• Chroniques d'un Iran interdit : voir aussi ici  lien

    Sur ARTE ce soir

     

    Chroniques d'un Iran interdit

    • Genre : Documentaire - Culture Infos
    • Pays : France
    • Nationalité : français
    • Date de sortie : 2011
    • Durée : 1h15
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    • Tous publics

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  • Ben Laden était protégé par l'état-major pakistanais

    note WR : aurais-je vu juste ? chaque jour une info bidon nous prépare à l'invasion du Pakistan

    Ben Laden était protégé par l'état-major pakistanais à Abbottabad, accuse le Daily Times. La complicité de l'armée avec le Mollah Omar et les groupes de talibans afghans présents sur son territoire ne fait plus de doute.

    Pakistan.jpgLa présence de Ben Laden à Abbottabad donne enfin raison à tous ceux d'entre nous qui écrivaient et disaient depuis des années que l'homme le plus recherché par les Etats-Unis n'était pas sous la protection d'une tribu pachtoune mais bien sous celle de l'armée, ce clan dont les membres se veulent les gardiens des frontières idéologiques et géographiques du Pakistan. Qui d'autre pourrait dire à ses membres : "vous êtes de la race des seigneurs, vous êtes la crème de notre pays " et l'inscrire au programme de l'Académie militaire pakistanaise de Kakul, située je vous le rappelle à seulement un kilomètre de la dernière demeure d'Oussama Ben Laden.

     

    Les maîtres du destin du Pakistan ne sont pas beaux à voir et le monde entier les regarde avec dégoût. Pourtant nos militaires ont encore le toupet de dire qu'une forteresse construite sous leur nez "avait échappé à leurs radars". Et pour couronner le tout, ils ont l'impudence de mobiliser les médias nationalistes pour créer un écran de fumée et accuser les Américains d'avoir violer la souveraineté pakistanaise. Le reste du monde n'est pas dupe. Comment dans une ville de garnison, l'armée - qui surveille le moindre bout de terrain situé à proximité de ses bâtiments - pouvait-elle ignorer ce qui se passait derrière les murs d'enceinte de cette résidence luxueuse à deux pas de leur académie militaire ? Et tout ce que pourra écrire le Président Asif Ali Zardari (ou son nègre) dans les colonnes de la presse américaine n'y changera rien [cf. la tribune publiée dans le Washington Post le 3 mai et traduite sur le site de CI], ce sont les chefs de l'Etat-major qui sont aujourd'hui sous le feu des critiques. Se servir des membres du gouvernement civil comme bouclier humain est inutile : les termes de l'équation ont radicalement changés.

    Exception faite des déclarations diplomatiques nuancées de Hillary Clinton, l'ambiance au Pentagone n'est pas sans rappeler celle de l'après 11 septembre. La remarque exprimée le 2 mai 2011 par le sénateur américain Carl Levin est à ce titre révélatrice : "(Le Pakistan) va avoir des comptes à rendre... De nombreuses questions restent en suspens et je pense que l'armée et les services secrets pakistanais vont devoir y répondre au plus vite." Les Etats-Unis vont réclamer la tête du Pakistan. Tout en maintenant un semblant de relation de travail, une ligne très dure va être adoptée en privé. Et la question qui risque d'être posée rapidement ce n'est pas simplement pourquoi le Pakistan cachait Oussama Ben Laden mais s'il a joué un rôle dans la tragédie du 11 septembre.

    D'un point de vue tactique, l'opération d'élimination du chef d'Al-Qaida devrait servir de référence à d'autres interventions contre les chefs du djihad qui se cachent au Pakistan, notamment avec la prise de fonction du Général américain David Petraeus [à la tête de la CIA]. Pour se rapprocher de l'objectif de stabilité en Afghanistan et de la réconciliation politique, les Etats-Unis doivent impérativement neutraliser deux gros obstacles : la Quetta Shura [l'organe de décision des talibans afghans, dirigé par le mollah Omar et située à Quetta, capitale de la province pakistanaise du Balouchistan] et le réseau Haqqani [groupe de talibans afghans actif au Waziristan Nord, dans les Zones Tribales pakistanaises]. Ces deux entités ont pour l'instant échappé aux Américains, grâce à la bienveillance des gros bonnets de l'armée pakistanaise.

    Les membres du clan Haqqani circulent librement aux abords de Islamabad, Rawalpindi et Peshawar. Khalil Haqqani [l'un des chefs du réseau] a présidé plusieurs rencontres au cours des derniers mois pour négocier la "paix" dans la région de Kurram [Zones Tribales]. Il est inconcevable qu'il ait pu agir sans que les services de sécurité pakistanais ne soient au courant. Rappelons que Quetta accueille le 12ème corps d'armée du Pakistan, le QG régional de l'ISI, le Corps frontalier du Balouchistan, un centre de recrutement militaire, la base militaire aérienne Samungli et une prestigieuse école de formation militaire, le Command and Staff College. Les militaires pakistanais vont-ils nous dire qu'ils ne savent pas où se trouve le Mollah Omar ? Le Pakistan a encore une chance de se racheter et de rompre avec les mauvaises habitudes du passé. Mais devant tant d'incohérences et de mauvaise foi, il est permis d'en douter. L'Etat-major pakistanais a perdu toute sa crédibilité aux yeux du monde et il est tout aussi nuisible que ceux qu'il prétend traquer.

    Mohammad Taqi

    Source du texte : COURRIER INTERNATIONAL / THE DAILY TIMES


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  • Cheminade dénonce les montages et le lavage de cerveau


    Ben Laden, 11 septembre: montages et lavage de... por Cheminade2012


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  • Le rôle ambigu du Pakistan dans la mort de Ben Laden

    Le Point.fr - Publié le 04/05/2011 à 14:35

    Plus les jours passent, plus le rôle du Pakistan dans l'assassinat de Ben Laden reste obscur.

