• Des citoyens au rabais, les juifs séfarades en Israël

     

    Des citoyens au rabais, les juifs séfarades en Israël

    Invitation à lire : Ella Shohat, Le sionisme du point de vue de ses victimes juives. Les juifs orientaux en Israël, La Fabrique, Paris, 2006, 124 pages, 8 euros.

    Qui sont les victimes du sionisme ? Les Palestiniens évidemment. Mais sont-ils les seules victimes de ce mouvement colonial ? A cette question, Ella Shohat répond clairement par la négative, en affirmant que le sionisme a aussi produit ses victimes juives (1). Universitaire d’origine israélienne, Shohat enseigne depuis de nombreuses années à New York. En Israël, à l’exception de cercles très minoritaires, elle a, depuis toujours, été complètement ostracisée par le monde universitaire et intellectuel.

    Sans constituer une autobiographie, l’essai de Shohat raconte aussi son histoire à elle – femme, juive arabe, et de surcroît antisioniste –, ainsi que celle de ces nombreux Israéliens qui, nés dans la culture arabe, n’ont jamais pu, pour cette raison, être reconnus comme de véritables membres de la communauté nationale israélienne, à plus forte raison de ses élites.

    Le mouvement sioniste est né, au début du XXe siècle en Europe, comme une tentative de réponse à l’antisémitisme. Ses idéologues et ses pionniers ont tous été les enfants de la culture européenne, coloniale et moderniste, y compris de son racisme envers tout ce qui n’était pas européen. Désirant faire émigrer les communautés juives du monde arabe – par besoin d’une main-d’œuvre habituée aux travaux difficiles et pas beaucoup plus chère que la main-d’œuvre arabe indigène, ou pour réaliser le rêve d’un « retour » des communautés juives vers leur patrie historique –, les dirigeants sionistes n’ont jamais su considérer ceux qu’ils nommaient leurs « frères des communautés orientales » comme de véritables égaux.

    Certaines des communautés juives les plus anciennes du monde, tels les Juifs d’Irak ou du Yémen, ont été véritablement manipulées pour venir renforcer le jeune Etat, la direction sioniste n’hésitant pas à utiliser des méthodes terroristes pour faire fuir les Juifs de leurs pays, comme dans le cas de la communauté juive irakienne dont est issue Shohat.

    Si certains dirigeants sionistes n’ont jamais caché leur racisme antiséfarade, la majorité d’entre eux avaient plutôt un regard paternaliste, promettant une place égale aux nouveaux immigrants juifs arabes, après une période de socialisation et d’adaptation à la modernité, ashkénaze comme il s’entend. Victimes d’un déracinement qu’ils ne désiraient pas, les Juifs arabes immigrés en Israël sont, pour l’auteur, des réfugiés. Certes privilégiés par rapport aux réfugiés palestiniens, mais réfugiés quand même, et victimes d’une discrimination structurelle et d’un racisme plus ou moins déclaré.

    Cet essai a été publié, en anglais, dans la revue new-yorkaise Social Text, en 1988, au moment où, en Israël, la seconde génération de ces victimes juives du sionisme commençait à remettre en question l’hégémonie ashkénaze, d’abord dans le champ politique puis dans le champ culturel. Pourtant, ce n’est qu’en 2001 qu’il a été traduit et publié en hébreu… par le Centre d’information alternative – une organisation de la gauche radicale – et la jeune maison d’édition Kedem, spécialisée dans la publication d’auteurs juifs arabes. C’est-à-dire encore dans la périphérie de l’hégémonie culturelle israélienne.

    Pourtant, au moment où ce texte fondateur est enfin publié en Israël, il n’est plus totalement isolé. Des écrivains comme Sami Shalom Chetrit, des chercheurs comme Yehuda Shenhav, des cinéastes comme David Ben Chetrit (2) sont enfin reconnus à leur juste valeur et commencent à trouver leur place. Ils portent tous un regard extrêmement critique sur les fondements racistes de la société israélienne, et, pour la plupart, remettent en question le sionisme aussi pour ce qu’il a commis à l’encontre de ses victimes palestiniennes.

    Michel Warschawski
    Journaliste, animateur du Centre d’information alternative (Israël).


    votre commentaire
  • Israël fait des expériences sur les prisonniers palestiniens

    Un responsable de l’Autorité palestinienne, cité par The Jerusalem Post, a déclaré qu’Israël ne faisait pas assez pour maintenir les prisonniers palestiniens en bonne santé.

    Lors d’un entretien à l’agence de presse palestinienne Palestinian Ma’an, Issa Karaki, ministre des Affaires des prisonniers, a indiqué la récente découverte de 25 cas de cancer parmi des prisonniers palestiniens.

    « [Cela] est révélateur du peu de soins médicaux qui leur sont prodigués », a-t-il affirmé.

