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  • Un reporter allemand amateur s’est rendu à la frontière entre la Serbie et la Macédoine pour recueillir des images des immigrés clandestins et de leur prise en charge :

     


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  • Certes, il a fait très chaud cet été, du côté d’Auschwitz, en Pologne. L’installation de brumisateurs pour rafraîchir les visiteurs du musée commémoratif des camps de concentration nazis était-elle cependant judicieuse ?

    C’est la question que posent aujourd’hui de nombreux visiteurs du mémorial, choqués par la présence de ce dispositif susceptible d’évoquer de manière déplacée les chambres à gaz utilisées par l’Allemagne nazie pour procéder au génocide des juifs.

    source : http://www.20minutes.fr/


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  • Le Washington Post, journal de « l’établissement » s’il en est, publiait jeudi un article révélateur. Sous le titre « Comment des dizaines de milliers de migrants pourraient aider à sauver l’Europe », le journal présente l’afflux d’immigrés qui cherchent à s’établir dans l’Union européenne – et de préférence dans ses pays les plus riches et les plus généreux à l’égard des migrants – comme une chance. Au moins, les choses sont claires : l’Europe se dépeuple, il ne faut donc pas hésiter à laisser entrer les candidats au repeuplement.

    Le sujet est délicat à aborder alors que les esprits sont choqués par le dernier horrible épisode de ces arrivées massives de gens fuyant la guerre ou la pauvreté : les 71 cadavres trouvés dans un camion abandonné le long d’une route autrichienne semblent accuser l’Europe autant qu’ils témoignent de la cupidité et de l’inhumanité des « passeurs ». De justes sentiments d’indignation et de pitié prennent le dessus. Jusqu’à annihiler la raison ?

    Ce que l’on observe, c’est un afflux de réfugiés que l’Europe n’avait pas connu depuis la Seconde Guerre mondiale. Les médias le soulignent sans rappeler qu’il s’agissait alors plutôt de « personnes déplacées », des gens de cultures semblables voisines cherchant à fuir les bombardements et les hostilités en se mettant à l’abri dans un contexte malgré tout familier. Le déracinement était réel mais plus relatif. Il ne s’agissait pas de l’arrivée de familles qui ne partagent pas avec les populations chez qui elles cherchent refuge ni façon de vivre, ni foi, ni traditions communes. Il ne s’agissait pas d’un afflux venant s’ajouter à des millions de personnes étrangères déjà sur place, et qui sont déjà un sujet de préoccupation.

    Lire la suite de l’article sur reinformation.tv


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  • Sous prétexte de défendre les ”langues régionales” (breton, occitan, corse, alsacien, basque, créole, etc.) dans un but, en apparence, de préserver l’identité et l’enracinement de nos provinces, on prépare des dispositions législatives assez tordues. L’objectif cynique de la gauche au pouvoir n’est évidemment pas de préserver nos identités régionales françaises et européennes, mais de faire reculer la langue française au profit, notamment, de l’arabe et des langues extra-européennes, assimilés à des ”langues minoritaires”.  Décryptage.

    Une embrouille juridique

    Le Conseil des ministres a adopté en catimini le 31 juillet 2015 un projet de loi constitutionnelle autorisant la ratification de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires, en ces termes : « La République peut ratifier la charte européenne des langues régionales et minoritaires adoptée, à Strasbourg, le 5 novembre 1992 ». Le mot important ici est ”minoritaire” et non pas ” régional”.  ”Minoritaire” en novlangue signifie ”immigré”.