    Le rôle ambigu du Pakistan dans la mort de Ben Laden

    Quel rôle a joué le Pakistan dans l'assassinat de Ben Laden ? © Aamir Qureshi / AFP

    Click here to find out more!

    Première question : les hélicoptères américains ont fait une incursion d'environ 200 kilomètres pour atteindre la ville d'Abbottabad, dans le nord-ouest du pays. La défense aérienne les a-t-elle laissés pénétrer en territoire pakistanais ? Ou sont-ils passés inaperçus ? Dans un communiqué diffusé mardi, le ministère des Affaires étrangères affirme que les appareils américains ont échappé à la surveillance radar en volant à basse altitude dans une région montagneuse et en se faufilant dans des zones que les radars pakistanais ne couvriraient pas. Une explication plausible. Malgré tout, les hélicoptères, en particulier de transport, sont des appareils lents et bruyants, donc plutôt faciles à détecter.

    Deuxième détail troublant : lundi matin, la chaîne d'information pakistanaise Geo TV révèle qu'un hélicoptère de l'armée pakistanaise s'est écrasé au-dessus d'Abbottabad, au moment où l'opération commando se déroulait. Que lui est-il arrivé ?

    À la barbe des militaires pakistanais

    Ensuite, le lieu où se trouvait Ben Laden a fait voler en éclats la version officielle. Le gouvernement pakistanais a toujours nié la présence du chef terroriste sur son sol. Comment l'homme le plus recherché de la planète pouvait-il se cacher sous le nez des militaires sans être repéré ? Toujours selon des témoignages recueillis à Abbottabad, la maison de Ben Laden appartenait à deux hommes, Tariq et Arshad Khan, qui disaient venir de Charssadda, près de la ville de Peshawar. Leurs liens avec Ben Laden ne sont pas clairs. Du côté du gouvernement pakistanais, on assure officiellement que l'endroit était sous la surveillance de l'ISI, la principale agence de renseignements, depuis 2009.

    Seules certitudes : plusieurs témoignages recueillis à Abbottabad par "Le Point" indiquent que les soldats pakistanais sont arrivés sur place peu de temps après l'opération américaine et ont arrêté un habitant dont la maison se trouve en face de celle de Ben Laden. En quelques heures, ils ont aussi récupéré la carcasse d'un hélicoptère américain qui s'était écrasé dans la cour intérieure de la propriété, au moment de l'assaut.

    note WR : comment semer le doute sur le rôle joué par le Pakistan afin de justifier dans quelques temps des attentats  falseflag revendiqués bien sûr par des islamistes pour venger Ben Laden et de justifier une intervention US


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  • Tombeau pour Ben Laden

    Nos amis américains viennent une nouvelle fois de sauver la face bouffie du Monde.
    Car s’attaquer à New York, c’était s’en prendre au Monde, fondre sur le Centre des Traders c’est agresser the World.
    Oussama Laden Ben était le pire négateur de la plus belle civilisation qui ait jamais fleuri dans notre asile sublunaire : il était nécessaire de le nier à son tour, d’à son tour l’effondrer.
    C’est chose faite désormais, de glorieux Waffen-US, ont effacé son image spectaculaire à la gomme.

    Exit donc, Feu Laden-Ben, éteint dans la flotte, comme Christ in the piss.
    Il sera immergé, liquéfié dans le Néant sans forme des Eaux, liquidé.
    Liquidation du Mythe pour solde de tout comptes : du fond des abysses, livré à la spéculation songeuse des poissons, monsieur Ben, qui émargeait toujours à la CIA, a été acquitté en liquide.

    Le mérite historique de ce B.L sans H, est d’avoir décrié notre monde comme mauvais, ce qui obligea, à l’époque, le Maître du Monde à venir toutes affaires cessantes, nous dire qu’à son avis il était BON.
    Ainsi naquit l’Axe du Mal. Héritier de l’autre.
    Ce qui revenait à introniser officiellement la philosophie du B.L avec H , qui avait déjà théoriquement débarrassé la pensée de sa complication dialectique en la réduisant au binôme totalitarisme/démocratie.

    Reconnaissons, outre-tombe, au BL sans H, à la différence du BL avec H, un certain désintéressement : il vivait tel un cénobite, dans une grumeleuse grotte, alors qu’il est archi-milliardaire comme les autres porcs Sa’ūd qui grognent dans leur soue en Arabie.

    Ce qui nous laisse croire à la réalité de ce décès, c’est que c’est la neuvième fois qu’il est déclaré de cujus, or comme les chats, Oussamiaou n’avait que neuf vies.

    Une autre information, très peu connue, est à mettre en orbite avec la nébuleuse actualité du défunt chef de la galaxie Al Quaïda.
    Le Huff Post vient de révèler au public, un projet privé du FBI qui fait paraître les supputations oraculaires de George Orwell comme douces rêveries : rien moins que « mettre sur la liste officielle des terroristes (!) tous ceux qui ont nettoyé la scène du World Trade Center. »
    Titre de l’article : « Responders To Be Warned They Will Be Screened By FBI’s Terrorism Watch List. (EXCLUSIVE) »

    Ainsi, les pompiers et même les policiers, vont être considérés comme des terroristes potentiels !
    Quel aveu !
    Cela revient à reconnaître que les premiers ennemis de L’Oligarchie, qui a organisé ce crime, sont tous les travailleurs américains. Et que le premier vecteur du révisionnisme en matière de W.T.C, c’est la connaissance de certains éléments matériels.
    Car ce sont les travailleurs, pompiers, ingénieurs, experts en démolitions contrôlés, pilotes, etc., qui prenant peu à peu conscience des limites logiques de la version étatique, enfoncent le coin de la critique dans la texture compacte du Spectacle, dans le mensonge spectaculaire d’Etat.
    L’Etat, c’est le plus froid de tous les monstres froids. Il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche … a dit Nietzsche.

