• Finkytest : Dany Boon

     


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  • Finkytraining : niveau easy (Michaël Benayoun)

    Michaël Youn, de son vrai nom Michaël Benayoun (né le 2 décembre 1973 à Suresnes

     

     

    Selon la version "police", le comédien aurait été contrôlé lundi vers 19h15 alors qu'il remontait en scooter une rue en sens interdit et sans porter de casque. Contrôlé par les policiers, il se serait "immédiatement énervé", expliquant qu'il ne faisait que quelques mètres pour déplacer son scooter sur le trottoir après l'avoir laissé sur une place de stationnement le temps que sa compagne arrive avec sa voiture pour se garer. Michaël Youn rentre alors à son domicile pour chercher ses papiers. Ne le voyant pas revenir après plusieurs minutes, les policiers auraient demandé à sa compagne de lui donner ses papiers. Cette dernière aurait remis le passeport de l'humoriste. C'est alors que l'intéressé serait ressorti "en insultant les fonctionnaires de 'bons à rien, de bandes d'enculés', et qu'ils n'étaient jamais là pour surveiller sa maison quand il se faisait cambrioler".

    Après avoir tenté de récupérer son passeport des mains du policier, il aurait fait semblant de donner des coups de pieds dans le véhicule de police, puis "saisi la portière ouverte du véhicule", avant de la "claquer violemment, blessant le policier qui tenait le montant". C'est alors que les policiers auraient procédé à son arrestation. Très "agité", il aurait été "menotté avec difficulté". Dans le véhicule, "une policière tentant de lui mettre sa ceinture de sécurité a alors reçu un coup de genou". Durant le trajet, les injures ont fusé. Toujours de source policière, "entendu librement", le comédien aurait reconnu "son énervement, certaines insultes et le tutoiement, avoir claqué la portière sans intention de blesser un policier et s'être débattu dans le véhicule". C'est lors de la confrontation qu'il serait revenu partiellement sur ses déclarations.


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  • Finkytraining (niveau bling-bling)

     

    pour en savoir plus (bof!)


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  • Chelsea Clinton s'est mariée

    RHINEBECK, New York (AP) — Chelsea Clinton, la fille unique de l'ancien président des Etats-Unis et de l'actuelle secrétaire d'Etat, a épousé samedi soir son petit ami de longue date, le banquier Marc Mezvinsky, lors d'une cérémonie à Astor Courts, une élégante propriété sur les rives de l'Hudson.


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  • Finkytraining : niveau expert

     

    Avertissement : avant de visionner cette video, il est vivement conseillé de faire une FINKYTHERAPIE


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  • Ton futur Président avec ton Président
     
     
     
    collection Finky

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  • Ton futur Président et son pote le Président
     
     
     
    collection Finky

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  • Marie-George Buffet

    née Marie-George Kosellek le 7 mai 1949 à Sceaux (Hauts-de-Seine), est une femme politique française, secrétaire nationale du Parti communiste français depuis octobre 2001.


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  • Bernard-Henri show :

    Comble de l’immoralité alors même que des commandos de l’armée israélienne s’apprêtaient à attaquer dans les eaux internationales la Freedom Flotilla * comprenant 6 bateaux environ 700 passagers et 10 000t d’aide humanitaire venue pour briser le blocus de Gaza, BHL dans son discours d’ouverture dimanche soir 30/05/2010 d’une conférence organisée par l’ambassade de France à Tel Aviv en partenariat avec le quotidien israélien Haaretz sur « Démocratie et Défis » -ce qui en soi est déjà choquant tant sur la thématique que du fait qu’on est en période de rigueur et que Kouchner gaspille l’argent des contribuables français - a déclaré : « Je n’ai jamais vu une armée aussi démocratique, qui se pose autant de questions morales. Il y a quelque chose d’ inhabituellement vital dans la démocratie israélienne ».


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  • Finkytraining : niveau BHL

     

    quelques heures aprés cette intervention impartiale de notre "philosophe" "national", et par un simple hasard antisémite, Polanski est mis en cause par une actrice britannique Charlotte Lewis


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  • Ta Finkysérie sur ARTE : Au revoir les enfants

    Au revoir les enfants
    • Titre original : Au revoir les enfants
    • Genre : Drame
    • Nationalité : français
    • Année de production : 1987
    • Durée : 1h42min
    • Réalisateur : Louis Malle

     


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  • Finkytraining : niveau débutant

     

    Notre Bruel "national"(Patrick Bruel, né Maurice Benguigui[1],[2], le 14 mai 1959 à Tlemcen, en Algérie française, ). plus franchouillard que jamais. Regarde la video jusqu'au bout (si tu veux, tu peux !) et engrange tes points finkys.


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  • Test Finky : es-tu un néo-antisémite ?

    si à la fin de cette video tu suspectes chez toi quelque relent antisioniste, tu dois entamer une finkytherapie FINKYTHERAPIE


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  • Une sénatrice dénonce le “deux poids, deux mesures” après le meurtre de Saïd Bourarach

    La sénatrice verte Alima Boumediene-Thiery fait un parallèle entre le meurtre de Saïd Bourarach, vigile décédé le 30 mars à Bobigny après avoir été agressé par plusieurs personnes de confession juive, et le meurtre d’Ilan Halimi ; elle dénonce le silence relatif des médias sur cette nouvelle affaire. La sénatrice a tenu ces propos samedi, lors d’une marche organisée à Paris en la mémoire de Saïd.

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  • Ta Finkysérie sur ARTE : Ce n'étaient pas tous des assassins


    Ce 
n'étaient pas tous des assassins

    • Genre : Téléfilm
    • Pays : Allemagne
    • Nationalité : allemand
    • Date de sortie : 2006
    • Durée : 1h34
    • Tous publics

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  • Dossier Finky : BHL ou la philosophie VIP

     

     

     

    NOUVELOBS.COM | 08.02.2010 | 16:49

    Ce devait être le grand retour philosophique de BHL. Patatras! L'opération semble compromise par une énorme bourde contenue dans "De la guerre en philosophie", à paraître le 10 février. Une boulette atomique qui soulève pas mal de questions sur les méthodes de travail béhachéliennes.

    Bernard-Henri 
Lévy

    Bernard-Henri Lévy (Sipa)

    Ce devait être le grand retour philosophique de Bernard-Henri Lévy. Patatras ! L’opération semble compromise par une énorme bourde contenue dans « De la guerre en philosophie », livre à paraître le 10 février. Une boulette atomique qui soulève pas mal de questions sur les méthodes de travail béhachéliennes

    Nul ne peut plus l’ignorer, Bernard-Henri Lévy, « ennemi public » ainsi qu’il se présentait à l’automne 2008 dans sa correspondance avec Michel Houellebecq, est de retour dans les magazines. Tous les magazines. Lorsque nous l’avions invité à débattre au « Nouvel Observateur », le 13 janvier dernier, avec le philosophe Slavoj Zizek, un de ses adversaires, nous étions encore loin de deviner l’ampleur de la tornade à venir. Grand entretien dans « l’Express », portrait d’ouverture dans « Paris Match », couverture de « Transfuge », panégyrique dans « le Point » signé Christine Angot, interview de six pages dans « Marianne ». On en oublierait presque une chose. La cause occasionnelle, le détail à l’origine d’une telle profusion : la parution de deux livres, le 10 février prochain chez Grasset. Un épais « Pièces d’identité », recueil de textes et d’entretiens déjà parus sur toutes sortes de supports, et « De la guerre en philosophie », version remaniée d’une conférence prononcée en 2009 à l’ENS de la rue d’Ulm.
    Plaidoyer pro domo en faveur d’une œuvre injustement décriée, la sienne, ce second opus d’environ 130 pages, « De la guerre en philosophie », se présente comme le « livre-programme » de la pensée béhachélienne. Un « manuel pour âges obscurs, où l’auteur « abat son jeu » et dispose, chemin faisant, les pierres d’angle d’une métaphysique à venir » – rien de moins, trompette l’éditeur au dos de la couverture. On l’aura compris, ce livre devait signer le grand retour de BHL sur la scène conceptuelle dite sérieuse. Son ultime plaidoirie face à une caste philosophique qui l’a depuis toujours tourné en dérision, de Deleuze à Bourdieu, en passant par Castoriadis. Une lecture attentive dudit opuscule révèle cependant que l’affaire est assez mal engagée.
    « La vraie question pour une philosophie, c’est de savoir où sont vos adversaires, et non où sont vos alliés. » Ainsi l’auteur se lance-t-il, chemise au vent et sans crampons, à l’assaut de quelques contemporains gauchistes renommés, mais aussi de Hegel ou de Marx, « cet autre penseur inutile, cette autre source d’aveuglement », notamment reconnu coupable de ne pas donner les moyens de penser le nazisme. A la décharge, l’idéalisme et le matérialisme allemands, toutes ces conneries superflues! Bernard-Henri Lévy ne s’est jamais laissé intimider par les auteurs mineurs.
    Il s’en prend tout aussi fougueusement à Kant, « ce fou furieux de la pensée, cet enragé du concept ». Un peu audacieux de la part d’un penseur qui ne peut, somme toute, revendiquer à son actif qu’un brelan de concepts pour news magazines comme le « fascislamisme »? Même pas peur. BHL a des billes. Le vieux puceau de Königsberg n’a qu’à bien se tenir. A la page 122, il dégaine l’arme fatale. Les recherches sur Kant d’un certain Jean-Baptiste Botul, qui aurait définitivement démontré « au lendemain de la seconde guerre mondiale, dans sa série de conférences aux néokantiens du Paraguay, que leur héros était un faux abstrait, un pur esprit de pure apparence ». Et BHL de poursuivre son implacable diatribe contre l’auteur de « La Critique de la raison pure », « le philosophe sans corps et sans vie par excellence ».
    Il en sait des choses, Bernard-Henri Lévy. Le néo-kantisme d’après-guerre. La vie culturelle paraguayenne. Seul problème, Jean-Baptiste Botul n’a jamais existé. Pas plus que ses conférences dans la pampa, auxquelles BHL se réfère avec l’autorité du cuistre. Ce penseur méconnu est même un canular fameux. Le fruit de l’imagination fertile de Frédéric Pagès, agrégé de philo et plume du « Canard enchaîné », où il rédige notamment chaque semaine « Le journal de Carla B. ». Un traquenard au demeurant déjà bien éventé depuis la parution de « La vie sexuelle d’Emmanuel Kant », pochade aussi érudite qu’hilarante publiée en 1999 (et rééditée en 2004) aux éditions Mille et une nuits sous le pseudonyme de Botul. Une simple vérification sur Google aurait d’ailleurs pu alerter le malheureux BHL. Le même Botul y est en effet aussi répertorié pour avoir commis une œuvre au titre prometteur : « Landru, précurseur du féminisme ».
    Renseignement pris, personne ne s’était encore jamais pris sans airbag cet énorme platane. C’est désormais chose faite. Toutes proportions gardées, c’est un peu comme si Michel Foucault s’était appuyé sur les travaux de Fernand Raynaud pour sa leçon inaugurale au « Collège de France ». Mais alors, qu’a-t-il bien pu se passer dans le cerveau infaillible de notre vedette philosophique nationale ? Une fiche mal digérée ? Un coup de sirocco à Marrakech ? « C’est sans le moindre état d’âme que j’ai, depuis 30 ans et plus, choisi le rôle du renégat, endossé l’habit du disciple indocile, et déserté ce mouroir de toute pensée qu’est devenue l’Université », écrit Bernard-Henri Lévy. Un peu trop, sans doute.
    Ainsi se sera-t-il toujours trouvé un importun, un pédagogue indiscret et pointilleux, pour venir s’interposer entre sa personne et la gloire philosophique. Il y a trente ans, c’était l’historien Pierre Vidal-Naquet, qui avait recensé dans un texte mémorable publié par « le Nouvel Observateur » les nombreuses perles d’écolier contenues dans son essai, « Le Testament de Dieu ». Cette fois-ci, c’est un philosophe burlesque qui n’existe même pas.
    Aude Lancelin
    Source : Bibliobs.com,


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  • Tes amis Finky : Arthur

     

    Arthur, de son vrai nom Jacques Essebag, est un animateur, producteur et humoriste français né le 10 mars 1966 à Casablanca au Maroc.

     

     

     

    * : Au sujet d’Arthur, les manifestants de Vals-les-Bains (Ardèche) n’ont pas interdit le "comique" de spectacle, ils sont venus protester contre son soutien à l’agression perpétrée sur les Gazaouis en réclamant l’arrêt des bombardements. Après plus d’une heure de manifestation et le départ des militants, c’est Arthur lui-même qui a annulé son spectacle, expliquant aux spectateurs qu’il n’avait "plus le cœur à rire". Il a ensuite déclaré : "jamais je n’aurais imaginé, que dans mon propre pays, (...) on puisse manifester contre moi uniquement parce que je suis juif", accusant la manifestation incriminée d’antisémitisme. Faux et archifaux ! Il ne fut pas la cible de manifestants uniquement parce qu’il est juif, comme il le prétend sans honte, mais en tant que soutien de la politique - criminelle ! - du gouvernement israélien. Claude Raymond, membre de l’Union juive française pour la paix, parmi les manifestants ce soir-là, recadre le débat dans Le Dauphiné libéré : "Arthur est un sioniste convaincu qui apporte son soutien financier et tient des propos sionistes insupportables". Voilà bien ce que lui reprochaient les manifestants. Peut-on taxer d’antisémitisme des membres de l’Union juive française pour la paix ? Pour les Torquemada pro-israéliens, sans aucun doute : même les juifs sont anti-juifs dès lors qu’ils n’applaudissent pas la politique d’Israël.


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  • Pierre Lellouche

     

    Finkyclub

     

    Pierre Lellouche[1], né le 3 mai 1951 à Tunis, est un avocat et un homme politique français. Il est député UMP de la 4e circonscription de Paris de 1997 jusqu'à sa nomination au secrétariat d’État chargé des Affaires européennes, le 23 juin 2009.

    État civil et études

    Fils d'un artisan tunisien de confession juive, Pierre Lellouche quitte la Tunisie à l'âge de 5 ans. Il a étudié au lycée Condorcet à Paris. Il est diplômé d’études supérieures de la Faculté de Droit de Paris X-Nanterre (1972) et de l’Institut d'études politiques de Paris (1973), Master of Laws (LLM) et docteur en droit de la Faculté de Droit de Harvard.

    Il est divorcé et père de 3 enfants.

     


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  • Rama Yade

     

    Nouvelle rubrique : le FINKYCLUB

    Rama Yade 2007 05 23 n1.jpg

     

    Rama Yade, nom usuel de Mame Ramatoulaye Yade, née le 13 décembre 1976 à Dakar[1] (Sénégal), est une femme politique française. Elle est membre de l'UMP. Elle a été secrétaire d'État auprès du ministre des Affaires étrangères, chargée des Affaires étrangères et des Droits de l'homme, à partir du 19 juin 2007. Le 23 juin 2009, elle a été nommée secrétaire d'État chargée des Sports au gouvernement François Fillon II.

     

    Elle est issue d'un milieu aisé et proche du monde politique sénégalais : sa mère est professeur et son père, professeur d’histoire et diplomate[2], fut le bras droit et secrétaire particulier du président socialiste Léopold Sédar Senghor. D'origine léboue et de confession musulmane, elle a été éduquée dans un collège catholique, l'Institution Jeanne-d'Arc de Colombes (dans les Hauts-de-Seine). Après la séparation des parents, la mère de Rama Yade et ses quatre filles vivent dans des conditions économiques délicates[2]. Rama Yade poursuit ses études en hypokhâgne au lycée Paul-Valéry et sort diplômée de l'Institut d'études politiques de Paris en 2000.

    Ramatoulaye Yade est mariée avec Joseph Zimet, conseiller au cabinet du secrétaire d'État Jean-Marie Bockel et fils du chanteur yiddish Ben Zimet.


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