• Affaire Liliane Bettencourt

    Plusieurs personnes sont soupçonnées de conflits d'intérêts dans l'entourage de la milliardaire Liliane Bettencourt. Parmi eux, des professionnels de santé, ce qui inquiète Michel Legmann, le président du Conseil national de l'Ordre des médecins, rapporte le site Mediapart.

    Cette semaine, il a transmis une lettre à son antenne parisienne, lui demandant d'entendre les médecins cités dans l'affaire Bettencourt, «afin d'obtenir des éclaircissements». Irène Kahn-Bensaude, présidente de l'antenne, confirme : «On a des questions à leur poser». Avant d'ajouter: «Si on estime qu'ils ont violé le code de déontologie, alors on les mettra devant la juridiction ordinale.»

    Le rôle des médecins est essentiel dans l'affaire. La fille unique de la milliardaire, Françoise Meyers-Bettencourt, considère que sa mère n'a plus les capacités intellectuelles pour gérer sa fortune, et accuse François Marie-Banier, ami très proche de Liliane Bettencourt, d'en avoir profité pour obtenir d'importantes sommes d'argent. Reste à déterminer si, oui ou non, la milliardaire dispose de tous ses moyens intellectuels. Et c'est là que les médecins entrent en jeu.

    Le Professeur Gilles Brücker et son épouse Christine Katlama cités


    votre commentaire
  • Ruban violet pour dire Stop à Sarko


    Vous aussi, soutenez la campagne « ruban violet pour dire Stop à Sarko » et faites tourner ce message.

    Citoyennement,

    Eric la Blanche

     


    votre commentaire
  • Primii ţigani goniţi din Franţa au ajuns acasă: «Nici o săptămână nu stau în ţară!»

    20 August 2010 

    Încărcaţi cu genţi şi cu sacoşe, primii 75 de rromi, care au acceptat să părăsească Franţa pentru 300 de euro, au ajuns, ieri, în Bucureşti. Nici nu au aterizat bine, că au şi strigat în gura mare că se vor întoarce cât de curând “la muncă”.

    Țiganii au coborât din avion încărcaţi cu genţi şi cu puradeii agăţaţi de gât

    traduction :

    Titre: Les premiers rroms "expulses" de France sont arriveés en Roumanie :On ne reste même pas une semaine ici.


    3 commentaires
  • Psychanalyse de la politique française

    Marianne sur le divan...

    Elle l'est aussi sur Agoravox

    voir aussi : La symbolique du Père, l’autorité, l’Insulte et la Gifle

                          Les enfants, le désir et l’éducation

    marianne1.jpgIl y a tout juste 217 ans, les français ont tué le père un 21 Janvier, en exécutant Louis XVI, ils ont cru alors résoudre leur complexe d'Oedipe et se libérer d'une tutelle qu'ils estimaient beaucoup trop oppressante. Le roi était un tyran, le roi disposait d'un pouvoir absolu, disait-on et dit-on toujours, le pays croyait ainsi entrer dans sa puberté en somme. Bien sûr on omet toujours de préciser que loin de progresser tout seul vers plus de maturité démocratique, les français n'ont pas cessé de tenter de se redonner des pères ou des grands pères, des pères fouettards toujours et des grands pères bonhommes mais fermes avec de l'autorité. Le premier père de substitution fût Napoléon, qui fascina les foules surtout à cause de ses victoires militaires, le goût de la victoire, et de la conquête surtout ont toujours de l'effet sur le troupeau grégaire. Il fut pourtant un dictateur sans pareil, un vrai tyran sanguinaire pour de bon, mais certains célèbrent encore sa pseudo-légende. Il eut un petit neveu qui tenta de reprendre le flambeau un peu plus tard, mais finit lamentablement comme son grand-oncle. A l'un, on doit au moins le code civil, à l'autre une France un peu plus moderne, les deux récoltant les fruits des politiques menées avant eux.

    Les français continuaient cependant à se chercher un père, ils le firent jusqu'à la première Guerre Mondiale en se séparant un peu plus en deux camps, ceux qui voulaient un père le plus sévère possible, mais juste, ceux qui en voulaient un mais pour le tuer juste après. Il y eut le général Boulanger un court moment, qui se révéla un poltron sous des airs de matamore, il y eut Clémenceau qui pourtant, quand il était plus jeune était le plus acharné pour tuer tous les pères politiques possibles. C'est depuis cette époque que beaucoup se radicalisèrent contre un autre père qui leur semblait envahissant, le Pape, et une figure de mère caractéristique, l'Église, qui certes, ne fut pas toujours parfaite. Ils étaient comme des enfants turbulents rêvant d'être mis au pas, voulant tuer le Père et la Mère puis s'apercevant juste après que ça ne change rien à leur mal-être.

    effel.jpgComme les adolescents qui découvrent que leurs parents sont des êtres humains comme les autres et non des modèles de perfection, les français réagirent de même, ils rejetèrent leurs parents, exigeant d'eux qu'ils disparaissent ou bien qu'ils soient bien plus durs avec eux, ce qu'ils firent avec le Maréchal Pétain après la défaite de 1940, déculottée due surtout à la désorganisation bureaucratique de l'armée et à l'incompétence de quelques généraux, figures exemplaires d'adultes persistant à se prendre pour des pères alors qu'ils n'avaient pas la carrure. Bien sûr, une fois la guerre perdue par les allemands, les français, aussi versatiles que des ados mal dans leur peau rejetèrent le grand-père qu'ils s'étaient donnés pendant quatre ans pour les sermonner et leur imposer une discipline sans qu'ils aient à faire le moindre effort.

    Depuis 45, deux figures de père dominent contre vents et marées, De Gaulle et Mitterrand, De Gaulle de plus en plus, une figure de père d'autant plus facile et commode à idéaliser qu'il est mort depuis 41 ans, après avoir été rejeté lui aussi, mais cela ses adorateurs l'oublient. De Gaulle idéalisé, c'est le père courageux à la place des ses enfants, qui prend les décisions difficiles pour le bien de ses enfants et qui ne s'en laissent pas compter si on a des envies de révolte post-pubertaire comme en « Soissantuite ». Depuis « Soissantuite », justement, beaucoup pensent s'être définitivement débarrassés de tous les pères potentiels ce qui leur a laissé croire qu'ils pouvaient laisser libre cours à leurs pulsions infantiles, ils se sont alors jetés tous seuls dans les bras de beaux-parents sournois et pervers : Mao, Pol Pot, Che Guevara, Pinochet, et Milton Friedmann, entre autres beaux-pères indignes de la société libérale et consumériste. Et en 2010 en France, notre président actuel, qui est exactement comme si la France était une mère qui s'était mis en ménage la cinquantaine bien passée avec un gigolpince de vingt piges qui lui pique son fric pour se faire plaisir et en mettre plein la vue aux autres. Le bougre sait s'y prendre avec les français qui sont devant lui comme des gosses fascinés par un « m-as-tu-vu » habile pour plaire à tout le monde.

    source ici


    votre commentaire

  • Fouquet's connection 


    Nicolas Sarkozy n'a rien trouvé de mieux que de ressortir son vieux sketch surrané sur l'insécurité pour re-passer à la télé et tenter de sauver ce qu'il lui reste de crédibilité dans une fin de mandat délétère.

    Par A.Green

     


    Bozo_Zozo.jpgAu plus bas dans les sondages, frappé de plein de fouet par des affaires de gros sous et d'enveloppes, désemparé face à son bilan-spectacle sécuritaire jugé désastreux jusque dans ses propres rangs, le clown triste Nicolas Sarkozy n'a rien trouvé de mieux que de ressortir son vieux sketch surrané sur l'insécurité pour re-passer à la télé et tenter de sauver ce qu'il lui reste de crédibilité dans une fin de mandat délétère. Qui pue.

    Dans un discours grand-guignolesque prononcé vendredi à Grenoble, «le président du pouvoir d'achat » et du « Kärcher » a une nouvelle fois promis sans rire « un renforcement de l'arsenal répressif contre les délinquants », le huitième en huit ans, demandant que la nationalité française puisse « être retirée à toute personne d'origine étrangère qui aurait volontairement porté atteinte » à la vie d'un policier ou d'un gendarme.


    Mêmes sanctions pour la bande du Fouquet's ?


    Liliane_Bettencourt.jpgOn imagine que les familles de gendarmes morts n’attendaient que ça pour sabrer le champagne avant de mettre en terre leurs défunts, et que du coté des assassins on y regardera désormais à deux fois avant d'ouvrir le feu sur les forces de l'ordre. Quel dommage, vraiment, que cette idée saugrenue soit anticonstitutionnelle et inapplicable. Et, surtout, que le président soit aussi peu regardant sur les agissements des voleurs milliardaires du Fouquet's spécialistes de l'évasion fiscale.

    Mais puisque l'heure est à l'inflation d'annonces farfelus pour sauver ce qui peut encore l'être, autant prendre le taureau par les cornes en surpassant Nicolas Sarkozy dans la force de proposition baroque : « Que l’on retire la nationalité à toute personne d’origine étrangère (comme les hongrois de deuxième génération) qui auraient reçu des enveloppes d’argent liquide issues de l’évasion fiscale ».

    Pour éviter que
    la République ne pourrisse par le sommet.



    votre commentaire
  • Sarkobiz

    Article lié : Mais que sont devenus les Roms de Saint-Etienne?

     
    Nicolas Dupont-Aignan, député de l’Essonne et président de Debout la République était l’invité de RTL ce lundi matin. Il s’exprime sur les dernières déclarations de Nicolas Sarkozy.

    votre commentaire
  • Qui finance SOS Racisme ?

     Les comptes de l’association SOS Racisme pour l’exercice 2009 sont parus au Journal Officiel.
     
    Leur analyse montre une association recevant des subventions massives de la part d’administrations et de très gros donateurs, cependant que le montant des adhésions plafonne modestement à 18 669 euros. 
     
    Le total des dons, adhésions et subventions pour 2009 s’élève à 904 596 euros.
     

    Le montant des subventions publiques est assez impressionnant. Ajouté aux subventions de collectivités territoriales et à quelques très gros dons privés, il dresse le portrait d’une association bien en cour auprès des grands de ce monde, mais pauvre en ressources venant des adhérents de base.

    L’Etat paie plusieurs fois : d’abord 80 000 euros au titre du Ministère de l’Education nationale.

    Le ministère de la Jeunesse et des sports offre 46 000 euros directement, auxquels il faut ajouter 30 000 euros versés par l’intermédiaire du Conseil de développement de la vie associative (CDVA), un machin qui dépend de lui.

    On ajoutera 348 000 euros (mazette ! ) d’un établissement public nommé Fond d’aide et de soutien pour l’intégration et la lutte contre les discriminations, alias Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances.

    Passons maintenant aux collectivités locales : la mairie de Paris offre 40 000 euros et le Conseil régional d’Ile de France 35 000

    Le privé n’est pas en reste  : Pierre Bergé, nouveau propriétaire de Monde donne 100 000  euros.

    La Ford Foundation , célèbre organisation américaine offre 72 724 euros. Dans un article paru dans Cairn info, Ludovic Tournès qualifie cette organisation d’organe de diplomatie culturelle des Etats-Unis. Le réseau Voltaire parle, plus brutalement, de paravent philanthropique de la CIA, rôle qu’elle joua assez directement durant la guerre froide, puis plus subtilement ensuite, développant la notion de soft power.

    par Catherine Segurane lundi 2 août 2010


    votre commentaire
  • Paul Ariès : politologue

     



     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Les milliardaires vous remercient

    Les 1000 milliardaires recensés sur cette planète vous remercient pour votre formidable aptitude à les enrichir quotidiennement, en privilégiant leurs produits manufacturés des clopinettes aux milliards esclaves soupe payée des pays sous développés, et que vous achetez cent fois plus cher chez vos commerçants locaux. Les 500 grandes multinationales qui contrôlent 52% du produit social et détiennent davantage que les 133 pays les plus misérables, sont ravis que vous vous précipitiez dans nos grandes surfaces tueuses de petits commerces, car cela profite encore à nos banques. Celles-ci peuvent donc ainsi racheter avec les intérêts de vos emprunts les faillites de vos centre villes, pour qu’ils puissent y installer leurs robots distributeurs inhumains mais bien plus rentables, puisque ne payant pas d’impôts.

     

    Les 358 familles les plus riches qui possèdent la moitié de la fortune mondiale se régalent à l’idée qu’en achetant plutôt chez eux, vous vous gaussez de paraître plus riches que vous n’êtes, et apprécient nettement la pub pour leurs nom désormais célèbres. Elles se réjouissent que vous les payiez très cher et que vous ayez la gentillesse de bien vouloir les porter en circulant en ville, afin que tout votre petit monde les voient, les envient, et ainsi les achètent à leur tour. Merci de participer à favoriser leurs commerces et leurs modes très vite obsolètes, mais aussi rapidement renouvelées.

    Les milliardaires du monde entier et leur cohorte des plus belles filles du monde qui font la queue devant leurs néons fluorescents, remercient également vos armées de bien vouloir, aux frais de vos peuples de fourmis ouvrières contribuables, faire respecter l’ordre dans les couloirs que franchissent nos yacht en acajou pour pouvoir en paix rejoindre nos nombreux paradis fiscaux. Ces endroits magiques qui ne figurent pas sur google, puisque de petites mains habiles les cachent via photoshop sous des forêts vierges ou des nuages, nous y vivons nus tous ensemble, en pensant à vous. Nous y tournons même régulièrement les films que vous vous appliquez à aller voir goulument sur le net, auxquels vous vous abonnez consciencieusement, et que nous vous remercions encore une fois de bien vouloir payer au prix fort. Ceci nous finance largement notre manège et nous encourage à continuer encore longtemps, puisque c’est à vous que nous devons de nous gaver quotidiennement de caviar, de Champagne, de truffes y compris celle des filles, et donc avec ces ribambelles, de sexe.

    Nous tenons à remercier particulièrement les plus abrutis d’entre vous, qui, bien que premières victimes de notre désopilante escroquerie, continuent avec une touchante candeur à défendre avec zèle nos solides intérêts. Continuez donc bien sagement à vous en prendre aux fonctionnaires feignants, aux cloportes gauchistes et aux grévistes preneurs d’otage et autre salaud comme Chavez. Pendant que l’on fait assassiner peinard les journalistes quotidiens au Honduras et les syndicalistes tout frais du jour en Colombie dans la plus exquise des confidentialités, rien ne se sait et tout se poursuit. Ainsi, personne n’ose imaginer comment dans le silence le plus effroyable, nous pouvons continuer d’exploiter confortablement et à notre profit la cocaïne qui nous enrichit comme rien d’autre. Merci également de nous laisser exploiter les dernières ressources planétaires tout en salopant la chose avec une certaine désinvolture, et surtout parce que vous allez les payer au bout de la chaine de distribution, avec le supplément que représente l’horrible problème posé par vos déchets qui débordent dans vos poubelles et infesteront vos vies et celles de vos générations futures.

    Merci encore, de soutenir les contre-réformes consistant à vous déposséder (au nom de la compétitivité ) de vos derniers droits sociaux, à nous aider à éradiquer enfin l’éducation, la culture et toutes formes de connaissances, aiguisant un tant soi peu votre lamentable esprit critique, et même de revendiquer avec un charmant enthousiasme le travail dominical comme liberté supplémentaire. Merci encore une fois d’avoir cautionné l’élection de votre actuelle marionnette au pouvoir et son programme tentant à falsifier votre organe de la justice, afin que celle-ci n’atteigne plus jamais le sommet de la pyramide que nous représentons ni son cortège d’affaires juteuses, et dont les gigantesques profits nous aideront immanquablement à nous y maintenir définitivement.

    Merci de bien continuer à faire taire les esprits critique et sensés qui essayent tous les jours de vous ouvrir les yeux sur notre funeste système, de les piétiner vulgairement, de les traiter de tous les noms devant l’assemblée des mécréants qui vous écoutent et vous imitent sans réfléchir. Merci de continuer à jeter l’opprobre sur les minorités telles que les Roms, les arabes, les catholiques, les musulmans, les jeunes, les Talibans, les soixantehuitards, les marginaux enclavés, les poètes romantiques, les communistes, les socialistes, les défenseurs de la nature, les militants courageux mais seuls contre tous, et de prendre ainsi les gants de notre magnifique campagne de cassage et de saccage de toute opposition à notre nouvel ordre mondial universel et au dessus de toutes les lois savamment concoctée dans nos écoles inabordables et auto proclamées d’utilité publiques. Merci d’être si aveugles, mais tampon bien utile pour que progresse indéfiniment notre Bulle Dozer social.

    Merci surtout de dépenser votre énergie à vous dévorer entre vous, à vous défouler consciencieusement sur du bouc émissaire à forte teneur appauvrie, car sans cela, je dois bien vous l’avouer, à 1000 contre 6 milliards, on aurait quand même un peu de mal à garder nos distances.

    Tant d’aveuglement nous semble presque émouvant…merci encore !

    " Bien sur que nous sommes en pleine lutte des classes, mais c’est ma classe, la classe des riches, qui fait la guerre, et c’est nous qui gagnons " Warren Buffet - 2006 - spéculateur milliardaire

     

    Vaccination-globale-et-capitale

    Les milliardaires sont des gens passionnés

    Mais la conscience les travaillent

     

    Documents joints à cet article

     Les milliardaires vous remercient

    par Lisa SION 2 mercredi 28 juillet 2010


    1 commentaire
  • L'Histoire secrète de l'Oréal :

    Article sur réseau Voltaire :

    Histoire secrète de l'Oréal

     

    video :


    votre commentaire
  • Front National : faut-il craindre un tsunami en 2012 ?

    "On sait que le fonctionnement de cette République pure et dure, c’est celui d’une véritable mafia, mais avec la bonne conscience, puisqu’ils le font tous, sauf le Front National", à déclaré Jean Marie Le Pen, sur le site du parti d’extrême droite.

    On s’étonnait de ne pas avoir entendu la voix tonitruante du leader frontiste dans cette affaire, alors qu’a peu près tout le gratin politique s’était exprimé sur le sujet.<o:p></o:p>

    Ce n’est pas que l’homme à l’œil de verre n’avait rien dit, c’est qu’aucun média ne l’avait relayé. On lui avait tout simplement débranché le micro !<o:p></o:p>

    A cela s’ajoute, deux dépêches AFP tombées dans le vide, dans lesquels Marine Le Pen, donne pourtant un avis plein de bons sens sur la question, avis qui correspond sans doute à celui de nombreux Français. Aucun média mainstream cependant pour relayer le propos qui du coup prend des allures d’information clandestines qu’on se fait passer sous le manteau. Sûrement encore cette idée que tant qu’on ne parle pas du Front National, il n’existe pas. Et certainement aussi la peur de la majorité au pouvoir, parce que les paroles en question, font mouche.<o:p></o:p>

    L’UMP fustige le parti socialiste de faire le jeu de l’extrême droite en appuyant là ou ça fait mal, en l’occurrence, sur l’affaire Bettencourt, qui n’est en quelques sorte que le bouton purulent d’une république déliquescente, privatisée par les patrons du CAC 40.<o:p></o:p>

    Mais si le Parti Socialiste assumait ses responsabilités en s’exprimant à la mesure de l’indignation populaire légitime , il irait sûrement couper l’herbe sous le pied du Parti d’extrême droite.<o:p></o:p>

    Il ne faudra donc pas s’étonner, si l’opposition ne prend pas la mesure de cette indignation, que les prédictions concernant le tsunami de 2012 se réalisent, à ceci prêt que celui ci ne se matérialisera pas par un mur d’eau salée, mais par une vague géante de bulletins de votes en faveur du parti tant redouté.<o:p></o:p>

    Ce que certains ont immédiatement appelé le Woerthgate, risque en effet de se solder par une véritable marée noire pour les deux partis majoritaires.

    <o:p></o:p>Pour la droite engluée dans les affaires, et principalement parce qu’elle continue à se rassurer dans le choix du mensonge, bercée par ses propres illusions et utilisant la justice comme un jet privé.

    Pour la Gauche parce que son silence est étrangement coupable, comme si, elle savait très bien au fond ce qu’était une enveloppe en Kraft, et que ce n’était pas très fair-play d’exploiter le filon.

    <o:p></o:p>En prenant des airs de statut quo, dans un jeu de dupe entre les deux partis majoritaires, ce que l’on appellera bientôt unanimement l’affaire Bettencourt risque de faire l’affaire de la petite bête qui court…qui court…<o:p></o:p>

    Les responsables ? Ils ne sont pas simplement à l’UMP, mais ce sont l’ensemble des médias trop complaisants, des institutions corrompues, des intellectuels silencieux, des parlementaires bien sûr, qui ont votés ces lois érigeant l’impunité en principe pour nos dirigeants. Et enfin des magistrats, qui se couvrent de leurs hermines pour cacher le pouvoir et l’honneur qu’ils ont abandonné.

    "Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui le regardent sans rien faire" disait Albert Einstein. 

    Sans forcément vouloir renouer avec l’époque de Robespierre et de Saint Just, On peut se demander où sont néanmoins nos Voltaire et nos Montesquieu, Les Paul Valery et les Albert Camus...

    Au lieu de ceux là, nous avons BHL et Houellebecq ! Sans parler du talent, dont le second fait preuve contrairement au premier qui en est dépourvu, peut on attendre de ces "ennemis publics" pour reprendre le titre dont ils s’affublent eux même pour vendre leurs livres, qu’ils s’expriment, qu’ils émettent la moindre remarque au risque de compromettre leur succès ? 

    Non, surement pas. Mais n’oublions pas que la guerre est la somme des combats que nous ne menons pas. Et si personne n’ose aujourd’hui mener ces combats, il y a fort à parier qu’un matin nous nous réveillerons avec une révolte. Une révolte que dis je, une révolution.

    Cela dit, un gouvernement se renverse, mais quid d’une mafia aux airs de pieuvre, qui a glissée ses tentacules dans tous les interstices de la République ? 

    par emmanuelGiordano mardi 13 juillet 2010 sur Agoravox


    votre commentaire
  • Incohérence économique et double pensée

    Le chef de l’Etat a parlé à la télé, l’autre soir. Il parlait de justice, d’honnêteté, de vérité, et se complaisait à évoluer à travers des valeurs dont les concepts sont tout de même assez relatifs. Et parallèlement à ce discours de façade, il développait cependant une argumentation économique pour appuyer les actions menées et à venir, à travers un pragmatisme dont l’incohérence invalide les valeurs dont il se targuait d’être le défenseur.

    Il faut avouer tout d’abord que la force des politiques réside avant tout dans leur langage, et que les peuples ne sont ni formés ni volontaires pour être en capacité de comprendre tous les enjeux du système, c’est à dire le fonctionnement du capitalisme, avec toutes les conséquences que cela entraîne. On ne peut donc reprocher au peuple, dont ce n’est pas le travail, de ne s’intéresser que de loin aux affaires de gouvernement, car le principe même de gouvernement implique le transfert du pouvoir démocratique à un petit groupe dont l’élection est censée être le résultat objectif de la reconnaissance de ses compétences. En d’autres termes, le peuple se dessaisit de la direction des affaires au profit d’hommes et de femmes dont le travail est de les diriger. Le peuple n’étant pas expert de la chose publique, il est naturel que ces « spécialistes » de la direction des hommes s’expriment à travers un langage aisément compréhensible par le plus grand nombre : comme des vulgarisateurs, des transmetteurs de la majorité qui les a élu, leur rôle est d’expliquer en quoi les réformes adoptées, les actions menées, vont dans le sens de l’intérêt général, qui est le suprême bien recherché par la démocratie.

    Seulement aujourd’hui, le système mondialisé, celui qui contraint les peuples et les Etats, est exclusivement dominé par l’individualisme et la satisfaction de l’intérêt privé. Comme je l’ai déjà dit ailleurs (voir “de la nécessité du complot“), cet intérêt est donc nécessairement contraire à l’intérêt général, et doit être caché au peuple, qui doit continuer à croire en son pouvoir tout en s’en croyant indigne.

    Ainsi commence la double pensée, exprimée par le double langage : l’objectif des gouvernants s’étant transformé, passant de l’intérêt général à l’intérêt particulier, et ne pouvant pas avouer au peuple ce changement de cap, il faut aux politiques redoubler d’ingéniosité pour continuer à expliquer que les mesures proposées sont bonnes pour le peuple, alors qu’en réalité elles lui nuisent. C’est ainsi que le discours dispensé au peuple est rempli de concepts, de valeurs, de morale, car seule la relativité de ces concepts permet aux politiques de s’en sortir : là où la mathématique ne peut tricher, le langage a le pouvoir de travestir la réalité pour la remplacer par la vérité, car l’homme à qui on n’a pas appris que la vérité n’est tout simplement qu’une opinion majoritaire tend à croire qu’elle est absolue.

    En se cachant derrière ces concepts, nos politiques peuvent donc en toute « honnêteté » parler de « justice », car ces deux valeurs sont toutes aussi relatives que la vérité : la justice étant l’émanation de la Loi, et les lois étant votées par et pour « le peuple » (selon l’illusion démocratique de l’intérêt général), alors une loi injuste peut devenir « juste » du point de vue juridique. Qu’elle soit réellement juste ou non n’importe que peu, car la Loi est une force contraignante. Et il devient alors honnête pour un homme politique de se référer à la loi pour agir dans les limites qu’elle impose, et cela même si la loi est injuste d’un point de vue social.

    Ainsi, le président peut légitimement se servir de ces concepts pour étayer son argumentation : dans le système capitaliste, dont le principal objectif est la satisfaction de l’intérêt particulier, il est juste de favoriser les riches et honnête de l’assumer, car la vérité est que seuls les plus « aptes » à la réussite économique « méritent » l’ascension sociale. En détournant ainsi le sens de la démocratie, il devient donc possible, avec les mêmes mots, de faire le contraire de ce que l’on dit, en accord avec ce que l’on pense sans le dire.

    Ce tour de passe-passe, théorisé par le concept de « double-pensée », est également à mettre en perspective avec les arguments économiques rapidement évoqués par le président. Car bien entendu, la réalité finit toujours par rattraper la vérité, et les beaux concepts, les belles paroles ne suffisent pas à remplir le frigo de ceux qui les écoutent. Il leur faut des chiffres, des explications sur le décalage flagrant existant entre les promesses successives d’augmentation du pouvoir d’achat et sa réelle et continuelle baisse. Le mensonge, l’interprétation des chiffres, le contexte international peuvent parfois être utiles, mais ne suffisent pas toujours pour endormir les « veilleurs » du quatrième pouvoir, avec leur clique d’experts et d’analystes toujours aux aguets, et qui ont la mauvaise habitude de servir d’informateurs aux contestataires de tous poils.

    Mais le véritable problème avec les chiffres, c’est que la théorie ne correspond pas à la réalité : la somme des intérêts particuliers ne favorise pas l’intérêt général, et ce pour des raisons que j’ai déjà expliquées ailleurs (voir “la rationalisation de l’individu“). Sachant cela mieux que moi, il devient somme toute assez difficile aux économistes (et même au président) d’expliquer au peuple le paradoxe suivant : le système fonctionne très bien, mais la crise (créée par le système) met en péril le système. En d’autres termes, il fonctionne très bien pour nous et pas pour vous, mais c’est à cause de vous !

    Et c’est comme cela qu’on arrive à une aberration économique comme celle que nous a offert notre président, et que j’ai déjà entendu maintes fois dans d’autres bouches : le traditionnel et révoltant slogan concernant la relation emploi-consommation-croissance-investissement.

    En effet, à propos de la baisse des charges pour les entreprises, le président indique qu’une augmentation d’impôts incite les entreprises à délocaliser, c’est à dire à licencier, c’est à dire moins de consommation…moins de croissance.
    Ensuite, et à propos des fonctionnaires, le même président défend cette fois les deniers publics, en estimant que le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux est inévitable pour faire des économies… comme si, d’un coup de baguette magique, la baisse de consommation due aux licenciements des fonctionnaires n’allait pas ralentir la croissance mais « assainir » les finances de l’Etat. Comment est-ce possible ? Alors que toute la théorie économique est basée sur l’investissement (qui est censé créer de l’emploi et donc de la consommation), en réalité les faits expriment tout à fait le contraire : un cadeau de plus pour les entreprises (sans augmentation de salaire ni embauche) d’une part, et une dette moins grande pour les Etats au bord du gouffre de l’autre. Conclusion de l’affaire, rien de bon pour les salariés, et un avenir pour eux loin d’être radieux. En échange, de plus grands profits pour les entreprises, et l’augmentation, à terme (car moins d’emplois c’est moins de consommation et à terme moins de croissance…) du déficit public.

    Finalement, le président ne nous aura pas menti, et on devrait le remercier. Si le but du capitalisme était réellement la satisfaction de l’intérêt général, l’investissement serait la seule politique à mener. Mais si on l’écoute bien, on comprendra rapidement comment tout cela va réellement se terminer : après s’en être mis plein les poches et après avoir ruiné les peuples, nos gouvernants nous acculerons à faire un choix décisif. Et alors même qu’ils ne pourront plus nous cacher le double-jeu qu’ils mènent, ils nous proposerons l’alternative suivante : la gouvernance mondiale pour nous sortir d’une démocratie déviée, ou la guerre pour remettre le capitalisme en place. Mais il se peut que la réponse ne les intéresse pas, car dans un cas comme dans l’autre, une chose aura bel et bien disparu, la liberté. Pour que nous n’ayons plus la possibilité d’avoir le choix.

     

    Caleb Irri

    http://calebirri.unblog.fr


    votre commentaire
  • La République défigurée : Le stade ultime de la corruption

    La République Finky

    Entretien vidéo de S. Tessier d’ANTICOR

    Le conflit d’intérêts banalisé de la République
    Le gouvernement qui sert des intérêts autres que l’intérêt général.
    Rappel de la gestion sanitaire de la grippe H1N1 par R. Bachelot. Un cas d’école de conflit d’intérêts.
    Fraude fiscale et le ministre du Budget E. Woerth dans l’affaire Bettencourt.
    La loi sur les jeux en ligne qui favorisent les amis du pouvoir en place.
    Un gouvernement qui s’est désarmé face à la fraude fiscale.
     
    .
    Environnement légal et politique propice aux conflits d’intérêts
    Le gouvernement met en place un cadre légal qui pourrait amener la France au niveau de la Russie.
    Quel est le seuil de tolérance de la population à la corruption ? Quel impact sur le vote ?
    Une société de la débrouille, et le développement de l’économie parallèle.
     
    .
    La société de la corruption
    L’idée de bien public a cédé la place à la société de marché où tout est monnayable. Une société primaire dont les relations s’exercent de dominants à dominés.
    Retour sur le prisme médiatique de la corruption qui pointe souvent les corrompus et peu les corrupteurs.
     
    .
    Le cumul des mandats qui pose un réel problème démocratique. Une approche éthique de l’élu.
     
     
     
     
     
    .

    votre commentaire
  • Yvan Colonna sera rejugé.

    La Cour de cassation a cassé, mercredi, dans toutes ses dispositions l'arrêt de la cour d'assises spéciale de Paris ayant condamné le berger de Cargèse à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une période de 22 de sûreté pour l'assassinat du préfet Claude Érignac, le 6 février 1998, à Ajaccio. Yvan Colonna devra être rejugé par la cour d'assises de Paris, autrement composée de magistrats spécialisés, comme c'est l'usage en matière de terrorisme.


    votre commentaire
  • La France vermoulue

    Que de bien jolis mots. Pardon ! de bien jolis éléments de langage à donner en exemple à une jeunesse qui se cherche et qui voit mal son avenir dans un monde dominé par les égos portant Rolex au poignet, bling-bling de partout, instruits ou pas, mais dont l’intelligence, la moralité, l’élégance, la classe... se sont écriées à leur naissance : courage fuyons !
     
    Pendant que la crise bat son plein, que le chômage est à 10 %, que le nombre de pauvres augmente, que la réforme des retraites va encore faire payer les salariés du privé… notre pays continue sa plongée en arrière, au temps des privilèges. Un haut fonctionnaire se fait payer ses cigares par le contribuable. L’autre loge dans son appartement de fonction sa famille et quelques proches parents. L’autre loue un avion privé pour un aller / retour en Martinique à 129 000 euros. Plus risible encore est la secrétaire d’Etat qui critique des chambres payées 650 euros par la FIFA aux footballeurs français alors qu’elle, réserve une suite à 700 euros la nuit. Et que dire de nos parlementaires qui bénéficient d’une retraite à taux plein, 6 000 euros nets par mois, après avoir travaillé seulement 20 ans, alléguant le poids de l’histoire et le fait qu’ils ont à faire des CDD successifs. Les malheureux ! Ils oublient que les vrais CDD aimeraient bien avoir leur retraite à taux plein après seulement 20 ans de cotisations.
     
    Quel exemple pour celui qui ne peut pas payer ses quelques cigarettes quotidiennes ?
     
    Quel exemple pour le maçon qui travaille depuis l’âge de 17 ans et qui devra demain travailler jusqu’à 62 ans à moins que le médecin lui reconnaisse une invalidité de 20 % due à la pénibilité de son travail. Ah, s’il avait eu la chance d’avoir le pénible travail de s’asseoir sur un siège du Parlement, d’être danseur à l’Opéra (retraite à 40 ans), d’être gardien de la paix ou douanier (retraite à 52 ans), etc., il trouverait sûrement la réforme des retraites plus juste. 
     
    Quel exemple de justice l’Etat peut bien vouloir donner à une jeunesse en perte de repères ?
     
    La France part à vau-l’eau. Socrate où es-tu, l’argent les a rendus immoraux !
     
    Et puis que dire du Chef de l’Etat qui n’approuve pas, depuis l’étranger mais encore devant moult caméras, les propos du footballeur Anelka alors que lui-même avait voulu passer ses collègues au kärcher et les a défier sur la dalle d’Argenteuil, en région parisienne. Sans parler du fait que certains d’entre-nous, français d’origine ou pas, sont aussi traités de sales cons !
     
    Comment choisir le droit chemin si le mauvais exemple vient d’en haut ?
     
    Comment une telle ambiance, pleine de grossièretés, d’insultes et d’abus de toute sorte, peut-elle se terminer ?
     
    Comment ne pas craindre demain à une nouvelle explosion comme la France l’a connue en 2005 ?
     
    Tous les ingrédients semblent disponibles. Plus personne ne respecte personne. Tout le monde peut insulter tout le monde. Des hauts fonctionnaires se conduisent comme des voyous ou des crèves la faim, mendiant cigares ou quelques mètres carrés ici ou là, comme pour pouvoir subsister sans avoir à toucher à leur paie de quelques 13 ou 15 000 euros mensuels, voire plus s’ils cumulent leur retraite et leur indemnité d’élu départemental ou régional.
     
    Mais je suis peut-être vieux jeu. Cela est peut-être normal de nos jours d’agir de la sorte !
     
    C’est peut-être comme cela qu’il faut construire la France de demain, par l’insulte, le mensonge et la cupidité, notamment.
     
    Si c’est cela la méthode que les nombreux consultants de nos gouvernants leur préconisent, alors ils ne sont pas payés pour rien. Leur concept passe effectivement aisément au stage de la réalité !
     