    « Il y a au moins 1 500 prisonniers qui ont besoin d’un traitement médical urgent », a poursuivi Karaki. Selon lui, l’Etat hébreu mène des expériences sur les détenus palestiniens.

    Le ministre de l’AP a également demandé une intervention de la communauté internationale sur cette question et a appelé l’Organisation mondiale de la santé à enquêter sur le déclin de l’état de santé des
    prisonniers palestiniens enfermés dans les geôles israéliennes.


    votre commentaire
  • Biographie V. Hoffenberg

     

     

    PORTRAIT DE VALERIE HOFFENBERG

     

    Après 14 années passées dans une société d’import-export vendue en 2000, Valérie Hoffenberg décide de s’investir dans le monde associatif. Elle intègre alors le bureau français de l’American Jewish Committee (AJC) dont elle devient directrice en 2004.

     

    Cette organisation non gouvernementale vise à défendre les droits de l’homme, les valeurs démocratiques, le pluralisme, la lutte contre l’antisémitisme et toutes les formes de racisme. Son objectif  est aussi  de consolider les relations entre l’Europe et les Etats-Unis, et plus particulièrement avec la France, en renforçant le dialogue entre les deux continents.

     

    VOIR AUSSI :

      Le 3eme pilier 


    votre commentaire
  • Sarkozy a une curieuse conception de la paix au Proche-Orient

    Posted By Albator On 29/8/2009 @ 5:05 In General, International, Politique, Proche Orient | No Comments

    Valerie Hoffenberg, UMP et directrice pour la France de l’American Jewish Committee, principal lobby sioniste américain, vient d’être chargée par sarkozy de veiller au processus de paix au Proche-Orient. La “messe” est dite.

    L’Agence france presse (AFP) annonce en effet que Nicolas Sarkozy a nommé la conseillère UMP de Paris Valérie Hoffenberg “représentante spéciale de la France pour la dimension économique, culturelle, commerciale, éducative et environnementale du processus de paix au Proche-Orient”.

    Egalement directrice pour la France de l’American Jewish Committee, une association juive très influente aux Etats-Unis, Mme Hoffenberg sera notamment chargée de prendre “toutes les initiatives concrètes” susceptibles de créer “un climat favorable à la paix dans les domaines économique, culturel, éducatif et environnemental”, indique la lettre de mission du chef de l’Etat.

    “Comme le rappelle le courrier de Nicolas Sarkozy, rendu public par la présidence, Valérie Hoffenberg a notamment participé à Bethléem (Cisjordanie) à la création d’un parc industriel réunissant entreprises publiques et privées.
    La représentante spéciale sera placée sous l’autorité du ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner”
    , précise l’AFP.


    votre commentaire
  • ça s'est passé loin de chez vous.


    votre commentaire
  • Pas d’excuses pour Israël, selon le Premier ministre suédois

     

    Pas d’excuse pour Israël, selon le Premier ministre suédois

    Press TV, 22 août 2009

          Le Premier ministre suédois déclaré que son pays ne s’excusera pas pour l’article d’un journal suédois accusant Israël de tuer des Palestiniens pour les dépouiller de leurs organes.

          Fredrik Reinfeldt a déclaré samedi à l’agence de presse suédoise TT : « Personne ne peut exiger que le gouvernement suédois viole sa propre constitution. La liberté d'expression est un élément inévitable dans la société suédoise. »

          Le haut diplomate suédois a également exclu tout projet de présentation d’excuses à Israël.

          Carl Bildt, le ministre des Affaires étrangères suédois, a déclaré aux informations radiodiffusées : « Le gouvernement n’a pas à faire la critique des articles ou de ce que publie la presse. Ce n'est pas son travail. »

          Dans un article intitulé « Ils dépouillent nos fils de leurs organes, » le quotidien Aftonbladet a signalé que des soldats israéliens enlèvent de jeunes Palestiniens en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza et rendent leur corps à leur famille après avoir prélevé les organes.

          La famille de Khalid, un Palestinien de Naplouse, a déclaré à Donald Bostrom, qui a rédigé l’article publié le 17 août : « Nos fils servent de donneurs d'organes non consentants. »

          Bostrom a déclaré à Press TV que l'enquête internationale sur les crimes de guerre est en instance sur la récolte d’organes de Palestiniens morts des soldats d’Israël.

          Le journaliste indépendant a souligné que la Cour Internationale de Justice, le principal organe judiciaire des Nations Unies, étudie probablement le rapport.



    votre commentaire
  • The Body Snatchers d'Israël

    LES  AUTEURS DU KIDNAPPING DES CORPS EN ISRAEL

    Indépendamment de l'article publié récemment par le journaliste suedois Donald Boström sur le meurtre des Palestiniens par les Israéliens, pour la récolte d'organes à des fins de trafics , et indépendamment des cris d¹orfraies hystériques et des dénégations israeliennes, je tiens à présenter à mes lecteurs ce que j'ai vu, entendu et observé au cours de mes 22 ans de de travail de journaliste sous occupation militaires israelienne en Cisjordanie et à Gaza.
     
