• Firesheep, l'extension Firefox pour pirater des comptes en un clic

    C’est une extension Firefox qui fait beaucoup parler d’elle depuis quelques jours. Elle permet de voler l’accès à des services en ligne à un utilisateur qui vient de s’y connecter en Wi-Fi.
    Attention à ne pas vous faire voler vos identifiants sur Facebook, Twitter, Windows Live et bien d’autres services en ligne depuis un point d’accès Wi-Fi ouvert. Voilà, en résumé, le message que tient à faire passer Eric Butler, qui a développé une petite extension Firefox déjà célèbre. Elle a été téléchargée plus de 130 000 fois en quelques heures, à tel point que le mot clé « firesheep » s’est retrouvé à la dixième place des recherches les plus souvent effectuées sur Google Etats-Unis hier.
    agrandir la photo
    Firesheep, présenté par Butler lors d’une conférence de « hacking » à San Diego, s’affiche dans un volet de Firefox. Le programme permet de capturer à la volée les cookies de connexion d’autres utilisateurs connectés au même point d’accès ouvert. L’outil peut récupérer, sans aucune intervention du pirate, des identifiants issus d’une trentaine de sites différents, d’Amazon à Google, en passant par Gowalla, Windows Live, Facebook et Twitter. Ils apparaissent simplement dans le volet. Il suffit alors de cliquer dessus pour se retrouver connecté sur le compte de la victime.
     
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    Facebook : Terrain de chasse pour narcissiques

    Facebook : Terrain de chasse pour narcissiques

    Une étude menée par l’Université de Georgie laisse supposer que les réseaux sociaux sur Internet pourraient servir d’outils servant à évaluer le degré de narcissisme chez les individus. Deux psychologues ont ainsi analysé Facebook, qui compte 500 millions d’utilisateurs, afin de mieux cerner le narcissisme en ligne. Dans le même temps, Facebook a fait l’objet d’une étude de l’Ecole de Journalisme du Missouri qui affirme que l’émotivité la plus forte est ressentie par les utilisateurs dans « la chasse aux nouveaux amis » et dans « le tissage d’un lien social » plutôt que dans leur aboutissement et le fait établi.

    Bardée de distinctions, Laura Buffardi, étudiante en Doctorat de Psychologie et co-auteur de l’étude avec le professeur Keith Campbell, n’en est pas à son coup d’essai en matière d’énoncés. Mais cette fois, elle est catégorique : « Les narcissiques s’approprient Facebook pour se faire leur promotion aux yeux des autres ». Les conclusions des deux experts paraissent ce mois-ci, dans le numéro d’octobre de Society and Social Psychology Bulletin. Et les résultats ont été obtenus sur la base d’un questionnaire auquel ont bien voulu répondre 130 utilisateurs de Facebook et après avoir analysé le contenu des pages de ces derniers.

    Le « taux de narcissisme » des intéressés est ainsi fonction du nombre des « amis » et des « wall posts » figurant sur les comptes. Laura Buffardi a observé chez les narcissiques une tendance aux amitiés « peu profondes » et un choix de photos « bien plus glamour » que chez les autres utilisateurs. La psychologue en est convaincue, « les narcissiques, qui pullulent sur Facebook, se servent de leur entourage pour se mettre en avant. Mais, sur le long terme, ils finissent par nuire non seulement à cet entourage mais à eux mêmes ». Certes, aucune preuve ne permet d’avancer que les utilisateurs de Facebook sont plus narcissiques que les autres, « mais la multiplication des pages Web personnelles permet de se poser la question ».

    De son côté, Kevin Wise, professeur en communication stratégique à l’Ecole de Journalisme du Missouri, a étudié le comportement des utilisateurs une fois connecté à Facebook, par le biais de captures d’écran. Lui aussi est formel : « Sur Facebook, le plaisir est surtout de partir à la chasse, chasse aux nouveaux amis, et quête d’une nouvelle existence virtuelle ». Les résultats de cette étude ont été publiés dans le journal Cyberpsychology, Behavior, and Social Networking. Les sites de réseautage social en étant encore à leur balbutiement, les auteurs des deux études « attendent de voir comment ces tendances vont se développer ».


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  • Cancer : la découverte qui change tout

    médecine

    Une équipe de l'Inserm vient de publier des travaux portant sur un marqueur biologique unique présent dans 11 cancers. Alors que l'Institut Claudius-Régaud de Toulouse travaille aussi dans ce sens, cette découverte ouvre de nouvelles perspectives pour le dépistage.

    lors que les chercheurs du monde entier sont à la recherche depuis des années d'une molécule unique capable de prouver l'existence d'un cancer à un stade précoce, une équipe française vient de faire une découverte capitale dans le diagnostic de 11 cancers. L'unité 955, dirigée par Nicolae Ghinea, docteur en biologie et directeur de recherches à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), vient de publier le résultat de quelque dix ans de travaux dans l'édition d'hier de la prestigieuse revue américaine The New England Journal of Medicine. Les chercheurs français ont mis au jour la présence d'un marqueur biologique dans les biopsies de 1 336 patients souffrant de 11 types de cancers à différents stades de la maladie. Les cancers étudiés - qui représentent « 70 % des cas de cancer et 90 % des cas de décès » - ont été ceux de la prostate, du sein, du colon, du pancréas, de la vessie, du rein, du poumon, du foie, de l'estomac, des testicules et des ovaires. D'autres cancers pourraient être concernés, mais ils n'ont pas encore été étudiés.

    Concrètement, les tumeurs de tous les patients participants à l'étude présentaient systématiquement une protéine-récepteur de l'« hormone folliculo stimulante » (ou FSH), une hormone d'origine hypophysaire synthétisée dans le cerveau et que l'on retrouve dans les organes reproducteurs, les ovaires et les testicules. Lorsque le patient n'a pas de cancer, la FSH se retrouve uniquement au niveau de ces organes.

    Dans le cas contraire, les chercheurs ont détecté par imagerie la présence de récepteurs à la FSH sur la surface des cellules endothéliales qui tapissent l'intérieur des vaisseaux sanguins nourriciers, à la périphérie de la tumeur. Cela permet donc aux médecins d'avoir « une cible facile pour les agents de diagnostic et de thérapie injectés dans le sang ».

    Au centre anti-cancer toulousain Claudius-Regaud, des recherches analogues sont actuellement menées (lire ci-dessous) et devraient aboutir d'ici la fin d'année.

    Reste que si c'est la première fois que l'on identifie une molécule commune à plusieurs types de tumeurs, la route est encore longue vers la mise au point un jour d'un médicament universel. « C'est maintenant que tout commence », a dit hier le Dr Ghinea.

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  • On cherche l’artiste...

    Depuis quelques années, on découvre dans les champs de céréales des dessins géants étranges, dont on voudrait bien connaître les auteurs.
    Est-ce un canular ?
    Des paysans espiègles tentent-ils de nous piéger en dessinant dans les champs de blé ces immenses figures géométriques ?
    Si c’est le cas, avec quels mystérieux et ingénieux engins arrivent-ils à réaliser ces dessins minutieusement parfaits appelés aujourd’hui « crop circle » ?
    Et, question subsidiaire, comment arrivent-ils à les réaliser à l’unisson aux quatre coins de la planète, en quelques minutes ?
    Il existe bien sur des canulars, mais ils sont sans commune mesure avec les authentiques crop circles, déjà par la taille, et surtout par la complexité et la précision du dessin.
    Les premiers canulars remontent à la fin des années 1970 ou deux anglais, Doug Bower et Dave Chorley s’étaient inspirés d’un autre canular du même type réalisé en Australie en 1966. lien
    Un jardinier humoriste a même proposé un crop circle réalisé manifestement avec sa tondeuse à gazon. lien
    D’autres, plus diaboliques, comme le «  Team Satan  » s’installent dans de réels crop circle, faisant croire qu’ils en sont les réalisateurs.
    La supercherie a été vite démasquée. lien
    Un groupe de rationalistes purs et durs, ayant pris le nom de VECA (voyage d’étude dans les cercles anglais) tente encore aujourd’hui de démontrer que tous ces dessins sont d’origine humaine, et déploient de nombreux arguments, en en réalisant à leur tour, sans être réellement convaincants. lien
    Une fois trié ce qui est du domaine du canular, et ce qui n’en est pas, tout le mystère subsiste.
    Qui dessine ? 
    Quel est le sens de ces messages si parfaitement géométriques ?
    Est-ce un langage étranger à notre planète ?
    Les fameux Nazca préfigurent-ils nos actuels crop circle ?
    Le 14 aout 2001, en Angleterre, 24 minutes après minuit, 420 dessins circulaires apparaissent en quelques secondes sur 45 000 mètres carrés.
    Le 15 avril 2007, près de Devizes, dans le Wiltshire, un énorme dessin géométrique est découvert dans un champ de colza. lien
    15 jours plus tard, c’est à Forli, en Italie qu’apparait un immense trèfle à trois couronnes.
    Puis le 28 mai de la même année, un crop circle apparait à Hesse, en Champagne Ardennes. lien
    Le mois de juin suivant, à l’endroit même ou s’est déroulée la bataille de Waterloo, on découvre dans un champ de blé un motif géométrique géant d’une précision parfaite. lien
    La « méduse » de Wayland’s Smithy ouvre une hypothèse : elle représenterait le champ magnétique de la terre. lien
    Le 28 juillet 2010 de nouveaux crop circle sont apparus en plusieurs endroits du globe.
    Aujourd’hui, ce sont près de 10 000 crop circle qui ont été découverts depuis 1980. lien
    Sur cette vidéo, une explication nous est proposée concernant l’image illustrant l’article.
    Il s’agit du crop circle de Crabwood.
    Il consiste en deux dessins, celui d’un visage, et celui d’un cercle qui pourrait représenter un immense disque dur.
    Il fait 130 m de long sur 80 m, et le visage proposé est composé de lignes horizontales plus ou moins épaisses comme celles d’un écran de télévision.
    Sur ce lien, le travail d’un internaute, qui sans s’attacher à défendre l’authenticité du dessin, propose une traduction.
    Le « disque dur » stylisé utiliserait la norme américaine internationale des caractères employés par nos ordinateurs (code ASCII).
    Il tente un parallèle entre le code ASCII de chaque signe, et la lettre correspondante.
    Sur ce lien le détail de la méthode utilisée.
    Tout cela est bien sur aléatoire, mais à qui pourrais-t-on reprocher une tentative de « traduction » de ces crop circle ?
    On voit aussi sur la vidéo proposée un étonnant crop circle qui semble être en 3D.
    Un autre crop circle comme celui-ci, découvert en 2009 en Italie, semble correspondre à la même logique d’un langage numérique.
    Umberto Molinaro, architecte, habitant Wattignies, à commencé dès 1996 a s’intéresser à ce phénomène, dont il a publié plusieurs ouvrages (des cercles dans la nuit).
    Plus de dix ans d’enquêtes et de recherches l’ont amené à une évidence : même si une partie de ces crop circles sont l’œuvre de petits plaisantins, la plupart de ceux-ci ne peuvent pas être d’origine humaine.
    Il pense que ces dessins sont réalisés grâce à l’énergie électromagnétique.
    On peut l’écouter interviewé sur FR3 déclarer que : « lorsqu’ils font 45 000 Mètres carrés, et qu’ils ont été réalisés en quelques minutes, l’intervention humaine me parait tout à fait impossible  ».
    Des mathématiciens se sont penchés sur ce phénomène mettant en évidence que dans chacun des dessins de crop circle on trouve les règles de la géométrie sacrée utilisée dans l’Egypte Antique.
    cette géométrie sacrée se retrouve un peu partout : des cathédrales, à la grande Pyramide, en passant par le fameux nombre d’or, illustré par le célèbre dessin de Léonard de Vinci. lien
    Cette culture symbolique s’est développé sur une période d’au moins 5 millénaires, et sur ce lien on peut en découvrir quelques aspects.
    En franc-maçonnerie, la géométrie sacrée est une réelle préoccupation. lien
    Un astronome, Gérard S. Hawkins, ancien président du département d’astronomie à l’Université de Boston, s’est intéressé à l’aspect mathématique extrêmement sophistiqué des crop circle, qui d’après lui, nécessite un niveau de compétence très élevé. lien
    Pour lui, les dessins réalisés incarnent des théorèmes géométriques.
    Il s’en est ouvert dans les colonnes de la revue « nouvelles de la science  » (2 janvier 1992, page 76).
    Après avoir lu l’ouvrage de Colin Andrews et Pat Delgado (the Latest Evidence) il s’est intéressé au fait que de nombreux crop circles ont été réalisés à proximité de Stonehenge.
    Mais il a aussi découvert un lien entre ces dessins et la musique, affirmant y retrouver les intervalles de la gamme majeure. (3>2, 5>4, 9>8). lien
    Le Docteur Eltjo Haselhoff, physicien néerlandais, est convaincu que ces dessins ne peuvent pas être réalisé par des humains, et il évoque la présence de boules lumineuses, sans pouvoir pour autant en expliquer la nature, dont il dit qu’elles laissent des traces de radiations de nature électromagnétique.
    Cette vidéo montre deux boules de lumière qui semblent dessiner ces crop circle.
    Cette autre vidéo tout à fait étonnante montre une boule lumineuse en train de se mouvoir.
    s’agit-il de trucages ?
    Peut être, mais ce qui est certain c’est que nombreux sont les témoignages évoquant « une ou plusieurs boules lumineuses se déplaçant ».
    Haselhoff est l’auteur d’un livre « les cercles dans les blés et leurs mystères  » (éditions Favre-2002).
    Il a réalisé des photos prouvant que la structure des plantes se trouvant à l’intérieur d’un crop circle était différente que celle des plantes se trouvant à l’extérieur de ce même cercle. lien
    William Levengood, biophysicien, accompagné de Nancy Talbott et John Burke, ont eux aussi effectués des expériences montrant l’anormalité des déformations des nœuds des tiges de céréales.
    On peut voir leurs études sur ces liens (1-2)
    Leurs observations de plus de 250 crop circle, consistent en plusieurs centaines de tests sur des échantillons du sol, de plantes. lien
    Le blé n’est pas fauché, il est plié à la base, et pour le plier de cette façon, il faut une source importante de chaleur,
    Les céréales qui sont au sol ne pas seulement couchées, elles sont tressées et empilées les unes sur les autres, suivant des couches en tissage, de manière minutieuse. lien
    Le corps d’un oiseau littéralement explosé comme s’il avait été cuit vivant dans un four à micro-onde, a été découvert dans un crop circle par Lucy Pringle, une photographe qui s’est spécialisée dans ce domaine. lien
    Des mouches ont été observées collées aux épis, mortes, ou encore vivantes, et parfois complètement éclatées. lien
    Quel plaisantin passerait de longues heures à coller des mouches sur les plantes ?
    De nombreux témoins affirment avoir remarqué que les animaux n’aiment pas pénétrer dans les zones de crop circle, ceux-ci pouvant provoquer des nausées chez les humains.
    Les crop circle fraichement formés, émettent un son aigu d’environ 5Khz, et les plantes touchées poussent ensuite plus rapidement. lien
    Sur ce site, de nombreuses vidéos, photos, études, témoignages nous sont proposées et sur celui-ci, on découvre une description détaillée des dessins de crop-circle.
    Sur son site, le physicien  Jean Pierre Petit fait un résumé assez complet de la situation.
    Alors, s’agit-il de messages qui nous sont adressés, ou de simples canulars ?
    Le lecteur qui aura pris soin d’ouvrir tous les liens se fera une opinion..
    Car comme dit souvent mon vieil ami africain :
    « Quand ton filet est emmêlé, prend le temps de le démêler, le poisson ne va pas se sauver ».
    L’image illustrant l’article provient de « home-and-garden
    Autres références « the field guide  », « in search of alien Glyphs”, articles AgoraVox (1 et 2)

    par olivier cabanel (son site) mercredi 6 octobre 2010


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  • Etats d'âmes et émotions

     

    Prenez un journée type de votre vie, il y a finalement peu de moments où vous vous trouvez sous l’emprise d’une grande émotion forte.
    Alors que les petits sentiments et les petites turbulences vous touchent en permanence.
    Vous vous levez, votre humeur peut dépendre d’un rayon de soleil, d’une bribe de musique...
    Ces petits sentiments, mini émotions, micro turbulences sont des "états d’âme".
    Quelque chose d’essentiel se joue là, que nous avons trop tendance à négliger.
     
    merci à Rikiai

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  • Stonehenge et formations marsiennes


    Le visage de mars
    Cargado por kibuko. - Las últimas noticias en video.


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  • Le mystère lunaire

    extrait d'un article très intéressant visible en entier ICI

     

    Après un demi-siècle d’exploration spatiale, parmi toutes les agences spatiales confondues ayant envoyé des sondes orbitales autour de notre plus proche voisine - Russie, Etats-Unis, Europe, Japon, Inde - se pourrait-il que pas même une seule image de cet acabit ne soit disponible de nos jours, mise à disposition du grand public ? Ce serait a priori pour le moins absurde... Ô.o

     

    Alors je mets au défi quiconque de trouver sur la toile numérique une seule, rien qu’une seule image orbitale de la Lune d’une telle définition et en couleurs, ou avec une échelle approximative de 4 mètres.

    (le gagnant recevra un aller-retour pour un séjour détente d’une semaine pension complète sur Sélène ;)

     

    .oO( d’ailleurs le problème est le même pour les sondes envoyées en orbite autour de Mars, ou quand les images sont ’trafiquées’ )Oo.

    Rien qu’avec Hubble... Voici une image de Saturne prise par le télescope spatial (lien).

     


    Saturne se situe à une distance moyenne de 1,425 milliards km de la Terre.
    La Lune se situe à une distance moyenne de 385.000 km de la Terre.
    La Lune est donc 3700 fois plus proche que Saturne.
    Je vous laisse cogiter sur les opportunités qu’offrirait ce télescope par rapport à notre plus proche voisine.

    Les caméras sont-elles trop ’sensibles’ à la luminosité de la surface lunaire ?
    Eh bien non, malgré un agenda chargé, le télescope spatial a permis de photographier la Lune. Par exemple le cratère Copernicus. Mais le résultat est on ne peut plus décevant, et en noir et blanc. Pour rappel le diamètre du cratère Copernicus est de 93 km. Voici le résultat avec le nouveau télescope de 12 pouces ( 30 cm) de John Lenard Walson. Comment un amateur avec un télescope muni d’un miroir de 30 cm de diamètre peut-il obtenir quasiment la même qualité d’image de la Lune que des professionnels utilisant le télescope Hubble ? D’autant plus que ses images subissent les perturbations atmosphériques, contrairement à celles du télescope spatial.


    Pourquoi 90% des photographies orbitales lunaires sont-elles en noir et blanc ?
    Comment la NASA s’est-elle débrouillée pour égarer les bandes originales des premiers pas de l’Homme sur la Lune, comme elle l’a officiellement déclaré il y a quelques années ? Des milliers de boîtes correspondant à l’un des évènements les plus marquants de l’Histoire de l’Humanité. La moindre des choses serait d’appliquer les protocoles adéquats afin de surveiller et protéger ces rares et donc précieux documents, ce ’trésor national’, ce ’patrimoine de l’Humanité’. Peut-on croire à une telle maladresse ?

    Puis, aux dernières nouvelles, la NASA a avoué que ces bandes originales avaient été effacées puis réutilisées pour faire des économies (! !!). Sur les dizaines de milliards $ dépensés pour les missions Apollo, la NASA voudrait nous faire croire que ces images uniques ont été considérées comme dispensables, à cause d’un soit-disant manque de budget. Egarées, effacées, réutilisées, et demain ce sera quoi ?

    La JAXA (agence spatiale japonaise) a envoyé la sonde KAGUYA et a prétendu fournir de la haute définition couleur. Si par haute définition l’agence signifie qualité déplorable, la réputation japonaise en prend un sacré coup quant aux capacités technologiques et possibilités en imagerie. Ou alors les photographies mises à disposition du public sont ’bridées’ (sans mauvais jeu de mots) ce qui semble plus judicieux en terme d’explication.

    Quoi qu’il en soit, la technologie contemporaine permet - sans aucun doute possible - de photographier la Lune sous tous les angles via une sonde orbitale avec une résolution de quelques centimètres, voire millimètres par pixel, le tout en couleurs. Les clichés mis à disposition du public sont a fortiori dénaturés ou modifiés.
     



    Après avoir pris en considération tout ce qui précède, une question reste en suspens. Pourquoi aucun atlas complet HAUTE RESOLUTION COULEURS (et sans flous) n’est accessible à ce jour, ou n’a été entrepris par l’une des agences spatiales durant des décennies ? Ce qui est possible avec Google Earth - et encore les militaires ont accès à bien meilleure définition ou qualité (KH-12, etc...) - doit l’être tout autant pour Google Moon. La Lune n’est qu’à quelques jours de voyage. S’il n’y a rien à cacher là-bas c’est insensé ; le prétexte de la ’sécurité nationale’ n’aurait pas lieu d’être.

    Il ne s’agit pas de défendre ou faire l’apologie de telle ou telle ’théorie du complot’, mais plutôt de poser des questions légitimes voire primordiales. La conclusion qui découlerait de toutes ces étrangetés et bizarreries se résume en un point : l’Humanité n’a pas accès à un savoir des plus importants, et les autorités concernées se démènent pour cacher l’essentiel, il ne peut en être autrement.