    Photo wikipédia : le buste d’Aristote, le père de la philosophe morale.

    par j-p. bédol lundi 21 juin 2010


    votre commentaire
  • Spécialiste cherche mission rémunérée pour rédaction de Rapport, salaire supérieur au S.M.I.C

    Cadre supérieur exile involontaire pour cause de chômage chronique et payant régulièrement ses impôts, reconnu a l’international après avoir été réduit à la mendicité et au surendettement en France, accepterait toute mission de la part du Président de la République ou du Gouvernement en rapport avec ses compétences et permettant d’alléger la charge de travail d’un ministre ou d’un député.

    Madame ou Monsieur, c’est avec un vif intérêt que j’ai pris connaissance de la disponibilité actuelle de missions correctement rémunérées et nécessitant des compétences avérées, qui malheureusement ne trouvent pas preneurs en dehors des proches du gouvernement et de l’Elysée pour des raisons qui ne sont pas indiquées dans l’information disponibles. Je souhaiterais attirer votre attention sur mon profil et sur celui de quelques amis qui sont actuellement dans la même recherche et présente des compétences tout a fait adaptées a vos besoins cruciaux de rapports et de missions de qualité.
     
    En ce qui me concerne, ayant été cinq ans Chef du Service Politique de l’hebdomadaire Tribune Juive puis créateur et Corédacteur en Chef de La Lettre Economique Palestinienne avec l’Agence de presse palestinienne WAFA jusqu’à la destruction du processus de paix par M. Netanyahou, j’ai acquis une bonne expertise des communautarismes ainsi qu’une connaissance du terrain dans des conditions de conflit extrêmement difficiles. Biographe de François Mitterrand sous la conduite de Jean Lacouture et auteur pour plusieurs personnalités politiques, je possède une excellente connaissance du régime de la Ve république et en particulier de la période 1978-2002. Je me suis spécialisé a partir de 1999 dans le web journalisme pour devenir en 1999 Rédacteur en Chef de l’agence de presse Infonie Media, premier producteur français indépendant de contenu journalistique écrit et audiovisuel sur Internet, et créateur du premier forum politique dominical en direct sur Internet avec RMC Infos et Le Point. Diplôme d’un Bachelor Degree de l’Université du Connecticut (Liberal Arts and Communication), je me suis exilé aux Etats-Unis après avoir été prié par l’Agence National Pour l’Emploi de trouver « un vrai métier » et refusé un stage non rémunéré dans les « métiers de bouche » (dont il ne m’a jamais été bien indiqué la nature), et avoir été privé d’allocations Assedic pour avoir refusé une rémunération « au black » de la part d’un ancien ministre et donc n’avoir pas pu cotiser. Je n’ai pu par ailleurs rester plus de 15 jours au sein de l’agence Euro-RSCG après mon embauche directe par Jacques Séguéla, en raison de mon embauche imposée à mon directeur qui a prétendu ne pas accepter que je fasse état de mon nouveau poste dans mon blog d’alors et m’a congédié sur le champ. Mon salaire n’a jamais dépassé 2500 Euros au maximum en France. Toutefois, mes compétences ont été immédiatement identifiées et reconnues a New York en 2007 et ma progression de salaire a été de 110% en quatre ans. Je suis désormais à la tête d’un réseau de 61 collaborateurs dans 55 pays. Je ne puis hélas rentrer dans mon pays, mes candidatures n’étant pas suivies d’effet ou les propositions ne me permettant pas de m’établir à moins de 90 kilomètres des lieux d’exercice, or, je ne conduis pas.
     
    A l’appui de ma candidature, j’ajoute que je compatis face à la terrible charge de travail qui pèse de nos jours sur les ministres de la République et sur les mandataires du pouvoir législatif, mais également sur de nombreux hauts fonctionnaires. Souvent requis pour des taches que leur emploi du temps incompressible les oblige, bien malgré eux, a déléguer a des conseillers et transforme leurs déplacements en parcours du combattant, en les contraignant à se soumettre a la nécessité d’un chauffeur et de parfois même de gardes du corps, ceux-ci subissent une pression qui est une grande source de stress. A l’heure ou la pénibilité du travail fait enfin l’objet d’une prise de conscience, j’estime que mon apport peut être utile pour soulager toute situation du ressort de mes compétences afin d’apaiser le stress, première source de maladie, de l’un ou d’une chargée de ce type de mission requérant une pleine attention.
     
    Mes prétentions salariales se situent en rapport avec mon degré d’expertise, mes diplômes, mon expérience journalistique, technique et littéraire ainsi que mon âge (41 ans), c’est-à-dire, en fonction des critères actuels en vigueur dans mon pays d’origine, a un niveau supérieur au S.M.I.C. et sous forme d’un contrat officiel sans contrepartie dissimulée.
     
    Puis-je me permettre, en conclusion, de vous recommander par la même occasion quelques amis en quête de missions, dont vous trouverez les coordonnées dans l’annuaire des 210 000 chercheurs et ingénieurs de France, dont la prétention salariale se situe au moins a égalité avec leur salaire actuel, soit de 1200 a 3000 Euros par mois en fonction de l’âge et de l’ancienneté. Puis-je également vous recommander chaudement quelques candidatures émanant de 8 millions de personnes vivant cette année en France sous le seuil de pauvreté de 908 Euros, dont beaucoup sont des spécialistes des problématiques complexes de paupérisation, d’effets de la mondialisation et des aspects de l’iniquité.
     
    Néanmoins, j’ai bien conscience de l’extrême difficulté actuelle de trouver les moyens, tant dans le public que dans le prive, pour rémunérer ces nombreuses missions confiées a longueur d’année aux collaborateurs de la République. C’est donc avec regret que je vous prie de ne pas tenir compte de la présente candidature, laquelle risquerait de priver l’un de ces collaborateurs ou de l’une de ces collaboratrices d’un précieux revenu, ce qui n’irait pas dans le sens de la justice sociale bien entendu. Je reste néanmoins disponible pour revenir dans mon pays dans le cas ou celui-ci aurait le désir ou le besoin qu’un Français y exerce son savoir et contribue a sa construction.
     
    Bien sincèrement.

    par Stephane Trano lundi 14 juin 2010


    votre commentaire
  • Les affabulsificateurs

    L’Histoire est écrite par les vainqueurs alors que ce sont les vaincus qui la font.

    Dans la lumière, exactementLe relativisme historique est une petite chose qui trotte avec une belle constance dans un recoin de mes pensées. Je me suis souvent posé la question éminemment épineuse de savoir qui des deux fait l’autre, entre l’Histoire et le personnage historique. Questionnement récurent et important parce que l’Histoire éclaire notre présent, construit la grille à travers laquelle nous allons tenter de canaliser le flux des événements contemporains. Et c’est à travers cette connaissance que nous pouvons étayer de nouvelles utopies, construire des lendemains plus rieurs, inventer d’autres mondes, d’autres sociétés, d’autres manières de vivre ensemble, dans le sens le plus strictement arendtien qui soit.

    Faut-il concentrer nos efforts sur le personnage tristement historique et le bouter hors de nos vies à coups de pieds dans le fondement ? Ou Sarko n’est-il que la sécrétion inévitable et interchangeable d’un monde qui pourrit de l’intérieur ? Auquel cas, il ne sert à rien de s’acharner sur la muleta humaine complaisamment mise à notre disposition, puisqu’il suffirait de couper cette tête-là pour qu’une autre, tout aussi déliquescente, repousse aussitôt.

    Ce qui frappe le plus l’observateur éclairé d’un monde frénétique qui sombre de plus en plus profondément dans une anomie incommensurable, c’est l’absence criante et indépassable de toute proposition alternative, de tout projet de société nouveau, de toute mécanique sociale sur laquelle pourraient embrayer l’espoir et l’enthousiasme des foules. Cette pauvreté utopique dans un monde totalement soumis à un déversement continu et gigantesque d’informations diverses et variées devrait être le plus grand sujet d’étonnement de notre temps.
    Comment se fait-il que de tous ces chocs de la pensée, de tous ces flux de communication ne surgissent pas la moindre petite étincelle de lumière ? Comme expliquer que la masse énorme de tous ceux qui subissent et rejettent intrinsèquement l’ordre établi actuel, que ce métapeuple dont la croissance n’a d’égale que l’intense frustration, que de tout cela ne naissent que quelques voix contestataires, quelques critiques éparses, des cris de poussins dans un chaos de souffrances et de colères ?
    Où sont les rêveurs de monde, les accoucheurs de lendemains, les bâtisseurs de civilisations ?

    Noyés dans le flux ? Ou étouffés dans l’œuf par une pensée totalitaire à l’échelle de notre planète ?

    L’Histoire est effectivement l’héritage des vainqueurs, les autres sont oubliés, niés, dissous. Mais aujourd’hui, la chronique du temps de l’humanité est rédigée en temps réel. Et aujourd’hui, comme hier, à l’intérieur même des peuples, ce sont les gagnants qui tiennent le stylo, les accapareurs qui disposent des porte-voix suffisant pour pondre leur version des faits avant même que l’historien ne s’empare des sources, ils sont les sources, ils révisent les faits à leur convenance et en temps réel.

    L’Histoire n’est même plus le fait des vainqueurs, elle est devenue elle-même l’arme de domination des masses, l’ultime propagande déshumanisante, sans recul, sans preuve, sans doute ni critique, c’est son instantanéité et son ubiquité qui nous interdisent tout questionnement nouveau, toute contestation, toute projection hors de ses cadres aliénants.

    Dans le monde de l’information permanente et omniprésente, être un libre penseur, c’est s’extraire du flux, c’est interroger le silence. Et c’est seulement à cette condition, c’est-à-dire en nous réappropriant l’information, de sa production jusqu’à son interprétation, en nous soumettant à la nécessaire temporisation de l’exercice de la pensée critique, que nous parviendrons enfin à réinventer le futur.
     

    par Monolecte (son site) lundi 17 mai 2010


    votre commentaire
  • Vuvuzela sociale

    articles liés : Le jackpot de la retraite des parlementaires

                            Conseil Webrunner : allez vous acheter des tubes de vaseline

     

    Sa Minusté est vraiment trop bonne : elle ne vient de nous voler que deux années de vie supplémentaires !

    OubliéeEt voilà, la messe est dite : faudra se crever le cul deux ans de plus pour garnir les poches des exploiteurs... enfin, ça, c’est la théorie. Parce qu’en pratique, faudra surtout gratter deux ans de plus à la porte de Paul Emploi, demander l’aumône de quelques miettes de sale boulot pour une poignée de cacahouètes de plus tout en se faisant fliquer, rabrouer, montrer du doigt. Deux ans de plus à ramer, deux ans de plus à trimer, à subir, à s’user, surtout. Et tout ça pour quoi ? Pour une retraite tellement misérable qu’il faudra probablement la cumuler avec un boulot d’étudiant rien que pour pouvoir payer le loyer ou prier pour qu’une grosse vilaine incapacité physique vous sorte définitivement du circuit de l’angoisse et de l’exploitation.

    C’est ça que vous voulez ?
    Non, mais, franchement, c’est ça que vous voulez ?
    C’est pour ça que vous vous levez tous les matins ?
    C’est pour ça que vous élevez des gosses ?
    C’est ça la société dans laquelle vous voulez vivre ?
    Et c’est ça que vous comptez léguer à vos enfants ?
    Une vie de labeur, de pauvreté, de peur, avec le tombeau ou le grabat comme seule échappatoire ?
    C’est pour ça que vous avez vécu ?

    Vous n’avez pas l’impression que vous avez assez avalé de couleuvres comme cela sur la foi de vagues promesses de lendemains plus rieurs ? Ils sont où, les fruits de nos sacrifices ? Ils sont où, les fruits de notre travail à tous, de tout ce temps, de toute cette énergie que nous déployons jour après jour depuis tant d’années ? Sommes-nous des humains ou des hamsters stupides qui tournent frénétiquement dans leur cage parce qu’ils ne savent plus rien faire d’autre ?

    Parce que vous les croyez, quand ils disent que ce coup-ci, c’est bon, les retraites sont sauvées ? Vous les croyez encore ? Comme vous les avez crus pour toutes les autres réformes qui ont précédé, porteuses de la même promesse, de la même espérance, forcément démentie, forcément remise en cause, démontée, jusqu’au nouveau coup de canif dans le contrat social, comme à chaque fois, comme maintenant et comme demain.

    Vous pensez vraiment que si vous fermez la gueule et faites le dos rond, ils vont s’arrêter là ? Est-ce que vous imaginez vraiment qu’ils ont une seule bonne raison de s’arrêter là, pendant que vous faites collectivement les moules devant vos boîtes à cons, à applaudir les milliardaires en short qui courent plus après les putes et les voitures de luxe que derrière un ballon ?

    Non, mais franchement, vous y croyez ou c’est juste que vous avez attrapé une mentalité d’esclaves comme d’autres choppent un mauvais rhume en exposant leur cerveau disponible à des vents mauvais ?

    Parce que je ne vais pas faire le prophète en vous annonçant qu’ils vont continuer à nous plumer comme ils le font depuis 30 ans en nous racontant strictement n’importe quoi ! De réformes en délocalisations, d’assouplissements en globalisation, c’est de notre chair, c’est de notre sang, c’est de nos rêves, c’est de nos vies qu’ils se repaissent avidement. Étape après étape, ils nous reprennent tout ce qu’on avait réussi à leur arracher de droits à une vie décente. Et il n’y a absolument rien pour les arrêter tant qu’ils n’auront pas sucé jusqu’à la dernière particule de moelle de nos os. Et quand bien même, ils trouveraient encore le moyen de faire de nos cendres et de celles de nos enfants des savonnettes ou de l’engrais, pour ne pas perdre une miette de leur précieux profit.

    Maintenant qu’ils ont enfoncé un coin de plus dans notre droit élémentaire de ne pas crever dans la misère, vers quel autre acquis social vont-ils tourner leur petits regards de gorets avides ? Le SMIC, toujours trop cher, même s’il n’augmente presque plus, écrasé depuis des années sur une sorte de plancher de survie ? Les congés payés, tellement trop nombreux ? Regardez un peu les voisins, comme ils savent se contenter de moins ! La Sécu, les allocs, le droit du travail, l’éducation... Les niches sociales, on a manqué les oublier ? Le moteur grippé de la redistribution des richesses... parce que c’est de cela qu’il s’agit : récupérer, capter, détourner la richesse que nous produisons, l’accumuler, la capitaliser, la financiariser, jusqu’à ce que nous n’en ayons plus rien, plus une miette, nada. Alors, ils se battront entre eux, mais ça, on s’en fout, on ne sera plus là pour contempler l’étendue de leur médiocrité humaine absolue.

    Rien ne les arrêtera. Aucun homme (ou femme) providentiel ne va se mettre en travers de leur chemin. S’il y en a eu qui avaient cette idée, ils ont déjà dû les acheter. Rien ni personne ne viendra nous sauver de leur voracité... sauf nous !

    La loi du nombre.
    Enfin de notre côté.
    Parce que sans nous, sans notre résignation, sans notre monstrueux sentiment d’impuissance qu’ils cultivent depuis des décennies, leur plan merdique ne peut pas marcher.
    Sans nous, pas de richesses !
    Sans nous, pas de profits !
    Sans nous, ils ne sont rien.

    On ne parle pas là d’une gentille promenade de santé organisée par les syndicats bien proprets pour canaliser la colère légitime de ceux qui se font entuber chaque jour un peu plus. On ne parle pas là de la petite manif’ mensuelle, au parcours balisé, derrière une foutue sono qui vomit ses décibels pour que les organisateurs-bergers soient bien sûrs qu’aucun des moutons bien gardés n’aurait l’audace de gueuler un slogan de nature à réveiller les âmes engourdies. On ne parle pas là des parades dont les gens Du Château se gaussent en déclarant que ce qu’il y a de bien avec nos mouvements sociaux, c’est qu’ils ne dérangent plus personne... et surtout pas la bonne marche de leurs petites affaires.

    Non, ce dont on parle, c’est d’un peuple qui prend son destin en mains.
    C’est d’un peuple qui refuse de faire un pas de plus vers le précipice.
    C’est d’un peuple qui se croise les bras et paralyse la machine à lui écraser la gueule dans la merde tout en lui pompant la substantifique moelle.
    C’est d’un peuple qui se rappelle qu’il existe, qu’il vit, qu’il rêve, qu’il aime et qu’il peut se mettre en colère.
    C’est d’un peuple qui retrouve sa voix et qui hurle sa révolte.
    C’est d’un peuple qui se rappelle qu’il a tout à perdre à continuer de se soumettre à l’ordre injuste.
    C’est d’un peuple qui retrouve sa voi(e)x et dont la rumeur, immense, résonne dans les rues, dans les cités, envahit tout, couvre tout et fait saigner les oreilles des bourgeois acculés dans leurs tours d’ivoire !

    Ce dont on parle, c’est d’une grande vuvuzela sociale, de ce bruit collectif qui assourdit en ne parlant que d’une seule voix : celle de sa liberté reconquise, ici et maintenant !

     

    par Monolecte (son site) vendredi 18 juin 2010


    votre commentaire
  • Nicolas Dupont-Aignan

     


    votre commentaire
  • Les scellés maudits de l’affaire Boulin


    Une inspection des services judiciaires a été lancée hier après la disparition de pièces du dossier sur la mort de l’ancien ministre.

    Robert Boulin Robert Boulin © SIPA Un coffre-fort n’aura pas suffi pour protéger l’un des dossiers les plus sensibles de la Ve République. Le premier tome du dossier judiciaire sur la mort, en 1979, du ministre du Travail de Giscard d’Estaing est aujourd’hui introuvable. Y compris les originaux des lettres que Robert Boulin aurait envoyées à des proches pour annoncer son suicide. Fâcheuse disparition alors que l’avocat de la fille de ce gaulliste historique a demandé une expertise ADN des lettres, à l’image de ce qui a été entrepris dans l’affaire Grégory.

    Les pièces manquantes étaient stockées du Palais de Justice de Paris. Elles étaient conservées dans un coffre-fort à la direction du greffe du parquet général, auquel seulement deux personnes ont accès. « Mais elles ont été manipulées à plusieurs reprises lors d’investigations menées entre 2002 et 2007, précise le parquet général. On peut supposer qu’elles ont été égarées à cette occasion. » Rien ne dit pourtant que les lettres figuraient encore à cette époque dans le dossier.

    Une situation « extrêmement embarrassante »

    La disparition a été constatée fin mars. Malgré des recherches « minutieuses », le parquet général n’a pu remettre la main dessus et reconnaît aujourd’hui que la situation est « extrêmement embarrassante ». « Nous sommes très soucieux que ces pièces soient retrouvées, le procureur général l’a indiqué à Mme Boulin. Nous avons cherché jusqu’à aujourd’hui », poursuit-on, même si le parquet général considère que des analyses ADN ne sont « pas utiles ».
    Après avoir été informée, Michèle Alliot-Marie a ordonné hier une inspection des services judiciaires « pour que la lumière soit faite », a annoncé son porte-parole.

    L’inspection aura toute latitude pour entendre les magistrats et greffiers qui ont eu le dossier entre les mains et visiter l’ensemble du tribunal.
    Ce premier tome, sur huit, qui, en dehors des lettres, a été reconstitué grâce à des copies, concerne « toute la première partie de l’enquête, au moment de la découverte du corps », précise Olivier Morice. « C’est un vrai scandale, il s’agit d’un élément nouveau qui montre que la justice ne veut pas chercher la vérité dans cette affaire », a attaqué l’avocat, qui a annoncé son intention d’assigner l’Etat pour « dysfonctionnement grave du service de la justice ».
    Ce n’est pas le premier raté dans cette affaire hors norme, émaillée d’incohérences propres à remettre en question la théorie du suicide. Les scellés seraient-ils maudits ?

    Déjà des disparitions en 1987

    En 1987, les poumons de Robert Boulin ont mystérieusement disparu de l’Institut médico-légal de Paris, probablement lors d’un vol, puisque le cadenas du réfrigérateur qui les conservait a été fracturé. Les autres organes et les viscères du ministre ont, quant à eux, été enterrés dans un carré du cimetière parisien de Thiais (Val-de-Marne) et dix jours de recherches en 1987 n’ont pas permis de les retrouver. L’analyse pointue des poumons de Robert Boulin aurait pourtant été capitale, car les légistes auraient pu comparer l’eau découverte dans ces organes avec celle du plan d’eau où le corps a été découvert.

    Robert Boulin, resté ministre pendant quinze ans, un record sous la Ve République, avait été découvert dans l’étang Rompu, en forêt de Rambouillet, le 30 octobre 1979, noyé dans 50 cm d’eau. « Suicidé », selon les conclusions des différentes enquêtes menées par les brigades criminelles de Versailles puis de Paris. La justice a conclu que le ministre avait mis fin à ses jours en absorbant des barbituriques, parce qu’il n’avait pas supporté d’être mis en cause dans une louche affaire immobilière du côté de Ramatuelle.

    Un non-lieu définitif a été rendu en septembre 1991. L’enquête ne pourrait être rouverte que si des éléments nouveaux apparaissaient.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique