• Pierre Hillard : ’’Vers la victoire du Mondialisme ?’’


    Pierre HILLARD - Vers du victoire du mondialisme ?


    votre commentaire
  • Olivier Delamarche : "On ne pourra pas rembourser ces foutues dettes !’’


    votre commentaire
  • Des arguments qui frappent

     

    La directrice de l'UNESCO, Mme Irina Bokova, sait utiliser les arguments qui frappent : si vous ne nous donnez pas d'argent nous ne pourrons plus continuer à promouvoir l'Holocauste (Le Figaro du 3 novembre :
     
    << L'Unesco interpelle les Etats-Unis
    "La suspension des versements américains et des autres contributions financières (...) affaiblira l'efficacité de l'Unesco et mettra à mal sa capacité à construire des sociétés libres et ouvertes", a réagi hier Irina Bokova, directrice générale de l'Unesco, à propos de la décision américaine d'arrêter ses versements à l'institution dont fait désormais partie la Palestine en tant qu'Etat.   
    "Dans une période marquée par la crise économique et les transformations sociales, je crois que le travail vital de l'Unesco en vue de promouvoir une stabilité mondiale et les valeurs démocratiques se trouve au coeur même desintérêts américains", poursuit le communiqué. Les financements américains permettent notamment à l'Unesco "de développer et rendre viables des médias libres et concurrentiels en Irak, en Tunisie et en Egypte. En Afghanistan,le soutien des Etats-Unis aide l'Unesco à alphabétiser des milliers d'officiers de police".    
    La réaction américaine étant liée à Israël, la directrice rappelle que "l'Unesco est la seule agence des Nations unies disposant d'un mandat pour promouvoir l'éducation relative à l'Holocauste dans le monde. Grâce à des fonds versés par les Etats-Unis et Israël, l'Unesco développe des programmes scolaires pour faire en sorte que l'Holocauste ne soit jamais oublié". 
    Pour conclure, la directrice de l'Unesco "en appelle donc à l'administration américaine, au Congrès et au peuple américain pour trouver un moyen de poursuivre l'aide apportée à l'Unesco en cette période troublée [...] En attendant, il nous sera impossible de maintenir notre niveau d'activité actuel", précise-t-elle.  >>

    votre commentaire
  • Libye : "C'est en tant que juif que j'ai participé à cette aventure politique", dixit Bernard-Henri Lévy

    source : http://www.theatrum-belli.com/archive/2011/11/21/les-affaires-etrangeres-francaises-seraient-elles-dirigiees.html

    Le philosophe Bernard-Henri Lévy a déclaré aujourd'hui que "c'est en tant que juif" qu'il avait "participé à l'aventure politique en Libye", lors de la première Convention nationale organisé par le Conseil représentation des organisations juives de France (Crif). "J'ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël", a-t-il déclaré.

    Bernard-Henri Lévy, invité à s'exprimer sur ce thème a déclaré: "C'est en tant que juif que j'ai participé à cette aventure politique, que j'ai contribué à définir des fronts militants, que j'ai contribué à élaborer pour mon pays et pour un autre pays une stratégie et des tactiques". "Je ne l'aurais pas fait si je n'avais pas été juif", a poursuivi le philosophe. "Ce que je vous dis là, je l'ai dit à Tripoli, à Benghazi, devant des foules arabes, je l'ai dit lors d'une allocution prononcée le 13 avril dernier sur la grand place de Benghazi devant 30.000 jeunes combattants représentatifs de toutes les tribus de Libye", a-t-il ajouté.

    BHL2.jpg

    noter la présence des 2 télephones dans les mains de BHL, dont un satellitaire...Ce télephone satellitaire est visible sur d'autres photos...A quoi lui sert-il puisqu'il a le Président de la République à ses côtés ???


    votre commentaire
  • L'Espagne continue à subir la pression des marchés malgré les élections

     

    Le Trésor ibérique a vu ses coûts d'emprunt à court terme grimper à un plus haut niveau depuis quatorze ans.