    Les faits sont têtus ! Leur examen contredit grandement la version policière du pouvoir.
    La science va devenir conscience, tous les éléments d’observation rationnels vont s’agréger et devenir la contestation du mensonge officiel.
    C’est par la médiation du travail que la conscience vient à soi-même."
    Le dur labeur de la conscience lève de plus en plus haut le masque hideux du Mensonge Légal.
    Puisse la présente et grotesque mise en scène de la Mort de Ben Laden déciller les plus incurables.


    Félix Niesche


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  • Le nom de l’unité des commandos américains qui a tué Ben Laden reste classifié

    On sait que l’opération qui a abouti à la mort de Ben Laden a été mené, au final, par des Seals, les commandos de l’US Navy. Mais on ignore le nom exact de leur unité, qui ne s’appelle plus depuis des années Seal Team Six, la sixième équipe des Seal. Seal, qui veut dire phoque en anglais, est l’acronyme de Sea Air Land, les trois domaines d’actions de ces forces spéciales.

    Fondée en 1981 par Dick Marcinko, cette équipe de contre-terrorisme issue de la Marine avait été rebaptisée une première fois en 1987 sous le nom de Naval Special Warfare Developpement Group, ou DevGru pour faire bref. Elle a de nouveau changé de nom, sans doute en 2010, mais celui reste jusqu’à ce jour classifié...

    Lire la suite de l’article : Marianne2.fr


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  • Début des problèmes entre USA et Pakistan suite à la mort bidon de Ben Laden

     

    voir aussi Les conséquences de la mort de Ben Laden


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  • Les conséquences de la "mort" de Ben Laden

     

    voir cette video la nouvelle cible

     

    puis celle-là en 1ere page de google actualités sur euronews

    Recette (éprouvée)

    1/ attentats "terroristes" sous fausse banière au Pakistan afin de venger la "mort de Ben Laden"

    2/ l'armée pakistanaise n'arrive pas à juguler la vague d'attentats

    3/ le gouvernement en place demande l'aide des USA

    4/ peu à peu les USA pénètrent au Pakistan

    bonus 5/ Attentats sous fausse banière contre les USA au Pakistan

    6/ Partition du Pakistan

    exemple: source

    Mort de Ben Laden: Le rôle trouble du Pakistan

    <aside>Des policiers et soldats pakistanais filtrent le trafic près d'Abbotabad, lieu où a été tué Ben Laden lors d'une opération américaine le 2 mai 2011 au Pakistan.

    Des policiers et soldats pakistanais filtrent le trafic près d'Abbotabad, lieu où a été tué Ben Laden lors d'une opération américaine le 2 mai 2011 au Pakistan. REUTERS/Faisal Mahmood

    </aside>

    DÉCRYPTAGE – Le double jeu des autorités pose question, malgré les démentis du président Asif Ali Zardari...

    Au lendemain de la mort d’Oussama ben Laden, le Pakistan se trouve dans une situation plus qu’embarrassante. C’est sur son sol que le leader d’Al-Qaida a été tué par un commando américain. A Abbottabad, plus précisément, une ville de garnison située à 80 km à peine d'Islamabad et abritant de surcroît une des plus célèbres académies militaires pakistanaises…


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  • BHL et la Libye : la discrétion d’un héros

    Encore BHL ? Oui encore. Non seulement parce qu’il est difficile de ne pas le voir, l’entendre ou le lire dans les principaux médias, mais parce que sa présence est exemplaire : elle montre comment un rôle effectif, mais indiscutablement discutable, peut être transformé en légende. De toute évidence, BHL s’est montré influent auprès de Nicolas Sarkozy afin que celui-ci invite des représentants de l’opposition libyenne. De même, il a largement soutenu les initiatives diplomatiques du gouvernement français pour obtenir le vote de la résolution 1973 de l’ONU. De là à considérer que ces interventions furent décisives, il n’y a qu’un pas que seuls, jusqu’à présent, BHL lui-même et ses admirateurs ont pris le risque de franchir. Il est vrai que l’absence de version officielle peut s’expliquer par la volonté de Nicolas Sarkozy et de son gouvernement de s’attribuer le mérite exclusif de leur action. Même s’il est désormais difficile de distinguer les faits et la légende que BHL et ses fans ont construite, il est encore possible de montrer comment les récits légendaires et hagiographiques ont enrobé les faits.

    Le phénomène n’aura échappé à personne : depuis un mois, l’omniprésent Bernard-Henri Lévy squatte le paysage médiatique. Télé, radio, presse écrite… Impossible de ne pas croiser le philosophe botuliste depuis qu’il a enfourché son nouveau cheval de bataille : la révolte libyenne.

    BHL-moi-je est partout et brille, une fois de plus, par sa modeste modestie. Ses confrères le lui rendent bien qui, à de rares exceptions près, rivalisent de « portraits » plus dégoulinants de cirage les uns que les autres.

    Lire la suite de l’article : Michelcollon.info


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  • L'ONU et Washington accentuent la pression sur Kadhafi

    LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 07.03.11 | 06h52  •  Mis à jour le 07.03.11 | 07h32

     

     

    Des médecins libyens viennent au secours des insurgés, dans la région de Ben Jaouad, le 6 mars 2011.

    Des médecins libyens viennent au secours des insurgés, dans la région de Ben Jaouad, le 6 mars 2011.AFP/ROBERTO SCHMIDT

    L'Organisations des Nations unies a demandé, dimanche, un "accès urgent" aux victimes des bombardements menés par le régime du colonel Mouammar Kadhafi dans la ville de Misrata, 150 km à l'est de Tripoli. Dans un communiqué, Ban Ki-moon, le secrétaire général de l'ONU, "observe que les civils subissent l'essentiel des violences, et appelle à un arrêt immédiat de l'usage disproportionné de la force et des attaques aveugles contre des cibles civiles de la part du gouvernement". Ban Ki-moon "souligne que les auteurs de violation du droit humanitaire international ou de crimes graves devront répondre de leurs actes".

     

    "Les organisations humanitaires ont besoin d'un accès urgent maintenant", a déclaré la sous-secrétaire générale de l'ONU pour les affaires humanitaires, Valerie Amos, dans un communiqué. "Des gens sont blessés et mourants et ont besoin immédiatement d'aide. J'appelle les autorités à permettre l'accès sans délai pour permettre aux travailleurs humanitaires de sauver des vies", affirme Mme Amos.

    Nore Webrunner : il faudrait demander un "accés urgent" dans la bande de Gaza, en Irak et en Afghanistan aussi , non?


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  • Les frappes aériennes en Libye ont elles eu lieu ? S/T


    les frappes aériennes en Libye ont elles eu lieu ? S/T
    Cargado por hussardelamort

    Mise au point : il ne s'agit pas de dire qu'il ne se passe rien en Lybie, mais de mettre en garde contre la propapande atlanto-sioniste. La pésence de BHL en Lybie est déjà en soi suspecte.
    Je laisse ce titre donc.

    Pour ceux qui auraient des doutes sur ma façon de voir les évènements qui enflamment la Lybie, je conseille de lire ou relire l'excellent article de B.Lugan mis sur ce blog Réflexions de Bernard Lugan sur la crise libyenne


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  • Iran et propagande  occidentale

    voir aussi : La communauté juive d'Iran


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  • Décryptage d’un Reportage de Propagande sur Arte sur les Théories du 11/9

    note WR : déjà diffusé sur ce blog en 2009

    Les médias français sont devenus les maitres de la dissimulation d’informations, on l’a vue avec le 11/9 ou toute information n’étant pas dans la version officielle est censurée, même le fait que 3 tours et non deux se sont effondrées ce jour là a été dissimulé aux français, mais cette fois encore ils ne dérogent pas à la règle ou dans un reportage sur arte, l’un des protagonistes est présenté comme un fou alors que ce dont il parle est facilement disponible pour ceux qui se donnent la peine de faire quelques recherches.


    Propagande neo-con sur Arte 1/2
    Cargado por fermetabush. - Videos de noticias recién publicadas.
    Propagande neo-con sur Arte 2/2
    Cargado por fermetabush. - Las últimas noticias en video.

    source


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  • Et si wikileaks n’était qu’un prétexte à la troisième guerre mondiale …

    Wiki : site web modifiable par ses visiteurs
    Leaks : fuites

    Wikileaks, c’est quoi, c’est qui ?

    Depuis sa création, le site wikileaks publie des documents sensibles, voire classés « secret défense ».
    Si l’identité des contributeurs et leur rémunération éventuelle restent un secret, l’équipe dirigeante n’hésite pas à s’afficher et à donner des conférences. A l’origine du projet, on trouve The Sunshine Press, un organisme à but non lucratif financé exclusivement par les dons « de défenseurs des droits de l'homme, de journalistes d'investigation, de technophiles et du grand public ». Porte-parole du site, Julian Assange, un Australien qui se présente comme un hacker militant, rêve de faire d’internet un moyen pour les citoyens d’apprendre ce que leurs dirigeants leur cachent. Ce personnage énigmatique assure ne pas gagner d’argent avec ce site et affirme travailler avec une centaine de personnes environ.

    Les premières fuites

    Début avril 2010, wikileaks diffuse la vidéo d’une bavure de l’armée américaine en Irak. On y voit les soldats tuer douze civils dont deux journalistes de Reuters. Suite à ce buzz, pour la première fois de l’histoire, le pentagone déclare un site « menace pour l’armée américaine ».
    D’autres diffusions dénonçant la censure en Australie, l’extrème droite britannique, ou les agissements douteux d’une importante banque Islandaise, dérangent les dirigeants un peu partout dans le monde … capitaliste.
    Les grandes nations de la planète tremblent.

    La tentative de déstabilisation

    En août, Julian Assange est accusé de viol et agression sur deux femmes en Suède. Le fondateurn de wikileaks annoncera que le pentagone pourrait être derrière ces accusations visant, selon lui, à « détruire » le site internet qui embarasse l’armée américaine.
    « Je ne sais pas ce qui se cache derrière (ces accusations), mais on nous avait averti que , par exemple, le pentagone, nous jouerait de vilains tours pour nous détruire » affirmait Julian Assange dans un entretien publié par le tabloïd suédois Aftonbladet. « En plus, on m’avait mis en garde contre des pièges sexuels », ajoutait-il.
    Quelques semaines plus tard, les chefs d’inculpation s’avèreront non fondés.

    Le largage massif

    Fin novembre, wikileaks publie plus de 250000 documents émanant du département d’état américain. Cinq grands journeaux de la presse internationale ont accés en exclusivité à ces télégrammes diplomatiques échangés entre le département d’état américain et ses ambassades. Ces cinq journeaux sont : Le Monde (Paris) , The New York Times (The New York) , The Guardian (Londres) , Der Spiegel (Hambourg) et El Pais (Madrid).
    … premiers doutes du Chienchien … Pourquoi donner la primeur à des journeaux occidentaux ? …

    Première utilisation des fuites : les écrans de fumée

    Outre les « journeaux de guerre » relatant les comportements de l’armée US en Irak et en Afghanistan, l’essentiel de cette deuxième salve de scoops se résume à des rumeurs entre gens hauts placés. Ainsi, on apprendra très vite que selon Jean-David Lévitte, conseiller diplomatique de Nicolas Sarkozy, Hugo Chavez est « fou » et il est en train de transformer son pays en un « autre Zimbabwé ». On découvrira également, de source ambassade des états unis à Rome, que Silvio Berlusconi est « incapable » et « vaniteux » , « inefficace » et « physiquement fragile ».
    Et une dernière pour la route : selon le prince Andrew, représentant spécial du Royaume-Uni pour le commerce extérieur, « les français sont corrompus, les journalistes bruyants, et les enquêteurs de l’état idiots ».
    Voilà donc les fameuses et fumeuses révélations de wikileaks ? Oui ! Enfin, celles que l’on met en avant, qu’on affiche, qu’on divulgue et diffuse. Mais en grattant un peu, on peut aussi lire bien plus interessant ….

    Deuxième utilisation des fuites : l’amorce du détonateur  

    • Source : Al-Quds Al-Arabi (quotidien panarabe de Londres)


    Dans les premières révélations, on peut lire que le roi d’Arabie Saoudite a demandé aux Etats Unis de « bombarder l’Iran » …

    « Tous les rapports sur le nucléaire iranien ont établi que l’Iran, à ce jour, ne produisait que de l’uranium faiblement enrichi. Alors pourquoi un état arabe comme l’Arabie Saoudite, qui jouit dans le monde musulman d’une position éminente, s’est-il emprêtré dans une telle démarche ? » s’étonne Al-Quds Al-Arabi à propos des révélations de wikileaks faisant étatt d’une demande officielle par le roi Abdallah d’Arabie Saoudite aux Eétats-Unis d’attaquer militairement les sites nucléaires iraniens. « A supposer que le nucléaire iranien représente réellement une menace, pourquoi ne pas y répondre avec un projet nucléaire similaire ? Le roi saoudien n’ae-t-il pas pensé aux conséquences dramatiques d’une frappe militaire ? Ces révélations ne paliront certainement pas à l’Iran. Reste à savoir quelle sera la réaction de Téhéran . Une forte tension est à prévoir dans les relations entre l’Iran et ses voisins, l’Arabie Saoudite au premier chef.

    •  Source : Yediot Aharonot (quotidien Tel Aviv – 400000 exemplaires)


    Si WikiLeaks n’existait pas, Israël devrait l’inventer. Une vérité qui ne laisse place à aucune ambiguïté a éclaté au grand jour. Le monde entier, et pas seulement Israël, est terrifié par la menace nucléaire iranienne. La nucléarisation de l’Iran ne relève pas de la paranoïa israélienne, comme certains le prétendent. De Riyad à Moscou, les dirigeants du monde en perdent le sommeil. La question iranienne est le fil conducteur des centaines de milliers de documents rendus publics par WikiLeaks. Il en ressort que le monde attend d’Israël et des Etats-Unis, dans cet ordre, qu’ils fassent quelque chose pour barrer la route au “Hitler de Téhéran”.

    Les fuites ne portent pas atteinte à la politique étrangère de Washington ; elles viennent étayer la principale thèse avancée par deux gouvernements américains, qui s’avère incroyablement similaire au message central du discours officiel israélien : l’Iran représente la plus grande menace, claire et immédiate, pour la stabilité du monde, lequel doit agir pour supprimer cette tumeur maligne. Tout le reste est secondaire.

    Certains médias ont tenté d’exagérer l’importance d’un ordre qu’aurait donné la secrétaire d’Etat Hillary Clinton au personnel diplomatique américain, consistant à espionner des hauts fonctionnaires des Nations unies. Mais, si l’on étudie d’un peu plus près les documents, on s’aper­cevra que l’étroite coopération entre certains ­fonctionnaires de l’ONU et le Hamas ou le Hezbollah, était effectivement une source de préoccupation. Là encore, c’est une question qu’Israël avait fréquemment soulevée.

    Le fait est que, jusqu’ici, rien dans la masse des révélations n’a jeté une lumière défavorable sur Israël. Le Premier ministre Benyamin Nétanyahou s’en sort (relativement) indemne, tout comme son prédécesseur Ehoud Olmert. Même la déclaration du chef sortant du Mossad, Meir Dagan [Tamir Pardo lui succédera au 1er janvier 2011], sur la nécessité pour les Etats-Unis d’encourager la révolte des intellectuels et des étudiants en Iran s’inscrit dans une vision du monde démocratique – et dans une longue expérience en matière de renversement des dictatures. Les politiques étrangère et de défense ­d’Israël n’ont sans doute jamais été autant confortées ces dernières années que le dimanche 28 novembre dernier. Au moins sur le front iranien, et apparemment pour bien d’autres questions également, les dirigeants du monde, y compris du monde arabe, pensent comme nous, même s’ils ont honte de le reconnaître. Une honte que WikiLeaks a montrée au grand jour.

    • Source : Kayhan (Téhéran)


    Les documents diffusés par WikiLeaks n’ont rien d’exceptionnel. Il ne faut surtout pas croire que ce sont des “révélations” qui ont été faites contre le bon vouloir de Washington. Il est évident que les dirigeants de Washington et de la CIA ont programmé cette diffusion. Ce que l’on nous présente comme des “documents” n’est qu’une nouvelle manière de proférer des accusations infondées contre les opposants à la politique de Washington, comme Téhéran. Le but est de présenter l’Iran comme une menace aux yeux des opinions publiques occidentales. Franchement, si les Etats-Unis avaient une preuve quelconque que l’Iran ait acheté des missiles à la Corée du Nord, ils auraient communiqué ces informations au Conseil de sécurité de l’ONU pour convaincre les quinze pays de voter unanimement les sanctions contre le programme nucléaire iranien. Mais ils n’avaient pas de preuves et ils ont mis plusieurs mois pour réunir une majorité [le 9 juin 2010], et ce avec beaucoup de difficultés. Les manœuvres du site WikiLeaks peuvent être considérées comme de la “propagande douce”. Ce site a commencé en envoyant une petite flèche dans le dos de Washington afin de s’attirer la sympathie mondiale, puis s’est attaqué avec l’artillerie lourde aux opposants des Etats-Unis. Il est important de noter que, sans la complicité des médias occidentaux, jamais WikiLeaks n’aurait pu attirer l’attention des opinions publiques du monde entier et encore moins être pris au sérieux. Pourquoi ces informations ont-elles aussi été imprimées dans The New York Times, Le Monde, The Guardian, El País et Der Spiegel si le but n’était pas de convaincre les opinions publiques du “danger” iranien ?


    La manipulation de l’opinion planétaire a t-elle bien fonctionnée ?

