• Publié en Angleterre le 3 juillet 2009 : un article de Sue Reid

    Conspiracy fever:

    As rumours swell that the government staged 7/7, victims’ relatives call for a proper inquiry

    Traduction : A mesure que la rumeur enfle, selon laquelle le gouvernement aurait été impliqué dans les attentats commis à Londres le 7 juillet 2005 ( 7/7 ), les proches des victimes demandent une réouverture de l'enquête.

    En lisant cet article, on découvre de nombreux pans d'ombre dans ces attentats, qui ont fait 56 victimes, en blessant 700 autres. Mais tout commence par une conclusion bien hâtive de Tony Blair, le lendemain des faits. On se souviendra également qu'il avait déclaré, avant d'engager l'Angleterre aux côtés des Etats-Unis dans une nouvelle croisade contre l'Irak qu'on lui avait montré une vidéo " qui l'avait convaincu " mais dont on n'a jamais plus entendu parler.

    Tony Blair, alors premier ministre, qui s’était ce jour même déplacé en Ecosse à Gleneagles pour une réunion du G8 portant sur la pauvreté mondiale, avait alors déclaré de retour à Downing Street que l’attaque était un acte commis au “nom de l’Islam”.

     

    Tony Blair

     

    La version officielle veut que, selon le chef de la police anti terroriste londonienne, Andy Hayman, ce sont des kamikazes qui sont responsables de ces attentats. 4 britanniques musulmans, Mohammad Sidique Khan, 30 ans , Shehzad Tanweer, 22ans , Jermaine Lindsay, 19 ans , and Hasib Hussain, 18 ans se seraient faits exploser avec des bombes artisanales fabriquées chez eux, tuant 56 personnes et en blessant 700 autres dans trois rames de métro et un bus.

    Cette version a même été endossée par un rapport d’une commission d’enquête parlementaire et un rapport du gouvernement, tous deux publiés 10 mois après le drame, sur la base de 12500 déclarations, l’examen par la police de 142 ordinateurs et 6 000 heures de visionnage d’enregistrement de vidéos surveillance. Selon le rapport, les kamikazes auraient agi pour leur propre compte sans qu’il n’y ait de “cerveau” derrière tout cela, en s’inspirant de l’idéologie d’al Qaeda.

    Mais des familles de victimes affirment qu’il y a de sérieuses inconsistances et des erreurs grossières dans la version officielle et demandent une enquête publique indépendante. Elles viennent d’engager une action devant la Haute Cour de Justice, pour obliger le ministre de l’intérieur, Alan Johnson, à autoriser une telle enquête afin notamment d’avoir accès aux informations dont disposaient les services de renseignement britanniques et la police avant les attentats.

    Le gouvernement britannique semble peu disposé à ce qu’une enquête indépendante soit engagée, ce qui ne fait qu’ajouter aux soupçons qui circulent à Londres sur une possible implication du gouvernement de Tony Blair dans ces attentats. L’une des raisons avancées c’est que ce dernier avait besoin que l’opinion publique britannique soit en état de choc afin d’obtenir son accord pour le soutien militaire britannique aux US en Irak. Pour les survivants et les familles des victimes tuées, c’est les citoyens et non les politiciens qui ont subi de plein fouet cette tragédie et par conséquent il est normal qu’ils exigent de connaître toute la vérité sur ces attentats.

    Dans cette affaire il est essentiel de savoir quel train ces 4 jeunes ont pris pour venir de Luton à Londres le matin des attentats sachant que les trois explosions dans le métro à Edgware Road, Aldgate et King’s Cross se sont toutes produites à 8h50 suivies une heure plus tard par celle dans le bus près de Tavistock Square.

    Selon le rapport officiel, les 4 kamikazes auraient pris le train de 7h40 à Luton pour Londres ce qui leur auraient effectivement permis de prendre l’une des lignes de métro à King Cross.

    Mais, le train de 7h40 a été annulé ce matin là.

    Le gouvernement,interpellé par les familles des victimes sur cette erreur monumentale, a corrigé l’horaire et dit qu’ils avaient en fait pris un train précédent à 7h25, supposé arrivé dans la capitale à 8h le trajet durant 35 minutes.

    Mais, ce train est arrivé avec 23 mn de retard à 8h23 à Londres

    La photo de la vidéo surveillance montrant les 4 jeunes arrivant à la gare de Luton le 7 juillet est pour le moins douteuse, de mauvaise qualité, le visage de trois des quatre présumés auteurs des attentats n’est pas identifiable.

    Cette photo aurait été prise à 7h22, mais si cela était vraiment le cas, ils n’auraient eu que 3 minutes pour monter les escaliers , acheter leurs tickets, aller retour, et accéder au quai bondé de voyageurs à cause des perturbations du trafic ferroviaire.

    De même, aucune photo valide d’eux, fixe ou animée prise à Londres n’a été montrée.

    De plus, selon un groupe qui fait campagne pour la vérité sur ce qui s’est passé ce jour là, The Truth Campaign, il faut 7 minutes pour marcher de la gare où arrive le train de Luton jusqu’à la principale station de métro de Charing Cross. La police a affirmé que les 4 jeunes ont été pris en photo à King Cross à 8H26 mais aucune photo ou vidéo n’a été rendue publique à ce jour.

    Mais, comment ces jeunes auraient-ils pu arriver là en seulement 3 minutes
    après être descendus du train en provenance de Luton à 8H23 ?

    Une vidéo de 56 minutes intitulée “Ripple Effect” faite par un homme de 60 ans, Anthony John hill, vivant à County Meath, en Irlande, accuse le gouvernement de Tony Blair, la police, et les services secrets britanniques et israéliens d’être responsables de ces attentats et d’avoir tués des personnes innocentes pour exacerber le sentiment anti islamiste et développer le soutien de l’opinion publique pour la “guerre contre le terrorisme”.

    Selon cette vidéo, les 4 jeunes britanniques musulmans auraient été manipulés par les autorités afin de prendre part à ce qui leur a été présenté comme un faux exercice d’entraînement anti terrorisme, sans qu’ils sachent qu’en fait les instigateurs de ces “faux exercices” avaient bel et bien prévus de les faire exploser eux et les rames de métro et d’autres passagers à leurs côtés, puis prétendre ensuite que ces 4 jeunes étaient des kamikazes. Toujours selon la vidéo, des explosifs auraient été placés sous les trois wagons des rames de métro de même que dans le bus.

    Les jeunes étant arrivés en retard n’auraient pas pris le métro et auraient été interceptés par la police et éliminés,
    le quatrième supposé prendre le bus aurait réussi à prendre la fuite.

    Certains ajoutent que l’identité des 4 jeunes a été révélées très rapidement par la police. Hors quand un individu se fait exploser, le corps est complètement détruit et cela prend des heures avant de l’identifier.

    Ensuite, les papiers permettant d’identifier ces kamikazes sont restés intacts sur les lieux des explosions. Indestructibles ou déposés là intentionnellement ?

    Une vidéo amateur, qui, quelqu’ en soit la qualité, à l’avantage de poser certaines questions sur ces attentats.

    De plus, outre les questions citées précédemment, on peut ajouter les suivantes :

    Pourquoi ces jeunes ont-ils acheté des aller retour s’ils étaient en mission pour commettre des attentats suicide ?

    Pourquoi n’y a t-il pas d’image vidéo des 4 ensemble alors que la capitale britannique est truffée de milliers de caméras de vidéo surveillance partout dans les espaces publics, les lieux de transport etc…?

    Pourquoi de nombreux survivants des attentats dans le métro ont dit que les explosions se sont produites de bas en haut provenant de dessous les wagons et non pas l’inverse ce qui serait le cas si les bombes s’étaient effectivement trouvées dans les wagons et avaient explosées à l’intérieur?

    Pourquoi un si grand nombre de passagers du train bondé de Luton interrogés ne se souviennent pas avoir vu 4 jeunes avec des sacs à dos volumineux ce matin là ?

    De plus, un ancien officier de Scotland Yard, Peter Power a révélé en début de soirée, le jour même de la tragédie sur BBC Radio 5 qu’il y avait un faux exercice d’attentats terroristes organisé ce jour là à Londres. Il a dit : ” A 9h30 ce matin là on était entrain de mener un exercice pour une société comprenant un millier de personnes à Londres comprenant l’explosion simultanée de bombes précisément à ces stations de métro , j’en ai encore les cheveux qui se dressent sur la tête.”

    Power parle de 9h30 mais dit “on était entrain de ” ce qui signifie que l’exercice était en cours et donc peut effectivement avoir commencé à 8h50, heure des 3 premiers attentats, et s’être poursuivi après 9h30 englobant ainsi le 4ème qui a eu lieu une heure après, à 9h50.

    La presse israélienne a révélé à cette époque là, que Netanyahou, l’actuel premier ministre israélien, en visite à Londres, a été prévenu de ne pas se rendre dans le secteur des attentats précisément dans ces créneaux horaire, ce qui peut corroborer la thèse d’une implication du Mossad israélien devenu expert en infiltration de groupuscules de jeunes musulmans, comme cela a déjà été le cas pour l’attentat du 11 Septembre aux USA, des agents du Mossad se trouvant “comme par hasard” résider à côté de certains des soit disant responsables de ces attentats, la responsabilité de ces derniers n’ayant jamais été jusqu’à présent sérieusement démontrée.

    Mardi prochain, les familles des victimes et les survivants commémoreront ces attentats. La vérité leur est due sur ce qui s’est réellement passé, et pour cela seule une enquête indépendante pourra permettre de faire toute la lumière. Un refus du gouvernement britannique ne fera qu’accroître les soupçons sur son implication, comme c’est déjà le cas aux Etats Unis pour les attentats du 11 septembre et l’implication du gouvernement US, activement ou passivement.


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  • PROCHE ORIENT

    Le canal de Suez au service de la marine sioniste contre l'Iran‏


    Le ministre égyptien des Affaires étrangères, qui affame les Palestiniens de Gaza et veut "briser les jambes" de celui qui ose traverser la frontière égyptienne, ouvre grand les portes du canal de Suez à la marine sioniste en vertu d'une convention qui remonte à… 1888 !

    Résumé et traduction de l'article d’Abdel Bari Atwane sur Al Quds Al Arabi par NA.

     


    Sous-marin israélien de type Dauphin, transporteur de missiles nucléaires (photo Al Arabiya)
    Sous-marin israélien de type Dauphin, transporteur de missiles nucléaires (photo Al Arabiya)
    Le ministre des Affaires étrangères égyptien, Ahmad Abou el Ghaith, a déclaré hier que le passage des navires nucléaires et des vaisseaux de guerre israéliens par le canal de Suez était soumis à la convention de Constantinople de 1888, qui autorise le passage de navires militaires à condition qu'ils ne manifestent aucune agressivité à l'égard de l'Etat propriétaire dudit canal.

    En vérité, les navires israéliens ont traversé le canal de Suez, non en vertu de la convention de Constantinople mais suite à des ententes secrètes conclues entre le gouvernement égyptien actuel et l'Etat sioniste pour attaquer l'Iran. Et cette traversée n'en est que la première application publique.

    Pour rappel, le gouvernement égyptien avait nié sur la BBC samedi dernier le passage d'un quelconque navire israélien par le canal de Suez et ajouté que l'Egypte s'opposait à une telle traversée et tous les médias arabes ont publié cette position en Une.

    Il est vrai que ce n'est pas la première fois que ce canal est traversé dans des intentions belliqueuses et on est en droit de demander a Monsieur Abou el Ghaith si la traversée de ce même canal par les porte-avions états-uniens en 2003 pour attaquer et occuper l'Irak manifestaient une quelconque agressivité à l'égard de l'Egypte, notamment en vertu des accords de défense arabe commune.

    Nul n'a oublié les fameuses déclarations de Monsieur Abou el Ghaith où il déclarait qu'il "briserait les jambes" de tout Palestinien affamé qui traverserait les frontières pour rentrer en Egypte à la recherche d'un morceau de pain, qualifiant un tel acte de violation de l'intégrité et de la souveraineté nationale égyptiennes.

    C'est ainsi que lorsqu'un Palestinien, arabe et musulman, dont la moitié de la famille est peut-être égyptienne, traverse la frontière égyptienne à la recherche d'une brique de lait pour son enfant, il viole l'intégrité et la souveraineté nationale égyptiennes tandis que lorsque des sous-marins nucléaires israéliens traversent le canal de Suez en route vers la Mer rouge et le Golfe dans le cadre de manœuvres militaires en préparation d'une attaque contre un Etat musulman, il s'agit d'un acte légitime soumis à une convention qui remonte à l'époque ottomane.


    Source : Al Quds Al Arabi  
      Traduction : NA

    Mercredi 15 Juillet 2009
    Abdel Bari Atwane

    Source :
    http://www.alterinfo.net

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    Selon une ONG palestinienne, le bilan des combats côtépalestinien s'établit à 1 417 tués, dont 926 civils. L'arméeisraélienne parle de 1 166 morts, dont 295 civils. Côtéisraélien, dix soldats et trois civils ont péri.
    AFP/MOHAMMED ABED
    Selon une ONG palestinienne, le bilan des combats côté palestinien s'établit à 1 417 tués, dont 926 civils. L'armée israélienne parle de 1 166 morts, dont 295 civils. Côté israélien, dix soldats et trois civils ont péri.

    Accusé par Amnesty International, Human Rights Watch et l'ONU d'avoir causé des pertes civiles et des destructions injustifiables en décembre et janvier dans la bande de Gaza, l'Etat d'Israël a toujours rejeté ces attaques. Plusieurs soldats de Tsahal ayant participé à cette opération affirment aujourd'hui que leurs chefs militaires les ont incités à tirer d'abord et à se préoccuper ensuite de distinguer les combattants des civils.

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    En conséquence, témoignent-ils, leurs forces se sont ruées dans le territoire enclavé sans retenir leurs tirs. Selon ces trente soldats, dont les témoignages anonymes ont été recueillis par l'ONG Breaking the Silence — financée par des associations israéliennes de défense des droits de l'homme ainsi que les gouvernements britannique, néerlandais et espagnol et l'Union européenne — et sont relayés par le quotidien Haaretz, la priorité de l'armée était de minimiser ses pertes afin de s'assurer du soutien populaire israélien à l'opération. "Mieux vaut atteindre un innocent qu'hésiter à viser un ennemi" : c'est en ces termes qu'un soldat résume la façon dont il a compris les instructions répétées durant les briefings préliminaires et durant l'intervention, qui a duré vingt-deux jours, du 27 décembre 2008 au 18 janvier 2009.

    "Dans le doute, tuez. La puissance de feu était insensée. On arrivait et les explosions étaient hallucinantes. Dès l'instant où on arrivait à nos positions, on commençait à tirer sur tout ce qui était suspect", raconte un autre. L'objectif annoncé de l'opération "Plomb durci" était de mettre fin aux tirs de roquettes des activistes islamistes du Hamas vers le sud d'Israël.

    Selon une ONG palestinienne, le bilan des combats côté palestinien s'établit à 1 417 tués, dont 926 civils. L'armée israélienne parle de 1 166 morts, dont 295 civils. Côté israélien, dix soldats et trois civils ont péri. Des rues entières de Gaza ont été rasées pour réduire le risque des tireurs embusqués et des pièges explosifs. Selon les Nations unies, les quelque 600 000 tonnes de gravats commencent à peine à être déblayées, six mois après la fin de l'opération.


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  • l'esclavage et la Shoah

    NOUVELOBS.COM | 13.07.2009 | 09:51

    Le président américain en visite au Ghana juge que l'esclavage doit être enseigné de façon à mettre en perspective des événements actuels tels que les atrocités au Darfour et compare l'héritage de l'esclavage à l'histoire du génocide nazi.

    Barack Obama visite la forteresse de Cape Coast, samedi au Ghana (Sipa)

    Barack Obama visite la forteresse de Cape Coast, samedi au Ghana (Sipa)

    Estimant que l'esclavage représente un terrible épisode de l'histoire des Etats-Unis, le président américain Barack Obama a jugé dimanche 12 juillet qu'il devait être enseigné à l'école de manière à mettre en perspective des événements actuels, tels que les atrocités commises au Darfour.
    Dans un entretien à CNN enregistré samedi lors de sa visite au Ghana, et dont des extraits ont été diffusés dimanche, le chef de la Maison Blanche compare l'héritage de l'esclavage à l'histoire de la Shoah. Deux épisodes horribles de l'Histoire qui ne peuvent être ignorés et dont les leçons doivent être tirées, selon lui.

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  • Quatre sionistes de la mouvance de la Ligue de défense juive (LDJ), groupuscule raciste connu pour ses actions violentes, ont été condamnés vendredi soir à Paris à des peines de quatre mois d'emprisonnement avec sursis assorties de mise à l'épreuve pour le saccage le 3 juillet de la librairie Résistance, qui notamment distribué le livre (qui fait peur a certaines élites) de l'historien Paul-Eric Blanrue Sarkozy Israël et les Juifs. Cette opération commando constitue une attaque délibéré contre la liberté d'expression. L'un des agresseur, muni d'un pistolet à balles en caoutchouc au moment des faits, été également jugé pour "port d'arme". Le parquet avait requis des peines allant jusqu'à un an prison ferme à leur encontre. Il n'a pas encore pris de décision concernant un éventuel appel du jugement. Dans cette affaire, un mineur, soupçonné d'avoir participé au saccage de la librairie, doit être présenté à un juge pour enfants dans les prochains jours. Le 3 juillet, cinq hommes cagoulés et en jogging sombre étaient entrés dans la librairie armés de bâtons et de bouteilles d'huile. Ils avaient détruit la caisse et les ordinateurs, jeté les livres par terre, vidé leurs bouteilles d'huile sur les livre et maltraité le libraire et les clients. Ces cinq jeunes proches de la LDJ avaient été interpellés mercredi à Paris et en région parisienne. La librairie visée, située près de la station de métro Guy-Môquet, a déjà fait l'objet de plusieurs attaques similaires, selon ses gérants. Le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) avait une nouvelle fois réclamé au gouvernement de dissoudre la LDJ, qualifiée de «groupe d'extrême droite, laissé libre d'agir en France alors qu'il est interdit en Israël et aux États-Unis». Des avocats français viennent de lancer une pétition argumenté juridiquement pour exiger du gouvernement la dissolution de la milice LDJ. Quelle que soit la ville où vous vous trouvez, merci de la signer et de la faire signer par un maximum de personnes. http://www.dissolution-ldj.com/ La librairie Résistances saccagée par la LDJ


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