• Pourquoi ont-ils peur du sionisme ?

    Au fait, pourquoi nos dirigeants, quels qu’ils soient, à part peut-être Jean-Marie Le Pen, ont-ils peur du sionisme ? Que peut-il leur faire ?

    C’est simple : les défaire.

    Parce qu’un système de captation, de Pourquoi ont-ils peur du sionisme?surveillance et de contrôle de la parole a été mis en place, un système pas seulement coercitif – sinon il aurait été intenable – mais aussi gratifiant. Nous avons classé les personnalités contaminées par le sionisme et qui travaillent objectivement pour lui (la condition d’apparition et de réapparition médiatique étant fonction croissante de la teneur en sionisme du discours), en cinq familles.

    1. Les dénonciateurs sont payés pour désigner tout ce qui franchit la ligne rouge. On pourrait les appeler les gardes-frontière, ou les douaniers, des douaniers intéressés qui prendraient leur dîme sur chaque passage. Ces chasseurs de primes sont rémunérés à la dénonciation et leurs interventions reprises. Ils donnent le là ! à toute la meute. Dénonciateurs célèbres (mais impopulaires au possible) : Caroline Fourest, Bruno Roger-Petit.

    2. Les provocateurs dénichent ceux qui ne franchissent pas la ligne mais jouent avec, pour les pousser de l’autre côté, du mauvais côté, d’un coup d’épaule, un croche-pattes… Des spécialistes du piège tendu dans la jungle médiatique, naturellement protégés par toute la chaîne de commandement, surtout en cas de faux-pas personnel : quand ils trébuchent, c’est de la faute des provoqués. À la fois joueurs et arbitres, ils marquent à chaque action, et ne prennent jamais de but, puisque l’adversaire est toujours hors-jeu. Frédéric Haziza, Meyer Habib.

    3. Les aboyeurs, une fois la dénonciation opérée, entrent en scène. Leur job consiste à crier au loup (Wolf), à hurler au nazisme. Ils amplifient le mal, simplifient le propos, l’objectif étant l’efficacité, l’impact médiatique. Ces esprits à la fois frustes et faibles n’ont aucun pouvoir, mais sont un maillon essentiel de la chaîne de pouvoir, qui les rémunère en gloriole culturelle. Pascal Elbé, Émilie Frèche.

    4. Les punisseurs interviennent quand les fuyards blessés sont ramenés au mitard médiatique. Ils peuvent se permettre de surseoir la punition, en fonction du degré de soumission ou de repentir du prisonnier. Sinon l’arsenal punitif se met en branle et ils administrent sans pitié la sentence, qui est sans appel. Roger Cukierman, Manuel Valls.

    5. Les penseurs, après la tempête, une fois l’exemple infligé en public, endossent la panoplie de grands sages (ils font semblant de tolérer certains écarts par rapport au sionisme), prennent la parole et de la hauteur pour calmer le jeu, et rabaissent les curseurs de la Terreur. Ils doivent donner l’impression que les tenants du système, sont, au fond, au bout du compte, les good guys. Bernard-Henri Lévy, Alain Jakubowicz.


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