    En 1999, le Conseil  constitutionnel avait déclaré que cette Charte européenne des langues régionales était contraire à la Constitution ; parce qu’elle contrevenait au principe d’égalité en prévoyant des droits spécifiques pour des « groupes de locuteurs de langues minoritaires » à l’intérieur de« territoires », en leur octroyant le droit d’employer leur langue autre que le français « dans la vie publique », c’est-à-dire auprès des « autorités administratives et services publics ». Le Conseil constitutionnel soulignait que cette Charte européenne des langues régionales « porte atteinte aux principes constitutionnels d’indivisibilité de la République, d’égalité devant la loi et d’unicité du peuple français ». Le gouvernement socialiste n’en a rien à faire et passe outre. Démocratie…

    Le Conseil d’État, le 30 juillet 2015, a lui, aussi avisé que la Charte des langues régionales n’était pas conforme aux principes constitutionnels. Elle ouvre, selon lui, la porte aux revendications particularistes et risque de miner« le pacte social ». On va donc réviser la Constitution, par une ”loi constitutionnelle” pour passer par dessus l’avis du Conseil d’État et le jugement du Conseil constitutionnel ! 

    Il faut noter que les défenseurs comme les adversaires de cette Charte des langues régionales se combattent en se réclamant tous les deux des mêmes principes d’égalité et de non-discrimination ! Cette histoire des langues régionales est donc un embrouillaminis idéologique de plus.

    Selon cette Charte des langues ”régionales et minoritaires”, une personne face aux tribunaux ou à toute administration aura parfaitement le droit de ne plus employer le français mais ”sa” langue, régionale ou minoritaire. C’est une énorme blague. Chacun sait bien que 100% des Bretons, des Corses, des Alsaciens, des Basques, des Catalans, des Antillais, des Réunionnais, etc parlent parfaitement le français et que 95% ne maîtrisent absolument pas leur ”langue régionale”. Et ceux qui la maîtrisent n’ont aucun intérêt à se compliquer la vie en exigeant de l’employer dans leurs rapports avec les administrations !

    En réalité, à part la langue bretonne, qui est un cas spécial, qui a été modernisée, qui est vivante, enseignée (Écoles Diwan) et résistante, tout comme le corse, les ”langues régionales ” de l’Hexagone sont des pièces de musée, des ”curiosités”, totalement hors de l’histoire, comme l’occitan, par exemple. C’est un constat historique. Quant à l’alsacien, ce n’est pas une langue propre, mais un dialecte alémanique en voie de marginalisation. On peut le regretter. Mais nul n’empêche les défenseurs de toutes ces petites langues ou dialectes de les enseigner, de les répandre, de les écrire. Mais pas de les employer devant les administrations !

    En fait, on détourne sciemment le but de la Charte européenne des langues régionales : cette dernière était destinée à des pays européens qui comportent effectivement, en plus de la langue nationale,  des langues vivantes locales et assez pratiquées, mais ce n’est pas le cas de la France ! 

    Un plan dissimulé contre le français

    Cette ratification des langues régionales et minoritaires vise, à vrai dire, un tout autre but que de défendre les langues européennes minoritaires ”régionales” et enracinées. Il s’agit de permettre aux populations d’origine immigrée de se prévaloir de leur langue native et d’avoir le droit de ne plus employer le français. On ne nous fera pas croire qu’un Breton ou un Corse ou un Alsacien devant un tribunal, un guichet de la Sécu ou un formulaire administratif est handicapé par la pratique du français et préférerait sa langue ”régionale” que dans plus de 99% des cas il ne maîtrise pas ou ignore totalement.

    En revanche, il existe, depuis peu de temps, deux autres catégories de populations : 1) Des immigrés, souvent clandestins, qui ne maîtrisent pas le français. 2) D’autres, qui le maîtrisent, mais qui, par revendication et hostilité, n’attendent qu’une seule chose : l’instauration de l’arabe ou du turc (comme un ”droit”) dans la pratique officielle linguistique. On imagine les conséquences. Elles seront ingérables. Devant un tribunal ou une administration, une personne pourra exciper de sa ”langue minoritaire” pour ralentir ou entraver les procédures, en demandant des traducteurs, par exemple. Les islamisateurs de la France y trouvent leur compte.  

    L’objectif caché est de supprimer l’usage officiel du français énoncé par l’article 2 de la Constitution et qui s’inspire de l’édit de Villers-Cotterêts (1539) du Roi François 1er, instituant le français à la place du latin comme langue polico-administrative obligatoire. (1) Il s’agit d’une entreprise dissimulée de défrancisation, de déseuropéanisation. Nos voisins et amis allemands, espagnols ou autres sont autant visés que nous. L’arrivée massive, ces derniers mois, de vagues de migrants clandestins qui ne parlent pratiquement pas ou mal les langues européennes, augmente l’acuité du problème.

    Cette Charte des langues régionales ouvre donc la voie, la boîte de Pandore, à des revendications de locuteurs de langues  étrangères en France (et plus du tout ”régionales”) qui vont se réclamer du ”pourquoi pas nous ? ” C’est la porte ouverte (voulue ?) à des exigences de l’emploi de l’arabe, du turc ou de langues extra-européennes dans la vie quotidienne et dans les rapports avec l’administration. Les dernières mesures de Mme Vallaud- Belkacem en faveur de l’enseignement de l’arabe dans le  primaire et le secondaire vont dans le même sens. Il s’agit d’une entreprise de subversion. Le trotskisme n’est pas loin, ni l’islam…  

    Les organes du Conseil de l’Europe sont chargés du respect de la Charte des langues régionales. Comme en toutes matières, les institutions européennes non élues (mais nommées par leurs pairs), anti démocratiques, instances strictement partisanes et idéologiques, marquent des buts contre la véritable identité européenne et l’avis des peuples de notre Continent. 

    En revanche, face à la domination de la langue anglo-américaine dans les institutions européennes, le Conseil de l’Europe ou la Commission  ne font rien, elles ne promeuvent aucune ”charte” d’égalité des langues nationales. Nombre de documents ne sont même plus traduits dans les langues nationales et sont livrés en anglais. Égalité ?

    La Charte des langues régionales est donc un enfumage, un stratagème idéologique, qui utilise la défense des identités régionales européennes pour promouvoir les langues et les cultures extra européennes, en particulier l’arabe et le turc. Il faut être idiot pour se laisser prendre à ce piège.

    (1) La grande erreur de la république jacobine a été d’interdire et d’opprimer les langues et parlers régionaux, notamment le breton. Elle a créé un clivage aberrant, un conflit idiot, par obsession centraliste, entre la langue politico-administrative et culturelle centrale, le français, et les langues régionales. Les archéologues ont démontré que les habitants de Pompéi parlaient et écrivaient en osque alors que le latin était la langue administrative et politique incontestée. L’osque n’était nullement interdit. Les habitants étaient parfaitement bilingues, voire trilingues puisque beaucoup parlaient grec.

    * Source : Le blog de Guillaume Faye

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  • Plus d'informations sur http://www.jupiter-films.com
    Martin ARMSTRONG, conseiller financier respecté, richissime et ancien gestionnaire d’un fond (1 billion de dollars), basé aux États-Unis, a mis au point un modèle informatique basé sur le nombre pi, et d'autres théories liées aux cycles, capable de prédire les tournants décisifs de la vie économique mondiale, et ce avec une précision frappante.

     


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  • Article publié initialement en anglais sur le site thesaker.is.

     

    Cela fait plusieurs mois que la situation politique en France a été largement supplantée par les événements en Grèce ou en Ukraine. Sur ce blog, j’ai beaucoup parlé de la France par rapport au désastre de la vente des porte-hélicoptères Mistral à la Russie. Mais cela ne signifie pas pour autant que la situation politique française ne s’est pas modifiée au cours de l’année écoulée… en fait, elle s’est détériorée considérablement ; et pour le pire.

    Voici un bref résumé de ce qui s’est passé l’année dernière :

    1. L’économie française est en chute libre. Bien sûr, si vous consultez les médias à la solde des multinationales, vous ne trouverez rien sur ce sujet. L’un des rares spécialistes nous informant régulièrement est Pierre Jovanović, journaliste économique et financier indépendant (vous pouvez vous rendre sur son compte YouTube, où l’on retrouve mensuellement une revue de presse très intéressante). Il y a quelques autres journalistes indépendants, mais ils n’ont pas accès aux médias de masse.

    2. Le lobby sioniste français, qui s’étale au grand jour, s’est lancé dans une campagne de persécutions contre les rares personnes qui osent défier ouvertement son influence en France. Unultimatum a été adressé à tout le monde : la soumission ou la destruction. L’obscénité et le niveau de la propagande sur la télévision française est à présent pire que tout ce que j’ai pu voir aux États-Unis et en Russie soviétique.

    3. Comme je l’avais prévu depuis longtemps, Marine Le Pen a cédé aux pressions du lobbysioniste et s’est retournée contre son père, Jean-Marie Le Pen, le fondateur du Front national, qui s’est fait littéralement éjecter de son propre parti (pour ses prétendues opinions antisémites). Cela n’impressionne manifestement pas le lobby sioniste, qui continue à ostraciser ce parti affaibli.

    4. Alain Soral et Dieudonné font à présent l’objet de persécutions ouvertes et systématiques par les autorités françaises, en particulier par le Premier ministre, Manuel Valls. Les méthodes de persécution utilisées me font vraiment penser à celles du régime soviétique sous Léonid Brejnev : harcèlement administratif sans relâche, fouilles policières, convocations au tribunal, campagnes de dénigrement, menaces, etc. Je ne connais pas le nombre de procès auxquels Dieudonné et Soral doivent faire face en ce moment, mais la somme totale des amendes que doit Alain Soral s’élève à 264 523 euros. Comme Alain Soral ne peut pas et ne veut pas (par principe) payer cette somme, il est fort probable qu’il soit mis en prison, bien qu’il ait promis de faire appel à la Cour européenne des droits de l’homme.

    5. La politique française est morte. À l’exception du tout petit mouvement d’Égalité et Réconciliation, il n’y a plus de résistance contre le régime sioniste au pouvoir. Tout comme le reste de l’Europe, la Gauche et la Droite ont plus ou moins fusionné en un « centre extrême » qui pourvoit aux besoins de l’élite de la bourgeoisie comprador au pouvoir, totalement soumise aux États-Unis.

    Il est important de garder à l’esprit que le lobby sioniste français est encore plus puissant et arrogant que l’AIPAC aux États-Unis, à l’attitude pourtant agressive. Le CRIF – une branche sous le contrôle du Likoud – a une main-mise totale sur les trois partis du gouvernement et sur les médias nationaux. Le simple fait de le mentionner signifie la mise à mort professionnelle de tout politicien, auteur ou journaliste. Même le Front national fait profil bas et essaie clairement – pour utile que cela soit – de montrer sa soumission totale au lobby sioniste (trahison de Marine Le Pen envers son père).

    Il existe des rumeurs selon lesquelles un « vrai » parti ou mouvement d’opposition soit créé par Jean-Marie Le Pen. Soral a déjà fait savoir qu’Égalité et Réconciliation soutiendrait ces efforts. Vu les circonstances, je m’attends personnellement à ce que la répression durcisse ouvertement, le but étant non seulement d’écraser ceux qui osent s’opposer au CRIF, mais aussi de terrifier tout le monde. Et comme les gens ont en réalité une trouille bleue d’être étiqueté ou associé à « l’antisémitisme », ce qui pourrait être une terreur tactique fonctionne pourtant très bien. Tous les autres partis et mouvements déploient d’héroïques efforts pour ne pas remarquer ce que font Soral et Dieudonné, ce qui est aussi méprisable qu’incroyable.

    Pour illustrer mes propos, je souhaite partager avec vous une récente conférence de presse animée par Alain Soral et Dieudonné. Elle est traduite par Paul Matthews, et sous-titrée par Marta Begemot (mes plus sincères remerciements à tous les deux !) J’aime beaucoup la France, j’ai une immense affection et un respect pour le peuple français que je n’accuse de rien vis-à-vis de ce qui lui a été infligé. L’histoire de De Gaulle, qui a subi un « changement de régime » par la CIA en 1968 – régime qui ne peut être désigné que par la formule « régime d’occupation chapeauté par une cabale de banquiers internationaux » – s’est produit dans bien d’autres pays avant et après cette date.

