• Par Adrien Abauzit

    Allons droit au but sans tourner autour du pot : s’il y a aujourd’hui en France des millions de musulmans, c’est parce que l’UMP et socialistes ont tout fait pour faire venir des millions d’africains sur notre sol. Le phénomène de conversion des français de souche à l’Islam existe, mais il est marginal.

    Contrairement à ce qu’a toujours cru notre intelligentsia stupide, un africain n’est pas aussi lobotomisé et déraciné qu’un bobo. Un africain a une religion, des racines, une histoire. On ne voit pas pourquoi le fait de fouler le sol de France devrait les lui faire abandonner. Ceci n’est pas une critique : si l’auteur de ses lignes devait aller vivre dans un pays étranger, lui aussi voudrait conserver la culture, la langue et la religion qui le structure.

    L’interdiction du port du voile à l’Université, au collège, ainsi que l’interdiction de la burka n’ont qu’un but : masquer aux français les conséquences inéluctables de l’immigration, soit le choc entre les codes sociaux français et les codes sociaux immigrés.

    Les immigrationistes veulent l’immigration sans les conséquences de l’immigration, pensant encore que les français peuvent être dupes. Vivant entre bourgeois blancs, ils ignorent qu’il suffit de prendre n’importe quelle ligne de métro pour que la réalité nous saisisse à la gorge. Ils ignorent que de nombreuses villes d’Ile-de-France sont désertées par les français de souche. Ils ignorent qu’il est trop tard pour tricher, que l’évidence ne peut plus être étouffée.

    En ce qui le concerne, votre serviteur se réjouirait que toutes les musulmanes de France portent le voile et pourquoi pas la burka. La frange du peuple français acquise à l’immigrationisme, essentiellement classée à gauche, ne pourrait ainsi plus s’auto-illusionner sur l’immigration.

    L’interdiction du port du voile n’est qu’un grigri temporaire. Elle ne calmera pas les français dont le quotidien est dégradé par l’immigration et n’aveuglera pas longtemps l’électorat de gogôche.

    Le vrai problème est le suivant : de fait, l’UMP et PS ont organisé des décennies durant la contrecolonisation de la France. Cette contrecolonisation sous pilotage mondialiste a engendré, pour des raisons historiques, sociologiques, géographiques et anthropologiques, une implosion de la société française : subversion culturelle (nos livres d’histoire en attestent), explosion de la délinquance et de la criminalité, baisse du niveau scolaire, accroissement du déracinement de la jeunesse française, féodalisation du territoire.

    Face à cette situation, un homme politique digne de ce nom, soucieux des intérêts de la France, de son avenir, et désireux d’éviter la guerre civile ne chercherait pas à interdire le port du voile. Il arrêterait immédiatement l’immigration et organiserait pacifiquement et méthodiquement le retour des populations qui n’ont pas vocation à s’enraciner dans la civilisation française. Voilà ce que serait une politique française. Mais nous le savons bien : cette ligne fait horreur à l’UMPS, qui est viscéralement mondialiste et immigrationniste.

    Faut-il en conclure que la reconduction de l’UMP et Socialistes aux manettes de la France conduira cette dernière à sa disparition ? Hélas, oui.


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  • Le Monde | <time datetime="2013-08-07T10:00:31+02:00" itemprop="datePublished">07.08.2013 à 10h00</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-08-07T10:07:40+02:00" itemprop="dateModified">07.08.2013 à 10h07</time>

    <figure class="illustration_haut"> Des travailleurs de Fukushima, chargés de contrôler le démantèlement de la centrale, inspectent la construction de barrières censées empêcher l'écoulement d'eau contaminée dans l'océan. </figure>

    Voilà des mois que les informations sur les fuites d'eau radioactive issue de la centrale de Fukushima sortent graduellement au grand jour, sans que soient révélés officiellement leur ampleur ou leur impact sur l'environnement. Le gouvernement japonais a finalement rendu public une estimation de leur quantité, mercredi 7 août : ce sont 300 tonnes d'eau contaminée qui se déversent chaque jour dans l'océan Pacifique, plus de deux ans après la catastrophe nucléaire causée par un séisme et un tsunami, en mars 2011.


