• Le coût de la grippe A dépasse 1 milliard d'euros

    L'Expansion.com -  07/03/2010 12:13:00 
    REUTERS/Jean-Paul Pelissier
    Une femme se fait vacciner contre le virus de la grippe H1N1 à Marseille, novembre 2009
     

    Achat des vaccins et des masques, campagne de pub, envoi des convocations... La facture de la grippe A se monte à 1,02 milliard d'euros selon le Journal du Dimanche, qui a fait ses propres estimations. Le ministère de la Santé ne confirme pas.

    La facture pour lutter contre la grippe A/H1N1 s'élève à plus d'un milliard d'euros, indique le Journal du dimanche (JDD), qui a notamment compilé ses propres estimations du coût de paiement des vacataires et des dépenses liées aux consultations des généralistes.

    Interrogé par l'AFP, le ministère de la Santé a indiqué qu'il était "trop tôt pour valider la moindre estimation".

    "Nous sommes en train de traiter les différentes remontées chiffrées, l'objectif du ministère étant, dans un souci de transparence, de donner le coût constaté de la campagne de lutte contre la grippe", a-t-on précisé à l'AFP au ministère.

    Le JDD additionne le coût des doses de vaccins non annulées (370 millions d'euros), les 300 millions de masques (150 millions d'euros), l'achat des antiviraux (20 millions), les seringues et le coton (8,5 millions), la campagne de publicité (5,6 millions), le remboursement aux collectivités locales pour les locaux et les personnes mis à disposition (95 millions), le paiement des 10.000 vacataires (150 millions), l'envoi des 65 millions de convocations aux assurés sociaux (28 millions), l'achat du matériel pour la réanimation des cas les plus graves (5 millions), le traitement des déchets et acheminement des produits (41 millions) et les dépenses liées aux consultations de généralistes (145 millions). Total: 1,018 milliard d'euros.


    votre commentaire
  • Le virus H1N1 reviendra sans doute l'an prochain (OMS)

                                              

    18/02/2010
    Selon le professeur Lina, «on estime que plus de 60 % des moins de
 15 ans ont été contaminés, soit en étant malades, soit sous forme 
asymptomatique».
    Selon le professeur Lina, «on estime que plus de 60 % des moins de 15 ans ont été contaminés, soit en étant malades, soit sous forme asymptomatique». Crédits photo : AP

    L'épidémie est terminée en France. Les experts de l'OMS incluront sans doute ce virus dans le prochain vaccin saisonnier.

    L'épidémie liée au virus H1N1 est terminée en France, même s'il continue à circuler encore légèrement dans l'Hexagone, selon les données publiées hier par les groupes régionaux d'observation de la grippe (Grog). Mais beaucoup de questions persistent sur le devenir de ce virus pour l'avenir. Va-t-il revenir l'an prochain tel quel ? Aura-t-il subi une mutation qui modifiera ses effets ? Ce jeudi, l'Organisation mondiale de la santé devrait annoncer la composition du prochain vaccin contre la grippe saisonnière de 2011. Cette composition est décidée en effet chaque année à cette période, plusieurs mois à l'avance pour laisser le temps aux industriels de préparer les injections salvatrices. Pour les experts interrogés par Le Figaro, il y a fort à parier que la future préparation vaccinale contiendra parmi ses trois souches une du virus H1N1 pandémique en 2009. En France, plus de 10 millions de personnes ont présenté une grippe liée à ce virus au cours de la période 2009-2010, 6 à 7 millions se sont fait vacciner, et on estime très approximativement qu'environ 10 millions d'individus ont pu présenter une grippe sans symptôme, mais aboutissant tout de même à une immunisation, c'est-à-dire à une protection contre le virus.

    En outre, les réserves existantes de vaccins contre la grippe A ne pourront être utilisées pour produire les nouveaux vaccins. Selon le Dr Keiji Fukuda de l'OMS, les laboratoires peuvent toutefois, en théorie, se servir du produit en vrac.


    votre commentaire
  • Complot à l'OMS

     

    Ce matin, le numéro deux de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le docteur Keiji Fukuda, est auditionné à Strasbourg par la commission santé du Conseil de l’Europe. Les parlementaires européens veulent savoir si l’institution onusienne a subi des pressions de la part de l’industrie pharmaceutique dans sa gestion de la crise de la grippe A pour en exagérer la dangerosité.

    Ils interrogeront également un porte-parole des fabricants européens des vaccins pour savoir là encore s’ils ont cherché à influencer les experts de l’OMS.
    Ces auditions sont effectuées à la demande de l’expert médical Wolfgang Wodarg, député socialiste allemand, qui, avec quatorze autres parlementaires, de tous bords politiques, rédigeront ensuite un rapport parlementaire sur ce sujet. « Sur quelle base scientifique l’OMS a-t-elle décrété qu’il s’agissait d’une pandémie ? demande-t-il. Il faut que l’organisation s’explique sur les liens d’argent qui existent entre certains de ses experts et les laboratoires. »
    Selon notre enquête, les liens d’intérêts entre six experts de l’OMS et l’industrie pharmaceutique sont avérés. Ils faisaient partie des comités stratégiques qui ont conseillé la directrice Margaret Chan. Même s’ils affirment leur indépendance, leurs relations avec les laboratoires entretiennent les soupçons sur l’impartialité de leurs décisions au sein de l’OMS. En France, les mêmes questions se posent. Une majorité des experts du comité de lutte contre la grippe, nommés par la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, ont des liens d’intérêts avec les laboratoires qui fabriquent le vaccin et les antiviraux contre la grippe A.
    le parisien


    votre commentaire
  • Vaccination, les premiers morts

    Ce n’est une surprise pour personne, mais tout de même, les premiers morts suite à la vaccination H1N1 commencent à être décomptés.

    Si l’on se prend à comparer ce chiffre avec celui des vaccinés, à l’évidence, cela relativise ce résultat. <o:p></o:p>

    Le nombre de vaccinés dans le monde a été de 32,4 millions à la date du 11 janvier 2010.<o:p></o:p>

    Mais un mort suite à la vaccination est toujours un mort de trop.<o:p></o:p>

    Les citoyens ont-ils été suffisamment prévenus ? lien<o:p></o:p>

    Lors d’une table ronde qui s’est tenue au Sénat le 6 juin 2007, Le docteur et député Jean Michel Dubernard (qui présidait la séance) a déclaré : « il manque des données scientifiques permettant d’apprécier l’utilité des vaccins ». lien<o:p></o:p>

    le docteur Anthony Morris, virologiste déclarait : « il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de la grippe soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien, mais ils continuent de le vendre tout de même  ». lien et le docteur James R.Shannon prétendait que « le seul vaccin « sûr » est un vaccin qui n’est jamais utilisé » lien .<o:p></o:p>

    le 21 décembre 2009, ils étaient 71 morts suite à la vaccination. lien<o:p></o:p>

    le 10 janvier 2010, ils étaient 141 à être passés de vie à trépas suite à la vaccination. lien<o:p></o:p>

    Mais il n’y a pas que les morts, il y a aussi ceux qui ont subi des « effets indésirables » : au 10 janvier 2010, EudraVigilance en avait reçu un total de 12 057 rapports. lien<o:p></o:p>

    Tous les vaccins n’ont pas la même virulence : il y a eu trois vaccins autorisés par l’EMEA (European Medecine Agency) lien<o:p></o:p>

    En termes d’effets indésirables, le moins dangereux est le Cevalpan avec 356 cas signalés, suit Focetria avec 641 cas, et pour finir 8 129 cas signalés suite à la vaccination avec le Pandemrix.<o:p></o:p>

    Ces effets indésirables, (qualifiés aussi d’effets secondaires pour lisser le propos) sont de nature différente suivant le type de vaccin : Convulsions, fièvre, urticaire, gonflement des ganglions, œdèmes, troubles gastro-intestinaux…<o:p></o:p>

    Dans le corps médical, cela n’est pas contesté, mais on argumente : « entre deux maux, il faut choisir le moindre ».<o:p></o:p>

    Comme le disait le professeur Louis Claude Vincent : « personne ne réchappe aux conséquences des vaccinations, à court, moyen ou long terme ». lien<o:p></o:p>

    Mais les vaccins sont-ils « le moindre mal » ?<o:p></o:p>

    A long terme, les vaccins, en stimulant artificiellement le système immunitaire, ouvrent la porte aux maladies dégénératives, chroniques ou auto-immunes. lien<o:p></o:p>

