• Faut-il avoir peur?

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    Faut-il avoir peur du nucléaire iranien?

    Par Dominique Lagarde, publié le 17/07/2009 11:54 - mis à jour le 17/07/2009 12:27

    Non, répondent deux sénateurs français. Alors que la bombe inquiète les Occidentaux, résolus à trouver une issue diplomatique.

    Rendez-vous à la rentrée. Réunis à L'Aquila, en Italie, les dirigeants du G8, qui regroupe les huit pays les plus industrialisés, se sont contentés de réaffirmer, dans leur déclaration finale du 8 juillet, leur détermination à "trouver une solution diplomatique à la question du programme nucléaire iranien". Ce n'est qu'à la mi-septembre, à New York, avant l'ouverture de l'assemblée générale de l'ONU, qu'ils examineront l'éventualité d'un renforcement des sanctions contre l'Iran.

    Les Occidentaux ont-ils raison de manifester une telle inquiétude face au programme iranien? Deux sénateurs français, qui viennent d'achever une "mission d'information" au Moyen-Orient pour la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat, rompent le consensus. "Nous ne devons pas avoir peur d'un Iran nucléaire", affirment Jean François-Poncet (UMP), ancien ministre des Affaires étrangères (1978-1981) de Raymond Barre, et Monique Cerisier-ben Guiga (PS). Avec un argument: la bombe, aux mains des Iraniens, resterait ce qu'elle est pour tous les autres pays, à savoir une arme de dissuasion.

    Cette affirmation iconoclaste n'empêche pas les parlementaires de plaider, eux aussi, pour un renforcement des sanctions contre Téhéran, "en étroite coopération avec la Chine et la Russie". Car, soulignent-ils, la nucléarisation de l'Iran ne manquerait pas d'entraîner toute la région dans une course aux armements qui, elle, serait "une menace pour la paix".

    Les deux sénateurs, qui ont rencontré de nombreux experts, confirment par ailleurs que les Iraniens pourraient sans doute disposer d'un premier "engin" dès 2010. Mais ils ajoutent qu'il leur faudrait ensuite au moins cinq ans pour développer, à l'horizon 2015, un "ensemble militaire dissuasif".

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