• C'est parti !!!

    Mort de Ben Laden: Des islamistes appellent à manifester au Pakistan

     
                                     
     
    Mis à jour le 05.05.11 à 10h10

    Le principal parti islamiste du Pakistan a appelé ses fidèles à des rassemblements vendredi, jour de prière, pour demander au gouvernement l'arrêt du soutien aux forces américaines responsables de la mort d'Oussama ben Laden.

    Djamaat-e-Islami (ou JI), une des plus influentes formations politiques islamistes, estime que les Etats-Unis ont violé la souveraineté en déployant une unité d'élite dans la ville d'Abbottabad où se cachait le chef d'Al-Qaida.

    «Que le Pakistan se retire de la guerre contre la terreur»

    «S'il existait la moindre sympathie à l'égard des Américains, celle-ci ne peut que disparaître compte tenu de la manière dont ils ont piétiné et violé notre souveraineté et notre indépendance», a déclaré Syed Mounaouar Hassan, chef du JI.

    «Nous avons appelé tout le monde à des manifestations pacifiques de grande ampleur, vendredi. Notre première revendication est que le Pakistan se retire de la guerre contre la terreur», a-t-il poursuivi.

    Les sentiments anti-américains sont forts dans la population pakistanaise malgré les milliards de dollars d'aides fournis par Washington à l'économie du pays. Les partis religieux n'ont jamais enregistré de bons scores lors des élections, mais ils possèdent une influence considérable dans un Etat où l'islam a tendance à se radicaliser.

    La mort de Ben Laden lundi a toutefois été suivie par peu de manifestations. L'un des groupes les plus violents, Lashkar-e-Taiba, a organisé des prières en mémoire du leader islamiste qualifié de «martyr».

    Reuters

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  • Que la "fête" commence ....

    Des hommes armés ont détruit 3 camions-citernes de l'OTAN, au Pakistan  04/05/2011

    Des hommes armés ont détruit 3 camions-citernes de l'OTAN, au PakistanDes hommes armés ont détruit, au Nord du Pakistan, 3 camions-citernes transportant du combustible, à destination des forces étrangères, sous commandement américain, en Afghanistan.
    Des hommes armés ont détruit, mardi soir, un camion-citerne de combustible de l'OTAN, dans la région de Torkham, à Khyber, et deux autres, dans la région d’Alu Masjid, au Nord-Ouest du Pakistan. Des dégâts ont été occasionnés à certains bâtiments avoisinants, en raison de l'explosion, mais aucune information n'a filtré, jusqu'à présent, sur les pertes infligées par cette attaque. Des hommes armés liés aux Talibans pakistanais ont incendié, à maintes reprises, durant ces trois dernières années, les camions-citernes transportant du combustible, à destination de l'OTAN, dans la région du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Pakistan

    http://french.irib http://french.irib


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  • Pakistan : colère anti-américaine

    De nombreuses manifestations anti-américaines se sont déroulées, hier, au Pakistan, à l’appel aussi bien de mouvements politiques ou religieux que du syndicat des avocats.

    Ces organisations voulaient protester contre la libération, avant-hier, de l’agent de la CIA Raymond Davis, sorti de prison au prix d’un dédommagement aux familles de deux hommes qu’il avait tués. La colère des Pakistanais a été avivée dans la journée par l’annonce de ce qui paraît être une nouvelle "bavure" de l’armée américaine : au moins 35 personnes, dont des civils et des policiers, ont été tuées par les missiles d’un drone dans le nord-ouest du Pakistan. Cette attaque, la plus meurtrière depuis trois ans, était la septième en neuf jours.

    Pakistan10.jpg

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  • IFRI : La posture stratégique indienne face au défi pakistanais

    Inde.jpgEn 1998, le Pakistan a acquis l'arme nucléaire bouleversant ainsi les équilibres stratégiques régionaux. L'ancienne doctrine indienne Sundarji s'est révélée inadaptée à ce nouveau contexte.

    Pour sortir de son impasse stratégique, l'Inde a adopté une nouvelle doctrine dite de Cold Start.

