• Des signaux sismiques révèlent l’utilisation d’explosifs au WTC le 11/9

    Des signaux sismiques révèlent l’utilisation d’explosifs au WTC le 11/9

    Le docteur André Rousseau, ex-chercheur du CNRS en géologie-géophysique et spécialiste des ondes acoustiques nous livre ici les résultats de ses analyses des signaux sismiques enregistrés le 11 septembre 2001 à New York et donne son point de vue de spécialiste sur la question de la destruction des trois tours du World Trade Center.

     
    Relations ondes sismiques/processus d’effondrement
     
    L’observation de l’effondrement de chacune des trois tours montre qu’il a été différent, et cela est à corréler avec les émissions d’ondes sismiques correspondantes.
    L’effondrement du WTC7 est celui qui se rapproche le plus de la démolition contrôlée classique, avec effondrements successifs des étages à partir de la base du bâtiment fragilisée par une puissante explosion subaérienne. En ce qui concerne les Tours Jumelles, elles ont d’abord été fragilisées par des explosions à leur base au moment où les avions les percutaient. Ensuite, il faut distinguer la partie du bâtiment située au-dessus de la zone de percussion des avions, et celle située au-dessous. Si les ondes sismiques n’ont pu être générées par les explosions visibles dans les étages et qui ont permis les effondrements graduels du bas vers le haut au-dessus de la zone de percussion et du haut vers le bas au-dessous de cette zone, c’est une puissante explosion située à la base du bâtiment pour le WTC2 et une autre souterraine pour le WTC1, qui ont accéléré le processus de ruine totale, et ont émis les ondes sismiques étudiées. C’est d’ailleurs selon toute vraisemblance l’explosion sous le WTC1 qui, en précipitant la ruine de la base de la tour, a « remis » dans la verticalité la trajectoire initialement oblique de la chute du sommet du WTC1.
     
     
    Au moment de la percussion des Tours Jumelles par les avions et de l’effondrement de ces dernières, ainsi que de celui du WTC7, des ondes sismiques ont été générées. Dans la mesure où (1) les ondes sismiques ne sont créées que par des impulsions brèves et (2) où les basses fréquences sont associées à une énergie (magnitude) comparable à celle d’un séisme instrumental, ces ondes révèlent indubitablement une origine explosive. Même si la percussion par les avions et la chute des débris des tours sur le sol ont pu générer des ondes sismiques, d’une part leur magnitude a été insuffisante pour être enregistrée à 34 km, et d’autre part elles ne pouvaient qu’être homogènes.

    Or les signaux sismiques montrent des différences significatives dans leur composition et leur magnitude et surtout dans leur vitesse de propagation, alors que leur parcours est pourtant identique dans des conditions identiques. Cette dernière différence étant physiquement inexplicable dans le cadre de la version officielle, on doit remettre en question le calcul des vitesses effectué à partir d’une origine calée sur les images vidéo. On ne peut que conclure qu’en réalité la source (explosive) a été déclenchée manuellement, donc avec un décalage variable pour chaque origine par rapport aux vidéos.

    La composition des ondes est révélatrice de l’emplacement de la source et la magnitude dépend de l’énergie transmise au sol. L’origine souterraine des ondes émises au moment de l’effondrement du WTC1 est attestée par la présence des ondes de volume (P et S) en plus des ondes de surface (ondes de Rayleigh), lesquelles sont présentes dans les cinq cas. L’emplacement de la source des quatre autres explosions est subaérien, ce qui est attesté par la seule présence des ondes de Rayleigh. Les explosions aériennes visibles sur les vidéos dans les étages supérieurs des Tours Jumelles ne fournissent pas d’ondes sismiques à 34 km de distance de la source.

    Il y a un facteur dix entre la puissance des explosions contemporaines des percussions des Tours Jumelles (ainsi que de celle contemporaine de l’effondrement du WTC7) et la puissance de celles – les plus puissantes – contemporaines de leur effondrement, l’explosion souterraine sous le WTC1 étant celle qui a transmis le plus d’énergie au sol.
    Notons aussi que dans la mesure où les ondes de surface sont dispersives (la vitesse dépend de la fréquence), la durée du signal enregistré n’est pas représentative de la durée du signal à sa source.

    Enfin, la démolition contrôlée des trois tours, suggérée par les témoignages visuels et auditifs, ainsi que par les observations sur leur chute est donc démontrée par l’analyse des ondes sismiques émises au moment des percussions par les avions et au moment des effondrements.
     
    par André Rousseau (*)

     

    (*) André Rousseau, Docteur d’État, est retraité du CNRS, où il a étudié plus particulièrement les relations entre les caractéristiques des ondes mécaniques progressives et la géologie. Il a publié de nombreux articles sous comité de lecture sur la géophysique ainsi que participé à de nombreux congrès, y compris à comité de sélection.
    Dans cet article, il met en évidence que les ondes sismiques enregistrées le 11 Septembre à New York sont le résultat d’explosions souterraines et subaériennes participant à la démolition contrôlée des Tours Jumelles et du Bâtiment 7.

    (6) Vidéo de la preuve d’une explosion survenue à la base du WTC1

    "Cette vidéo montre l’effondrement du WTC1 (…). La caméra n’était pas tenue à la main, mais directement reliée au sol par un trépied, ce qui permit à la caméra de saisir visuellement un tremblement du sol qui est survenu environ 13 secondes avant que l’immeuble ne s’effondre. La vidéo montre aussi un objet tombant de la droite du bâtiment peu avant que la caméra ne commence à trembler. La proximité dans le temps de ces deux événements indique qu’ils sont liés."

    http://whatreallyhappened.com/WRHARTICLES/shake.html

     

     

    Articles liés :Bernie la Malice


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :