• Soros à la recherche de la révolte iranienne

    À l’heure des révoltes arabes, c’est l’Iran plus que tous qui intéresse « l’argentier des révolutions colorées de la CIA », Georges Soros

    « L’Iran connaîtra la plus sanglante des révolutions », a prétendu prévoir cet investisseur milliardaire juif-américain lors d’un entretien accordé à la CNN, et durant lequel il s’est attardé pour expliquer son point de vue sur la situation iranienne.

    Selon lui, la révolution en Iran est allée beaucoup plu loin qu’il ne s’attendait. « Le régime des Mollah est désormais vulnérable … protégé par une garde révolutionnaire minoritaire qui se maintient au pouvoir grâce à la répression…en tuant des gens ou les traduisant en justice… et qui est méprisée par la majorité des gens », sont quelques-uns de ses préjugé sur l’Iran.

    Soros, accusé par l’ancien leader malaisien Mahathir Mohammad d’avoir provoqué l’effondrement de la monnaie de son pays de par ses manipulations spéculatives, a dit s’attendre à ne plus voir le régime iranien d’ici un an.

    Dans son intervention, ce financier d’origine hongroise actif dans le financement et la gérance des révolutions dans les Balkans et le Caucase, au nom de la démocratie et des droits de l’hommes, notamment la révolution orange en Ukraine, prétend « soutenir la cause des jeunes iraniens qui aspirent à la liberté et à la démocratie ».

    Le croire c’est faire preuve de trop de naïveté face aux réelles convictions de cet homme et surtout à ses procédés d’actions des plus perfides.

    Ce n’est certes pas amour pour la démocratie qu’il feint ce geste de compassion avec les opposants iraniens, et dont il exagère l’impact, à l’instar des médias de l’axe Murdoch et compagnie

    Mais bien parce qu’il perçoit plus que jamais une réelle menace de la part de la république islamique à l’existence de l’entité sioniste. Mais, cela, il ne le dévoile pas directement !

    « L’heure est gravissime, à cause de la capacité du Hezbollah à résister à une attaque des Israéliens, et à cause de la montée de l’Iran comme puissance nucléaire à venir. L’existence d’Israël n’a jamais été aussi en danger depuis sa création », avait-il déclaré quelque temps après la défaite israélienne contre le Liban en 2006, pour expliquer ses critiques envers l’AIPAC, lobby sioniste pro israélien particulièrement influent aux États-Unis.

    Celui-ci ayant à son avis commencé à nuire à Israël, Soros est devenu selon le site Israël7, mécène de J Street, le nouveau lobby sioniste américain. Lequel dit vouloir promouvoir le plus tôt possible une solution du conflit israélo-palestinien, avant qu’il ne soit trop tard.

    Se pointer sur la situation iranienne par Soros rejoint les positions des nombreux décideurs occidentaux, qui selon Paul Joseph Watson (du site Prison Planet) veulent à tout prix exploiter l’élan révolutionnaire dans la région pour inciter au renversement du régime de la république islamique.

    Tandis que le célèbre néo-conservateur américain David Frum, insiste que le soutien à toute révolution dans la région devrait se mesurer par rapport à l’Iran qui constitue à ses yeux « le grand jeu du Moyen orient ». Raison pour laquelle la révolte au Bahreïn ne peut être appuyée !

    Alors que selon Flynt Leverett et Hillary Mann Leverett, la renonciation au raïs égyptien Hosni Moubarak est dictée chez Obama par cette même stratégie : celle de donner un feu vert aux opposants iraniens d’agir plus !

    Serait-ce pour cette raison que Soros affiche un trop grand enthousiasme devant les révoltes arabes, sans laquelle il peut sembler bien suspect, dès lors qu’elles frappent de plein fouet les alliés des occidentaux. Surtout qu’il en est pleinement conscient, soutenant que : « la révolution contre le camp soviétique (en 1989) était contre des régimes adversaires des Occidentaux, alors que les soulèvements arabes sont menés contre des régimes soutenus par les Occidentaux », en réponse à une question sur les similitudes entre les bouleversements dans ces deux régions du monde.

    Et serait-ce pour cette raison aussi qu’il conseille aux Occidentaux en toute sérénité, sans trop s’inquiéter de « regagner l’allégeance des habitants de ces pays, en appuyant vraiment la transition vers la démocratie ». Et qu’il ne voit pas dans cette démocratisation une moindre menace pour Israël.

    Soros pourrait être rassuré par la diffusion de par le monde de ses 22 ONG à travers lesquelles il manipule et oriente. Chose qu’il évitera de révéler, car ne cesse-t-il de le répéter, il faut que les révolutions viennent de l’intérieur ! Ou paraissent l’être !!


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  • Les vérités cachées sous les révolutions arabes

    S’il semble, au premier abord, positif de voir les peuples du Moyen-Orient et du Maghreb se soulever face à leurs dictateurs, il est toutefois nécessaire d’observer l’asservissement et le contrôle économique qui continueront de régner à ces endroits stratégiques du globe.

    Le peuple gagnera-t-il au change ? Qui est à l’origine de ces manœuvres ? Quels seront les nouveaux pions mondialistes mis en place ? Et pour quels intérêts au final ?

    Les peuples arabes savent ce qu’ils ont, mais pas ce qu’ils auront par la suite. Il est tout de même étonnant de constater, d’instinct, cette succession de mouvements subversifs envers tous ces dictateurs que l’on savait des tyrans depuis des lustres et qui, jusque-là, avaient été laissés bien tranquille. Une mouche aurait-elle piqué les apôtres du Nouvel Ordre Mondial ? Les faits actuels, cette accélération du processus mondialiste ne font que confirmer ce que Pierre Hillard et moi-même avions évoqué en novembre dernier à Toulon.

    Une chose est sûre et certaine, rien n’est spontané. Tout a été planifié depuis belle lurette. Lindsey Williams avait d’ailleurs annoncé, au micro d’Alex Jones il y a quelques mois, les divers renversements qui allaient s’opérer au Moyen-Orient. Et ce dans le but d’une restructuration de cette région planifiée par le Club de Rome.

    En Tunisie, comme nous l’avons déjà relaté, Ben Ali comptait faire de la Tunisie le centre financier de l’Afrique du Nord. Il songeait vendre des ressources de gaz aux Russes et Chinois. Comme par hasard, le peuple s’est subitement retourné contre lui, et plus important encore l’armée du pays, laquelle avait été auparavant contacté par les Etats-Unis. D’où la déclaration d’Hassen Nasrallah relayée par le Réseau Voltaire il y a maintenant deux mois. Le leader du Hezbollah parlait déjà de mise en garde contre la CIA et de complot US.

     Ce qu’on ne nous dit jamais publiquement, c’est que les Rothschild et leurs associés sont les actionnaires majoritaires des banques centrales (système de la Federal Reserve). Or, les économies de la Tunisie, de l’Egypte, du Yémen, de la Jordanie et de l’Algérie ne sont pas (encore) contrôlées par ces banques estampillées Rothschild. Ces pays ne subissent pas encore l’asservissement par la dette. Outre un renforcement chiite envisagé par les cartels, l’instauration d’un bloc islamique par l'agent Frank G. Wisner est dans les clous. 

    En effet, un des objectifs non avoués de ces changements de pions est la radicalisation de l’islam dans la région pour un affaiblissement du sionisme. Et ce afin d’opposer, selon les plans de Pike, les deux blocs en vue d’une troisième guerre mondiale. D’où le récent mécontentement israélien envers Barack Obama. Les antisionistes pourront se satisfaire un instant de ces divers changements. Il faut cependant garder à l'esprit que ce schéma machiavélique laisse présager le pire. 

     En Egypte, la publication d’un document classé top secret envoyé de l’ambassade US sur place à Washington confirme le soutien des États-Unis aux émeutiers. George Soros se trouve précisément à l’origine d’organisations travaillant à fournir des propositions pour une nouvelle constitution. Le même Soros a d’ailleurs encensé et encouragé ces mouvements de révolte en série. Une interview réalisée par Fareed Zakaria du CFR et diffusée sur CNN nous donne des précisions sur son postulat :


    George Soros sur l'Egypte et l'Iran S/T
    Cargado por hussardelamort

    George Soros y déclare donc tranquillement qu’il s’agit d’un « évènement historique. Un désir spontané des peuples d’ébranler les dictatures des régimes corrompus pour tendre vers la démocratie […] Ces pays vont avoir besoin de beaucoup de soutien pour réussir vraiment leur révolution » avant de souhaiter, en guise conclusion, l’effondrement de l’Iran après celui de l’URSS. Et tout cela parce qu’il est attaché à la démocratie dans les pays arabes ! On le croit sans problème !

    L’effondrement du dollar ne doit jamais sortir de l’esprit de ceux qui essaient d’y voir plus clair dans le brouillard financier médiatico-institutionnel ; tout comme le contrôle des richesses et de l’énergie de cette région se veut l’aboutissement de ces manœuvres subversives.

    Il est évident que l’objectif est clairement l’inflation et par extension le profit. Aussi faut-il s’attendre à une augmentation des denrées alimentaires, en plus de l’augmentation du prix du pétrole. Cette multiplication de révolutions jouant en faveur de la Maison Rothschild qui souhaite imposer son régime financier par le biais de Soros et Wisner. Cette prédation fait aussi indirectement l’intérêt des Rockefeller qui, eux, se frottent les mains avec la hausse du pétrole.
    Ce n’est donc pas un hasard si Soros fut invité sur CNN pour parler de ces révolutions de manière positive. Ce n’est pas non plus un hasard si ce même Soros est un agent important dans le dispositif Rothschild. Et que le même genre de renversement avec changement de pions se reproduit un peu partout dans le monde. De là à affirmer que ce sont eux qui fomentent ces révolutions -colorées ou non-… il y a un pas qu’il est désormais facile de franchir.

    Source

    par Johan Livernette (son site) samedi 5 mars 2011


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  • PILULE ROUGE

     


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  • Méluchon te fait la leçon

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  • La grande désillusion (rediff)

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                                         crise économique ou crise de sens ?

     


    Renaud Camus sur le “grand remplacement” 1/2




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  • Comprendre l’Empire, un coup de maître signé Soral

    Avec Comprendre l’Empire, Alain Soral ne s’attelait pas à la tâche la plus facile : faire comprendre, au grand public comme au plus averti, le processus de domination impériale engagé depuis 1789 et proche aujourd’hui de son dénouement. Une prise de pouvoir illégitime, sur le dos des peuples enracinés, qui trouvera son apogée dans un gouvernement mondial où il ne restera plus rien entre le Capital tout puissant et la gigantesque masse salariée.

    Un sujet complexe, sensible, que l’auteur est pourtant parvenu à aborder avec une rare cohérence et une lucidité remarquable. En ce qui concerne ses positions sur le judaïsme et le sionisme, qui lui sont toutes personnelles, elles ne seront ici traitées qu’en tant qu’argument, recevable parmi d’autres, que je laisserai au lecteur le soin d’apprécier. Avoir abordé le sujet avec une telle conviction est tout à l’honneur de l’auteur, mais ce débat faisant l’objet de bien trop de divergences d’opinions et de joutes argumentées engagées, mieux vaux laisser à chacun le difficile exercice du jugement.

    Voici, à travers ce que j’ai estimé être les grandes lignes de l’ouvrage, un résumé de la pensée soralienne de notre monde, pour ceux qui n’auraient pas eu la chance de lire le livre.