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  • Projet Web Bot : qu'est-ce donc ?

    à Lisa Sion2

    Il existe actuellement 2 projets différents pour analyser la fluctuation de l’émotion globale de l’humanité à l’aide d’ordinateurs.
    - le “Global Consciousness Project” qui tire des conclusions en fonction de l’analyse des flux de nombres aléatoires
    -le projet WebBot qui scanne la “conscience” (ou “l’inconscient collectif”) de l’humanité sur le Web.

    A l’origine projet WEB BOT, qui a été lancé pour prédire les cours de la bourse, à fait parlé de lui. Les données recueillies auprès des WebBot ont été utilisées à l’origine sur les marchés financiers où la cupidité et la peur des masses est appelé à conduire la volatilité des prix. Le principe du projet WEB BOT est de lancer un tas de « robots » passant le web au peigne fin. Les concepteurs ont fait le paris suivant : En faisant un balayage systématique du web, ils comptent obtenir un résumé de l’inconscient collectif, et par la même occasion, une vision de l’avenir.
    Cet outil est censé pouvoir prévoir l’avenir sur le Web en se fondant sur les habitudes de navigation concernant les informations. Le WebBot conceptualise un futur modèle de comportement sur la base des nouvelles récentes et psychologique des requêtes des masses. cela peut pour certains ressembler être un type de l’IA (intelligence artificielle). Les WebBots ont prédit certains événements avec un niveau de précision qui méritent un examen sérieux.
    Ils ont déjà fait leurs preuves en août 2004, où ils ont prédit un grand tremblement de terre accompagné de vagues dévastatrice qui ferait 300 000 morts. Le tsunami à frappé en décembre 2004. La coupure de courant général sur la cote ouest des États-Unis en 2003, les ravages de l’ouragan « Katrina » en 2005. Plus étonnant encore, en juin 2001, ils ont prédit que dans les 60 à 90 jours suivant, se produirait un événement qui allait changer la vie des Américains. En Septembre, deux avions frappent les deux tours jumelles du World Trade Center. Pour l’avenir, les Web bots nous prévoient une guerre nucléaire de courte portée courant 2008-2009 …(à mon avis, nous ne sommes pas passé loin)
    Comment fonctionne cette machine ? Le ‘Webbot’ est une des techniques pour faire du “Web Scraping” (il y en a d’autres). En gros, c’est un programme qui fait de l’extraction de contenu en visitant les sites Web. II fonctionne un peu comme un robot de moteur de recherche et va fouiller dans les groupes de discussion, sites personnels et ceci en plusieurs langues…
    Le WebBot se concentre sur certains mots et à partir de ce point central, il met se mot en corrélation avec l’information universelle afin de quantifier ce mot par rapport à d’autres mots. Si la machine ne fait que se programmer elle-même, d’après les informations sur le Web alors comment ces décisions peuvent prendre effet effet la société car comme nous le savons l’Internet est remli d’erreur.
    Peut-être que dans un monde futur Internet ne sera plus un domaine public, ou peut-être le domaine public ne seront pas disponibles à une machine qui est capable de programmer lui-même.
    Comment de fait devrait être l’information pour le robot pour faire une saine des décisions sans avoir une saine programmeur en charge. Il a ses moments de brillance, mais en fin de compte, il est déjà corrompu avec moins de données précises.
    Pour ceux que ça intéresse sachez que le développement des droits à la technologie du Web Bot a été vendu à une société a été vendu à une société du nom de EbrainSpeed…
    Les données recueillies à l’occasion approchent les 100 Go la taille des échantillons et nous pourrions ont utilisé des téraoctets. Les données recueillies a ensuite été filtrée, l’utilisation d’au moins 7 couches de traitement linguistique en langage Prolog. (le langage de l’intelligence artificielle)
    Les données recueillies sont ensuite filtrées et ramené à des numéros et puis en résulte une série de carte de dispersion des parcelles sur de multiples couches IntelliCAD puis on analyse sur une période de temps donnée, le diagramme de dispersion des points et la tendance de ces derniers à se structurer en zones très concentrées. Chaque point sur le diagramme de dispersion peut représenter plusieurs centaine de mots.
    Pour définir un sens à cette analyse, des mots ou groupes de mots doivent être réduits à leur essence. Le processus est comme une recherche du “plus petit commun dénominateur” entre les groupes de mots.

    Le noyau de la technologie est donc de voir comment les nuages de points se condensent en “haute densité”, zones que nous appelons «entités» et on observe leur diffusion dans le temps en fonction du changement “entités”. Comment se fait la prédiction ? En naviguant de point en point, on obtient une série de phrases.
    Sur le site urbansurvival.com on trouve une explication du principe de la technologie “Web bot”

    Ce qui est intéressant lorsqu’on est dans ce type d’analyse c’est que parfois on dpoit un peu lire ces phrases sur le mode du I Ching (le livre chinois de l’évolution) parce que la technologie ne pas sortir et de dire “aller chercher une attaque terroriste là-bas” Ce qu’il fait est donne des phrases qui serait associé à la façon dont les gens parlent d’un événement, ou plus exactement, comment ils changent leur discours à tenir compte de leur processus de réflexion en raison d’un événement (après).

    Selon les travaux de Dean Radin du “Boundary Institute and the work of the Princeton Global Consciousness Project”, la technologie Web, semble fonctionner comme un domaine de la sensibilisation preconsciente.
    Comment fonctionne ce système ?
    Le Global Consciousness Project (GCP) est un projet en collaboration internationale, créé en 1998, pour étudier un aspect méconnu de relation de la conscience de l’homme avec le monde physique. Nous avons mis en place un réseau de générateurs numériques aléatoires (GNA) présents en plus de 50 points du globe, de l’Alaska aux îles Fiji, sur tous les continents, et sur la plupart des fuseaux horaires.
    Chaque seconde, chaque GNA produit un “essai” constitué du traitement de 200 bit. Ce processus peut être comparé à l’action de lancer 200 fois une pièce de monnaie, le résultat présentant une majorité de pile ou de face.

    Un réseau de générateurs aléatoires montre des anomalies de fonctionnement en relation avec des événements touchant des millions de personnes. Ces résultats interrogent l’image commune de notre monde, mais des analyses indépendantes confirment ce comportement inattendu et indiquent qu’ils ne peuvent pas être attribués à la physique ordinaire, ou aux champs électromagnétiques.

    Le second point évoqué dans le rapport de Dean Radin est qu’en laboratoire les gens réagissent à un évènement. En d’autres mot si vous devez être confrontés sur un écran à une horrible figure il y a aura des réactions physiques sensible dans les 6 secondes qui précède la projection de l’image.
    Dans des termes “quantiques” Radin en déduit que les gens sont capables de percevoir 6-secondes dans le futur.

    Il a remarqué la chose suivante au moment des attentats du 11 Septembre 2001

    Dean Radin et son équipe ont pu mesurer un formidable changement dans le comportement des générateurs de nombres aléatoires pendant la période précédent l’attaque, tant immédiatement avant celle-ci qu’au moment même ou l’évènement se produisait…

    Des nombres Soi-disant générés au “hasard” semblent devenir moins aléatoires immédiatement avant le 9 / 11.
    Les données attestent qu’autour du 11 Septembre un changement de la conscience globale de l’humanité a agi sur l’énergie électromagnétique des circuits informatiques dans le monde entier et particulièrement à mesure que l’on s’approchait de l’Amérique du Nord.

    Depuis Platon et son allégorie de la caverne, les gens ont le sentiment étrange que les choses tournent au niveau de l’archétype de la conscience. Les robots Web sont une tentative d’utiliser les données à haute densité de l’Internet à l’échantillon de langue et de rechercher l’évolution dans le langage employé qui, peuvent précéder un évènement. Les premiers résultats suggèrent que sur un plan macro-économique ces changements au niveau du langage peuvent se produire 45 à 90 jours avant l’évolution de la société. Sur une échelle beaucoup plus grande que Dean Radin l’avait suggéré dans son pour la première fois dans ses traveaux sur les nombres aléatoires des changements au niveau du language et des mots employés sont observables par l’échantillonnage de routine du trafic Internet.

    Ces résultats montrent à l’évidence que le monde “virtuel” et le monde de l’esprit humain sont liés d’une relation synchrone encore inconnue fonctionnant parfois comme un “Vortex”, un tourbillon d’informations concommitantes suggérant des évènements majeurs vers lequel tout semble concorder …
    Si l’on considère que le Webbot analyse les informations contenues et donc crées par des millions d’hommes, c’est en analysant le ressentit collectif de l’humanité qu’il détermine l’avenir… Ne vous est il jamais eu des pressentiments ( comme les animaux peuvent en avoir avant un tremblement de terre..) et un calcul de milliard de pressentiment… ca donne quoi ? le webbot…
    Nos ordinateurs, si on les considère comme des neurones sur le web, celui ci ressemble vaguement à un gros cerveau, virtuel créé par l’homme, et qu’on peut pas éteindre, il s’autoémule aquérant de nouvelles données en permanence. J’en viens a dire que les Web-Bots semblent percevoir dans une masse informe, une information, une sorte d’émotion majoritaire dans l’ensemble des signaux que s’envoient constamment les cellules (nous même) de la Matrice Terrestre, c’est à dire Gaïa… Il s’emblerait que nous ne soyons qu’au balbutiement de ce type de code extrêmement complexe. Il n’y a qu’à voir comment ont évolué les prédictions météorologiques grâce aux calculs informatiques. On peut imaginer que dans un avenir très lointain, dans un monde entièrement connecté dans une fusion homme machine généralisée, des ordinateurs permettront un degré de prédictibilité beaucoup plus élevé dans l’infinité des possibles nous plaçant alors par calculs ultra sophistiqués comme des spectateurs de ces situations somme toute encore virtuelles. Il faut envisager qu’il existe un jour des ordinateurs “quantiques” capable d’interpréter le futur “quantique”.

    Pour revenir à la façon de procéder des Webbots on peut dire qu’elle est extrêmement intéressante car en sondant l’inconscient collectif de l’humanité, elle permet l’expression d’une synchronicité globale à l’échelle de la planète.
    Pic de la Mirandole écrivait “qu’il existe une unité dans les choses par laquelle chacune est en accord avec toutes les autres”. Ainsi dans chaque évènement dans la vie d’un être humain on pourrait voir théoriquement la manifestation d’évènement globaux …
    Pythagore, lui, prétendait pouvoir expliquer le sens des rides de l’eau provoquées par le vent. Ainsi nous expliquait-on que le soi-disant “hasard” peut composer une lecture de la vie parfaitement organisée où tout serait lié et où rien n’est en fait inutile ou dépourvu de sens pour qui sait lire le grand livre de la vie. Il était donc ici question d’apprendre un alphabet universel et de saisir par les signes encore obscurs pour nous …
    Ces recherches (si elles s’avèrent exactes, et nous le saurons bientôt) tendraient à montrer que la théorie de Teilhard de Chardin et Vernadski sur la conscience collective ou noosphère ne serait pas complétement ridicule.
    Pour Vernadski il existerait une couche dans la haute atmosphère ou circulerait en permanence une conscience collective…

    ESSAI DE REFLEXION SPECULATIVE SUR L’ONTOLOGIE DE LA PROPHETIQUE TECHNO-HUMAINE DE TYPE “WEB BOT”
    Pour exister, cette “prédiction scientifique” qui n’est autre qu’une “révélation programmée d’un mythe collectif”, que l’on développe par la technologie le Web Bot, doit se fonder à la fois sur une psychologie et une physiologie sociale (considérer le global tel un être vivant dont nous ne serions que des cellules). Ce concept de physiologie collective n’est d’ailleurs qu’un cas particulier d’écosystème, notion qui s’applique bien au-delà de la sphère terrestre. Mais, si large soit-elle, une telle approche resterait encore purement descriptive. Pour atteindre au stade d’une explication déterministe, il faut également prendre en compte la dimension finaliste (mentale) du système, ce qui n’est guère possible pour l’instant qu’avec notre propre espèce. Dans cette perspective, les seules études convaincantes sur la physiologie générale (stricto sensu) du corps social, à savoir des modèles fondés sur le principe premier du feedback, sont les travaux de sociologie politique sur la participation démocratique (sur l’équilibre entre pouvoirs et contre-pouvoirs) et c’est justement cet élément qui s’avère instable lorsque l’on évoque la fameuse “libération du langage”. Vous aurez donc compris qu’avec la seule vraie démocratie le Webbot ne prévoira que ce que les peuples auront décidé à l’avance. Qu’ils ne vivront donc plus ni dans la peur, ni dans l’angoisse du lendemain.Vous verrez à quel point nous sommes tous manipulés par un systeme qui n’a jamais été démocratique, qui vit sur le dos des peuples et le désordre qu’il seme lui même. Pour ce qui est de la crise financiere, il s’agissait d’une évidence de tournant cyclique propre à l’oligarchie financiere, qui régulierement apres l’enrichissement encore plus massif des plus riches mets les peuples sur la paille.
    Au niveau de la sphère sociale on peut par exemple se contenter de décrire l’histoire française de façon purement interne (”physiologique”) en présentant son régime politique comme un système fortement oscillant, alternant gouvernements de droit divin et guerres civiles (195 au total !). Mais, vue de l’extérieur, il semblerait plutôt que notre “démocratie représentative” est un vice moral (global) de notre société. Et comme tous les troubles mentaux, il engendre ça et là (localement) :
    - des troubles physiologiques (dans les relations entre organes sociaux, dans ces organes eux-mêmes : gouvernement, entreprises, classes, etc.). La France est ainsi le pays de la Communauté le plus condamné pour atteintes aux droits démocratiques élémentaires
    - et des troubles comportementaux (dans les relations internationales). La France condamne bruyamment les pays totalitaires, mais n’agit concrètement qu’en fonction de son intérêt propre immédiat.
    Tout cela rejoint bien sur la psyché personnelle et l’on retrouve cette relation entre la psyché individuelle et la psyché collective qui fait aussi l’essence du mythe mais que l’on peut aussi percevoir sur un aspect spatio-temporel ou plutôt rétro-temporel. Tous les phénomènes de prédiction parapsychique sont en fait rétrotemporels (effets psi = négations observables de l’irréversibilité passé / futur, c’est-à-dire du principe de causalité) ; et cet aspect se manifeste couramment (normalement) dans tout activité libre, qu’elle soit consciente ou non.
    Par ailleurs, une “psychosomatique” – qu’elle soit individuelle ou collective – ne peut se décrire pertinemment (on traite de significations) qu’avec un temps circulaire. Par exemple, il y a quarante à cinquante mille ans, ce qui serait le début de la nouvelle espèce, l’homo sapiens, on estime que les femmes auraient fondé la culture moderne en corrélant leurs saignements menstruels (phénomènes de synchronisation des règles observé dans des groupes de femmes) et les périodes de chasse du gros gibier par les mâles. Cette “invention” aurait entraîné celle de la conception des cycles du temps (qui inspirent l’exactitude de la prédiction) … Outre que la culture moderne occidentale est entièrement fondée sur la causalité (linéaire), ces femmes n’aurait fait que constater un fait métaphysique, certainement connu déjà des sociétés humaines antérieures et vécu activement par tous les êtres vivants et les écosystèmes. Il faut donc au contraire dénoncer le monisme (notion métaphysique très ancienne qui veut que le monde ne soit formé que d’une seule réalité ou substrat fondamental) biblique et son opposé le dualisme grec, ces mythes qui ont vicié en Occident toute la réflexion ontologique… En intégrant à la fois les ontologies spécifiques qui ont un domaine de validité restreinte et correspondent à l’exécution d’une suite logique et programmée de paramètres, et les ontologies supérieures qui représentent des concepts généraux comme l’espace, le temps ou la matière, on aboutirait nécessairement bien à une ontologie formelle (de type Web Bot) qui serait un développement systématique, et axiomatique de la logique de toutes les formes et modes d’existence


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  • Le Royaume-Uni publie des documents secrets sur les Ovni

    Les archives nationales ont publié des centaines de documents concernant d'éventuels objets volants non-identifiés dans le ciel britannique.

     
      (Sipa) (Sipa)

    Le Royaume-Uni a publié, jeudi 5 août, plusieurs centaines de documents traitant d'objets volants non-identifiés (Ovni), jusqu'ici classés secret-défense.

    Les documents des archives nationales courent sur plusieurs décennies et contiennent de nombreux témoignages, notes et croquis relatifs à des observations "mystérieuses". Cette publication montre combien les "phénomènes aériens inexpliqués étaient pris au sérieux en 1957", pointe les archives nationales.

     

    Churchill et Eisenhower ont "décidé de le garder secret"

    Une note du ministère de la Défense évoque ainsi une lettre datée de 1999 selon laquelle un pilote de la Royal Air Force aurait été "approché par un ovni métallique" au retour d'une mission, en pleine Seconde Guerre Mondiale. L'auteur de la lettre anonyme affirme même que son grand-père a assisté à une réunion entre le Premier ministre britannique et le président américain de l'époque, Winston Churchill et Dwight Eisenhower, où ils ont "décidé de garder le secret" sur cet incident.

    Le ministère de la Défense indique n'avoir trouvé aucune trace de cette supposée rencontre.

     

    Un "ovni noir triangulaire" au-dessus du domicile d'un ministre

    Certains cas détaillés dans les documents ont été vérifiés et expliqués de manière rationnelle par le ministère de la Défense. Toutefois, la plupart restent inexpliqués.

    Une note de 1997 fait par exemple état d'un accident d'avion au nord de l'Angleterre où aucune épave n'a été retrouvée. On retrouve également la mention d'un "ovni noir triangulaire" vu au-dessus du domicile du ministre de l'Intérieur à la fin des années 1990.

    Autre exemple, un capitaine d'avion raconte avoir failli entrer en collision avec un ovni à l'approche de l'aéroport de Manchester, en 1995. Une version corroborée par un témoin au sol qui parle d'un appareil faisant "vingt fois la taille d'un terrain de football". Un phénomène qui n'a jamais été expliqué.


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  • Les prions semblent pouvoir se former spontanément

    Retrouvez toute l'actu de Futura-Sciences sur : Twitter Facebook Iphone et n'importe quel mobile à l'adresse http://m.futura-sciences.com/

    Par Claire Peltier, Futura-Sciences <script type="text/javascript"> var addthis_pub="futurasci"; var addthis_language = "fr"; var addthis_header_color = "#ffffff"; var addthis_header_background = "#000000"; var addthis_options = 'facebook, email, twitter, favorites, digg, delicious, myspace, google, live, technorati, linkedin, more'; var addthis_localize = { email_caption: "Email", more: "autres...", email: "Email"}; </script><script type="text/javascript" src="http://s7.addthis.com/js/200/addthis_widget.js"></script>

    Une équipe anglo-américaine a démontré la formation de prions dans un broyat de cerveau sain. Est-ce que le prion s’est formé spontanément, ou est-ce qu’une infime quantité de prion est naturellement présente en permanence dans le cerveau ? La question demeure.

    Les prions forment le seul agent infectieux uniquement constitué de matière protéique. Responsables des encéphalopathies spongiformes, maladies mieux connues sous les noms de vache-folle (bovine) et de Creutzfeldt-Jakob (humaine), les prions sont encore loin d’avoir livré tous leurs secrets. Alors qu’il y a quelques jours, la Commission européenne annonçait la fin de l’épidémie et l’assouplissement des mesures visant à protéger la population contre d’éventuelles contaminations, des équipes de recherche s’activent toujours pour mieux comprendre la maladie.

    D’ailleurs, de nouvelles études, publiées dans le journal PNAS, se sont révélées très intéressantes et remettent en question ce que l’on pensait savoir. En effet, jusqu’à présent, seule une contamination par ingestion ou contact avec un prion pouvait provoquer la maladie. Ainsi, le changement conformationnel de la protéine saine (PrPC), naturellement retrouvée dans les cellules, en prion pathogène(PrPSc), était attribué à la contamination par d’autres prions d’origine exogène. En réalité, il semblerait que les protéines PrPC puissent se convertir en prion de manière spontanée.

    Les chercheurs du Scripps Research Institute de Floride, et de l’Institut de Neurologie de l'University College London (UCL) en Angleterre ont fait cette découverte un peu par hasard, en s’intéressant à l’une des propriétés du prion : son attirance et son agglomération sur les éléments métalliques tels des câbles en acier.

    Les chercheurs voulaient comparer le pouvoir infectieux des câbles en acier couverts de broyats de cerveaux infectés ou de broyats de cerveaux sains. Pour cela, ils ont préalablement plongé les câbles dans du broyat de cerveau, puis ont déposé les câbles dans une boîte de pétri contenant une lignée cellulaire nerveuse issue de neuroblastome. Après trois jours d’exposition, le pouvoir infectieux des cellules nerveuses a été testé par la méthode de scrapie cell assay.

    Des cerveaux sains peuvent aussi être source de contamination

    Ce test, sensible même à des quantités minimes de prions, consiste en la mise en culture des cellules nerveuses pour favoriser la multiplication des prions, suivie de la réinjection des cellules potentiellement contaminées dans des cerveaux de souris : les rongeurs sont ensuite soumis à des tests pour vérifier l’apparition de la maladie.

    Ils ont ainsi mis en évidence le pouvoir infectieux de cerveaux sains puisque des souris se sont retrouvées infectées. Pensant que cela pouvait être du à une contamination suite à une mauvaise expérimentation, ils ont réitéré les manipulations avec beaucoup de précautions. Mais là encore, les cerveaux sains étaient toujours capables de transmettre la maladie aux souris.