    Le docteur et psychologue Bernard Rimland, directeur et fondateur du « Autism Research Institute  » de San Diégo, (USA) affirme : « il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination sauf des coïncidences ». lien<o:p></o:p>

    Dans « l’Australian Nurses Journal  », en 1977 Glen Dettman indiquait que « certaines souches de vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives comme l’arthrite rhumatoïde, la leucémie, le diabète, et la sclérose en plaque  ». lien<o:p></o:p>

    Richard Moskowitz, médecin, est convaincu que « les vaccins peuvent, à long terme mener à une déficience du système immunitaire et causer  des maladies considérablement plus graves que la maladie originale, impliquant des structures plus profondes, plus d’organes vitaux et ayant moins la possibilité de se résorber spontanément ». lien<o:p></o:p>

    Or plus définitif que les effets indésirables, il a l’effet mortel : dans les cas de vaccins H1N1 ayant provoqué la mort, le classement est à peu près le même, sauf que la vedette est tenue par Pandemrix, suivi de Cevalpan, et enfin Focetria.<o:p></o:p>

    Focetria semble donc pour l’instant être le moins dangereux.<o:p></o:p>

    Si on le compare le taux européen de mortalité au taux américain, il est de 0,28, soit dix fois plus que le taux américain.<o:p></o:p>

    En deuxième position on trouve le Cévalpan, avec 0,42, soit 15 fois le taux américain, et enfin Pamdemrix qui ferme la marche funèbre avec 0,48, soit 17 fois le taux américain.<o:p></o:p>

    L’ensemble de ces trois vaccins, avec une moyenne de 0,45 est donc de 15,5 fois le taux américain.<o:p></o:p>

    La question qui se pose aujourd’hui est :<o:p></o:p>

     Pourquoi les vaccins américains ont-ils été moins dangereux que nos vaccins européens ?<o:p></o:p>

    Y a-t-il eu précipitation en Europe ?<o:p></o:p>

    Les vaccins étaient-ils insuffisamment testés ?<o:p></o:p>

    On peut espérer que la commission européenne lèvera le voile, mais est-ce naïf de le croire ?<o:p></o:p>

    Ils sont nombreux les scientifiques qui contestent les vaccins :<o:p></o:p>

    Harris L Coulter affirme : « qu’est-ce là pour une « science » qui inflige des dégâts neurologiques à des centaines de milliers d’enfants chaque année ? » lien<o:p></o:p>

    Pour ne pas être en reste le docteur jacques Kalmar disait : « prétendre instaurer une barrière immunitaire collective par les vaccinations pratiquées aveuglément dans un contexte conditionné par l’anti-hygiène est absurde ». lien<o:p></o:p>

    Encore plus radical le docteur Jean Elmiger affirme : « il n’existe aucun vaccin qui ait fait la preuve scientifique de sa pleine efficacité et encore moins de sa totale innocuité ». lien<o:p></o:p>

    Il n’y a plus qu’à espérer qu’au cours des mois à venir la liste des morts à la suite de la vaccination H1N1 ne va pas s’allonger, car comme disait un vieil ami africain :<o:p></o:p>

    « Le léopard ne se déplace jamais sans ses taches ».


    votre commentaire
  • Grippe A: 20 millions de Français infectés à leur insu... et immunisés ?

     

    Par Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences <script type="text/javascript"> var addthis_pub="futurasci"; var addthis_language = "fr"; var addthis_header_color = "#ffffff"; var addthis_header_background = "#000000"; var addthis_options = 'facebook, email, twitter, favorites, digg, delicious, myspace, google, live, technorati, linkedin, more'; var addthis_localize = { email_caption: "Email", more: "autres...", email: "Email"}; </script><script type="text/javascript" src="http://s7.addthis.com/js/200/addthis_widget.js"></script>

    Sur cinq personnes infectées par le virus A(H1N1) pandémique, une seule présenterait des symptômes caractéristiques. Les autres ne s'en apercevraient même pas et seraient alors immunisées. C'est le résultat d'une étude française, qui pousserait donc à revoir à la baisse la dangerosité de cette grippe.

    Face à la pandémie grippale, il y a ceux qui échappent au virus et ceux qui l'inhalent. Et parmi eux, certains deviennent malades tandis que les autres ne montrent aucun signe. On les dits asymptomatiques. Pour la grippe saisonnière classique, on estime qu'ils sont 50%.

    Et pour la grippe pandémique ? Une équipe de l'université d'Aix-Marseille a voulu le savoir et a lancé l'étude SéroGrippeHebdo, avec l'aide de l’Institut de veille sanitaire (INVS) et l’Institut de microbiologie et maladies infectieuses (IMMI). Quand un virus a tenté d'envahir le corps mais qu'il a été efficacement vaincu par les défenses immunitaires de l'organisme, il reste dans le sang des traces de cette lutte, en l'occurrence des anticorps spécifiques de ce virus. Il suffit de repérer ces anticorps dans le sérum sanguin pour estimer la proportion de personnes ayant un jour rencontré le virus (on parle d'une mesure de la séroprévalence).

    Les médecins ont choisi comme cobayes les femmes enceintes, de 20 à 39 ans, au premier trimestre de la grossesse et bien sûr non vaccinées contre la grippe A. Il leur était proposé un test supplémentaire, effectué chaque semaine, de recherche d'anticorps contre le virus grippal en plus des contrôles habituels pour détecter la rubéole ou la toxoplasmose.

    Quatre cas asymptomatiques sur cinq ?

    Résultat étonnant : au cours de la première semaine de décembre, 10,6% des 500 femmes enceintes contrôlées possédaient les anticorps dirigés contre le virus de la grippe A pandémique. Elles l'avaient donc rencontré. Or, la même semaine, les réseaux Sentinelles, qui comptabilisent les consultations médicales, ont observé que 2% seulement des personnes de cette tranche d'âge ont consulté un médecin pour des symptômes grippaux.

    La conclusion de l'étude, qui vient d'être publiée sur le récent site PlosOne Influenza, une collection d'articles scientifiques sur la grippe en accès libre, est donc que la quantité de personnes touchées par le virus A(H1N1) pandémique est bien plus élevée qu'on ne le pense. A l'aune de ces données brutes, sur cinq personnes infectées, une seule consulterait pour des symptômes grippaux. Les quatre autres ne ressentiraient rien ou si peu qu'elles ne se rendraient pas chez le médecin.

    Le nombre de cas asyptomatiques serait donc de 4 sur 5, un taux énorme par rapport à la grippe saisonnière et son 1 sur 2. L'INVS, de son côté, estime dans son dernier Bulletin épidémiologique hebdomadaire que cette proportion est de 30%.

    En extrapolant simplement les chiffres de l'étude à l'échelle de la population française métropolitaine, l'équipe estime que 1,712 million d'hommes et de femmes de cette tranche d'âge ont été infectés par le virus. A l'échelle de la population française, puisque cinq millions de personnes ont consulté un médecin pour des symptômes grippaux depuis le début de l'épidémie, on peut alors estimer à 20 millions le nombre de personnes ayant rencontré le virus.

    Cette population serait donc désormais naturellement immunisée contre le virus. Les auteurs de l'étude (Antoine Flahault, Xavier de Lamballerie, Camille Pelat, Nicolas Salez et Thomas Hanslik) sont toutefois prudents et veulent des chiffres plus précis pour conclure. Selon eux, tout de même, l'étude montre que les cas asymptomatiques sont plus nombreux pour la grippe A(H1N1) pandémique que pour la grippe saisonnière.


    votre commentaire
  • Ce qui suit est une traduction d'un article paru sur le site The Flu Case ce 20 décembre, lui-même inspiré d'articles du Zeit et du Tagespiegel.

     

     LES ETATS MEMBRES DU CONSEIL DE L'EUROPE DECIDES A ENQUETER SUR LA CAMPAGNE DE VACCINATION ET SUR L'OMS EN JANVIER 2010

     

    Les Etats membres du Conseil de l'Europe ont décidé de lancer une enquête en janvier 2010 sur l'influence qu'auraient pu avoir les compagnies pharmaceutiques sur la campagne globale de la grippe porcine, en se focalisant tout spécialement sur l'influence qu'aurait pu avoir l'industrie pharmaceutique sur l'OMS, s'il faut en croire les médias allemands.

     

     C'est le Dr Wolfgang Wodarg, ancien parlementaire SPD et président du comité européen de la Santé qui a lanc él'enquête. La motion a été adoptée à l'unanimité par ses collègues au comité du Parlement Européen à la Santé.

    Le Dr Wodarg acritiqué les mesures qui ont été prises pour lutter contre la grippe porcine et les a considérées comme "un des plus grands scandales médicaux du siècle".

     

    Le Dr Wodarg a précisé que l'influence de l'industrie pharmaceutique sur les scientifiques et les officiels gouvernementaux a eu pour conséquence que " des millions de gens en bonne santé ont été exposés inutilement aux risques d'un vaccin insuffisamment testé..."

     

    (...) Le Dr Wodarg a également critiqué la manière dont les firmes pharmaceutiques ont réalisé des profits colossaux sur le dos des citoyens.

    Il a également accusé les fabricants de vaccins d'aller jusqu'à accepter d'infliger des dommages corporels dans leur poursuite de profits, faisant allusion au fait que les adjuvants du vaccin contre la grippe porcine ont à peine été testés. Il précise que les effets secondaires du vaccin y compris les  paralysies n'ont pas été correctement rapportés.

     

    Le Dr Wodarg aprécisé que le rôle joué par l'OMS, de même que sa déclaration d'urgence pandémique en juin doivent faire l'objet d'un examen particulièrement attentif  au cours de l'enquête parlementaire européenne....

    (...) En élevant la grippe porcine au niveau de pandémie, les pays se sont vus contraints d'exécuter les plans prévus pour une pandémie, ainsi que d'acheter des vaccins contre la grippe porcine.

     

    Comme l'OMS n'est sujette à aucun contrôle parlementaire, le Dr Wodarg a précisé qu'il était absolument nécessaire pour les gouvernements d'insister sur l'aspect "responsabilité".

    Il ne devrait pas être permis à une organisation qui est clairement sous l'influence des compagnies pharmaceutiques et qui tirent profit de la vente des vaccins pour une telle pandémie, de définir elle-même en quoi consiste une pandémie. Beaucoup de décideurs de l'OMS ont travaillé pour l'industrie pharmaceutique et continuent de travailler pour cette industrie.

     

    L'enquête a aussi pour objectif d'étudier le rôle qu'ont joué les Instituts Paul-Ehrlich et Robert Koch en Allemagne.


    votre commentaire
  • Le vaccin contre la grippe A H1N1 contient-il des produits toxiques ?


    Publié le : samedi 19 décembre 2009 | Khalil.Hedna@setif.info

    <script type="text/javascript" src="http://fr.clickintext.net/?v=3.0&a=7388&s[c]=CC0000&s[co]=0000FF&t[cit]=1&n=5"></script>

    Selon des sources officielles de l’Institut Pasteur, les résultats des analyses effectuées sur le vaccin de la grippe porcine A H1N1, importé par le ministère de la santé et produit par le laboratoire canadien GSK, ce dernier ne possède pas l’autorisation de commercialisation au Canada, contiendrait des produits toxiques entre autres le plomb qui serait la cause de la mort des rats de laboratoire sur lesquels le vaccin a été essayé.

    Dans le même contexte et selon la même source, l’Institut n’était pas d’accord sur les conditions du contrat établies entre le ministère de la santé et les laboratoires, à savoir la clause 15 qui stipule que dans le cas de décès ou d’effets secondaires dus au vaccin la responsabilité incombe à l’Institut Pasteur et non pas à la société productrice du vaccin. Chose qui selon la direction de l’institut pasteur, n’est pas conforme aux normes régulières mentionnées dans le cahier des charges.

    Le docteur Touabti de l’institut de pasteur démis de ses fonctions

    Suite aux résultats des analyses effectuées sur le vaccin de la grippe porcine A H1N1, importé par le ministère de la santé et qui selon les résultats, il contiendrait des produits toxiques entre autres le plomb qui serait la cause de la mort des rats de laboratoire sur lesquels le vaccin a été essayé, il s’est avéré que ces résultats ont été faussés par l’inattention du docteur Touabti, responsable de ces analyses, du fait qu’elle a « surdosé » la quantité du vaccin administrée aux rats (0,5 au lieu de 0,21) ce qui a causé la mort de ces animaux. A cet effet, et selon une source concordante du ministère de la santé, il est mis fin aux fonctions du Dr Touabti pour faute professionnelle.


    votre commentaire
  • Grippe A : des médecins critiquent l'usage systématique du Tamiflu®

    La semaine dernière, les autorités sanitaires françaises ont recommandé l'élargissement de la prescription des antiviraux, tels que le Tamiflu®, à tous les patients grippés. Ces médicaments sont désormais disponibles gratuitement en pharmacie, sur prescription médicale. Plusieurs organisations de médecins critiquent cette stratégie.

    Le principal argument des autorités sanitaires pour la prescription systématique des médicaments antiviraux, repose sur la diminution des complications et formes graves de la grippe H1N1. Or, "les données disponibles pour la grippe saisonnière ne sont pas en faveur de l'utilisation systématique des antiviraux pour les patients présentant des signes cliniques de grippe" souligne le Collège national des généralistes enseignants (CGNE). En effet, une étude scientifique vient de remttre en cause l'efficacité du Tamiflu® dans la réduction des complications et des cas graves de grippe H1N1. L'organisation médicale ne recommande donc pas l'usage systématique des antiviraux.

    Par ailleurs, le Formindep, un collectif de médecins pour l'indépendance de l'information médicale, a adressé hier une lettre ouverte au Directeur général de la Santé, le Pr Didier Houssin. "Ces recommandations sont en contradiction avec les données scientifiques fiables actuellement portées à notre connaissance" indique le collectif, citant à nouveau l'étude qui fait polémique. "L'oseltamivir n'a jamais démontré aucun effet sur la diminution de la mortalité ni le taux d'hospitalisation des personnes atteintes d'un syndrome grippal à l'exception d'une méta-analyse entièrement contrôlée par le laboratoire Roche commercialisant le Tamiflu®" note le Dr Philippe FOUCRAS, Président du Formindep.

    En réponse à ces réactions, Didier Houssin s'est justifié hier en conférence de presse. Selon lui, "cette recommandation de l'élargissement de la prescription des antiviraux vise à limiter les conséquences d'une grippe pandémique dont on a vu déjà les impacts". Il cite également des observations faites au Chili et en Argentine. Le taux de mortalité de la grippe A serait beaucoup plus faible au Chili, où l'utilisation des antiviraux était large, qu'en Argentine où ces traitements étaient réservés aux cas graves. Le directeur général de la santé a également précisé que "la pharmacovigilance concernant les antiviraux ne met pas en évidence d'effets indésirables importants et donc c'est un élément qui encourage à leur utilisation".

    Des arguments insuffisants pour le CNGE qui revient à la charge. Selon l'organisation, la prescription massive d'antiviraux pourrait provoquer "plusieurs millions d'effets indésirables dont certains graves", tels que des nausées ou vomissements, des douleurs abdominales, des troubles du sommeil et, très rarement, des effets neuropsychiatriques graves (0,5 %). De même, le CNGE estime que les données provenant d'Amérique du Sud n'ont "aucune valeur scientifique", et demande à Didier Houssin "de dévoiler les arguments scientifiques et les niveaux de preuve sur lesquels s'appuie ce changement soudain de recommandation".

    Michel Chassang, le président du premier syndicat de médecins libéraux, la CSMF, s'est lui aussi indigné de cette décision. "Nous passons d'une stratégie de prévention à un système curatif, c'est regrettable. C'est la preuve que le système organisationnel de vaccination a été contre-performant, et maintenant on vide les stocks de Tamiflu® pour ne pas se ridiculiser" a-t-il confié au Monde.

    Sarah Laîné

    Source :
    Conférence de presse, ministère de l'intérieur - 15 décembre 2009


    votre commentaire
  • Témoignages d’effets indésirables violents

    C’est bien connu : les effets indésirables des vaccins contre la grippe A/H1N1 sont dérisoires, une petite démangeaison locale, quand il y en a. D’ailleurs le gouvernement en est tellement persuadé qu’il vous fera signer une décharge avant la piqûre. Tellement persuadé, que les laboratoires bénéficient d’une immunité juridique. Avez-vous entendu parler d’effets indésirables violents suite aux vaccinations, au sacro-saint journal de 20h ? Moi pas. Et ne pas aborder le sujet, c’est laisser entendre qu’il n’y a pas matière à disserter.

    Pourtant, la réalité du terrain est bien différente. Si la plupart des vaccinations se passent, pour l’instant, correctement, les couacs commencent à se multiplier et certains d’entre eux sont peu rassurants. Pour l’instant, car le squalène, utilisé dans la guerre du golfe, qui a provoqué une hécatombe dans les rangs américains plusieurs années après avoir été administré, pourrait refaire parler de lui (0) . Mais, même en se focalisant sur l’instant, la vérité commence à prendre forme.
     
    Car, outre le doute sur le vaccin lui-même, vient s’ajouter la véritable débandade dans l’organisation de la campagne. En regard des personnels de santé non formés et réquisitionnés manu-militari, ce sont les conditions de vaccination qui commencent à être mises en causes, des « étudiants qui vaccinent sans autorisation », parfois sans médecin qui supervise, et à la chaîne – jusqu’à 600 vaccinations par jour et par étudiant : « De plus en plus de cas d’accidents, de patients qui reçoivent des surdoses, remontent à mes oreilles. Car ce ne sont pas les mêmes étudiants qui préparent le vaccin (mélange d’une base et d’un adjuvant) et ceux qui l’administrent. Or le vaccin n’est pas le même pour tous ! », rappelle Thierry Amouroux, secrétaire du Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI). (1)
     
    Un vaccin douteux, des novices réquisitionnés, acculés dans les centres à coup de chantage administratif, qui manient la seringue à la manière des « temps modernes » de Charlie Chaplin, que peut-il sortir de bon de cette foire du trône médicale ? Qu’on en juge :
     
    « je me suis faite vaccinée par pandemrix le 1er décembre, dans les deux jours qui ont suivis, rien si ce n’est la douleur dans le bras, le 3e jour reveil 3/4 h après m’être endormie par des tremblements et l’insensibilité de mes pieds jusqu’aux genoux. En totale panique j’ai appelé le 15 qui m’a dit d’attendre et de rappeler si cela persistait, dans la foulée j’ai eu la diarrhée et depuis ça va de mal en pis, je ne dors plus j’ai une douleur dans la poitrine. J’ai consulté et attend mes résultats sanguins ce soir, je pense que suivant cela je me rendrais aux urgences car je ne me sens vraiment pas bien. » (2)
     
    « Je suis médecin hospitalier, à ce titre j’ai fait parti de la 1ère vague de vaccinations. Et bingo, 3 jours aprés l’injection, je me suis trouvé être l’un des 4 premiers patients à avoir un effet indésirable grave. "homme de 34 ans, avec paresthésies..." d’aprés l’Afssaps. Je vous épargnerai les détails, mais bilan des courses : 1ère poussée de sclérose en plaque, et déjà un mois d’arrêt de travail. » (3)
     
    « Samedi 21 novembre , j’ai commencé à sentir des sensations anormales dans ma main gauche : picotement, engourdissement, froid. Ensuite se fut le tour de tout mon bras gauche puis le droit, ce qui m’a conduit lundi 23 novembre, à me rendre chez mon médecin traitant avec 2 bras complétement engourdis et des fasciculations sur tout le corps (myokimies m’a précisé le médecin). Mon médecin traitant m’a dirigée, en suspectant un syndrome de Guillain Barré sur le service de médecine interne de l’hôpital le plus proche pour rencontrer le médecin chef de service. Lorsque je me suis présentée dans le service, celui-ci a pris moins de 2 minutes dans les couloirs pour me dire de revenir vendredi 27.... » (4)
     
    « je suis très inquiète, ma soeur s’est faite vacciné dimanche dernier avec pandemrix, une heure après elle a ressenti comme un enorme mal de tete et dès le lendemain des fourmillements sont apparus dans les bras et les cuisses, les pieds, le visage... 3 jours apres ayant toujours des fourmillements, le centre de vaccination lui conseille de se rendre aux urgences lui informant que son état n’etait pas normal. Aujourd’hui vendredi nous en sommes là : toujours des fourmillements et quelques maux de tête ..... mais surtout une inflammation au cerveau (lésion) datant de moins de 2 mois, nbre de ???? élevé à 4 après ponction lombaire donc il y a une inflammation et on doit lui faire un irm de la moelle epinière au cours du week end..... Le médecin ne nie pas le lien avec le vaccin, une déclaration va être faite mais aucun résultat ne peut le prouver. Elle a 32 ans et n’avait jamais eu ce type de symptome precedement. » (5)

    « Bonsoir, alors voilà vaccin fait pour moi et mon fils hier soir à 17h44 lol pour être précise avec le vaccin Celtura, hier aucun problème, aucune douleur ni pour mon fils, ni pour moi. Ce matin 5h30 mon fils se réveille m’appelle je vais le voir il venait de vomir dans son lit et me disait avoir très mal, je le touche il était plus que brûlant ! Je lui change son lit, lui apporte une poche de glace enroulée dans un linge, je lui donne du frais à boire, j’essaye de lui faire prendre de l’algifor en sirop mais il a refusé, impossible de lui faire avaler, je prends sa température 39,9 c° alors qu’il allait parfaitement bien en allant se coucher. Bref nuit catastrophique, il dort à moitié tous en gémissant par moment et en parlant mais genre hallucination il me disait qu’on était chez le médecin alors qu’on était à la maison, bref il n’allait vraiment pas bien, j’ai été cherché mon duvet, mon oreiller et je suis restée près de lui toute la nuit à dormir parterre au pied de son lit (enfin dormir quelques minutes, se réveiller, et ainsi de suite.) Ce matin 8h40 il se réveille vraiment, mais il n’arrive pas se lever comme les jambes en coton, à peine il voulait se lever il retombait, j’ai appellé la hotline d’urgence pédiatrique (urgence je sais qu’ils sont débordés mais quand même, plus d’1h pour pouvoir les atteindres...) car toujours 39c° de fièvre et justement il restait couché en plutôt plié en deux en me disant qu’il arrivait pas se lever et qu’il avait sommeil. » (6)
     
    « Durant la nuit de lundi à mardi, j’ai eu beaucoup de fièvre. Je me suis réveillée avec mon bras gonflé. Je ne pouvais plus le bouger ». Résultat, une semaine d’arrêt pour la jeune fille et des regrets : « Si j’avais su, je ne me serais jamais fait vacciner. Les patients ne sont pas prévenus que de tels effets peuvent arriver ». Avertie par plusieurs de ses patients, la doctoresse de l’étudiante décide de ne plus les envoyer se faire vacciner. (7)

    « J’ ai été vacciné y a 15 jours et j’ ai eu très mal au bas du dos pendant 8 jours ( sacrum déplacé car parti plus faible de mon corps ).Ma femme est vacciné depuis hier et se retrouve au lit avec le dos deglingué »


    votre commentaire
  • Comment choper la grippe : faire la queue pour un vaccin foireux

     


    votre commentaire
  • Vaccin H1N1: « Si j’avais su, je ne me serais jamais fait vacciner ! »

     

    Au centre de vaccination du Mirail, l’heure de la piqûre est arrivée pour cette retraitée toulousaine : « j’ai une peur bleue des aiguilles ». Bouffées de chaleur, vertiges et malaises sont au rendez-vous pour les angoissés du vaccin. Mais parmi les 43 071 Haut-garonnais vaccinés contre la grippe A, certains réagissent mal et les jours qui suivent l’injection sont difficiles. Bien loin des « petits » effets secondaires annoncés. « Lundi dernier, j’ai accepté de faire le vaccin contre la grippe A. On m’a prévenu que je pouvais avoir une petite montée de fièvre », explique une jeune étudiante toulousaine qui a préféré garder l’anonymat.

    « Si j’avais su… »

    Des effets secondaires peuvent intervenir après un vaccin, peu importe lequel. Des maux de tête par-ci, des coups de fatigue par-là et des petites montées de fièvre de temps à autre. Rien de bien méchant. Mais le cas de cette jeune fille est sensiblement différent : « Durant la nuit de lundi à mardi, j’ai eu beaucoup de fièvre. Je me suis réveillée avec mon bras gonflé. Je ne pouvais plus le bouger ». Résultat, une semaine d’arrêt pour la jeune fille et des regrets : « Si j’avais su, je ne me serais jamais fait vacciner. Les patients ne sont pas prévenus que de tels effets peuvent arriver ». Avertie par plusieurs de ses patients, la doctoresse de l’étudiante décide de ne plus les envoyer se faire vacciner.

    Une médecin généraliste de la rue Saint-Michel a aussi été surprise par les effets secondaires : « Pendant les quatre jours qui ont suivi le vaccin j’ai eu des courbatures, des nausées. J’étais très fatiguée. Mon bras a aussi gonflé et j’ai dû utiliser des compresses alcoolisées ».

    Alors ce vaccin est-il dangereux ? « Il faut mener une enquête, on ne sait pas si c’est le vaccin qui est la cause de tout cela », affirme Frédéric Pozzobon, président départemental du syndicat MG France. Pour répondre à cette interrogation, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, permet aux médecins et patients de déclarer d’éventuels effets indésirables. Mais a priori, ce vaccin n’est pas plus dangereux qu’un autre. Pour preuve, 97 % des effets secondaires déclarés sont bénins. Il suffit juste de se préparer au contrecoup du vaccin.

    Source: La dépêche (France)


    votre commentaire
  • Un début de vérité sur la grippe porcine (dite H1N1)
    dimanche 13 décembre 2009

    popularité : 55%

    Par Fabrice Nicolino

    Thibault Schneeberger, de Genève, vient de m’envoyer un cadeau royal, et je l’en remercie chaleureusement. Il s’agit d’un documentaire de la télé suisse romande, remarquable de la première à la dernière image. Vite, vite ! On peut, pour le moment en tout cas, le visionner depuis un ordinateur (ici). De quoi parle-t-il ? De cette grippe porcine que les autorités officielles ont préféré - opportunément - appeler H1N1.

    Je vous ai parlé plus d’une fois de cette affaire extraordinaire, dès ce printemps (ici), m’étonnant que personne ne pointe le doigt sur le village mexicain de La Gloria, où se trouve une immense porcherie industrielle, Granjas Carroll, filiale du géant américain Smithfield Foods, le plus gros producteur mondial de porcs. Smithfield Foods, et je vous souhaite bon appétit, est le propriétaire en France de Justin Bridou et de Cochonou, entre autres. La première victime de la grippe porcine est un gamin de La Gloria, ce que les autorités ont longtemps nié (ce point n’est pas dans le film).

    Je crois, et si je me trompe, qu’on me pardonne, que le journaliste Ventura Samara est le seul, en tout cas en langue française, à avoir mené une enquête à La Gloria. Je ne vais pas vous raconter le film, mais vous livrer quelques impressions, brut de décoffrage. On y voit le réel, c’est aussi simple que cela. J’ajoute que je connais le Mexique, et que, quand j’entends Dona Teresa Hernandes Rivera - une petite dame - parler de la corruption généralisée, je n’ai guère besoin de preuves. Quand j’entends le ministre de la Santé José Angel Cordoba dire : « Tous les standards de l’environnement et de l’eau à la porcherie Granjas Carroll sont respectés. Le problème pourrait venir des familles qui détiennent à la maison des porcs, dans des conditions qui ne sont pas les meilleures », je n’ai pas réellement besoin d’une autre démonstration.

    Et pourtant ! Et pourtant ce film m’a soufflé. Il y a plus de neuf chances sur dix pour que la grippe qui affole notre système de santé soit né autour de cet élevage concentrationnaire de porcs. Immonde est encore un faible mot. Des centaines de cadavres de porcs croupissent en permanence dans des fosses au contact du sol et de la nappe phréatique. Savez-vous combien cette soi-disant ferme compte de porcs ? 100 000 ! La nourriture OGM vient par trains du Canada ou des États-Unis, aucun officiel, aucun vétérinaire autre que ceux de la transnationale ne pénètrent dans les locaux, où tout est automatisé. Une poignée d’ouvriers règne sur un empire de bidoche. Des lagunes sont emplies de merde de cochons et de seringues qui ont servi à piquer les animaux à coup d’hormones et d’antibiotiques. Les rats prolifèrent, les chiens errants prolifèrent, qui bouffent du porc mort au champ d’horreur, avant d’aller se faire caresser par les gosses du village.

    Aucune analyse d’eau, d’air, de poussière n’a été ordonnée. Sur les centaines de prises de sang effectuées sur les villageois, aucune n’a été rendue publique. Officiellement, seul un petit gosse aurait donc été touché par la grippe. C’est crédible. Très. Des centaines d’habitants de La Gloria et des environs ont été touchés, et le sont, par des maladies respiratoires atypiques. Mais tout le monde s’en contrefout car, comme le dit sans ciller le ministre, « les investisseurs étrangers sont les bienvenus ». Tu parles ! Le traité de libre-échange Alena, préparé sous Bush père, mais signé par Bill Clinton, a changé le Mexique en une colonie. À La Gloria, les médecins ne veulent pas parler, car ils ont PEUR. L’un d’eux, masqué, raconte l’incroyable sort sanitaire fait aux habitants, et conclut que, si personne ne veut parler, c’est parce que chacun craint d’être tué. Tué, c’est aussi simple que cela.

    Ce que j’appellerai un énième chapitre de l’histoire vraie du monde, au temps du choléra planétaire.

    PS : Que faire ? Ce qui précède n’est pas une réponse à cette question obsédante. Je tenterai de donner d’ici peu un article sur le sujet, mais en attendant, réfléchissons un peu. Il faudra de toute façon commencer par quelque chose. En l’occurrence, s’il existait un mouvement réel de la société, il est évident que nous serions une bonne centaine à occuper jour et nuit le siège de Justin Bridou. Et que nous n’en sortirions pas, en tout cas pas volontairement, tant qu’une mission indépendante n’aurait été formée pour enquêter à La Gloria sur la situation des riverains de la porcherie industrielle. Il me paraît qu’une action de cette nature aurait un sens. Mais le mouvement susceptible de lancer ce genre de choses n’existe pas. Il est à inventer.

    fabrice-nicolino.com


    votre commentaire
  • Scandale à l’OMS : création de la fausse pandémie H1N1

     

    Vendredi 11 Décembre 2009


    Scandale à l’OMS : création de la fausse pandémie H1N1

    Surnommé « Dr. Flu », le professeur Albert Osterhaus, de l'Université Erasmus à Rotterdam en Hollande a été désigné par les chercheurs et les médias Hollandais comme l’homme étant au centre de l'hystérie mondiale autour de la pandémie de grippe H1N1. Osterhaus s’avère être la plaque tournante du réseau international pharmaceutique, apparenté à une véritable Mafia. Mais il est également le conseiller en chef de l'OMS pour les questions de grippe et aurait profité de sa position pour engranger pour son profit personnel des milliards d’Euros en vaccins soi disant pour guérir la grippe H1N1.
     
     
     Plus tôt cette année, la Seconde Chambre du Parlement Hollandais a ouvert une enquête sur le Dr. Osterhaus pour conflit d’intérêt et malversations financières. Ce ne seraient pas ses compétences scientifiques qui sont remises en question, mais le fait de s’être servi, selon le très réputé magazine Science, de la soi-disant pandémie de grippe H1N1, pour servir ses propres intérêts et ceux des entreprises privées pharmaceutiques.
     
     Voici la brève note publiée par Science à propos du Dr. Osterhaus le 16 Octobre 2009:  
     
     « Au cours des 6 derniers mois, on pouvait difficilement allumer sa télévision aux Pays Bas sans voir le visage du célèbre chasseur de virus, Albert Osterhaus, parler de la pandémie de grippe porcine. Ou du moins c’est ce qu’il nous a semblé. Osterhaus, qui dirige un laboratoire de virologie internationalement renommé au Centre Médical Erasmus, a été le Monsieur Grippe (Mr. Flu). Mais la semaine dernière, sa réputation en a pris un coup après qu’il ait été accusé de jouer sur la peur de la pandémie pour favoriser ses propres intérêts commerciaux dans la mise au point de vaccin.
    Etant donné que « Science » est allé voir la presse, la Chambre des Représentants Hollandaise a même lancé en urgence un débat à ce sujet. »
     
     Mais dès le 3 Novembre, le scandale était déjà maîtrisé, la Chambre des Représentants ayant refusé de demander au Dr. Osterhaus de couper tout lien avec le Centre Médical Erasmus. Pire encore, le Ministre de la Santé Hollandais, Ab Klink, un ami personnel du Dr. Osterhaus, pour noyer le poisson, a demandé à tous les scientifiques d’annoncer leurs liens avec le secteur privé. Il a minimisé l’affaire disant que le Dr. Osterhaus n’était qu’un conseiller auprès du gouvernement parmi d’autres et que ces liens avec le secteur privé était parfaitement connu et ne sortait en rien de l’ordinaire.
     
     Le Dr. Osterhaus est un gros poisson. Au cours des 2 dernières décennies, il a été au cœur de toutes les apparitions de virus à travers le monde. En 2003, au summum de la panique liée au SRAS, il a été engagé par l’OMS et comme à chaque fois, c’est comme s’il connaissait déjà toutes les réponses à l’avance, voila ce que conclue un rapport de l’UE à son sujet:

     
     « Il a une fois de plus montré sa compétence à avancer rapidement pour aborder un grave problème. Dans un délai de trois semaines, il a prouvé que cette maladie a été provoquée par un syndrome respiratoire aigu grave, tout nouvellement découvert, qui réside chez les chats ou les civettes et chez d'autres animaux carnivores [comme les chauves-souris]. »
     
     En 1997, après la mort d’un enfant de 3 ans par le virus H5N1, censé avoir été en contact avec des oiseaux, le Dr. Osterhaus a sauté sur l’affaire et a actionné ses lobbies en Hollande et en Europe pour faire monter la panique qu’une mutation du virus H5N1 a été transmis vers l’homme, il s’est ensuite vanté d’être le premier scientifique à avoir prouvé que le virus
    H5N1 pouvait se transmettre à l’homme.
     
     Sa campagne de panique autour du H5N1 a réellement commencé à décoller en
    2005 après avoir lié la mort d’un vétérinaire Allemand au virus H5N1. Il a alors réussi à convaincre le gouvernement Allemand d’abattre toute la volaille en Allemagne. Aucune autre victime du H5N1 n’avait par la suite été déplorée, ce qu’il a imputé à l’éviction des volailles.
     
     En 2005, il déclare sur BBC :  
     « … si le virus réussi effectivement à subir une mutation de telle manière qu'il puisse se transmettre d'homme à homme, alors la situation serait complètement différente, nous pourrions être au début de la pandémie. »
     
     Osterhaus a indiqué que les excréments d’oiseaux étaient à l’origine de la contamination, mais après analyse de 100 000 échantillons d’excréments d’oiseaux, pas un seul cas de H5N1 n’a été détecté.
    Aucune contamination de masse par le H5N1 n’a été observée, mais au passage, Roche et GlaxoSmithKline & Co ont vendu pour des milliards de médicaments Tamiflu et Relenza.
     
     En Avril 2009, après qu’un enfant ait été diagnostiqué au Mexique comme étant porteur du H1N1, la directrice de l’OMS, Margaret Chan, a aussitôt déclaré « l’état d’urgence pandémique ». La prevision de pandémie de longue date, répété à plusieurs reprises par le Dr. Osterhaus finit par voir le jour. Le 11 Juin 2009, Maragret Chan a déclaré l’alerte pandémique de niveau 6, la plus haute possible, impliquant que l’OMS a autorité sur les Etats signataires (192 dans le monde) de l’OMS,les obligeant à lancer une campagne de vaccination de masse. Bizarrement dans son discours Margaret Chan déclare tout de même :
     
     « Sur la base des preuves actuelles, une majorité écrasante des patients éprouvent des symptômes doux et ont un rétablissement rapide et complet, souvent en l'absence de toute forme de traitement médical. », ajoutant que « dans le monde entier, le nombre de décès est faible… nous ne nous attendons pas à voir un bond soudain et dramatique dans le nombre d'infections graves ou mortelles. »
     
     Voila qui est bien contradictoire et suscite des questions sur les véritables raisons qui ont motivé sa décision.
     
     En effet, il s’est avéré par la suite que Mme Chan a pris sa décision selon l’avis émis par le groupe d’experts de l’OMS, le Strategic Advisory Group of Experts (SAGE), dont le Dr. Osterhaus est l’expert clé, par ailleurs également Président du European Scientific Working group on Influenza (ESWI ).
    Ce qui est intéressant avec l’ ESWI c’est qu’il est financé exclusivement par les géants pharmaceutiques, également fabricants de vaccins
    : Novartis, Hofmann-La Roche, Baxter, GlaxoSmithKline, Sanofi Pasteur et d’autres.
     
     Le Dr. Osterhaus également le conseiller en chef pour les questions de virus pour le gouvernement Britannique et Hollandais, a émis ses craintes que le virus H1N1 pourrait muter en une forme proche du virus de la grippe Espagnole, jouant sur la peur, il a ainsi préconisé une vaccination de masse à travers le monde entier.
     
     JP Morgan a estimé les profits tirés de la pandémie de grippe de 7.5 à 10 milliards de dollars.
     
     Mais ce n’est pas tout, le Dr. Osterhaus compte parmi ses amis les docteurs Frederick Hayden et David Salisbury, tout également 2 membres du SAGE et Conseilleur auprès du gouvernement Britannique (tiens tiens encore !!!) et réputés pour être les plus fervent défenseurs des groupes pharmaceutiques.
    Voila un conseil d’experts qui semble bien impartial !!!! (ironie)
     
     Dans une interview avec le magazine Allemand Der Spiegel, l’épidémiologiste Dr. Tom Jefferson de la Cochrane Collaboration, une organisation de scientifiques indépendants évaluant toutes les études ayant attrait à la grippe, a noté les implications de la privatisation de l'OMS et de la commercialisation de la santé :  
     
     « … une des caractéristiques extraordinaires de cette grippe -- et de toute la saga de grippe -- est qu’il y a certaines personnes qui font des prévisions année après année, et ils vont de pire en pire. Jusqu'ici, aucune de leurs prévisions ne s’est produit, et ces personnes sont toujours là à faire leurs prédictions. Par exemple, qu’est-il arrivé avec la grippe aviaire qui était censée tous nous tuer ? Rien. Mais cela n'a pas arrêté ces personnes à poursuivre leurs prévisions. Parfois vous avez le sentiment qu'il y a toute une industrie quasiment en attente qu’une pandémie se produise.  
     
     SPIEGEL : De qui voulez-vous parler? L'Organisation Mondiale de la Santé
    (OMS) ?  
     
     Jefferson : L'OMS et les hauts fonctionnaires de la Santé Publique, les virologues et les entreprises pharmaceutiques. Ils ont construit cette machine autour de la pandémie imminente. Et il y a beaucoup d'argent, d’influence, et de carrières, et d’établissements entiers impliqués ! …
     
     Interrogé si l'OMS avait délibérément déclaré l'Urgence Pandémique afin de générer un énorme marché pour les vaccins H1N1 et les médicaments, Jefferson a répondu :
     
     « Ne pensez-vous pas là est-vous quelque chose remarquable concernant le fait que l'OMS a changé sa définition de pandémie ? L’ancienne définition était un nouveau virus, qui circule rapidement, pour lequel on n’a aucune immunité, et qui génère une morbidité et un taux de mortalité élevés.
    Maintenant les deux dernières clauses ont été abandonnées, et voila comment la grippe porcine a été classée en tant que pandémie. »  
     
     Le parlementaire et président du Comité pour la Santé de la Douma Russe, Igor Barinow, a demandé au représentant russe de l'OMS à Genève d’ouvrir une enquête officielle sur les preuves croissante de la corruption massive de l'OMS par l'industrie pharmaceutique.  
     
     « Il y a de graves accusations de corruption au sein de l'OMS, » a déclaré Barinow. « Une Commission d'Enquête internationale est demandée en urgence. »  
     
     Depuis des décennies, les mêmes personnes, ou les mêmes groupes de personnes, travaillant pour les intérêts des compagnies pharmaceutiques et rémunérés très grassement (en millions de dollars) par ces mêmes compagnies, ne cessent d’annoncer des pandémies censées couter la vie à une grande partie de la population de la terre, à chaque fois, rien de cela ne se produit, par contre, les bénéfices de ces compagnies explosent à coup de milliards de dollars, grâce à la vente de vaccins et de médicaments antiviraux. La démission du Dr. Osterhaus ne changera rien, il n’est qu’un bouc émissaire parmi d’autres, c’est tout le système de l’OMS qu’il faut changer, ainsi que les organismes de la santé Publique des divers pays qui travaillent tous main dans la main pour les compagnies pharmaceutiques qui les rémunère et qui assure le succès de leurs carrière.


    votre commentaire
  • Le pic de la pandémie de grippe bientôt atteint

    L’Office fédéral de la santé publique a indiqué jeudi que le nombre de cas de grippe A est déjà en diminution en Suisse romande et en Suisse centrale. Le pic de la pandémie devrait rapidement être atteint sur l’ensemble du pays.

     

    La grippe A (H1N1) a provoqué une huitième victime. La personne décédée faisait partie d’un groupe à risque, a précisé jeudi Virginie Masserey, responsable de la section vaccinations auprès de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP).

    La semaine dernière, 1730 nouveaux cas de grippe porcine ont été confirmés en Suisse pour un total de 10'580. Il s’agit d’une diminution par rapport à la semaine précédente (plus de 500 cas en moins).

    Le pic de la pandémie devait être atteint au cours des prochains jours. «La courbe devrait commencer à descendre à partir de Noël», a indiqué le directeur de l’OFSP Thomas Zeltner. La campagne de vaccination se poursuivra cependant jusqu’au mois de mars.

    Par ailleurs, selon une étude britannique publiée dans le British Medical Journal, le taux de mortalité de l’épidémie est «considérablement inférieur» à ce que l’on craignait dans un premier temps. Jusqu’au 8 novembre, l’étude n’a répertorié que 26 décès pour 100'000 cas de grippe (0,026%). A titre de comparaison, le taux de mortalité de la grippe espagnole de 1918 avait été de 2 à 3%.

    swissinfo.ch et les agences

    En France, on nous dit de nous gaver de Tamiflu....Ah oui, j'oubliais que nous étions moins cons que les autres !!!


    votre commentaire
  • AP | 10.12.2009 | 18:00

    A/H1N1: antiviraux recommandés pour tous les cas suspects de grippe...bizarre non?

    Pour lutter contre la pandémie A/H1N1, la Direction générale de la santé (DGS) recommande aux médecins de prescrire à compter de ce jeudi un traitement antiviral pour tous les cas suspects de grippe, et non plus seulement lorsque la suspicion est combinée à un facteur de risques.

    Pour qu'il y ait assez de médicaments disponibles, "nous allons mobiliser le stock stratégique de l'Etat", a déclaré jeudi matin Didier Houssin, directeur général de la santé, au cours d'un point de presse.

    Actuellement, les malades ont accès, sur ordonnance, au Tamiflu et au Relenza qui sont produits par les laboratoires et qui sont payants.

    A partir du 21 décembre au plus tard, seront disponibles gratuitement en pharmacies, toujours sur ordonnance, trois types d'antiviraux issus des stocks d'Etat: des gélules de 75mg de Tamiflu (pour les adultes et les enfants de plus de 40kg), du Relenza que l'on inhale, et des comprimés sécables Oseltamivir PG 30mg (à réserver de préférence aux enfants). Ces comprimés ont été fabriqués par la Pharmacie centrale des armées à partir de la poudre qui avait été achetée à un laboratoire en 2004 au moment de l'épidémie de grippe aviaire.

    Le traitement antiviral curatif (pleine dose pendant cinq jours) est désormais conseillé pour tous les cas suspects de grippe. Evelyne Falip, conseillère de la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, souligne que "toutes les grippes que l'on voit (actuellement) sont des grippes A/H1N1".

    La DGS recommande de prescrire ce même traitement aux personnes ayant été en contact étroit avec un cas suspect et présentant un facteur de risque. Il leur est maintenant conseillé de prendre un antiviral à pleine dose pendant cinq jours, au lieu de la prophylaxie précédente (une demi-dose pendant 10 jours).

    Ces nouvelles recommandations s'appuient sur un avis rendu par les scientifiques du Comité de lutte contre la grippe (CLCG).

    "Ce n'est pas un changement de stratégie concernant la vaccination", a insisté Didier Houssin, en précisant que ces mesures venaient en "complément" à la politique d'immunisation.

    D'après les chiffres communiqués jeudi par le Directeur général de la santé, l'Etat dispose actuellement de 4 millions de traitements Tamiflu, 3,3 millions de traitements Oseltamivir et 9 millions de traitements Relenza.

    Selon le bilan du 9 décembre communiqué jeudi par le ministère de l'Intérieur, le dispositif de vaccination a atteint un niveau record à la fois au niveau du nombre de centres ouverts (981) et au niveau du nombre de personnes vaccinées (197.475). Au total, depuis le 12 novembre, plus de 2,7 millions de personnes ont été vaccinées, dont plus de 400.000 personnels de santé, et plus de 100.000 collégiens et lycéens. Pour le weekend du 12 et 13 décembre, les centres de vaccination seront ouverts dans les mêmes conditions que celui précédent. La vaccination des personnes non-prioritaires doit commencer fin décembre.

    Depuis le début de l'épidémie, l'Institut national de veille sanitaire (InVS) a recensé 126 décès liés au virus A/H1N1 et 630 cas graves en France (selon le point de situation au 8 décembre 2009).

    Roselyne Bachelot a déclaré mercredi que près de quatre millions de personnes avaient été infectées depuis le début du mois d'août.AP

    Cet article est pour le moins étrange, d'autant plus quele même jour sur d'autres médias nous trouvons ceci :

    Désintérêt et déclin...
    jeudi 10 décembre

    En France, la grippe porcine serait sur la pente descendante, tout comme dans de nombreux pays. Pour le réseau SOS Médecins, l’activité diminue dans la plupart des régions et, à l’hôpital, la diminution du nombre de passages aux urgences pour grippe se poursuit.

    En Allemagne, l’État fédéral de Brême a fait savoir qu’il voulait annuler le contrat qu’il avait conclu avec les compagnies pharmaceutiques, au sujet du vaccin contre la grippe porcine, à cause du manque d’intérêt de la population pour ce vaccin. Selon les estimations des autorités, 4 % seulement de la population de Brême a été vaccinée, ce qui laisse à l’Etat plusieurs millions de doses de vaccins inutilisés dont la facture s’élève à 30 millions d’euros.

    Sylvie Simon

    Grippe A : le virus mutant se propage-t-il déjà à notre insu, dans le mutisme de l’OMS ?

    Le mutisme de l’OMS n’est pas une nouveauté. Dans son communiqué du 27 novembre dernier (1), le monde apprenait avec stupeur que le mutant D225G avait été détecté dans plusieurs pays depuis … 6 mois, sans qu’un seul de ses communiqués précédents en fasse mention. Les autorités médicales françaises n’ont rien à envier à l’OMS en matière de mutisme. Toujours le 27 novembre, on apprenait (2) que la mutation était présente en France, relativement à un décès datant de … septembre, soit 2 mois auparavant. Délai justifié par « un travail d’identification beaucoup plus long ». Des cas jugés « sporadiques » par les autorités sanitaires, c’est-à-dire une génération spontanée qui ne se propage pas par contamination, notamment en France où l’on a parlé de « deux cas isolés ».

    Mais la non-contagion du virus mutant annoncée par l’OMS est-elle certifiée par une base scientifique ou une certitude statistique, ou plutôt est-elle une prudence d’annonce en l’attente d’une preuve irréfutable de la contagion du mutant ? Voire, au pire, le masque mal fardé d’une ignorance peu avouable, comme le suggérait le Dr Keiji Fukuda (3) « : « Nous ne somme pas sûrs ».
     
    Cela fait maintenant plus d’un mois que l’apparition du mutant D225G est attesté en Ukraine sur au moins 4 cas. Les informations relatives aux échantillonnages tardent toujours à venir et tombent au compte goutte malgré la profusion des décès, suspects quant à la soudaineté de leurs irruptions (près de 500 décès en 5 semaines). Pire encore, l’OMS est en déni (4) de réalité (5), refusant de reconnaître la propagation du H274Y, souche résistante au Tamiflu, et se contente de parler de rôle « incertain » (« contributing to these deaths is uncertain »). Le 4 décembre, le nombre de cas officiels réputés résistants au Tamiflu a explosé au cours de 2 semaines précédentes, passant de 57 à 96 (6).
     
    Ce déni relatif à la propagation du H274Y, et la manière qu’a l’OMS de traîner les savates à publier les échantillons des décès d’hémorragies pulmonaires augurent-ils de ce que tout le monde redoute, la diffusion généralisée du H274Y et, pire encore, du D225G ?
     
    En ce qui concerne ce dernier, le redoutable D225G que certains analystes ont déjà comparé à la grippe espagnole, diverses annonces disparates semblent étayer cette hypothèse :
     
    - Le CDC vient d’ajouter à la base du GISAID le cas A/Utah/42/2009 d’un patient de l’Utah révélé positif au D255G et D225N, ce qui soulève des inquiétudes de pandémie (7)
     
    - Le NIH vient de publier (8) le descriptif de 34 cas à New-York ayant subi des « symptômes voisins de la grippe espagnole de 1918, qui a eu un taux de mortalité très élevée », et il s’agirait du changement de domaine de liaison récepteur D225G, qui provoque un épanchement de sang dans les poumons, et qui serait faiblement réactif au vaccin. Les autopsies ont été pratiquées suite à des décès survenus entre mai et juillet (donc depuis plus de 6 mois). Noter également l’étrange remarque du Dr Taubenberger qui compare l’affection non seulement à la pandémie de 1918, mais à celle de 1957, qui était … aviaire !?
     
    - Le 22 novembre, c’est 21 cas similaires signalés dans l’IOWA (9), saignements abondants dans les poumons.
     
    - Plus récemment, Un article du Spiegel (10) fait état d’une « peste pulmonaire identique à l’Ukraine » qui vient de faire son apparition en Russie, à Satarov. Etant maintenant avisés que la peste pulmonaire ukrainienne était en fait le mutant D225G, conformément aux résultats publiés à Hill Mill, doit-on conclure de cette information que le mutant à commencé sa propagation en Russie ?
     
    - Un communiqué du CDC (11) témoigne de la parfaite connaissance des autorités américaines de la mutation sur leur sol, et de ses effets désastreux sur l’appareil respiratoire inférieur. On remarquera que le conférencier fait également référence, comme le Dr Taubenberger, à la pandémie de 1957, pour laquelle « il y a eu un accroissement important de cas graves et décès en décembre, janvier et février. Nous ne savons pas si ça arrivera cette année ». Pour la première fois, un ratio apparaît. La « mutation norvégienne » serait en cause dans moins de 10% de cas graves [du virus H1N1 non muté].
     
    La grande facilité liée aux statistiques, si volonté délibérée il y a de masquer le phénomène, est de noyer le poisson. Le D225G est toujours H1N1. C’est une grippe A. Il est donc tout indiqué, le cas échéant, de balancer les décès dus au mutant dans la grande fosse commune des déshérités de la grippe A grand public (voire même d’agiter médiatiquement, le spectre des violents SDRA, une sorte de false flag biologique, personne ne saura que le SDRA mis en épouvantail avant analyse était à mettre sur le compte de la mutation). Tant qu’il n’y a pas trop de décès dus à une cause étrangère, ça passe en perte et profit. Quand la quantité deviendra trop criarde pour être mise sous le tapis, il sera toujours tant de parler de délai justifié par « un travail d’identification beaucoup plus long ». La France a déjà gagné 2 mois avec cette subtilité. Si la mutation se propage déjà, on devrait donc le savoir au plus tard en février. Le temps de laisser passer les fêtes.

    votre commentaire
  • Un grand moment de solitude, sur rue 89

    décembre 11, 2009 par fonzibrain

    Pour la vidéo et ceux qui ne l’ont pas vu, c’est ici

    Guillon, à la fin de sa chronique, et de manière très serieuse puisqu’il précise : ” c’est véridique ” annonce qu’un ami qui tient un laboratoire lui a dit que TOUS les singes vaccinés étaient morts en moins de 4 mois.

    Notre journaliste de Rue 89, au lieu de tenter de joindre stéphane Guillon, dans un soucis de conscience professionnelle et de CURIOSITÉ et de lui demander des informations supplémentaires sur cette histoire littéralement incroyable et très lourde de conséquence, décide (?,!, peut on décider cela ) de reprendre un autre moment de la chronique ou guillon se moque des couples qui s’engueulent .Elle préfère parler des couples qui divorceraient parceque le père veut vacciner la gosse mais pas la mère, et pas un mot, pas une allusion aux singes cobayes décédés.

    Je n’en reviens toujours pas, j’éprouve un drole de sentiment, heureusement que je peux réécouter le passage en question, sinon je crois que je douterai l’avoir entendu !!!!!

    Je suis abasourdi, parceque le problème est bien plus grave, en effet la ” journaliste ” n’est pas la seule à refuser la réalité, elle n’est pas la seule à ne pas se poser de question, rendez vous compte que sur 158 commentaires, avec leurs auteurs qui ont tous du écouter les 4 minutes de guillon, aucun ne parle des singes morts !!!!!!!!!

    Quasiment tout les commentaires étaient en phase avec l’article et son thème des divorces et disputes à cause du vaccin, chacun y allant de son anecdote familliale, avec une platitude incroyable, comme si les gens qui écrivent ces commentaires ne peuvent que suivre le réflexe pathologique de l’auteur. Face à une information très anxiogène, l’immence majorité des gens va la bloquer et la refouler , c’est du domaine de la pathologie mentale, c’est commun, mais c’est bel et bien un acte pathologique.

    Vous vous rendez compte quand même du délire, même en leur mettant le nez dans le merde, les gens ne comprennent pas, ILS N’ENVISAGENT PAS, ILS N’EN PARLENT MÊME PAS, ils bloquent totalement l’information et décompensent en parlant de chose futile, ce doit être une réaction normale face au stress pour qu’autant de personne réagissent de la même manière.


    votre commentaire
  • Moins de 30 % des professionnels de santé vaccinés contre la grippe A(H1N1)

    Des réticences sont observées alors que le vaccin contre la grippe A est au centre de toutes les préoccupations.

    "Moins de 30 % des professionnels de santé vaccinés contre la grippe A(H1N1) en France", écrit Droit-medical.com sur son site, article daté du 8 décembre.

    Comment interpréter ce ratio étonnant ? Comment la ministre de la santé pourrait-elle réussir à convaincre tous les Français de se faire vacciner alors que les professionnels les plus directement concernés boudent, à une écrasante majorité de 70 %, cet acte de prévention pourtant présenté comme "la meilleure prévention" possible face au virus de la grippe H1N1 ?

    Ces professionnels douteraient-ils de cette protection ? Ce serait très grave car on inciterait le public à subir un acte médical dont les personnes chargées de l´accomplir douteraient elles-mêmes de l´efficacité. Nous savons d´ailleurs que c´est le cas puisqu´étonnament il n´existe pas d´étude scientifique démontrant cette efficacité pour les vaccins contre la grippe. Et qu´en revanche une méta-étude (une étude d´études sur le sujet), réalisée par le collectif américain Cochrane, a clairement établi sa très faible utilité. Les médecins connaissent bien cette absence de preuve et cette référence négative. On est dans le : "Faites ce que je dis ; ne faites pas ce que je fais".

    Dans le courant de mon enquête participative réalisée en 2007 sur Agoravox, quand déjà je pointais la faiblesse générale des taux de vaccination dans le milieu des professionnels de santé, un médecin m´avait répondu avec l´image du cordonnier le plus mal chaussé : le médecin n´aurait pas le temps de penser à lui, il serait tellement pris par ses malades qu´il se négligerait lui-même, etc. C´est prendre les gens pour des naïfs. Si la vaccination était considérée par eux comme vraiment efficace, les médecins qui sont aux avant-postes de la lutte contre les maladies se précipiteraient pour se protéger : ils ne sont pas suicidaires.

    Alors qu´on traite les réfractaires vaccinaux de fanatiques, d´illuminés ou de sectaires, il se trouve qu´une des castes les plus prodigues en réfractaires - et qui alimente d´ailleurs en nombre, ce que peu de gens savent, les ligues réticentes ou opposées aux vaccins - est bien celle des professionnels de santé...

    Les responsables publics qui tentent de culpabiliser les douteurs en les accusant d´être égoïstes, de ne pas penser à la protection collective qu´offriraient les vaccins, d´être contre la science, etc., feraient bien de convaincre en premier lieu ceux et celles qui devraient justement nous montrer l´exemple. Leurs discours seraient nettement plus crédibles s´ils pouvaient s´appuyer par la démonstration que les professionnels de santé se font tous vacciner.

    On est bien loin du compte...

    Consulter l'article dans son contexte original ici.

    JL ML

    votre commentaire
  • Le vaccin contre le H1N1 est intégré dans celui de la Grippe Saisonnière ?

    Un pharmacien révèle sur RMC que le vaccin contre la grippe saisonnière contient également celui de la grippe A H1N1. Ce qui veut dont dire que les gens sont vaccinés à leur insu !
    De plus, ils subissent une double dose dans la mesure ou l’on demande aux vaccinés contre la grippe saisonnière de se faire vacciner contre le H1N1 2 semaines après.

    La manipulation continue !

    ATTENTION : INFO A VERIFIER CAR IL EXISTE PLUSIEURS SOUCHES H1N1

     


    votre commentaire
  • Le chantage

     

     


    votre commentaire