    1789, la Raison tue Dieu

    Ainsi les prémices de l’Empire commencent-ils en France lors de la Révolution, l’Histoire n’ayant « ni début ni fin ». Car c’est bien dans notre pays qu’ont lieu, à cette époque, les plus grands bouleversements en matière de pouvoir, de système et de foi.

    Tout de suite, le Roman national est bien détricoté. Non, il ne s’agissait pas du camp du Mal contre le camp du Bien, de la lumière contre l’obscurité. Car si Lumières il y avait, difficile de réduire le peuple à ces élites bourgeoises du Tiers-Etats qui parlaient en son nom. Les Lumières, œuvre du Diable laissait entendre Baudelaire. Car dans tout cela, il est clairement exposé dans le livre que « jamais changement ne fut voulu par le peuple », la révolte des Chouans étant là pour en témoigner. Tout se joue donc en salon, et dans les grandes villes.

    Une fois le pouvoir royal – loin d’être absolu – tombé, Alain Soral s’attache vite à nous démontrer l’escroquerie que fut la promesse de l’Egalité pour tous. Cette égalité devant la Loi ne laissant, avec la liberté d’entreprendre, que les mains plus libres au pouvoir de l’argent. « Un pouvoir de l’argent qui n’est plus tenu en respect dès lors que la caste sacerdotale se dissocie du pouvoir royal pour entrer en rivalité avec lui. Un dédoublement du pouvoir sacré, précédemment unitaire, provoquant un affaiblissement réciproque des oratores (clergé) et des bellatores (aristocratie) et la montée inéluctable, via la branche commerçante des laboratores, du pouvoir des banquiers. » (p.170).

    Quelques lois Le Chapelier et inégalités sociales accrues plus tard, le constat n’est que plus criant.

    Le peuple trompé, soumis et prolétarisé par la bourgeoisie, voici venu le tour de l’Eglise. Partageant depuis près d’un millénaire le pouvoir avec la Couronne, l’Eglise n’a eu d’autres choix que de s’incliner, progressivement, de Vatican II en loi de séparation des Eglises et de l’Etat. Jusqu’à disparaitre…

    « Que pouvait faire, dans un monde de plus en plus matérialiste et technicien, une religion qui n’avait que le ciel pour promesse et l’humilité pour vecteur, quand la nouvelle religion de la fraternité universelle et de l’élection en douce promettait, elle, au nom de la raison même, le paradis sur terre par la démocratie de la liberté et de l’égalité ? » (p.31)

    La Banque tue la Raison

    Après avoir tranché la tête du souverain Louis XVI, la lame cruelle de la guillotine va également connaitre la nuque de ses bourreaux, Robespierre et Saint-Just. Comme si la Banque, après avoir, dans l’ombre, laissé la Raison faire le sale boulot, l’envoyait à son tour à l’échafaud. Telle est la sournoiserie de la Banque qui parviendra ensuite, de l’autre côté de la Manche, à s’allier au pouvoir royal. L’acte de naissance de l’Empire en quelques sortes. Tout son talent aura ensuite été d’inverser habilement le rapport de force, et ainsi de tenir secrètement les rênes du pouvoir.

    « Un processus de domination des banques, de leur vision abstraite et asociale du monde de l’échange qui explique, à lui seul, la violence sociale et l’inégalité sociale aggravée qui accompagne paradoxalement l’accroissement des richesses, ainsi que l’impuissance croissante des politiques, en réalité sans pouvoir, à résoudre la Crise. » (p.47)

    Le pouvoir de la Banque devient mondial

    C’est aux Etats-Unis, en 1913, que tout va s’accélérer, avec la création de la FED, la réserve fédérale américaine. En somme, un cartel des 12 plus grandes banques du monde, piloté depuis les Etats-Unis. Une organisation – qui n’est ni une réserve, ni fédérale, ni américaine – qui va rapidement mettre la main sur le monde entier, des accords de Bretton Woods à la chute de l’URSS en passant par l’instauration du pétrodollar. Une véritable mafia, nous dit Alain Soral, qui ne va pas manquer de trouver son intérêt aux deux guerres mondiales, et qui va progressivement ruiner le peuple en lui transférant éhontément sa dette. Une dette dont ses fuites en avant, et sa création abusive d’argent fictif pour prêts à intérêts, seront les seules responsables.

    Ainsi le livre démontre-t-il avec clairvoyance la progressive prise de pouvoir de la Banque – incarnée dans sa forme aboutie par la FED – sur le pouvoir, l’Eglise, puis le monde via les Etats-Unis. Une Banque réduisant les présidents américains à l’état de « simples obligés », entièrement voués à son service. Une Banque, nous dit l’auteur, qui avec l’assassinat de Kennedy nous montre qu’il n’est pas bon de vouloir lui résister.

    La victoire de l’Empire sur la « troisième voie » française

    Jusqu’à la chute de l’URSS, le monde d’après-guerre présente deux visages. Le visage capitaliste de l’Oncle Sam, et le visage communiste de l’Oncle Joe. Entre les deux, la fameuse « troisième voie », française, incarnée par le Général de Gaulle. La France, et son universalisme légendaire, est alors la seule opposante sérieuse à la toute puissance anglo-saxonne dans le camp occidental.

    Cela n’aura pas duré bien longtemps. Profitant de mai 68, l’Empire se débarrasse de De Gaulle. Pompidou, son successeur, ancien patron de Rothschild (!), s’est ensuite chargé de trahir le Général ainsi que tout l’héritage du Conseil National de la Résistance. En 1973, il donne les pleins pouvoirs à la Banque en faisant passer en douce une loi obligeant l’Etat à emprunter sur les marchés étrangers : la fin des politiques sociales et une totale prise de contrôle de la monnaie par la Banque.

    Une liquidation du CNR et de l’indépendance française qui, comme le souligne bien Soral, vit avec l’arrivée de Nicolas Sarkozy son aboutissement le plus complet (réintégration à l’OTAN, Kouchner au Quai d’Orsay, ratification du Traité de Lisbonne, ouverture à gauche…).

    Ceci fait, l’un des objectifs majeurs sera de diviser pour régner. Grâce à une immigration imposée au peuple, ramenée par le grand patronat, il sera question de pousser à la division, à l’horizontalisation des luttes. Ainsi, le regroupement familial en 1976 sera-t-il le comble de la provocation. Désormais le français de souche et l’immigré sont mis face à face, sur un ring de boxe. Un combat bien organisé et encadré par les différentes associations antiracistes qui vont alors fleurir à cette époque, comme autant de minorités agissantes, collabos et fières.

    « Une destruction méthodique des piliers qui faisaient la France économique, morale, sociale, culturelle et ethnique d’après-guerre, qui s’achèvera par le référendum de Maastricht et la victoire du « Oui » ; le renoncement à la France par son peuple travaillé au corps depuis plus de 20 ans par le jeunisme, le féminisme, la « rigueur économique », le métissage et l’antiracisme.  » (p.188)

    Démocratie d’opinion et soumission des clercs

    Pour soumettre d’avantage le peuple de cet Etat vassal de l’Empire qu’est devenue la France, il aura fallu aussi prendre le contrôle des consciences et des esprits. Pour ce faire, et Alain Soral le démontre avec brio, rien de tel que l’instauration d’une démocratie d’opinion, une République illusoire. Sous couvert d’un antifascisme d’un autre âge, toute pensée réactionnaire va être écartée, marginalisée, réduisant ainsi le débat à un seul combat Droite / Gauche. Un bipartisme imposé, qui n’aurait pas été possible sans la soumission progressive des clercs.

    Des clercs qui ont, pour n’en laisser que des collabos, été soumis à un tri radical, suivi d’un formatage en règle dans les rangs de Sciences Po. Une tentative de séduction et un attrait carriériste irréfutable d’un côté, des procès et des excommunications de l’autre. Pour tout clerc insoumis, c’est la reductio ad hitlerum assurée. « Une soumission par la séduction ou la précarisation qui différencie, là aussi, la démocratie des régimes ouvertement autoritaires… » (p. 164).

    Ajoutez à cela la toute puissance des médias (depuis l’affaire Dreyfus), la maîtrise de la colère populaire par les mensonges de la presse écrite, l’abrutissement des masses, la destruction de toute capacité critique des citoyens réduits en consommateurs, et voici un beau consentement général au système, sur fond de démocratie et de liberté.

    Une République également noyautée par les réseaux et les lobbys, une réalité bien éloignée de l’idéal athénien (esclavage mis à part).

    L’incontournable lutte des classes

    Une chapitre entier est consacré à la lutte des classes et à la vision marxiste Capital – Travail. A ce sujet, Alain Soral parait indécis, ou pas assez clair, au sujet de Marx. Tantôt utilisant ses concepts, tantôt disqualifiant sa vision des choses en lui opposant Proudhon ou Orwell.

    Quoi qu’il en soit, il est intéressant de constater, sous la plume de l’essayiste, le combat incessant mené par le Capital afin d’empêcher le projet orwellien d’union entre le prolétariat et la classe moyenne. Ainsi la nouvelle classe moyenne salariée (le secteur tertiaire, les cols blancs) sera-t-elle utilisée comme un tampon entre le monde du travail et le Capital, et sera chargée, à son insu naïf, de diviser son propre camp.

    Dans le livre, une bonne analyse est également faite de l’arnaque trotskiste. Soit les abrutis internationalistes de gauche utilisés, avec leur haine insupportable de la Nation, par le Capital afin de servir sa cause mondialiste, et aussi d’enrichir l’opposition voulue avec cette classe moyenne de « bobos collabos ».

    Avec les années 90 et la mondialisation ultralibérale, l’auteur souligne aussi l’apparition d’une nouvelle classe : l’hyper-classe. Une nouvelle élite nomade, mondialisée, coupée du monde, qui n’éprouve que trop peu de sentiments en contemplant « l’humanité souffrante comme un spectacle vu d’avion » (p.141). Car comme il est rappelé dans le livre, il n’y a d’international que le Capital, le peuple étant, lui, profondément enraciné et patriote.

    A propos de la Franc-maçonnerie

    Lorsqu’il met en lumière les réseaux qui noyautent la République, Alain Soral cible bien-sûr en particulier la franc-maçonnerie. Pour prendre le contrôle de la République, il aura d’abord fallu à ce réseau occulte soumettre l’Eglise. Le camp de la Raison (sous influence maçonnique incontestable) l’ayant emporté sur Dieu lors de la Révolution, il a ensuite été question d’achever ce que Voltaire appelait « l’infâme ». Avec sa soumission progressive, Vatican II et la loi de 1905 sur la laïcité (dernier pouvoir de l’Eglise qu’était l’éducation des enfants), le catholicisme a finalement succombé aux attaques organisées depuis les Loges.

    Au sein de la République, elles jouent également un rôle certain. Ces derniers temps, de plus en plus de scandales maçons éclatent au grand jour dans des journaux tels que l’Express ou Le Point. Rien de plus normal selon Alain Soral : la maçonnerie est en déclin. Les « courageux journalistes » ne faisant que tirer sur leurs anciens maîtres pour mieux dissimuler les nouveaux (la Banque, le groupe Bilderberg, Le Siècle…). Une influence, un pouvoir maçonnique sur la République, qui aura fait dire à Alain Bauer lui-même – ancien maître du Grand Orient et conseiller polyvalent de Nicolas Sarkozy – que « dans notre système politique, dit démocratique, ce ne sont pas 40 millions de citoyens qui font les lois mais 150 000 frères » (p.107).

