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  • DE ESTHER A FATIMA

    Nouveau roman de Jacob Cohen

     
     
     

    Meknès, son Mellah, populeux, dynamique, contrasté. La France y a semé la graine de l’émancipation. L’après-indépendance suscite des espérances sur fond d’incertitude. Les agents israéliens travaillent au corps la Communauté, exploitent toutes les failles pour faire partir les Juifs.
    C’est dans ce contexte que la petite Esther est enlevée et convertie à l’islam. Sa famille se résigne au départ. Mais Israël est loin d’être le paradis rêvé. Esther/Fatima fonde une famille exemplaire et finit par trouver la sérénité dans sa nouvelle vie. 
    Médecin en fin d’études, élevée dans la tradition, promise à un fiancé, assumant sa condition de jeune fille marocaine avec toutes ses contradictions, sa fille Khadija part à Paris pour un stage, et c’est l’émerveillement devant une société libre, égalitaire, jouissive et individualiste. Et une rencontre extraordinaire…
    Récit émouvant de deux communautés qui depuis la nuit des temps vivent dans la peur, la défiance, l'espoir ou la résignation. L'amour est au delà des religions et des croyances, et peu importe notre appartenance, nos vies se font et se défont au gré du temps et des événements. Esther ou Fatima sont dans le pardon et à notre époque où l'actualité nous écrase de conflits et de guerre, ce récit est un beau roman d'espoir.

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  • L’ex-député européen écologiste Karim Zéribi en garde à vue

    LES ECHOS |

    L’ex-footballeur et chroniqueur régulier des « Grandes Gueules » de RMC est soupçonné d’avoir détourné plusieurs milliers d’euros de subventions du Conseil général, initialement destinées à deux associations qu’il a créées.

    note wr : et en plus il donne des leçons d'intégrité à tout le monde


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  • Au fait, pourquoi nos dirigeants, quels qu’ils soient, à part peut-être Jean-Marie Le Pen, ont-ils peur du sionisme ? Que peut-il leur faire ?

    C’est simple : les défaire.

    Parce qu’un système de captation, de Pourquoi ont-ils peur du sionisme?surveillance et de contrôle de la parole a été mis en place, un système pas seulement coercitif – sinon il aurait été intenable – mais aussi gratifiant. Nous avons classé les personnalités contaminées par le sionisme et qui travaillent objectivement pour lui (la condition d’apparition et de réapparition médiatique étant fonction croissante de la teneur en sionisme du discours), en cinq familles.

    1. Les dénonciateurs sont payés pour désigner tout ce qui franchit la ligne rouge. On pourrait les appeler les gardes-frontière, ou les douaniers, des douaniers intéressés qui prendraient leur dîme sur chaque passage. Ces chasseurs de primes sont rémunérés à la dénonciation et leurs interventions reprises. Ils donnent le là ! à toute la meute. Dénonciateurs célèbres (mais impopulaires au possible) : Caroline Fourest, Bruno Roger-Petit.

    2. Les provocateurs dénichent ceux qui ne franchissent pas la ligne mais jouent avec, pour les pousser de l’autre côté, du mauvais côté, d’un coup d’épaule, un croche-pattes… Des spécialistes du piège tendu dans la jungle médiatique, naturellement protégés par toute la chaîne de commandement, surtout en cas de faux-pas personnel : quand ils trébuchent, c’est de la faute des provoqués. À la fois joueurs et arbitres, ils marquent à chaque action, et ne prennent jamais de but, puisque l’adversaire est toujours hors-jeu. Frédéric Haziza, Meyer Habib.

    3. Les aboyeurs, une fois la dénonciation opérée, entrent en scène. Leur job consiste à crier au loup (Wolf), à hurler au nazisme. Ils amplifient le mal, simplifient le propos, l’objectif étant l’efficacité, l’impact médiatique. Ces esprits à la fois frustes et faibles n’ont aucun pouvoir, mais sont un maillon essentiel de la chaîne de pouvoir, qui les rémunère en gloriole culturelle. Pascal Elbé, Émilie Frèche.

    4. Les punisseurs interviennent quand les fuyards blessés sont ramenés au mitard médiatique. Ils peuvent se permettre de surseoir la punition, en fonction du degré de soumission ou de repentir du prisonnier. Sinon l’arsenal punitif se met en branle et ils administrent sans pitié la sentence, qui est sans appel. Roger Cukierman, Manuel Valls.

    5. Les penseurs, après la tempête, une fois l’exemple infligé en public, endossent la panoplie de grands sages (ils font semblant de tolérer certains écarts par rapport au sionisme), prennent la parole et de la hauteur pour calmer le jeu, et rabaissent les curseurs de la Terreur. Ils doivent donner l’impression que les tenants du système, sont, au fond, au bout du compte, les good guys. Bernard-Henri Lévy, Alain Jakubowicz.


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  • Florence Arthaud est morte dans un accident d'hélicoptère. C'est une mort stupide, surtout pour quelqu'un qui a bravé les océans, échappant plusieurs fois à la mort lors de tempêtes homériques. Nul doute qu'elle avait, plus que quiconque, gagné son droit de mourir dans son lit à un âge avancé. 57 ans, ce n'est effectivement pas un âge pour mourir. Simplement, alors que les médias ont tous entamé en chorus son procès en canonisation qui aboutira, très certainement, à sa sanctification express ("santo subito"), il convient de dégonfler les baudruches et de rétablir une vérité élémentaire: la "petite fiancée de l'Atlantique" était aussi la "petite fiancée de la bouteille" !