    Mon expérience personnelle confirme ce qu¹écrit  M. Boström: bien que je ne sache rien du cas qu'il décrit, celui-ci est typique de ce que les Israéliens font tout le temps en Palestine, typique de ce qu¹est la "norme"
    depuis le début des années soixante-dix.
     
    C¹est dès le début des années 1970 que les occupants  militaires israéliens ont  commencé à capturer et à garder les corps de Palestiniens qu¹ils avaient assassinés.
     
     Dès le début des années soixante-dix, des milliers de Palestiniens ont été enterrés dans de multiples tombes gardées secrètes par les militaires israeliens.. Dès le début des années 70 des milliers de Palestiniens victimes de l¹occupation ont été « autopsiés » et nombre de leurs corps gardés dans des tombes militaires numérotées. La plupart des membres de la résistance assassinés ont été emmenés pour « autopsie » et d¹autres qui n¹étaient que blessés ont été enlevés de l,hopital par des Israeliens. Cette pratique est devenue moins répandue seulement quand l¹Autorité Palestinienne a commencé à gouverner , c¹est à dire que dans les zones controlées par l¹Autorité Palestinienne les personnes tuées n'ont plus  jamais été "autopsiées", mais que c¹était encore le cas pour les personnes tuées ou blessées dans les zones contrôlées par les Israéliens
     
    Le commandement militaire israélien, le Commandement Central et le soi-disant Ministère de la «défense»,  ne peut pas cacher ces faits parfaitement bien connus: l'armée israélienne assassine tout le temps des personnes, et la plupart sinon la totalité des assassinés sont emmenés pour "autopsie", nombre d'entre eux sont enterrés dans des cimetières militaires israéliens dans des tombes secrètes numérotées.


    votre commentaire
  • Négociations israélo-arabes: Obama se couche devant l’AIPAC

    ObamaAIPACLes Etats-Unis semblent céder à l’AIPAC (Comité de soutien à Israël) et font désormais marche arrière sur la question de la colonisation juive dans les Territoires occupés, indiquant qu’un gel total des activités de construction ne représentait pas une condition préalable à une reprise des négociations de paix avec les Palestiniens.

    Officiellement, la position de l’administration du président Barack Obama sur la colonisation “n’a pas changé” mais l’objectif principal est de relancer les négociations entre Israël et les Palestiniens, a déclaré un porte-parole du département d’Etat, Philip Crowley.
    “Il ne faut pas oublier l’objectif que nous souhaitons atteindre”, a ajouté le porte-parole au cours d’un point de presse. “La clé, ce sont les négociations”.

    “Nous espérons obtenir des négociations formelles permettant de parvenir à un règlement entre Israéliens et Palestiniens, dans le cadre de notre projet de paix globale au Proche-Orient”, a-t-il poursuivi.
    Un haut responsable du département d’Etat, s’exprimant sous le couvert de l’anonymat, a reconnu que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, résistait aux appels de Washington à geler totalement la colonisation.

    Washington cherche maintenant à savoir si les Palestiniens et leurs alliés arabes accepteront un compromis pour reprendre les négociations, suspendues depuis la fin 2008, a-t-il expliqué.


    votre commentaire
  • Netanyahu veut des "sanctions paralysantes" contre l'Iran, évoque la Shoah (pratique non?)

    Par AFP, publié le 27/08/2009 à 12:59 - mis à jour le 27/08/2009 à 19:41

    BERLIN - Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a demandé jeudi des "sanctions paralysantes" pour empêcher l'Iran de se doter de l'arme nucléaire, au cours d'une visite à Berlin empreinte du souvenir de la Shoah.

    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu serre la main de la chancelière allemande Angela Merkel, à Berlin, le 27 août 2009

    AFP/John Macdougall

    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu serre la main de la chancelière allemande Angela Merkel, à Berlin, le 27 août 2009

    A l'occasion d'une conférence de presse commune avec la chancelière allemande Angela Merkel, M. Netanyahu a exprimé l'espoir de pouvoir reprendre les négociations de paix avec les Palestiniens "d'ici à un mois ou deux".

    Mais il a surtout insisté sur la menace que représente, selon lui, le programme iranien d'enrichissement d'uranium.

