• Catalogne: record pour un chant militant

     

    Espagne | La ville de Vic en Catalogne a mobilisé près de 5800 personnes pour tourner une vidéo proclamant l'indépendance de la région. Ce "lipdub", est le plus long du monde.
     

    YOUTUBE
    © YOUTUBE | Près de 5800 personnes figurent dans la vidéo.
     

     

    La ville de Vic, située en Catalogne, vient de battre un record du monde avec un lipdub de plus de 6 minutes. On y voit près de 5800 personnes chanter en faveur de l'indépendance de la région dans les rues de la ville. La chanson choisie se nomme "La Flama" et provient du groupe "Obrint Pas". Le tournage s'est déroulé le 20 octobre dernier.

    Les manifestations politiques de la rue se voient ainsi coiffées au poteau par un nouveau genre de revendications. Le lipdub, très prisé sur le net, est à l'origine une invention du monde de la publicité. Il se présente sous la forme d'une vidéo chantante tournée en un seul plan séquence et en playback.

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                        Interdiction de la corrida: entre protection animale, régionalisme et rejet du franquisme

                      Après la Belgique, l'Espagne...

                      Entretien avec Pierre Hillard du 18 juin 2010

                      Pierre Hillard Réflexions sur le mondialisme 11-07-2009


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  • Cohn-Bendit devient consultant foot pour Canal + !

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                                            Le 3eme pilier du judaïsme

                                           SAYANIM

                                           B'nai B'rith

    L'information peut paraître anodine au prime abord; mais justement, il y a peu de temps, au cours d'une conversation sur Israel et l'Europe, je demandais à un ami : "sais -tu comment ils vont progressivement faire entrer Israel en Europe, et le faire accepter progressivement dans l'esprit des Européens?"....non ? et bien par le football. Il suffit d'écouter un peu RMC en fin d'aprés-midi ; on peut constater qu'ils parlent de plus en plus d'Israel .D'ailleurs, l'entraîneur de l'équipe d'Israel n'est autre que le français d'origine pied-noire Luis Fernandez.

    Aussi, rien d'étonnant de retrouver Dany le Rouge Verdâtre comme consultant sur canal+

    L’eurodéputé d’Europe Ecologie, Daniel Cohn-Bendit, va devenir consultant foot sur Canal+ et aimerait réaliser un film sur le prochain Mondial au Brésil, a-t-il confié à l’AFP confirmant une information du Journal du Dimanche.

    Il a également indiqué que, « vraisemblablement », il ne serait pas candidat aux prochaines élections européennes en 2014, mettant en avant qu’il aurait alors 69 ans.

    Pour commencer sa nouvelle carrière à la télé, il participera à partir de janvier à l’émission « Les Spécimens », diffusée le vendredi soir sur Canal+ Sports, en commentant l’actualité du ballon rond avec le journaliste sportif Pierre Ménès et l’ex-président du PSG Charles Villeneuve.


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  • Métissage à la carte (rediff)

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    La grande désillusion

    Le projet




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  • Le projet

     


    «Politique européenne de voisinage - Document d'orientation», la Commission européenne balise les prochaines étapes de la nouvelle politique européenne de voisinage, après l'élargissement de l'UE à dix nouveaux pays.
    Elle précise les contours de la PEV, soit dix pays méditerranéens (Algérie, Autorité palestinienne, Egypte, Israël, Jordanie, Liban, Libye, Maroc, Syrie, Tunisie) et trois pays est-européens (Biélorussie, Moldavie, Ukraine) et recommande l’intégration des trois pays du Caucase du Sud (Arménie, Géorgie, Azerbaïdjan).

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  • Tentative de coup d’Etat contre l’Europe

    La réforme des retraites à peine votée, voilà que la crise ressurgit, que l’affaire Bettencourt fait à nouveau parler d’elle, que Ben Laden se manifeste à nouveau… de quoi satisfaire l’appétit des médias jusqu’à noël, pour la trêve de l’amour et du partage hypocrites.

    On oubliera alors le conflit d’intérêt majeur entre les deux frères Sarkozy à propos de la privatisation de la retraite, on aura nettoyé les soupçons (et les ordinateurs) des quelques “résistants-fouineurs” indésirables dans les médias, on préparera des mesures sécuritaires contre les méchants terroristes (et en même temps contre les vilains manifestants trop engagés), et ainsi on ne verra peut-être pas passer le coup d’état qui se prépare en Europe, c’est à dire la réforme arbitraire de la Constitution européenne, chapeautée par les quelques puissances nationales encore debout.

    Finalement, elle n’a que des bons côtés cette fameuse crise, capable de faire gober les pires injustices jusqu’aux confins de l’Europe ! rendez-vous compte, avec ce “petit amendement” que veulent faire passer ceux dont les finances pourraient être à terme englouties par la “solidarité” européenne, il se pourrait bien qu’en réalité l’Allemagne et la France soient en mesure de prendre le contrôle explicite de l’Europe : n’est-il pas proposé en effet de supprimer le droit de vote aux pays qui ne respectent pas la stabilité de leurs finances ?

    Regardez bien, et réfléchissez : la France, l’Allemagne, et tous les autres à leur suite, tentent désespérément d’assainir leurs finances, et cela au prix de mesures draconiennes imposées aux peuples, pour ne pas avoir à payer les pots cassés une fois l’effondrement de l’économie engagé. Ainsi, lorsque logiquement les plus faibles plongeront avant les plus forts, les Etats dont les finances tiennent encore debout seront capables d’imposer à leurs désormais “vassaux” à peu près n’importe quoi, sans avoir en retour à leur apporter une quelconque aide de quelque ordre que ce soit. Non seulement les plus endettés devraient payer des amendes (mais ça on est habitués, c’est pareil à la banque), mais en plus, en leur supprimant le droit de vote, ils se verraient supprimer le seul droit qu’ils n’aient jamais possédé, celui de s’opposer aux grandes campagnes de lobbying financées par les grands argentiers de la planète.

    Cela n’annonce rien qui vaille en matière économique, et prouve encore, s’il en était besoin, que la crise est loin d’être terminée. Mais cela prouve aussi que cette crise ne déplaît pas à certains, qui pensent qu’une fois ces “petites modifications apportées”, l’Europe sera (enfin) capable de porter d’une seule voix, notamment lors du prochain G20 présidé par la France, un pays qui, concernant la liberté de la presse, se situe derrière la Papouasie-Nouvelle Guinée.

    Même si, à l”heure où j’écris ces lignes, le danger semble être momentanément éloigné, le fait d’avoir mis cette proposition sur la table va pousser à de âpres discussions, car les plus rapides à sacrifier leurs services publics voudront se garder une place “au chaud”, et surtout ne pas avoir à payer pour les plus mauvais élèves. Les tractations qui en résulteront pourraient très vite anéantir l’illusion d’union des 27 membre, et déboucher sur une crise politique dont les conséquences seraient décisives : en effet, derrière cette mise au pas de l’Europe derrière les quelques “puissances” responsables de ce”coup d’état” se profile un problème plus vaste, plus profond, à savoir la réforme du système monétaire international, un des points les plus importants à l’ordre du jour du prochain G20.

    A cette occasion il sera sans doute question de l’impossible équation sino-américaine à propos du dollar, et donc de la dette publique. Et par extension de la place que l’Europe veut tenir dans cette partie. En contrôlant l’Europe, les quelques pays qui dirigeront cette entité se mettent de facto dans le camp des Etats-Unis, avec pour soutien implicite la Russie, sans doute plus à même de s’allier avec l’Occident qu’avec les Chinois. on nous reparlera du “bancor“, sans savoir vraiment à qui il profite, mais certains que ce ne sera pas à nous…

    Peu à peu, le jeu se dévoile aux yeux de tous, mais personne ne semble vouloir regarder les choses en face : l’avenir du monde se joue en ce moment, et il se joue contre le peuple. Combien de temps faudra-t-il attendre encore ?

    Caleb Irri

    http://calebirri.unblog.fr

    par caleb irri (son site) samedi 30 octobre 2010


    L'Europe prête à modifier le traité de Lisbonne
    Cargado por BFMTV. - Las últimas noticias en video.


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  • B’nai B’rith, régionalismes et protection des groupes ethniques dans le nouvel ordre mondial

    B'nai B'rith

    Article placé le 23 oct 2010, par Mecanopolis

    Par Pierre Hillard

    La dislocation des Etats par la promotion de l’ethno-régionalisme est un moyen permettant la digestion plus rapide des nations par les tenants de l’oligarchie mondialiste. L’éclatement de la Tchécoslovaquie et de la Yougoslavie au cours de la décennie 1990 ; les tensions internes en Espagne, l’agonie de la Belgique ou, sur d’autres continents, les tentatives de démembrement des Etats comme le Soudan et le soutien intéressé apporté aux tenants de l’indépendance tibétaine rentrent parfaitement dans la logique du solve et coagula si utile à la mystique du nouvel ordre mondial. Un monde émietté et interchangeable doit naître de la matrice babéliene.

    En fait, le processus fut véritablement expérimenté, pareil à un test en laboratoire, au lendemain de la Première guerre mondiale lors de la rédaction du Traité de Versailles. En dehors des condamnations drastiques infligées à l’Allemagne en 1919, peu de personnes savent qu’une partie du Traité de Versailles servit de tremplin à la protection des groupes ethniques en Europe. Du fait de la disparition de l’Autriche-Hongrie et de la naissance de nouveaux Etats comme la Pologne, de multiples ethnies s’opposaient au cœur de l’Europe centrale. Il s’en suivit la rédaction d’un mémorandum qui, sous les ors de la galerie des glaces de Versailles, devint la magna carta censée régenter ces différents peuples. Ce texte fut l’œuvre de l’organisation maçonnique juive, les B’nai B’rith1, avec le soutien bienveillant du président Wilson. Il est d’usage de parler de complot dès que l’on aborde des sujets ayant trait à ce type d’organisation. Des âmes charitables nous rappellent sans cesse que le peuple étant souverain, ce genre d’arguments ne vaut pas tripette. L’affirmation sans relâche de ces « vérités » par les médias officiels conduit à reléguer de nombreuses personnes éprises de vérité mais sourdes aux incantations de Big brother dans la catégorie des « demeurés ».

    Que le lecteur se rassure. Pour une fois, Big brother va prendre un solide uppercut dans les dents. En effet, nous présentons un document unique à la fin de cet article ; le seul texte expliquant les préparatifs et la mise en forme des travaux des B’nai B’rith : la thèse de Nathan Feinberg écrite en 1929 intitulée La question des minorités à la Conférence de la paix de 1919-1920 et l’action juive en faveur de la protection des minorités. Possédant le document original, nous estimons faire œuvre de salubrité publique en permettant la diffusion sur la toile de ce travail universitaire remarquable qui – de plus – est facile à lire. Bref, que tout le monde en profite.

    Cependant, nous devons continuer sur notre lancée. En effet, les B’nai B’rith n’hésitèrent pas à coopérer avec les mouvements pangermanistes dans les années 1920. En effet, sous l’égide du chancelier Gustav Stresemann, il se mit en place un « Congrès des nationalités » chargé de promouvoir l’émancipation des groupes ethniques en Europe en liaison avec la Société des Nations (SDN). Ce congrès exerça ses talents de 1925 à 1938 sous la direction d’Ewald Ammende. Ce dernier est l’auteur d’un ouvrage exceptionnel consistant à recenser dans les moindres détails tous les groupes ethniques en Europe centrale complété par une étude sur les Catalans et les Basques. Ce livre paru en 1931 est le fruit d’une coopération étroite entre dirigeants issus de différentes nationalités. Il est intéressant de noter qu’Ewald Ammende remercie le représentant juif, Léo Motzkin, chargé du chapitre consacré au judaïsme2. Or, c’est le même Léo Motzkin qui présidait le groupe de travail dans la rédaction du « Mémorandum » dans le cadre du Traité de Versailles et sous la direction des B’nai B’rith.

    Au lendemain de la Seconde guerre mondiale, le « Congrès des nationalités » mua pour se transformer en une « Union fédéraliste des communautés ethniques européennes » (UFCE ou Föderalistische Union europäischen Volksgruppen, FUEV). En effet, c’est au Palais de Chaillot à Paris que le Breton Joseph Martray lança un Congrès, en avril 1949, en présence de nombreux groupes ethniques (Catalans, Frisons, Basques, …) et de divers hommes politiques européens dont un certain François Mitterrand3. Suite au succès de ce Congrès, il fut décidé de créer l’UFCE en novembre 1949 à Versailles afin de promouvoir l’idéal ethnique. C’est à partir de 1956 que les autorités politiques allemandes apportèrent leur soutien financier par l’intermédiaire de son ministère des Affaires étrangères4. L’UFCE se doit d’être connue car c’est elle qui est à l’origine des grands textes en faveur de la promotion de l’ethnicisme en Europe : la charte des langues régionales ou minoritaires et la convention-cadre pour la protection des minorités.

    Les dirigeants de l’UFCE en liaison avec de nombreux juristes allemands et autrichiens élaborèrent tout un corps de doctrine incarné par ces documents susnommés en étroite coopération avec les élites politiques allemandes. C’est sous l’égide d’Alfons Goppel (ministre-président du Land de Bavière) en 1984, du Comte Franz Ludwig von Stauffenberg en 1988 puis de l’avocat Siegbert Alber en 1993 et ancien président de la Paneurope Allemagne5, institut mondialiste par excellence, que le projet prit forme. Ces trois personnages entourés de collaborateurs réputés réussirent à imposer dans le droit européen – malgré quelques échecs au début – tout le programme ethno-linguistique.