    La victoire historique de la droite espagnole lors des élections ce week-end n'a pour l'heure pas constitué l'électrochoc de confiance nécessaire à la résorption des tensions sur les marchés obligataires. Alors que le Parti Populaire dispose d'une majorité historique propice à des réformes en profondeur, Madrid a malgré tout essuyé les plâtres lors de son émission de dette à court terme réalisée ce mardi.

    Le Trésor ibérique a émis mardi pour 2,97 milliards d'euros de bons à 3 et 6 mois à des taux respectifs en très nette hausse de 5,11% et 5,22%, le plus haut niveau depuis 14 ans. Le 25 octobre dernier, l'Espagne avait en effet placé des titres similaires à des taux de 2,29% et 3,30%. Certes, le Trésor a levé le montant maximum qu'il escomptait, grâce à une forte demande de 10,5 milliards d'euros, a précisé la Banque d' Espagne. Mais ce surcoût du service de la dette (environ 25 millions d'euros pour les deux opérations) pose clairement la question de la capacité du pays à dégager des économies.


    votre commentaire
  • Propos sur la désintégration sociale


    La France existera-t-elle encore comme la nation telle qu’on la connaît depuis des décennies, avec une démocratie, des institutions républicaines et surtout un cadre de vie que bien des pays nous envient ? Cette question se pose et bien évidemment, la France n’aura pas disparu en 2022. Elle conservera son territoire, avec une unité culturelle et linguistique, mais elle risque de ne plus exister comme un ensemble républicain. Elle pourrait bien se désintégrer, sans qu’on sache à quoi pourrait ressembler un pays désintégré. Pour l’instant, la France subit une fracture sociale. Qui remonte à au moins 20 ans. C’était d’ailleurs le thème de campagne de Jacques Chirac en 1995. En 1998, quelques commentateurs imprudents se sont un peu trop vite réjouit de la victoire des blacks blancs beurs lors de la coupe du monde. La fracture sociale est restée et s’est même accentuée ces dix dernières années. Pourtant, la société a montré une résilience considérable si bien qu’on peut légitimement penser que cette situation puisse durer encore des décennies. A l’inverse, un sociologue comme Alain Touraine, un type sérieux, pas vraiment drôle sur les plateaux télé, s’est interrogé depuis des années sur notre capacité à vivre ensemble et à maintenir le modèle républicain et social. Et donc, la question fait débat. Je propose ici de réfléchir à ce qui est non pas un modèle mais un concept, celui de désintégration sociale. Souvent le réel dépasse le concept et le modèle, aussi on lira ces lignes comme un propos de sociologie fiction.

     Pour concevoir la désintégration sociale, il nous faut comprendre quels sont les ressorts de la cohésion sociale et de son opposé, la désagrégation. Autrement dit, ce qui lie ou dissocie les hommes. Et pour commencer, pourquoi ne pas observer le règne animal. On constate alors le mode de vie solitaire chez certaines espèces, alors que d’autres montrent ces comportements d’ensemble aux formes très complexes, comme chez les insectes sociaux. Plus proches de nous, les oiseaux offrent le spectacle d’un vol solitaire lorsqu’il s’agit d’un rapace, ou d’un déplacement coordonné, notamment chez les migrateurs. Les mammifères offrent aussi le spectacle d’une vie menée en solitaire ou dans un troupeau, d’éléphants, de gazelles, etc. Sauf exception, on ne verra pas des animaux développer une vie sociale s’ils sont d’espèces différentes. Sauf dans le cas d’animaux élevés par l’homme. Nous avons tous en tête ces images populaires appréciées des bêtisiers de télé où l’on voit un cheval jouer avec un chien, ou un lapin avec un chat, ou je ne sais quelle autre combinaison. Si c’est le cas, c’est parce que l’animal est domestiqué, qu’il a perdu une partie de son instinct sauvage. Le berger sait faire tenir ensemble les quelques chiens avec le troupeau de moutons. Et maintenant, si on transpose à l’homme, quel sera l’équivalent du berger qui fait tenir les hommes ensemble ? Les familiers de l’œuvre de Platon verront dans cette question une réplique du procédé employé dans le dialogue sur le Politique où Platon s’interroge sur les caractéristiques d’un roi idéal amené à gouverner au mieux les hommes. Dialogue où apparaît le mythe du pasteur divin, sorte de berger nourricier que les hommes accepteront comme gouverneur. Dans un fameux dialogue, Socrate et l’Etranger jouent de cette allégorie de l’homme possédant cet art de prendre soin du troupeau et dont la figure transfigurée et divinisée servirait de point de départ à la conception du roi (275). Pour ne pas égarer le lecteur je vais aller au bout de ma conclusion. Il existe certainement quelque chose qui fait tenir les hommes ensembles. En fait, une combinaison de facteurs différents. Ibn Khaldûn évoquait l’asabya, l’esprit de corps, ce ciment qui rend solidaire les membres d’une tribu. Si on considère une société complexe comme la notre, le ciment social est multiple, composé d’institutions, de gouvernance, de services publics mais aussi de facteurs plus insaisissables comme le désir de vivre ensemble et l’intérêt partagé à vivre ensemble. 

     Les puissances liantes sont multiples. L’esprit républicain devrait faire tenir ensemble tous les membres, alors que d’autres facteurs réunissent des secteurs du corps social, avec des liaisons plus ou moins forte, réseaux, anciens de, amateurs de, membres d’une communauté. Suite aux discussions menées lors d’un café philo sur la société fragmentée, il est apparu clairement que les ressorts sociaux liants et déliants appartiennent à deux catégories, d’abord le matériel, les conditions économiques, les revenus, ensuite, les facteurs plus spirituels et notamment le désir de faire société, d’être ensemble. Une société intégrée repose sur l’association de ces deux facteurs. L’explication marxiste sur les conditions économiques ne représente que la moitié de la réponse. Certes les conditions matérielles favorisent la vie civile mais encore faut-il que les individus aient la volonté de vivre ensemble. La dégradation des conditions matérielles est un facteur de désintégration sociale. L’exemple des immigrés italiens et polonais dans les années 1930 est édifiant. Ces travailleurs avaient vocation à s’intégrer mais compte tenu de la crise économique, les tensions se manifestèrent. Italiens et Polonais furent accusés par la populace de venir prendre le pain aux Français. Un défaut dans les conditions matérielles occasionne bien souvent les tendances à la désintégration. Un excès aussi, si l’on observe la sécession des très riches. L’impact des médias est lui aussi contrasté. La multiplication des formes culturelles diffusées peut engendrer un désir de partage ou à l’inverse une tendance à s’isoler en communauté, groupe d’intérêt, tribu.

     Le médiatique a sans doute un impact sur le narcissisme, phénomène très contemporain associé à l’individualisme et favorisant le repli sur un univers fait d’images renvoyées par les autres servant de miroir. Le narcissique s’intéresse beaucoup à sa personne et va forcément vers ceux qui partagent avec lui cet intérêt alors qu’en retour il joue le jeu et se prête au jeu du miroir. Publicité et propagande ont dissout l’homme individué pour faire place à un individualisme fait d’artifice et de narcissisme. L’individu narcissique ne fait pas société. Peut-être que d’autres facteurs très contemporains pallient à ce déficit de sociabilité. Des choses toutes aussi artificielles mais capables de souder les gens, comme les réseaux sociaux ou le culte des stars, piètre mais efficace substitut à la religion. N’oublions pas que les célébrités font des apparitions. Et que les médias sont des lieux épiphaniques.

     Maintenant, on peut regarder la réalité en face. Et pointer une tendance forte, celle de la résilience. Prenons l’Espagne, pays avec plus de 20% de chômage. Le mouvement des indignés s’est manifesté mais comme le dit la bonne formule, la majorité silencieuse est résignée. N’oublions pas qu’une grande majorité d’Espagnols sont propriétaires de leur logement (les autres expulsables aurait dit Coluche) et que les solidarités familiales sont puissantes. Les populations ont acquis une capacité étonnante à accepter la baisse du niveau de vie en étant persuadées que c’est la seule voie. La France est en état de fracture sociale depuis deux décennies et elle n’a pas vacillé. On peut égrener interminablement les indices en faveur d’une résilience sociale face à la crise.

     Passons maintenant aux facteurs de désintégration. On les a esquissés sommairement et aux aussi peuvent être égrenés interminablement. Mais globalement, trois facteurs imbriqués menacent la cohésion sociale. Les inégalités, le chômage et la baisse du niveau de vie. La société française va devoir affronter une situation qui dans dix ans, risque d’être explosive. Si le scénario à la japonaise se confirme, le chômage réel va suivre une courbe ascendante et la France pourrait cumuler dix ans de sous-emploi massif avec au bout près d’un Français sur cinq privé d’un emploi permettant de mener une vie décente. Les services, basiques risquent d’augmenter, avec les produits de première nécessité. Il faut également prendre acte de la croissance de la Chine qui aura doublé son PIB en 2022. L’Inde, le Brésil et d’autres pays ne seront pas loin. Dans un tel contexte, le baril risque d’atteindre des sommets et le carburant pour se chauffer ou se déplacer va flamber. Ajoutons les dépenses de santé croissantes, la démographie et ses vieux, alzheimer, parkinson, cancer, organismes dégradés… et puis, la technologie qui « bouffe » de plus en plus de fric, la bureaucratie et là, ce pourrait devenir invivable pour près d’un Français sur deux qui travaillera dans des conditions difficiles pour payer ses impôts, son chauffage, son loyer, son carburant, ses tas de dépenses incompressibles et à la fin, plus un sous pour un petit plaisir, ciné, resto, détente, voyage… Bref, une vie invivable attend bon nombre de nos concitoyens et à moins que les gens ne trouvent cette situation normale, on ne voit pas comment échapper à la désintégration sociale. A moins que la capacité de résilience associée à une politique de salut public ne permette de passer le cap de 2022.

     Admettons que ce soit le cas, la France de 2022 risque de ressembler de moins en moins à celle de 1960 et 1970. Une France désintégrée, de citoyens zombifiés, greffés aux machines, aux portables, aux tablettes, aux écrans tactiles, pourrait en résulter et afficher une relative stabilité. La raison et la liberté seraient alors remplacée par une sorte d’instinct technologique. En exagérant le propos on pourrait suggérer que la France des hommes ferait place à la France des fantômes, sorte de créatures mi-humaines, mi-technologiques mues par les fils invisibles de la vie mécanique. Un pays de marionnettes emprisonnées dans leur autisme narcissique qui à l’instar des détenus à qui l’on accorde une promenade de deux heures, vont se déhancher dans des boîtes à musique en écoutant du Getta, telles des figurines animées enfermés dans des camps de la vie. La société désintégrée reste en dernier ressort une société de masse. Réglée non pas d’une manière centralisée comme au vieux temps du national-socialisme mais organisées par un dispositif décentré, périphérique, polycentrique. 

     Société désintégrée ou plutôt désaccordée. Le « lien social », ce substitut au pasteur platonicien ou à l’asabya ou au ressort de Montesquieu ou encore à l’esprit de la nation selon Renan, serait délié, désubstantifié, au profit d’une solidarité mécanique, reposant sur des connivences d’intérêts matériels, sur de la technologie, sur une surveillance policière très développée. Bref, rien de neuf, ce modèle de société peu engageant reviendra de manière récurrente dès lors que l’esprit déroulera les analyses sur l’évolution du monde contemporain. Ce type de société arrange en fait les « directeurs du système ». L’individu devenu pièce d’un lego industriel et social se prête comme chair corvéable aux intentions de la gouvernance, des profits, des centres de commande, dans les bureaux, les banques, les grandes industries. Les maîtres du système ont intérêt à façonner les vies mécanisées des populations.

     Alors, de quoi sera fait l’avenir ? Une société minée par les tendances à la désintégration peut se révolter, ou se résigner ? Nous ne savons pas comment un ensemble aussi complexe que la France des années 2010 réagira à la persistance de la crise sociale. Les Français pourraient très bien se résigner. Personne n’avait prévu les événements de 1968 dans un pays en pleine croissance et sans chômage. Une France percluse d’inégalités et de précarité pourrait accepter la situation et ce serait aussi un phénomène imprévisible.

     

    par Bernard Dugué (son site) mardi 22 novembre 2011


    votre commentaire
  • Les indignés veulent « chasser les Juifs hors des USA »

    cliquer sur CC pour activer les sous-titres français


    votre commentaire
  • Alain Soral, entretien de novembre 2011

    Partie 1 : incendie de Charlie Hebdo, Caroline Fourest, accentuation de la Christianophobie, musulmans patriotes et islamo-racailles.

    Partie 2 : Le con du mois, MLP rencontre l’ambassadeur d’Israel à l’ONU, Shalit et Hamouri, Palestine à l’UNESCO, le Grand Israël ou rien, les juifs laïques et les juifs religieux.


    Partie 3 : Recolonisation de l’Afrique, Obama le néo-colon, la nouvelle stratégie des néo conservateurs via la réislamisation, extrêmes droites européennes, Tariq Ramadan, Sheikh Imran Hossein, le nouvel Hitler, l’intelligent du mois.


     

    Partie 4 : Sommet du G20, référendum grec, rappel de la loi 73 et ses effets, l’arnaque bancaire dans sa vérité nue : le shylockisme, la fin de l’UE, Sarkozy et l’or français, François Hollande.


     

    Partie 5 : Les vrais Indignés, la grande Russie de Poutine, Damas dans l’eschatologie, le sort des pacifistes en temps de guerre, Jean Paul Sartre, quart d’heure cinéphile.



    votre commentaire

  • votre commentaire
  • Sarkozy, Israël et les juifs

    de Paul-Éric Blanrue

    Plus de cet auteur

    Ce livre peut être téléchargé sur votre iPhone, iPad ou iPod touch, ou sur votre ordinateur avec iTunes.

    Description

    Aujourd’hui, en France, parler d’Israël avec sérénité et franchise est devenu impossible. La question est taboue. Quiconque se permet de critiquer l’État juif risque d’être qualifié d’antisémite. Dans la « patrie des Droits de l’Homme et de la liberté d’expression », un délit d’opinion, en politique et en histoire, est établi. En lieu et place de la discussion libre, une dictature de la pensée unique a été instaurée…
    C’est en 1967, par la voix du président Charles de Gaulle, que la France prit pour la première fois ses distances avec Israël. Sous le régime précédent, ce pays avait bénéficié de grands privilèges, puisque c’est grâce à la IVe République que l’État juif avait acquis la bombe atomique. Les présidents français qui succédèrent au général s’efforcèrent, à son image, de maintenir l’équilibre entre les parties en présence, palestiniennes comme israéliennes.
    Mais tout changea soudain en 2007, avec l’élection à la présidence de la République de Nicolas Sarkozy. Celui-ci avait longtemps été à la tête d’un parti qualifié de « gaulliste ». Mais, sur la question d’Israël, il tourna résolument le dos à la position défendue par le général. Prônant désormais la défense quasi-inconditionnelle d’Israël, Sarkozy met aujourd’hui en œuvre une politique qui est l’image inversée de celle du fondateur de la Ve République. Pour lui, toute critique d’Israël serait un signe d’antisémitisme.
    Historien spécialisé dans les mystifications, Paul-Éric Blanrue refuse de verrouiller sa pensée. L’objectif de son livre est de participer à la prise de conscience du danger que représente la nouvelle politique étrangère française.
    Paul-Éric Blanrue nous ouvre les yeux sur les aspects déjà périmés des choix étranges de Nicolas Sarkozy. 
    Il dévoile pourquoi le président français s’est engagé dans une voie qui va contre les intérêts de son pays et risque d’entraîner bientôt la France dans des conflits majeurs, au Liban, en Iran ou ailleurs. 
    Il décrit un par un les réseaux pro-israéliens qui servent cette stratégie, démontre leur puissance, signale leur aveuglement et fournit les noms des principales personnalités qui en font partie. 
    Il récuse l’assimilation faite systématiquement entre judaïsme et sionisme. 
    Il appelle les juifs de France à se défaire d’urgence de leurs porte-voix officiels, qui ne représentent tout au plus qu’un sixième d’entre eux, et les encourage à se rebeller contre une politique qui, à terme, se révélera désastreuse pour eux comme pour tous les Français.

     


    votre commentaire