    "Le temps presse", a-t-il déclaré. "L'Iran dit qu'il veut rayer mon pays de la carte du monde". "La chose la plus importante que nous puissions mettre en place sont des sanctions paralysantes. Il est possible d'exercer des pressions réelles sur le régime de Téhéran".


    votre commentaire
  • FINKY TRAINING (niveau hard)


    votre commentaire
  • Heny Makow: “Hitler était une aubaine pour Israël”

    Reproduction Interdite

    Tous droits réservés SpreadTheTruth.fr

    Traduction réalisée par l’équipe de SpreadTheTruth.fr

    Si Hitler n´avait pas existé, il aurait fallu que les sionistes l´invente. C´est peut-être ce qu´ils ont fait.

    Les chiffres (tirés de The Transfer Agreement d´Edwin Black) en disent long. En 1927, environ 15 000 des 550 000 Juifs d´Allemagne se considéraient comme Sionistes. Ce chiffre représente moins de 2%.

    La grande majorité des Juifs allemands « ont violemment rejeté le sionisme comme ennemi. » Ils étaient des allemands. Quatre-vingt mille d´entre eux ont combattu dans les tranchés et 12 000 sont morts. « Nulle part au monde, l´opposition des Juifs [au sionisme] n’a été aussi généralisée, conforme à un principe et féroce qu´en Allemagne, » écrit un historien sioniste. (168) Grâce à Hitler, 60.000 Juifs Allemands ont émigré en Israël en 1933 et 1941.

    En vertu d´un « Accord de transfert » signé entre les Nazis et les sionistes, les biens des Juifs évaluées à 100 millions de dollars ont été transférés en Israël sous forme d´exportation de produits industriels allemands utilisés pour la construction des infrastructures d´Israël.

    L´Accord de Transfert a permis d´apporter des instruments, des matières premieres, des équipements lourds, des équipements ménagers, des équipements agricoles ainsi que de la main-d´œuvre et le capital pour financer l´expansion. C´est ainsi que la plupart des industries israéliennes telles que les textiles et le système hydraulique ont été créés. (373,379.)

    C´était à une époque où il n´y avait que 200 000 Juifs en Palestine, parmi eux, de nombreux religieux juifs anti-sionistes. Le salaire journalier d´un travailleur juif en Palestine s´élevait à un dollar par jour. Il y avait 800 000 arabes Palestiniens

    GRÂCE À HITLER

    Grâce à Hitler, le noyau de la communauté juive d´Allemagne a été transféré en Palestine en même temps que leurs biens. « La plupart de ces gens étaient autorisés a transférer et reproduire les répliques de leurs maisons et de leurs usines, et la fausse copie de leur propre existence. » En 1937, lorsque les Anglais ont proposé de diviser <st1:personname productid="la Palestine" w:st="on">la Palestine</st1:personname> en deux Etats, les Nazis se sont demandés s´ils ne se sont pas trompés en créant un « Vatican juif », qui causerait la chute de l´Allemagne. Mais Hitler a triomphé. des contestataires ont insisté pour que l´application de l´Accord de Transfert se poursuive et même qu´il soit étendu à d´autres pays. C´est ainsi que l´Italie, <st1:personname productid="la Roumanie" w:st="on">la Roumanie</st1:personname>, <st1:personname productid="la Hongrie" w:st="on">la Hongrie</st1:personname> et plusieurs autres pays dominé par les fascistes ont signé des accords similaires. Hitler vouait une telle haine envers les juifs qu´il a construit un pays pour eux. Il aurait pu saisir tous leurs biens et les chasser, mais cette attitude aurait été antisémite.

    Que avantage en a-t-il tiré ? En réalité, les sionistes participaient à l´expansion du commerce nazi en revendant les produits allemands dans tout le Moyen-Orient. Oui, ils ne se livraient pas seulement aux échanges commerciaux avec les Nazis, ils agissaient en qualité d´agents du régime hitlérien. Les Nazis ont importé une grande quantité d´oranges de Jaffa en se débarrassant de nombreux Juifs.

    Le Congrès Juif Mondial a dû se sentir offensé lorsqu´un boycott mondial des produits allemands a été organisé. Ce fut l´occasion pour les Nazis de boycotter et de persécuter les Juifs allemands.

    COOPERATION SIONISTES-NAZIS

    Des que les Nazis ont pris le pouvoir en 1933, les sionistes ont visiblement acquis un statut politique. Apres l´incendie du Reichstag, les Nazis ont pratiquement anéanti toute opposition politique et interdit 600 journaux. Mais cette mesure ne touchait ni les sionistes, ni leurs journaux qui se vendaient dans tous les coins de la rue. Leur tirage est passé à 38 millions soit une multiplication par cinq. Le sionisme était la seule philosophie politique distincte autorisée par le Troisième Reich. » L´enseignement de l´hébreu était autorisé dans les écoles juives.