    En fait, c’est à partir de 1988 que ce programme commença à s’imposer. Nous présentons des documents inédits en langue allemande provenant des archives de l’UFCE ; mais qui peuvent rendre service aux germanophones :

    • Le discours de présentation de l’avocat Herbert Kohn lors du Congrès de l’UFCE à Anvers en 19886 lançant la résolution 192 (1988)7 permettant la mise sur orbite de la Charte des langues régionales ou minoritaires.
    • Le discours du juriste autrichien, Theodor Veiter, qui présidait le groupe de travail élaborant la résolution 192 (1988) dont le rapporteur était Herbert Kohn. Theodor Veiter a lui aussi prononcé le discours à ses côtés lors du Congrès de l’UFCE à Anvers8.
    • Le discours de l’avocat Siegber Alber en 1993 lors du congrès de l’UFCE à Flensburg9. C’est lui qui réussit à donner la forme finale au programme ethniciste permettant ensuite sa mise en forme définitive dans le cadre des instances européennes.
    • Enfin, nous présentons deux lettres envoyées par les instances de l’UFCE à l’auteur confirmant l’action des personnages susmentionnés10.

    La matérialisation de ces textes dans la législation européenne doit son existence à l’action de Rolf Gossmann, en particulier la convention-cadre pour la protection des minorités. De nombreux rapports ont été rédigés décrivant l’évolution de ces travaux. Nous ne présentons qu’un exemple de ce travail où figure le nom de Rolf Gossmann11. Véritable figure de proue en faveur de ces textes ethnicistes, cet homme était au cours de la décennie 1990 l’agent intermédiaire entre le gouvernement allemand et l’UFCE. En fait, c’était un haut fonctionnaire travaillant au ministère de l’Intérieur allemand. Son action était d’autant plus grande que lui et ses successeurs contribuent en liaison avec l’UFCE à soutenir une centaine de mouvements régionalistes et indépendantistes en Europe dynamitant l’unité des nations européennes. Le rapport de l’UFCE lors du Congrès à Haderslev en 1999 présentant la liste de ces mouvements indépendantistes européens le prouve sans ambages12. De part ses activités, Rolf Gossmann a été en mesure de nouer des liens les plus divers avec des mouvements indépendantistes, en particulier kossovar, comme le montre le congrès de l’UFCE à Pörtschach en 199713.

    Tout ce travail d’arrière-fond en faveur de la promotion ethnique va de pair avec le développement du régionalisme promu là aussi par les autorités allemandes. La charte européenne de la démocratie régionale promouvant l’émancipation politico-financière des régions aux dépens des Etats s’appuie à l’origine sur un document rédigé en 1997 par un député socialiste allemand, Peter Rabe, au Land de Basse-Saxe14. Ce travail de sape ethno-régionaliste ne peut que favoriser le nouvel ordre mondial car ces entités en formation contournent l’autorité nationale pour traiter directement avec les lobbies anglo-saxons et consorts à Bruxelles. Recevant en 2000 la plus haute distinction en faveur du renforcement de l’Union européenne, le Prix Charlemagne, le président Clinton (eh, oui !) s’est plu à souligner la régionalisation de l’Europe15. Dans cette relation à trois – régions, Etats, Union européenne – comme pour toute relation humaine, il y a un élément en trop. Dans cette construction, c’est l’Etat pris dans un étau entre l’autorité supranationale de Bruxelles et la montée en puissance des prérogatives régionales qui se retrouve court-circuité.

    Ce phénomène, c’est Bart de Wever, président du mouvement indépendantiste flamand la NVA, qui l’a parfaitement compris. Avec justesse, il a résumé cette évolution par cette formule lapidaire : « La Belgique finira par s’évaporer entre l’Europe et les régions ». Suite aux élections du 13 juin 2010, la Belgique n’arrive pas à former un gouvernement (pour le moment) pour le plus grand plaisir des indépendantistes flamands. En fait, la NVA colle parfaitement à la logique mondialiste. Catalogué à droite voire à l’extrême-droite, il est intéressant de noter que ce parti est membre à part entière du parti européen « les Verts/Alliance libre européenne » de Daniel Cohn Bendit16. Figure de proue de l’idéologie mondialiste, les Verts de Cohn Bendit sont alliés à l’Alliance Libre Européenne qui regroupe une trentaine de partis régionalistes indépendantistes. Ce sont les Verts/ALE qui sont les auteurs d’une carte de 2004 représentant une Europe décomposée ethniquement17. Cet engagement de la NVA en faveur de la disparition des Etats européens est d’autant plus fort que le président de l’Alliance Libre Européenne (ALE) n’est autre qu’Eric Defoort co-fondateur de la NVA et bras droit de Bart de Wever18. Elu président de l’ALE19 en mars 2010, il s’est plu à confirmer dans un discours sa volonté de renforcer les prérogatives ethno-régionalistes20. Les multinationales soucieuses de rabaisser les Etats ont dû applaudir à tout rompre.

    Que peut-on dire à la présentation de ces documents et acteurs annonçant cette mutation planétaire. Ce n’est pas fini. Nous ne sommes qu’au début d’un basculement complet. La crise économique et financière alliée aux revendications ethno-régionalistes est la voie royale pour conduire à la mise en forme d’une gouvernance mondiale. « Agitez le peuple avant de s’en servir » comme le résumait si bien le diplomate Charles-Maurice de Talleyrand. Destruction des Etats, formation d’unités régionales continentales, mise en forme d’un Parlement mondial dans le cadre d’une Assemblée planétaire des Nations Unies (APNU)21, refonte complète du système financier, monnaie planétaire (appelée par certains « Bancor ») et banque centrale mondiale en bout de course, comme le recommande un rapport du FMI du 13 avril 201022, sont les objectifs déclarés d’une oligarchie qui semble sur le point de gagner. Que les lecteurs soucieux de combattre le nouvel ordre mondial connaissent nos ennemis. Il faut impérativement lire pour agir, ne pas nous diviser sur des sujets futiles ; l’ennemi n’attend que cela. L’espérance est une vertu. La nouvelle Babel échouera car le mondialisme est un messianisme pressé. A nous d’empêcher sa naissance.

    Pierre Hillard, pour Mecanopolis

    Auteur de « La décomposition des nations européennes », avec le sous-titre « De l’union euro-atlantique à l’Etat mondial » 2è Edition, François-Xavier de Guibert, 2010.



