• La décision ne devrait pas manquer d’attiser la polémique. Patrick Bouet, le président du Conseil national de l’ordre des médecins, a annoncé, jeudi 25 juin, qu’il portait plainte devant la chambre disciplinaire de première instance de Languedoc-Roussillon contre le professeur Henri Joyeux, l’initiateur le 13 mai d’une pétition sur les dangers de la vaccination qui a recueilli depuis près de 680 000 signatures.


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    Jean-Marie Le Pen fustige un FN "bouclier de la communauté juive"

     

    Ma consigne : ne participez pas au vote piège !

     

    Tout d’abord, après avoir pris connaissance du courrier envoyé à tous les adhérents du Front national à l’occasion de la consultation sur le changement des statuts, je ne peux pas laisser sans réponse les termes mensongers et les affirmations diffamatoires de Marine Le Pen, qui, semble-t-il, n’a rien appris de la crise qu’elle et son bras droit Philippot ont ouverte au sein du Front national.

    Marine Le Pen présente son Congrès « postal » en pratiquant un scandaleux amalgame. En effet, il faudra répondre par oui ou par non à 33 articles des statuts dont le principal a pour but d’éliminer le Président d’honneur, fondateur et dirigeant du Front national pendant près de 40 ans.

    Le caractère parricide de l’opération ne fait pas sourciller la femme-d’État-aux portes-du-pouvoir, mais cause un grand trouble dans la conscience et le cœur des militants.

    Le texte de Marine Le Pen est une infamie qui m’accuse d’ « initiatives et de propos préjudiciables » pouvant « très gravement nuire au fonctionnement », « au crédit » du Front national et ainsi compromettre nos chances électorales. Candidats ! Garde à vous !

    Elle ne nous cache pas qu’ « il n’est plus possible de diriger efficacement le Front national en voyant régulièrement détruit votre travail et le mien » (sic). On croit rêver !

    Or, de quoi s’agit-il ? Quel est le prétexte de l’accusation ?

    Deux interviews.

    L’une chez Jean-Jacques Bourdin qui pose la question : « Regrettez-vous d’avoir dit que les chambres à gaz sont un détail de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale ? » Réponse : « NON. »

    Une autre interview dans l’hebdomadaire de droite Rivarol, où je dis que je ne croyais pas que le Maréchal Pétain ait été un traître ; je me permets de rappeler à ce propos que tous les présidents de la Ve République, de De Gaulle à Mitterrand, ont fait déposer une gerbe sur la tombe du Maréchal Pétain à l’Île d’Yeu.

    C’est donc là tout le crime de Jean-Marie Le Pen !

    Oubliée la centaine de meetings tenus ces deux dernières années en soutien aux candidats aux Européennes, aux Municipales et aux Départementales.

    Oublié le succès aux Européennes, où je faisais élire sur ma liste cinq députés européens avec une moyenne de 33 % en PACA.

    Cette fois, la dénonciation d’antisémitisme est venue de l’intérieur du Front, présenté comme le « bouclier de la communauté juive » par Marine, dont Cukierman, le président du CRIF, affirme qu’elle est « irréprochable ».

    Dans le même temps, Maître Goldnadel porte plainte contre moi pour « la fournée » et devient l’avocat de Florian Philippot…

    On peut légitimement s’étonner que dans un monde où les dangers s’accumulent, le parti « national » ait une préoccupation essentielle : se débarrasser de Jean-Marie Le Pen !

    La vérité c’est qu’il s’agit de faire accepter par les adhérents un changement de ligne politique en faveur du socialo-gaullisme prôné par Philippot.

    Pour toutes ces raisons, et parce que le bulletin de vote marqué d’un code barre viole grossièrement la prétendue confidentialité du vote, je demande aux adhérents du Front national de ne pas se jeter dans le vote piège que constitue la pseudo-consultation sur la réforme des statuts.

    Fidèlement vôtre,

     

    Jean-Marie Le Pen

     

     

    Jean-Marie Le Pen

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  • A l'occasion de son dernier livre "Les origines occultistes de la franc-maçonnerie", Celena-production a réalisé une interview auprès de Jean-Claude Lozac'hmeur sur la nature véritable de la religion qui inspire nos gouvernements.

     


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  • Le mur de Berlin protégeait l’Est des séductions et des conquêtes de l’imaginaire capitaliste. Le mur de l’Ouest est celui qui permet l’extension maximum du capitalisme. Comment ? En confinant la Russie dans l’espace le plus petit possible. En empêchant tout rapprochement entre la Russie et les autres pays d’Eurasie. Et plus encore tout rapprochement entre la Russie et l’Europe.

