite de Jabal Mohsen. Le conflit en Syrie a ravivé les tensions entre les deux communautés : quarante personnes ont été tuées.

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    Les balançoires sont vides, les détritus s’amoncellent autour du terrain de foot et les fresques murales enfantines sont criblées d’impacts de balle. Ce n’est plus un terrain de jeu, c’est une ligne de front. A Tripoli, la principale ville du Nord-Liban, la fracture entre les quartiers pauvres de Jabal Mohsen et de Bab al-Tabbaneh est ancienne, mais l’insurrection en Syrie a sérieusement réveillé la haine.

     

    Et pour cause : perché sur une colline, Jabal Mohsen rassemble la grande majorité des 110000 Alaouites (la minorité chiite à laquelle appartient le syrien Bachar al-Assad) qui vivent au Liban. Au pied, Bab al-Tabbaneh est un fief sunnite tenté par l’islamisme.


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