    On passera sur les causes, purement personnelles et médicales (douleurs nerveuses insoutenables irradiant sur tout le cerveau, consécutives à une trépanation, après un grave accident de voiture en 1974) qui auront poussé cette jeune femme et saine élevée au lait et au jus de tomate (de son propre aveu) à écluser, au fil des ans quelques litres de vin par jour (les douleurs ne faisant que s'aggraver l'âge aidant), à un point tel que plus rien ne la différenciait, au point de vue du physique, de certains SDF du métro !

    On pourra arguer que, dans nos sociétés libérales, "tout ce qui n'est pas interdit par la loi est permis" et que, forte de cet adage, notre "Flo" nationale avait parfaitement le droit de s'auto-usiner, sa santé dût-elle en souffrir ! Seulement voilà ! De telles personnes deviennent un danger public lorsque l'on leur confie un volant. A cet égard, l'année 1999 fut, sans conteste, une "annus horribilis" pour notre mythique navigatrice. Passons sur ce soir de février ou, pour se venger du personnel d'un restaurant de la Rochelle qui lui en avait refusé l'accès pour cause d'ébriété manifeste, elle entreprit de foncer avec son véhicule vers la terrasse, manquant d'écraser des clients et des passants. Heureusement, il n'y eut que quelques égratignures à déplorer chez ces derniers. 

    Mais en octobre 1999, ce fut beaucoup plus tragique pour la diva des mers. Contrôlée un samedi soir dans sa voiture, alors qu'elle était manifestement "fin détruite" et accompagnée de copains tout aussi avinés, elle fonça au nez et à la barbe des policiers. Ceux-ci, alertés, montèrent un barrage pour l'arrêter -ou l'arraisonner, comme on dirait en langage maritime. Cela ne fit pas un pli : "Flo" força le barrage. L'ennui, c'est que, derrière ce barrage, il y avait deux jeunes policiers stagiaires de 22 et 24 ans. Résultat des courses, l'un est tétraplégique, l'autre a dû être amputé d'une jambe. "Flo", elle, miraculeusement indemne, écopa de trois ans de mise à l'épreuve, trois ans de prison avec sursis et de cinq ans de retrait de permis de conduire. 

    Voilà pourquoi, lorsque le chœur des pleureuses s'est déchaîné ce 10 mars au matin sur nos ondes hexagonales, on a aussi pu penser aux graves blessures des membres des forces de l’ordre.
     
     

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  • L’anachronisme médiatique minimise les horreurs d’aujourd’hui

     

    Jean-Marie Le Pen est un Breton à la tête dure. Il a les défauts de ses qualités et peut s’entêter même quand il sait que cela aura des conséquences fâcheuses dans les médias. Cela étant,il n’aurait pas repris ses propos sur le « détail » si, comme chaque fois, un journaliste ne lui avait posé avec une insistance proche de l’interrogatoire de police ou de l'inquisition, la question. Mais pourquoi ceux qui veulent le faire taire sont-ils ceux qui lui donnent sans cesse la parole ?

     

     


    Il dérape certes pour les gardiens des dogmes mais il faut dire qu’on le pousse largement sur les bords de la route. Est-il d’ailleurs fâché de ce harcèlement ? Ce n’est pas sûr. Il ne supporte pas la ligne de dédiabolisation Marine-Philippot, considérant qu’il ne sert à rien de se renier pour participer finalement à un système que l’on prétend vouloir abattre.

    Mais l’essentiel est ailleurs. Les propos du président d'honneur du Fn ont occupé dans les médias 10 fois plus de place que le massacre des chrétiens du Kenya ou l’appel pascal du pape. Les propos sur le passé sont en France plus importants que les horreurs du moment.

    Quand les chrétiens émergent dans l'actualité médiatique, c’est autour d’une censure honteuse de la RATP sur un spectacle. Cela est en train de changer, mais jusqu’a maintenant le génocide culturel et humain des chrétiens d’orient et les crimes contre l’humanité vis a vis de chrétiens dans le monde entier est traité par nos médias de la mémoire comme un point de détail de l'actualité. Mais l’actualité c’est bien sûr l’histoire de demain. On ne changera pas ce qui a été mais on devrait pouvoir agir sur ce qui est.

    Les médias sont en fait viscéralement anti-chrétiens et le resteront tant que le pape n'aura pas désigné des évêques pour pratiquer un avortement et n’aura pas marié lui-même des couples homosexuels. C’est cela la vérité.

    Certains valeurs chrétiennes gênent les idéologues médiatiques et moins on  parle de chrétiens mieux ça vaut, les musulmans, c’est autre chose. Leur conception de la laïcité est une conception anti identité française, anti France canal historique. Encore une fois, nous sommes dans une laïcité de discrimination positive en faveur des musulmans car principalement issus de l’immigration.

    Alors que Daesh brûle les églises des origines de cette religion qui fait partie de nos racines aux cotés des apports gréco-romains, ce qui préoccupe les médias c’est le confort religieux des musulmans en France.

    Quand on réclame deux fois plus de mosquées et qu’on trouve cela normal, c’est confirmer une réelle islamisation de la société française avec une communauté musulmane issue de l'immigration forte, on ne saut plus très bien, de 4 à 7 millions de personnes ce qui n’est pas la même chose. Quand on pose une question sur ce sujet à un responsable du Fn, c’est qu’on espère un  dérapage, c’est à dire  une vérité non  conforme au totalitarisme sémantique.

    Qui menace les juifs et les chrétiens en France, au Proche orient ou au Kenya…. Certes pas les déviances d’un Jean-Marie Le Pen, mais les crimes contre l’humanité de fanatiques se réclamant de l’islam.

    L’islam de France qui réclame des mosquées est dans l’échec total et ça c’est un vrai problème.

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  • Extrait de l’interview littéraire d’Alain Soral pour le Bréviaire des vaincus (2010) :

     


    [Extrait] Alain Soral sur la visibilité du... par ERTV


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