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  • Netanyahu critiqué parce que son fils a une petite amie non juive

    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu était sous le feu des critiques de parlementaires religieux dimanche, après des informations de presse affirmant que son fils entretient une relation avec une Norvégienne non juive.

    Le journal norvégien Dagen a rapporté que Yair Netanyahu (photo ci-dessus), 23 ans, fréquentait une Norvégienne de 25 ans, Sandra Leikanger, qui étudie actuellement en Israël. Dagen affirme que lors d’une rencontre à Davos, M. Netanyahu a déclaré à son homologue norvégien que les deux jeunes gens avaient récemment passé des vacances en Norvège.

    Nissim Zeev, membre du parti religieux Shass, a indiqué au Jerusalem Post dimanche que M. Netanyahu devait "faire preuve d’une responsabilité nationale" en tant que Premier ministre. "C’est un gros problème. Je parie que cela le peine", a-t-il dit.

    Moshe Feiglin, un député de l’aile la plus radicale du Likoud, le parti de M. Netanyahu, a jugé de son côté "très regrettable" cette relation, dans un entretien au même journal.

    Le Jerusalem Post cite une source proche du fils de M. Netanyahu confirmant que Sandra Leikanger n’est pas juive.

    L’organisation d’extrême droite nationaliste et religieuse Lehava a appelé pour sa part M. Netanyahu à agir pour "empêcher cette relation". "Vos petits-enfants comme vous le savez, ne seront pas juifs", a mis en garde le directeur de Lehava, Bentzi Gopshtain, sur son compte Facebook.

    Le judaïsme se transmet par la mère. Le bureau de M. Netanyahu - qui lui-même était marié avec une non-juive, Fleur Cates, entre 1981 et 1984 - s’est refusé à tout commentaire sur cette affaire.


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    vous pouvez télécharger le tract ICI

    ATTENTION NE PAS DISTRIBUER DEVANT LES ECOLES AFIN DE NE PAS CREER UN TROUBLE A L'ORDRE PUBLIC


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    Le 11 janvier 2013, le gouvernement français répondait à la demande du gouvernement malien et lançait l’opération Serval. Les forces françaises se sont engagées au Mali dans la lutte contre des groupes armés islamistes ayant pris le contrôle de la partie Nord du pays et menaçant la capitale Bamako. Des combats ont eu lieu entre l’alliance des forces franco-maliennes et les groupes islamistes. Ces combats ont permis de libérer le pays par la prise du terrain ville par ville. Les terres reprisent aux combattants islamistes ont peu à peu vues des ONG s’implanter dans une volonté d’aide des populations locales.

    Certaines de ces ONG ont profité de cette occupation du terrain pour tenter de mettre en avant des faits qu’elles caractérisent d’exactions. En effet, ces ONG s’expriment en faveur des droits de l’Homme, du respect du droit humanitaire et du droit de la guerre qu’elles revendiquent presque automatiquement dans un conflit.

    À travers cette étude, nous nous intéresserons plus particulièrement à trois ONG : Amnesty International, Human Right Watch et la Fédération Internationales des Droits de l’Homme.

    Nous analyserons les évolutions de ces différentes structures, leurs interventions ainsi que les individus qui composent leur direction.

    Partie 1 : Amnesty International

    A) Amnesty International ou le prolongement d’une politique gouvernementale

    Si au premier abord, les ONG poursuivent des objectifs louables s’orientant vers la défense des droits de l’homme et de la dignité humaine, de plus en plus d’éléments démontrent que pour certaines de ces organisations ce constat est à relativiser. Infiltrées par des représentants des gouvernements, prenant part à certains conflits, passant sous silence d’autres : en filigrane se dessinent les contours d’une stratégie qui est le reflet de la politique des départements des Affaires étrangères.

    Certains gouvernements, comme les États-Unis, ne se cachent d’ailleurs pas de cette instrumentalisation des organisations « non-gouvernementales ». Ainsi, l’ancien secrétaire d’État Colin Powell, dans un discours adressé aux ONG au début de l’Operation Enduring Freedom (l’invasion de l’Afghanistan), en octobre 2001, déclarait :

    « Les ONG sont un démultiplicateur de force pour nous, une partie tellement importante de notre équipe combattante [1]. »

    B) L’instrumentalisation d’Amnesty International

    L’ONG Amnesty International a été créée par le britannique Peter Benenson. Avant d’exercer le métier d’avocat, il a travaillé au bureau du ministère de l’information et de la presse britannique lors de son service pendant la Seconde Guerre Mondiale. Il a ensuite travaillé au Bletchley Park qui était le centre de décryptage anglais, où il était affecté à la « Testery ». Peter Brenenson était chargé de déchiffrer les codes allemands.

    Lire la suite sur fbdc.aege.fr (pdf)

     


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  • Quenelle sur RMC, un auditeur dit tout ! par BlogLaQuenelle


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