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    Posté par Ender

     

    Alors que le nouveau gouvernement grec est engagé dans une épreuve de force avec les institutions de l’Union Européenne au sujet de la réduction de la dette publique et que ces dernières menacent de couper le financement du système bancaire hellénique en provoquant une sortie de fait de la zone euro, l’avenir de la Grèce pourrait s’écrire à l’est.

     

     

    Alors que suite à la visite de Vladimir Poutine au Caire cette semaine,  l’Egypte vient d’annoncer qu’elle allait rejoindre l’Union Economique Eurasiatique, l’historien et philosophe grec Ilias Iliopoulos, interrogé par RIA Novosti, estime que la Grèce doit maintenant intensifier sa coopération avec Moscou. La Russie, qui dispose d’intérêts militaires stratégique dans le pays, peut en effet aider la Grèce à surmonter ses problèmes de financement actuels et à sortir du diktat de la troïka. Si jamais le gouvernement grec choisi cette option, ce qui est tout à fait envisageable dans le contexte actuel, le bloc américano-occidental subirait un camouflet majeur aux conséquences potentiellement dévastatrices…

     

     

    Selon l’historien et philosophe grec Ilias Iliopoulos, la Russie peut et doit aider la Grèce en vue notamment d’élargir sa présence permanente dans l’est de la Méditerranée.

    La Grèce, qui s’est retrouvée dans une situation difficile, a besoin de l’aide russe et elle veut comprendre sur quelle assistance elle peut compter, a déclaré mardi Ilias Iliopoulos, professeur de stratégie et de géopolitique à l’Ecole de défense nationale de Grèce, à RIA Novosti.

    La Grèce n’a pas besoin de dizaines ou de milliards d’euros, mais « d’une assistance raisonnable et modérée. Il suffit de montrer qu’il y a une autre voie (…). La Russie peut et doit aider la Grèce pendant cette période difficile. Ces prochains jours et semaines, l’idéologème selon lequel la Grèce appartiendrait à l’Occident sera mis à l’épreuve. Si la Russie aide la Grèce, elle gagnera les cœurs des Grecs et pourra élargir sa présence permanente dans l’est de la Méditerranée », a indiqué M.Iliopoulos.

    Selon l’expert, rien n’empêche la Grèce d’accorder une assistance technique et militaire à la Russie sur les îles Lemnos, Syros, Crète ou ailleurs.

    M.Iliopoulos estime que la Grèce devrait changer son orientation politique et intensifier sa coopération avec Moscou sur la scène internationale, dans la défense et la sécurité.

    La Grèce doit œuvrer pour la levée des sanctions contre la Russie, d’après l’expert. Le nouveau gouvernement grec a évoqué cette question à Bruxelles et s’est opposé aux sanctions contre Moscou. « A mon avis, le gouvernement grec doit toujours œuvrer pour l’annulation des sanctions qui portent préjudice aux intérêts nationaux grecs et aux intérêts européens. Ces sanctions sont incohérentes et politiquement inefficaces (…). Malheureusement, cette question ne relève pas du gouvernement grec », a ajouté M.Iliopoulos.

    Selon lui, l’Occident et les Etats-Unis devraient revoir leur politique et promouvoir une coopération stratégique avec la Russie « au lieu de relancer la guerre froide qui risque de devenir une +guerre chaude+ à tout moment. Ce serait une catastrophe », a conclu M.Iliopoulos.


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  • "J’ai cessé de marcher à quatre pattes depuis l’âge de 18 mois."

    J.M Lepen


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  • Le Mystère Trinitaire #3 - Chap 1 Part 2 - La Promesse de Dieu - par Gilles Agar

     

     


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  • Monsieur Le Pen a profondément tort, la chambre à gaz est tout sauf un point de détail, c’est même aujourd’hui, plus qu’hier encore, la religion, le dogme autour duquel tourne toute l’époque contemporaine. Dans l’ordre du sacrifice fondateur, la chambre à gaz a remplacé la croix du Christ.