    Toujours est-il que les Juifs allemands souhaitaient rester en Allemagne « même en tant que citoyens de seconde classe, vilipendés et persécutés. » Mais les sionistes se moquaient des Juifs Allemands affirmant que leur persécution était justifiée parce qu´ils souhaitaient une assimilation aux allemands.

    Les sionistes ont flatté les Nazis en comparant leurs idéologies raciales : « Une communauté de destin et une conscience tribale doivent aussi être d´une importance capitale dans la recherche d´un style de vie pour les Juifs. »

    Voilà pourquoi « une minorité marginale de Juifs allemands furent placés d´urgence en detention, soit 550 000 hommes, femmes et enfants… » Selon Black. C´était la confirmation « de ce que <st1:personname productid="la Diaspora Juive" w:st="on">la Diaspora Juive</st1:personname> avait toujours redouté à propos du sionisme, ce serait un prétexte moral et juridique pour forcer les Juifs à abandonner la société Européenne. »

    Cela explique aussi pourquoi l´attitude d´Israël est comparable à celle de l´Allemagne Nazie. Ils ont les mêmes origines. Non seulement les Nazis ont contribué à bâtir l´Etat d´Israël, mais également Israël a participé à la construction de l´Allemagne nazi en lui servant de débouché pour ses produits d´exportation. Ils ont travaillé main dans la main. Nombre de Juifs n´ont pu percevoir leurs fonds en arrivant en Israël. Ainsi, les sionistes ont directement participé au pillage des ressources appartenant aux Juifs d´Europe. Ce pillage est connu sous le nom de « Aryanisation.»

    CONCLUSION

    De plus en plus d´Israéliens , et de Juifs en général, se rendent compte que le sionisme n´est qu´une ruse et que l´attitude étrange d´Israël ressemble à celle de l´Allemagne Nazie. Par exemple, l´universitaire israélien Yeshayahu Leibowitz a affirmé que tout ce que Israël a entrepris depuis 1967 est « soit d´une stupidité malveillante, soit un mal complètement stupide. » Il qualifie l´armée Israélienne de « Judeo-Nazi. »

    Ce n´est pas le lieu ici(le site de Heny Makow bien sur) de montrer comment Hitler a accédé au pouvoir grâce au soutien des financiers anglo-américains (Illuminati et Juifs), les mêmes lobbys qui ont créé le communisme et le sionisme. Mais c´est l’endroit idéal pour les Juifs et les Américains de méditer sur cette leçon.

    Les événements historiques sont provoqués pour faire un lavage de cerveau et manipuler les gens afin de faire avance le programme du Nouvel Ordre Mondial. Les Juifs européens ont été déracinés, spoliés de leurs biens et massacrés afin de construire la capitale du gouvernement mondial en Israël.

    Les Américains meurent en Irak et en Afghanistan et possiblement en Iran. La crise économique pousse les personnes désespérées à accepter le socialisme du gouvernement mondial.

    Et ainsi de suite….

    Source: Henry Makow

    Reproduction Interdite

    Tous droits réservés SpreadTheTruth.fr

    Traduction réalisée par l’équipe de SpreadTheTruth.fr


    votre commentaire
  • Des Palestiniens accusent l’armée israélienne de voler des organes à ses victimes

    Des Palestiniens accusent l’armée israélienne de voler des organes à ses victimes. Donald Boström raconte le scandale international des transplantations d’organes – et comment lui-même a été le témoin d’une atteinte au corps d’un Palestinien de 19 ans

    Vous pouvez m'appeler un "entremetteur", a déclaré Levy Izhak Rosenbaum, de Brooklyn, USA, sur un enregistrement secret réalisé par un agent du FBI qu'il croyait être un client. Dix jours plus tard, fin juillet de cette année, Rosenbaum a été arrêté et un vaste trafic d’organes et de blanchiment d'argent, digne des Soprano, a été démasqué dans le New Jersey, impliquant des rabbins, des élus et des fonctionnaires.

    <text style="display: none;"></text><text></text>
    Donald Bostrom Dimanche 23 Août 2009

     

    Bilal Ahmed Ghanan, 19 ans, a été tué par les soldats israéliens, qui ont emporté son corps. Le corps a été rendu à sa famille avec une suture allant de l'abdomen au menton - Photo: Donald Boström
    Bilal Ahmed Ghanan, 19 ans, a été tué par les soldats israéliens, qui ont emporté son corps. Le corps a été rendu à sa famille avec une suture allant de l'abdomen au menton - Photo: Donald Boström

    votre commentaire
  • La vérité si je ments

     


    votre commentaire
  • La Fondation Bertelsmann

    OFRBS-BERTELSMANN-RESULTATS-20070321 

     

    Par Pierre Hillard

    La Fondation Bertelsmann évoque peu de choses auprès des Français. Nous serions même tentés de dire que cela n’évoque rien du tout. Pourtant, le lecteur doit prendre conscience que les grandes décisions sont toujours conçues par une minorité. Le peuple prétendu souverain n’a aucune prise sur l’évolution interne et externe du pays. Le choix qu’il porte sur tel ou tel candidat du système ne change rien à la donne parce que ce dernier est, en fin de compte, le produit de l’oligarchie. Parvenu au pouvoir, le « poulain » issu de la matrice financière se voit servi tout frais une série de rapports et de documents qui conditionnent sa politique dans tous les domaines. Ceci est patent dans le cas de la Fondation Bertelsmann.

    En fait, il faut distinguer l’entreprise de la Fondation. A l’origine, l’entreprise a vu le jour en 1835 grâce aux efforts de son fondateur Carl Bertelsmann. Ce dernier et ses successeurs ont su développer leurs affaires au point que la petite imprimerie de la première moitié du XIXè siècle était devenue le premier fournisseur du IIIè Reich à la veille de la Seconde guerre mondiale. A partir de 1945, son jeune président, Reinhard Mohn (descendant de la famille Bertelsmann, mais par les femmes), reprend en main l’affaire familiale et donne à son entreprise la taille d’un empire. En effet, c’est un véritable empire des médias et de l’édition qui a vu le jour. Fort d’un chiffre d’affaires de plus de 18 milliards d’euros, Bertelsmann est à la tête de filiales comme RTL (radio), M6 (télévision) et d’une variété de journaux et de revues comme GEO, Femmes Actuelles, VSD, Stern, Gala etc. A cela, il faut ajouter que la plus grande maison d’édition américaine, Random House, est sous la coupe de cette entreprise germanique. Ainsi, lorsque Barack Obama a publié son livre en 2006 L’audace de l’espoir chez Random House ; en fait, c’était sous l’égide de Bertelsmann. Enfin, précisons que le groupe de distributeurs de livres, France Loisirs, est coiffé par Bertelsmann même si ce dernier, selon certaines indiscrétions, tente de se séparer de sa filiale française. Cette simple énumération suffit à souligner le poids incontournable de ce grand média allemand en Europe mais aussi dans le monde. Cependant, ce poids est d’autant plus renforcé que les dirigeants de Bertelsmann ont su profiter des succès de l’entreprise pour financer la création d’un « laboratoire à idées » : la Fondation Bertelsmann.

    Celle-ci a vu le jour en 1977. Ses objectifs sont clairs. Il s’agit d’œuvrer dans trois domaines : la construction européenne, le renforcement du partenariat transatlantique et élaborer une politique au Proche-Orient subdivisée en deux parties ; Israël et le monde musulman.

    Dans le cas européen, les efforts de la Fondation Bertelsmann sont probants puisqu’elle a joué un rôle décisif dans la relance du projet de constitution européenne après les non français et hollandais en 2005. En effet, un rapport a été adopté par le Parlement européen en janvier 2006 appelant à remettre sur les rails l’idée d’une constitution dotée de la personnalité juridique (droit accordé à l’Union européenne d’être un acteur reconnu sur la scène internationale). Malgré le non irlandais en juin 2008, le projet de constitution est maintenu. Or, les deux rapporteurs, les députés anglais et autrichien au Parlement européen, Andrew Duff et Johannes Voggenhuber, ont travaillé en liaison étroite avec la Fondation Bertelsmann. Celle-ci a bénéficié de relais au sein du Parlement européen comme les présidents des commissions des Affaires étrangères et constitutionnelles (Elmar Brok et Jo leinen) pour remettre en vigueur l’idéal politique de Valéry Giscard d’Estaing. Ce texte doit théoriquement voir le jour en 2010. Parallèlement à l’évolution de la politique européenne, la Fondation Bertelsmann s’active dans le renforcement des liens transatlantiques. En fait, cette Fondation se démène pour réussir à créer un bloc transatlantique unifié pour 2015. Ces ambitions vont très loin puisqu’il est spécifié qu’une « arène monétaire » doit voit le jour de part et d’autre des rives de l’Atlantique. C’est l’annonce en filigrane d’une monnaie transatlantique. Dans ce cas bien précis, l’Europe contre puissance est un vain mot.