    Texte inédit : La question des minorités à la Conférence de la paix de 1919-1920 et l’action juive en faveur de la protection des minorités

    Couverture

    Page de garde

    Table des matières

    Avant-propos

    Chapitre 1

    Chapitre 2

    Chapitre 3

    Chapitre 4

    Chapitre 5

    Chapitre 6

    Chapitre 7

    Chapitre 8

    Chapitre 9

    Chapitre 10

    Chapitre 11

    Chapitre 12

    Conclusion

    Annexe A

    Annexe B

    Errata

    Quatrième de couverture


    Notes de l’article :

    1 B’nai B’rith signifient en hébreu « les Fils de l’Alliance ». C’est une organisation maçonnique n’acceptant que des Juifs et qui fut fondée le 13 octobre 1843 à New York au Café Sinsberner par 12 Juifs immigrés d’Allemagne in Tribune juive, n° 997, 13 au 19 novembre 1987, p. 18.

    2 Ewald Ammende, Die Nationalitäten in den Staaten Europas, Vienne-Leipzig, Editions Wilhelm Braumüller, 1931, avant-propos, page IX.

    3 PDF : Information, Haderslev, Union fédéraliste des communautés ethniques européennes, Flensburg, Editions UFCE, 12-16 mai 1999, p. 2.

    4 Ibid., p. 6.

    5 > http://de.paneuropa.org/index.php/pan/geschichte

    6 PDF : Discours d’Herbert Kohn, Congrès de l’UFCE à Anvers en 1988.

    7 PDF : Présentation de la première page de la résolution 192 (1988) du rapporteur Herbert Kohn.

    8 PDF : Discours de Theodor Veiter, Congrès de l’UFCE à Anvers en 1988.

    9 PDF : Discours de Siegber Alber, Congrès de l’UFCE à Flensburg en 1993.

    10 Lettres adressées à l’auteur de janvier et de février 1999.

    11 PDF : Comité ad hoc pour la protection des minorités nationales (CAHMIN), rapport de réunion, 1994 : Couverture du rapport et page 12.

    12 PDF : Rapport du Congrès de l’UFCE, Haderslev, 1999, présentant la liste des mouvements indépendantistes soutenus par l’Allemagne.

    13 PDF : Présentation du haut-fonctionnaire du ministère de l’Intérieur allemand, Rolf Gossmann, en liaison avec les représentants des groupes indépendantistes.

    14 PDF : Recommandation 34 (1997) sur le projet de charte européenne de l’autonomie régionale, Congrès des Pouvoirs Locaux et régionaux de l’Europe, Peter Rabe, 1997 (présentation de la 1ère page).

    15 > http://www.karlspreis.de/preistraeger/2000/rede_von_bill_clinton_englisch.html

    16 > http://www.e-f-a.org/parties.php?name=*

    17 > http://www.voltairenet.org/IMG/jpg/fr-carte-grand_format.jpg

    18 > http://www.rtbf.be/info/matin-premiere/eric-defoort-nva-est-linvite-de-matin-premiere-237867

    19 > http://www.e-f-a.org/bureau.php

    20 > http://www.e-f-a.org/images/content//pictures_bureau/Speech_Eric_Defoort_EN.pdf

    21 > http://fr.unpacampaign.org/about/unpa/index.php

    22 > http://www.imf.org/external/np/pp/eng/2010/041310.pdf

    Tenez ça c’est pour vous, le livre de Nathan Feinberg en integrale compiler, à diffuser sur l’article :

    Texte inédit :

    La question des minorités à la Conférence de la paix de 1919-1920 et l’action juive en faveur de la protection des minorités - Nathan Feinberg

    http://www.megaupload.com/?d=6RL6S2OO

    Posté par LorelianeGTQ | Mardi 26 Octobre 2010 à 00:19


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  • Dmitri Medvedev participera au sommet de l’Otan

    Le président russe s’est entretenu mardi à Deauville avec Nicolas Sarkozy et Angela Merkel.

    Pour Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, l’un des principaux objectifs de la rencontre qu’ils ont eue à Deauville avec le chef de l’État russe, lundi soir et mardi, était de le convaincre de se rendre au sommet de l’Otan à Lisbonne, le mois prochain. S’il serait illusoire de penser que le message franco-allemand ait, seul, pu emporter la décision de Moscou, les résultats sont là : Dmitri Medvedev a annoncé qu’il irait, les 19 et 20 novembre, dans la capitale portugaise où les dirigeants de l’Alliance doivent entériner leur nouveau « concept stratégique ».

    La réponse du dirigeant russe sur sa participation se faisait attendre depuis plusieurs semaines, Moscou ne cachant pas ses inquiétudes concernant plusieurs projets de l’Otan, notamment celui du bouclier antimissile. Sur ce sujet, autre geste russe à Deauville, Dmitri Medvedev s’est montré relativement ouvert, n’excluant pas sa participation mais la subordonnant à de plus amples précisions de l’Otan quant à ses modalités. « Il faut que l’Alliance sache elle-même sous quelle forme elle voit la Russie rejoindre ce système, qu’est-ce que ça apportera, de quelle manière un accord peut être conclu et comment nous pourrons aller plus loin », a déclaré le président russe. « C’est en fonction des réponses à ces questions que la Russie pourra prendre une décision », a-t-il ajouté. Ce projet, auquel la France a l’intention de participer avec sa haute technologie de défense, consisterait à déployer une vaste toile de protection au-dessus de l’Europe contre d’éventuelles attaques, principalement venues d’Iran. Loin d’être acquis, un accord de la Russie constituerait un véritable tournant dans ses relations avec l’Alliance atlantique marquées par la méfiance depuis la fin de la guerre froide. Répondant au débat suscité en Allemagne où certains estiment que le futur dispositif antimissile pourrait se substituer à l’arme atomique, Nicolas Sarkozy a bien précisé que « la France n’a pas l’intention de renoncer à la dissuasion nucléaire ».

    Beaucoup reste à faire avant Lisbonne. « La question de la finalité de l’Alliance reste posée dès lors qu’en face il n’y a plus de pacte de Varsovie et dès lors qu’il faut reconstruire quelque chose », commente-t-on dans l’entourage de Nicolas Sarkozy, où l’on souligne l’importance d’établir des relations de confiance et de partenariat entre l’Europe et la Russie.

    Une entente manifeste

    Le sommet de Deauville y a vraisemblablement contribué en montrant une convergence très nette entre les trois pays, qui s’étend aux thèmes de la prochaine présidence française du G20. Angela Merkel et Dmitri Medvedev ont assuré Nicolas Sarkozy de leur soutien et apporté leur appui à son projet de réforme du système monétaire international.

    Dans la perspective du sommet entre l’Union européenne et la Russie du 7 décembre, les trois dirigeants ont soutenu la proposition d’Angela Merkel de mettre sur pied un comité politique UE-Russie qui serait coprésidé par Catherine Ashton et Sergueï Lavrov, les deux chefs de la diplomatie. La chancelière allemande, dont c’était la première participation à un sommet tripartite de ce genre, a accepté d’être l’hôte de la prochaine rencontre, montrant ainsi que ses réticences, dues aux réactions négatives suscitées dans certains pays par la crainte d’un « triumvirat », étaient surmontées.


