• ALERTE ROUGE !

    ALERTE ROUGE !

     

    ce post peut paraître alarmiste, mais toute personne ayant une formation de base en biologie peut comprendre qu'il ne s'agit pas là de science fiction...

     

    Le virus aviaire est toujours présent dans son réservoir naturel de prédilection que sont les oiseaux sauvages, mais également dans les élevages asiatiques où se trouvent concentrés des animaux par millions dans des conditions favorisant toutes les mutations imaginables. Des virus à « visages » multiples, endigués mais non éradiqués, cela à coup de vaccinations extensives et d’antibiothérapies massives, toutes deux, elles aussi, éminemment mutagènes. Ajoutons que le H5N1 (très pathogène avons-nous dit puisqu’il détermine un taux de mortalité de 1 sur 3 chez l’homme) est un sous-type de la grippe A qui elle-même associe, dans sa forme H1N1, quatre gènes : 1 aviaire, 1 porcin et 2 humains. Une association improbable que quelques scientifiques soupçonnent d’avoir été produites - accidentellement ou pas - en laboratoire ! [6] Là encore la transparence est loin d’être au rendez-vous.

    Or les virus aviaires ont une tendance marquée à connaître en permanence des modifications antigéniques lors de leur réplication chez l’homme ou chez l’animal en raison de leur haut degré d’adaptation à leurs porteurs. Adaptation spécifique qui leur permet d’échapper aux défenses immunitaires de l’hôte, cela d’autant plus dans le cas où l’organisme se trouve momentanément affaibli par une stimulation artificielle de son système immunitaire (vaccination). C’est ce constant phénomène de commutation[7], qui détermine généralement la création de nouvelles souches virales différentes du virus dont elles sont issues et contre lesquelles l’humain n’a pas encore acquis de défenses. Selon toute vraisemblance, les vaccinations sont susceptibles d’amplifier ce phénomène contribuant ainsi à la sélection de souches potentiellement plus dangereuses tout comme un usage inconsidéré des anti-viraux.

    Une telle pandémie serait véritablement gravissime, contre laquelle les vaccins actuels n’auraient qu’un pouvoir présomptif, si tant est qu’au final les vaccins inoculés aient une efficacité tangible dans des proportions raisonnables (le vaccin n’est pas systématiquement « opérant », induisant même assez souvent la maladie chez les patients). Un fait confirmé qui rend compte des limites hélas vite atteintes par l’ambitieuse politique anti-grippe de couverture vaccinale de populations entières. Un engouement auquel tous les gouvernements ne souscrivent pas, telle la Pologne qui malgré les pressions déplacées de Bruxelles se refuse à procéder à une vaccination massive jugée « dangereuse » [8]… mais encore de la Russie qui apporte – une fois n’est pas coutume – tout son poids à la Pologne quitte envisager de suspendre son adhésion à l’Organisation mondiale de la santé en raison de collusions trop évidentes entre les intérêts des grands producteurs pharmaceutiques et la panique (très prématurée et par conséquent injustifiée dans les circonstances présentes) déclenchée par l’OMS. [9]

    D’autres virus grippaux circulent en ce moment tels les virus de la grippe saisonnière qu’il est quasi impossible de distinguer de celui de la grippe H1N1 sans une coûteuse analyse biologique. Nous avons donc en circulation plusieurs variantes de l’affection de type A, les H5N1, H3N2, H1N1 et autres H2N2 et leurs multiples sous types. Si l’on ajoute à ce cocktail viral les traitements antiviraux usités contre la grippe fortement soupçonnés de favoriser de multiples commutations  en raison de la résistance qu’ils provoquent chez les virus, nous avons finalement une situation qui pourrait s’avérer à terme singulièrement explosive. Car la formation de nouvelles combinaisons génétiques assure un brassage génétique et augmente la possibilité pour une souche de s’adapter à de fréquentes modifications de son environnement. La recombinaison est de sorte l’un des processus essentiels dans la survie des virus, directement proportionnels à leur capacité de mutation c’est-à-dire d’adaptation.

    De la même façon, les virus vivants (ceux d’une personne contaminée par une grippe banale) peuvent récupérer le bagage génétique d’un virus mort ou atténué contenu dans un vaccin. Processus qui ouvre théoriquement la voie à une mutation génétique in vivo du virus. Le tout serait, dans ce cas, possiblement favorisé par une relative « désactivation » des défenses immunitaires inhibées par le vaccin lui-même ! Certes, dans la majorité des cas, cette éventuelle commutation ne donne pas forcément une souche plus virulente que la sienne propre… Cependant, plus les différents variants d’un même virus sont proches et infectent un grand nombre d’individus (autrement dit plus il y a de personnes vaccinées), plus la probabilité d’une recombinaison devient grande. Dans certains cas, le résultat de la recombinaison virale peut aboutir à permettre à l’agent pathogène de franchir la barrière des espèces, en l’occurrence de passer de l’animal à l’homme. C’est ici la question pendante, qui se pose de façon lancinante aujourd’hui avec les campagnes de vaccinations de populations entières avec à l’arrière plan la grippe aviaire toujours en embuscade…

    La vaccination massive des populations à l’aide de vaccins contenant des antigènes viraux, combinée à la circulation des virus grippaux saisonniers ainsi qu’aux traitements antiviraux mutagènes, serait, dans l’absolu, susceptible de contribuer au déclenchement d’une pandémie réellement gravissime ; celle-là même qu’elle est censée combattre et dont elle serait, au final, l’une des causes principales !

    Un risque qui de toute évidence n’a pas été pris en compte, et encore moins calculé, bien qu’il soit connu [10], par des autorités sanitaires internationales et gouvernementales plus enclines à l’application mécanique de procédures techno-bureaucratiques que de décisions authentiquement prospectives et démocratiques !


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