    Enfin, les activités de la Fondation Bertelsmann s’exercent en direction du Proche-Orient : Israël et le monde musulman. Dans le cadre du « Dialogue germano-juif » (Deutsch-jüdischer Dialog), Bertelsmann souhaite associer un « troisième pilier » du judaïsme (Israël) à ceux des piliers Nord-américain et européen. Pour ses promoteurs, il s’agit de favoriser l’émergence d’un immense bloc euro-atlantique prolongé jusqu’à l’État d’Israël. Il va de soi qu’une même organisation politique, économique, militaire et philosophique doit structurer cette immense architecture au sein de laquelle le monde musulman doit s’adapter. C’est tout l’enjeu des « Discussions de Kronberg » (Kronberger Gespräche) qui animent les travaux de la Fondation Bertelsmann. Cette dernière cherche à « moderniser » l’esprit des musulmans afin de les rendre aptes, selon elle, aux exigences de la modernité. Cela se traduit par une série de mesures allant dans la voie de l’occidentalisation des structures politiques, sociales et morales des sociétés musulmanes. D’une certaine manière, c’est une forme de « Vatican II » que Bertelsmann veut imposer aux esprits arabo-musulmans en liaison avec les think tanks anglo-saxons. Une telle politique court le risque d’aviver les tensions avec ces populations rétives aux préceptes occidentaux.

    Finalement, les travaux de la Fondation Bertelsmann accompagnent et renforcent les ambitions d’une gouvernance mondiale politique, financière et monétaire dont le coup d’envoi officiel fut lancé lors du Sommet du G-20 à Londres en avril 2009.

     

    VOIR AUSSI :   Le 3eme pilier 


    votre commentaire
  • El secreto de Wikipedia



    votre commentaire
  • Israël accuse l'AIEA de cacher des preuves sur le programme iranien

    AFP

    • <script type="text/javascript">// <![CDATA[ var yahooBuzzArticleId = "lepointfr_847:" + decodeURIComponent('http%3A%2F%2Fwww.lepoint.fr%2Factualites-monde%2Fisrael-accuse-l-aiea-de-cacher-des-preuves-sur-le-programme%2F924%2F0%2F369866'); // ]]></script> <script src="http://d.yimg.com/ds/badge2.fr.js"></script>
    <script language="JavaScript">// <![CDATA[ document.write('<scr'+'ipt type="text/JavaScript" src="http://ad.fr.doubleclick.net/adj/ts.lepoint.fr/'+rub+';tile='+(tile=tile+1)+';sz=190x60;ord=' + ord + '?"><\/script>'); // ]]></script>

    Des responsables israéliens et des diplomates occidentaux ont accusé l'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA) d'avoir dissimulé des données sur le programme nucléaire iranien, rapporte mercredi le quotidien Haaretz.

    Le directeur sortant de l'Agence Mohamed ElBaradei a empêché ces derniers mois la publication de données collectées par les inspecteurs de l'AIEA sur le terrain qui tendaient à prouver que l'Iran, malgré ses dénégations, poursuivait son programme nucléaire militaire, affirme le journal en citant des responsables israéliens et des diplomates qui se sont exprimés sous couvert de l'anonymat. M. ElBaradei qui doit quitter en décembre son poste, a affirmé que l'AIEA ne disposait pas de preuves que l'Iran mettait au point un armement nucléaire.

    Mais selon les responsables mentionnés par Haaretz, de nouvelles preuves ont été présentées ces derniers mois à l'Agence dans le cadre d'une annexe rédigée par des inspecteurs qui s'étaient rendus en Iran. Ce document a été signé par le chef de l'équipe des inspecteurs, mais n'a pas été intégré dans le rapport final, a ajouté le quotidien. Cette décision que le journal qualifie de "censure" a été prise par des hauts responsables de l'AIEA, qui siège à Vienne.

    Des hauts responsables américains, français, britanniques et allemands ont récemment fait pression sur M. ElBaradei pour qu'il rende publiques ces informations le mois prochain lors de l'assemblée générale annuelle de l'Agence. Le directeur général de l'Agence israélienne pour l'Energie Atomique, Shaul Horev et le ministère israélien des Affaires étrangères ont lancé une campagne pour obtenir la publication de ce document resté confidentiel.

    Dans le passé, Israël a critiqué à de multiples reprises M. ElBaradei accusé de complaisance envers l'Iran. En 2007 l'Etat hébreu avait même demandé sa destitution. Le Premier ministre Benjamin Netanyahou a affirmé que l'Iran doté de l'arme nucléaire constituerait "la plus grande menace pour Israël" et le monde, tandis que son ministre de la Défense Ehud Barak a déclaré qu'Israël n'écartait "aucune option de la table" faisant ainsi allusion à une possible attaque contre les installations nucléaires iraniennes.


    votre commentaire
  • Toi aussi, fais tester tes capacités FINKY

     

     

    LIEN  FINKY 

     

     


    votre commentaire
  • Les troupes israéliennes « kidnappent » des Palestiniens pour leurs organes

     
    Les troupes israéliennes « kidnappent » des Palestiniens pour leurs organes

    PressTV, 18 août 2009

          Un grand journal suédois affirme que des soldats israéliens kidnappent des Palestiniens pour leur voler des organes et les vendre au marché noir.

