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  • La composition du groupe aéronaval pose plusieurs questions. En effet, il est composé, outre du Charles de Gaulle, de la frégate de défense aérienne  « Chevalier Paul », de la frégate anti-sous-marine « La Motte-Picquet », du bâtiment de commandement et de ravitaillement « Marne » et d’un sous-marin nucléaire d’attaque. La question est simple et professionnelle : que vient faire ici une frégate anti-sous-marine? Daesh n’a, que l'on sache, pas de forces navales, et encore moins de sous-marins. Même question pour le sous-marin nucléaire d’attaque. Un tel sous-marin sert en principe à la lutte anti-sous-marine et à la lutte anti-navires dans le cas de blocus ou de protection d’une flotte. Daesh a t-il donc des navires et/ou des sous-marins que l'on nous aurait cachés ?


    Il y a deux hypothèses de réponse :  soit le matériel sort « pour sortir », faire tourner les machines en situation de guerre, cela peut se justifier, soit François Hollande a en tête autre chose qu’une « simple » campagne aérienne de bombardements contre Daesh, c'est-à-dire qu'il envisage une confrontation avec la flotte syrienne et donc avec la flotte russe, la Russie étant alliée à la Syrie à la demande du Président Assad. On notera d'ailleurs en passant que Vladimir Poutine a ordonné à l’Etat Major russe de contacter le groupe aéronaval quand il sera sur zone, pour coordonner leurs actions. Vu qu’il était prévu que le groupe se mette sous commandement américain, cela paraît assez surréaliste à gérer pour les Français, pour qui, obéir à Washington ne pose aucun problème de conscience surtout pour le capitaine de frégate, commandant le sous-marin nucléaire d'attaque Améthiste,Philippe Naudet

    Hollande, Fabius, Le Drian ont-ils l’intention d’attaquer les forces syriennes parallèlement à Daesh ? Il va sans dire que dans ce cas de figure, on sortirait complètement du cadre de la large coalition proposée par la Russie depuis plusieurs semaines et on serait finalement en plein casus belli par rapport à Moscou et à la parole donnée en apparence, par les Français

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  • source : http://www.letemps.ch/

    La visite du président(hélas) français n’a pas débouché sur de grandes avancées

     

    La convergence antiterroriste créée par les attentats de Paris et du Sinaï s’effrite à cause de la brusque montée de tension entre la Turquie et la Russie. Les divergences sur le sort d’Assad et sur la définition des groupes terroristes demeurent entières.

    Retour à la case départ? Après trois heures de discussions en tête à tête, puis élargies, François Hollande et Vladimir Poutine n’ont pas montré d’avancées significatives sur le dossier syrien. Durant les premiers échanges entre les deux hommes, devant la presse, Poutine a rappelé que les deux pays ont récemment été frappés par le terrorisme. Formulant l’objet de sa visite – «nous devons intensifier nos actions contre le terrorisme de Daech» –, Hollande a abondamment tutoyé Poutine. «C’est pourquoi je suis à Moscou avec toi, atteindre ce but et chercher une solution politique pour la Syrie.»
    Selon une source diplomatique française, la France attend un engagement du Kremlin dans ce processus qui «recrédibilise le processus de Vienne», c’est-à-dire le règlement politique d’un conflit qui a fait 300 000 morts. «Nous voulons des engagements clairs, suivis d’actes. Il faut qu’ils s’engagent contre l’Etat islamique et pas contre l’opposition à Assad, comme ils continuent à le faire. Il y a déjà un progrès puisque jusqu’à la semaine dernière, seuls 15% de leurs bombardements visaient Daech. Aujourd’hui, c’est 50%», note la source diplomatique.

    Lire l'éditorial. En Syrie, quelques formules incantatoires

    L’autre question de désaccord concerne l’alignement de Poutine sur la position iranienne, qui rejette un départ forcé du président syrien. François Hollande a fait un pas en direction du camp russo-chiite en levant le départ d’Assad comme précondition à un règlement politique. Mais son départ reste indispensable au terme du processus, insiste Paris.