    Pourtant, ou justement pour ça, au nom du droit à la libre pensée face à ceux qui croient et veulent nous obliger à croire, je réclame le droit, pour Jean-Marie Le Pen, de considérer la chambre à gaz comme « un point de détail de la Seconde Guerre mondiale », comme tant d’autres se donnent le droit de chier sur la croix.

    Que ce soit celle d’hier ou d’aujourd’hui, le citoyen libre se doit de lutter contre toutes les inquisitions et leurs cortèges sanglants de bûchers et d’abjurations. Nous, Européens, n’avons pas mis trois siècles à nous émanciper du pouvoir temporel du pape pour en arriver là !

    Aujourd’hui, dans ce climat de judéomanie délirante – une judéomanie délirante et suspecte qui tient plus de l’esprit de la Collaboration que du combat pour le bien et l’amour des hommes – plus les souffrances de la guerre s’éloignent, plus c’est la Seconde Guerre mondiale toute entière qui devient un détail de la chambre à gaz !

    50 millions de morts, russes, communistes, polonais, anglais, américains, civils, résistants, japonais et mêmes allemands et, parmi eux, 500 000 morts français, ce n’est presque plus rien face à la chambre à gaz, ou aux 28 000 enfants juifs que certains voudraient faire assumer pour l’éternité aux écoliers de France innocents.

    Dans ma famille de Résistants savoyards où la guerre nous a coûté six morts et la ruine – comme elle coûta son père au petit Jean-Marie –, nous avons nous aussi sauvé des vies ; seulement c’était des Espagnols. Il faut dire qu’en ce temps-là, si on sauvait des juifs, on ne le faisait pas pour sauver le peuple élu mais pour sauver des êtres humains tout court, menacés par la méchanceté et la violence des hommes. À l’époque, on ignorait que 60 ans plus tard ne seraient plus comptabilisés que les sauvés marqués d’une étoile, et que sur le marché des Justes, ça ne vaudrait plus rien, les Espagnols !

    De vous à moi, combien cette relecture de la Seconde Guerre mondiale, cette réécriture théo-différentialiste, à la limite de l’inégalité raciale, va-t-elle encore durer ? Combien de temps encore la Mémoire va-t-elle empêcher l’Histoire ? Au moment du Darfour, de la Palestine, de l’Irak, du Tibet... n’y a-t-il pas d’autres combats à mener pour le salut des hommes ? De massacres, de génocides, d’ethnocides à condamner, à empêcher ? Au moment où la montée en puissance de l’Inde et de la Chine est sur le point de remettre en cause le leadership de notre confortable et dominateur monde post-méditerranéen, les querelles intra-monothéistes sont-elle vraiment notre priorité ?

    Qui aura le courage de dire, dans cet inquiétant climat de lynchage pour une petite phrase réitérée dans un obscur follicule breton, que le problème ce n’est pas le détail de Jean-Marie Le Pen. Une petite phrase plus taquine que méchante qui lui a déjà coûté 120 briques (et à ce prix-là, on peut comprendre que le peu dispendieux Le Pen ait envie de l’utiliser deux fois). Une petite phrase inattaquable – dois-je le rappeler ? – aux États unis d’Amérique, qui ne sont pourtant pas le pays de l’antisémitisme, parce que là-bas le 1er amendement garantit à tous, et pas seulement à Finkielkraut et ses sorties sur les « Antillais » qui « filent un mauvais coton » ou « l’équipe de France black-black-black » qui serait « la risée de l’Europe », la liberté de pensée et d’opinion.

    Qui aura le courage, à l’heure où même ses supposés proches : identitaires jaloux et autres apparatchiks en embuscade se désolidarisent du vieux chef comme on se détourne d’un pestiféré, de dire que le problème ce n’est pas le « détail » mais la loi Gayssot ?

    Cette loi d’exception contraire à tous les principes démocratiques et républicains, de l’aveu même de tous les politiques et historiens qui comptent, de Simone Veil à feu Vidal-Naquet. Une loi d’exception qui, en instituant par le délit l’Histoire officielle, interdit toute recherche historique et l’Histoire. Dubito ergo sum res cogitans. Nous savons pourtant bien, dans ce pays qui vit naître Descartes, qu’en interdisant le doute, c’est la pensée qu’on interdit. Loi inique, de surcroît fratricide, puisqu’en inaugurant la concurrence des mémoires – et par la jurisprudence dont se réclament déjà les Arméniens, les Africains, les Maghrébins, en attendant les Vendéens et les gays – elle incite au communautarisme victimaire généralisé, tuant la fraternité française et son universalisme républicain.

    Trois siècles de haute philosophie, deux siècles de sécularisation du religieux et un siècle de séparation des Églises et de l’État pour en arriver là ? À ce retour en douce d’une Inquisition qui ne dit pas son nom ? Qui criminalise la dissidence, l’insoumission, le relativisme, le décalage, l’ironie, obligeant le rebelle à l’abjuration sous peine de ruine et de prison ?

    Devant l’ignoble lynchage des bien-pensants et les discrets lâchages, moi le libre penseur, pour rester du côté des opprimés et des faibles dont le sort change avec l’Histoire, j’affirme mon soutien à Le Pen le relaps ; relaps comme Jeanne d’Arc et Giordano Bruno. Par principe, au nom du droit à la liberté jusqu’à la mal-pensance, au nom du petit doigt d’honneur levé devant les puissants botteurs de derches et leurs cohortes de lèches-culs, de faux culs, j’affirme mon soutien à l’insoumis.

    Car ma peur, ma vraie peur, ce ne sont pas les provocations ou les lubies d’un vieil homme, mais la peur bien plus grande de voir ce pays sombrer chaque jour plus bas dans l’obscurantisme totalitaire.

    Un pays de soi-disant culture et de liberté où la horde des veules, faux courageux, vrais tartuffes et autres pétaino-gaullistes éternellement dans le sens du vent se réjouissent déjà, à l’unisson, au nom bien sûr de la démocratie du bon et du bien, que le pays de Voltaire se promette de jeter demain en prison un vieux monsieur de 80 ans parce qu’il refuse de se dédire, parce que, têtu jusqu’à la déraison, il refuse de baisser la tête et de faire comme un chien, à coups de pieds au cul comme eux tous, là où on lui dit de faire.

    En tant qu’intellectuel français dissident, moi, Alain Soral, qui ne bénéficie même pas des soutiens d’un Soljenitsyne du temps de sa splendeur dans le Vermont (va savoir pourquoi ça s’est gâté depuis), par ce simple texte, je réclame haut et fort, face aux désapprobations tonitruantes et aux silences gênés, le droit au blasphème pour tous, pas seulement pour Houellebecq ou Philippe Val de Charlie Hebdo.

    Et, au nom de ce droit sacré en terre laïque, malgré tout ce qui nous sépare : âge, parcours, origine politique, je veux rendre hommage à un grand résistant. Pas un rentier de la Résistance à francisque. Un résistant à cette démocratie totalitaire qui tue la liberté, l’esprit d’indépendance, le sens de l’honneur et de la fidélité. Un résistant à cette République qui, à coup de devoir de mémoire forcé, de repentance obligatoire et autres criminalisations des automobilistes et des fumeurs, transforme peu à peu l’esprit français en catéchisme et le peuple français en bétail.

    C’est, en somme, parce que je sais que l’affaire du détail est tout sauf un détail, que je réclame, pour Jean-Marie Le Pen, le droit de se tromper et le droit au détail !

    Vive la France libre !

    Alain Soral

     

     

     


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    C’est un peu l’injonction hurlée de nos jours par l’establishment politique et médiatique. L’ONU va bien bientôt créer une journée universelle (au-delà de la planète Terre) à cette fin. Et chaque pays civilisé lui emboîtera le pas. La France en premier. C’est le privilège de notre pays considéré comme la fille aînée du sionisme.
    Je sais bien que l’amour ne se décrète pas, mais enfin, goyim de France, faites un effort ! Pensez à ces grandes figures du judaïsme moderne ! Bernard-Henri Lévy, Alain Finkelkraut, Alexandre Adler, Roger Cukierman, Patrick Cohen, Frédéric Haziza, Maurice Lévy, Yvan Attal, Arthur, etc. Non, vraiment, ils ne vous donnent pas envie ? Et à l’international, il n’y a que l’embarras du choix : Netanyahou, Kissinger, Rothschild, Goldman, etc. Que des bienfaiteurs de l’humanité.
    Je me demande d’ailleurs pourquoi nos gouvernants poussent ces cris à faire se dresser les cheveux sur la tête. Se douteraient-ils par hasard que les goyim n’aimeraient pas les juifs ou pas assez ? Ne me dites pas qu’ils pourraient les détester, ce n’est pas possible ! D’ailleurs c’est interdit par la Loi.
    Ceux qui connaissent le droit me diraient qu’un tel délit ne peut pas se concevoir. Certes, si on respecte les principes généraux du droit, et si on reconnaît l’illégitimité d’une police de la pensée. Et même, ce ne serait pas commode sur le plan pratique. Enfin quoi ! La France ! Celle de la Révolution et des droits de l’Homme, de sa célèbre devise, et de sa non moins incontournable laïcité.
    Sauf que ! Rien n’est trop beau pour ces citoyens à part et hors pair. Ils ont déjà fait main basse sur le monde arabe. Aucun pays arabe ne moufte devant la puissance sioniste, sauf à exprimer quelques velléités verbales sans grande portée. Et grâce à leur armée de SAYANIM, ils contrôlent quasiment la plupart des pays où ils résident.
    Connaissez-vous le syndrome de Stockholm ? C’est le processus par lequel des otages se mettent à aimer leurs ravisseurs au bout d’une certain temps de captivité. On pourrait faire le parallèle avec les goyim pris en otages par les juifs, vu qu’ils ne sont plus libres de décider de leur destin, et qui devraient s’y habituer, selon le syndrome, et même y trouver leur compte.
    Le hic, c’est que parmi ces goyim il y a encore quelques fortes têtes qui refusent de s’incliner et qui sèment les graines de la révolte. Le système, contrôlé par ceux que l’on devrait aimer, a beau les diaboliser par des médias aux ordres, et les faire condamner par une justice qui se prostitue, rien n’y fait.
    Les juifs ont alors inventé un nouveau concept (ils peuvent tout faire c’est à ça qu’on les reconnaît) plus proche de la relation amoureuse que du droit, et qu’ils ont assimilé à de la « haine ». Parler du nombre des juifs dans le cinéma, dans les médias, dans la publicité, dans la banque, relève de la « haine ». Critiquer le dîner du CRIF idem. Parler de 2 poids 2 mesures c’est « haineux ».
    Quant on évoque la « haine », on pense tout de suite aux juifs, n’est-ce pas ? Il n’y a qu’eux pour exiger d’être aimés ou ne pas être haïs. Alors pour tromper la masse, les larbins politiques et médiatiques habituels ajoutent, sans y croire, les musulmans, qu’il faut éviter de détester publiquement, enfin en principe.
    Une illustration : Le journaliste ( ?) Tesson, un Français pur jus et ami des juifs, donc bien sous tous rapports, a déclaré à la télé : « Ce sont les musulmans qui apportent la merde en France ». Il ne s’est presque rien passé. Et il repasse à la télé. Il a une si bonne bouille, le Tesson.
    Maintenant amis lecteurs, remplacez « musulmans » par « juifs ». Ça donnerait : « Ce sont les juifs qui apportent la merde en France ». Vous imaginez le tremblement de terre ? Regardez ce qu’on a fait à Dumas ! Et la colère du terrible Cukierman ! Et il aurait fallu réinviter Netanyahou pour que la République s’excuse !
    Malgré leur place privilégiée quand même (« une France sans les juifs ne serait plus la France ». « Quand on touche à un juif c’est toute la République qui est touchée »), les juifs ne se sentent pas vraiment aimés. Bizarre, non ? Je ne peux pas croire que ce soit une tactique pour dominer encore plus sans en payer le prix. Serait-ce la terrible souffrance historique qui donnerait quitus pour tous les abus ?
    Faites un geste, goyim de France. Donnez une pièce. Pardon ! Donnez un peu d’amour à ceux de nos concitoyens qui en manquent tant !
     
    Jacob Cohen
    Mars 2015

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