• Israel et l’Iran se sont rencontrés

    octobre 23, 2009 par fonzibrain


    Une représentante de la Commission pour l’énergie atomique d’Israël a rencontré à plusieurs reprises en septembre un important responsable iranien pour discuter du nucléaire au Proche-Orient, a indiqué jeudi à l’AFP la porte-parole de cette commission.
    “Il y a eu des rencontres entre une représentante de notre commission et un officiel iranien dans un cadre régional”, a affirmé à l’AFP Yaël Doron.
    “Ces rencontres se sont déroulées à huis clos et leur tenue n’aurait pas dû être révélée, mais l’Australie qui les organisées a jugé bon d’en faire état”, a-t-elle ajouté. “Nous sommes tenus par le huis clos et ne pouvons pas donner d’autres détails”.
    Ces discussions entre officiels israélien et iranien sont sans précédent depuis la révolution islamique d’Iran en 1979. L’Iran ne reconnaît pas l’Etat d’Israël qui considère de son côté la République islamique comme son ennemi juré.
    Selon le quotidien israélien Haaretz, les discussions, qui ont porté sur une éventuelle dénucléarisation du Proche-Orient, ont réuni Meirav Zafary-Odiz, directrice du suivi pour le contrôle des armements nucléaires de la Commission pour l’énergie atomique d’Israël, et Ali Ashgar Soltanieh, représentant iranien à l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
    Les discussions se sont déroulées du 29 au 30 septembre en présence notamment de représentants d’autres pays membres de l’AIEA dans un grand hôtel du Caire sous les auspices de la Commission internationale pour la non prolifération des armes nucléaires, a ajouté le journal.
    Toujours selon Haaretz, des délégués de Jordanie, d’Egypte, de Tunisie, du Maroc, d’Arabie saoudite, ainsi que des Etats-Unis et de l’Union européenne ont assisté aux discussions.
    Haaretz cite un témoin des discussions selon lequel M. Soltanieh a notamment demandé directement à Mme Zafary-Odiz si son pays disposait de l’arme nucléaire, et celle-ci a souri sans répondre à la question.
    Cette dernière a souligné qu’Israël était d’accord sur le principe de discussions concernant une dénucléarisation du Proche-Orient, mais a souligné qu’il fallait renforcer la sécurité régionale et conclure des arrangements de paix avant qu’Israël puisse se sentir libre d’engager de telles discussions.
    Selon des experts étrangers, l’Etat hébreu compterait jusqu’à 200 ogives nucléaires conçues notamment grâce au réacteur de Dimona. Israël, qui ne reconnaît pas disposer de l’arme nucléaire, affirme que cette installation, vieille de plus de 40 ans, est un centre de recherches.
    Israël considère le programme nucléaire de l’Iran couplé à la construction de missiles à longue portée comme une menace majeure.
    La révélation des discussions irano-israéliennes est survenue alors que l’AIEA a donné jusqu’à vendredi à l’Iran et au trio Etats-Unis, Russie, France pour se prononcer sur “un projet d’accord” sur l’enrichissement à l’étranger d’une partie de l’uranium iranien à usage civil soumis à leurs négociateurs à Vienne.
    afp

    C’est tout de même rassurant de voir des nations ennemies se parler directement, maisles nazis étaient présents au défilé militaire soviétique de 1940, et pourtant quelques mois plus tard, l’opération Barbarossa débutait et les panzers écrasaient l’armée rouge.
    Idem pour pearl harbor, ou Japonais et américains étaient en pleine négociation juste avant l’attaque !

    Avec toutes ces infos, on ne sait sur quel pied danser, et honnêtement je suis assez convaincu d' un futur bombardement, qu’il soit américano sioniste, franco sioniste, ou uniquement israélien.

    Car, si j’ai bien compris la dynamique du moment, cette guerre aura lieu.Ce sera une crise de plus pour mener au NWO.
    Moyen-Orient_americain-3


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  • Israël attaquerait l'Iran après Décembre.

     

    Un magazine Français a rapporté Mercredi qu’Israël effectue des préparations pour mener une attaque militaire contre l’Iran après Décembre.
     
     
     Selon l’article du Canard Enchainé
    cité par la Radio Israël, Jérusalem a déjà commandé des rations de combat de haute qualité auprès d’un fabricant alimentaire Français pour les soldats servant dans des unités d'élite et a également demandé aux réservistes de ces unités qui habitent à l’étranger de retourner en Israël.  
     
     Le magazine rapporte plus loin que lors d’une récente visite en France, le Général en chef de l’Israel Defense Forces, Gabi Ashkenazi, a dit à son homologue français, Jean-Louis Georgelin, qu'Israël ne prévoyait pas de bombarder l'Iran, mais pourrait envoyer des troupes d'élite pour mener des activités sur le sol Iranien.  
     