     
    Nous, la France, sommes du côté américain de ce mur de l’Ouest, et c’est pourquoi notre pays n’est pas libre, et c’est pourquoi l’Europe est asservie. « La résistance est à l’ordre du jour. […] l’occupation mentale, technique, économique que nous subissons n’est pas de moindre conséquence politique que celle que nous avons subie [pendant la Seconde guerre mondiale] ; car elle aussi nous prive du pouvoir que la République nous a donné, que les institutions du Conseil National de la Résistance avaient assuré, que le projet d’union de l’Europe avait fait espérer. Et ce rejet du pouvoir perdu, du pouvoir à reprendre, est au cœur de la conscience malheureuse des Français – de ceux du moins pour qui la France est autre chose qu’un hôtel ».

    Hervé Juvin en appelle donc à la résistance. Il faut faire tomber ce mur de l’Ouest. Le premier mouvement de cette résistance c’est revenir à l’intelligence du monde. C’est se rappeler ce que l’esprit du temps veut nous faire oublier : que le monde est irrigué de rapports de force, de jeux de puissance. Derrière l’humanitaire, derrière les indignations pseudo morales, il y a la violence des déplacements de populations, et celle des changements de peuple. Décrypter cette réalité des rapports de force, cette réalité d’une guerre qui ne dit pas son nom, c’est ce qu’apporte Hervé Juvin. Au cœur de cette guerre, il fait un « point de situation ».
     
    Pour comprendre le moment présent, l’auteur reprend un certain nombre de slogans de la pensée occidentaliste dominante. « La diversité est une richesse », « ‘le marché a toujours raison », « le droit est universel », … Une douzaine de thèmes sont ainsi analysés et démontés. Leur fausseté est montrée, leur imposture démontrée. Les intérêts que couvrent ces mots d’ordre sont mis à jour. 

    Prenons l’analyse du slogan « C’en est fini de l’hyperpuissance américaine ». Juvin montre que malgré des cafouillages évidents, les USA ont réussi dans leurs objectifs essentiels : éliminer les régimes qui voulaient mettre en cause le dollar comme unique monnaie d’échange international, éliminer ou marginaliser les amis de la Russie, créer un nouveau Moyen-Orient plus instrumentalisable que celui, antérieur, des États-nations, contrôler la nourriture du monde en mettant semences et espèces sous brevets, faire d’internet une colonie médiatique américaine, de l’espace une province des Etats-Unis. Il n’y a échec des Etats-Unis que si on croit que l’objectif des Américains était vraiment la paix, la démocratie et le développement. 

    Mais Juvin ne cache pas les points de fragilité de l’impérialisme américain, ceux qui peuvent annoncer un possible point de retournement : les faiblesses internes des Etats-Unis, en matière d’infrastructure, d’innovation, d’éducation, et les initiatives des autres pays, l’Inde et son développement économique endogène et (en partie) soucieux de son identité, la création d’une banque de développement des BRICS, une voie autre que la Banque mondiale et le FMI, l’émergence, aussi, de la notion de droits collectifs opposables aux stricts droits de l’individu.

    Voilà bien des contre-pouvoirs, et de nouvelles forces qui peuvent renverser les tendances. La même mise au jour des lignes de force est faite pour chacun des thèmes du livre. Pour comprendre la réalité de notre servitude, et de la complicité de nos élites, mais aussi les voies de la libération de nos peuples. L’élucidation des enjeux par Juvinest toujours à la fois ferme quant à ce qui « menace notre être » comme disait Mao (On voit que Juvin ne craint pas les références iconoclastes et c’est le charme de la liberté de l’esprit, qui fut si française), et attentive à ce qui évolue dans les rapports de force, notamment intellectuels, car les idées sont aussi des forces. Pour Hervé Juvin, c’est essentiel.
     
    Hervé Juvin, Le mur de l’Ouest n’est pas tombé, éd. Pierre-Guillaume de Roux
     
     
    le <time datetime="19/06/2015" itemprop="date">19/06/2015</time> 

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  • Au Forum de Davos, la main d'œuvre coûte toujours trop cher...

     


    Privatiser même les politiques par Resistance_Identitaire


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    Article lié :

    Les pressions de l’Union européenne et de Washington ont eu nous le savons finalement raison de la patience russe pour la construction du gazoduc South Stream, qui devait alimenter l’Europe du sud en gaz russe.

    La décision de la Russie d’annuler le projet est une grande victoire américaine qui empêche ainsi une nouvelle artère de relier les organismes russes et européens. L’échec du projet South Stream, alors que ses jumeaux le North Stream (reliant la Russie a l’Allemagne) et le Blue Stream (reliant la Russie a la Turquie) sont en activité et prouvent leur efficacité sans aucun scandale ni dysfonctionnement, est autant insensé qu’infondé tant politiquement qu’économiquement.

    La manœuvre traduit la volonté de certaines puissances d’éviter que la Russie et la vieille Europe ne soient en contact direct sans le filtre de la nouvelle Europe dont les États sont devenus des satellites et des relais actifs de la politique américaine en Europe de l’Est et surtout dans le cadre de la politique de pression et de reflux menée contre la Russie sur ces frontières ouest et sud.