    Alors, on commence par « lacher » des fuites de la CIA . et bing, l’impérialisme américain semble attaqué…
    Bien sur, Washington se rebelle : alors, tentative de déstabilisation envers Julian Assange, en vue de le décridibiliser…
    Echec du pentagone : les affaires de viol et violence n’étaient en fait qu’une histoire de préservatif troué envers des consententes … (je ne sais pas vous, mais perso, ça sent déjà le ridicule…)
    On continue ; plus de 250000 scoops largués massivement en pature à la presse internationale ; bravo wikileaks …
    Récupération médiatique des médias occidentaux dominants (et pour cause, ils avaient la primeur !) : des rumeurs, des cancans, des ragots, des querelles de clochers entre dirigeants médisants. La montagne aurait accouché d’une souris ? …
    Et bien, les USA semblent bien vouloir que non : on continue à harceler Assange et wikileaks, sans toutefois (et c’est là que mes doutes se confirment) pouvoir l’empêcher de diffuser, d’agir, sans pouvoir « flinguer » son site … la CIA serait-elle si nulle que ça ? Même pas les capacités du hacker moyen ? …

    En fait, c’est ma conclusion, mais je pense que vous serez nombreux à la cautionner : le paragraphe précédent « l’amorce du détonateur », qui ne sera jamais médiatisé au grand public, est assez révélateur : les fuites de wikileaks diabolisent l’Iran, annoncent ouvertement que l’Arabie Saoudite veut détruire ce pays (ha bon ? et pourquoi ?) ; étrangement, il n’y a aucune « fuite » sur l’état d’Israël (rien de rien, pas l’ombre d’une rumeur …nation irréprochable ? ou … ?)
    « L’Iran a l’arme nucléaire, l’Iran est l’ennemi public numéro un de la planète, son voisin saoudien veut sa peau, l’état d’Israël est irréprochable,… » Et toutes ces révélations qui vont foutre un bordel planétaire monstre ne sont pas la cause des USA, vu qu’ils ont été eux-mêmes les premiers attaqués ! C’est wikileaks qui est responsable !

    Je finirais cet article en confirmant ceci : bien sur que c’est wikileaks qui est et sera responsable de la future destruction de la planète ; mais wikileaks n’est pas le canard enchainé ou le médiapart de la mondialisation, ce n’est qu’une création de la CIA ! 

    Article d'origine :http://forget.e-monsite.com/rubriqu...

    par Chien Guevara (son site) samedi 18 décembre 2010


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  • La Corée du Nord développerait des mines sous-marines nucléaires

     

     
    Par Rédacteur en chef.
    Publié le 9 décembre 2010, dernière mise à jour le 9 décembre 2010.

    Les services américains de renseignement cherchent à confirmer un rapport alarmant, provenant de l’intérieur de la Corée du Nord, indiquant que le régime communiste développe en secret des torpilles et des mines sous-marines nucléaires.

    Selon une lettre d’information publiées par des dissidents nord-coréens, le report indique que le gouvernement de Corée du Nord a mis en place un groupe spécial de chercheurs au National Defense Technology Institute pour "développer des armes sous-marines utilisant des têtes nucléaires." Le rapport a été publié le 3 décembre par le journal coréanophone NK Chisigan Yondae.

    L’US Navy a eu des torpilles et des mines nucléaires, comme l’Union Soviétique. La Chine a aussi évoqué l’utilisation de torpilles nucléaires dans des écrits militaires de 2006.

    Le programme de torpilles et de mines nucléaires est destiné l’écart technologique entre Pyongyang d’un côté, et les Etats-Unis et la Corée du Sud de l’autre, en utilisant son arsenal nucléaire. Des sources nord-coréennes indiquent dans la lettre que des chercheurs du pays sont inquiets de ce programme.

    Le rapport cite un responsable de la province du Nord Pyongan, sur la frontière nord-est avec la Chine. "En mars 2009, l’Institut 108, sur ordre du Bureau 131 (le bureau général de l’énergie atomique) a lancé des recherches sur une torpille et une mine nucléaire."

    Le responsable souligne que les "mines nucléaires sont technologiquement au point et qu’il est prévu de terminer le développement des torpilles nucléaires d’ici 2012."

    Le groupe chapeautant le programme de mines nucléaires est baptisé "Pongae", c’est à dire “éclair”, et celui chargé des torpilles s’appelle "Uroe" “tonnerre”.

    La recherche sur ces armes est menée par des spécialistes de l’Institut 108, l’installation impliquée dans le développement des technologies nucléaires. D’autres chercheurs appartiennent au Kusong Electronic Warfare Institute, parmi d’autres experts des torpilles et des mines.

    La source citée indique que la Corée du Nord pense que les torpilles et mines nucléaires seront capables de neutraliser les bases navales sud-coréennes et japonaises, ainsi que les porte-avions américains. Ces armes fourniront aussi une dissuasion contre toute intervention militaire américaine dans un 2è conflit coréen.

    Interrogé sur l’intérêt des services de renseignement sur ce rapport évoquant un programme d’armes nucléaires sous-marines, un responsable américain a répondu : "Tout ce qui concerne le développement technologique de la Corée du Nord intéresse la communauté des renseignements."

    Richard Fisher, un spécialiste des affaires militaires à l’International Assessment and Strategy Center, a indiqué que "Il s’agit d’un développement plausible, le résultat de 20 ans de refus des 2 partis américains de nous défendre de la Corée du Nord, de l’Iran et de leur allié chinois."

    "La stratégie de la Chine est simple : elle nous fait négocier avec la Corée du Nord et l’Iran jusqu’à ce que ses armes nucléaires commencent à nous détruire," a-t-il déclaré. "Si nos dirigeants ne peuvent faire cesser maintenant ces menaces, puis traiter avec la Chine, alors nous sommes condamnés à un sort affreux."