    Deux interprétations peuvent être faites de cette étude : soit le métal favorise l’apparition de prions infectieux, soit le prion est naturellement présent dans le cerveau, mais son niveau est restreint par la dégradation rapide des nouvelles protéines pathogènes formées. Dans l’expérience, le câble ne ferait qu’augmenter le niveau de détection du prion au-dessus du seuil.

    L’une ou l’autre des hypothèses doit être confirmée, mais quelle que soit la réponse, la donne est changée puisqu'on sait maintenant que les protéines pathogènes peuvent se former en absence de contamination par d'autres prions.

    Note Webrunner: l'Union Européenne a autorisé à nouveau l'utilisation de farines animales dans l'alimention des bovins et ovins.


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  • MHD, l’énergie cachée du futur

    La traction animale à été supplantée par la vapeur, puis est venu le moteur à explosion, suivi de celui à réaction, et on peut s’étonner que depuis près d’un siècle, les avancées techniques soient encore si modestes.<o:p></o:p>

    Il existe pourtant une autre énergie, même si elle reste relativement confidentielle : la « MHD » (magnétohydrodynamique). lien<o:p></o:p>

    Le principe de la MHD consiste à faire circuler dans le milieu entourant une machine, un courant électrique.<o:p></o:p>

    Celle-ci, en même temps, va émettre un champ magnétique.<o:p></o:p>

    Selon la loi de Laplace, ce champ va exercer une force sur le courant, et donc sur le milieu où il circule. lien<o:p></o:p>

    Plus simplement, il s’agit d’un nouveau système de propulsion. C’est en quelque sorte l’art et la manière de se déplacer dans un fluide en agissant sur ce fluide avec des forces électromagnétiques. <o:p></o:p>

    Çà consiste à aspirer l’air que l’on a devant soi, ou au dessus de soi. A ce moment là, la machine construite suivant ce principe, arrive à faire le vide devant elle, et, comme elle a la pression atmosphérique derrière elle, çà la propulse à des vitesses qui pourraient atteindre théoriquement 15 000 km/h. <o:p></o:p>

    Pourtant, cette technologie est bien plus ancienne que l’on pourrait le penser. lien<o:p></o:p>

    Il semble bien que Wilfried Otto Schumann, au sein d’une équipe scientifique, aux mauvais temps de l’empire nazi, ait mis au point des engins volants qui utilisaient cette énergie.<o:p></o:p>

    Ils se basaient sur les recherches menées avant eux par des scientifiques célèbres depuis : Nicolas Tesla, Levetovlien<o:p></o:p>

    A la fin de la guerre, les USA auraient récupéré des plans, et des engins, afin de faire secrètement des expériences, ce qui pourrait expliquer les observations d’ovnis à proximité des installations militaires secrètes. lien<o:p></o:p>

    Dans un article récent, j’avais évoqué les travaux de l’équipe de W.O.Schumann, à qui l’on doit aussi « la théorie de la résonnance  » de la Terre.<o:p></o:p>

    Nikola Tesla avait dessiné dès 1880 les plans d’un moteur à champ magnétique rotatif.<o:p></o:p>

    Beaucoup plus tard, en 1951, Sakharov, avait proposé d’utiliser l’énergie émanant d’une explosion en énergie magnétique.<o:p></o:p>

    Il l’avait appelé principe d’accumulation magnétique. lien<o:p></o:p>

    En 1958, le physicien de l’université de Princeton, Russell M. Kulsrud évoquait la MHD afin de détourner les gaz chauds générés par les appareils plongeant dans l’atmosphère. Lien <o:p></o:p>

    L’américain Warren A. Rice a déposé en 1961 un brevet sur la propulsion MHD en milieu marin. lien <o:p></o:p>

    En mai 1964, Stewart Way fait une publication au sujet d’un sous-marin. lien<o:p></o:p>

    Le physicien nucléaire Stanton T. Friedman évoque dans un article de février 1968 (revue Astronautics and Aeronautics) la propulsion MHD dans le milieu aérien. lien<o:p></o:p>

    Dans ce document Claudio Bruno de l’université de Rome, Paul A.Czysz de l’université de Saint Louis, Missouri, et de S.N.B. Murthy de l’université de Purdue, en Indiana, expliquent en détail le fonctionnement de la MHD dans un milieu atmosphérique.<o:p></o:p>

    Le professeur Auguste Meessen à publié en 1973 plusieurs articles sur la propulsion MHD dans la revue Inforespace de la SOBEPS. lien<o:p></o:p>

    Dès 1975, Jean Pierre Petit, astrophysicien, mécanicien des fluides, physicien des plasmas et directeur de recherche au CNRS, publiait une note aux comptes rendus de l’académie des sciences de Paris, intitulée « convertisseurs MHD d’un genre nouveau  ». lien<o:p></o:p>

    Puis, l’année suivante il présentait avec Maurice Vitton l’idée d’accélérateur MHD à champ magnétique alternatif. lien<o:p></o:p>

    En mai 1980, ils avaient même proposé des expériences d’amateur, afin de construire et comprendre un accélérateur MHD. lien<o:p></o:p>

    Sur cette vidéo, il explique l’énergie MHD et donne des détails de sa théorie des mondes parallèles, ce qui est un autre débat.<o:p></o:p>

    Depuis, la MHD voit naitre régulièrement de nouvelles applications.<o:p></o:p>

    Au Japon, un prototype de moto magnétique hybride a été mis au point et on peut la découvrir sur cette vidéo<o:p></o:p>

    Avant cette moto, les japonais ont déjà fait un rouler un train à lévitation magnétique, le MAGLEV. Ce train est le plus rapide, le plus fiable, le plus silencieux, et surtout le moins polluant de tous les trains à grande vitesses actuels. lien. <o:p></o:p>

    Il a quand même couté un milliard d’euros, et roule depuis le 1er janvier 2004.<o:p></o:p>

    Sa vitesse habituelle est de 430 km/h, mais il pourrait théoriquement dépasser les 700 km/h.<o:p></o:p>

    Ils ont aussi mis un point un sous-marin MHD « le Yamato » qui peut atteindre sous l’eau la vitesse de 400km/h. lien<o:p></o:p>

    La revue « Science & Vie » en avait fait sa une en avril 1991.<o:p></o:p>

    Quelques temps après, le 19 juin 1992, ils ont fait naviguer avec succès dans la baie de Kobe, une vedette MHD de 185 tonnes, le Yamato 1.<o:p></o:p>

    Sur cette vidéo, on peut observer une démonstration de la MHD, et sur celle-ci, une application de la MHD sur une maquette de bateau.<o:p></o:p>

    Ce qui est étonnant, c’est que, malgré toutes ces applications, on entend rarement parler de cette énergie si prometteuse.<o:p></o:p>

    Il faut aussi évoquer le MEG (Motionless Electromagnetic Generator) appelé aussi moteur à énergie libre.<o:p></o:p>

    Il s’agit d’un générateur électromagnétique sans partie mobile qui comprend un aimant permanent et un cœur magnétique.<o:p></o:p>

    Ce générateur permettrait une économie d’énergie de 80%, sans provoquer ni chaleur, ni bruit.<o:p></o:p>

    Un japonais, Hokei Minato a appliqué cette invention à la fabrication de ventilateurs et climatiseurs et en a vendu près de 40 000 au Japon. lien<o:p></o:p>

    Mais revenons à la MHD<o:p></o:p>

    Elle pourrait avoir des applications plutôt contestables. lien<o:p></o:p>

    Pour empêcher un éventuel séisme, la Russie envisage en effet d’utiliser la MHD.<o:p></o:p>

    Au départ, il s’agissait uniquement de mesurer l’épaisseur de la croute terrestre.<o:p></o:p>

    C’est en expérimentant l’engin, que les russes ont découvert qu’il avait provoqué des « petites » répliques.<o:p></o:p>

    Les russes pensent donc avoir mis au point « machine à tremblement de terre  » basée sur le principe de la MHD. <o:p></o:p>

    En provoquant plusieurs petits séismes, ils pensent pouvoir empêcher un tremblement de terre. <o:p></o:p>

    Cette application soulève tout de même quelques questions, car si une expérience était menée sur une faille tectonique, on imagine sans peine quelles pourraient en être les conséquences. lien<o:p></o:p>

    Toujours est-il que beaucoup de secrets entourent encore la MHD, car comme aime bien dire mon vieil ami africain :<o:p></o:p>

    « On se repent plus souvent d’avoir parlé que d’avoir gardé le silence ».

     

    <o:p></o:p>

    La peinture numérique illustrant l’article a été réalisée par l’auteur.<o:p></o:p>

    par olivier cabanel (son site) jeudi 15 juillet 2010


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  • Ovni en Chine

     

     

    Posté il y a 14 heures et 26 mn

    par
    Booly

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    La municipalité de Hangzhou, capitale de la province chinoise du Zhejiang, a annoncé qu’un objet volant non identifié (OVNI) avait perturbé le trafic aérien à l’aéroport international de Xiaoshan dans la soirée du mercredi 7 juillet.

    L’information a été reprise par une chaîne de la télévision chinoise avec le titre : « Un vaisseau extraterrestre suspend le trafic aérien le 7 juillet 2010 » (vidéo).

    M.Nguyen, responsable de la communication de l’aéroport de Xiaoshan, à Hangzhou, a confirmé aux reporters que, dans la soirée du 7 juillet, tous les vols ont bien été suspendus, de 20H45 à 21H41, en raison de la présence d’un OVNI à proximité du terrain.

    http://www.mediapart.fr/club/blog/jean-charles-duboc/100710/un-ovni-provoque-la-fermeture-de-l-aeroport-international-de-xia

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  • La réponse de l’Animal

    Le sauvage prendrait-il le pas sur le domestique, et l’homme aurait-il beaucoup à apprendre des animaux ?<o:p></o:p>

    Si nous nous intéressons aux réactions de l’animal face à la maladie, la question devient pertinente.<o:p></o:p>

    Lorsque nous observons un animal en train de se soigner, nous mettons cela sur le compte de l’instinct, ou de l’intuition, en nous débarrassant en quelque sorte de la question, mais nous n’expliquons rien pour autant, ainsi que l’écrivait Abd-ru-Shin : lien<o:p></o:p>

    D’Aristote à Merleau-Ponty en passant par Descartes, chacun a essayé de définir l’intuition, mais la définir, n’est pas pour autant l’expliquer. lien<o:p></o:p>

    Cet instinct, cette intuition qu’ils ont, les aurions nous perdu au fil des siècles passés ?<o:p></o:p>

    Si nous n’avions des livres pour différencier, par exemple, les champignons mortels des autres, la mortalité aurait singulièrement augmenté chez les amateurs de chanterelles.<o:p></o:p>

    Pourtant les animaux, eux, n’ont pas besoin de livres pour écarter le danger.<o:p></o:p>

    Ils font même mieux que nous, ils connaissent parfaitement les plantes qui peuvent les soigner.<o:p></o:p>

    Chacun a pu observer, un jour ou l’autre, le chat qui choisit avec soin l’herbe qu’il va avaler, afin de se purger et d’évacuer les poils qu’il a ingurgité en se nettoyant. lien<o:p></o:p>

    Mais comment connait-il le pouvoir de ces herbes ?<o:p></o:p>

    Que dire aussi des pratiques animales, lorsque ceux-ci se vautrent dans la boue pour se débarrasser des parasites ?<o:p></o:p>

    De l’éléphant au cochon, en passant par l’hippopotame et le cheval, ces comportements sont connus. lien<o:p></o:p>

    Mais il y a mieux.<o:p></o:p>

    Dans le lac Natron, très riche en sel minéraux, les animaux blessés viennent se baigner pour guérir leurs blessures, tout comme dans le parc de Yellowstone, ou les Grizzli font de même en se baignant dans les eaux à forte teneur en soufre. lien<o:p></o:p>

    Les rênes de Finlande frottent leurs plaies contre la mousse, dont on connait maintenant les vertus antibiotiques. lien<o:p></o:p>

    Les lémuriens de Madagascar ont des nez très sensibles et se basent sur leur odorat pour déterminer ce qui peut se manger sans danger. lien<o:p></o:p>

    Mais ça ne nous explique pas pour autant quel parfum leur désigne les plantes dangereuses. <o:p></o:p>

    Les rats musqués utilisent pour soigner leurs blessures la résine des sapins : comment connaissent-ils le pouvoir de cette résine ? lien<o:p></o:p>

    Les phoques blessés ont choisis de s’enfouir dans des amoncellements d’algues, bien connues pour leurs propriétés antifongiques, et antibiotiques.<o:p></o:p>

    lien<o:p></o:p>

    Le psychologue Ronald K.Siegel a même prouvé qu’il arrivait aux animaux de s’enivrer pour apaiser leur souffrance, ou chasser un stress, tel ces éléphants, qui se saoulent volontairement en se goinfrant de fruits fermentés, et qui finissent par s’effondrer totalement ivres. lien<o:p></o:p>

    Parfois, la science a des réponses, comme par exemple dans le cas du brochet, ce redoutable prédateur, dont on connait aujourd’hui le tonotropisme. <o:p></o:p>

    Il semble que le poisson puisse percevoir de très loin, par ses pores sensitifs, les vibrations des pas d’un pécheur qui s’approche, et s’éloignera du danger. lien<o:p></o:p>

    Alors devant toutes ces questions restées souvent sans réponse, les scientifiques observent maintenant les animaux afin d’analyser les plantes qu’ils consomment lorsqu’ils sont malades.<o:p></o:p>

    C’est le travail que fait la vétérinaire Sabrina Krief. <o:p></o:p>

    Depuis plusieurs années, cette spécialiste de la zoopharmacognosie, étudie dans la brousse ougandaise le comportement des chimpanzés.<o:p></o:p>

    C’est ainsi qu’elle a découvert un jour qu’un chimpanzé malade, après avoir passé une quasi journée à ne rien avaler, avait choisi d’ingurgiter une plante qu’il ne consomme pas habituellement : du trichilia rubescens.<o:p></o:p>

    Sabrina Krief a donc analysé cette plante et a découvert qu’elle avait des propriétés antipaludéennes importantes.<o:p></o:p>

    Plus tard, en analysant le sang de ce chimpanzé, elle a eu la confirmation que l’animal souffrait du paludisme. lien<o:p></o:p>

    Pour quelles raisons n’avons-nous pas (ou plus) l’instinct, l’intuition de savoir quelles sont les plantes, ou les aliments qui soient capables de nous soigner ?<o:p></o:p>

    Au-delà de ces intuitions, les animaux ont aussi un autre avantage sur nous : la prémonition.<o:p></o:p>

    Face au danger qu’il perçoit, l’animal réagit bien plus clairement que l’homme.<o:p></o:p>

    Les publications sont pleines de témoignages racontant comment un chien, un chat, ou un autre animal pressentant un danger à venir, a permis de sauver des vies humaines. lien<o:p></o:p>

    Le docteur en biologie Rupert Sheldrake est porteur de théories passionnantes sur l’intuition, l’instinct, voire la télépathie. lien <o:p></o:p>

    A lire : (les pouvoirs inexpliqués des animaux / j’ai lu) lien<o:p></o:p>

    Pourtant certains hommes ont eux aussi un sens aigu de la prémonition, tel ces 24 rêves prémonitoires constatés par le psychiatre londonien John Barker. lien<o:p></o:p>

    Ces rêveurs britanniques avaient pressenti l’effondrement du terril sur l’école d’Aberfan, responsable de la mort de 116 enfants. lien<o:p></o:p>

    L’écrivain Morgan Robertson avait décrit dans son livre, (le naufrage du Titan) 14 ans avant la catastrophe, le Naufrage du Titanic.<o:p></o:p>

    Les différences entre la réalité et la fiction de son roman étaient minces.<o:p></o:p>

    Le navire, dans son livre s’appelait le Titan, il faisait 243 mètres de long (269 réellement), avait embarqué 2000 passagers (2230 pour le Titanic), n’avait que 24 canots de sauvetage (20 en réalité), et sombrait sur la ligne de New York, après avoir heurté un iceberg par tribord, tout comme le Titanic. lien<o:p></o:p>

    Récemment, dans les colonnes d’AgoraVox, un rédacteur (Gaétan Pelletier) évoquait cette prémonitoire nouvelle de l’écrivain Gustav Meyrink, évoquant, un siècle auparavant, la catastrophe pétrolière de Deepwater. lien<o:p></o:p>

    Pour cette raison, le PEAR (Princeton Engineering Anomalies Research) de l’université de Princeton, a lancé en 1998 le GCP (Global Consciousness Project).<o:p></o:p>

    Il a mis en place un réseau de 75 générateurs numériques aléatoires dans différents endroits du globe.<o:p></o:p>

    Les fluctuations enregistrées sur ces machines ont été très fortes le 10 septembre 2001, c’est-à-dire la veille de l’attentat sur les deux tours jumelles de New York. lien<o:p></o:p>

    Un jour peut-être comprendrons-nous pour quelle raison les animaux ont gardé cet « instinct », dont il ne nous reste que quelques traces ?<o:p></o:p>

    Car comme disait mon vieil ami africain :<o:p></o:p>

    « Tant que les lions n’écriront pas, les histoires de chasse seront toujours à la gloire du chasseur ».<o:p></o:p>

    par olivier cabanel (son site) lundi 5 juillet 2010


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  • Vin rouge et thé vert bénéfiques contre les cancers : c'est prouvé

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    Par Claire Peltier, Futura-Sciences <script type="text/javascript"> var addthis_pub="futurasci"; var addthis_language = "fr"; var addthis_header_color = "#ffffff"; var addthis_header_background = "#000000"; var addthis_options = 'facebook, email, twitter, favorites, digg, delicious, myspace, google, live, technorati, linkedin, more'; var addthis_localize = { email_caption: "Email", more: "autres...", email: "Email"}; </script><script type="text/javascript" src="http://s7.addthis.com/js/200/addthis_widget.js"></script>

    En France, on produit du bon vin rouge, c’est donc en France que l’on se devait d’en lever les secrets : c’est aujourd’hui chose faite puisqu’une équipe basée à Toulouse a enfin apporté l’explication biologique des effets anticancéreux du vin rouge, connus depuis longtemps.

     

    Si votre médecin vous prescrit un verre de vin rouge, ne soyez pas étonné ! Les effets positifs du vin rouge sur la santé sont connus depuis des décennies, sinon des siècles. Le French paradox (bienfaits du vin rouge sur le système cardiovasculaire) a d'ailleurs été dévoilé récemment. D'autres études ont également mis en lumière la relation entre la consommation de vin rouge (modérée bien entendu) et la diminution des risques de cancers, sans pour autant parvenir à en expliquer la ou les raisons. Les polyphénols (antioxydants) étaient suspectés d’y être pour quelque chose. On sait maintenant précisément quel est leur rôle.

    La voie de signalisation cellulaire nommée SphK1/S1P est impliquée dans la formation et la progression du cancer de la prostate (mais aussi d’autres cancers), ainsi que dans la résistance de la tumeur aux traitements existants. Une équipe de chercheurs de l’Institut de Pharmacologie et de Biologie Structurale à Toulouse s’est donc intéressée particulièrement à cette voie biologique et a testé les effets des antioxydants du vin et du thé sur ce processus biologique.

    L’équipe a montré que les polyphénols provenant du thé vert (la polyphénone E) ou du vin (trans-resveratrol) freinait la progression des cellules cancéreuses à la fois in vitro et in vivo, en inhibant justement la voie de signalisation SphK1/S1P.


    Le thé vert permettrait de réduire les risques de cancer ou d'en ralentir la progression. © Wikimol - Licence Creative Commons (by-nc-sa 3.0)

    Des effets préventifs

     

    Les chercheurs ont ensuite utilisé des souris génétiquement programmées pour développer un cancer similaire au cancer de la prostate humain. Les souris dont la voie SphK1/S1P était inhibée ou qui étaient traitées par les polyphénols du thé vert ou par les polyphénols du vin rouge ont vu la tumeur réduite par rapport aux souris non traitées.

    Les effets préventifs du thé ont également été testés en faisant boire à des souris de l’eau seule ou de l’eau contenant la polyphénone E. Les tumeurs par la suite greffées sur ces souris se sont développées beaucoup moins vite sur les rongeurs ayant bu le composé du thé, comparativement aux souris n’ayant bu que de l’eau.

    Si ces expériences apportent une explication scientifique convaincante aux bienfaits du vin rouge et du thé vert, elles sont aussi fondamentales pour la conception de nouveaux médicaments. Les structures des composés en question pourraient être mimées afin de créer des molécules actives ayant les mêmes effets. En attendant, profitez tout simplement de ces boissons naturelles, sans en abuser !


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  • L’hélicoptère d’Osiris

    Abydos, aujourd’hui médina al madfounah, est une petite ville située à environ 150 Km de Louxor. C’est un des plus anciens sites de l’Égypte pharaonique.
    Abydos est riche en monuments. De facture traditionnelle, ils permettent de considérer que c’est un des lieux privilégiés où a émergé la culture de l’ancien empire, confirmant ainsi les théories des historiens académiques.
    Seule fausse note, le temple de Sethi dont une salle hypostyle renferme de bien curieux hiéroglyphes. Une fresque représente en haut à gauche une machine qu’un enfant identifierait sans hésiter comme un hélicoptère. La ressemblance avec ce que nous connaissons est troublante. Même si des photos plus ou moins truquées ont circulé, celles tenues pour authentiques par les spécialistes sont bien étranges...

    Un curieux engin, et il n’est pas seul !
     
    L’engin représenté de profil comme toujours dans l’iconographie égyptienne montre une sorte de fuselage aérodynamique, le nez vers la droite, surmonté d’un long trait horizontal allant de l’avant vers l’arrière.
    Cette pale supportée par une structure massive (le moteur ?) n’est ni un effet souligné ni une fêlure de la roche, car elle est symétrique de part et d’autre de son axe et exactement à la place des pales d’un hélicoptère. Mieux, elle n’est pas tout à fait rectiligne. En l’examinant de près on distingue l’intrados et l’extrados que possède une aile rotative moderne. Enfin, à l’arrière, il y a un empennage vertical proportionné selon les critères aéronautiques de notre époque.
     
    A gauche de « l’hélico », appelons-le ainsi faute de meilleur vocable, apparaissent un bourdon et un poisson volant disproportionnés, puisqu’ils sont de la taille des engins représentés ensuite.
    Le bourdon peut être considéré comme le symbole du vol stationnaire et l’exocet comme celui du vol plané. Coïncidences ? Sous « l’hélico », apparaissent deux lignes de caractères d’une écriture non-égyptienne, présentant une analogie évidente avec les signes scripturaux cananéens antérieurs aux cunéiformes sumériens qui leur ressemblent. Les uns ou les autres n’ayant, en principe, aucune raison de se trouver en ce lieu.
     
    Entre « l’hélico » et les trois objets de droite dont celui du milieu est le mieux dessiné, trône un faucon (ou un aigle ?) symbole du vol dans bien des cultures et dans la plupart des armées de l’air actuelles.
    Enfin, sur la partie droite du haut-relief, sans effort excessif d’interprétation, on remarque deux objets effilés représentés en coupe, également dotés d’un empennage vertical et qui pourraient être au milieu un avion à réaction et dessous un hydroglisseur surmonté d’une coupole.
    Au dessus d’eux, figure quelque chose d’hydro ou d’aérodynamique qui a un air de ressemblance avec un sous-marin, une fusée, une torpille ou n’importe quoi d’autre, car le dessin reste trop sommaire.
     
    Des palimpsestes, évidemment !
     
     
     
    L’existence de cette incroyable fresque située à l’intérieur du temple, au sommet d’un linteau et donc peu visible sans attraper un torticolis a été d’abord niée par les égyptologues classiques. Tandis que les amateurs de soucoupisme et de 4ème dimension, discréditaient par leurs élucubrations les premières études véritablement sérieuses.
    Reconnaissons toutefois qu’il est bien difficile de ne pas laisser l’esprit battre la campagne face à une telle anomalie chronologique.
     
    Puis, ces sculptures ayant été étudiées, filmées et photographiées, sans qu’on puisse y déceler le moindre trucage, et présentées au public lors de conférences et dans les média, les pontes ont fini par admettre l’existence, puis l’authenticité de ces représentations impossibles, naguère qualifiées de grossières supercheries.
    Trouvant désormais une explication compatible entre la réalité et l’impensable : un palimpseste !
    Joli mot un peu précieux désignant la superposition ou le mélange de deux motifs pour en créer un nouveau ayant une forme étrange par pur hasard. Soit qu’un artiste plus récent ait voulu recouvrir ou modifier une œuvre antérieure, soit qu’une malicieuse érosion se soit chargée du travail.
     
    L’érosion par l’eau étant incompatible avec le climat, et celle par le vent de sable exclue dans un lieu fermé, de nouveaux pharaons auraient pu faire modifier d’anciennes inscriptions pour s’approprier les faits d’armes et les louanges de leurs aînés, ou les effacer de l’histoire.
    Ces mesquineries n’étaient pas rares… Et des superpositions malencontreuses auraient créé ces formes invraisemblables.
    L’explication tiendrait la route si l’on apercevait ne serait-ce qu’une seule trace de ces recouvrements. Or le trait est net, la roche lisse. Nulle part le burin du sculpteur ne semble avoir dévié, ni s’y être repris à plusieurs fois et à des époques différentes pour faire des rajouts. Enfin l’unité de style correspond sinon à un seul artiste du moins à une époque unique.
    Fallait-il que le faussaire soit un virtuose pour parvenir à un tel résultat !
     
    Des cachotteries qui s’ajoutent au mystère...
     
    Fait plus troublant encore, ces sculptures n’ont été découvertes qu’après l’effondrement d’un mur qui les recouvrait et derrière lequel elles étaient masquées. Comme si, déjà, en des temps très lointains, « on » avait décidé que ces sculptures incroyables devaient être soustraites au regard des hommes.
    Et aujourd’hui, cette salle n’est plus ouverte au public. Les « spécialistes » l’ont réservée pour leurs études... Car même s’il leur répugne de l’avouer, par crainte de ternir leur réputation, quelques égyptologues continuent de se pencher avec intérêt sur ces curieux palimpsestes.
     
    Enfin, et c’est là le point qui dérange le plus les traditionalistes, on doit insister sur le fait que nous avons quatre machines étranges les unes à côté des autres dans un seul et même haut-relief.
    Ce qui fait quand même beaucoup en s’en tenant strictement aux lois des probabilités.
     
    Un lieu bien particulier :
     
    Abydos est intéressant à un autre titre. Seth à qui est dédié ce temple est un dieu maudit d’origine inconnue. Le panthéon prédynastique l’ignore. Il personnifie le mal, le malheur et les catastrophes. Beaucoup de temples parmi les plus anciens lui sont dédiés. Ensuite, quand la civilisation est relancée, il disparaît...

    Seth aurait assassiné Osiris, et bien que diverses légendes rapportent les faits de façon différente, le conflit, le meurtre et l’étrange inhumation du « dieu mort » dans le temple de son meurtrier sont des éléments communs à toutes les variantes.
    Diverses inscriptions donnent à penser que dans l’antiquité, Osiris était représenté par une statue que l’on promenait comme une icône, lors de processions sacrées à Abydos, tandis que le tombeau qui lui est attribué pourrait avoir été occupé auparavant par la dépouille d’un des tout premiers rois thinite.
    A moins qu’Osiris n’ait été lui même un de ces premiers rois déifiés ?
     
    D’après Strabon, un puits souterrain près du temple de Sethi conduisait à un autre temple enterré, fait d’énormes blocs de pierres, plus imposants encore que ceux des pyramides. Longtemps on a tenu cela pour une légende. Jusqu’en 1914 quand Edouard Naville découvrit le puits d’Abydos.

    Déjà, l’architecture du temple à demi enterré de Sethi ne ressemble à aucune autre construction de l’ancien empire. Lorsqu’on avance vers ce qui est considéré comme la tombe d’Osiris, le plafond de la salle hypostyle est supporté par des colonnes de granit rouge d’environ cent tonnes chacune.
    Les représentations de machines étranges se trouvent là... Près du tombeau, vers lequel convergent plusieurs ouvertures, Naville dévoila un puits menant à un très grand réservoir souterrain, d’architecture cyclopéenne, en partie bouché.
     
    En examinant de près le soubassement du temple actuel, on s’aperçut qu’il avait été construit au niveau du sol, à une époque où le « réservoir » faute de meilleure appellation n’était lui-même qu’à demi-enterré. Le temple a donc été progressivement enseveli par les alluvions du Nil, crue après crue. Mais une telle accumulation de sédiments demande au moins dix mille ans d’après les spécialistes.
     
    Histoire et artéfact se télescopent
     
    Or toutes les fouilles effectuées tendent à prouver qu’il y a 12.000 ans, l’Égypte est pratiquement vide d’habitants. A l’exception de quelques chasseurs-cueilleurs nomades bien incapables de bâtir des monuments cyclopéens.
    Deux mille ans plus tard, des pré-néolithiques chassés par le dessèchement du Sahara vont se fixer au bord du Nil, où subsistent encore quelques forêts et lagunes, et où ils formeront progressivement des communautés villageoises de pêcheurs vivant dans des cabanes en boue séchée ou en torchis. Ceux-là non plus ne sont pas des bâtisseurs.
     
    Cette période va durer jusque vers 4500/4000 avant notre ère (début de la période Nagada) quand apparaît un peuple sédentaire capable de régulariser les eaux du Nil pour pratiquer l’irrigation, d’élever du bétail et de créer les premières bourgades fortifiées.
    Et selon la légende, c’est à Abydos qu’Osiris aurait enseigné l’agriculture et l’architecture aux hommes.
    C’est là également qu’émergent les concepts de résurrection après la mort avec la nécessité d’une momification pour y parvenir.
     
    En toute hypothèse, la géologie fait remonter à dix millénaires au moins le temple initial, le « réservoir », dont on peut penser qu’il a été bâti à l’air libre. Par qui et pourquoi ? Ne peut-on imaginer une civilisation évoluée qui, pressentant l’imminence d’une catastrophe, aurait voulu sauvegarder une partie de ses acquis pour les générations futures ?
    Ou encore des rescapés d’un grand cataclysme qui auraient essayé de nous transmettre, de façon pathétique, un dernier message ?
    L’étonnement nous permet de poser des questions auxquelles le réalisme nous interdit d’apporter des réponses péremptoires, faute d’éléments suffisants. Pour le moment, il faut et il suffit de prendre date en attendant d’autres découvertes.

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  • Présence de fragments d'ADN viral dans certains lots de vaccin Rotarix

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    Les laboratoires GlaxoSmithKline Biologicals ont informé l'Agence européenne du médicament (EMA) de la présence de fragments d'ADN d'un virus porcin de type 1 dans des lots de vaccin Rotarix distribués en Europe. Si ce virus ne présente aucun danger pour la de l'Homme, l''EMA recommande néanmoins "à titre de précaution" de ne pas réaliser de vaccination avec Rotarix jusqu'à ce que le comité scientifique européen ait réalisé un complément d'évaluation.

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    Le vaccin Rotarix est utilisé pour protéger les nourrissons à partir de six semaines contre les gastro-entérites causées par des infections à rotavirus. L'Agence européenne du médicament rappelle qu'un autre vaccin, le Rotateq, est disponible "dans la même indication".


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  • Une pile à combustible transforme le sable en énergie


    La Bloom Box va-t-elle révolutionner l'électricité?

     
    La Bloom Box, une pile à combustible aux promesses ambitieuses
    La Bloom Box, une pile à combustible aux promesses ambitieuses


     
    Sur le papier, la Bloom Box a de quoi faire rêver: un cube de 10 cm capable de produire assez d'électricité pour les besoins d'une maison, à partir d'oxygène et d'un combustible (gaz naturel, biogaz). Le tout, à un coût compétitif face au vieux réseau électrique. Google, eBay, Coca Cola ou encore Fedex utilise la technologie depuis plus d'un an et ne tarissent pas d'éloges. Mercredi, Bloom Energy, une start-up californienne restée dans l'ombre pendant huit ans, a présenté son bébé au public en présence de beau monde: le secrétaire d'Etat Colin Powell, le gouverneur Arnold Schwarzenegger, le cofondateur de Google Sergey Brin et le PDG d'eBay John Donahoe. Aurons-nous tous un cube dans notre garage d'ici 10 ans? Probablement pas, selon les experts interrogés par 20minutes.fr. Mais la technologie a indéniablement du potentiel.
    La Bloom Box est-elle différente des piles à combustible classiques?
    Oui et non. «Le principe est le même», explique Jack Brouwer, directeur-adjoint du National Fuel Cell Research Center de l'université d'Irvine, en Californie. La pile à combustible, mise au point en 1839, génère de l'électricité via une réaction chimique entre l'hydrogène (provenant par exemple d'un hydrocarbure) et l'oxygène. Le problème jusqu'à présent, pour cette technologie notamment employée dans des satellites, est son coût rendu élevé par des matériaux tels que le platine, utilisé comme catalyseur pour accélérer le réaction. La Bloom Box est, elle, «une pile à combustible à oxydes solides» qui génère de l'électricité via le mouvement des ions d'oxygène, précise Jack Brouwer. Avantage, selon le scientifique: «un coût de fabrication bien plus faible et une robustesse plus importante». «De nombreux acteurs sont sur ce créneau mais Bloom Energy semble le plus avancé dans l'intégration industrielle», selon lui.
     
    A combien ça revient vraiment?
    Le prix d'un «serveur» de 100 Kilowatts –de quoi alimenter 100 maisons européennes– coûte de 700.000 à 800.000 dollars, selon le PDG de Bloom Energy K.R. Sridhar. Il espère abaisser le coût à 3.000 dollars par maison dans les années à venir. Mais la grande nouvelle de mercredi, c'est le chiffre au kilowatt/heure annoncé: de 8 à 10 cents (de dollars), contre 11 cents en moyenne pour l'électricité provenant des centrales à charbon. «C'est une surprise», réagit pour 20minutes.fr Michael Kanellos, rédacteur en chef de GreenTechMedia, plutôt sceptique jusqu'ici. «Ce coût inclut le gaz naturel et la maintenance. Certes, il peut fluctuer avec le prix des matières premières et il tient compte des aides fiscales californiennes, mais réussir à être compétitif avec le charbon, le solaire et le vent, c'est fort». John Kluza, analyste chez Lux Research, est plus mesuré. «Sans les aides, on est plutôt à 14 cents, et encore en se basant sur un prix du gaz naturel bon marché. La population privilégiera d'abord le coût.»
     
    Faire de l'électricité avec du gaz naturel, est-ce vraiment plus vert qu'avec du charbon ou du nucléaire?
    Globalement, oui. Au rendement actuel, Bloom Box «produit avec la même quantité de carbone environ deux fois plus d'électricité» qu'une centrale thermique classique, selon Michael Kanellos. Même les centrales les plus modernes, très rares, «émettent 20% de CO2 en plus et de 50 à 80% de composés polluants supplémentaires», précise Jack Brouwer. Quant au nucléaire (beaucoup plus populaire en France, où il représente plus de deux tiers de l'électricité contre 20% aux Etats-Unis), «il n'est pas sans émission, notamment lors de la construction des centrales, les projets sont gigantesques et coûtent toujours plusieurs milliards que prévu, sans parler du problème des déchets», rappelle Michael Kanellos.
     
    eBay dit utiliser des Bloom Box alimentée à 100% par du biogaz provenant de déchets, pour un bilan carbone totalement neutre. Est-ce l'avenir?
    Partiellement. Le biogaz est limité en quantité et à certaines zones géographiques situées proches de déchetteries ou d'usines de retraitement des boues d'épuration. «Même si l'on maximise notre capacité, cela ne représentera pas plus de 20% de nos besoins», chiffre Jack Brouwer. «Mais 20% de nos besoins sans émission supplémentaire de CO2, c'est très loin d'être négligeable.».
    Et l'énergie solaire utilisée pour une pile à combustible, ça marche comment?
    Ce n'est pas pour tout de suite. Bloom Energy place l'horizon à 10 ans. L'idée: au lieu de stocker l'électricité solaire dans des batteries, on peut l'utiliser pour inverser la réaction de la pile à combustion (et ainsi obtenir de l'hydrogène et de l'oxygène à partir d'eau et d'électricité). Ensuite, rebelote dans l'autre sens. «Pour l'instant, les pertes sont trop importantes, mais c'est une piste», d'après Jack Brouwer.
     
    A quoi ressemblera le futur à un horizon de 10 ans?
    A un panachage de technologies. Une solution décentralisée comme Bloom Box, si elle tient ses promesses, a son intérêt, selon les chercheurs. Plutôt avec un serveur par voisinage qu'une boîte par maison, pour l'entretien et permettre de mieux «moyenner» les besoins. Le réseau électrique ne disparaitra pas du jour au lendemain, mais des entreprises comme EDF ou General Electrics pourraient songer à acheter du courant à des «serveurs» Bloom Box (ou d'autres), comme elles le font déjà auprès des centrales. Du côté des voitures, Michael Kanellos voit bien une solution mixte: «des batteries pour les petits trajets et une pile à combustion pour les plus longs». Malheureusement, la voiture Retour vers le futur, qui utilise directement des déchets, ne semble pas réalisable pour l'instant.
    Philippe Berry

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  • L’Eau est consciente !

    the great mystery of water. l’eau nous rappele que tout vit. "tout n’est que âmes" Victor Hugo
     
    De tous temps l’eau était la part la plus importante de la société des aom et de leurs productions et interactions avec leur univers.
     
    L’eau est à la base de la vie, elle a produit plus de 80% de votre corps et vous ne pouvez vous détacher d’elle à moins de mourir très vite. L’eau est la matrice, la source , le fleuve et l’océan à la fois. L’eau est seule à savoir être aussi fluide que cristaline que gazeuse.
     
    Observez un coteau drapé de neige.
     
    Chaque flocon de neige est absolument unique. Chaque flocon inscrit dans sa composition tout ce qu’il vit, entend et ressent. 
     
    Observez le même coteau enneigé, il a déjà changé pour vous.
     

    L’eau est sans doute l’élément le plus sacré en quelque monde que ce soit.

     
    Notre rapport à l’eau nous montre notre rapport à nous-mêmes. Notre rapport à l’eau définit notre civilisation.
     
    L’eau peut faire fonctionner les moteurs, une seule goutte soumie à hute tempérture et voilà qu’elle grossit de 17000 fois sa taille d’origine, une force prodgieuse donc et l’hydrogène n’a de loin pas montré tout son potentiel par mnque de moyens accordés aux recherches. Tout part à l guerre des Rothschilds encore.
     
    Nous maltraitons l’eau comme nous maltraitons les animaux parce que nous sommes maltraités.
     
    Nous combattons jusqu’aux bactéries alors qu’elles renforcent notre système immunitaire et nous tuons l’eau avec de trop fortes doses de chlor. Nous devons réapprendre l’importance de notre lien avec les équilibres et les éléments basiques du vivant car sinon nous en souffrons très directement et cela n’arrange que les empereurs des industries pharmaceutiques et nous ne connaissons plus la saveur du vrais pain nourri aux ions énergétisants du feu de bois.
     
    Un cercle vicieux dont il faudrait impérativement sortir au lieu de suivre les ensorceleurs qui nous font avaler depuis 4000 ans que nous avons absolument besoin d’armements toujours plus sophistiqués quand nous pouvons très bien nous entretuer à mains nues.
     
     
    ...

    Ce simple fait, ce mensonge éhonté, pervertit tous les fonctionnements internes de l’occident et pollue l’eau vitale, physique, émotionelle et spirituelle, de chacun.
     
    Il est temps de digérer et de bien regarder ce simple fait en face et en profondeur.
     
    Quel meilleur moyen que de s’adresser directement à la concernée, celle qui nous donne jusqu’à notre conscience ?
     
     
     
     

    voici le lien vers le site des concepteurs du documentaire, certainement un des plus importants de la décennie ? http://www.youtube.com/watch?v=S5wN0qGu1gI


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    Homosexualité et génétique


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  • CANCER de la PROSTATE : Un anticorps détruit les tissus cancéreux
     
    (permet également un dépistage fiable)

    Une équipe de chercheurs de l'Université de Pennsylvanie vient de conclure, à l'issue d'une étude sur les souris, qu’un anticorps, F77, se fixait aux cellules cancéreuses de la prostate et provoquait la destruction des tissus cancéreux. Cette étude publiée dans la dernière édition de la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) laisse espérer un nouveau traitement du cancer de la prostate, particulièrement des cancers de la prostate métastatiques androgéno-indépendants.

    Le cancer de la prostate est le premier cancer chez l’homme avec plus de 62.000 nouveaux cas et 10.000 décès estimés par an en France. C’est un cancer de bon pronostic avec un taux de survie de 88% à un an et de 57% à 5 ans. Le risque de décès par cancer de la prostate augmente avec l’âge, 88% des décès survenant après 70 ans et 75% après 75 ans. Son surdiagnostic, responsable de la réalisation de biopsies inutiles est proche de 30%. Son dépistage est effectué par dosage sérique du PSA sérique total. Mais 2 études récentes sur le dépistage du cancer de la prostate publiées dans the New England Journal of Medicine, l’étude européenne (ERSPC) et l'étude américaine (PLCO) sont partagées sur l’efficacité sur la mortalité d'une procédure de dépistage systématique.

    Les chercheurs recherchaient des marqueurs de diagnostic et de nouvelles approches thérapeutiques pour le cancer de la prostate. Au cours de leur recherche, ils ont identifié un anticorps capable de se lier à un antigène de la surface cellulaire des cellules cancéreuses prostatiques.

    L’étude publiée a été réalisée sur des souris qui ont reçu des d’anticorps F77. Le F77 s'est fixé dans 97% des cas sur les cellules cancéreuses primitives et dans 85% des cas sur les tissus cancéreux avec métastases. Le F77 reconnaît donc également les cellules cancéreuses androgéno-indépendantes présentes quand le cancer devient incurable. Il déclenche la destruction des cellules cancéreuses de la prostate et prévoit le développement des tumeurs", indiquent les chercheurs. Enfin, l’étude démontre que l’anticorps F77 est aussi un marqueur unique du cancer de la prostate.

    Un espoir important pour le diagnostic et le traitement du cancer de la prostate, concluent les chercheurs.

    Sources :PNAS« Suppression of human prostate tumor growth by a unique prostate-specific monoclonal antibody F77 targeting a glycolipid marker”,


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