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  • L'effondrement de la mondialisation

    Une conférence fondatrice sur l'effondrement de la mondialisation donnée à l'Ecole militaire le 02 Février 2010 et organisée par la Société de Stratégie et la Revue Agir (Hervé Juvin)

    Partie 1 - Les paradoxes de la mondialisation

    Partie 2 - Les quatre credo du mondialisme

    Partie 3 - Le retour de l'Histoire et de la Géographie

    Partie 4 - La fin du conte de fée européen, le retour au réel.


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  • Comment la Fondation Bertelsmann endoctrine et manipule les citoyens d’Europe

    video liée : Le 3eme pilier

    par Mecanopolis

    Des « ateliers du futur », des « forums prévisionnels » ou des « ateliers de démographie » en vue du soi-disant « développement de la commune » – cela n’existe pas en Suisse seulement. C’est à travers l’Europe entière que les communes ont affaire à de telles organisations douteuses et anti-démocratiques. Et partout elles se déroulent selon le même schéma, guidées par des animateurs externes.

    manipulation3

    En Allemagne, c’est la Fondation Bertelsmann qui en fournit le modèle. Sur ses sites internet on trouve des directives stratégiques, des conseils, des manuels en vue de créer des «ateliers dans les communes» ainsi que des «visions sur le développement communal».1

    Quant aux «visions» de la Fondation Bertelsmann, elles sont évidentes. Il s’agit du détournement vers le privé des institutions communales («out-sourcing»), de l’usurpation de tâches réservées à la souveraineté de la commune, de privatisation de piscines commu­nales et des régies communales de l’eau, des maisons de retraite, des associations et unions d’intérêt public etc.; les communes et leurs institutions devront, selon ces plans, devenir des entreprises fonctionnant selon le principe de gain et profit, quitte à participer à la course aux avantages locaux. Il est évident que cela n’a plus rien à voir avec la démocratie.

    En Angleterre, l’entreprise Arvato, filiale à 100% de la Fondation Bertelsmann, a ainsi pris possession de la commune de East Riding, Yorkshire, gérant maintenant des tâches auparavant réservées à la souveraineté communale dans une circonscription qui compte pas moins que 325 000 habitants (cf. en­cadré) – s’étendant du prélèvement des impôts communaux, en passant par la distribution des allocations d’aide sociale, jusqu’à la gestion des finances.2

    En Allemagne, c’est la ville de Wurzburg (Basse-Franconie) où Arvato gère «la totalité des prestations administratives».3 D’autres communes devraient suivre ce modèle.

    Or, en Allemagne, il s’agit de 105 milliards d’euros, provenant des fonds fiscaux qui, selon estimation, circulent dans les communes et leurs institutions par an. Ce sont ces milliards-là qui provoquent l’avidité de la multinationale Bertelsmann. Pour le moment, Arvato «se contente» d’un cinquième de cette somme, comme dit son chef, Rolf Buch: «Il s’agit d’un marché de plus de 20 milliards d’euros, soit autant que le chiffre d’affaires actuel de Bertelsmann.»4

    Non, décidément, avec Bertelsmann, on n’a plus affaire à un cercle à connivence chrétienne distribuant des livres et des périodiques dont les magazines illustrés peuplaient, du temps de l’après-guerre, les mé­nages, les cabinets médicaux et les pharmacies allemands. Aujourd’hui, il s’agit d’un empire des médias connecté dans le monde entier, disposant d’un chiffre d’affaires en milliards et qui, dans de nombreux pays, entretient des relations les plus privilégiées avec des hommes politiques de haut rang, des présidents de partis et des chefs d’Etat, ainsi qu’avec des fonctionnaires de syndicats etc. Les gens de Bertelsmann siègent dans des institutions et commissions de l’UE et influencent tous les domaines de la politique – qu’il s’agisse de la Constitution europé­enne, de la formation d’une armée européenne ou de la privatisation des domaines de la formation et de la santé et, dernièrement aussi des communes.5

    La «vision» de la Fondation Bertelsmann est une «Europe des régions» dans laquelle les nations souveraines ont disparu6 et dont les unités administratives sont des «espaces métropolitains» ou des communes fusionnées, unités sous l’administration centrale de Bruxelles7 et exploitées sur le marché par Bertelsmann. C’est dans cette direction-là qu’est dirigé ce «changement», changement où les décisions démocratiques des citoyens ne font que déranger.

    Pour démarrer le «changement» on convoque – après concertation avec les conseillers externes – un groupe, complètement arbi­traire, mais pourtant soigneusement choisi – de membres d’exécutifs, d’associations, d’Eglises, de corps de métier et corporations, d’entreprises etc. dans les «ateliers du futur» susnommés qui n’ont aucune légitimation ni représentation démocratiques. Ainsi, avec le recours à des méthodes de manipulation psychologique employées dans des groupes d’envergure (mise en place, «open space» etc.) qui n’ont rien à faire dans un processus de décision libre et démocratique, on se met à dis­soudre «les forces récalcitrantes» de la société.8 Il s’agit de créer une «ambiance positive de renouveau» qui vise «l’enthousiasme des acteurs locaux».9 Ceux qui mettent en doute les «visions» sont traités de «passéistes» et de «traditionalistes arriérés». De telles images nuisibles ne font que semer la discorde dans les communes et déranger la paix politique.

    Nous n’avons pas besoin d’«ateliers du futur» qui, comme des «cabinets de l’ombre», se mettent à saper l’autonomie communale. Il ne nous faut pas du «strip-tease» psycholo­gique dans des salles polyvalentes pour procréer des «visions communales», qui ne créent, en fait, que des coûts. Le vrai débat sur les thèmes d’avenir se situe dans les conseils municipaux et les réunions communales où chaque citoyen est censé contribuer, proposer des motions et solliciter un vote, dénué de tout endoctrinement et de toute manipulation.

    Mais détrompons-nous: en Suisse aussi, une 5e colonne de traîtres au pays se bâtit sous forme d’«acteurs» en vue du développement européen régional misant sur les méthodes Bertelsmann. Ainsi «régiosuisse», un réseau central national en faveur du développement régional suisse, recommande-t-il chaudement «la fondation allemande de Bertelsmann». «Sur son site internet», poursuit-il, «elle fournit toute une gamme d’idées à l’usage des gestionnaires régionaux et instances constructrices de réseaux» (sic!); on y trouve, ajoute-t-il, «diverses publications et une banque de données intitulée ‹Best Practices des communes pour les com­munes› etc. qui offrent, également aux instances ac­trices suisses pour le développement communal d’intéressants intrants.»10

    Voilà pourquoi, dans nos communes, les «ateliers du futur» surgissent du sol comme des champignons. Il ne faut pourtant pas oublier que ce sont toujours les citoyennes et citoyens qui décideront, en dernière in­stance, s’ils veulent effectivement l’«Anschluss» à une «Europe des régions», gérée de manière centraliste par Bruxelles, où il n’y aurait plus de nations souveraines, ni par conséquent, de citoyens jouissant de leurs pleins droits de démocratie directe.

    Horizons et Débats


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  • Le Groupe Bilderberg et le "Nouvel Ordre Mondial"

     

    Lien externe lié

    Le groupe Bilderberg est un groupe de personnes ayant des moyens de contrôle puissants dans les médias, la politique, etc, qui se réunissent à l’abri de regard indiscrets pour décider et influencer les décisions politiques qui leur permettent d’augmenter leur contrôle et leur pouvoir sur le monde notamment avec l’argent pour leur besoins personnels.

     

    Daniel Estulin, l’invité principal du reportage a écrit un livre "La Véritable Histoire de Bilberberg" où il regroupe des preuves de l’existence de ces réunions dissimulées à la population ou des décisions qui influencent notre quotidien et notre vie de tous les jours sont prises sans nous demander notre avis pour le "bien" des protagonistes assistants à ces réunions. 
     
    Le livre s’est venu à plus de 2 millions d’exemplaires, traduit en 42 langues et vendus dans plus de 60 pays, mais malgré cet immense succès, les médias se taisent, étant aux ordres de leurs patrons membres de ce groupe, qui en cachant leur existence augmentent d’autant plus leur pouvoir.


    La Théorie du Complot - Les Bilderbergs 1/3

    La Théorie du Complot - Les Bilderbergs 2/3

    La Théorie du Complot - Les Bilderbergs 3/3


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  • Loi 1973 : Pompidou-Giscard-Rotshild

     

    On peut apprécier ou pas Mme Lepen, mais pas ignorer cette loi

     


    Marine Le pen dénonce la loi Pompidou Giscard Rotshild 1973


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  • Le terrorisme démasqué


    La Réalité Du Terrorisme International [VOSTFR]
    Auteur: la-matrice


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  • Chemtrails : Un rapport scientifique qui ne laisse aucun doute

    Case orange est le nom d’un rapport scientifique, élaboré par une équipe « d’experts » ( internes ), qui ont estimé qu’il est temps de dévoiler au public les faits réels concernant ces traînées de condensation des avions que l’on nomme « chemtrails ». Ce rapport prouve essentiellement et sans démenti possible que des épandages sont réellement effectués partout dans le monde, depuis de nombreuses années et mis en action par les États-Unis. Case Orange a été présenté au Symposium International de Gand, organisé par le Belfort Group, le 29 mai 2010.

    L’on peut écouter les orateurs sur le site suivant :http://www.ustream.tv/channel/belfort-test.

    Le document comprend un texte de base de 70 pages et 230 pages d’annexes. Il peut être téléchargé sur le site suivant :

    http://www.belfort-group.eu/sites/default/files/page/2010/05/COpart1.pdf

    DEFINITION DES TERMES

    - Contrails (condensation – trails = traînées de condensation) : il s’agit de la condensation de la vapeur d’eau émise dans les gaz d’échappement des avions. Leur formation dépend et de l’altitude et de la température ( aussi pour les moteurs à hélice). Caractéristique : EPHEMERE.

    Les avions actuels, équipés de moteurs plus puissants génèrent des traînées plus persistantes sur des longueurs de 30 à 40 km.

    - Distrails ( dissipation – trails = dispersion) : ce sont des tunnels qui se forment lorsqu’un avion vole à travers un nuage. Les gouttelettes d’eau se transforment en vapeur d’eau.

    - Chemtrails( chemical – trails = traînées chimiques) : il s’agit de traînées d’avion délibérément provoquées par épandage à des fins militaires ou politiques. Elle sont plus persistantes ( durent des heures et se déploient). En quadrillant, de grandes surfaces peuvent être couvertes. Officiellement, les Etats nient leur réalité, sauf l’URSS et la Chine.

    Justification : influencer le climat et plus particulièrement favoriser ou éviter les précipitations=  « cloudseeding » (ensemencement de nuages).

    LES AEROSOLS ONT UNE DOUBLE ACTION :

    D’une part, ils forment un écran/filtre de la lumière du soleil. Il fait plus froid et plus sec. D’autre part, ils forment des gouttelettes d’eau et donc précipitation.

    Quand il y a trop de poussières dans l’atmosphère (éruption volcanique, pollution humaine), la précipitation diminue parce que il y a trop de poussières dans l’air par rapport à l’humidité présente et la lumière du soleil est réfléchie. Autrement dit, il y a un effet de refroidissement et d’assèchement de l’air. La même conclusion est donnée par l’éminent professeur Rosenberg (Université de Jérusalem) : si on ajoute des aérosols, il y aura dans une première phase plus de précipitation, MAIS A PARTIR D’UNE CERTAINE CONCENTRATION, il y aura une diminution de la précipitation.

    En d’autres termes :

    la quantité d’aérosols influence le climat. Ceci donne la possibilité de manipuler le climat.

    La question se pose alors : Se sert-t-on de cette possibilité pour effectivement influencer le climat ?

    Les Instances Officielles nient fermement ce phénomène en argu-mentant que :

    Il n’y a pas de preuves scientifiques. Ces révélations émanent de sphères où l’on parte de complot, d’Ovnis, de Nouvel Ordre Mondial, d’Illuminatis, de dépopulation, de contrôle des esprit etc…Le phénomène y est donc assimilé et rabaissé comme de la stupidité ésotérique et conspirationniste. Certains site conspirationnistes sur Internet ne sont pas articulés scientifiquement et toute information émanant de ces sites est jugée d’office comme non crédible.

    Y’A-T-IL EU MODIFICATIONS CLIMATIQUES DANS LE PASSE ?

    La réponse est incontestablement : oui.

    Nikola Tesla :produisait, au siècle passé, des éclairs.

    Guerre 14-18: Les avions créaient des écrans de fumée comme camouflage ou pour disperser du gaz moutarde.

    Guerre 39-45: Plaquettes de brouillage ( aluminium) pour servir de contre-mesure radar. (CHAFF)

    Le projet « Cirrus », est le premier programme d’ensemencement de nuages par General Electric, mais, dès le début, effectué dans un contexte militaire et donc en collaboration avec l’US Air Force, l’US Navy…C’était un essai pour provoquer artificiellement la pluie. Ces tentatives n’étaient pas toujours couronnées de succès. En 1947 : tentative de neutraliser un typhon par des cristaux de glace. Ceci a provoqué un déluge dans la savane. Dégâts estimés à 20 millions de dollars.

    Continuation des projets d’ensemencement via « Storm Fury » 1962 et « Popeye » 1967. But : affaiblir des cyclones tropiques avec de l’iodure d’argent. C’est ainsi que pendant la guerre du Viet-nam, la mousson a été prolongée de 35 à 45 jours.

    DES PREUVES QUE L’ON NE PEUT NIER

    1.- A partir de cette époque, divers programmes d’ensemencement ont été réalisés aux Etats-Unis. En Russie et en Chine, ces programmes sont effectués par les autorités : beaucoup sur commandement ou commande. Moscou a été protégé de la radioactivité de Tchernobyl par des précipitations artificiellement provoquées.

    2.- A partir de cette époque, la modification du climat est devenue une arme !

     

    Conclusion : La modification du climat par manipulation de la couche nuageuse est une technique employée depuis de longues années, mais elle présente certains problèmes : coût élevé et succès mitigé…jusqu’au moment où des scientifiques découvrent une technique différente.

    LA SOLUTION FINALE

    En 1974, l’on découvre une autre possibilité pour influencer les conditions atmosphériques à savoir, modeler la magnétosphère ( la couche au dessus de la ionosphère) avec des ondes mégamétriques (ELF – xtreme low frequency, ondes inférieures à 300 Hz ou des longueurs d’ondes supérieures à 1.000 000 mètres). On découpe pour ainsi dire un « trou » dans la ionosphère.

    Les ondes ELF génèrent un courant de particules qui sont capables de passer l’horizon et de retomber en tant qu’ondes à fréquence extrêmement haute (EHF – extreme high frequency – ondes entre 30 et 300 gigahertz ou de 1 à 10 millimètres). Elles influencent les conditions atmosphériques et peuvent provoquer la pluie ou la sécheresse

    En 1995, création en Alaska, d’une entreprise commune (militaire, civile) avec la création de HAARP (High Active Auroral Research Project). Officiellement, c’est uniquement une entreprise pour la recherche scientifique, mais, en réalité, HAARP est devenu une arme puissante et redoutable et fonctionne actuellement à pleine capacité : 1 gigawattt ! L’on peut ainsi concentrer 1 watt sur 1cm3 – Ceci permet de provoquer des séismes ( cf. les brevets et la hausse du magnétomètre 2 jours avant le tremblement de terre à Haïti). Avec cette technologie, l’on peut donc aussi influencer le temps : « La guerre des Fréquences ».

    HAARP est aux mains de la Raytheon Corporation, l’un des principaux fournisseurs de l’armée américaine et de la NASA…

    Á PROPOS DE LA LEGALITE

    Aux Etats-Unis, il n’y a pas de « problèmes » : l’épandage est légal depuis 1977. Le Ministère de la Défense peut faire des expérimentations biologiques sur sa propre population. Ces mesures ont été renforcées en 2002. Initialement, il y avait une proposition de loi garantissant la sauvegarde de l’espace, d’armes à basse fréquence, la sauvegarde du milieu et du climat d’armes de nouvelles technologies destructrices et la protection de « chemtrails ». Mais toutes ces restrictions sont tombées lors de l’approbation de la loi en 2002.

    En Chine et en Russie, il n’y a pas de problèmes pour les pollueurs ! Parce que l’autorité est la loi.

    En Europe, l’épandage est une infraction par rapport à la législation sur le Droit de l’environnement et peut-être aussi sur le principe de Souveraineté des pays.

    NOCIVITÉ

    • ♦ Dégats à la couche d’ozone

    • ♦ Coûts plus élevés pour introduire du soufre.
    • ♦ Diminution de la luminosité. Le cycle hydrologique est perturbé ce qui a comme conséquence l’apparition ♦ de sécheresses plus fréquentes.
    • ♦ Le ciel bleu devient un ciel gris.
    • ♦ Moins d’énergie solaire, qui, pourtant, est essentielle à la vie.

    CONCLUSIONS

    L’existence de programmes en vue de maîtriser le climat ne peut plus être niée. Ils sont contrôlés et coordonnés par l’establishment militaire. Ils sont approuvés par les gouvernements. Ils sont exécutés en silence pour éviter tout désastre et pour pouvoir continuer le « business comme d’habitude », le plus longtemps possible.

    OBJECTIF : Le contrôle et même le monopole de l’atmosphère et de l’espace ! Le document « Owning the weather in 2025 » regroupe toutes les études qui ont un  rapport avec la manipulation des conditions atmosphériques.

    En résumé voici les lignes principales :

    → Ensemencement des nuages avec de l’iodure d’argent

    → Modification de la ionosphère : « Space Weather ».

    → Contrôle des pluies et des tempêtes par la formation de nuages et de CONTRAILS.

    Actuellement, on peut provoquer ou empêcher la pluie où l’on veut. Et ceci est très important. L’eau sera une ressource rare, chère et essentiellement pour la survie. Celui qui contrôle l’eau, contrôlera le monde.

    Les documents stratégiques existants et les études scientifiques démontrent que les cirrus ont un effet sur le climat, qu’ils peuvent être manipulés pour les objectifs civils et/ou militaires.

    Les Etats-Unis ambitionnent de contrôler le climat d’ici 2025, civilement et militairement.

    La technologie d’épandage existe. Le mélange de métaux et de composants chimiques est ajouté au kérosène ou vaporisé dans les gaz d’échappement. Sur base des brevets qui sont la propriété de Raytheon et du Département de la Défense américaine, il est clair que les programmes de manipulation climatique émanent et sont organisés à partir des Etats-Unis.

    Que l’épandage soit légal ou non, l’effet sur la santé de la planète est très préoccupant.


    Extrait : document Peter Vereecke 15 juin 2010

    - Source : Le Journal de Michel Dogna

    vu sur : http://www.chaos-mondial-organise-resistance-infos.com/


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  • Les manipulations de masses : stratégies

    Une présentation de 10 "Commandements" qui aident à imposer aux gens une société qui les prive de leur libertés en les empêchant de s’en rendre compte par exemple en détournant leur attention sur des sujets futiles ou en leur faisant croire que ce sont des mesures nécessaires pour les protéger, tout en causant sans le montrer ce qui nécessite ces mesures de protection.


    1/ La stratégie de la distraction

    Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

    2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

    Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

    3/ La stratégie de la dégradation

    Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.

    4/ La stratégie du différé

    Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

    5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge

    La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

    6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

    Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

    7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

    Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

    8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

    Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…

    9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

    Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !…

    10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes

    Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

    Trouvé sur :

    par roblin (son site) lundi 4 octobre 2010

    Et bien non ce n'est pas roblin qui a pondu ce billet mais Noam Chomsky qui a élaboré cette liste des « Dix Stratégies de Manipulation » à travers les méRdias ... le lien ici http://www.pressenza.com/npermalink/les-dix-strategies-de-manipulation-de-masses Posté par reineroro


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  • Rapport du Belfort Group sur les Chemtrails

     


    Chemtrails et le Belfort Group
    Cargado por RegisDanse. - Videos de música, entrevistas a los artistas, conciertos y más.

     

    Le samedi 29 mai, le Belfort Group belge a organisé à Gand un symposium international sur le sujet :

    L’épandage illégal de substances nuisibles par des avions dans l’atmosphère, également connu sous le nom de « chemtrails »

    Le rapport « Case Orange », un rapport scientifique, compilé par le Belfort group, par une équipe d’experts de monde de l’aviation.

    Il a été remis personnellement une version imprimée de ce document « Case Orange » aux sièges de l’ONU et de l’OTAN à Bruxelles ainsi qu’à huit ambassades (USA, UK, Allemagne, France, Iran, Russie, Chine, Venezuela).
     
    par capone13000 (son site) vendredi 24 septembre 2010 - 

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  • Bonne nuit les petits

     

     

     

     

     

     

    La suite logique du féminisme....

    video liée : La Pieuvre


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  • Le mécanisme de la mondialisation

     

     

    Nous pouvons aussi nous poser les questions suivantes :

    Le fait d'être un peuple cosmopolite constitue-t-il, dans ce contexte, un avantage afin d'oeuvrer dans le sens de la mondialisation  et de s'enrichir sur le dos des autres?

    Le fait que des représentants du" peuple élu" sont de plus en plus représentés dans les différents pouvoirs est-il le fait du hasard ?


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  • Islam et nouvel ordre mondial : l'intégration aux forceps

     

    regarder les videos dans l'ordre....

    video n°1

     

    video n°2


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  •  

     

    La consommation de la terreur


    Surplus La consommation par la terreur
    Cargado por boreale. - Videos de noticias recién publicadas.


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  • Régulation de la météo, comme forme de régulation sociale

    (Zbigniew Brzezinski)

    L’arme climatique: une conspiration?
     

     
    Par Andreï Arechev, pour RIA Novosti

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    La température anormalement élevée dans le centre de la Russie a déjà engendré d’énormes pertes économiques. Un cinquième des cultures a été détruit et les prix des produits alimentaires principaux pourraient augmenter considérablement dès l’automne. Moscou est pris dans la fumée des incendies des tourbières. Les prévisions des experts sont loin d’être rassurantes : les sècheresses, les ouragans et les inondations se répéteront de plus en plus souvent et seront de plus en plus violents. Alexeï Kokorine, le directeur du programme Climat et énergie des Fonds mondiaux pour la Nature (WWF), explique que « la tendance actuelle (la sècheresse) ne s’arrêtera pas, elle n’est pas le fruit du hasard... »

    Que l’employé d’une organisation internationale influente qui travaille dans différentes régions du monde sous la couverture des programmes écologiques soit si bien informé est très significatif. Et cela ne se réduit pas au fameux « réchauffement de la terre » qui fait l’objet d’intenses débats scientifiques et autres. La théorie du « réchauffement de la planète » en tant que cycle naturel nécessite, tout au moins, des preuves alors que la canicule actuelle, observée, d’ailleurs, exclusivement sur le territoire de la Russie et de ses territoires limitrophes, pourrait sous-entendre plus que des explications scientifiques naturelles.

    Le problème de régulation de la météo, comme forme de régulation sociale, a été abordé dès les années 1970 par Zbigniew Brzezinski dans son livre Entre deux siècles. Il est clair que l’expert de la géopolitique américaine ne pouvait pas ne pas se poser la question sur la possibilité d’utiliser diverses formes d’impact climatique aussi bien sur les systèmes sociaux que géopolitiques. D’autres auteurs sérieux ont également écrit à ce sujet, bien que pour des raisons évidentes, il est peu probable que les informations concernant les découvertes dans le domaine de la création et d’essais d’une arme climatique soient divulguées un jour.

    En 2000, Michel Chossudovsky, professeur d’économie à l’université d’Ottawa, a écrit sur la possibilité d’un changement partiel du climat comme résultant de l’utilisation d’une nouvelle génération « d’armement non létal ». Les Américains travaillent sur la capacité de contrôler le climat dans diverses régions du monde, cette technologie est développée dans le cadre du High-frequency Active Aural Research Program (HAARP), capable de provoquer des phénomènes tels que des sècheresses, des ouragans, des tremblements de terre et des inondations. Du point de vue militaire, le HAARP est une arme de destruction massive, un instrument d’expansion qui permet de déstabiliser sélectivement les systèmes écologiques et agricoles des pays et des régions ciblés. La base technique connue du programme est un système d’émetteurs électromagnétiques destiné à l’étude des processus dans l’ionosphère et composé de 360 émetteurs radio et de 180 antennes d’une hauteur de 22 mètres. En émettant dans le ciel 3 600 kilowatts la station est devenue l’installation la plus puissante au monde pouvant agir sur l’ionosphère. Le programme, lancé en 1990, est financé par la direction des Recherches maritimes et par le laboratoire de Recherche de l’armée de l’air américaine avec la participation des plus grandes universités.

    Tout cela donne matière aux rumeurs et aux hypothèses. On pourrait toujours continuer à rire de Hugo Chavez qui a expliqué le tremblement de terre dévastateur en Haïti (http://fondsk.ru/article.php?id=2755) par la mise en application de HAARP, mais des hypothèses similaires ont été formulées après le tremblement de terre dans la province chinoise de Sichuan en 2008. De plus, une série de faits montre que le programme américain qui a pour objet le changement climatique dans des pays et des régions particuliers porte un caractère systématique qui touche maintenant le milieu spatial.

    Ainsi, par exemple, le 22 avril 2010, le drone américain X-37B a été lancé sur l’orbite de la Terre et pourrait, selon certaines sources, transporter à son bord de nouveaux modèles d’armement laser. Selon le New York Times, les représentants du Pentagone nient fermement toute relation entre l’appareil et un armement offensif quelconque mais admettent qu’il a pour but d’assister des opérations militaires terrestres et de remplir diverses missions auxiliaires. Le X-37B a été construit il y a 11 ans déjà en vertu d’un programme de la NASA, et en 2006 ce programme a été transmis à l’armée de l’air américaine sous le cachet du secret défense en ce qui concerne sa destination et son budget.

    Les exigences de soulever le voile du secret défense sur les expérimentations menées en Alaska n’ont jamais cessé d’être exprimées aux États-Unis et dans d’autres pays. En Russie les exigences similaires n’ont jamais été exprimées de façon bruyante. Néanmoins, il semblerait que les changements climatiques au service des intérêts politiques soient loin d’être un mythe et prochainement la Russie, ainsi que le reste du monde, devrait faire face à un nouveau type de menace. Les développements dans le domaine d’armement climatique semblent atteindre la « capacité de rendement prévue», en engendrant les sècheresses, en détruisant les récoltes et en provoquant sur le territoire de la « cible » toute une série de phénomènes anormaux.

    Ce texte n’engage que la responsabilité de l’auteur


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