• Le Japon réorganise ses forces face à la menace chinoise

    La nouvelle politique de défense nippone délaisse la Russie pour se focaliser sur Pékin et Pyongyang.

    L’annonce, à l’évidence, n’est pas faite pour mettre du baume sur les plaies de la relation sino-japonaise. La publication, vendredi, du document fixant la politique de défense du Japon pour les dix prochaines années a suscité l’ire de Pékin. La puissance militaire chinoise grandissante y est qualifiée de « source d’inquiétude », en réalité la menace principale désormais pour Tokyo. La diplomatie chinoise a immédiatement qualifié ces déclarations d’« irresponsables ». La Chine assure qu’elle « ne veut menacer quiconque », qu’elle continue à « poursuivre une voie de développement pacifique » et que sa politique de défense est purement « défensive ».

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  • Le président chinois est inquiet de la situation en Corée

    Mis à jour le 06.12.10 à 09h15

    Le président chinois Hu Jintao a fait part ce lundi matin de sa profonde préoccupation devant la dégradation de la situation dans la péninsule coréenne, dans une conversation téléphonique avec Barack Obama, rapporte l'agence Chine nouvelle.
    «Les tensions pourraient bien s'aviver sur la péninsule coréenne et devenir hors de contrôle si la situation présente, particulièrement, n'est pas gérée proprement, et cela ne serait dans l'intérêt de personne», a-t-il dit. «La tâche la plus urgente actuellement et de traiter la situation avec calme», a déclaré Hu Jintao président américain qui, avec ses alliés occidentaux, a incité Pékin à contenir son allié nord-coréen après son attaque le mois dernier d'une île litigieuse à la frontière entre les deux Corées.

    source

     

    Exercice naval conjoint entre la Corée du Sud et le Japon, fournie par Séoul le 14 octobre2010.

     

    DIPLOMATIE - Le Sud annonce de nouvelles maoeuvres militaires avec tirs à munitions réelles...

    La tension est toujours palpable entre la Corée du Sud et la Corée du Nord. L’armée sud-coréenne a annoncé lundi avoir entamé de nouvelles maoeuvres navales avec tirs à munitions réelles dans les eaux contestées au large de la côte ouest de la péninsule.  Les exercices doivent avoir lieu assez loin de la petite île de Yeonpyeong, où quatre personnes sont mortes lors du bombardement le 23 novembre dernier de l'artillerie nord-coréenne.

    Pour la Corée du Nord, ces manœuvres, qui devraient durer une semaine, montraient que le Sud s'acharnait à vouloir déclencher un conflit. L'agence de presse nord-coréenne KCNA écrivait dimanche que «les provocations effrénées du Sud(...) acculent rapidement la situation dans la péninsule de Corée vers une phase extrême incontrôlable. Nul ne peut prévoir dans quelle mesure la situation va se détériorer à l'avenir».

    Pyongyang avait justifié ses tirs d'artillerie du 23 novembre en affirmant que le Sud avait lui-même tiré des obus dans ses eaux territoriales. Séoul avait expliqué que son armée menait alors des exercices dans les parages mais qu'ils avaient bien eu lieu du côté sud-coréen de la Ligne de limite nord.

    Les tirs contre Yeonpyeong, survenus quelques jours après les révélations par le Nord qu'il avait accompli d'importants progrès dans son programme nucléaire, ont provoqué un regain de tension jamais vu depuis plusieurs décennies.  Poussé par son opinion publique, le nouveau Premier ministre sud-coréen s'est engagé à répliquer par la fermeté en cas de nouvelle provocation nord-coréenne, déclarant que Séoul n'hésitera pas à faire entrer en action son armée de l'air la prochaine fois.


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  • Bientôt une seconde guerre de Corée ?

    Les deux Corées se rejettent la faute quant à celui qui a jeté la première pierre, difficile de savoir qui a raison mais rappelons-nous de l’évènement douteux de la corvette de Cheonan il y a quelques mois, dont des rapports avaient prouvé que l’incident avait été dû à une mine sous-marine, et non une torpille Nord-Coréenne, au contraire de ce qu’affirmaient les médias Occidentaux. Les Nord Coréens n’étaient pas tombés dans le piège. La Corée du Nord est un régime tyrannique, horrible, affreux et sanguinaire, raison de plus pour ne pas les provoquer, mais ce n’est pas pour cela qu’ils sont responsables de tout. Malheureusement, l’establishment anglo-saxon qui, depuis la fin de la seconde guerre mondiale, dirige en sous-main la Corée du Sud, ne cherche qu’à provoquer une nouvelle guerre de Corée pour servir ses propres intérêts exclusifs.