    A propos du sionisme et des juifs

    A ce sujet, bien qu’il n’en fait pas le thème principal du livre et les soucis premiers du monde, Alain Soral reste sur ses positions. Selon lui, le CRIF représente le réseau le plus puissant et il doit cela à la particularité de son groupe ethnico-confessionnel d’origine. Une puissance multipliée par l’addition, je cite (p.109) :

    - Des liens du sang (la qualité de juif se transmettant héréditairement par la mère) ;
    - Une foi plurimillénaire fondée sur le projet clairement établi de la domination (destin historique promis par Dieu au peuple élu) ;
    - Du cosmopolitisme (cette communauté organisée étant présente au sein de la plupart des nations, et particulièrement des nations développées, pour faire d’elle la « communauté internationale » par excellence) ;
    - Et de la pleine maîtrise de la modernité : finance, médias et sciences.

    Une combinaison de solidarités ethniques, religieuses et de classes qui en fait logiquement le réseau des réseaux.

    Comprenez ici que les nouveaux réseaux et organisations œuvrant à l’accomplissement du Nouvel Ordre Mondial cités plus loin (tels que le CFR, le FMI, la Commission Trilatérale, le groupe Bilderberg, l’OMC, l’OCDE, l’OMS, les lobbys militaro-industriels, agro-alimentaires, énergétiques, pharmaco-chimiques, les Skulls & Bones, le Bohemian Club, Le Siècle, Le Club des Cordelières…et cætera) se retrouvent tous liés grâce à la présence commune de membres et dirigeants juifs ou sionistes dans leurs rangs. La religion juive étant alors un réseau parmi les réseaux, et de ce fait, le « réseau des réseaux ».

    Concernant les actes et le projet de la Banque depuis sa prise de pouvoir, l’essayiste y voit un fondement Judéo-Protestant puisé dans l’Ancien Testament, par opposition aux principes Héléno-Chrétiens, basés sur le partage et le message du Christ, ayant régi l’ère pré-Révolutionnaire.

    Comme je le disais plus haut, il n’est pas question ici pour moi d’accorder ou non mon approbation à ces thèses. Elles ne sont pour moi que des arguments recevables par rapport à d’autres contre-arguments recevables. Je laisse, en toute objectivité, le soin à ceux qui auront lu le livre de se faire un avis. Car, évidemment, le livre est bien plus complet et plus développé que la présentation faite ci-dessus.

    Comment résister à l’Empire ?

    Car c’est certainement l’attente principale des lecteurs. Après avoir compris l’Empire, son fonctionnement et ses méthodes de domination, le tout est de savoir comment lui résister, lui échapper, le combattre. Quand l’Empire tente d’imposer sa domination, adossé à divers principes présentés comme irréfutables (les Droits de l’Homme, l’écologie, la Crise, le terrorisme, la santé…), le citoyen isolé a besoin de repères et d’exemples pour espérer.

    Dans le dernier chapitre, Alain Soral propose plusieurs voies à la dissidence, contrairement à Dieudonné, qui récemment ne parle plus que d’Islam et présente la religion du prophète Mahomet comme le seul et unique chemin vers la vérité.

    • Commençons par l’Islam, qui est, selon l’auteur, la religion qui ne s’est pas encore totalement (comme l’Arabie Saoudite…) soumise à l’Empire. • Mais aussi l’insoumission de l’Iran • Le retour au premier plan de la Russie de Poutine, ce qui pourrait reformer un monde bipolaire avec possibilité pour la France de rouvrir ainsi une troisième voie, encore • La montée impériale de la Chine, qui ne sera, dans ce cas, que le simple remplacement d’un impérialisme par un autre, comme le précise le livre • Le soulèvement du peuple américain, dont la moitié ne croit déjà plus à la version officielle du 11 septembre • Et enfin la réconciliation nationale française, entre les français "de souche" et les musulmans patriotes (et ce, contre ce qu’Alain Soral appelle les islamo-racaïlles) afin de ne plus tomber dans le piège du choc des civilisations et de sortir du joug des associations dites antiracistes.

    « Un combat qui ne se joue donc pas entre Français et musulmans, comme voudraient nous le faire croire les agents de l’Empire, mais entre fils de France aimant la France et ennemis de la France, toutes couleurs et toutes religions confondues.  » (p.236)

    J’aurais également mis plus en lumière la montée de l’anti-impérialisme sud-américain, trop souvent oubliée dans le livre. Aussi, j’estime qu’il faut relativiser les espoirs en la République Islamique d’Iran qui est, c’est vrai, diabolisée d’un côté, mais aussi fantasmée de l’autre. Ajoutons à cela que le fait de Comprendre l’Empire étant déjà, à lui seul, un moyen de réveil et de résistance.

    Conclusions et appréciations

    Il est difficile prendre parti sur ce livre sans déchainer les passions. Mais en toute honnêteté subjective, il est certainement le livre de l’année (et son succès prématuré me conforte dans mon appréciation), ainsi même que l’un des meilleurs que j’ai jamais lu. A recommander, bien évidemment, à tous ceux qui, comme moi, souhaitent comprendre ou y voir plus clair dans le monde complexe qui les entourent, tout en gardant une indépendance d’esprit propre. L’un n’empêche pas l’autre.

    Il comporte à la fois des éléments difficilement contestables tant ils sont démontrés avec cohérence et lucidité, arguments et faits historiques à l’appui. L’analyse de la victoire de la Raison sur Dieu puis de la Banque sur la Raison est exceptionnellement juste et clair. L’étude de la démocratie d’opinion – de la soumission des clercs à la toute puissance des médias – est également un concept brillant sorti tout droit de la plume de Soral. Et j’en passe…

    A cela viennent inévitablement s’ajouter les prises de positions personnelles de l’auteur concernant la Franc-maçonnerie et, surtout, la question juive. Un avis personnel qui a le mérite de ne pas être balancé bêtement mais expliqué et argumenté. Le public, dans ce cas, est le seul à même d’adhérer ou non aux thèses exposées tant le sujet est sensible et déchaine les passions les plus anciennes.

    Dans sa forme, l’ouvrage est remarquable et formidablement pédagogique. « Peu universitaire (…) par respect pour le lecteur » note l’auteur en introduction. Autant dire que l’effet est payant, et que le livre n’a rien à voir avec les pavés habituels écrits par de pseudo-intellectuels bobos. Dans un enchainement de textes courts et clairs au sein de chapitres à thème, jamais le lecteur ne perd le fil des événements. Ce fil conducteur n’étant nul autre que la progression chronologique, répartie en fonction du sujet abordé, difficile de ne plus s’y retrouver. Enfin, les idées exposées sont, dans leur grande majorité, appuyées par des arguments réfléchis, des faits historiques, parfois tirés de notre plus lointain passé.

    Alain Soral présente là sans doute son meilleur livre. Un livre qui en offusquera certains et en réjouira d’autres. Mais, comme se le demandait Henri Béraud, cité dans les premières pages : « d’où vient donc que toujours, en dépit de tout et de tous, il se trouvera des hommes qui, dédaigneux des facilités de la vie, se consacreront en connaissance de cause à la plus redoutable des tâches humaines, qui est de jeter l’alarme aux jours de grands péril, et, s’il le faut, de crier malheur sur les contemporains ? »

    Comprenne qui voudra.

    Chris Lefebvre

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    Comprendre l’Emp

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    Tout est visible sur ce lien : Echange d’information entre l’Europe & Israël

    Par données personnelles, on entend vos comptes bancaires, vos téléphones, mails, la santé, votre famille, vos déplacements… Toutes les données que le gouvernement et les Etats membres collectent sur vous. Tout cela est transféré à Israel à la seule condition que l'Etat sioniste garde bien cela pour lui.

    * Cette décision rappelle bien que cela est fait malgré que le sionistan n’ait pas de constitution écrite (point 5), mais juste une cour suprême (bien entendu : très stable comme système législatif).

    * Le contrôle de la protection des données (point 10 et article 1.2) est faite par une autorité indépendante : l’Autorité israélienne chargée du droit, de l’information et des technologies, l’« ILITA » (c’est très indépendant, effectivement).

    * Le point 12 évoque de façon très équivoque que cela ne concerne que les traitements automatisés (ne le sont ils pas tous ?), pour que le bénéficiaire puisse se cacher derrière cela.

    * Et ce n’est pas le pire, je vous laisse prendre vos 5 minutes pour lire le papier, il y a 7 articles, c’est rapide, clair, efficace.

    A venir les assassinats ciblés sur notre sol (enfin, le sol de la commission européenne), pour la sécurité d’Israël ? Faites passer… Sérieusement. Que tout le monde sache petit à petit comment ça se passe. Communiquez là dessus.

    PS : faites un tour de temps en temps sur le site de droit de l’UE, vous allez aimer.


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  • Attali "Jérusalem : capitale du NWO"

     

    article lié COUR SUPRÊME DE JERUSALEM


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  • Un nouveau monde arabe

    Dans une approche un peu optimiste, on pourrait considérer les facteurs de type systémique poussant à la mise en place d’un monde arabe évoluant pacifiquement, sans perdre ses spécificités, pour devenir un acteur actif dans l’évolution du monde multipolaire. Pour l’Union européenne, il y aurait un grand intérêt à ce que cette évolution se fasse en synergie avec la sienne.

    Sciences politiques
    Un nouveau monde arabe ?
    L'expression de monde arabe est traditionnelle, bien qu'utilisée dans des sens différents. Convenons ici qu'elle désigne un ensemble de pays regroupant environ 450 millions de personnes (selon les périmètres retenus). Ces pays s'étendent du Nord de l'Afrique à la péninsule Arabique et au Proche-Orient. On considère qu'ils partagent une culture arabe dominante, comportant de nombreuses variantes locales. Elle est caractérisée par la langue arabe dominante, par l'islam religion dominante et jusqu'à ces derniers temps, par un minimum de cohésion politique s’exprimant notamment dans l'appartenance à la Ligue arabe et à certaines positons communes notamment à l'ONU.

    Le fait que la religion musulmane soit répandue dans de nombreux autres pays du Proche et du Moyen orient, notamment la Turquie, l’Iran, le Pakistan, l’Afghanistan et les Etats du Caucase, ne permet pas de les considérer comme appartenant au monde arabe proprement dit. Cependant la proximité géographique et la généralisation des échanges d'informations à travers les réseaux favoriseront des influences croisées de toutes sortes, dont il sera difficile de suivre en temps réel et moins encore de prédire les effets.

    Aujourd’hui, la chute d’un certain nombre de régimes autoritaires, susceptible de s’étendre à l’ensemble des pays, ouvre une ère de grandes incertitudes. Il est facile de pronostiquer la généralisation de troubles plus ou moins graves résultant notamment de l’exacerbation des nombreuses divisions que nous évoquons ci-dessous (voir « Les divisions du monde arabe »). Mais, dans une approche un peu plus optimiste, on pourrait considérer les facteurs de type systémique poussant à la mise en place d’un monde arabe évoluant pacifiquement, sans perdre ses spécificités, pour devenir un acteur actif dans l’évolution du monde multipolaire. Pour l’Union européenne, il y aurait un grand intérêt à ce que cette évolution se fasse en synergie avec la sienne.
     
    Le pan-arabisme

    D'une façon générale, on peut prévoir que se généralisera un pan-arabisme politique et culturel qui tout naturellement, devrait être le pendant au mouvement pan-européen institutionnalisé depuis longtemps. Ce pan-arabisme, s'il se développe, sera représenté par les dizaines de millions de jeunes des classes moyennes éduquées regroupés autour d'Internet. Il devra, sans pouvoir les supprimer par un coup de baguette magique, transcender les profondes différences qui ont toujours marqué le monde arabe, rappelées ci-dessous.

    Ce panarabisme comportera une dimension philosophico-religieuse importante, du fait de la profonde pénétration de l'islam traditionnel dans les couches populaires. Mais rien n'oblige à considérer que les nouvelles élites reprendraient à leur compte des mots d'ordre radicaux, de type salafiste, prétendant mener la guerre aux mécréants, c'est-à-dire au reste du monde. Il n'est même pas certain que la majorité des musulmans du monde arabe voudront contribuer à la réalisation du rêve moyen-âgeux de l'Oumma, communauté mythique regroupant tous les musulmans du monde, correspondant à une « Chrétienté » elle-même mythique n'intéressant plus que des intégristes romains.

    Il est indéniable cependant que ce panarabisme ne sera pas d'emblée amical à l'égard de l'Europe. Il sera de fait cependant influencé par les valeurs de celle-ci. Il appartiendra aux Européens de faire en sorte qu'il ne lui devienne pas hostile. Ils devront convaincre les Arabes, par un dialogue ouvert, du caractère positif que comportent les valeurs européennes, notamment en termes de droits des citoyens, droits des femmes et séparation de la religion et de l'Etat.

    Ce faisant les Européens devront détacher leur action de celle des Etats-Unis, auxquels ils se sont depuis trop longtemps assimilés à l'intérieur du concept ravageur d'Occident. Les Etats-Unis, en dépit de l'accueil sympathique fait par Obama aux révolutions arabes, ne vont pas abandonner leur emprise politique et militaire sur le Moyen-Orient. Celui-ci recèle des richesses pétrolières et comporte des voies d'exportation du pétrole que les Etats-unis sous l'influence de leurs lobbies politico-industriels continuent à considérer comme vitaux pour leur survie. Mais l'Amérique n'a plus guère les moyens, sauf à déclencher une guerre nucléaire, de continuer à s'opposer à la revendication de peuples qui voudraient, par exemple, nationaliser à leur profit et non à celui des oligarchies les gisements pétroliers.

    Face à la véritable malédiction qu'a toujours représenté pour les peuples arabes la présence de pétrole dans leur sous-sol (voir ci-dessous « La malédiction du pétrole ») on pourrait très bien concevoir que l'Europe pousse à la nationalisation du pétrole par de futurs gouvernements démocratiques arabes. Cela ne signifierait pas nécessairement que ses compagnies pétrolières soient interdites d'opérer dans la zone. On retrouverait seulement une solution plus ou moins à l'oeuvre dans d'autres parties du monde, où les bénéfices pétroliers peuvent en principe contribuer à résoudre les difficultés économiques de pays manquant par ailleurs de ressources naturelles. Mais dans le cas d'ne nationalisation, les Etats arabes concernés devraient se préparer à affronter des mesures de rétorsion américaine pouvant être extrêmement dangereuses.

    Restera posée la question d'Israël. Si d'une part les gouvernements arabes voisins endossaient le rêve inacceptable de rayer Israël de la carte, si d'autre part ce dernier continuait à s'enfermer dans des attitudes inutilement provocantes, sans jouer la carte du dialogue démocratique, les relations du futur monde arabe et de l'Europe deviendraient très difficiles. Les historiens pourraient s'étonner de voir en ce cas comment la présence de quelques millions d'humains, les Israéliens, avait pu dresser l'un contre l'autre deux blocs de plusieurs centaines de millions d'autres humains, c'est-à-dire ceux peuplant l'Europe et le monde arabe.

    La encore nous pensons que l'Europe devrait sans tarder découpler son action de celle des Etats-Unis. Ce serait dorénavant à elle de réinitialiser le « processus de paix », en faisant clairement comprendre aux partenaires/adversaires que s'ils continuaient à refuser toute coexistence pacifique, ils pourraient encourir de sa part des sanctions de toutes natures, y compris militaires.

    Notes

    1. Les divisions du monde arabe

    Jusqu’aux évènements enclenchés depuis quelques semaines par les révolutions en Tunisie et en Egypte, le monde arabe se caractérisait en termes politiques par ses divisions :

    - divisions entre pays du Maghreb très proches à différents titres de l’Europe et pays du Proche et du Moyen Orient très largement conditionnés d'une part par la présence du pétrole et d'autre part par la relation avec Israël et l’influence américaine s’étant positionnée en soutien de ce dernier pays.

    - multiples divisions dites tribales, à l’intérieur de chacun des pays et au sein du monde arabe dans son ensemble. A celles-ci se superpose dans certains pays une division historique entre musulmans chiites et musulmans sunnites, qui peut dans certains cas, comme actuellement en Irak, conduire à de situations de pré-guerre civiles.

    - divisions entre minorités oligarchiques au pouvoir et classes sociales traditionnelles vivant à la limite de la pauvreté et subissant toutes les contraintes des crises économiques et climatiques.

    - présence dans certains pays de minorités actives non arabes et non musulmanes, luttant pour leur survie.

    - divisions entre pays disposant et ne disposant pas de la richesse du pétrole. Ces derniers bénéficient d’un appui vigilant des Etats-Unis et de l’Europe. Les autres affrontent des difficultés économiques considérables, dues au manque de ressources naturelles et à une démographie en expansion.

    - divisions entre pays ayant limité l’emprise politique de l’Islam et pays se considérant comme des théocraties et soutenant officiellement et en sous-main l’islamisme radical, sinon les mouvements terroristes. C’est le cas en particulier de l’Arabie saoudite sunnite et de l’Iran chiite.

    - divisions entre pays disposant d’un minimum de vie publique et de démocratie et pays à gouvernements autoritaires voire dictatoriaux.

    Pour les Etats-Unis et pour les pays européens, ces divisions étaient un atout dont ils jouaient pour éviter de se confronter directement à un monde arabe qui uni aurait été selon les cas soit un partenaire soit un adversaire incontournable. Elles fournissaient un prétexte pour ne pas voir les inégalités sociales grandissantes, l’impasse économique de tous les pays ne disposant pas de la ressource pétrolière, le lent développement d’une conscience commune d’appartenance contradictoirement représentée à la fois par un islam en plein expansion et par une culture démocratique véhiculée par le développement des réseaux sociaux sur Internet.

    La lutte contre le terrorisme officiellement menée par les régimes autoritaires était pour ces derniers un argument majeur permettant de se faire pardonner par l’Occident leurs abus divers. En fait, comme on l’a vu depuis, l’islamisme radical et les formes terroristes militantes qu’il pouvait prendre avaient tout à gagner du manque de démocratie dont souffraient notamment les jeunes des classes moyennes.

    2. La malédiction du pétrole

    On pourrait considérer que la présence de zones d’exploitation et de réserves pétrolières considérables, ainsi que le contrôle des voies maritimes d’exportation du pétrole, pourraient être pour le monde arabe une ressources géostratégique durable. En fait, il s'est agi jusqu'à présent d’une véritable malédiction. Plus encore que dans d’autres pays, le Nigéria, le Brésil ou la Russie, le pétrole a empêché l’essor d’une économie fondée sur l’exploitation des ressources traditionnelles et le développement de nouvelles technologies. Il a justifié l’implantation durable du capitalisme international et l’emprise militaire et diplomatique l’accompagnant. Il a financé dans les pays du Golfe le développement d’investissements de pacotille justifiant l’importation d’une main d’œuvre misérable et la mise en place de maffias profondément corruptrices.

    Le chroniqueur américain Thomas Friedman a récemment dénoncé dans un article très remarqué la complaisance de l'Amérique (comme de l'Europe et de l'Asie) à l'égard des régimes de l'Opep. Le discours de l'Occident était : « tant que vous maintenez la pompe à essence ouverte, vous pouvez faire tout ce que vous voulez par ailleurs » (voir http://www.nytimes.com/2011/02/23/opinion/23friedman.html?_r=1 ). Thomas Friedman fait à juste titre de ce néo-colonialisme de l'Amérique (de l'Occident) le principal responsable du décrochage du monde arabe. Rappelons que l'invasion de l'Irak dont tant de catastrophes ont découlé a été décidée sous la pression des lobbies pétroliers américains. Dans une certaine mesure, on peut considérer que le phénomène Ben Ladden a été inventé par eux pour servir de prétexte au renforcement de leur main-mise sur la zone.

    Si le pétrole était géré pour le bien commun des pays arabes et non pour l’intérêt des seuls gouvernements de l’Opep, il pourrait représenter un facteur utile d’enrichissement global - encore que son pouvoir corrupteur risquerait de s’étendre à tous les pays, comme le montre l’exemple de l’Algérie actuelle dont seule une oligarchie profite des revenus pétroliers. Mais pour que cette mutualisation se réalise, il faudrait que se mettre en place uns véritable fédération des Etats arabes. La perspective parait lointaine, mais on peut la croire inévitable, sous la pression des Etats pauvres qui refuseront de voir une infime minorité de riches bénéficier seuls des ressources pétrolières.

    3. Le rôle de l’Internet

    Tous les observateurs ont souligné l’importance des réseaux interactifs sur le modèle de l’Internet. Ceux-ci, mieux encore que la télévision qui restera toujours soumise, y compris en Europe, aux pouvoirs oligarchiques, permettront l’expression individuelle et collective de nouveaux militants ouverts aux problèmes du monde et à la nécessité du dialogue entre les peuples. On dira que nous exprimons là une vue optimiste à propos de ces technologies, qui peuvent aussi être des facteurs de contrôle et de mise en tutelle.
    L’exemple des Etats-Unis et de l’Europe montre que l’Occident, en ce domaine, a beaucoup de révolutions encore à accomplir pour qu’Internet, le téléphone et les outils communiquants distribués deviennent les supports d’une véritable libération des peuples. Mais on peut espérer que le mouvement se fera néanmoins et que l’éducation et la démocratie en profiteront largement, y compris dans le monde arabe.

    On pourrait craindre que dans des pays majoritairement de religion musulmane, vu le caractère conquérant que revendique actuellement l’islam, des intolérances de type « salafiste » se propagent par Internet bien plus vite que des comportement plus ouverts et tolérants. Les femmes en seraient le premières victimes, qui se verraient reléguées à la situation traditionnelle de dépendance qui est la leur au Moyen-Orient et dans de nombreux pays non-arabes de l’Afrique et de l’Asie. Le risque d’une islamisation qui prendra la forme de la réalisation de l’Oumma existe. Si cette communauté se réalisait et prenait une forme politique agressive, elle serait très mal ressentie par les Etats européens se reconnaissant dans la laïcité. Mais pourquoi, à l'exemple de tous ceux qui par delà les frontières politiques et les cultures, se rencontrent par Internet, ne pas parier sur le meilleur plutôt que sur le pire.

    Dans cet esprit, on pourra au delà de la réalisation d'un nouveau monde arabe ouvert au dialogue démocratique, parier sur la contagion de cet exemple au sein de blocs politiques encore très fermés, la Chine en tout premier lieu.

    par Automates Intelligents (JP Baquiast) (son site) samedi 26 février 2011


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  • Reportage sur les chemtrails :

    cliquer ici

     

    Les Chemtrails, ces trainées laissée par les avions qui ne ressemblent pas à de la condensation et dont le nombre d’observations ne cesse d’augmenter, ont fait l’objet de nombreuses vidéos et sites internet. Voici trois "grands" reportage à leur sujet qui récapitulent les connaissances disponibles sur ce sujet.


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  •  

    Aymeric Chauprade : Le mondialisme

    source

    Aymeric Chauprade, expert en géopolitique, nous parle de l’idéologie mondialiste. Il évoque ses origines (avec notamment la franc-maçonnerie au 18e siècle), ses divers courants, et son but ultime : la mise en place d’un gouvernement mondial.