    Je suis certain que la France verra finalement s’accomplir le jour de sa libération. Mais avant que les choses ne s’améliorent, les choses vont empirer dramatiquement. Quand les mesures répressives sur les dissidents deviendront odieuses et impitoyables, comme c’est le cas maintenant en France (il n’y a qu’à penser à l’opération sous faux pavillon Charlie), il n’y aura pas d’alternative et cela ne peut que s’envenimer. Mais je garde confiance dans les valeurs de justice sociale, de tradition nationale, d’égalité et de réconciliation, qui inspireront assez de jeunes patriotes français pour abattre enfin le régime au pouvoir et créer une France nouvelle, multiconfessionnelle et multi-ethnique.


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  • À Calais, une école pour apprendre le français aux migrants

     

     

    Comme ça, au lieu de chercher à passer en Angleterre, ils resteront en France.....


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  • Selon une étude menée par la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité, le sol du parc national du Mercantour, dans les Alpes du Sud, présente des niveaux de radiation bien supérieurs à la normale.

    Triste héritage de Tchernobyl. Les sols du parc national du Mercantour, dans les Alpes du Sud, présentent encore une radioactivité importante, due à la catastrophe qui a eu lieu dans la centrale ukrainienne il y a 29 ans, affirme une nouvelle étude de laCommission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (Criirad). 

    "Les retombées avaient été particulièrement intenses dans le sud-est de la France", rappelle dans un document publié vendredi l'organisme indépendant, qui souligne avoir "mis en évidence entre 1996 et 1998, de très fortes contaminations des sols dans le Mercantour". 

    "Des valeurs plusieurs dizaines de fois supérieures au niveau naturel"

     

    Les nouvelles mesures réalisées début juillet, dans le secteur ducol de la Bonette-Restefond à la limite entre les Alpes-Maritimes et les Alpes-de-Haute-Provence, montre que "le niveau de radiation est toujours plus de deux fois supérieur à la normale" à "un mètre du sol". 

    "Ces forts niveaux de rayonnement sont dus à la contamination résiduelle des sols par le césium 137 imputable principalement aux retombées de la catastrophe de Tchernobyl (en 1986)", assure la Criirad. 

     

    "En outre, en fonction de la topographie, des conditions climatiques, de la nature du couvert végétal et de la typologie des sols, le métal radioactif qui s'est déposé sur de vastes étendues a pu être redistribué et induire de très fortes accumulations", souligne-t-elle. "Les niveaux de radiation au contact du sol dépassent toujours, sur les zones d'accumulation, des valeurs plusieurs dizaines de fois voire plus de 100 fois supérieures au niveau naturel", a-t-elle constaté. 

    Dépolluer ou au moins baliser

    "Le fait de bivouaquer deux heures sur certaines de ces zones induit toujours en 2015 une exposition non négligeable", avec un "débit de dose" de 5 microsievert par heure (5 ?Sv/h) au contact du sol. 

    La Criirad indique avoir ramené dans son laboratoire, en caisson plombé, des échantillons de sol. "Leur radioactivité dépasse 100.000 Bq/kg en césium 137. Ils doivent être considérés comme des déchets radioactifs et devront être confiés à l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra). Au début du siècle dernier, la radioactivité des sols était de 0 Bq/kg pour le césium 137", explique-t-elle. 

    L'organisme indépendant rappelle avoir interpellé à plusieurs reprises les autorités sanitaires françaises "pour que les secteurs les plus radioactifs soient dépollués, ou tout au moins balisés, pour éviter des expositions inutiles". "Force est de constater que la situation n'a guère évolué sur le terrain", déplore-t-elle 

    source : http://www.lexpress.fr/


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    Le 15 juillet 2015 au Parlement grec, le député Ilías Kassidiáris, porte-parole du parti Aube dorée, réagit à l’accord signé par Alexis Tsipras avec l’Union européenne pour la mise en place d’une austérité accrue en Grèce 

     


    Kassidiáris à propos du nouvel accord de la... par cdmanon


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