    Contexte très tendu

    «Je ne pense pas que les Russes souhaitent rester longtemps en Syrie. Ils n’ont pas pour ambition de devenir la garde prétorienne d’Assad. Ils sont prisonniers des chiites, or s’ils veulent compter dans la région, ils doivent trouver des points d’appui chez les sunnites», poursuit la source diplomatique.

    Lire également : Négocier avec Bachar el-Assad? Question de vie ou de mort

    La seconde visite de François Hollande à Moscou cette année intervient dans un contexte très tendu. Les relations entre Moscou et Ankara (allié de la France dans le cadre de l’OTAN) se sont brutalement dégradées après que l’aviation turque a abattu un bombardier russe. Vladimir Poutine a exigé jeudi des excuses turques. Recep Tayyip Erdogan a refusé de s’excuser.

    La crispation a débouché sur le déploiement en Syrie de batteries de missiles S-400 par la Russie et de nouveaux bombardements dans le nord de la Syrie sur des groupes armés proches d’Ankara et luttant contre l’armée régulière de Bachar el-Assad. A Moscou, des manifestants ont vandalisé l’ambassade de Turquie. L’escalade prend une tournure économique avec une série de sanctions préparées par le gouvernement contre les importations de biens turcs. Ce sont plus de 30 milliards de dollars d’échanges annuels qui sont en jeu. Les touristes russes en Turquie sont invités à rentrer et les agences de voyages sont sommées de stopper toute vente de tour vers ce qui était encore hier la destination préférée des Russes. Moscou envisage de réduire l’usage de la main-d’œuvre turque


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    Pour ceux qui n'ont pas le temps, voici une vidéo qui regroupe les interventions de Francis Cousin sur le terrorisme. L'ensemble des vidéos de Francis Cousin ici : http://www.faux-derches.com/rubriques...
    ou sur la chaîne bhû: https://www.youtube.com/channel/UCDQ1...


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  • Plusieurs journalistes participant à un voyage de presse à l’initiative de l’Australia/Israel and Jewish Affairs Council (AIJAC) ont pu visiter le Ziv Medical Centre, à Zefat (Nord d’Israël). L’hôpital dispose d’un service spécialisé dans la traumatologie de guerre. Il est conventionné avec les Forces de Défense d’Israël. Dans ce cadre, il traite des « réfugiés » syriens.

    Tandis que le reste du groupe (le rédacteur en chef adjoint du Daily Telegraph, Ben English ; le journaliste de Seven News, Alex Hart ; le reporter politique de Sky News, David Lipson ; le rédacteur en chef de l’Australian Financial Review, Aaron Patrick ; le chef de rubrique politique du Sydney Morning Herald et de The Age, Bevan Shields) suivait les organisateurs, une célèbre journaliste de News Corp, Sharri Markson, s’attarda avec des patients pour recueillir leur témoignages. Elle pu ainsi vérifier que plus de 500 d’entre eux sont des membres d’Al-Qaïda [1], blessés durant les combats en Syrie. Elle était en train de noter des détails sur la manière dont ils sont transférés en Israël pour y être soignés, puis renvoyés poursuivre le jihad en Syrie, lorsqu’elle a été interpellée par des officiers de sécurité.


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    Journaliste d’investigation indépendant, Jean-Loup Izambert a publié le premier tome de son ouvrage, "56, l’Etat français complice de groupes criminels".
    Il nous explique comment des filières terroristes bénéficient de la tolérance voire de la complicité et des financements des dirigeants français depuis plus de 25 ans… Il revient sur l’organisation des Frères Musulmans, colonne vertébrale du terrorisme islamiste dans le monde entier. 

     


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    syrie - Goupes terroristes

     

    Combattants arborant les drapeaux de l’ASL ( 3 étoiles), d’al-Qaida, de l’Isis, d’al-Nosra… Photo : DR


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