     Selon le magazine, ceci pourrait signifier le sabotage des installations nucléaires, mais aussi les assassinats des hauts scientifiques du nucléaire Iranien.
     
     Israël a récemment atténué sa rhétorique contre l'Iran pour ne pas gêner les efforts diplomatiques Américains pour la transparence de l’Iran concernant son programme nucléaire, mais ni Jérusalem ni Washington n'ont jusqu'ici fait de déclaration claire sur le fait que l'option militaire contre l'Iran est écarté.  
     
     Israël maintient qu'il a la capacité militaire d'attaquer seul l'Iran si les sanctions contre la République Islamique se révèlent inefficaces.  
     
     Israël accuse l'Iran de chercher à acquérir l’arme nucléaire. Téhéran maintient que son programme nucléaire est à des fins pacifiques.  
     
     Le Jerusalem Post n'a pas pu confirmer l’article du Canard Enchainé.


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  • L’Iran, Hamadinejad le juif, Israël et les Khazars... “faux Juifs” ?

     

    Qui connait le plus célèbre de la famille Sarboujian ? Né juif et devenu musulman à la suite de la conversion de ses parents à l’Islam, c’est l’homme, l’un des présidents les plus controversés de l’histoire iranienne. Vous avez trouvé ? Bien sûr que si. En parcourant la presse française, c’est le black out total sur l’information selon laquelle, Mahmoud Ahmedinejad, le président iranien est né...juif. De sang donc, il est Juif, et, non-juif, pour la religion. Imbroglio, maux de tête, tournis. Va-t-on attaquer le frère qui dirige l’Iran ?

    La communauté juive iranienne compte plus de 20 000 membres. En 1978, ils étaient un peu plus de 85 000 personnes. La création de l’Etat d’Israël a fait partir la plupart mais, contrairement à certaines affirmations, ils ne sont vraiment pas maltraités en Iran. Peut-être que, ce que la presse occidentale vient de révéler, est connu en Iran dans la communauté juive, d’où sa constance réaffirmation que le président iranien fustige plutôt le sionisme et non les Juifs.

    La communauté juive en Iran est considérée comme l’une des plus anciennes du monde. Ils se disent d’ailleurs vrais Juifs, descendants des prophètes bibliques qui vécurent à Babylone et émigrèrent en Perse. La légende raconte par ailleurs qu’à l’arrivée des souverains achéménides du premier empire perse a permis aux Juifs de retourner à Jérusalem, pour certains . Donc, pour eux, en réalité, n’ayant pas souffert de la Shoah, Mahmoud Ahmadinejad semble indiquer que les Juifs, "les vrais", n’ont jamais été concernés de près ou de loin par cette calamité hitlérienne.

    Selon les médias outre-manche, le vrai problème de Mahmoud Ahmadinejad est basé sur le fait que, Israël est dirigé par les Kazhars, juifs convertis. Or, en réalité, les Khazars étaient un peuple semi-nomade turc d’Asie centrale ; leur existence est attestée entre le VIe et le XIIIe siècle après J.-C., selon Wikipédia. Le nom Khazar semble dériver d’un mot turc signifiant errant, nomade (gezer en turc moderne). D’autres observateurs indiquent que, c’est sans doute ce qui explique sa haine du régime israélien car, on ne le dira jamais assez, le président iranien a toujours parlé du Gouvernement israélien, pas du peuple juif dans son ensemble ou d’Israël. Hélas, le mal est fait et la désinformation se perpétue dans ce sens.


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  • Ahmadinejad piège l’occident en proposant d’acheter l’uranium enrichi à une tierce personne,stoppant donc tout enrichissement ! Les Iraniens sont très forts, maintenant la guerre est totalement illégitime (mais toujours possible)

    By fonzibrain

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    L’Iran va proposer aux grandes puissances qu’une tierce partie enrichisse l’uranium au niveau requis pour alimenter son réacteur nucléaire de recherche à Téhéran plutôt que de mener lui-même l’opération, a déclaré mercredi le président Mahmoud Ahmadinejad.

    M. Ahmadinejad s’exprimait à la veille de négociations à Genève entre Téhéran et les six grandes puissances sur son programme nucléaire controversé.

    “L’un des sujets au menu de ces négociations est de savoir comment nous pouvons obtenir du combustible pour notre réacteur de Téhéran”, a déclaré le président.