    Moscou, qui cherche évidemment un débouché pour son gaz a fait une proposition plus qu’inattendue visant à remplacer South Stream par un projet du nom de Turkish Stream, qui vise à compléter l’actuel Blue Stream et livrer du gaz naturel via la mer noire a l’Europe et donc par la Turquie. Ce binôme technique Moscou — Ankara pour alimenter l’Europe pourrait se transformer en trinôme puisque la Grèce serait pressentie pour devenir le point de passage du Turkish Stream vers l’Europe par un tracé mais passant par la Macédoine, la Serbie et la Hongrie avant d’arriver vraisemblablement en Autriche pour être ensuite redistribué dans d’autres pays.

    Le choix des pays qui hébergeront thermiquement ce nouveau corridor énergétique n’est pas un hasard :

    • Il évite la Bulgarie, plausiblement sanctionnée pour avoir plié aux pressions américaines pour South Stream.
    • Il comprend donc la Turquie, qui est intéressée a augmenter sa consommation de gaz russe et vendre à l’Europe tout en évitant l’Ukraine
    • Il comprend aussi la Grèce et la Serbie considérés comme des alliés civilisationnels, historiques et régionaux par Moscou ainsi que la Macédoine par obligation géographique
    • Enfin la Hongrie d’Orban qui est à ce jour un des rares pays de l’UE ne s’étant pas soumis aux politiques anti-russes et de sanctions déployées par Bruxelles sur injonctions américaines.

    Nul doute que ces pays ne seront dans un avenir proche soumis à de lourdes déstabilisations politiquescomme cela a déjà commencé pour la Macédoine.

    Dans le même temps, Bruxelles est de son coté en proie à une situation qui lui échappe désormais totalement sur le plan extérieur, avec le dossier ukrainien mais aussi sur le plan intérieur dans le cadre des négociations avec la Grèce.

    Le premier coup de poignard que Moscou vient de lui infliger en lui « proposant » une dépendance énergétique avec une Turquie qui a été oubliée dans la file d’attente de l’intégration européenne pourrait théoriquement se doubler d’un second coup de poignard avec un soutien financier apporté par Moscou a Athènes, afin d’éviter un Grexit. Ce faisant, Moscou se trouverait dans une situation de négociation doublement renforcée lui permettant de peser dans la stabilité de la zone euro tout en se retrouvant par conséquence en position de force diplomatique sur les dossiers Turkish Stream et ukrainien.

    Dans une formidable démonstration de l’absence de stratégie qui la caractérise, Bruxelles :

    • Après avoir volontairement annulé South Stream qui lui était favorable, pourrait donc se retrouver contrainte de soutenir Turkish Stream, qui lui est beaucoup moins favorable, afin d’éviter un Grexit.
    • Pourrait se retrouver les mains liées en Ukraine laissant Moscou et Washington se faire face ce qui n’augure rien de bon pour l’avenir ni le maintien du process de Minsk-2 qui rappelons-le est le résultat d’une discussion entre Paris, Berlin et Moscou, soit entre puissances continentales et européennes.

    Moscou fait clairement une démonstration de force en déployant une politique sur la longue durée qui voit le renforcement des blocs germaniques (l’Allemagne avec North-Stream et l’Autriche avec Turkish Stream) et orthodoxes (Grèce — Serbie) tandis que l’union européenne semble elle de plus en plus fragile et sans stratégie, comme c’est manifeste sur le dossier ukrainien.

    Mais surtout, la Russie relance activement une forme de multipolarité qui va à l’encontre totale du modèle de l’Union Européenne qui est supranational. Les discussions avec la Turquie d’un côté, la Grèce et la Serbie de l’autre montrent que la coopération bilatérale d’État à État, lorsqu’elle est menée avec une ferme volonté politique, permet le déploiement d’une politique puissance dont la Russie vient de faire une nouvelle démonstration, retournant à son avantage une situation pourtant mal engagée.

    Alexandre Latsa, le 15/06/2015
    Source : fr.sputniknews.com


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    LA FRANCE 

    Un pays en voie de décomposition
    Posté par: Michel Lhomme le: 16/06/2015
     
     
    La France, pays barrésien par excellence, c'est-à-dire hautement traditionnel fut le fer de lance de l’expérimentation mondialiste. A partir des années 80 puis s'accélérant dans les années 90 et 2000, le pays a vécu un processus de désintégration culturelle et de tentative de construction d'une nouvelle culture, d'un ''homme nouveau'', unisexe, multiculturel, pluriethnique et sans aucune sacralité.
     
    Ce fut le double discours de l'antiracisme et de l'intégration-assimilation qui s'achève aujourd'hui dans la caricature du discours ''républicain'', du front ''républicain'' alors que les banlieues de l'Islam sont en rébellion ''traditionnelle''. La France a donc vécu - comme l'Espagne - la dépolitisation, la désintégration de l'Etat à travers la chasse aux nationalistes, à tout ce qui affirmait le primat identitaire et culturel. Résultat : que reste-t-il de la France « nation européenne de race blanche et de religion chrétienne » comme  disait De Gaulle ? Que reste-t-il de la France comme nation cultivée ?
     
    L'antiracisme idéologique fut le soft power de l'européisme mondialiste qui a vu la France se convertir en une sorte de musée-prototype du monde idéal sans frontières, un monde dans lequel la France n'est plus que la péninsule à peine vivable d'une autre Europe, l'Europe du contexte global de l'arraisonnement du monde, de la réification générale du monde par le marché. C'est ainsi que la France comme avant-garde du mouvement global a éradiqué tout facteur de caractère ethnique, sexuel, racial et culturel qui ne se conformait pas au modèle de l'in-distinction générale. Toute allusion directe ou explicite chez un penseur ou un professeur à la Tradition devient ainsi systématiquement suspecte face au modèle laïc imposé, Nicolas Sarkozy, positivant même cela à Saint Jean de Latran, devant Benoit XVI en évoquant un “laïcisme positif” !
     
    Qu'en reste-il quarante ans après ? Les « J'accuse » coupables d'un Régis Debray, se présentant devant nous comme un résistant de la dernière heure ?!... En fait, il en reste une nation démembrée, désarticulée, dépolitisée, une nation de tribus éparses et délétères. Il en reste des citoyens anéantis, renfrognés sans espérance et sans joie, dépressifs par défaut de verticalité et de transcendance. Il en reste l'anomie sociale et les incivilités de toute sorte. Le mondialisme est en tout cas - c'est le suprême constat ! - incapable de construire la religion civile. Il est l'empire du chaos et l'ordre des francs-tireurs, le futur hexagonal d'une démocratie carcérale à l'américaine.
     
    Ainsi, le discours d’Hillary Clinton, candidate démocrate aux présidentielles US, est plus qu'un discours électoral adressé aux Américains. Il est plus qu'un programme d'intentions. Il est le programme du nouvel ordre mondial, celui qui consiste à détruire les identités culturelles et les religions traditionnelles. Il importe de ne pas se tromper d'ennemis et de choisir ses alliés. Nous ne serons pas en banlieues forcément du côté de la police. Si Hillary Clinton finit par évoquer dans son discours programmatique le recours à l'état d'urgence ou à la force coercitive de l'Etat, il est inévitable que nous nous retrouvions avec certains « fanatiques » en face  à face avec la gauche française ou la classe politique ''républicaine'' qui est sans doute en Europe la classe politique la plus pernicieuse, la plus soumise au dictat clintonien qui consiste à éradiquer au plus vite et par la force, dit-elle, le substrat identitaire et culturel du peuple, d'organiser ainsi le nivellement totalitaire de la masse et ce, bien sûr, au nom d'une vision universaliste et progressiste du monde.
     
    Nonobstant - et c'est notre espoir ! -, nous comprenons beaucoup mieux pourquoi ce projet clintonien est à la fois si avancé dans notre pays mais y rencontre autant de résistance et de dissidence car n'en déplaise aux incultes, on ne se débarrasse pas si facilement d'une nation littéraire. On comprend aussi que sans identité collective, sans codes culturels partagés, la cohésion sociale sur un petit pays même irradié par la pensée « arc-en ciel » est surtout bien loin d'être assurée.

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    L’Histoire connaît parfois de ces retournements qu’on pourrait qualifier de comiques s’ils ne traînaient leurs doses de tragédies, surtout celles qui s’annoncent et qu’on s’aveugle pour ne pas les affronter.
     
    Mais n’est-ce pas ainsi que l’Humanité a toujours fonctionné ? Depuis quand les sociétés humaines règleraient-elles leurs problèmes de manière rationnelle et avec un minimum de justice ?
     
    Ces éléments prennent une dimension particulièrement dramatique s’agissant du peuple juif, si on veut intégrer dans cette entité tous ceux qui, chacun à sa manière et à son niveau, s’y rattachent.
     
    Les juifs ont connu un rétablissement fantastique, inespéré. Après 10 siècles de soumissions, de harcèlements, de bannissements, d’interdictions, d’expulsions, d’assassinats, les voici soudain au faîte de leur puissance. Tout en ne représentant que 0,2% de la population mondiale, on peut dire qu’ils influencent grandement les politiques de tous les pays qui comptent. Rien ou presque ne peut se faire qui aille contre leurs intérêts. Les politiques de tous bords, en dehors de quelques extrêmes qui comptent peu, leur déroulent le tapis rouge, les caressent dans le sens du poil, les mettent au pinacle, devancent leurs moindres désirs, au mépris parfois de leurs principes fondamentaux et de leurs intérêts nationaux.
     
    L’idéal d’Attali serait quasiment près d’être atteint : un gouvernement mondial dont la capitale serait à Jérusalem. Grâce à ses dizaines de milliers de Sayanim implantés aux plus hauts niveaux et dans les secteurs clé de la plupart des États, Israël peut plus ou moins contrôler la politique des pays occidentaux. Jamais dans l’histoire de l’humanité un pays de taille modeste n’était arrivé à étendre ainsi son influence.
     
    Le basculement s’est fait autour de la guerre de juin 1967. Les nations arabes, qui sortaient du colonialisme, ont été laminées par une nouvelle puissance militaire stupéfiante. Israël a conquis des territoires énormes. Un nouvel empire était né. Avec cette incroyable manipulation universelle qui a fait passer Israël pour la victime et permis de resserrer les liens avec la diaspora. Le sionisme venait de réussir la vampirisation des communautés juives de par le monde. Jusqu’alors, l’idéologie sioniste ne fascinait pas les masses juives. Désormais, il y aura une force de frappe judéo-sioniste de par le monde d’une redoutable efficacité.
     
    Israël est devenu intouchable. C’est le seul État au monde qui depuis plus de 60 ans viole impunément le droit international, occupe et annexe des territoires conquis par la force, se torche avec les résolutions internationales. Même les Etats-Unis arrêtent leurs agressions au bout de quelques années.
    Depuis cette époque, le monde juif a imposé la religion de la Shoah. Journée internationale. Visites obligées des sites. Constructions de mémoriaux. Enseignement de la Shoah jusqu’en Afrique et en Chine. Lois mémorielles. Harcèlements, diabolisations et condamnations des « contestataires ».
     
    Les élites juives ont connu une transformation radicale. Connues de tous temps pour porter les valeurs de progrès et de l’humanisme ; toujours mêlées à toutes les révolutions politiques, sociales, culturelles et philosophiques qui ont ébranlé le monde. Aujourd’hui elles sont du côté du pouvoir, du pouvoir le plus réactionnaire et impérial comme aux États-Unis (11 septembre, Irak, Iran, etc.). La France n’échappe pas à la règle.
     
    Les historiens pourront se délecter de cette transformation fascinante. D’un « peuple du livre » en une puissance colossale, cynique, impitoyable, avide, satanique, infernale, dominatrice, cruelle. Géniale tant elle fait preuve de qualités manipulatrices exceptionnelles. Ou le génie du Mal.
     
    Le jour où les médias se libéreront de l’emprise juive, on découvrira avec quelle cruauté et quelle maestria ces juifs venus des ghettos ont détruit systématiquement une société, un peuple, une culture, une économie, des traditions, des bâtiments, des fermes, des villages, des lieux de cultes, des cimetières, des commerces, de tout un peuple pacifique qui a eu le malheur de se retrouver sur leur « terre promise ». Et les Palestiniens continuent à payer dans leur chair, leur quotidien, les humiliations, les dépossessions, les enfermements, la domination coloniale, de juifs qui se croient tout permis parce qu’ils sont en liaison directe avec Dieu et parce qu’ils tiennent le monde par les couilles.  
     
    Un jour on écrira le livre noir du sionisme et de la domination juive. Et je crois que même la Shoah n’y survivrait pas.
    Enivrés par leur puissance sans égale, les juifs en veulent plus, ne laissent rien passer, exigent même qu’on réhabilite Israël (BHL) et qu’on le sanctifie comme au bon vieux temps.
     
    Pendant ce temps, le sentiment de rejet monte de partout dans le monde et envahit jusqu’aux classes éclairées en Occident. Israël est sur la voie inéluctable de la délégitimation. Mais au lieu d’un examen de conscience, les juifs hurlent à l’antisémitisme. Toute attitude critique est rejetée comme antisémite.
    On me demande parfois, comment un peuple aussi intelligent peut ne pas voir cette dangereuse dérive. D’une part, le pouvoir et la puissance rendent aveugle à la raison. D’autre part, il y aurait là un sentiment de revanche sur l’Histoire. Et l’idée que le malheur serait consubstantiel à leur existence. Pourtant des voix s’élèvent ici et là pour mettre en garde, de grandes voix autorisées, mais elles sont étouffées par ce gang qui veut aller de l’avant coûte que coûte. Jusqu’à la fin. Jusqu’à Massada.
     
    La France est certainement le pays qui s’est laissé soumettre à la domination juive et sioniste. C’est une France enjuivée et sionisée. L’industrie du cinéma est contrôlée par des juifs. De même que le secteur publicitaire qui veut déjà nous imposer le parfait larbin du CRIF : Manuel Valls. Ainsi que l’industrie du spectacle. La « Justice » (sic) frappe tous ceux qui osent se lever contre eux. Et que dire des médias ? Infiltrés, influencés, dominés, manipulés, possédés par des juifs au service du sionisme. Les hommes politiques sont des carpettes à leur service. Ils servent de paillassons sur lesquels les dirigeants sionistes viennent essuyer leurs bottes maculées du sang de leurs victimes.
     
    Le monde n’aime pas plus les juifs aujourd’hui qu’avant la seconde guerre et la création d’Israël. Et il les aimera de moins en moins. Mais on applique la dissuasion nucléaire qu’est « l’antisémitisme » pour imposer le silence. À défaut de se faire aimer, les juifs se font craindre.
     
    Jacob COHEN
    2015

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    Dans cet entretien, Jacob Cohen revient sur le projet politique des élites juives et sionistes et propose ses solutions, notamment à la communauté musulmane, pour sortir de la domination.