    Référence :

    Washington Times (Etats-Unis)


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  • D’après des vétérans americains : Ben Laden est mort en 2001

    Gordon Duff, un ancien Marine US parle de sa honte et du déshonneur qu’ont représenté pour lui, et représentent encore aujourd’hui, les continuelles évocations par Bush et maintenant par Obama, de l’ennemi public numéro un, Oussama Ben Laden.

    Il revient sur le gâchis innommable de cette guerre faite au nom d’un simulacre de chasse à l’homme, puisque les administrations américaines successives, les Services Secrets et tant d’autres personnes même bien moins informées savent depuis longtemps que ben Laden est mort en décembre 2001 après avoir toujours nié être l’organisateur des attentats du 11-Septembre.

    Voir la suite de l’article : http://www.internationalnews.fr/art...


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  • PETITE HISTOIRE DE LA PROPAGANDE

    Du prêtre au clerc, puis du clerc aux médias
    La “Raison”, nécessaire au processus révolutionnaire, a été d’abord la victoire des clercs (moralistes, hommes de lettres, intellectuels, artistes…) sur les prêtres ; soit la victoire de “l’idéologie des Lumières”, pilier de la démocratie, sur la révélation chrétienne, fondement de l’Ancien régime.
    Une prise du pouvoir qui, bien avant la séduction du peuple finalement peu impliqué, se fit, comme nous le décrit Georges Sorel dans Les Illusions du Progrès, par la séduction de l’aristocratie de salon. Le jeu de la rhétorique humaniste, recourant au logos grec, étant bien plus attrayant, divertissant, pour l’homme d’esprit oisif qu’était devenu l’aristocrate, que l’obscure scolastique ; et ce malgré la tentative de modernisation aristotélicienne opérée par saint Thomas d’Aquin.
    Une séduction qui n’aurait pas été possible sans le lent déclin de la noblesse d’épée au profit de la noblesse de robe (dont le facteur déclenchant et irréversible fut l’Édit de la Paulette, soit la vénalité des charges) et, comme l’avait parfaitement identifié Léon Bloy, sans la destruction concomitante du catholicisme du Moyen-âge, au profit d’un catholicisme des “droits de l’homme” creusant peu à peu son tombeau et celui du monde ancien.
    Mais une fois l’Ancien régime, sa noblesse terrienne et ses prêtres tombés, le pouvoir de l’argent (commerce, industrie, puis banque) qui se cachait derrière la Révolution, devra mettre à son tour ses nouveaux “prêtres de l’égalitarisme démocratique” au pas ; les ramener à la raison de l’inégalité.
    Un travail de rééducation, de sujétions et de soumission, opéré depuis deux siècles, qui a réduit peu à peu le clerc de critique et combattant de l’égalité des débuts (Robespierre, Saint-Just) à agent de propagande de la domination occulte des réseaux antidémocratiques (Jean-François Revel, Bernard-Henri Lévy) qu’ils soient ceux du communautarisme ou du Marché.
    Et c’est dans ce contexte qu’il faut comprendre l’émergence de ce qu’on appellera, après la Première guerre mondiale : “la propagande”.

    Joseph Goebbels (1897-1945) imitateur de Willy Münzenberg et Edouard Bernays
    “Plus c’est gros plus ça marche”, cette célèbre citation faussement attribuée à Joseph Goebbels par la propagande de masse occidentale – sans doute pour nous faire croire que tout le mal moderne provient du nazisme – est en réalité d’Edouard Berneys.
    Edouard Berneys qui, avec Willy Münzenberg, est le co-inventeur de ce système de domination des masses par la manipulation médiatique appelé justement “propagande”. Une “industrie du consentement” mise au service du capitalisme américain pour l’un, de l’Internationale communiste pour l’autre dès les années 20, et dont Joseph Goebbels ne sera que l’imitateur dans les années 30.
    Une manipulation méthodique de l’opinion publique, via les médias de masse, dont nos intellectuels français ne prendront pleinement conscience que dans les années 60. Date à laquelle les derniers journaux indépendants et de qualité – comme Le Monde période Beuve-Méry – achèveront d’être liquidés et remplacés chez nous par la presse de divertissement : principalement presse pour jeunes et presse féminine.
    Mais revenons à nos manipulateurs de masse…

    Willy Munzenberg (1889-1940) ou de l’importance du réseau médiatique
    Militant communiste allemand arrivé à Zurich en 1910 à l’âge de 21 ans, Willy Münzenberg, Juif ashkénaze extrêmement doué pour l’agitation et l’organisation, est le premier à avoir créé un véritable réseau médiatique afin de former l’opinion.
    Très impliqué dès le début dans le projet de révolution bolchévique (c’est lui qui accompagnera le camarade Lénine, futur maître de l’URSS, de la gare centrale de Zurich à la gare de Finlande à Saint-Petersbourg dans un train plombé avec l’aide des autorités impériales allemandes), il développera ensuite une intense activité politique en Allemagne. Élu député communiste au Reichstag, il fera aussi fortune en édifiant un vaste empire médiatique, appelé Trust Münzenberg, constitué de deux quotidiens de masse, du plus grand hebdomadaire illustré ouvrier : l’Arbeiterillustriete Zeitung, sans compter des intérêts touchant à l’image et au cinéma dans le monde entier. Des moyens considérables, tout entiers mis au service de “l’Internationale communiste”, qu’il complétera par un vaste réseau de faiseurs d’opinion : intellectuels, personnalités littéraires, vedettes et experts en tous genre contrôlés habilement par l’argent et les honneurs.
    Grand façonneur de l’opinion de gauche mondiale de l’entre-deux guerres, son plus beau coup est sans doute d’être parvenu à cacher, par de subtils montages et autres manipulations, le rôle joué notamment par l’Amérique capitaliste dans l’édification du premier État communiste. Une URSS avec laquelle il prendra finalement ses distances, comme beaucoup de Juifs internationalistes (plus internationalistes que communistes en fait !) au moment des procès de Moscou orchestrés par Staline pour purger, entre autres, à partir de 1936, les Juifs omniprésents dans l’appareil d’État soviétique.
    Parvenant néanmoins à maintenir son Empire au milieu des tempêtes politiques et à fuir l’Allemagne lors de la prise du pouvoir d’Hitler, il continuera son intense activité depuis la France, notamment par la publication du Livre brun sur les méfaits du nazisme, largement diffusé à l’Ouest. Inlassable combattant “antifasciste” (terme qui depuis 1936 désigne donc aussi les staliniens, soit l’URSS), on le retrouvera finalement pendu à un arbre le 22 octobre 1940 à Saint-Marcellin dans l’Isère. La raison exacte de son décès : suicide ou assassinat, par la Gestapo ou le Guépéou, restant encore aujourd’hui un mystère…