     

    Sont abordés les différents réseaux qui constituent l’architecture "invisible" de la mondialisation : le CFR (Council on Foreign Relations), la Commission Trilatérale, le groupe Aspen, le groupe Bilderberg...

     

    Chauprade considère que l’Europe n’est, dans le projet mondialiste, qu’une extension des Etats-Unis - le projet de Robert Schuman d’une Europe puissance ayant été abandonné au profit de celui de Jean Monnet, qui vise à l’instauration d’un grand marché transatlantique.


    Le mondialisme 1/2
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    Le mondialisme 2/2
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  • Mac Arel contre Mac Doc à Carcassonne


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  • Comment les banques affament le monde

    Les banques ont ruiné le monde, en jouant au " casino " et les états les ont renflouées a hauteur de plusieurs milliers de milliards de dollars. QE1, QE2 et bientôt QE3 sans compter les diverses manipulations des bourses. Elles sont au dessus des lois, les ayant transgressées a maintes reprises sans être aucunement inquiétées, pire, les politiques sont sous leur joug et sont donc complices de leurs agissements. Tout est fait pour que les peuples soient asservis, pendant que les banques dégagent des bénéfices mirobolants comme jamais, alors que dans le même temps les peuples souffrent. Tout est fait dans ce sens et le but recherché de tout cela, je le répète est l’asservissement.

     

    Nos politiques sont corrompus, oui, ils ne sont plus au service des peuples. Ils nous manipulent depuis toujours, ils nous ont vendu la mondialisation puis l’europe, résultat ils ont détruit la planète et appauvri les peuples, et maintenant nous allons vers des famines a l’échelle planétaire . Nous sommes entrés dans un régime oligarchique et point de salut autre qu’un sursaut des peuples, a l’image des peuples qui se soulèvent en masse. Petit exemple dans cette vidéo sur les divers "process" ( il faut bien le dire) de ces salauds de banquiers pour qui rien n’a plus de valeur que l’avidité, n’attendez pas le moment ou vous ne pourrez plus remplir les assiettes de vos enfants pour réagir...........


    Comment les Banques affament le monde (goldman sachs)
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  • Johan Livernette répond aux questions d’Eric Granger

    Voici la deuxième partie de la correspondance entre Eric Granger et Johan Livernette, journaliste et auteur dissident. Vous pouvez lire la première partie en cliquant ici.

     

    Eric Granger - Johan Livernette

    Eric Granger - Johan Livernette

    Eric Granger : D’abord, selon vous, à quel point la population française est-elle éveillée aux enjeux de la gouvernance mondiale ?

    J.L. : « Il est difficile de répondre avec exactitude et précision à cette question. Pour avoir souvent évoqué le sujet auprès de non-initiés, j’ai constaté que les Français éveillés sur la gouvernance mondiale sont minoritaires.

    Beaucoup ne savent pas ce qu’est le Nouvel Ordre Mondial. Nombreux sont ceux qui connaissent vaguement quelques thèmes comme le Bilderberg ou les Skull and Bones mais sans maîtriser le sujet. Et même ceux qui suivent ne sont pas forcément bien formés pour débusquer les pièges du malin ! A titre d’exemple, j’avais relayé le travail de Daniel Estulin en mai 2009 suite au Bilderberg grec de Vouliagmeni. Je croyais que cela ne servirait à rien. Je me suis rapidement aperçu que c’était l’inverse. Les gens -même les initiés- n’étaient pas au courant du Bilderberg ni ne savaient qui était Daniel Estulin. Au-delà de cet exemple, le gros problème c’est que l’immense majorité n’a pas adopté le bonne grille de lecture pour comprendre le Nouvel Ordre Mondial. Cette majorité raisonne encore selon le clivage gauche-droite sans connaître les plans mondialistes -ou en faisant semblant de les ignorer- ni les lobbys et sectes qui dirigent réellement la France et le monde. »

    Pouvez-vous me nommer quelques Français qui, selon vous, font un bon travail pour éveiller la population française aux enjeux de la gouvernance mondiale ?

    « Le nom de Pierre Hillard me vient immédiatement à l’esprit. Il est toujours très factuel, précis, bien documenté. Pierre est devenu une référence sur le sujet. Essayiste à succès, Alain Soral s’est intéressé au Nouvel Ordre Mondial sur le tard. J’attends de lire son tout nouveau bouquin que je viens de recevoir. Alain est quelqu’un d’intègre, en qui j’ai confiance, un vrai combattant comme on n’en fait plus beaucoup. Il y a aussi Le Libre Penseur, un Marseillais de confession musulmane, qui se donne beaucoup de mal pour relayer l’information non alignée. Son travail est salutaire tout comme celui des éditions Delacroix qui publient régulièrement la lettre LIESI. Une référence trop peu connue en matière de Nouvel Ordre Mondial. Très calé sur le sujet, Denissto qui collabore à LIESI et pour qui j’ai beaucoup d’affection viendra se produire le dimanche 17 avril à Toulon. D’autres personnalités valent le coup. Sans tous les citer, je vous conseille le travail exceptionnel de l’agriculteur Claude Bourguignon qui est une référence dans son domaine. »

    Nicolas Sarkozy va bientôt commencer sa dernière année comme président de la France et on prépare déjà les élections de 2012. Si l’on se fie aux médias alignés français, Dominique Strauss-Kahn serait le successeur logique de Sarkozy. Selon vous, est-ce que DSK – mondialiste reconnu et président actuel du FMI – deviendra président de la France en 2012 ?

    « Tout est fait pour qu’il le soit comme vous l’avez bien compris du Québec ! Le sera-t-il ? Je n’en sais trop rien. En général, quand l’oligarchie mise sur un pion, elle mise sur le « bon » ! Donc il devrait l’être. Mais s’il ne l’est pas, ça sera du pareil au même, c’est-à-dire une marionnette à la solde d’Israël, de l’UE, des lobbys, sectes et instituts mondialistes. Peut-être bien Sarkozy pour un second mandat ou Aubry qui est la copie conforme de DSK et qui s’était d’ailleurs couchée devant le B’nai B’rith. Que ce soit Pierre, Paul ou Jacques, tous sont interchangeables et ne sont que les salariés des banksters. »

    Dernièrement, Marine Le Pen est devenue chef du Front national, le parti qu’a fondé son père Jean-Marie. Dans son discours inaugural, elle a affirmé que son parti est contre l’établissement d’une gouvernance mondiale, ce qui est bien. Cependant, le Front National traine une réputation de parti fasciste à laquelle les médias alignés français ont contribué largement. La question est la suivante : serait-il « dangereux » pour les Français de voter pour le Front national en 2012 ?

    « Marine Le Pen dit qu’elle est contre le mondialisme, ok. Dupont-Aignan dénonce quant à lui le Nouvel Ordre Mondial alors qu’il fut Young Leader et député UMP durant dix ans ! Il est évident que tout ça pue le marketing, les idées n’étant qu’un fond de commerce. Marine Le Pen est, comme son père, contre l’immigration et l’Europe. Sauf qu’elle a de très grosses failles qu’il faut comprendre. Je vous invite à lire ce que j’ai écrit récemment sur mon site sous la photo d’Hortefeux : http://johanlivernette.com/index.php?option=com_content&view=article&id=139:lactu-de-mois-en-moi-vii-janvier-2011

    De plus, il est important de savoir qu’elle s’est entourée de Megretistes (des islamophobes racialistes), ce qui est toutefois logique puisqu’elle affirme lutter contre l’islamisme ! Les sionistes n’en demandaient pas tant ! Ils ont trouvé les sbires parfaits pour faire le sale boulot ! Il est tout aussi important de remarquer que Marine Le Pen avait auparavant poussé vers la sortie Alain Soral pour faire ensuite… du Soral sans lui voyant que c’est populaire. Je ne sais pas si vous vous rendez compte de l’arnaque. Pour répondre à votre question, voter FN est dangereux pour personne. Sûrement pas pour le système judéo-maçonnique. Big Brother se marre avec de tels opposants. Marine Le Pen ne squatterait pas les plateaux télés si elle était si dangereuse, c’est une évidence. »

    Y a-t-il d’autres candidats à la présidence française (autre que DSK, Royal, Le Pen) qui devraient retenir notre attention ?

    « On ne sait pas encore qui se présentera mais on se doute des marionnettes qui participeront à la vilaine pièce de théâtre. Ségolène Royal était, à mes yeux, légitime vu sa côte de popularité au sein du PS et son bon score en 2007. Mais bizarrement, elle fut écartée des mass médias. Royal est presqu’aux oubliettes. Elle n’est peut-être pas assez israélo-compatible pour eux ! Moins que DSK et Aubry en tout cas. Franchement, il n’y a rien à attendre des élections présidentielles. Pour moi et pour reprendre l’illustre William G. Carr, tous sont sur le même échiquier. Personne ne remet en cause la religion d’Etat (la judéo-maçonnerie) ni les religieux qui tiennent les rênes et encore moins la finance qui décide de tout. J’accorde donc peu d’intérêt aux marionnettes du pouvoir. »

    Selon vous, quels médias français (ou autres) doit-on consulter pour obtenir de l’information crédible et régulière sur le Nouvel Ordre Mondial ?

    « Hormis le magazine soralien Flash qui traite de géopolitique dans le registre national-révolutionnaire, l’info alternative sur le NOM se trouve uniquement sur Internet. Le site Infoguerilla est sans doute l’un des meilleurs comme le Réseau Voltaire de Thierry Meyssan, Egalité & Réconciliation d’Alain Soral, Mecanopolis, 911nwo ou encore Le Décodeur que vous devez bien connaître ! (rire) »

    Croyez-vous qu’il est possible de stopper la marche vers le Nouvel Ordre Mondial, et quel serait le meilleur atout pour ceux qui veulent mettre fin à cette marche ?

    « Ce sont deux des principaux thèmes de mon prochain livre, « Deux cris dans la nuit », qui sortira dans les prochains mois. Comme je le sous-entendais tout à l’heure, le Nouvel Ordre Mondial va nous tomber sur la gueule et les Français se demandent s’ils vont voter pour une judéocratie du PS ou de l’UMP ! Enfin bref, comme dirait Pierre Hillard, humainement c’est foutu. Quant au meilleur atout, il n’est bien sûr pas électoral mais spirituel. Le Nouvel Ordre Mondial est une mystique. Il nous faut donc démasquer le diable. Dire la vérité qui libère, comme Jésus Christ en son temps, et la propager. Devenir d’authentiques et bons Chrétiens en somme. »

    Bonne chance Johan, vous êtes aussi le bienvenu au Québec.

    Source : http://johanlivernette.com/index.php?option=com_content&view=article&id=144%3Acorrespondance-avec-eric-granger-22&Itemid=1


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  • Complot des élites contre le peuple


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  • Le gouvernement missionne le représentant du lobby semencier pour supprimer les droits des agriculteurs sur leurs semences

     
     
     
     
     
     
     
    C'est avec stupéfaction que la Confédération Paysanne a découvert que le gouvernement a désigné le représentant du GNIS (Groupement National Interprofessionnel des Semences) pour défendre la position française sur les droits des agriculteurs lors de la prochaine réunion du Traité international sur les semences.
    Un point important de l'ordre du jour de la quatrième session de l'Organe Directeur du Traité international sur les ressources phytogénétiques pour l'alimentation et l'agriculture qui se tiendra en Indonésie du 14 au 18 Mars prochain est l'application des droits des agriculteurs sur leurs semences, définis aux articles 6 et 9 du Traité. Pour défendre la position française sur cette question précise des droits des agriculteurs, le gouvernement français a osé désigner... le directeur des relations extérieures du GNIS :
    - qui réclame à corps et à cris le paiement par les agriculteurs qui réutilisent leurs semences de ferme d'une Contribution Volontaire Obligatoire reversée directement, pour 85% de son montant, à l'industrie semencière,
    - qui poursuit en justice les agriculteurs qui reproduisent des semences de ferme des dernières variétés protégées par une loi française qui les interdisait, mais n'est presque plus utilisée depuis l'adoption en 1994 d'un règlement européen qui les autorise,
    - et qui envoie ses contrôleurs à la poursuite des agriculteurs qui conservent, utilisent, échangent ou vendent leurs semences de ferme.
    Les industriels des semences  ne supportent pas que les agriculteurs puissent bénéficier, tout comme eux et en toute légalité, du "privilège du sélectionneur" d'utiliser les variétés disponibles sur le marché pour sélectionner leurs propres variétés et d'échanger leurs semences dans le but de les sélectionner et de les conserver.

    La reproduction, la sélection et la gestion dynamique des semences à la ferme sont pourtant aujourd'hui les compléments indispensables à la production de semences par la filière industrielle. En effet, seule l'adaptation locale des variétés cultivées permet de diminuer significativement ou d'abandonner l'usage des engrais et pesticides chimiques qui empoisonnent la santé et l'environnement et de rendre aux plantes la plasticité indispensable à leur adaptation aux changements climatiques de plus en plus importants et imprévisibles. La filière semencière industrielle ne peut pas et ne pourra jamais amortir la sélection et la multiplication de petits lots de semences adaptés à chaque terroir, seuls les paysans peuvent faire ce travail par multiplications successives dans leurs champs. Mais ils ne peuvent pas le faire si on leur interdit de ressemer et d'échanger leurs semences et si on les oblige de devenir totalement dépendant d'une poignée de multinationales productrices d'OGM.

    Les droits des agriculteurs de conserver, d'utiliser, d'échanger et de vendre leurs semences de ferme sont l'indispensable pilier de toute politique agricole durable préservant la santé, l'environnement et la souveraineté alimentaire. C'est pourquoi la Confédération Paysanne demande au gouvernement français d'engager une concertation avec les agriculteurs qui renouvellent et conservent la biodiversité cultivée avant de désigner, pour défendre sa position sur les droits des agriculteurs, un représentant des intérêts de l'ensemble de la population et non le représentant d'un lobby industriel qui milite pour leur suppression.

    contacts : Guy Kastler 06 03 94 57 21
    Jean-Pierre Fonbaustier 06 42 97 52 01
    Philippe Collin 06 76 51 07 18

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  • La flambée des prix alimentaires atteint la cote d'alerte

    Publié le 19.02.2011, 16h59 | Mise à jour : 16h59

    La flambée des cours alimentaires mondiaux, atteint la cote d'alerte et pourrait entraîner des troubles graves dans plusieurs pays.

    La flambée des cours alimentaires mondiaux, atteint la cote d'alerte et pourrait entraîner des troubles graves dans plusieurs pays. | Bay Ismoyo

     
    La flambée des prix alimentaires est en train d'atteindre la cote d'alerte, au risque de la stabilité politique dans de nombreux pays, a averti samedi à Paris le président de la Banque mondiale Robert Zoellick, en marge d'une réunion des ministres des Finances du G20. «J'ai dit que nous avons atteint la cote d'alerte», a déclaré à la presse M.
     
    Zoellick, qui rapportait ses propos devant les grands argentiers de la planète. Il a appelé les dirigeants du G20 à «considérer l'alimentation comme une priorité numéro un en 2011».
    La hausse des prix des produits alimentaires va encourager une hausse de l'offre agricole, mais dans les deux prochaines années «il pourrait aussi y avoir un grand nombre de troubles, les gouvernements pourraient tomber et les sociétés basculer dans le désordre», a-t-il prédit.

    LeParisien.fr


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  • Jeu de guerre


    NOTRE MONDE EST UN JEU
    Cargado por Mecanopolis


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  • COUR SUPRÊME DE JERUSALEM (rediffusion)
    Les illuminati au coeur de Jérusalem

    Des ténèbres à la lumière, le bâtiment représente l'oeil d'Horus vu du ciel.
    Partout, des symboles, des autels de divinités hindoues, des lignes de force...


    source: http://paroledevie.org/base/articles/html/A265.cour_supreme.htm
    Article de Jerry Golden, directeur de www.TheGoldenReport.com. L'original peut être consulté en anglais à l'adresse suivante:
    http://www.TheGoldenReport.com/articles.asp?id=00180
    Reproduction de la traduction française autorisée, pourvu qu’elle soit intégrale, et que les sources soient indiquées.


    Introduction de l'auteur :
    Cet article va sûrement choquer et déranger beaucoup de lecteurs. J'ai refusé de le rédiger pendant quatre ans. Après beaucoup de combats et d'hésitations, j'ai décidé qu'il était temps de le rédiger et de le publier. Je sais que je risque de ne pas être compris, et même d'être accusé d'antisémitisme. Etant moi-même Juif, Dieu m'est témoin que je ne dirai ni ne ferai jamais rien qui puisse être considéré comme de l'antisémitisme. Mais je dois admettre que cet article n'a pas été facile à écrire pour moi. Un fait est certain : une puissance maléfique a été installée au cœur de Jérusalem, étendant son influence dans tout Israël, en préparation de la fin des temps et de l'installation de l'Antichrist à Jérusalem.
    Ci-contre: Vue d'avion de la Cour Suprême d'Israël


    Si nous croyons que l'Antichrist installera son siège sur le Mont du Temple, nous devons accepter d'affronter certaines vérités qui ne sont plus prêchées aujourd'hui. L'une de ces vérités est la suivante : le Malin se prépare à manifester l'Antichrist, au moment même où je vous parle. Sinon, nous pouvons oublier que nous sommes dans les derniers jours ! Mon article vous prouvera que cela fait déjà quelque temps que cette préparation est en cours, sans faire de bruit. Ce que je prouve sera accepté par certains, et rejeté par d'autres. Mais vous saurez du moins ce qui se prépare !

    Je présente dans cet article de nombreuses photos et illustrations, destinées à prouver que les Illuminati se sont implantés en Israël, et que ce que l'on appelle généralement le "Nouvel Ordre Mondial," a fomenté un complot diabolique au sein de notre pays.
    Note: (les Illuminati ne se sont pas 'implantés' dans l'État d' Is-Rä-El, ils l'ont créé de toute pièce. Rothchild en est le fondateur, bailleur de fonds et "mentor", lire "menteur", principal et son but comme vous l'avez tous senti est prédominant dans la manipulation de l'Agenda pour le futur Gouvernement Mondial et de son Nouvel Ordre, de sa future religion mondiale, que le pape annonçait au mois de février 2004 priant ses fidèles d'endosser et d'adhérer au Nouvel Ordre International afin d'éradicquer la violence et la pauvreté sur terre. L'ONU n'a pas les pouvoirs de législation mondiale alors on va la réformer, la restructurer en y incluant cette fois-ci, l'OTAN, NORAD, et autres forces militaires telles la Russie... les 10 "G" du panthéon des 13 Familles Olympiennes (en plus de la lignée royale des Li en Chine qui selon une source chinoise affirme avoir vu leur arbre généalogique croiser celle des Clinton et Powell. Pas surprenant !)

    Je veux vous parler du bâtiment officiel de la Cour Suprême d'Israël, et vous prouver que son architecture et sa construction, conçues et entièrement financées par la famille Rothschild, révèlent clairement que les Francs-Maçons et les Illuminati sont présents en Israël. C'est moi-même qui ai pris toutes les photos de cet article, sauf une, pour vous attester que tout ce que vous y verrez est bien réel et en place actuellement.

    Les familles qui possèdent et contrôlent la Réserve Fédérale américaine et les autres grandes institutions financières ont toutes les yeux fixés sur le Mont du Temple et la Cité Sainte de Jérusalem. Note: (le mont du Temple habritent des artefacts qui vous renverseraient si on vous en révélait la nature et ce n'est pas pour rien qu'on y a bâti un temple au-dessus et qu'on se bat entre Hébreux et Musulmans, deux races qui se croisent, pour savoir qui va "gardienner" ses trésors inestimables qui pourraient amener sur terre le plus grand havoc jamais vu depuis des éons. Tout comme on a emmuré les Pyramides d'Égyptelequel pays n'a pas encore révélé les "trouvailles" sous-terraines qu'ils ont faites depuis des décennies et plus spécialement pendant les années '90s entre le Sphinx et Chéops, ou la Salle des Records et des enceintes sous-terraines se trouvent.) Comme le dit l'Ecriture, l'homme qui sera révélé comme l'Antichrist s'assiéra à cet endroit, avant la venue du Messie Jésus-Christ. Beaucoup le recevront comme leur messie. Nous attendons simplement de voir de quelle manière il va se manifester. Mais il y a une chose dont je suis convaincu : ce ne sont pas des saints hommes de Dieu qui vont reconstruire le Temple, ce seront les Illuminati. Car Dieu n'enverrait plus personne dans ce lieu pour accomplir des sacrifices sanglants ! Le sang versé par Son Fils a suffi pour accomplir un sacrifice parfait. Il n'est plus nécessaire de verset le sang d'animaux innocents. Yeshua a accompli une œuvre parfaite. Tout est accompli ! Il reviendra, et prendra le contrôle du nouveau Temple qui sera reconstruit bientôt, j'en suis convaincu. Mais, avant Son retour, le monde ira tellement mal que l'Antichrist sera accepté par la plupart des hommes comme le "sauveur" capable d'apporter la paix et l'ordre à notre terre troublée. Vous connaissez bien tout cela. Revenons donc à notre sujet.

    Ceux qui pensent que je suis antisémite feraient bien de lire un article que j'ai écrit, et intitulé "La Maison de Satan"
    (http://www.thegoldenreport.com/articles.asp?id=00135). Dans cet article, je parle de ceux qui se prétendent Juifs, mais qui font partie de la maison de Satan. Ils se sont infiltrés jusque dans la Knesset d'Israël.

    Le jour viendra où Yeshua montera à nouveau sur la sainte montagne de Dieu, pour la purifier. Mais, avant cela, il faut que l'enfer se déchaîne à Jérusalem et dans le monde. Cela dit, je vais vous parler de certaines choses qui n'ont jamais été publiées. Car ceux qui étaient au courant, et ils sont peu nombreux, avaient peur d'en parler. Je vous demande donc de prier pour moi, qui suis serviteur de Dieu, pour que je sois protégé, après avoir révélé ces vérités. Car il faut que ces vérités soient révélées, pour que le Corps de Christ sache à quel point le retour du Seigneur Yeshua le Messie (Jésus-Christ) est proche !

    Tout mon article parle de la manière dont le bâtiment de la Cour Suprême d'Israël a été construit par les Rothschild. Je vais vous présenter une photo de ce bâtiment. C'est l'un de mes amis qui a pris cette photo, lorsqu'il survolait avec sa femme ce bâtiment, il y a deux ans. Le bâtiment de la Cour Suprême est situé en face de la Knesset, près du Ministère des Affaires Etrangères et de la Banque Centrale d'Israël. Il est important de savoir que la Cour Suprême se situe en face de la Knesset. Il forme avec elle, et avec d'autres bâtiments proches, un ensemble de lignes de forces occultes (ley-lines) qui s'entrecroisent juste sous la pyramide située en face de la Knesset. Ces lignes rejoignent le centre de Jérusalem et le Musée Rockefeller pour former une croix parfaite. Toute la conception de ce bâtiment a été minutieusement étudiée, jusque dans les moindres détails, et sa signification est diabolique. Le diable a mis en œuvre son plan, avant même que nous pensions qu'il pouvait exister un tel plan. Car il sait qu'il devra mener son ultime combat ici, à Jérusalem.

    Les ingénieurs qui ont été choisis pour cette tâche par la famille Rothschild étaient le petit-fils et la petite-fille de Ben-Zion Guine, originaire de Turquie, qui avait déjà travaillé pour le Baron Rothschild : Ram Kurmi, né à Jérusalem en 1931, et Ada Karmi-Melanede, née à Tel-Aviv en 1936. Pour ceux qui connaissent l'importance des nombres pour les Illuminati, il fallait que tout soit fait selon les chiffres corrects. Il a donc fallu 1.000 feuilles de plans et 1.200 poteaux de ciment. On a travaillé sur le chantier pendant 750 jours, ou encore 3 ans. 20 ouvriers y ont été employés chaque jour, totalisant 200.000 jours de travail. 250.000 pierres à bâtir ont été utilisées, et chacune a été placée à la main.


    Vue de la croix inversée
    Vue de l'obélisque
    Vue de la divinité orientale

    Notez tout d'abord, sur la gauche, la pyramide placée dans l'œil d'Horus, ou "œil qui voit tout". Ce sont les mêmes symboles qui figurent sur le billet de 1 dollar américain. Dans le cercle plus large situé au premier plan, figure une croix renversée, conçue pour que l'on puisse marcher dessus. C'est le seul emblème religieux délibérément placé à un endroit où il peut être foulé aux pieds. Au sommet de la photo figure un cimetière musulman. Sur la droite, hors du champ de la photo, se trouve un obélisque égyptien. Sur la gauche de la vue aérienne, invisible sur la photo, se trouve une divinité orientale. Partout, dans le bâtiment, vous trouverez des autels de divinités hindoues. Tout cela s'éclairera à mesure que nous vous expliquerons tout le symbolisme occulte de ce bâtiment. N'oubliez pas que nous vous parlons ici d'une forme de gouvernement qui prépare la manifestation de l'Antichrist.



    Dans tout le bâtiment, il y a peu d'indices de l'influence des Rothschild. Toutefois, sur l'un des murs latéraux, vous pourrez trouver cette inscription : "The Dorothy de Rotchild Grove". La flèche indique la direction où se trouve l'obélisque égyptien. Non loin, se trouve une autre inscription dans la pierre : Cette inscription rend hommage à l'action des Rothschild, qui ont entièrement financé le bâtiment. En haut, vous reconnaîtrez l'emblème des Rothschild. C'est le symbole du fondateur de la dynastie des Rothschild et de ses cinq fils, qui ont fondé des banques centrales dans toute l'Europe. La famille Rothschild avait conclu un accord avec le gouvernement israélien, avant de construire le bâtiment de la Cour Suprême. Cet accord prévoyait notamment que les Rothschild choisiraient eux-mêmes l'emplacement du terrain sur lequel serait construit le bâtiment de la Cour Suprême.


    Ils auraient recours à leurs propres architectes, et personne ne devait jamais connaître le coût effectif du bâtiment. Il leur a fallu quatre ans pour construire ce bâtiment, dans lequel se trouvent cachés de nombreux symboles secrets.

    Après avoir franchi le poste de sécurité, vous pourrez observer un grand tableau suspendu sur le mur gauche. Debout, à gauche, vous pouvez distinguer Teddy Kollek, le Maire de Jérusalem, puis Lord Rothschild. Debout, à droite, en chemise blanche, figure Shimon Peres. Assis, à gauche, on reconnaît Yitzhak Rabin. Tous ces personnages, et d'autres encore sur le tableau, sont justement ceux qui nous ont conduits dans le processus d'Oslo
    Ci-contre: Le tableau sur le mur de gauche


    Commençons à présent notre visite du bâtiment. Toute cette visite est conçue pour représenter un cheminement des ténèbres à la lumière, jusqu'à "l'illumination" finale.


    Vous entrez tout d'abord dans une zone très faiblement éclairée. En levant les yeux, vous apercevez, en haut des escaliers, une brillante lumière, qui provient d'une large fenêtre surplombant Jérusalem.

    Des ténèbres à la lumière... Le nombre des marches est important. Vous pouvez remarquer trois séries de dix marches, totalisant trente marches. A mesure que vous montez ces trente marches, vous passez progressivement des ténèbres à la lumière. En haut des marches, vous pouvez contempler le monde extérieur, et plus exactement la ville de Jérusalem, comme vous ne l'avez jamais contemplée ! Vous pouvez aussi remarquer, sur la droite de la photo, des pierres qui sont de très anciennes pierres de Jérusalem.

    Certains prétendent qu'il s'agit de pierres provenant du second Temple, mais il ne m'a pas été possible de le prouver. Sur la gauche, vous remarquez des pierres modernes, bien lisses. Il y a aussi 6 lampadaires le long de la montée de l'escalier. Ils sont censés représenter l'illumination progressive de ceux qui augmentent leur connaissance, à mesure qu'ils sont de plus en plus "illuminés". Je le répète, les concepteurs de ce bâtiment ont tout fait pour que tout soit parfait dans leur symbolisme occulte, même en ce qui concerne le détail des mesures.


    En tournant à gauche, on se dirige vers la pyramide. On peut remarquer une bande de métal incrustée (fils conducteurs sur les lignes de Ley) dans le sol de marbre. Diverses lignes de force occultes se croisent directement sous la pyramide, et, de là, partent en diverses directions vers la ville de Jérusalem. C'est là que se tiennent les Juges de la Cour Suprême, ainsi que d'autres personnalités, pour recevoir sagesse et puissance. Ils se tiennent directement au-dessus d'un morceau de cristal, et au-dessous d'une représentation de l'œil de Lucifer ("l'œil qui voit tout" d'Horus, symbole reconnu de la Franc Maçonnerie, les serviteurs des Illuminatis).


    Grande fenêtre en haut des escaliers
    Ligne de force pénètrant sous la pyramide
    La pyramide et son oeil

    Pour ceux qui ne connaissent pas ces lignes de force occultes (ley-lines), il s'agit de lignes matérialisant des faisceaux de puissance occulte. C'est le long de ces lignes, où au croisement de plusieurs lignes, que se réunissent les sorciers et les sorcières, quand ils invoquent le diable. Vous remarquerez que les diseurs de bonne aventure, ou ceux qui lisent les lignes de la main, se regroupent toujours dans certaines zones ou certaines rues, le long de ces lignes de force occultes.


    Voici à présent une carte de Jérusalem. Vous pouvez voir que la Cour Suprême est reliée à la Knesset par une ligne de force. Perpendiculairement à cette ligne, il y a une autre ligne de force qui descend jusqu'au milieu de la rue piétonne Ben Yehuda, là où se réunissent tous les marginaux.

    C'est là que vous pourrez observer, à n'importe quel jour, au moins un individu qui se proclame Elie ou Moïse ! Les Israéliens appellent la Rue Ben Yehuda la "rue des défoncés" !

    La ligne de force occulte se poursuit jusqu'au Musée Rockefeller. A partir du Musée, une autre ligne court perpendiculairement jusqu'au Mont du Temple, en passant par le quartier musulman. (Ce qu'on ne sait pas est que tous ces bâtiments sont reliés par des tunnels sous-terrains).

    Ci-contre: Le plant de Jérusalem (cliquer)


    Retournons un moment au sommet de l'escalier de trente marches. Nous savons qu'il existe 33 degrés dans la Franc-Maçonnerie. Les trois derniers degrés sont les degrés les plus élevés de l'illumination luciférienne, qui permettent de rejoindre les rangs des Illuminati. A mesure que l'on monte les escaliers, en direction de la pyramide, nous apercevons une grande bibliothèque, construite sur trois niveaux distincts. Ces trois niveaux représentent les trois derniers degrés de "l'illumination spirituelle". Il faut aussi savoir qu'après avoir franchi ces trois derniers degrés, il existe d'autres degrés encore plus élevés, pour ceux qui sont appelés à atteindre les plus hauts niveaux des Illuminati. Il est important de remarquer que, dans ce bâtiment, le 33e degré se situe au niveau de la base même de la pyramide.


    Il s'agit d'une très grande bibliothèque, richement dotée. Il faut mentionner un fait très intéressant. Le premier niveau est "réservé" aux avocats. Le second niveau est "réservé" aux Juges actuellement en fonction. Et le troisième niveau, le plus élevé, est réservé aux anciens Juges. Cela nous parle aussi de l'organisation secrète des Illuminati. Chacun doit être admis à un niveau plus élevé, avant d'avoir accès à la connaissance disponible à ce niveau. Directement au-dessus du troisième niveau, nous trouvons la pyramide, et l'œil de Lucifer. C'est véritablement à ce niveau que commence la hiérarchie des Illuminati.

    Exactement sous la pyramide, on peut remarquer six carrés incrustés dans le sol. Le chiffre 6 est le chiffre de l'homme. Les quatre côtés de chaque carré représentent le monde. Au centre, correspondant au centre de la pyramide, se trouve un cristal. Quelqu'un qui se situe au centre se trouve ainsi entre le cristal et le sommet de la pyramide.

    Ci-contre: Les trois niveaux de la bibliothèque


    Il y a cinq salles destinées aux audiences des Juges. L'entrée de chaque salle a la forme d'une tombe. L'ouverture située au-dessus de la porte doit permettre aux esprits de pouvoir librement entrer ou sortir de la salle. Le mur reliant les cinq entrées est courbe, alors que le mur extérieur est droit. Cela signifie deux choses. Certains prétendent que cela symbolise la ligne droite de la Justice, et la ligne courbe de la Miséricorde. D'autres prétendent que cela symbolise la devise des Illuminati : "Du chaos émerge l'ordre".

    Trois Juges siègent dans chaque salle. Au-dessus de chaque Juge, on peut remarquer de petites pyramides, qui projettent de la lumière sur les Juges, lorsqu'ils se réunissent pour faire comparaître devant eux ceux qui sont enfermés dans des cellules au-dessous d'eux. Les bureaux des Juges se trouvent au-dessus des salles d'audience. Les Juges descendent donc symboliquement pour apporter la lumière à ceux qui sont emprisonnés au-dessous d'eux.


    Symboles sur les dalles
    Ligne de force
    Ligne d'eau dans la cour

    J'ai reproduit (ci-contre) une coupe du plan du bâtiment. Il reproduit le schéma stylisé du Temple Juif, schéma que l'on peut aussi retrouver dans un certain nombre d'autres religions, sous une forme ou une autre. A partir de la pyramide, vous pouvez vous diriger vers les salles d'audience, ainsi que vers les bureaux des Juges. Notez toutefois que les concepteurs du bâtiment lui ont donné la forme d'un Temple, dans lequel la pyramide démoniaque occuperait la place du "lieu très saint".

    En bas du schéma, vous remarquez une cour intérieure. Elle est pavée de pierres taillées provenant du désert du Néguev, près de Mitzpe Ramon, où l'on trouve le plus grand cratère naturel du monde. Au centre de la cour a été aménagée une rigole, dans laquelle coule de l'eau en permanence. Selon les architectes, ils se seraient inspirés du Psaume 85 :11 : "La fidélité germe (jaillit) de la terre, et la justice regarde du haut des cieux". En effet, les Juges siègent directement au-dessus de cette cour.

    Ci-contre: Le shéma de Jerry Golden


    En quittant la salle d'audience centrale, en face de la porte, vous trouvez des escaliers qui descendent aux niveaux inférieurs. En bas des escaliers, remarquez le symbole de la fertilité (un phallus dans un vagin).

    Ce symbole est toujours présent dans toute structure construite par les Illuminati.
    (toutes les églises chrétiennes sont constuites sous ce principe de fécondation sexuelle ou culte à Ninti, Mummah, créatrice de la vie humaine et de son demi-frère Enki).. Il y aurait beaucoup à dire sur ce symbole, comme sur le symbole des Francs-Maçons, le compas et l'équerre, avec un G au centre. Mais je préfère laisser ces explications à d'autres.
    Ci-contre: Les escaliers, symbole de la fertilité.


    En conclusion. Je n'ai fait qu'aborder brièvement les significations symboliques représentées dans le bâtiment de la Cour Suprême d'Israël. Car il comporte littéralement des centaines de détails qui parlent des Illuminati et de leur plan pour l'humanité. Le point le plus important de mon article est de prouver que les Illuminati ont construit un bâtiment qui abritera le siège de celui qui sera accepté comme messie par la plupart des hommes, l'Antichrist, qui doit se manifester avant que Yeshua revienne régner sur la terre. Je suis persuadé que mon article sera critiqué par beaucoup, et que l'on s'en prendra au rédacteur de l'article, plutôt qu'à l'article lui-même. Mais je me suis efforcé de présenter des faits et des preuves indiscutables. J'aurais pu dire beaucoup plus de choses encore. Je suis certain que mon article incitera d'autres personnes à dire ce qu'elles savent. C'est sans doute le but essentiel de mon article.

    Toutefois, nous savons tous que Dieu
    (c'est plutôt le plan des Illuminatis et des Rothchild pas celui de Dieu. La Bible n'a pas été écrite par Dieu) a aussi un plan, que rien n'arrêtera. Une partie de ce plan consiste à faire revenir les Juifs sur leur terre d'Israël. Parmi bien d'autres, vous pourriez relire certains passages de l'Ecriture qui parlent de ce plan divin : Esaïe 60 :9 ; 43 :5-6 ; 49 :22 ; Jérémie 16 :14-15 ; 16 :16 ; Ezéchiel 36 :8 ; 36 :24 ; 37 :12 ; 39 :28.

    Jerry Golden




    L'Oeil d'Horus, le design de la cour seule et ses
    deux alignement angulaires sur les lignes de Ley
    L'eau qui est la semence conductrice, capte
    et dirige l'énergie tellurique ou l'onde


    L'entrée au-dessous du niveau du sol
    Salle d'audience

    Des lignes de Ley sur le plancher
    La fraternité des gardiens de la loi d'Is-Ra-El


    2e niveau (de connaissance) de la librairie.

    Bureau intérieur de consultation
    Tribu de Judah et David: le lion
    (descendance des "rois" du ciel)




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  • Comment neutraliser l'Internet ?

    réponse au commentaire de RAYANI

    Les deux “révolutions” survenues récemment en Tunisie et en Egypte ont mis en évidence aux yeux du monde entier le rôle joué par ceux que l'on a nommé des cyber-militants ou cyber-activistes. Ceux-ci, issus généralement des classes éduquées, ont su utiliser pleinement les anciens et nouveaux outils du web et du téléphone portable pour se coordonner et animer des populations moins bien informées. Ce qui a été fait avec succès dans ces deux pays par l'opposition se poursuit actuellement dans un certain nombre d'Etats autoritaires où grandissent des contestations populaires.

    L'expérience de l'Egypte montre cependant que face à ces attaques, les gouvernements peuvent réagir très efficacement (voir l'article du New York Times du 16 février 2011, "Egypt Leaders Found ‘Off’ Switch for Internet"). En quelques minutes à partir du 28 janvier et pendant plusieurs jours, plus de 20 millions d'utilisateurs furent pratiquement coupés du monde. Ils ont vu également leurs communications internes fortement dégradées. Il est très probable qu'en cas de montée des revendications, les autres gouvernements de la région procèderont de même.


    Les communautés Internet du monde entier s'interrogent fébrilement ces jours-ci sur les conditions permettant de tels coups de force. Certes, en Egypte comme dans beaucoup de pays politiquement peu ouverts sur l'extérieur, les voies d'accès à haut débit, les portails internationaux et les grands serveurs sont contrôlées par des organismes d'Etat, tels que Telecom Egypt. Les routeurs sont moins centralisés (ce qui a toujours fait la force de l'Internet) mais leur fonctionnement dépend cependant des facilités de passage à travers les aires centralisées. Les autorités peuvent donc très facilement couper les voies d'entrée-sortie et de commutation. Il en résulte un désordre général qui atteint tout le trafic interne, puisque par exemple les serveurs de noms de domaines qui se trouvent à l'étranger, aux Etats-Unis ou en Europe, ne sont plus accessibles.

    L'Egypte de Moubarak s'était inspirée du vaste système de filtrage mis en place en Chine depuis plusieurs années. Il s'agit du projet dit Golden Shield qui a pu en 2009 isoler complètement la région jugée séparatiste du Xinjiang. Le Népal et la Birmanie firent également momentanément appel à ces solutions. Mais les ingénieurs égyptiens au service du gouvernement sont allés beaucoup plus loin, sans que leurs méthodes aient encore été pleinement mises au jour. Les sites individuels de Facebook et Twitter ont été coupés, beaucoup d'iPhones ont cessé de pouvoir recevoir des messages. Progressivement, toutes les fonctions même les plus simples n'ont plus été assurées. L'Egypte se retrouvait au 19e siècle. Certains militants ont essayé d'utiliser les échanges radio, mais rien d'efficace ne pu être mis en œuvre à temps.

    Il se trouve cependant que la révolution s'est cependant produite et a réussi. Les stratèges en déduisent que le gouvernement égyptien avait réagi trop tard. Il aurait fallu court-circuiter les cyber-militants bien plus tôt. On peut penser que les autres régimes dictatoriaux en tireront la leçon. Les oppositions potentielles doivent y réfléchir elles aussi. Elles doivent prévoir des outils plus rustiques de communication, permettant d'échapper aux blocages imposés par les gouvernements. Mais est-ce à leur portée?

    On a trop tendance à penser que l'Internet est une ressource si distribuée qu'elle peut échapper aux contrôles et demeurer à la disposition de tous. C'est une erreur. Il en est de l'Internet, dans nos sociétés complexes, comme des réseaux d'approvisionnement en essence ou en ressources alimentaires. Si les gouvernements veulent décourager une insurrection commençante, voire une simple grève générale, ils peuvent, directement ou indirectement, neutraliser ces réseaux. Tout le monde rentrera alors dans le rang. Nous avons dans un article précédent indiqué que les peuples européens devraient pouvoir grâce à l'Internet se mobiliser pour lutter contre l'exploitation que leur impose les pouvoirs de la finance internationale, soutenus par la plupart des gouvernements. Encore faudrait-il que ces derniers ne décident pas, quitte à paralyser momentanément la société (à l'exception des forces armées et de police qui disposent de leurs propres réseaux) de priver ceux que l'on nomme désormais les cyber-activistes cognitifs de leurs outils de travail.

    J'ajoute que, bien sûr, imaginer une coupure durable et mondiale de l'Internet ne serait envisageable qu'en cas de guerre elle même de forte intensité. Dans les cas les plus probables, si ces coupures étaient décidées par les Etats, se serait le plus temporairement possible, le temps de neutraliser des "révolutionnaires" qui s'appuieraient sur Internet - le temps précisément de créer contre eux une révolte de toutes les banques, entreprises et clients utilisant Internet.

    Mais il y a d'autres façons pour les gouvernements autoritaires de nettoyer leur espace internet. Chacun devrait les connaitre. Je n'avais pas cru nécessaire de les rappeler dans l'article. Il s'agit d'identifier a priori les sites, les blogs et les auteurs contestataires, de les menacer discrètement, d'envoyer des plombiers couper leurs liaisons et pirater les ordinateurs, voire d'organiser des accidents corporels ou des procès (pour mœurs comme dans le cas d'Assange) afin de faire réfléchir les plus gênants.

    Vis-à-vis des journalistes professionnels, il est difficile pour un Etat même autoritaire d'agir ainsi. Dans le cas de l'anonymat du web, tout est possible sans bruit. Y compris en Europe.

     

    La fragilité intrinsèque d'Internet

    Sur le thème de la fragilité d'Internet, divers travaux sont menés aujourd'hui, sans référence particulières à ce qui s'est passé en Egypte. On sait depuis longtemps que les réseaux de télécommunications et de gestion des sites industriels pourraient facilement être détruits, sur une plus ou moins grande échelle, par des radiations ionisantes provenant de sources d'émission aériennes ou spatiales. Mais il s'agirait, soit d'un risque majeur cosmologique, soit d'opérations de guerre difficiles à envisager par des gouvernements, sans courir le risque de rétorsions meurtrières. N'existerait-il pas cependant des méthodes plus subtiles permettant à des forces malveillantes, quelles qu'elles soient, d'exploiter des faiblesses du web encore mal connues ? Un article du New Scientist fait le point à cet égard.

    Selon Max Schuchard de l'Université du Minesota, il existe des failles qui pourraient mettre en défaut la redondance bien connue du réseau mondial, laquelle fait sa force. Les millions de petits serveurs constituant le réseau, dits “systèmes autonomes”, communiquent entre eux à travers des routeurs. Ceux-ci peuvent tenir compte de la défaillance d'une voie particulière en s'alertant les uns les autres à travers un protocole dit BGP (border gateway protocol). Une voie de rechange est alors presque instantanément trouvée. Il se trouve qu'il y a quelques années, une méthode d'attaque, dite ZMW, avait été mise au point par des chercheurs américains. Elle permet d'interférer avec le BGP pour empêcher deux routeurs de signaler l'indisponibilité de la ligne qui les relie.

    L'équipe de Schuchard propose la généralisation de ce processus. Un réseau de 250.000 calculateurs infectés par un logiciel permettant de les contrôler de l'extérieur (botnet), sur le mode de ceux utilisés pour perpétrer des attaques dites déni de service, pourrait suffire à mettre à bas l'Internet. Une procédure que nous ne décrirons pas ici permettrait progressivement de contaminer tous les routeurs. Les files d'attentes deviendraient telles, du fait des efforts de reconnexion entrepris par ceux-ci, que le trafic s'effondrerait. Il faudrait au réseau des semaines, à supposer que les attaques cessent, pour que le réseau redevienne opérationnel, grâce à l'intervention d'opérateurs manuels chargés de rebouter individuellement chacun des routeurs.

    La procédure d'attaque semble si complexe qu'elle devrait être hors de portée de hackers occasionnels. Elle n'interviendrait qu'en cas de cyber-guerre déclarée. Mais comme nous l'avons vu, des Etats pourraient l'utiliser contre leurs propres citoyens, au cas où ces Etats voudraient désarmer une révolution populaire utilisant Internet. Des parades seraient possibles, telle la construction d'un mini “shadow-internet” déconnecté du reste du réseau. Mais il s'agirait d'opérations coûteuses, nécessitant de nombreux techniciens dédiés. Leur mise en place serait facilement détectable par les forces de sécurité.

    Quoiqu'il en soit, les simulations actuelles conduisent à penser qu'avec les méthodes évoquées ci-dessus, l'Internet mondial est si robuste qu'il ne serait affecté que temporairement et localement. Sera-ce suffisant pour rassurer les cyber-activistes ? 

    Jean-Paul Baquiast

    Source du texte : DE DEFENSA.ORG


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