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  • L'autorité de sûreté nucléaire sonne l'alarme alors que l'opérateur de la centrale ne parvient pas à contenir l'eau radioactive qui se déverse dans l'océan.

    Vue aérienne du réacteur numéro trois de la centrale nucléaire de Fukushima. 
(c) Reuters

    Vue aérienne du réacteur numéro trois de la centrale nucléaire de Fukushima. (c) Reuters

    <aside class="obs-article-brelated" style="margin-left:20px;"> <header class="obs-blocktitle">Sur le même sujet</header>

    </aside>

    L'eau hautement radioactive qui se déverse dans l'océan à partir de la centrale nucléaire de Fukushima, endommagée par un séisme et un tsunami il y a deux ans, créée une "situation d'urgence" que son opérateur a du mal à contenir, a déclaré lundi 5 août un responsable de l'autorité nucléaire japonaise (NRA).

    Cette eau contaminée, qui a atteint une barrière en sous-sol, est en train de monter vers la surface et dépasse les limites légales de d'écoulement radioactif, a expliqué Shinji Kinjo, responsable d'un groupe de travail à l'Autorité de régulation nucléaire.

    Les contre-mesures prévues par l'opérateur de la centrale, Tokyo Electric Power (Tepco) ne sont qu'une solution temporaire, estime-t-il et Tepco ne réalise pas que l'heure est grave, ajoute-t-il. "C'est pourquoi nous ne pouvons tout simplement pas laisser cela à Tepco tout seul. [...] Actuellement, nous avons une situation d'urgence".

    Tepco a été très critiqué pour son manque de préparation à la catastrophe de 2011 et sa réponse inepte à la fusion des réacteurs.

    Quelles conséquences pour la mer ?

    On ne connait pas pour l'instant avec certitude l'ampleur de la menace posée par l'eau contaminée venant du sol. Dans les premières semaines après la catastrophe, le gouvernement japonais avait autorisé Tepco à déverser en urgence des milliers de tonnes d'eau contaminée dans le Pacifique.

    Mais la diffusion de ces eaux toxiques a été très critiquée dans les pays voisins ainsi que par les pêcheurs japonais. Depuis, la compagnie d'électricité a promis qu'elle ne déverserait pas d'eau irradiée sans le consentement des localités voisines.

    "Jusqu'à ce que nous connaissions la densité exacte du volume de l'eau qui s'échappe, je ne peux pas honnêtement spéculer sur les conséquences pour la mer", témoigne Mitsuo Uematsu, d'un centre spécialisé de l'université de Tokyo.

    L'opérateur quantifie les fuites radioactives

    Dimanche, Tepco a communiqué la première estimation publique des fuites radioactives dans l'océan Pacifique depuis la catastrophe du 11 mars 2011.

    Entre 20 et 40 mille milliards de becquerels ont ainsi fui dans les eaux de l'océan de mai 2011, soit deux mois après la catastrophe, à juillet 2013, estime Tokyo Electric Power Co.

    (Avec agences)

     


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    Une étude américaine démontre que la fumée d’encens libère des particules toxiques en quantité importante pour provoquer des inflammations pulmonaires comme avec la cigarette.

    Brûler de l’encens est une pratique très répandue pour masquer les mauvaises odeurs ou pour parfumer son intérieur. Mais selon une récente étude américaine parue dans la revue "Science of The Total Environment", des chercheurs ont constaté que brûler de l’encens libère des particules polluantes dans l’air pouvant provoquer des inflammations très nuisibles pour les poumons.

    Une réaction inflammatoire identique à la cigarette

    L’expérience étudiée par les scientifiques s’est déroulée durant trois heures dans un espace clos similaire à un salon. Ils ont fait brûler deux types d’encens les plus utilisés dans les Émirats Arabes Unis et des cellules pulmonaires humaines y ont été exposées avant d’être incubées pendant 24 heures.