     


    Entretien avec Jacob Cohen sur le suprémacisme... par ERTV


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    Le 16 février 2012 a été inauguré dans un total silence médiatique le parlement Juif Européen. Ce parlement est situé à Bruxelles dans les mêmes batiments que l’actuel parlement européen (des 28 pays de l’Union européenne). En fait ils proviennent de 47 pays différents, certains ne sont donc pas membres de l’UE comme du Kazkhstan qui n'est pas situés en Europe.

     


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  • Israël est-il un acteur ou un spectateur dans la profonde phase de mutation qui bouleverse l'équilibre des puissances au Moyen-Orient ? Est-il impliqué d'une manière ou d'une autre dans les guerres intestines qui déchirent le monde arabe en Libye, en Égypte, en Syrie, en Irak et au Yémen ?

    À ces questions, qui peuvent être considérées comme naïves ou au contraire comme tendancieuses selon les affiliations politiques, deux types de réponses sont généralement apportées. La première, inspirée par les théories du complot, extrêmement populaires dans le monde arabe, rend Israël responsable de tout ce qui se passe de négatif dans la région. Selon cette version, Israël – et son allié américain – a un plan bien défini qui vise à démembrer les États du Moyen-Orient, potentiellement dangereux pour sa sécurité, les uns après les autres. La deuxième, notamment avancée par les responsables israéliens, prétend que les conflits actuellement en cours dans la région ne concernent aucunement Israël puisqu'ils sont liés à des divisions internes aux sociétés arabes, et surtout à l'islam.

    La première position ignore volontairement la responsabilité des autres acteurs régionaux dans cet engrenage de conflit tandis que la seconde apparaît douteuse du point de vue du bon sens politique : comment l'acteur le plus puissant du Moyen-Orient peut-il être complètement étranger à un ouragan régional qui, dans les faits, a tendance à servir ses intérêts ? De facto, Israël est partie prenante dans, au moins, trois zones de tensions au Moyen-Orient : le conflit israélo-palestinien, la guerre froide avec l'Iran et la guerre en Syrie. À partir de là se posent en fait les questions du degré d'implication de l'État hébreu et de l'évolution de ses relations avec les États ou organisations concernées au cours de ces dernières années.

    Concernant le conflit israélo-palestinien, est-il encore nécessaire de rappeler à quel point celui-ci participe à la radicalisation des mouvements politiques qui se disputent le pouvoir au Moyen-Orient ? Les guerres menées contre la bande de Gaza, la diabolisation du Hamas, la politique de colonisation des territoires palestiniens et surtout le refus d'engager un processus de paix avec l'Autorité palestinienne contribuent très largement à la popularité des mouvements les plus extrémistes, parmi lesquels l'organisation de l'État islamique (EI), dans le monde arabe et dans le monde occidental, ce que même le secrétaire d'État américain, John Kerry, a admis. La réélection du Premier ministre Benjamin Netanyahu et la montée en puissance de Naftali Bennett, le chef du parti nationaliste religieux Foyer juif, notamment connu pour ses propos : « Les terroristes, on doit les tuer, pas les libérer. Je me suis battu toute ma vie pour défendre les deux propositions contenues dans cette phrase », ne risquent pas d'inverser le déroulement du processus en cours. Bien au contraire.

    Dans cette lutte contre ce qu'il appelle « les terroristes », Israël a trouvé un allié de poids en la personne du président égyptien Abdel Fattah al-Sissi. Considéré comme une branche des Frères musulmans, à qui il a déclaré la guerre, le Hamas est désormais confronté à la répression des autorités égyptiennes qui ont notamment détruit tout ou une partie des tunnels qui reliaient la bande de Gaza au Sinaï et qui constituaient la seule source d'approvisionnent pour l'organisation.

    À en croire les propos des responsables israéliens, particulièrement ceux de M. Netanyahu, l'Iran constitue la menace numéro un pour Israël. Du point de vue des Israéliens, l'Iran est perçu comme une puissance qui arme et finance des organisations qui combattent Israël (Hezbollah, Hamas, Jihad islamique), qui tient des propos négationnistes et menace l'État hébreu de disparition. La perspective d'un accord entre l'Iran et les 5 + 1 a été très largement critiquée par Israël pour au moins deux raisons, outre celles qui concernent la politique interne : d'une part, Israël considère qu'il est impossible de faire confiance à l'Iran ; d'autre part, il a peur que la levée des sanctions encourage Téhéran à accroître ses soutiens envers les ennemis de l'État hébreu.

    Encore une fois, Israël a trouvé dans cette lutte un allié circonstanciel dans le monde arabe, avec l'Arabie saoudite. Pendant que les tensions sectaires ou politiques ont divisé la société égyptienne entre pro-Morsi et anti-Morsi et le Moyen-Orient entre sunnites et chiites, Israël a profité des reconfigurations des rapports de force qui s'en sont suivis pour apaiser ses relations avec les deux leaders du monde sunnite, l'Arabie saoudite et l'Égypte. Autrement dit, non seulement Le Caire et Riyad ne sont plus des soutiens de poids à la résistance palestinienne, mais en fait ils deviennent quelque part des alliés objectifs de l'État israélien.

    Sans nul doute, la Syrie est l'épicentre des tensions qui parcourent actuellement la région. Mais elle semble aussi être l'épicentre de la politique régionale israélienne puisque la guerre syrienne oppose, sur le terrain, deux potentiels dangers pour la sécurité d'Israël : d'un côté des mouvements jihadistes qui souhaitent sa destruction, de l'autre l'axe de la résistance Iran/Hezbollah/Syrie qui investit un deuxième front. Beaucoup plus mesurés que les Occidentaux, et probablement mieux renseignés, les analystes israéliens ont tout de suite expliqué que cette guerre risquerait de durer un bon moment.
    Jusqu'alors, Israël s'est gardé de prendre une position définitive en faveur de l'une ou de l'autre des parties. Son principal souci étant d'éviter que le conflit déborde sur son territoire. Pourtant, Israël est le seul pays à être directement intervenu en Syrie, et à plusieurs reprises, ciblant des convois transportant du matériel de la Syrie au Liban ou des membres du Hezbollah et/ou des pasdarans iraniens. Concernant l'issue qui serait la plus profitable à Israël, les analystes sont partagés. Certains considèrent que les groupes islamistes et jihadistes, dont le Front al-Nosra avec qui Israël a conclu une sorte de pacte de non-agression dans la partie syrienne du Golan, sont beaucoup moins dangereux pour la sécurité de l'État hébreu que les combattants de l'axe de la résistance. Ces combattants verraient d'ailleurs sans doute d'un bon œil une participation plus accrue des Israéliens au conflit qui, par le biais de frappes chirurgicales, pourrait fragiliser le régime. D'autres, au contraire, estiment que l'axe de la résistance est une menace connue pour Israël et que de ce fait il est préférable à l'inconnu des jihadistes, selon le vieil adage « le diable qu'on connaît est préférable à celui qu'on ignore ».

    Quoi qu'il en soit, la poursuite du conflit, le statu quo profite indéniablement à l'État hébreu, dont les dirigeants résument la situation en une formule assez limpide : « Qu'ils saignent ». Israël aura profité de la guerre en Syrie pour au moins deux raisons. Un : les armes chimiques du régime, qui pouvaient constituer une grande menace pour Israël, ont été détruites. Deux : le conflit syrien occupe le Hezbollah et l'Iran.
    Plus généralement, le chaos général qui ravage la région favorise le démembrement des États et la formation de petits États nations, kurdes, druzes ou alaouites, nettement moins menaçants pour Israël et avec qui il pourrait entretenir des relations comme il le fait avec le Kurdistan irakien.
    Aussi paradoxal que cela puisse paraître, Israël n'est jamais apparu autant en sécurité que depuis que la région est à feu et à sang.

    Anthony SAMRANI


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  • Alors que Sophie Marceau, après avoir montré ses seins, dévoile sa petite culotte (par hasard bien sûr) aux marches du bunker cannois, Manuel Valls  propose à Menton la création d’un corps, moins sexy mais plus utile, de gardes frontières européens.

     
    Alors qu’une humanité surfaite et satisfaite d’elle-même s’auto célèbre  comme tous les ans, en admiration devant son talent (discutable) sa générosité (très relative) et son idéologie du bien (mortifère), la réalité frappe à la porte des arnaqueurs du virtuel.
      
    L’hyper classe mondiale peut bien se trémousser à Cannes, le monde qu’elle a crée est à une poignée de dollars de la catastrophe migratoire.
     
    On serait passeur qu’on irait échouer ses clients sur la croisette pour voir la gueule de ce petit monde médiatique obligé d’interpréter, hors compétition, une saison inattendue du «  camp des saints ».

    Mais on serait du côté des «  bons » que l’on plaquerait tous les cocktails, emportant les petits fours pour les porter, toute projection cessante, aux migrants de leur coeur.
      
    Cela  aurait de la gueule, un exode humanitaire cannois, une migration  des vedettes et des réalisateurs, donneurs de grandes leçons, accompagnées des journaleux de service et de la horde cannoise des piques assiettes professionnels qui, plutôt que de profiter, donneraient pour une fois aux autres.
     
    Enfin un scénario qui tiendrait la route. Mais ne rêvons pas.

    Tout de même,  le contraste entre les clandestins démunis et affamés  de la Turbie et les nantis repus de la vanité médiatique cannoise devrait interpeller les observateurs. Entre un festival du superficiel, sinon de l’inutile, entre des faiseurs histrions exhibitionnistes et la menace du raz de marée des désordres mondiaux, cela fait un fameux contraste qui devrait sauter aux  yeux.

    Depuis des décennies que Cannes dénonce les méchants, fait la promotion de l’immigration et de l’anti racisme contre toutes les exclusions notamment sexuelles, fermant les yeux sur quelques invités qui seraient lapidés sous d’autres cieux …….ils ne se posent aucune question.