    Edouard Berneys (1891-1995) ou de l’importance des campagnes médiatiques
    Complémentaire de la stratégie du réseau (médias + agents de propagande), celle d’Edouard Berneys, autre aventurier cosmopolite, mais opérant lui pour l’Amérique capitaliste, insiste sur le rôle tout aussi déterminant des “campagnes médiatiques”.
    Né à Vienne (Autriche) en 1891, neveu de Freud et Juif ashkénaze lui aussi, Edward Bernays, émigre aux États-Unis en 1892 où son père le pousse d’abord à lui succéder en tant que marchand de grains ! Devenu l’auteur célèbre, en 1928, de l’ouvrage Propaganda où il définit cyniquement la démocratie comme “la manipulation des masses par la propagande, organe exécutif du gouvernement invisible ; soit ce processus de modelage des opinions pour les intérêts d’une certaine élite”, il est considéré comme le père de la propagande politique institutionnelle, appelée par ses soins et par euphémisme : “relations publiques”. Vulgarisateur de l’œuvre de Sigmund Freud aux USA (donc responsable aussi des insupportables pochades psychologico-narcissiques d’un Woody Allen), ce fervent adepte de “la psychologie de l’inconscient” peut revendiquer, entre autres méfaits d’armes : la campagne de manipulation dite “Commission Creel” qui, en 1917, poussa le peuple américain dans la Première guerre mondiale, et celle qui, manipulant l’imbécillité féministe, soumettra, sous le nom de “torches de la liberté”, les femmes américaines au marché de la cigarette et au cancer du fumeur !
    Ajoutons enfin que, contrairement aux deux autres, Münzenberg et Goebbels, ce grand démocrate mourra dans son lit en 1995 sans avoir jamais être inquiété, à près de 100 ans dans le Massachusetts.

    Les clercs d’aujourd’hui tous au service de l’Occident marchand
    Le parcours de ces deux maîtres es-manipulation et inspirateurs de Joseph Goebbels brièvement retracé, il est important de remarquer qu’après la disgrâce de Léon Trotsky, les propagandistes cosmopolites, précédemment répartis dans les deux camps : internationaliste communiste et capitaliste américain, fusionneront sous la bannière “antifasciste”, associant désormais, dans un même mal totalitaire, nazisme et communisme.
    Un ralliement général au mondialisme marchand, commencé dans les deux camps antitraditionnels : libéralisme et communisme, opéré pour les derniers à la faveur des événements de 68 sous l’appellation “néo-conservatrice” aux États Unis et en France “libéral-libertaire”.
    Un vaste réseau réunifié de professionnels de la propagande et de la manipulation de masse, désormais intégralement au service du camp libéral atlantisto-sioniste, incarné chez nous par les Cohn-Bendit, Glucksmann, BHL, Kouchner, Adler, Attali et autres Alain Minc. On l’aura remarqué, tous grands patriotes et bons catholiques !

    Alain Soral


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    L’appel de Jacques Vergès à Bernard Kouchner




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  • Dieudonné répond aux ’doutes’ Kouchnériens sur Sakineh par une cinglante quenelle géostratégique

    Les doutes de Monsieur Kouchner : la réaction de Dieudonné

    En réaction aux propos sourcés Bernard Kouchner, Dieudonné a publié le communiqué suivant :

    "Si Monsieur Kouchner doute de ma sincérité, je me permets de vous dire quant à moi, que je doute de sa loyauté envers les Français.

    Sa conduite irresponsable et partisane, notamment sur le dossier iranien, en ont fait depuis longtemps, un vulgaire agent d’Israël.

    Il faudrait être idiot pour ne pas comprendre que le sort de Sakineh Mahmmoudi ne le concerne guère, en dehors des aspects géostratégiques qu’elle représente.

    D’ailleurs il nous dit vouloir se rendre à Téhéran pour la soutenir, mais là bas, personne ne le recevra.

    Il n’y a plus qu’en Israel, que son discours retient encore l’attention des plus hystériques.

    Quant au soutien du Quai d’Orsay dans cette affaire, je m’en tartine le fion.

    Pour ma part, comme je l’ai annoncé je me rendrai en Iran dans un esprit de paix et de dialogue ce dimanche 12 septembre et je donne rendez-vous à ceux qui souhaiteraient des précisions vers 13 heures à Roissy, aérogare 2F.

    Une conférence de presse sera organisée à mon retour."

    Cette conférence a déjà par ailleurs été annoncée pour jeudi 16 septembre à 11 heures.

    Vous noterez que "avoir des doutes" sur la démarche annoncée de Dieudonné d’aller plaider contre la peine de mort de Sakineh en Iran, est une idée qui n’a aucun sens ! Il le fait, alors que le pouvoir iranien est POUR la peine de mort, c’est clair ! Il faut le faire !

    Kouchner lui, avec ses sacs de riz suivis peu après de bombes, dans lesquelles certains vont ajouter y compris du phosphore, montre l’image sordide du commerce militaro-industriel international mafieux !

    De la chair humaine on nous prend pour, petit Jedy.

    Sakineh ne vaut pour lui que son poids médiatique pour tuer et récolter les ressources, commercer la mort, et prendre le fric qui va avec.

    Qui tire vraiment les ficelles ?

    Droits de la femme mon cul !


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