    Une Seconde Guerre De Corée ? [VOSTFR]
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  • Marée noire : le silence des autorités chinoises

    Les habits maculés de noir, le visage et les cheveux luisants de fioul, les mains nues recouvertes d'une épaisse couche visqueuse, les pêcheurs de Jinshatan ont des allures de mineurs de fond en ces temps funestes de marée noire : depuis l'explosion, le 16 juillet, d'un oléoduc dans une zone industrielle voisine, à une cinquantaine de kilomètres de Dalian, en Chine du Nord, le petit port de pêche a été transformé en zone de stockage, et des milliers de bidons sont alignés sur le terre-plein.

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    Chaque famille de pêcheurs s'affaire autour de sa prise du jour, de lourds bidons de mazout hissés un à un avec des cordes depuis les barques en bois amarrées au quai : "Ça, c'est ce qu'on a récupéré depuis hier", dit Kong Yun-huan, une femme d'une cinquantaine d'années, le visage buriné, montrant les 32 bidons disposés dans un rectangle dessiné à la poudre blanche, signe que les inspecteurs du bureau de pêche de Dalian sont passés. Les pêcheurs recevront 300 yuans (30 euros) par bidon.

    Mais, précise Mme Kong, il a fallu acheter les bidons vides, 40 yuans (4 euros) l'unité. Et payer les ouvriers qui aident son fils et son mari, qui continuent de récupérer au prix d'efforts intenses quelques litres de fioul supplémentaires dans la rade. La famille peine à chiffrer les pertes dues à la marée noire. Certes l'été est plutôt une période de pause, mais les pêcheurs ignorent s'ils recevront des aides. Et peu sont informés de la nocivité du pétrole qu'ils manipulent depuis des jours, le plus souvent à mains nues.

    "Les pêcheurs mobilisés pour participer au nettoyage le font souvent sans protection, sans gants, et sans masques", dit Zhong Yu, chef de l'équipe d'intervention rapide de Greenpeace Chine arrivée sur place, il y a une semaine. La jeune femme fustige l'irresponsabilité des sociétés qui ont causé l'incident, dont une filiale du géant chinois Petrochina : "Aucune des entreprises concernées n'a fourni de protection aux gens qui nettoient. Or, toutes sortes de composés toxiques sont dangereux, il peut y avoir des intoxications", insiste-t-elle.

    C'est une mauvaise manoeuvre de désulfuration dans deux oléoducs, lors du déchargement d'un pétrolier, qui aurait conduit à un incendie dans un réservoir de Xingang, le terminal du port de Dalian réservé aux hydrocarbures. Et au déversement d'au moins 1 500 tonnes de pétrole brut dans la mer. Une quantité relativement "modeste" par rapport aux 10 000 tonnes de brut qui s'étaient écoulées au large de la Bretagne en 1999, lors du naufrage de l'Erika. Mais c'est un désastre de première importance pour cette région très peuplée (Dalian compte 6 millions d'habitants) du sud de la péninsule de Liaodong, où tourisme, pêche et industrie sont pratiqués de manière intensive.

    L'équipe d'intervention rapide de Greenpeace s'est livrée à des opérations relativement spectaculaires alors que les organisations non gouvernementales (ONG), surtout étrangères, sont considérées avec suspicion en Chine et sont parfois la cible de campagnes de dénigrement. Vêtus de combinaisons orange frappées du sigle Luse Heping (Greenpeace en chinois), les militants se sont rendus sur les plages et sur le port de pêche, arborant de grands panneaux incitant la population à porter des équipements de protection, et à ne pas se baigner.

    L'ONG a multiplié les communiqués au vitriol sur la légèreté des mises en garde des pouvoirs publics. Au tout début de la marée noire, l'un de ses photographes a pris les clichés - qui ont fait le tour du monde - des pompiers tentant de colmater la fuite de pétrole sans aucun équipement de protection. Et c'est Greenpeace qui a informé de la mort de l'un d'entre eux. "La culture chinoise oblige à plus de réserve qu'en Occident pour nos actions", explique Mlle Zhong, qui, adolescente, avait été marquée par un reportage de la télévision chinoise sur une action de Greenpeace contre des baleiniers nippons.

    En 2008, elle part dans la région chinoise du Sichuan répertorier les risques de fuites chimiques dans les usines touchées par le séisme. Concernant la marée noire, elle considère que Greenpeace a bénéficié du fait qu'il y avait "très peu d'informations disponibles, et qu'on était les seuls à en fournir". Et que les médias locaux, qui ont surtout montré le bord de mer et sa foule de baigneurs insouciants, ont été "irresponsables".

    Mercredi 28 juillet, la presse chinoise titrait unanimement sur la "victoire décisive" remportée contre la marée noire. Habitués à une relative marge de manoeuvre sur les questions d'environnement, cette fois-ci, les médias chinois ont dû annuler leurs reportages et s'en tenir aux communiqués officiels, selon le South China Morning Post, à Hongkong. Dans les bureaux de Depva, une ONG locale de défense de l'environnement, Tang Zailin, son animateur, reconnaît que l'ampleur de la marée noire a été minimisée. "Tout est fait pour ne pas heurter les intérêts du secteur du tourisme", dit-il.

    Ce retraité de l'industrie chimique estime que la catastrophe a pris tout le monde au dépourvu. "J'ai appris qu'on pouvait utiliser de la paille et des boudins de cheveux pour bloquer la marée. Nous avons lancé un appel sur Internet, et nous avons reçu des centaines de paquets avec des cheveux. Nos bénévoles les ont fourrés dans des collants", raconte Tang Zailin. Ces ceintures flottantes maintenues par des nattes de paille ont été disposées autour de Fujiazhuang, l'une des grandes plages de Dalian, où la nappe de pétrole avait dérivé.

    Lundi, des militaires faisaient des allers et retours en bateau, au milieu des vacanciers, pour changer les radeaux de paille, ramenés luisants de pétrole sur le rivage. La plage était bondée.


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  • Pyongyang évoque une "guerre sacrée"

    La Corée du Nord a prévenu samedi qu'elle déclarerait une "guerre sacrée" aux Etats-Unis et à la Corée du Sud en s'appuyant sur ses moyens de dissuasion nucléaire, en réponse aux manœuvres conjointes entre Washington et Séoul. Dans un communiqué, la Commission nationale de défense dément à nouveau que Pyongyang soit à l'origine du naufrage de la corvette sud-coréenne Cheonan. Les exercices conjoints entre les Etats-Unis et la Corée du Sud, que le Nord qualifie d'"imprudents", doivent débuter dimanche.


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  • L'iPad déjà copié en Chine pour moins de 100 euros

    Comment les chinois vont nous niquer debouts : en copiant tout .....

    Publiée par Guillaume Belfiore le Lundi 31 Mai 2010

    Fin janvier 2007, quelques jours après l'annonce officielle de l'iPhone par Steve Jobs, les premiers clichés du M8 furent révélés sur Internet. Malgré une large vague médiatique cette copie de l'iPhone n'a cependant pas dépassé les frontières de la Chine. Puis le même fabricant Meizu a annoncé au mois d'avril le mBook, une tablette toujours inspirée de l'iPad et embarquant Android.

    iped


    Voici maintenant l'iPed, une tablette directement calquée sur l'iPad. Selon le blog Kotaku, l'appareil serait fabriqué dans la ville de Shenzhen, c'est-à-dire, précisément là ou sont implantées les usines de Foxconn fabricant les iPhone et iPad d'Apple et rendues tristement célèbres ces derniers jours.

    apad


    A la différence de l'iPad, l'iPed tournerait cependant sur le système Android et pourrait peut-être se retrouver sur les marchés parallèles de contre-façon. Admirez par ailleurs l'emballage de l'objet entière calqué sur celui d'Apple et le premier nom décidé par son fabricant (Apad) sur le manuel d'utilisation. L'iPed est commercialisé à ¥9,600 ou 85 euros.

    iPed iPad

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  • Séisme au large de Taïwan

    Un séisme de magnitude 6,6 sur l'échelle de Richter s'est produit dimanche près des îles japonaises Ryukyu, à l'est de Taiwan, rapporte l'institut américain de veille géologique (USGS). Le tremblement de terre a eu lieu à environ 110 kilomètres au sud-sud-ouest d'Ishigaki-jima et à une dizaine de kilomètres de profondeur. Le centre de surveillance des tsunamis n'a pas émis d'alerte. Les services de sismologie taïwanais et japonais évoquent pour leur part une secousse de magnitude 6,3 sans faire état pour l'instant de victimes.

    note WR : les chinois ont-ils l'arme sismique? ou bien le hasard frappe encore?ou je deviens parano?

    PEKIN/WASHINGTON - Les médias officiels chinois se déchaînaient lundi contre le projet des Etats-Unis de vendre pour 6,4 milliards de dollars d'armes à Taiwan, tandis qu'à Washington on espérait que ces tensions seraient passagères.


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