    Ce petit monde, qui croit pouvoir s’imposer par l’image et le fric, est au bord du précipice. On se remettra de sa disparition. Mais il nous a largement entraîné avec lui. Il participe au suicide d’une civilisation qui est la nôtre et qui est menacée d’être égorgée comme en Syrie ou submergée comme en Italie et à Menton.

    Il est temps qu’ils cessent tous de faire leur cinéma, car il y a bien longtemps qu’ils ne comprennent plus rien au film.

     
    le <time datetime="18/05/2015" itemprop="date">18/05/2015</time> 

     

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  • GAZA


    DES CHIFFRES MIEUX QUE DES LETTRES ...




     
    Le bilan de l’opération « Bordure protectrice » à Gaza de juillet-août 2014 a été définitivement établi comme suit :
    Coté palestinien :
    – plus de 2100 morts, dont 1460 civils (dont 493 enfants âgés de 10 jours à 17 ans, 253 femmes et 714 hommes).
    – plus de 10 000 blessés (dont plus de 3100 enfants).
    – 475 000 habitants déplacés.
    Coté israélien :
    – 70 tués (64 soldats et 6 civils)/12.5/ML.

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  • On l’aura compris. Pour être un vrai républicain avec label pur démocrate, il faut en passer par un régicide. Mais assumer le meurtre du père n’est pas une mince affaire. La France ne s’est jamais vraiment remise du meurtre de Louis XVI. Marine Le Pen portera comme un  fardeau celui ,politique, de son père. Le pire qu’il puisse lui arriver serait que pendant cette longue période de suspension qui s'annonce, le fondateur du Fn ne trépasse vraiment. Heureusement le marin breton a bon pied bon œil et il est dans une forme remarquable pour son âge, physique mais aussi intellectuelle.


    Ce parricide régicide ressemble cependant, à dire vrai, plus à la loi du lynchage qu’à la guillotine. On est dans Lucky Luke avec un comité exécutif aux ordres annonçant la sentence avant l’entrée du prévenu. Marine estime que seul un désaveu et une mise à la porte de son père pourra permettre à son Fn d’accéder au pouvoir. Elle veut absolument devenir umps compatible. Elle a sans doute raison. Mais l’objectif ne peut être le pouvoir pour le pouvoir tout de même.

    Lui pense donc que l'ambition de Marine passe par la trahison de la matrice même du Front , un refus de l’idéologiquement correct dans tous les domaines. Il a de toute évidence raison.

    Marine Le Pen a accepté le discours du système dans tous les domaines ou presque, même si elle reste dans une position d’opposant sur des sujets comme la sécurité ou l’immigration, ce qui fait ses succès électoraux.

    Elle veut compter pour peser et influer la politique française, elle ne veut pas renverser la table. Reste à savoir si le but officiel de sauver l’identité de la France passe par cette nouvelle collaboration. Car il s’agit bien de collaboration avec le système, qu’on l’approuve ou non.

    Pour le vieux chef, accepter dans tous les domaines, histoire et mœurs, les tabous de la religion politique d'aujourd’hui, c'est renoncer en fait à l'esprit même du combat et du rôle du Fn. Cette position idéologique générationnelle est très minoritaire surtout auprès du nouvel électorat populaire du Fn. On voit bien que cette stature du commandeur est devenue intenable sein du parti des friendship Philippot. Il n’a aucune chance d’éviter le peloton d’exécution.

    Mais la fille, commandant le feu et obligé de donner dans la tête le coup de grâce n'en sortira certes pas intacte. Elle ne changera pas de nom, car la marque est capitale. Elle pourrait changer le nom du parti. Les prochaines régionales seront capitales, car le cadavre politique du père sera encore chaud. Si elle ne fait pas le score attendu, ceux qui lapident aujourd’hui le père pourraient bien lui jeter alors la pierre. Elle le sait.

    La guerre familiale d’aujourd’hui, elle aurait pu l’éviter en laissant le père s’expliquer une fois de plus avec ses propos, puisque la liberté d’expression en France est judiciairement surveillée. Elle ne l’a pas fait, prenant un risque politique terrible tout en assumant un drame humain personnel.

    La vraie question est pourquoi ? Pourquoi cette décision de tuer le père ? Par conviction personnelle ou par obligation dictée par d’autres, liés a des intérêts puissants ?

    J.M Le Pen le sait sans doute…. Et quelle que soit les vérités finales, s'il les dit, le menhir en s’abattant de toute sa masse pourrait en écraser plus d’un.
     
     

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  • Michel Drac revient sur la genèse et le contenu de son livre Céfran, publié en 2006 puis réédité dans le recueil Essais, regroupant cinq textes de l’essayiste et disponible chez Kontre Kulture. La question centrale de son livre : qu’est-ce qu’être français aujourd’hui ?

     


    Michel Drac présente son livre Céfran par kontrekulture


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