• Un homme, sans doute un SDF, a été retrouvé mardi matin pendu à un arbre aux abords du périphérique parisien près de la Porte Dauphine, a indiqué une source policière. En bas de l'arbre où l'homme s'est pendu, un chariot de supermarché et quelques effets ont été retrouvés. "Il s'agit probablement d'un sans domicile fixe", a précisé cette source policière.

    "L'homme n'a pas encore été identifié de manière formelle", a précisé le collectif Les morts de la rue, qui recense tous les décès de SDF dont il a connaissance. Selon ce collectif, plus de 180 sans-abri sont morts dans la rue ou des conséquences de la rue depuis le début de l'année.

     

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    “Nous sommes dans une atmosphère d’anesthésie morale générale, d’ordre en usage dans une société de consommation et démocratique : le fléchissement du caractère et de toute dignité vraie, le marasme idéologique, la prédominance des intérêts les plus bas, la vie au jour le jour, voilà ce qui caractérise, en général, l’homme de l’après-guerre . Reconnaître cela, signifie aussi reconnaître que le premier problème, au fondement de tous les autres, est de nature intérieure : se relever, renaître intérieurement, se donner une forme, créer en soi-même ordre et droiture. Ceux qui s’illusionnent, aujourd’hui, sur les possibilités d’une lutte purement politique et sur le pouvoir de telle ou telle formule, de tel ou tel système, qui n’auraient pas pour contrepartie précise une nouvelle qualité humaine, ceux-là n’ont rien appris des leçons du passé récent. Il est un principe qui, aujourd’hui plus que jamais, devrait être d’une évidence absolue : si un État possédait un système politique et social qui serait, en théorie, le plus parfait, mais si la substance humaine était tarée, et bien cet État descendrait tôt ou tard au niveau des sociétés les plus basses, alors qu’un peuple, une race capable de produire de vrais hommes, des hommes à l’intuition juste et à l’instinct sûr, attendrait un haut niveau de civilisation et résisterait aux épreuves les plus calamiteuses, même si son système politique était défectueux et imparfait. Qu’on prenne donc nettement position contre le faux «réalisme politique», qui ne pense qu’en termes de programmes, de problèmes d’organisation des partis, de recettes sociales et économiques. Tout cela appartient au contingent, non à l’essentiel. La mesure de ce qui peut encore être sauvé dépend en fait de l’existence, ou non, d’hommes qui se tiennent debout devant nous non pour prêcher des formules, mais pour être des exemples, non pour aller à la rencontre de la démagogie et du matérialisme des masses, mais pour réveiller des formes différentes de sensibilité et d’intérêt. A partir de ce qui peut encore subsister parmi les ruines, reconstruire lentement un homme nouveau , l’animer grâce à un esprit et une vision de la vie bien précis, le fortifier par l’adhésion intransigeante à certains principes – tel est le vrai problème”. 
     
    (Julius Evola,  Orientations)

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