    Résultat, ces cellules ont été exposées à des molécules toxiques comme le monoxyde de carbone, oxyde d'azote ou encore dioxyde de souffre. L'étude estime même que la réaction inflammatoire est similaire à celle observée avec de la fumée de cigarette.

    Il est donc recommandé de bien aérer son intérieur lorsque l’encens est en train de brûler pour éviter la pollution de l’air et le risque d’infection pulmonaire.( si tu habites à la campagne)


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  • 3 août 2013 dans par Stéphane GAUDIN

    Suite aux révélations d’Edward Snowden, l’Allemagne a rompu les accords (signés dans les années 1960) avec les Etats-Unis et le Royaume-Uni, permettant aux services spéciaux de ces pays d’exercer une surveillance généralisée sur le territoire allemand.

    Nsa spy

    Ces accords ont été signés dans les années 1960, et sont devenus une annexe à la loi allemande sur la limitation de la confidentialité de la correspondance, ainsi que des services postaux, téléphoniques, télégraphiques et d’autres services de télécommunications, notamment la loi dite G10.

    Côté français, nous attendons toujours une action gouvernementale claire et proportionnelle sur ce dossier…qui tarde à venir (mais avec 8 membres du gouvernement ayant participé au programme Young Leader de la French American Foundation…la réponse risque d’être longue à venir).

    Source : DER SPIEGEL


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  • Affaire Snowden : Ne pas confondre nécessité d’un service de renseignement et « mégamachine » sécuritaire orwellienne

    3 août 2013 dans Espionnage, surveillance par Stéphane GAUDIN

    Les récentes affaires Snowden et Bradley Manning ont déclenché une indignation généralisée à travers le monde, des pans entiers des opinions publiques considérant ces deux hommes comme des héros de la liberté, voire des martyrs. Pourtant, des voix se sont élevées contre de telles réactions et ont pris la défense des autorités américaines et des mesures de répression prises à l’encontre de ces hommes, au nom du réalisme géopolitique et de la nécessité qu’il y a à posséder des services de renseignement, a fortiori en période de lutte planétaire contre le terrorisme.

    PRISM2Il est ici hors de question de remettre en cause l’existence de services de renseignements, et donc de l’emploi par ces derniers de méthodes illégales, parfois violentes, ou de la mise en place de systèmes d’écoutes électroniques dans toutes les dimensions de l’éther ou du cyberespace. Il serait parfaitement irresponsable en effet de prétendre qu’une nation souveraine puisse s’en passer, et encore plus naïf de croire que de telles organisations puissent ne mettre en œuvre que des moyens légaux et non-violents. Ces services sont bel et bien d’une absolue nécessité dès lors que les États évoluent dans un univers d’affrontement permanent. De même est-il de bonne guerre de ne pas limiter la recherche d’informations à ses seuls adversaires (réels ou supposés, actuels ou potentiels) et d’acquérir aussi du renseignement sur ses alliés, ses partenaires, voire sur des neutres.

    Doit-on pour autant approuver systématiquement tout ce qu’entreprennent ou mettent en place les services de renseignement, ou même seulement les accepter avec fatalisme ? Il me paraît que la réponse à cette question est nécessairement négative. Dans les pays démocratiques, ces services font d’ailleurs l’objet de commissions de contrôle parlementaire, ce qui est un minimum. De même et là encore, il est normal et de bonne guerre pour un État d’émettre des protestations lorsqu’il découvre qu’il fait l’objet de tels agissements de la part d’un autre État, fut-il allié. Les pays européens ont émis de telles protestations à la suite de la divulgation des agissements de la NSA ; c’est parfaitement sain et normal, même s’il leur arrive d’en faire autant. Les États-Unis ont toujours protesté lorsqu’il leur est arrivé de démasquer des agissements des services français sur leur territoire. Nous sommes là dans le cadre d’un « jeu » diplomatico-stratégique qu’il serait parfaitement vain de condamner.

    Pourtant, par-delà ces évidences qu’il convenait tout de même de rappeler, le problème posé par les cas Snowden et Manning me paraît différent. D’abord, ces hommes ont pris des risques énormes et, surtout, ils l’ont fait en sachant pertinemment qu’ils ne gagneraient rien à le faire, bien au contraire. C’est un détail qui me paraît digne d’être pris en considération. Ensuite, les agissements qu’ils ont révélé – en particulier par Snowden – ne relèvent pas du classique espionnage entre États, mais bien d’abord d’un vaste système de surveillance des peuples, y compris de la population même de l’État qui déploie ce dispositif ! Du coup, la nature des agissements de ces services change radicalement. Là, nous sommes en présence d’une machine sécuritaire de contrôle total des peuples à vocation totalitaire et orwellienne, sans pratiquement aucun des Checks and Balances propres à la démocratie américaine. Même le système de surveillance et de fiches mis en place par la tristement célèbre STASI, en Allemagne de l’Est, paraît bien archaïque et faible en comparaison du dispositif techno-policier aujourd’hui en cours de déploiement au service du pouvoir américain et à l’échelle planétaire. Il est donc question ici de la dénoncer et de la combattre ; invoquer le patriotisme et la lutte contre l’espionnage n’a alors plus aucun sens autre que de confusion.

    Ce qui nous amène au point suivant : l’hyperpuissance américaine a atteint un degré véritablement titanesque, sans égal dans toute l’histoire humaine. Qui plus est, cette puissance stratégique globale se double d’une hyperpuissance financière d’une nocivité là encore inégalée – les peuples et leurs dirigeants sont espionnés, leurs économies sont détruites. Nous sommes donc en face d’un Léviathan tel que Hobbes lui-même n’aurait pu l’imaginer. À ce niveau, peu importe que l’on soit ou non partisan de la culture et de la politique américaines, que l’on soit au titre de ses opinions personnelles « pro-américain » ou « anti-américain », la raison et la sagesse commandent au minimum la défiance à son égard. « Le pouvoir corrompt ; le pouvoir absolu corrompt absolument », disait Winston Churchill. Il semblerait bien que les États-Unis, en tant que puissance, aient déjà basculé dans une chute sans fin vers les abysses – ce fut déjà le sort du plus beau des anges, Lucifer.

    Manning et Snowden, à l’avant-garde de millions d’autres Américains, refusent d’être entraînés dans cette chute vers les enfers et ils se sont dressés pour manifester ce refus du mieux qu’ils le pouvaient, et en mettant à jour quelques-unes des turpitudes et des plans terrifiants de leurs dirigeants. Comme l’a rappelé récemment Jacques Sapir, ils ont fait œuvre de « salubrité publique ». En aucun cas ils ne peuvent être considérés comme des traîtres.

    Laurent HENNINGER


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  • Les nappes phréatiques de Fukushima risquent de déborder

    Le Monde | <time datetime="2013-08-03T13:44:25+02:00" itemprop="datePublished">03.08.2013 à 13h44</time>

    Les nappes phréatiques situées sous la centrale japonaise accidentée de Fukushima montent à un niveau plus élevé qu'une barrière actuellement construite pour les contenir, rapporte samedi le quotidien japonais Asahi. Evoquant une réunion des autorités japonaise de régulation sur le nucléaire, le journal explique que les eaux souterraines contaminées lors de l'accident nucléaire du 11 mars 2011 pourraient remonter à la surface d'ici trois semaines.

    Tepco, l'opérateur de la centrale, injecte actuellement un produit chimique souterrain afin de solidifier les sols et éviter que les eaux radioactives soient emportées. Mais selon Asahi, il n'est efficace qu'à plus de 1,80 mètre de profondeur, alors que les nappes phréatiques montent jusqu'à un mètre sous terre.

    Ni Tepco ni l'Autorité japonaise de sûreté nucléaire, créée après la catastrophe de Fukushima, n'ont confirmé l'information. En revanche, après des mois de dénégations, Tepco a reconnu la semaine dernière pour la première fois que des eaux souterraines radioactives s'étaient probablement écoulées dans l'océan Pacifique.


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