    “Comme je l’ai dit à New York, nous avons besoin d’uranium enrichi à 19,75%. Nous l’avons dit, et nous proposons de l’acheter à quiconque est prêt à nous le vendre. Nous sommes prêts à fournir de l’uranium enrichi à 3,5% et ils pourront l’enrichir davantage et nous le livrer à 19,75%”.

    L’Iran possède à Téhéran un petit réacteur de recherche de 5 mégawatts qui lui avait été fourni par les Etats-Unis avant la Révolution islamique.

    Au cours d’un dîner privé la semaine dernière à New York, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, qui s’exprimait devant des experts en matière de non-prolifération, avait expliqué que son pays cherchait à acquérir de l’uranium enrichi à 20% pour un réacteur de recherche médicale.

    L’Iran a informé il y a plusieurs mois l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) de son souhait d’acheter cet uranium enrichi à 20% mais n’a pas obtenu de réponse pour l’instant, ont indiqué des sources proches du dossier à l’AFP.

    M. Ahmadinejad avait laissé entendre que l’Iran pouvait être poussé à fabriquer ce combustible lui-même si aucun pays n’acceptait de le lui vendre.

    Le programme actuel de l’Iran permet d’enrichir l’uranium à 5%. Il faut du combustible composé à 90% d’uranium 235 (fissible) pour fabriquer une bombe atomique.

    Le dossier nucléaire iranien connaît une nouvelle poussée de fièvre, après l’annonce par Téhéran de la construction d’un second site d’enrichissement d’uranium, près de Qom. L’Iran a assuré en avoir informé l’AIEA et a répondu aux critiques occidentales en affirmant que ce nouveau site serait placé sous la supervision de l’AIEA.

    Dimanche, le chef de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA), Ali Akbar Salehi, avait affirmé que l’Iran ne comptait pas enrichir de l’uranium à plus de 5% d’uranium 235, soit un taux compatible avec des activités nucléaires civiles.

    “Si nous avions voulu faire de l’enrichissement à un niveau élevé, nous n’aurions pas annoncé” l’existence de l’usine proche de Qom à l’AIEA, avait déclaré M. Salehi, cité par l’agence semi-officielle Ilna.

    A Genève, le groupe des 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et l’Allemagne) est déterminé à obtenir des garanties sur le programme nucléaire iranien, qu’il soupçonne d’avoir des fins militaires, ce dont Téhéran se défend.

    Le négociateur en chef iranien, Saïd Jalili, doit discuter d’un paquet de propositions iraniennes destiné selon Téhéran à régler le problème de la prolifération nucléaire.

    Téhéran avait jusqu’à présent fait savoir qu’il souhaitait des discussions sur des questions globales, dont la sécurité dans la région où l’armée américaine est présente en Irak et en Afghanistan.


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  • Iran : vont-ils oser ?

     

    Iran, l'heure est arrivée!

    "L'heure est arrivée", a souligné Benjamin Nétanyahou, qui s'est entretenu avec Nancy Pelosi, la présidente de la Chambre des représentants. Source Associated Press " Benjamin Nétanyahou exhorte les Etats-Unis à réagir face à l'Iran."

    N'oublions pas la visite de Mr Peres fin août à Sotchi avec Mr Medvedev et surtout, le 7 septembre, la visite secrète de Benjamin Nétanyahou le Premier ministre israélien.
    Pourquoi, tout simplement pour négocier avec la russie l'attaque de l'Iran.
    Vous comprenez mieux pourquoi les Etats-Unis renoncent au "bouclier antimissile" en Europe. Un deal, tout simplement!

    Le compte à rebours a donc commencé pour l'Iran qui sera attaqué par Israël (29 septembre, 2 ou 9 octobre? Zohar,Tsav 32). La seule et vraie question concerne l'attaque elle-même. Sera-t-elle oui ou non nucléaire?

    En effet, la plupart des installations nucléaires iraniennes sont profondément enfouies sous le sol et seules des mini-nukes (qui sont des bombes thermonucléaires miniaturisées destinées à la destruction des infrastructures très profondément enterrées) sont capables de les détruire.

    Les conséquences humaines, écologiques et géopolitiques seraient alors gigantesques!

    Tout ceci est prévu depuis fort longtemps (voir carte du Armed forces journal de juin 2006).

    Il existe de plus une analyse que personne n'ose faire. Il s'agit du "calendrier religieux". En effet, le peuple hébreu est le seul à posséder un passé, un présent, mais surtout un avenir (le vav) clairement écrit. Or, nous sommes entrés dans l'année 5770 depuis le 19 septembre, l'année que tous les kabbalistes considèrent comme l'année de la guerre de Gog et Magog.
    Stupide?

    Tout d'abord, sachez que le livre de la Genèse, le premier livre de la bible comporte 78 064 lettres Hébraïques et 78 064 = 77 700 + (7 x 7 x 7) + (7 + 7 + 7). Cherchez le 7!
    La clé de l'analyse pourrait alors être : "mene, mene, tekel, oupharsin", à méditer! (Plus d'infos bientôt sur mon blog).


    Je vous laisse réfléchir à ces paroles d'Ariel Sharon:
    "Les accords d'Oslo sont très importants pour les Palestiniens depuis que ce sont les seuls accords officiels qu'ils possèdent. Nous avons un autre document, encore beaucoup plus ancien... la Bible ".
    Ariel Sharon parlant dans une conférence à Washington, le 8 mai 1998. Source: El Watan, Page 18.
    http://www.elwatan.com/IMG/pdf/elwatan04092007.pdf.

    Pour ceux qui se demandaient jusqu'à quand la bourse, en dehors de toute réalité économique continuerait à grimper, vous avez la réponse.
    Et n'oubliez pas, les plus puissants investisseurs sont au courant et se retireront à temps du marché. Un gigantesque délit d'initié!

    En conclusion,"en politique, rien n'arrive par hasard. Chaque fois qu'un évènement survient, on peut être certain qu'il avait été prévu pour se dérouler ainsi."
    Franklin D. Roosevelt, président des Etats-Unis de 1932 à 1945.


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  • Echec aux Rois

     

    L’Iran a informé l’AIEA de la construction d’une nouvelle usine d’enrichissement sous les montagnes près de Teheran.

    Nous connaissons les réactions à chaud du trio USA-UK-France. Réactions prévisibles.

    La signification, ainsi que le moment choisi pour cette annonce sont important.

    D’abord le moment choisi :

    L’annonce vient en pleine assemblée générale de l’ONU, ainsi que du G20. Ce qui lui donne  une couverture médiatique maximale.

    La signification est très importante.  La désorientation des réactions laisse penser que cette annonce remet en cause pas mal de scénari et de plans.

    J'y vois 3 significations :

    1. Un site nouveau  veut dire un changement de l’objet des négociations. Doit-on parler de l’usine de Natanz ou de celle de QOM ? Faut-il attendre l’inspection du nouveau site ?

    Ce qui va rallonger le temps des négociations.

    1. Le fait que le site a déjà été construit sans que les occidentaux, leurs sattelites et leurs espions n’aient rien vu.  La tentative de le Syrie a été découverte avant même d’avoir commencé.  Ca veut tout simplement dire que nous ne connaissons pas l’étendue du programme iranien. Ce qui pose la question : Et si l’Iran avait construit d’autres sites au nez et à la barbe de l’Occident.
    2. Le point 2 remet à zéro tous les plans militaires. En effet, les israeliens ne savent plus où frapper, en supposant qu’ils puissent le faire. Et si les deux usines de NATANZ et QON n’étaient que la chèvre qui sert à détourner les loups. Et que le vrai programme nucléaire  est ailleurs (s'il existe)

     

    A mon sens c’est un coup digne de Kasparof. Et les iraniens sont fidèles à leur réputation d’inventeurs du jeu d’échecs.

    zappeur2@gmail.com Samedi 26 Septembre 2009 modifié par WR


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  • Brezinski appelle Obama à abattre les avions israéliens s' ils vont bombarder l’Iran.

     

    C’est extrèmement important ce que Brezinski a dit,il remet en cause,et de manière direct et violente, l’alliance Américano-Israélienne qui date pourtant de 50 ans.
    Cela remet en cause tout les paradigmes géopolitiques mondiaux en vigueur depuis Bush père.
    Quid de l’Europe à la solde des intérêts sionistes?
    Comment va réagir Israél?
    Et surtout,qu’est ce qui c’est passé pour que Brezinski annonce cela,qu’est ce qui a changé dans leurs relations pour boulverser à ce point cette alliance qui fonctionnait si bien.
    Cette interview de Brezinski est capitale pour qui veut comprendre le monde,ce revirement,abattre des avions israéliens et protéger ainsi l’Iran est à première vue incompréhensible,et pourtant ! A moins qu'il ne veuille utiliser l'Iran contre la Russie et la Chine.


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  • Brainstorming

     


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  • Ahmadinejad interview France2 22.09.2009

     



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  • Un réseau dirigé par la Grande Bretagne pour diviser Sunnites et Chiites en Iran

     

    L’Iran a mis la main sur une cellule travaillant pour le compte des services secrets britanniques et dont la mission consistait à semer les divergences et la division au sein de la société iranienne au sud du pays, a révélé l’agence de presse iranienne Fars [1].

    Selon un communiqué des services de sécurité iraniens, ce réseau qui agissait dans la province de Hormozgan publiait des messages télévisés, des documentaires et des livres qui attisaient la haine entre Sunnites et Chiites à travers “des chaînes satellitaires ennemies financées par la Grande Bretagne”.


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  • Poutine rejette l'option militaire en Iran

    De Nicolas MILETITCH (AFP) – Il y a 14 heures

    NOVO OGAREVO, Russie — Le Premier ministre russe Vladimir Poutine a rejeté toute option militaire vendredi contre l'Iran, un scénario "inacceptable" et "dangereux" selon lui, tout en appelant Téhéran à faire preuve de "retenue" dans son programme nucléaire.

    Passant en revue les grands sujets internationaux, il a aussi montré qu'il gardait un oeil sur la politique étrangère et n'a rien exclu pour son avenir politique, même s'il a cédé son fauteuil présidentiel à Dmitri Medvedev en 2008.

    "Les Iraniens doivent faire preuve de retenue sur leur programme nucléaire", a déclaré M. Poutine en recevant pendant plus de deux heures des experts et journalistes étrangers du groupe dit de Valdaï, à sa résidence de Novo-Ogarevo près de Moscou.

    Au même moment, les grandes puissances du groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et Allemagne) jugeaient les dernières propositions iraniennes insuffisantes et appelaient à une réunion avec Téhéran dès que possible.

    Parallèlement, l'option militaire, avec de possibles frappes de sites nucléaires iraniens, n'a jamais été écartée, notamment par l'Etat hébreu, qui redoute comme les Occidentaux de voir Téhéran accéder un jour à l'arme nucléaire.

    "Ce serait très dangereux, inacceptable, cela mènerait à une explosion du terrorisme, augmenterait l'influence des extrémistes et je doute beaucoup, quel que soit celui qui procède à ces frappes, qu'elles atteignent le but fixé", a rétorqué M. Poutine.

    "Avec l'Iran, ces méthodes ne permettront pas d'atteindre le but recherché. Il faut continuer le dialogue", a-t-il insisté.

    Les rumeurs de visite secrète du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu lundi dernier à Moscou et la mystérieuse épopée du cargo Arctic See, soupçonné par certains médias d'avoir contenu des armes russes à destination de l'Iran, ont relancé les spéculations sur une attaque.

    Ajoutant au suspense, M. Poutine a botté en touche à propos d'un éventuel déplacement secret de M. Netanyahu, lançant de façon laconique en riant : "On ne parle que de faits avérés".


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  • Israël: rumeurs autour d'une absence mystérieuse de Nétanyahou

     

    AP | 11.09.2009 | 10:00

    Les rumeurs les plus folles couraient en Israël après l'absence mystérieuse, lundi, du Premier ministre Benyamin Nétanyahou accusé aujourd'hui d'avoir menti pour cacher un voyage secret à Moscou, probablement pour discuter de l'Iran.

    Pour faire taire les rumeurs mais aussi pour tenter d'atténuer les critiques qui commencent à gronder, les services de Nétanyahou avaient tout d'abord publié un vague communiqué justifiant cette absence d'une dizaine d'heures par une visite dans une installation ultra-secrète du Mossad, les services de renseignement israéliens.

    Jeudi, le Premier ministre a observé le plus grand mutisme alors que des informations commençaient à émerger selon lesquelles il se serait rendu à Moscou à bord d'un avion privé pour des discussions sur l'Iran décidées dans l'urgence.

    Selon ces diverses informations, Nétanyahou était à Moscou soit pour presser les Russes à arrêter la vente d'armes à l'Iran soit pour informer le Kremlin de l'imminence d'une frappe israélienne sur des installations nucléaires iraniennes ou encore de l'"Arctic Sea", ce cargo à équipage russe et battant pavillon maltais qui n'avait pas donné signe de vie pendant deux semaines avant d'être retrouvé le 14 août au large de l'archipel du Cap Vert, dans l'océan Atlantique.


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  • Des missiles à bord de l'Arctic Sea ?

    AFP
    04/09/2009 | Mise à jour : 13:58 <script language="JavaScript" type="text/javascript">// <![CDATA[ figcom_sep_bulle='avec'; // ]]></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/profil/figaro/nbcmt.php?article=20090904FILWWW00442"></script> <script language="JavaScript" type="text/javascript">// <![CDATA[ figcom_sep_bulle=false; // ]]></script> <script language="JavaScript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/ssoLibrary.js.php"></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/jsxmlrpc/xmlrpc_lib.js"></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/profil/figaro/ajouter_selection.js"></script> |

    Le cargo Arctic Sea, détourné fin juillet dans les eaux suédoises, convoyait, outre sa cargaison officielle de bois, des missiles sol-air S-300 pour l'Iran expédiés par un groupe mafieux russe, affirme vendredi le quotidien Salzburger Nachrichten. Citant des "sources israéliennes bien informées et ayant de bons contacts avec les services secrets occidentaux", le correspondant du journal à Jérusalem affirme que les missiles ont été chargés sur le bateau alors qu'il était imobilisé pour réparation dans le port de Kaliningrad au début de l'été.

    L'Iran aurait pris contact, selon le journaliste, avec un groupe mafieux formés de militaires russes, acceptant des contrats douteux pour arrondir leurs fins de mois. Il se serait agit d'organiser la livraison de ces armes qui actuellement sont parmi les plus modernes sur le marché de l'armement. Ce contrat avec Téhéran aurait été ensuite révélé aux services secrets russes FSB par "un service occidental". Moscou aurait alors décidé d'intercepter le cargo. "Cela explique pourquoi la Russie a mis tant de temps, après qu'il ait été +détourné par des pirates+, à intercepter ce cargo au large du Cap Vert alors que la position de l'embarcation était constamment connue, selon l'Otan", écrit encore le correspondant du Salzburger Nachrichten.

    Il ajoute que cette version des faits expliquerait aussi pourquoi les services secrets occidentaux ne sont pas intervenus, pourquoi des "pirates" auraient pris tant de risques pour une simple cargaison de bois d'une valeur indiquée d'à peine 1,5 million d'euros et pourquoi la Russie a dépêché de grands avions cargos uniquement pour évacuer 14 membres d'équipage et 8 pirates.


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  • Clotilde Reiss: L'Accusation D' Espionnage Indirectement Confirmee Par La DGSE Et Les Renseignements Militaires ?

     

    Une courte dépêche perdue au milieu de toutes les autres publiée sur le Figaro du 040909 intitulée "Confidentiel : Iran, la DGSE avait prévenu", accrédite sans le vouloir les accusations portées contre Reiss par l'Iran et justifie par la même occasion son procès pour espionnage.

     



    Clotilde Reiss: L'Accusation D' Espionnage Indirectement Confirmee Par La DGSE Et Les Renseignements Militaires ?

    Perdue au milieu d'un grande nombre de dépêches publiées sur le site du quotidien "le Figaro " du 040909, cette information est une bombe qui accrédite sans le vouloir d'ailleurs les accusations d'espionnage portées par la justice iranienne contre Clotilde Reiss et pour lesquelles elle s'est retrouvée dans le box des accusés à Téhéran. Sarkozy et Kouchner ont qualifié ces accusations de ridicule, mais le manque de retenue et l'absence de professionnalisme dans les discours tant au quai d'Orsay qu'à l'Elysée n'ont fait que donner du poids à ces accusations. Les gesticulations politico médiatiques du père de Clotilde Reiss, qui travaille au CEA, Commissériat à l'Energie Atomique, n'ont fait qu'aggraver le cas de sa fille, d'autant plus que les Iraniens savent très bien également que Mme Reiss mère de Clotilde, fait partie de l'armée française ( quel poste ? mystère ?)

    Ainsi on peut lire dans cette dépêche que nous reproduisons intégralement ci dessous :

    .
    Confidentiel : Iran, la DGSE avait prévenu

    Le Figaro 04/09/2009 | Mise à jour : 09:10
    .
    "Bien avant l’arrestation de Clotilde Reiss en Juillet à Téhéran, les services de renseignements avaient averti l’ambassade de France en Iran du risque d’envoyer de jeunes chercheurs enquêter sur des sujets sensibles, alors que les relations entre les deux pays étaient exécrables depuis longtemps. La mise en garde conjointe de la DGSE et de la Direction des renseignements militaires avait été lancée l’an dernier après qu’un étudiant eut passé plusieurs semaines à travailler sur l’influence croissante des gardiens de la révolution dans l’économie iranienne."

    Ce que révèle cette dépêche

    1. L'envoi de jeunes chercheurs français en Iran pour enquêter sur des sujets sensibles dans un pays avec lequel, depuis l'élection de Sarkozy à L'Elysée, la Sarkozie entretient des relations exécrables sous emprise du dictat sioniste surtout en ce qui concerne le programme nucléaire iranien. Clotilde Reiss rappelons le a enseigné pendant quelques mois à l'université technologique d'Ispahan très réputée mondialement dans le secteur high tech et des nanotechnologies. Coïncidence? Ispahan est également située à proximité de la ville de Natanz où se trouve les installations nucléaires iraniennes de production d'uranium enrichi. La justice iranienne se basant sur des informations communiquées par les services de contre espionnage iranien, qui surveillait Reiss depuis son arrivée en Iran, l'a accusée d'avoir rédiger un rapport sur le programme nucléaire iranien. Cette information "confidentielle" du Figaro vient donc corroborer les accusations iraniennes.

    2. La DGSE et les renseignements militaires français avaient prévenu bien avant cette affaire Reiss des risques encourus. Autrement dit, envoyer des jeunes chercheurs jouer les espions en Iran était complètement irresponsables, pourtant cette décision a été prise au plus haut niveau, au Quai D'Orsay et à l'Elysée, au mépris de l'expérience des services de renseignements français.

    3. Cette information arrivée sur le bureau de la Pravda de Dassault-Sarko on ne sait trop comment et qualifiée de "confidentielle" par cette dernière, donc probablement "fuitée" s'apparente à un mouvement d'humeur de la barbouzerie française qui enregistre boulette sur boulette (deux "conseillers" -agents kidnappés en Somalie, l'affaire Reiss...) et n'apprécie probablement pas ce genre de travail de sagoin orchestré par des guignols incompétents, imbus de leurs personnes et travaillant pour le compte d'une puissance étrangère.

    Il reste que Reiss, actuellement confinée à l'ambassade de France à Téhéran, risque d'être condamnée à plusieurs années de prison pour espionnage sauf si le gouvernement iranien décidait de politiser encore un peu plus cette affaire et se servir de Reiss comme monnaie d'échange ce qui est fort peu probable. En effet, la principale préoccupation de Téhéran pour l'instant c'est de montrer en interne comme à l'internationale que son système judiciaire est intègre, non politisé, compétent , et que ses décisions doivent être respectées.

    Mauvaise nouvelle donc pour Clotilde Reiss qui risque bel et bien de passer quelques années en prison pour avoir voulu imprudemment jouer les Mata Hari au foulard. Sauf de se voir accorder dans quelques mois une grâce présidentielle, bras d'honneur de Mahmoud Ahmadinejad - qui contrairement aux caricatures faites sur lui dans les médias occidentaux à une certaine dose d'humour - au SarkoSioniste.


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  • Les USA derrière la rébellion sunnite en Iran

    Un dirigeant du groupe rebelle sunnite Joundallah, en attente d’exécution en Iran, a affirmé hier que son mouvement perpétrait ses attaques en territoire iranien sur ordre des États-Unis. « Les États-Unis ont créé et soutenu Joundallah (soldats de Dieu) et nous recevions nos ordres d’eux », a déclaré Abdolhamid Rigi, le frère du leader du mouvement, Abdolmalek Rigi. Les États-Unis nous disaient « qui frapper et ne pas frapper (…). Ils disaient qu’ils allaient nous fournir tout ce dont nous avions besoin en termes d’argent et de matériel » notamment, a-t-il ajouté.

     


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  • Sarkozy paie cher la libération de Clotilde Reiss

    Recours à la Syrie, crédit donné aux théories du complot du régime islamique: l’activisme du président français dans le dossier de l’étudiante retenue à Téhéran est critiqué

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    Nicolas Sarkozy a accroché un nouveau trophée à son tableau de libérateur d’otages. Après les infirmières bulgares, les humanitaires de l’Arche de Zoé ou Ingrid Betancourt, la sortie de prison de Clotilde Reiss, l’étudiante retenue en Iran depuis le 1er juillet pour avoir participé à des manifestations, semble confirmer le talent du président français pour sortir les captifs des situations les plus périlleuses. Sauf que cette fois, le prix à payer – outre une caution de quelque 300 000 francs – semble particulièrement élevé.

    Thèses du régime iranien

    Yann Richard, l’un des meilleurs spécialistes français de l’Iran, estime que l’implication tonitruante du président – qui a géré le dossier en direct depuis la résidence de Carla Bruni au Cap Nègre, sur la Côte d’Azur – n’a fait «qu’ajouter de la crédibilité» aux thèses du régime iranien, qui accuse les pays étrangers d’avoir fomenté les troubles post-électoraux dans le pays. Selon Yann Richard, Clotilde Reiss aurait été libérée de toute façon – et peut-être avant, si les autorités françaises s’étaient montrées plus discrètes.

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    Une personne qui a suivi de près la crise confirme combien l’Iran a joué en position de force. Au départ, les Occidentaux envisageaient de rappeler tous leurs ambassadeurs, après l’arrestation de Clotilde Reiss et d’employés des ambassades britannique et française à Téhéran. «Mais ce n’était pas dans notre intérêt, confie cet initié. Si notre ambassadeur partait, tout contact avec Clotilde Reiss aurait été rompu.»

    Depuis l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy, la France passe pour l’un des pays occidentaux les plus durs envers la République islamique. Le président a plusieurs fois évoqué le «bombardement de l’Iran» et la «guerre» comme une issue possible à la crise sur le dossier nucléaire. Ses relations avec l’Iranien Mahmoud Ahmadinejad se situent quelque part entre l’exécrable et l’inexistant. En l’absence de contacts directs avec la présidence iranienne, «Sarkozy s’est engagé de tout son poids afin d’avoir l’appui de la Syrie, pour au moins faire sortir Clotilde Reiss de prison», ajoute l’interlocuteur précité.


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  • Clotilde Reiss, une libération pas affranchie de questions

    Iran. Caution, marchandage… le Quai d’Orsay reste discret sur l’accord passé pour relâcher la jeune universitaire française.

    Elle a certes quitté dimanche soir sa cellule de la prison d’Evin, mais l’universitaire française Clotilde Reiss, 24 ans, reste sous contrôle judiciaire. Assignée à résidence à l’ambassade, elle attend le verdict de son procès devant le tribunal révolutionnaire pour «espionnage», des accusations jugées «totalement fantaisistes» par les autorités françaises comme par son entourage. L’affaire n’est donc pas finie et les proches du dossier préfèrent, à raison, rester discrets.

    Quelle caution a été versée ?

    Le procureur de Téhéran, Saïd Mortazavi, a déclaré hier à l’agence iranienne Mehr que la jeune femme avait été mise en liberté «après le dépôt d’une caution de 300 millions de tomans», soit près de 213 000 euros. Interrogée par l’AFP, l’ambassade de France à Téhéran s’est refusée à tout commentaire. Le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, cité par le Monde, a reconnu le versement de la caution tout en précisant qu’elle n’avait «rien d’énorme et ne se montait pas à des centaines de milliers d’euros». Une caution a aussi été payée pour la Franco-Iranienne Nazak Afshar, employée depuis dix-huit ans aux services culturels de l’ambassade de France, remise en liberté le 11 août et assignée à résidence. De tels paiements n’ont a priori rien de honteux : il ne s’agit pas de rançons payées à des ravisseurs, même si ces prisonniers sont les otages d’un régime contesté après la réélection, le 12 juin, du président Ahmadinejad grâce à des fraudes massives. Le versement d’une caution par Paris signifie néanmoins la reconnaissance d’une procédure dénoncée comme un simulacre de justice par les principales organisations de défense des droits de l’homme et l’opposition iranienne. Nombre de ses représentants en exil regrettent en outre que «la focalisation sur ce cas fasse oublier le sort de centaines d’autres personnes arrêtées». L’activisme montré par les autorités françaises, y compris au plus haut niveau, a pu également avoir un effet contre-productif. «Le ton employé par Paris a donné aux Iraniens les arguments qu’ils recherchaient pour montrer à leur opinion publique qu’il y avait bien eu une intervention étrangère», soupire Yann Richard, spécialiste de l’Iran (1).


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  • Iran/viols dans les prisons: Paris inquiet

    AFP
    10/08/2009 | Mise à jour : 13:57 <script language="JavaScript" type="text/javascript">// <![CDATA[ figcom_sep_bulle='avec'; // ]]></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/profil/figaro/nbcmt.php?article=20090810FILWWW00265"></script> <script language="JavaScript" type="text/javascript">// <![CDATA[ figcom_sep_bulle=false; // ]]></script> <script language="JavaScript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/ssoLibrary.js.php"></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/jsxmlrpc/xmlrpc_lib.js"></script> <script type="text/javascript" src="http://www.lefigaro.fr/media-communautaire/js/profil/figaro/ajouter_selection.js"></script> | Ajouter à ma sélection

    Les accusations lancées par le candidat réformateur iranien Mehdi Karoubi, selon lequel des manifestants arrêtés ont été violés durant leur détention "ne font que renforcer l'inquiétude" sur la répression en Iran, a indiqué le ministère français des Affaires étrangères. "Les violences dont fait état M. Karoubi ne font que renforcer l'inquiétude exprimée par la France comme par la communauté internationale sur la situation en Iran", a déclaré Romain Nadal, un porte-parole du ministère.

     

     

     

    Les occidentaux, eux, ne sont pas des sauvages... ils mettent des gants !!!!


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  • COMME EUX, SIGNE LA PETITION POUR LA LIBERATION  Clotilde REISS

     

    Tu gagneras 3 points Finky !!!!


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