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    Depuis quelques jours, une rumeur court sur internet : dans la matinée du vendredi 10 janvier, leMobilier national en charge de l’aménagement des palais nationaux et autres résidences de l’État (ministères et ambassades) a été appelé en urgence à l’Élysée pour procéder à une intervention sur site. À l’arrivée au Palais, le haut fonctionnaire découvre un carnage. En effet, dans certains salons et dans le bureau attribué à François Hollande, du mobilier et des objets décoratifs tels que vases précieux de Sèvres, pendule de grand horloger, consoles, guéridons, fauteuils ont été renversés voire brisés. Mais également des garnitures de cheminée gisant en morceaux au milieu de papiers et de matériel de bureau, le dessus de la table de travail ayant été balayé avec violence semble-t-il.

    Les dégâts sont estimés à trois millions d’euros, compte tenu de la grande valeur patrimoniale de ce mobilier d’art et du coût de la restauration pour ce qui est réparable. Valérie Trierweiler aurait piqué une crise de nerf : voulant se jeter sur notre cher président François Hollande, elle aurait été empêchée par le service de sécurité et celle-ci se serait vengée sur le mobilier. Affaire à suivre !

    rumeur valerie trierweiler degats a l'elysee

    rumeur valerie trierweiler degats a l'elysee

     


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    La Razia (LRZ) rend hommage à M. Saïd BOURARACH, assassiné le 30 mars 2010 par 5 individus proches de la LDJ.
    Nous n'oublions pas, nous ne pardonnons pas.


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  • A consommer sans "modération"

    Livre bonus : les recettes de Jaku


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  • Le nouveau maillot du club chilien Deportivo Palestino indigne la communauté juive

    Par la rédaction d’E&R

    Le club Deportivo Palestino a été fondé en 1920 par un groupe d’immigrés palestiniens, venus vivre au Chili.

    Vainqueur du Championnat du Chili en 1955 et à 1978, et de la Coupe du Chili en 1975 et 1977, elle est la seule équipe de football au monde à porter le nom de la Palestine et a en arborer les couleurs.

    Pour la saison 2014 du Primera División del Fútbol Profesional Chileno, (première division de football professionnelle chilienne), un nouveau maillot, sur lequel les numéro « 1 » ont été remplacés par la carte de la Palestine avant 1948, a été présenté au public le 4 janvier dernier.

     

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    Les maillots qui rendent hystériques les sionistes chiliens

     


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    JohnD Rockefeller financé par Rothschild.

    JohnD Rockefeller financé par Rothschild.

    Le fait le plus marquant du retour de la France au service de l’empire Rothschild se sera passé sous l’ère Sarkozy avec l’engagement exigé par BHL, l’émissaire de Rothschild, de l’intervention militaire en Libye. Sans aucune autre raison apparente que de mettre au pas un leader panafricain qui se voulait indépendant de l’empire Rothschild en créant son propre système monétaire et financier.

    On peut aussi se pencher sur la fortune du « colonialiste » Bolloré formé chez…Rothschild. On peut donc décemment penser que celui-ci rendra des comptes à son mentor à l’avenir que plutôt au peuple de France. Tout comme la montée en puissance de la banque Lazard&frères en France qui conseille la banque publique d’investissement, c’est-à-dire qui décide de la stratégie d’investissement pour notre pays,  et qui n’est que le paravent de la banque Rothschild. On retrouve aussi ses agents, comme Pierre Bergé, dans l’empire des médias puisqu’il intervient dans le contrôle du Monde et maintenant du Nouvel Obs après que Rothschild se soit assuré Libé. On peut ajouter bien évidemment la famille Dassault, ex-Bloch, comme partenaire de Rothschild dans les médias.

    Tout cela pour bien montrer que tout en haut de la pyramide sociétale de la France et du monde figure les « amis » de Rothschild et que ce sont donc eux qui dirigent la France.

    La mise en place de l’impérialisme sioniste en Afrique.

    L'impérialisme sioniste détruit des nations et des peuples pour s'accaparer les ressources.

    L’impérialisme sioniste détruit des nations et des peuples pour s’accaparer les ressources.

    Le sionisme est l’outil philosophique majeur de la promotion de l’empire Rothschild qui a créé de toutes pièces Israël. C’est donc pourquoi cette idéologie est particulièrement protégée dans le monde occidental notamment que la pieuvre Rothschild depuis la création de l’empire par l’ancêtre Mayer Amschel.

    On ne doit donc pas s’étonner de voir que la France en côte d’ivoire ait tout fait pour virer Gbagbo et mettre à sa place un sioniste reconnu avec sa femme juive. Il est logique aussi de constater que la présidente de la république Centrafricaine a été formé par des juifs israéliens auxquels elle voue reconnaissance éternelle bien entendu. Et ne croyez pas que ce soit pour le bonheur des populations mais bien pour s’assurer que les minerais de ces pays si convoités seront sous la coupe des Rothschild. Voilà pourquoi l’Europe a décidé de soutenir la France en centrafrique et donc d’assurer la nomination de cette nouvelle présidente. Il est normal que l’israélien Fabius trouve que ce soit « une femme remarquable ». L’UE est sous la coupe de Rothschild via son parlement juif qui fait en sorte que ce que fait l’UE soit bon pour Israël et donc l’empire Rothschild. Certes on me rétorquera qu’au parlement européen on défend le droit des palestiniens. Mais je répondrai que cela ne mange pas de pain et n’a aucune influence sur la politique israélienne et que, bien au contraire, on constate que l’UE travaille étroitement avec Israël dans des domaines aussi stratégiques que le nucléaire!

    On comprend donc bien dès lors la vision politique globale de l’élite mondiale qui ne travaille qu’aux intérêts bien compris de l’empire Rothschild. Un empire qui contrôle la FED reserv, Wall street, la City, donc toutes les puissances financières mondiales, donc toutes les industries stratégiques via les conseils d’administration, donc tous les médias d’importance chargés de nous laver le cerveau, donc toutes les multinationales qui imposent leurs lois à nos dirigeants comme Monsanto, etc…L’empire Rothschild c’est l’empire du mal tout simplement. Un empire qui veut le libéralisme débridé et le libertarisme dévoyé pour mieux nous déraciner et donc mieux nous contrôler. Tout est simple finalement et l’ennemi de l’humanité est clairement identifié. Il ne sert donc à rien d’accuser le peuple français pour son colonialisme passé, présent ou futur, puisque tout s’est fait depuis le début par la volonté d’une puissance financière occulte celle des Rothschild.


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  • Gilad Atzmon : "Dieudonné a montré qu’il pouvait résister à la terreur juive".

     

    LIEN

     
    Gilad Atzmon : «Nous assistons à l’émergence d’un petit
     
     
     
     
    Algeriepatriotique : Votre combat contre le sionisme vous vaut des levées de boucliers en Israël et en Occident. Vos détracteurs jouent sur l’amalgame entre «antisionisme» et «antisémitisme». Quelle est la différence entre ces deux concepts ?
     Gilad Atzmon : L’antisémitisme est une notion qui peut prêter à confusion. Elle renvoie en général à une critique des juifs en tant que «peuple», «ethnie» ou «race». Cette critique, basée sur des considérations «biologiques», est en passe de disparaître. L’antisionisme, en revanche, relève d’un tout autre ordre. Il correspond à la critique de l’Etat juif, de ses politiques, de ses positions et de son idéologie. Or, il se trouve que je ne me reconnais dans aucune de ces catégories. Certes, je critique les Israéliens avec véhémence, mais ce qui m’intéresse le plus, c’est la signification véritable de l’identité, de la culture, de la politique et de l’idéologie juives. Ma conviction est que, aussi longtemps que l’action politique se place sous la bannière juive, nous avons le droit d’en interroger les mobiles, les positions et la philosophie. C’est parce qu’Israël se définit comme l’Etat juif que sa judéité doit être remise en cause. Je critique l’Etat juif mais je m’en prends aussi à la gauche juive, voire à ce qu’on l’on appelle communément l’«antisionisme». En somme, je dénonce tout ce qui relève du «pour-les-seuls-juifs», que cela vienne de la Gauche ou de la Droite. A l’instar du sionisme et d’Israël, l’antisionisme juif se fonde sur des considération raciales et est judéo-centrique. Sa raison d’être est la défense des intérêts tribaux juifs ; la cause palestinienne n’est qu’un faire-valoir. Dans mon essai The Wandering Who, j’ai fourni assez d’arguments et de preuves pour étayer cette thèse.

    Vous considérez que les sionistes sont la cause principale de la crise financière mondiale. Comment ?
    Non, pas exactement. Dans The Wandering Who, je dis qu’une bulle financière avait été créée de toute pièce aux Etats-Unis – par la Réserve fédérale – afin de détourner l’attention sur une bavure militaire, à savoir une guerre des sionistes et des néoconservateurs. Plutôt qu’une conspiration, la crise du crédit était accidentelle. Autrement dit, la bulle a explosé au moment où l’on s’y attendait le moins.

    On a tendance à croire que le sionisme se limite à la colonisation de la Palestine pour y créer un Etat. Or, vous dites que celui-ci est «un mouvement mondial alimenté par une solidarité tribale sans équivalent». Qu’entendez-vous par «solidarité tribale» ?
    Pour commencer, votre terminologie est légèrement incorrecte. Le sionisme n’est pas un mouvement colonial, même si beaucoup utilisent ce terme dans cette acception. Le colonialisme est un échange matériel et tangible entre l’Etat-mère (métropole) et l’Etablissement colonial. Dans le cas du sionisme, on peut, certes, identifier l’Etablissement colonial, mais pas l’Etat mère. En outre, l’établissement en Palestine concrétisait une quête spirituelle et idéologique, les considérations économiques n’en étaient pas le moteur. Sauf que, avec les lobbies juifs très actifs dans de nombreuses capitales occidentales (Aipac, Crif, CFI, etc.), qui y promeuvent les intérêts du sionisme mondial et incitent à des guerres contre l’Iran et la Syrie, il est aujourd’hui impossible de nier le fait que le sionisme est un mouvement mondial ayant des intérêts mondiaux. Ces éléments étant versés à la réflexion, il est facile de cerner la solidarité tribale qui renvoie à l’énorme soutien que les juifs du monde entier apportent à leur mouvement national et à leurs campagnes à fortes consonances tribales.

       
    Pourquoi le sionisme doit-il sa survie à la génération de «conflits internationaux d’ampleur gigantesque», pour reprendre votre formule ? Autrement dit, pourquoi le sionisme ne croit-il pas à la paix ?
    Car l’identité juive laïque est définie par négation. Le juif politique sans Dieu (par opposition au juif orthodoxe) se définit par l’animosité qu’il évoque chez les autres. Les juifs ont besoin d’ennemis et l’Etat juif au Moyen-Orient pourrait induire plusieurs autres conflits sectaires dans la région. Mais cela ne se résume pas uniquement à Israël ou à la politique sioniste. La judaïsation du mouvement de «solidarité» palestinienne a ouvert la voie à une chasse aux sorcières, typique de la culture juive du herem (excommunication). Ces dernières années, nous avons vu comment le PSC britannique expulsait les activistes – y compris des Palestiniens – de ses rangs. Manifestement, la politique juive se fonde sur la négation ; elle évoque l’animosité chez les autres.  

     
    Si Israël a été créé par les capitalistes britanniques pour contrôler le pétrole du Moyen-Orient au début du XXe siècle, comment se fait-il que le sionisme ait pris l’Occident en otage plusieurs décennies plus tard ? Qu’est-ce qui a conduit à cette inversion des rôles ?
    Non, je ne partage pas cette lecture. Israël n’a pas été créé par l’empire britannique et le pétrole n’était pas au cœur du discours derrière la Déclaration de Balfour. Il s’agit là d’un fantasme matérialiste marxiste trivial qui ne repose sur rien et qui sert à induire en erreur. Les lobbies sionistes ont réussi à arracher la Déclaration de Balfour au summum de la Première Guerre mondiale, promettant de pousser les Etats-Unis a rejoindre la guerre en retour. La Grande-Bretagne avait besoin de l’appui des Américains pour sortir de l’impasse du front occidental. Ainsi, donner la Palestine aux juifs semblait un prix négligeable à payer. Vue sous cet angle, la Déclaration de Balfour semblait destinée à apaiser l’élite financière juive germano-américaine qui s’est empressée de changer d’allégeance, tournant le dos à l’Allemagne pour s’allier aux Anglais. Le message était clair : dès 1917 déjà, le lobby juif américain était parmi les entités les plus influentes aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne.  

     
    Les médias occidentaux sont réfractaires à toute critique vis-à-vis du sionisme. Vous êtes vous-même pris sous le feu nourri de plumes acerbes. Actuellement, en France, Dieudonné en est victime. Comment expliquez-vous cet acharnement du complexe politico-médiatique contre cet humoriste ? Dieudonné est-il à ce point un danger pour les sionistes ?
    Dieudonné a montré qu’il pouvait résister à la terreur nationaliste juive. Toutes les tentatives visant à le détruire ont produit l’effet contraire, l’aidant à affiner son humour et sa critique du pouvoir juif. Mais Dieudonné a réussi à exposer le continuum mortel entre le lobby juif, le soi-disant mouvement de solidarité avec les Palestiniens et l’establishment de la «Gauche» française qui n’existe que dans l’imagination. Il est pour le moins surprenant que le gouvernement qui, il y a à peine quelques semaines, avait tenté – toute honte bue – de faire échec aux négociations avec l’Iran – dans une tentative désespérée d’apaiser le gouvernement israélien – s’en prenne à présent à un comédien noir qui refuse de se plier à la suprématie de la souffrance juive.  

     
    Contrairement aux sionistes soudés et organisés, les mouvements antisionistes semblent éparpillés. Pourquoi n’existe-t-il pas une organisation solide pour combattre ce groupe tentaculaire qui «tue au nom de la souffrance juive» ?
    La sionisation du mouvement de solidarité avec les Palestiniens – que je suis depuis plus d’une décennie – est quasiment parachevée. Elle a permis de placer les intérêts tribaux juifs au cœur du combat palestinien. Au lieu de défendre les Palestiniens, les organisations de solidarité s’occupent plutôt de la lutte contre l’antisémitisme. Ce mouvement agit, actuellement, comme une opposition sous contrôle. Il est financé généreusement par des sionistes libéraux tels que George Soros qui finance également Jstreet. Soros finance la plupart des ONG palestiniennes, y compris le mouvement BDS. Nous assistons à l’émergence d’un petit «commerce» sous couvert de la solidarité avec la Palestine qui ne va aboutir à rien et dont le mérite, justement, réside dans son incapacité à réaliser quoi que ce soit. Mais, d’autre part, l’on ne peut ignorer quelques évolutions positives. En effet, de plus en plus de gens perçoivent la vraie réalité sur le terrain. Et je n’y ai pas peu contribué. De plus en plus de gens sont conscients de l’activisme des lobbies juifs et de l’instigation des conflits par le sionisme. Ils sont de plus en plus nombreux à mieux appréhender le rôle de la gauche politique. Ils voient bien la tentative du Guardian à faire de Sharon un abcès de fixation. En bref, ils sont de plus en plus nombreux à comprendre que la Palestine est ici, à Paris, Londres, Athènes et Detroit. Dans l’état actuel des choses, nous sommes tous des Palestiniens. L’immense soutien dont bénéficie Dieudonné est un message cinglant à l’Aipac, au CFI et au Crif, annonçant la fin de la partie. On en a assez. J’aimerais bien voir le lobby juif (tant les sionistes que les antisionistes) se résoudre à reconnaître les changements actuellement à l’œuvre. Mais j’en doute fort. Lecteur avide de l’histoire juive et des dysfonctionnements de la Gauche, je pense que le Lobby se montrera de plus en plus agressif et je crains fort les conséquences inévitables tant pour les juifs que pour nous tous.
     
    Entretien réalisé par Mohamed El-Ghazi et M. Aït Amara

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    Cette enquête, qui aurait pu s’appeler « le poids des mots, le choc des photos » raconte l’histoire des FEMEN à la lumière de leurs alliances politiques et de leurs nombreux dérapages, souvent passés sous silence. Une gageure.

     

     

     

     

     

     

                                                                                               

     

     

     

                                                                                                l’extrême-droite et FEMEN. En 2012 le site FEMEN fut  ainsi hébergé sur le site de leur « ami bloggeur voland14 ». Voland14, pseudonyme de Sergey Didkovsky.

     

    Côté pile Didkovsky est un « spin doctor » et éditorialiste dans Playboy (!). Côté face, blogger néonazi (14, une référence hitlérienne transparente) ; païen ; et chroniqueur médiatique évoquant les « Européens de souche que l’on mène à l’abatage ». Celui qui diffuse aujourd’hui des vidéos sur « Eurabia » fut un animateur de la scène néonazie ukrainienne dans les années 2000 (sous les pseudonymes, justement de voland14 ou voland ratybor)…

    Sur la photo suivante, il s’illustre parmi les supporters de foot du club de Lviv, avec son « Parti national-travailliste d’Ukraine »… Foot et racisme : on se souvient de la campagne menée par les FEMEN contre l’entrée des supporters turcs à l’occasion d’un match… contre Lviv, précisément.

     

     

    Lire l’intégralité de l’article sur olivierpechter.wordpress.com


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