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  • Comme retour sur investissement dans la révolution du jasmin, les Américains ont construit dans le sud tunisien une base militaire encore plus grande que celle qu’ils ont en Arabie Saoudite. Ghannouchi, Marzouki et Ben Jafaar leur offrent ainsi ce que Ben Ali leur a refusé en 2007 ! Tout cela dans le silence de l’opposition et le mutisme des médias.


     
    Savez-vous que les Etats-Unis garantissent les crédits de deux pays dans le monde : Israël, depuis toujours et la Tunisie depuis le coup d’Etat du 14 janvier 2011. Depuis déjà 1984, les Américains voulaient faire tomber Bourguiba au profit des islamistes. Leur coup d’Etat du 8 novembre 1987 aurait pu réussir n’eut-été celui du général Ben Ali le 7 novembre 1987, grâce aux Algériens. 

    Maintenant que leurs mercenaires sont au pouvoir, ils peuvent tout obtenir. Du soutien diplomatique pour détruire la Syrie (le dernier communiqué des Affaires étrangères, c'est de la poudre aux yeux), jusqu’à la construction d’une base militaire pour contrôler toute la région et conquérir l’Algérie. En effet, cette base militaire vise essentiellement l’Algérie, qui croit avoir échappé au printemps arabo-impérialiste en accordant aux Américains des avantages et des concessions sur le gaz et le pétrole. Les Américains attendent juste la mort de Bouteflika pour passer à l’action. C’est John McCain qui a persuadé Barack Hussein de profiter des bonnes relations avec Ennahda pour installer l‘AFRICOM. 

    Il s’agit, en effet, d’une base pour l’AFRICOM, United States Africa Command, qui est le commandement unifié pour l’Afrique et qui a été crée par le Pentagone en 2007, sous la présidence de George W.Bush. Sa mission, coordonner toutes les activités militaires, sécuritaires et d’espionnage des Etats-Unis sur le continent. Cette organisation est entrée en fonction le 1er octobre 2008, sous le commandement du général William E. Ward, ancien coordinateur de la sécurité entre Israël et l’autorité palestinienne. Depuis, ayant essuyé un refus de Ben Ali, de Kaddafi, de de Moubarak et de Bouteflika, ce commandement avait son quartier général à Stuttgart, en Allemagne. Une ramification se trouve à Djibouti. 

    La construction de cette base militaire a démarré à Remada en décembre 2011, soit à peine trois mois après l’usurpation du pouvoir par les islamistes. 

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  • Explosif : Mahmoud Abbas confirme le pacte entre Morsi, Obama et Netanyahou sur le Sinaï !

     

    LIEN

    Près de la moitié du Sinaï devait servir à l’agrandissement de Ghaza pour accueillir les « réfugiés » palestiniens. C’est le président de l’Autorité palestinienne en personne qui l’a confirmé dans un entretien à la télévision égyptienne CBC (vidéo). Mahmoud Abbas relate la discussion qu’il a eu avec Mohamed Morsi et affirme avoir catégoriquement refusé ce pacte islamo-sioniste approuvé par les deux renégats et esclaves du Qatar, Khaled Mechaal et Ismaël Haniyeh. Montant de la transaction, 8 milliards de dollars payés par le contribuable américain et empochés par les Frères musulmans égyptiens et palestiniens. Voilà pourquoi Barack Hussein Obama a soutenu jusqu’à la dernière seconde Mohamed Morsi, le Frère musulman qui a vendu 25000 Km2 du Sinaï pour gouverner l’Egypte.


     
     
     
    Explosif : Mahmoud Abbas confirme le pacte entre Morsi, Obama et Netanyahou sur le Sinaï (vidéo)

     

     

     
     Dès leur naissance en Egypte, en 1928, les Frères musulmans offraient leurs services aux renseignements britanniques pour accéder au pouvoir. Ils ont été capables de réduire le Coran à un vulgaire manuel politique, de rallier la cause anglaise contre le nationalisme arabe, de se dissoudre dans le wahhabisme saoudien contre le nassérisme…, pourquoi ne braderaient-ils pas la moitié du Sinaï ? Ils vendraient terres, pères, mères, frères et enfants pour l’argent ou pour le pouvoir. 
    Pourtant, lorsque cette affaire a été révélée par la presse égyptienne, après le sursaut patriotique égyptien, beaucoup n’ont pas voulu y croire. Il est vrai que l’affaire semblait incroyable tellement elle était scandaleuse et abjecte. C’est de l’intox pour discréditer les islamistes, disaient certains. C’est de la manipulation pour légitimer le « coup d’Etat » du général Al-Sissi, pensaient les autres. Passés maitre dans l’art de la dissimulation et de la désinformation, les islamistes ont même tenté de jeter leur propre infamie sur leurs adversaires : ce serait les Américains qui auraient renversé Morsi au profit d’Al-Sassi, dont la mère –ajoutait la propagande antisémite et islamiste- serait une juive ! Un vieux réflexe antisémite que les islamistes ont déjà utilisé contre Nasser, Bourguiba et Kadhafi. 
    Révélée dès juillet 2013, l’affaire du Sinaï semblait pourtant d’autant plus avérée que Barack Hussein Obama en avait reconnu les faits devant l’interrogatoire musclée de la Commission d’enquête du Sénat, le 12 septembre 2013. Les sénateurs américains voulaient alors connaitre la facture financière de l’échec américain en Egypte. 28 milliards de dollars, selon l’aveu même du président américain. 20 milliards de dollars versés aux islamistes égyptiens, tunisiens et libyens, avant les « élections » dans ces trois pays ; et 8 milliards de dollars attribués aux Frères musulmans égyptiens et à leurs acolytes du Hamas, pour la portion de terre retirée du Sinaï. 
    Le 17 août 2013, l’intellectuel égyptien Henri Boulad écrivait : « Des accords secrets de Morsi pour vendre l’Egypte à ses voisins, morceau par morceau : 40% du Sinaï à Hamas et aux Palestiniens, la Nubie à Omar el-Béchir, et la portion ouest du territoire à la Libye… ». Le journaliste algérien Mohsen Abdelmoumen révélait, dès juillet 2013, que « le président islamiste égyptien a conclu un contrat écrit ahurissant qui consiste à céder 40% des territoires du Sinaï aux réfugiés palestiniens. Il ne s’agit certainement pas d’un élan de solidarité vis-à-vis du peuple palestinien, mais plutôt d’une transaction monnayée avec le Trésor américain où les Frères musulmans ont empoché 8 milliards de dollars. Le document de la transaction signé par le président déchu Morsi, par le chef suprême de la confrérie des Frères musulmans Mohamed Badie et par Khairat Al-Chater, le milliardaire islamiste de l’import-import, a été envoyé par le général Al-Sissi au Sénat américain. Un membre de l’ex-gouvernement Morsi n’a pas craint de déclarer que cette opération était autant profitable pour les Frères musulmans que pour Obama, Israël et le Hamas… Auditionné ces derniers jours par le Sénat américain, Obama a tenté avec l’énergie du désespoir de sauver les meubles en invoquant un simulacre de raison d’Etat et une prétendue volonté de vouloir «régler» le conflit israélo-palestinien en optant pour la solution de la patrie de substitution pour le peuple palestinien » (Algérie Patriotique du 20 juillet 2013). 
    Fin juillet 2013, le penseur égyptien Samir Amin déclarait que « Oui, cette information est exacte. Il y avait un deal entre Morsi, les Américains, les Israéliens et les acolytes riches des Frères musulmans de Hamas à Ghaza (…) Le projet de Morsi était de vendre 40% du Sinaï à des prix insignifiants non pas au peuple de Ghaza, mais aux richissimes Palestiniens de ce territoire, qui auraient fait venir des travailleurs de là-bas. C’était un plan israélien pour faciliter leur tâche d’expulsion des Palestiniens, en commençant par ceux de Ghaza vers le Sinaï d’Egypte de manière à pouvoir coloniser davantage et plus aisément ce qui reste de la Palestine, encore arabe de par sa population. Ce projet israélien a reçu l’approbation des Etats-Unis et, de ce fait, celle de Morsi également. Sa mise en œuvre avait commencé. L’armée est entrée en jeu et a réagi de manière patriotique, ce qui est tout à fait à son honneur, et a dit : «On ne peut pas vendre le Sinaï à quiconque, fussent-ils des Palestiniens et faciliter le plan israélien.» C’est à ce moment-là que l’armée est rentrée en conflit avec Morsi et les Américains (Algérie Patriotique, 26 juillet 2013). 
    On rappelle ici que la moitié du Sinaï que la canaille islamiste s’apprêtait à brader a été conquise par la guerre et à la suite d’âpres négociations avec les Israéliens. Le Sinaï, péninsule égyptienne d’environ 60 000 Km2, est situé entre la Méditerranée et la mer Rouge. Sa frontière terrestre longe le Canal de Suez à l’ouest et la frontière israélo-égyptienne au nord-est. Le Sinaï est majoritairement peuplé de bédouins originaires de la péninsule arabique, des tribus qui ont des ramifications en Jordanie et en  Palestine. Perdu en 1967, le Sinaï a été repris par Sadate grâce à la guerre du Kippour (1973) et aux accords de paix entre Israël et l’Egypte (1979), qui accordent qui accordent à l’Egypte sa pleine souveraineté sur le Sinaï. De ses deux principales villes, Charm el-Cheikh et Taba, Hosni Moubarak a fait la vitrine touristique de l’Egypte. 
    Voici maintenant pour nos lecteurs francophones la traduction des propos récemment tenus par le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas : 
    « Je me suis entretenu de façon franche avec le président Morsi et je lui ai dit que nous n’accepterons jamais ce plan". 
    Vous avez discuté avec lui de ce plan, demande la journaliste ? 
    "Oui, bien sûr, j'ai été tout à fait clair avec lui. Je lui ai dit qu’Israël veut transférer Gaza en Egypte, ce qui détruirait le projet national palestinien. Je le lui ai dit franchement ». 
    Que vous a-t-il répondu, demande la journaliste de CBC ? 
    « Il m’a dit d’autres choses que je ne souhaite pas rapporter ici. J’espère qu’il le fera lui-même un jour. Mais, franchement, cela m’avait fortement contrarié » 
    La journaliste de CBC : il ne vous a pas dit, mais ils sont combien finalement, 1 million, 1 million et demi ! 
    « Oui, il m‘a dit OK, on les mettra à Choubra (une région du Sinaï). Mais la question n’est pas de savoir combien ils sont et où on va les mettre. La question est plutôt politique, nationaliste et arabe. Son discours ne m’a pas du tout plu et je lui ai fait comprendre que nous n’accepterons jamais. Franchement, nous avons catégoriquement rejeté ce plan ». 
    Et à la journaliste de CBC de commenter : « la notion de Nation n’est pas claire chez eux. Ni celui de nation égyptienne, ni celui de nation palestinienne ». 
    Avec ou sans l’assentiment de Mahmoud Abbas, Mohamed Morsi comptait bien conclure cette « affaire » d’autant plus que les 8 milliards de dollars ont été déjà encaissé. Poussés par le roitelet du Qatar, Khaled Mechaal et Ismaël Haniyeh étaient d’accord et avaient déjà touché leurs parts. Fort heureusement pour l’Egypte, le général Abdelfattah Al-Sissi, grâce aux 30 millions de manifestants Egyptiens, a pu saboter ce projet diabolique, qui aurait permis à Barack Hussein Obama d'apparaître aux yeux de l’histoire comme étant le président américain qui a pu résoudre le conflit israélo-palestinien… aux moindres frais. 

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  • De son côté, le ministre de l'économie Naftali Bennett a assuré qu'Israël n'était pas engagé par l'accord de Genève. "L'Iran menace Israël et Israël a le droit de se défendre", a estimé M. Bennett, dirigeant du Foyer juif, un parti d'extrême droite proche du lobby des colons.

    "L'accord laisse intacte la machine nucléaire iranienne et pourrait permettre à l'Iran de produire une bombe dans une période de six à sept semaines. Israël est prêt à toute éventualité", a déclaré le ministre israélien à la radio militaire.

    M. Nétanyahou s'est farouchement opposé à tout allègement des sanctions contre l'Iran et a brandi dans le passé la menace d'une attaque militaire israélienne contre les installations nucléaires iraniennes.

     

    source :http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2013/11/24/israel-denonce-un-mauvais-accord-sur-le-nucleaire-iranien_3519397_3218.html


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