    Cette doctrine, qui repose sur la rapidité de mobilisation, la surprise et la vitesse d'exécution, est censée permettre à l'Inde de mener une guerre contre le Pakistan sans franchir le seuil nucléaire. Toutefois, sa mise en oeuvre est entravée par des obstacles institutionnels, capacitaires, diplomatiques et stratégiques.

    Il est donc légitime de se demander si la doctrine de Cold Start a réellement été conçue pour être appliquée ou si son élaboration ne vise qu'à impressionner le Pakistan en montrant que l'Inde n'abandonne pas la perspective d'une guerre conventionnelle malgré le risque d'une escalade nucléaire.


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  • Pakistan : prochain théâtre de guerre américain ?

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    Les hauts responsables militaires américains en Afghanistan font actuellement pression pour que soit approuvée l’extension de leurs opérations terrestres au-delà de la frontière Afghanistan-Pakistan, afin d’avoir accès à des zones tribales pakistanaises, a rapporté lundi le journal américain New York Times.

    Dans un article publié sur son site internet, le journal a affirmé que la proposition des militaires, non encore acceptée par le président américain Barack Obama, traduisait la frustration grandissante des Américains face à l’"échec" du Pakistan à empêcher les militants afghans de se réfugier dans les zones tribales pakistanaises situées sur la frontière avec l’Afghanistan.

    La proposition prévoit l’escalade des activités militaires américaines au Pakistan, "où le mouvement des troupes américaines est jusqu’ici largement interdit par crainte de provoquer une réaction", selon le journal.

    Les activités militaires américaines au Pakistan se limitent actuellement en général à des attaques de drones menées par la CIA. "La décision d’étendre les activités militaires américains au Pakistan...pourrait avoir pour conséquence l’ouverture d’un nouveau front dans cette guerre débutée voilà neuf ans", affirme le reportage. "Cela risque de provoquer la colère du gouvernement pakistanais ", jusqu’ici allié inconfortable des américains dans la guerre en Afghanistan, "en particulier si cela débouche sur des dégâts civils ou des confrontations publiques".

    Cependant, une "nouvelle conception basée sur l’urgence" en Afghanistan pèserait plus lourd que le risque de réaction négative des Pakistanais, car la date-butoir de retrait des troupes de l’Afghanistan s’approche pour le gouvernement Obama, a affirmé le NYT.

    Le président Obama a publié jeudi dernier la révision de la stratégie américaine dans la guerre en Afghanistan, prévoyant un renfort de 30.000 hommes supplémentaires pour l’armée américaine dans le pays asiatique.

    Les résultats obtenus dans la guerre contre les militants talibans en Afghanistan "demeurent fragiles et réversibles", a affirmé le gouvernement Obama, "La consolidation de ces gains aura pour corollaire une intensification de la coopération avec le Pakistan dans le cadre de l’élimination des sanctuaires des réseaux d’extrémistes violents".

     


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  • Les talibans visent l'Otan en représailles aux attaques de drones

    video liée : la nouvelle cible

     

    Depuis six jours, le Pakistan bloque par ailleurs ces convois à la frontière de Khyber, où attendent des centaines de camions, pour protester contre plusieurs attaques d'hélicoptères de l'Otan sur son sol, dont la dernière, jeudi, a tué trois de ses soldats.

    Les talibans alliés à Al-Qaïda ont attaqué mercredi des camions de ravitaillement de l'Otan au Pakistan, en représailles aux attaques de drones américains ciblant le nord-ouest pakistanais au coeur d'une menace présumée d'attentats en Europe.

    "Des inconnus ont attaqué le terminal où étaient garés entre 35 et 40 camions-citernes et ont ouvert le feu", a expliqué à l'AFP Hamid Shakeel, un officier de la police de Quetta (sud-ouest), capitale de la province du Baloutchistan. L'assaut a été lancé dans la banlieue de Quetta.

    Un employé d'une des compagnies pakistanaises privées propriétaires des camions a été tué et "au moins dix citernes sont en feu", a ajouté l'officier.

    Les talibans pakistanais alliés à Al-Qaïda ont immédiatement revendiqué cette attaque, comme ils l'avaient fait pour les précédentes, qui ont détruit près de 60 camions de ravitaillement de l'Otan en six jours.

    Plus de la moitié des équipements et du carburant destinés aux quelque 150.000 soldats des forces internationales en Afghanistan --dont les deux tiers américains-- transitent par le Pakistan, par la passe de Khyber (nord-ouest) pour l'essentiel, mais aussi par le Baloutchistan.

    Depuis six jours, le Pakistan bloque par ailleurs ces convois à la frontière de Khyber, où attendent des centaines de camions, pour protester contre plusieurs attaques d'hélicoptères de l'Otan sur son sol, dont la dernière, jeudi, a tué trois de ses soldats.

    "Nous allons intensifier nos attaques à mesure que celles des drones se multiplient", a assuré à l'AFP Azam Tariq, le porte-parole du Mouvement des Talibans du Pakistan (TTP), en revendiquant l'attaque de mercredi par téléphone depuis un lieu inconnu.

    Pour la première fois mercredi, un officiel a lié l'intensification des frappes de drones aux récents projets présumés d'attentats d'Al-Qaïda en Europe.

    "Je pense que l'activité à laquelle nous assistons au Waziristan du Nord (nord-ouest du Pakistan), en termes de frappes (...) est liée aux menaces terroristes dont nous avons entendu parler, concernant de potentielles attaques en Europe", a indiqué à la BBC l'ambassadeur du Pakistan aux Etats-Unis, Hussein Haqqani.

    "Selon les informations communiquées au Pakistan par nos partenaires américains, certaines personnes ont été arrêtées dans le passé et les interrogatoires et d'autres renseignements ont révélé qu'il y avait un complot pour attaquer plusieurs cibles en Europe", a-t-il expliqué, confirmant de récentes affirmations de presse.

    Depuis début septembre, 24 attaques de drones ont tué au moins 140 personnes, des insurgés islamistes pour l'essentiel, dont des cadres d'Al-Qaïda, mais aussi des civils, selon des responsables pakistanais.


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  • Pakistan : le bilan des inondations pire que pour le tsunami

    source : http://tempsreel.nouvelobs.com

    "Cette catastrophe est pire que le tsunami (de 2004), le tremblement de terre au Pakistan en 2005 et le récent tremblement de terre à Haïti", estime un responsable de l'ONU.

     
    Selon l'ONU, les inondations au Pakistan ont tué au moins 1.600 personnes en près de deux semaines. (AFP) Selon l'ONU, les inondations au Pakistan ont tué au moins 1.600 personnes en près de deux semaines. (AFP)

    Une ampleur sans précédent. Selon les déclarations d'un responsable de l'ONU, lundi 9 août, la crise liée aux inondations au Pakistan qui ont fait quelque 13,8 millions de sinistrés est pire que le tsunami de 2004 en Asie.

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    "Jusqu'à maintenant, les inondations au Pakistan ont fait 13,8 millions de sinistrés", a déclaré Maurizio Giuliano, porte-parole du Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l'ONU (Ocha). "Cette catastrophe est pire que le tsunami (de 2004), le tremblement de terre au Pakistan en 2005 et le récent tremblement de terre à Haïti", a-t-il ajouté.

     

    15 millions de personnes affectées

    "Elle est plus importante car, lors du tremblement de terre au Pakistan en 2005, plus de 3 millions de personnes avaient été sinistrées, tandis que le tsunami avait affecté 5 millions de personnes et que quelque 3 millions de personnes ont été sinistrées lors du tremblement de terre à Haïti", a-t-il ajouté.

    Selon l'ONU, les inondations au Pakistan ont tué au moins 1.600 personnes en près de deux semaines. Quelque 500.000 personnes sont sans abri dans la seule région du Pendjab (centre). Le tsunami de décembre 2004 en Asie avait fait quelque 220.000 morts.

    L'Autorité pakistanaise de gestion des catastrophes avait estimé vendredi à 12 millions le nombre de personnes déjà touchées par les inondations au Pendjab et au Khyber Pakhtunkhwa (nord-ouest du Pakistan). Près de trois millions de personnes ont été touchées dans le Sind (sud), portant à 15 millions le nombre de personnes affectées à ce jour dans ce pays de 170 millions d'habitants.

    Pakistan : l'aide américaine portée à 55 millions de dollars

    Un groupe de talibans appelle le gouvernement pakistanais à rejeter cette aide malgré la situation d'urgence que connaît le pays frappé par des inondations sans précédent.

    Projet Popeye

    source : http://www.chemtrails-france.com

    Des dossiers du gouvernement britannique, qui viennent juste d'être dévoilés par les Archives Nationales, montrent que dans les années 70 il y avait une méfiance profonde entre les deux super-puissances au sujet de la guerre environnementale. Les documents révèlent qu'à le fois les USA, qui dominaient ce domaine, et l'Union Soviétique, avaient des programmes militaires secrets ayant pour but de contrôler le climat mondial. "Avant l'année 2025, les États-Unis posséderont le temps" se serait vanté un scientifique.

    Depuis, un traité des Nations-Unies qui interdit la guerre environnementale, comme déclencher des tremblements de terre, faire fondre les calottes glaciaires et altérer le climat, a été signé. Mais certains experts croient que les travaux clandestins pour créer l'arme de destruction massive ultime continuent.

    Ces affirmations sont écartées par les sceptiques comme des théories de complot délirantes du genre qu'on peut trouver dans les films de James Bond, mais il y a de plus en plus de preuves que les limites entre la science fiction et les faits deviennent plus floues. Les américains admettent maintenant qu'ils ont investi 12 millions de livres pendant cinq ans durant la guerre du Vietnam sur "l'ensemencement de nuages" - créant délibérément des pluies torrentielles pour ruiner les cultures de l'ennemi et détruire les routes de ravitaillement de la piste d'Ho Chi Minh, dans une opération appelée Projet Popeye.

    On prétend que la pluviosité a été augmentée d'un tiers dans les zones ciblées, faisant de l'arme de manipulation du climat un succès. À l'époque, les officiels du gouvernement ont dit que la région était sujette à de fortes pluies.

    Cependant, ce genre d'expérience pour créer la pluie n'avait rien de nouveau. En Angleterre, il est présumé qu'avant les inondations dévastatrices de Lynmouth dans le Devon en 1952, la Royal Air Force avait conduit des tests secrets de création de la pluie. Des avions ont aspergé les nuages avec de l'iodure d'argent, sur laquelle des gouttelettes d'eau se formaient, devenaient plus lourdes et finalement tombaient au sol en pluie. Dans les 12 heures suivantes, il est tombé 23 cm d'eau - 250 fois la quantité normale pour le mois d'août - et 35 personnes ont été tuées.

    L'ancien membre du parlement du Devon du nord, Tony Speller, alors un soldat âgé de 22 ans qui a aidé les équipes de secours, a cherché des réponses du Ministère de la Défense.

    "Je n'ai aucun doute qu'ils ensemençaient dans cette région parce qu'il y a des registres de la RAF pour le prouver", dit il maintenant. "Bien sur le Ministère de la Défense a nié toute connaissance mais ça ne veut pas dire que ce n'est pas arrivé".

    Speller, maintenant âgé de 76 ans, ajoute: "je doute que nous saurons un jour la vérité".

    Les premiers travaux sur le contrôle du climat étaient rudimentaires et imprévisibles mais on prétend que les américains et les russes ont continuer à expérimenter derrière des portes closes même après le traité d'interdiction des Nations-Unies au milieu des années 80, et les deux possèdent maintenant des systèmes sophistiqués qui sont capables de contrôler le temps - avec des résultats potentiellement dévastateurs.

    Aux États-Unis, la technologie a été développée avec le programme HAARP - faisant partie à l'origine du système controversé de Guerre des Étoiles de Ronald Reagan. Basé à Gokoma, en Alaska, l'arme opère en transmettant de puissantes ondes radio dans la haute atmosphère pour altérer les tendances climatiques. Certains experts prétendent que le système est déjà prêt et en opération, alors que d'autres disent qu'il ne sera pas prêt avant encore 20 ans.

    Michel Chossudovsky, professeur d'économie à l'Université d'Ottawa au Canada, qui a étudié les documents militaires officiels au sujet de HAARP, n'a aucun doute que l'arme soit prête.


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