          Dans un article intitulé Ils pillent les organes de nos fils, le quotidien Aftonbladet signale que des soldats israéliens enlèvent de jeunes Palestiniens en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza, puis rendent leur corps à leur famille après avoir prélevé leurs organes.

          « Nos fils servent de donneurs d'organes non consentants, » ont déclaré les parents de Khalid, un Palestinien de Naplouse, a Donald Bostrom, l’auteur du reportage.

          L’article rend compte aussi de récits d'autres Palestiniens, dont les parents sont tombés victimes de l'opération de contrebande d'organes. Selon lui, toutes les victimes ont été tuées et leurs corps ont été autopsiés.

          Il cite aussi un autre incident similaire en 1992, où un jeune activiste palestinien fut capturé par des soldats israéliens dans la région de Naplouse. L'homme avait été abattu d'une balle dans la poitrine, les jambes et le ventre, puis transféré pour une « distension inconnue » [peut-être « vers une direction inconnue « ? ndt].

          Le corps de l'homme fut retrouvé cinq jours plus tard. « Quand Bilal a été mis dans sa tombe, sa poitrine s’est révélée et il est soudainement devenu clair à ce moment qu’il avait été soumis à de mauvais traitements. Bilal est loin d'être le seul a avoir été enterré ouvert de l’estomac jusqu’au menton, et la spéculations sur la raison de cela a déjà commencé, » indique l'article.

          L'article fait également un rapprochement entre cette question et la dernière découverte dans le New Jersey d’une association de malfaiteurs impliquée dans un trafic d'organes. Plusieurs rabbins étasuniens avaient été arrêtés dans le cadre de cette affaire.



    Original : www.presstv.com/detail.aspx?id=103891§ionid=351020202

    voir aussi ORGANES CASHERS 


    votre commentaire
  • <script type="text/javascript">// <![CDATA[ YAHOONEWSGLOBALS.thisStoryUrl = '/liberation/20090814/r_t_libe_wl_other/twl-tsahal-accus-d-avoir-tu-des-civils-d-1a8f422_1'; // ]]></script>

    Tsahal accusé d'avoir tué des civils de sang-froid

    il y a 51 min

    Libération.fr

    Plus de six mois après, les agissements de l'armée israélienne pendant la guerre de Gaza en janvier continuent de faire l'objet de vives critiques. L'ONG de défense des droits de l'homme Human Rights Watch (HRW) a accusé Tsahal, dans un rapport publié hier, d'avoir tué 11 civils palestiniens, dont cinq femmes et quatre enfants, alors qu'ils brandissaient un drapeau blanc. Huit autres personnes auraient été blessées dans les mêmes circonstances. «Ces civils étaient en groupes et agitaient un tee-shirt ou un foulard. Il n'y avait aucun combattant palestinien dans les parages à ce moment-là», précise l'organisation, qui s'est basée sur des témoignages recoupés, mais aussi des examens médicaux et balistiques.


    votre commentaire
  • Des experts israéliens en Colombie pour entrainer des unités spéciales  13/08/2009

    La télévision vénézuélienne a révélé que l'entité sioniste entraine les forces spéciales en Colombie en vue de perpétrer des attentats au Venezuela, en l'équateur  et en Bolivie.
    Selon le journaliste éminent et l'ancien vice-président vénézuélien, José Vicente Rangel , un groupe de 25 experts israéliens sont arrivés dans plusieurs bases militaires en Colombie, celles concédées aux forces américaines.
     Selon ce journaliste, Bogota  a donné le feu vert aux Américains pour renforcer leur présence militaire sur le territoire colombien. Le "plan Colombie" conclu dans le cadre d'un accord militaire entre les deux pays donne accès aux Américains à sept bases colombiennes, trois terrestres, deux aériennes et deux maritimes. L'accord en question a créé de vives tensions entre ce pays et ses voisins latino-américains, et depuis, la Colombie se trouve isolée sur la scène régionale.  
    Alors que Bogota affirme que cet accord  a été signé dans le cadre de la lutte contre le narcotrafic et le terrorisme, les capitales de la région appréhendent en revanche une ingérence des États-Unis sur leur territoire.
     
     Avec la Colombie, les échanges israéliens sont déjà nombreux dans le domaine de la lutte contre les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc, guérilla marxiste), notamment en matière de renseignement et de contre-espionnage.

    Le mois dernier, le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman s'était rendu dans ce pays, dans le cadre d'une tournée englobant trois autres états latino-américains, destiné officiellement à contrer l'influence de l'Iran dans ce continent.

    http://www.almanar.com.lb http://www.almanar.com.lb

    <script language="javascript" type="text/javascript" src="http://wr.readspeaker.com/webreader/webreader.js.php?cid=7b6104cd7e329f268524d1334cd8875f"></script>


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique