• Les Attentats du 11/9 : "La Grande Conspiration"
     
    par bubul01 (son site) jeudi 10 février 2011 -

    L’émission "The Great Conspiracy" est une émission canadienne sur le 11/9 qui a fait l’unanimité parmis ceux qui ont remis en question la version officielle des événements et présente de façon simple et claire en y ajoutant des rappels historiques pourquoi l’on peut (doit ?) douter de la version officielle des attentats du 11 Septembre 2001.

     
     
     
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  • Les Avions du 11/9 et les Drônes Militaires

    Le 11 Septembre 2001, deux avions ont percutés chacun une tour des deux tours jumelles du World Trade Center, mais dans certains témoignages vidéos pris sur le vif, on se demande si il s’agit vraiment des deux avions de ligne détournés ou d’avions militaires ressemblants à des avions de ligne qui leur ont été substitués.

    VOIR VIDEOS ICI

     


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  • Bernie la Malice (rediff)

    Madoff et le 9/11 : connaissance préalable des attentats. Le face à face tendu qui a eu lieu  entre Obama et Cheney donne à penser que l’on est dans une situation ou "ça passe ou ça casse". Repéré, formaté, instrumentalisé par le lobby, le président en exercice, qui manifeste recul et sang froid n’est pas homme à supporter longtemps d’être bridé comme il l’est, pas plus qu’il n’ignore qu’il risque sa vie. Et il a maintenant eu tout le temps pour prendre la mesure des pressions qui pèsent sur lui, organisées depuis longtemps, et aucunement décidées à lâcher. Dans pareil contexte, ouvrir une nouvelle enquête 9/11, en intégrant dans les modalités de constitution et de direction de la nouvelle commission, la connaissance préalable des attentats manifestée par les délits d’initiés qui les ont précédés et par l’avertissement donné à la Société israélienne Odigo 2 heures avant leur survenue, ainsi que l’explication par l’un des agents du Mossad surpris à se filmer pendant la chute de la première tour de ce qu’il voulait documenter l’évènement, et les révélations sur Madoff.

    articles reliés Mossad et filières judeo-maçonniques 

    Odigo : l'entreprise confirme que des employés ont été averti 2h avant


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  • ZERO, Enquête sur le 11 Septembre » en Français


    « ZERO, Enquête sur le 11 Septembre » en Français
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  • Bigard avait mis le paquet !!!

     

    ici ta video bonus, qui est peut-être la video la plus "parlante" du 9/11

    Bernie la Malice


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  • Les images manquantes du Pentagone

     

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  • 9/11 : Kevin Bracken, provoque le choc : pour 3/4 des Australiens c’est une conspiration gouvernementale

    Réputé pour son franc parler et ses prises de positions fermes, Kevin Bracken, Président du Conseil de la Chambre des Métiers Australienne et Secrétaire de l’Union Maritime d’Australie, a provoqué une onde de choc en intervenant dans l’émission d’ABC animée par Jon Faine le 20 octobre. Déterminé à faire entendre qu’il ne croyait pas du tout la thèse officielle du 9/11, qui, selon lui, ne résiste pas à un examen scientifique, il n’a pas lâché. L’échange a été musclé comme on peut l’entendre, et le résultat, paru dans la presse, a confronté politiciens et animateur de l’émission à une réaction qu’ils n’attendaient pas.
     
    Un sondage lancé par le Herald Sun a été massivement voté -10200 votes le 24 au soir- et les 3/4 des réponses exprimées soutiennent Bracken. Le sondage est très suivi aux Etats-Unis où un article de Gordon Duff, rédacteur en Chef de Veteranstoday remercie l’Australie de son soutien. On peut le lire sur le site en anglais ou traduit ici. Le journaliste, quant à lui, ne souhaite pas parler de théories de la conspiration. Il a été submergé d’appels, emails, et autres manifestations attestant de ce que le public, quand il se sent provoqué, sait très bien se faire entendre.
     
    A quand pareil sondage en France ?
     
    par Nicole (son site) lundi 25 octobre 2010

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  • 9/11 : il y a eu 3 explosions

    videos liées : Bernie la Malice   Des signaux sismiques révèlent l’utilisation d’explosifs au WTC le 11/9

                                               http://webrunner.kazeo.com/9-11/Pentagone-l-enquete-du-Citizen-investigation-Team,a1414727.html

                                       

     

    Une nouvelle vidéo publiée à contre-cœur par le NIST suite à un procès lancé par le "Centre International pour les Études sur le 11 septembre" montre deux pompiers le jour du 11 septembre témoignant du fait que des explosions secondaires se sont produites immédiatement avant l’effondrement des tours jumelles. Ce qui fournit une nouvelle preuve flagrante que des explosifs ont été utilisés pour abattre les bâtiments.

    Au fond, la justice Française est le reflet de la justice Américaine. Il aura fallu attendre 9 ans, un procès et des menaces afin d’entendre le témoignage capital de ces 2 pompiers. Ce témoignage étant pris sur le vif de la tragédie, c’est normalement un des témoignages les plus crédibles aux yeux de la justice, le témoin n’ayant pas encore eu le temps de penser à son argumentation ou d’élaborer des mensonges, il s’en tient uniquement aux faits.
     
    Beaucoup de bruits en arrière fond et de paroles entrecroisées dans cette vidéo, il se peut donc que la traduction ne soit pas exacte à 100%. Cependant, l’idée de fond reste là mais si vous relevez toute erreur de traduction, merci de  le signaler à la-matrice (son site)

    par la-matrice (son site) mercredi 13 octobre 2010
    11 Septembre : "Il y a eu 3 explosions" [VOSTFR]
     

    note Webrunner : et le gros avion "noir" ...c'est un avion de ligne ? d'habitude ils sont plutôt brillants au soleil, non ?


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  • 11/09 : Images inédites et témoignage de Kurt Sonnenfeld de la FEMA

    Cameraman officiel pour le gouvernement américain, ainsi que pour le Directeur des Opérations de radiodiffusion pour l’Agence Fédérale de Gestion de Secours (FEMA), Kurt Sonnenfeld a été envoyé à Ground Zero, le 11/9, où il a passé près d’un mois : "Ce que j’ai vu à certains moments et en certains endroits ... est très inquiétant !"


    11 Septembre: Exclusif - Vidéo de Kurt Sonnenfeld de la FEMA


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  • Eric Margolis : "La version officielle du 11-Septembre n’est pas crédible"

    Après le grand reporter britannique Robert Fisk en août 2007, c’est au tour de l’américain Eric Margolis de dire ses doutes au sujet de la "version officielle" du 11-Septembre. Les deux hommes ont la particularité d’avoir rencontré, au cours de leurs carrières de grands reporters, Oussama Ben Laden.

    Eric Margolis a été journaliste durant 27 ans au Toronto Sun. Il a été démissionné en juillet dernier, au moment où le gouvernement canadien a commencé à verser des subventions au Sun. Spécialiste du Moyen-Orient, de l’Asie du Sud et de l’islam, il collabore régulièrement avec le Huffington Post, mais aussi le Dawn au Pakistan, le Gulf Times au Qatar, le Khaleej Times à Dubai, le New York Times et The American Conservative. Il intervient sur différentes chaînes de télévision : CNN, CBS, Fox... En France, on a pu l’apercevoir dans l’émission de Frédéric Taddeï Ce soir ou jamais ou sur France 24. Politiquement, il se définit comme un républicain, dans la mouvance de Ron Paul.
     
    Depuis plusieurs années, il critique la guerre américaine en Afghanistan, dont le motif serait selon lui principalement pétrolier ; le pays ne possède certes pas de réserves d’hydrocarbures dans son sous-sol, mais il est le lieu de passage obligé pour exporter le pétrole des républiques musulmanes de l’ex-URSS, au nord, vers l’océan indien et la côte pakistanaise, au sud.
     
    Le 10 septembre 2010, Eric Margolis publie sur son site personnel un article détonant : "9/11. The Mother of all coincidences", qui vient d’être traduit en français par ReOpen911. Citons d’emblée sa conclusion :
    Au final, que peut-on conclure ?
    1/ Nous ne savons toujours pas ce qui s’est vraiment passé le 11-Septembre.
    2/ La version officielle n’est pas crédible.
    3/ Le 11-Septembre a servi à justifier les invasions stratégiques de l’Afghanistan et de l’Irak riche en pétrole.
    4/ Les attaques ont plongé l’Amérique dans des guerres contre le monde musulman et ont enrichi l’industrie US de l’armement.
    5/ Le 11-Septembre a favorisé les néoconservateurs pro-israéliens, donnant les rênes du pouvoir à ce groupe initialement marginal, et avec eux l’extrême droite totalitaire américaine.
    6/ La guerre injustifiée de Bush contre l’Irak a détruit l’un des deux grands ennemis d’Israël.
    7/ Le 11-Septembre a plongé l’Amérique dans ce qui pourrait bien être un état de guerre permanent contre le monde musulman – ce qui était l’un des principaux objectifs des néoconservateurs.
     
    Mais à ce jour je n’ai pas vu de preuve comme quoi le 11-Septembre était un complot de l’extrême droite ou d’Israël ou une gigantesque opération de camouflage (« cover-up »)...
     
    Aucune "théorie du complot" ici, mais l’aveu d’un désarroi, et l’affirmation claire et nette que les conclusions de l’enquête de 2004 ne sont guère satisfaisantes pour calmer les doutes.


    Eric Margolis, correspondant de guerre vétéran
     

    note Webrunner : le journaliste qui fait l'interview s'appelle "Attal"...

    Afghanistan : l’oubli révélateur
     
    D’ailleurs, c’est dans cette interview à Yosri Fouda que Khalid Sheikh Mohammed indique que la plupart des futurs pirates de l’air - saoudiens - se sont entraînés en Afghanistan, alors que Margolis insiste, de son côté, pour dire que l’opération a été préparée "depuis Hambourg en Allemagne et depuis Madrid en Espagne, pas depuis l’Afghanistan". Cette tendance, chez Margolis, à vouloir occulter l’aspect afghan du 11-Septembre s’explique peut-être par sa volonté de mettre clairement en évidence la manipulation américaine qui a consisté à faire croire que l’Afghanistan était le foyer mondial du terrorisme. Alors que l’Arabie Saoudite ou le Pakistan l’étaient bien davantage. L’Afghanistan était surtout le terrain sur lequel les compagnies Delta Oil et Unocal voulaient faire passer leur pipeline... ce qui avait justifié la préparation de la guerre dès avant les attentats, comme le rapportait la BBC le 18 septembre 2001 - une guerre programmée avant les premières neiges en Afghanistan, soit "à la mi-octobre [2001] au plus tard".
     
    Pour comprendre l’intérêt stratégique de l’Afghanistan, on peut se reporter aux analyses du géopoliticien Aymeric Chauprade, lui aussi sceptique sur le 11-Septembre.
     
    extrait de par Taïké Eilée (son site) samedi 25 septembre 2010

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  • Le 3eme faisceau

    Chaque année, deux faisceaux de lumière sont allumés dans le ciel de New-York en hommage aux Tours Jumelles détruites le 11 septembre 2001.
    Cette année, le 11 septembre 2010, un troisième faisceau symbolisant le WTC7 – le troisième gratte-ciel à s’être effondré le 11/9 - est venu se joindre à la commémoration.

    Cette opération coup de poing organisée par l’association « Architects & Enginners for 911 truth » avait pour objectif de rappeler aux New-Yorkais que trois tours, et non pas deux, se sont effondrées le 11/9. Aucun média n’a couvert l’événement.

    par
    Alfred

    PLUS D'INFO sur www.reopen911.info
    Le site français sur les attentats du 11 Septembre


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  • 9/11 l'ombre du Mossad

     

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                                   MISSING LINKS

                                   Travailler pour le Mossad est souvent une affaire de famille

                                 

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  • Effondrement des tours

    11 septembre
    Dans cette vidéo, le professeur de Physique David Chandler analyse les images de l’effondrement de la Tour Nord du WTC, en s’intéressant tout particulièrement aux nombreuses éjections « explosives » de matériaux produites lors de l’effondrement.

    L’observation est le point de départ de la science.
    Or, les rapports officiels - qui concluent à un effondrement en pile d’assiettes suite aux dommages occasionnés par l’impact des avions et des incendies - ignorent tout de ces éjections « explosives » de matériaux que l’on peut pourtant facilement observer sur les images filmées de l’effondrement du WTC.

    Les images montrent également des poutrelles pesant jusqu'à 20 tonnes projetées horizontalement sur plus de 200 mètres, et ce, à des vitesses atteignant parfois les 110km/h.
    Ce phénomène fut également ignoré par les rapports officiels.

    David Chandler : « Tout ce qui s’est produit pendant l’effondrement même - les preuves ou indices que nous avons pu voir ici – a été très clairement écarté de l’enquête [officielle du NIST].
    Tout modèle d’analyse de l’effondrement […] est un mauvais modèle et de la mauvaise science s’il ne prend pas en compte tous les éléments disponibles pour expliquer les observations réelles. »

    L’hypothèse d'une destruction volontaire est étayée par plusieurs études scientifiques qui concluent à la présence d’explosifs dans les décombres du WTC, dont une étude internationale écrite par 9 chercheurs et publiée en 2009 dans la revue scientifique à comité de lecture "Open Chemical Physics Journal".

    PLUS D'INFO sur www.reopen911.info

    par
    Rikiai
    Joyeux empêcheur de détourner en rond...
    en savoir +


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  • WTC: l'Amérique découvre laVérité à laTV ? (11 septembre)

    Invité le 28 mai 2009 sur le plateau de la chaîne de télévision américaine KMPH Fox 26 du groupe FOX TV, l’architecte américain et spécialiste des structures en acier Richard Gage y expose en direct les évidences de démolition contrôlée des tours du WTC le 11 septembre 2001. Saisissant !

    Les grands médias étrangers sont de plus en plus nombreux à donner la parole à ces experts qualifiés, architectes ou scientifiques, qui réfutent la théorie officielle de l’effondrement des tours du World Trade Center. A voir par exemple :

    - L'interview du scientifique Niels Harrit par la chaîne danoise TV2 le 6 avril 2009 suite à la publication d'une étude internationale démontrant la présence d’explosifs dans les décombres du WTC : www.dailymotion.com/video/x92lw5
    - Cette interview particulièrement percutante de Richard gage par la principale chaîne de TV néo-zélandaise "TV One" le 27 novembre 2009 : www.dailymotion.com/video/xccuvr (à voir absolument)
    - Ce reportage équilibré sur les découvertes d’explosifs dans les décombres du WTC, diffusé le 10 septembre 2009 sur la principale chaîne de télé norvégienne NRK1 : www.dailymotion.com/video/xbvspq

    Pendant ce temps, nos grands médias français continuent d’ignorer ces experts tout en stigmatisant ceux qui exercent leur « droit au doute ». Seule la TéléLibre de John Paul Lepers brise le tabou. Regardez cette interview édifiante du scientifique Niels Harrit par John Paul Lepers : www.dailymotion.com/video/xaxqv5 (à partir de la minute 6:20 de la vidéo).

    Pour aller plus loin, nous vous conseillons le documentaire "911 Mysteries - Demolitions", le film référence sur les aspects techniques et scientifiques de l'effondrement des tours : http://www.dailymotion.com/video/xb6sft

    PLUS D'INFO sur www.REOPEN911.info
    le site Francais sur les attentats du 11 septembre 2001

     

     


    WTC: l'Amérique découvre laVérité à laTV ? (11 septembre)
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  • L'Angle mort

    Disjecta

    Quand il est temps pour l’être humain de retrouver un peu de franche lucidité.

    Il existe, en France mais pas seulement, une sorte d’angle mort de la géopolitique post-11 septembre. Devant un événement si fondamental et fondateur que les attentats du World Trade Center, combien ont véritablement osé interroger l’événement ? Bien sûr, ils sont des milliers, présentant les meilleurs diplômes, à avoir remis en cause la thèse officielle de la commission d’enquête du gouvernement Bush. Mais ils sont à peu près tout autant à avoir été vilipendés comme la pire chiourme (des rameurs à contre-courant...) par les "esprits sérieux". Même le Monde Diplomatique y a été de son petit article goguenard pour accuser un mouvement de dénonciation plus proche selon lui (ou du moins Alexander Cockburn) du fanatisme religieux que du légitime et cartésien doute. Quelle déception ce ne fut pas pour ses lecteurs (dont je fais toujours partie) qui constataient avec dépit que le Monde Diplo se rangeait sans avoir bataillé derrière un consensus qui prêtait, à tout le moins, à caution. Que Thomas Kean et Lee Hamilton, respectivement président et vice-président de la dite commission, aient désavoué celle-ci, affirmant qu’elle n’avait été mise en place que pour échouer (ce que son budget misérable laissait entrevoir), cela n’interpelle toujours pas le d’habitude très sérieux et pourfendeur Monde Diplo (voir par ailleurs leur défense courageuse et lucide d’Hugo Chavez).
     
    Mais à ceux que l’on aime et à qui l’on doit l’essentiel de sa pensée politique, économique (cf. les articles réguliers de Frédéric Lordon dans ce journal) ou sociale, il faut bien trouver quelques excuses. Pourquoi même le Monde Diplo, d’habitude infiniment plus pugnace, s’incline devant une version toute sauf impartiale et un minimum valable au sens juridique du terme d’un événement qui a par ailleurs justifié des guerres aux prétextes ridicules et aux conséquences tout à la fois désastreuses et abominables en termes de vies humaines ? (1)
     
    Combien sommes-nous à s’être vu répondre (2), après les preuves apportées par le scientifique danois Niels Harrit (publiées dans une revue à comité de lecture) sur la présence de nano-thermite dans les poussières du 11-septembre : "Comment peux-tu croire qu’un gouvernement soit capable d’exterminer trois mille de ses concitoyens pour du pétrole et quelques juteux contrats d’armement ? Comment peux-tu penser que des humains puissent tomber si bas dans la veulerie et la cupidité ? N’est-ce pas là plutôt l’expression de ton incorrigible misanthropie (doublée d’une nature franchement paranoïaque) ?" Pour ceux qui possédaient un peu de culture historique, il était difficile, devant cette série quasi organique de questions, de ne pas être ébahi par la naïveté d’une telle argumentation, sinon heurtée par cette évidente et crasse ignorance d’un certain nombre d’événements parmi les plus importants de l’histoire de ce pauvre vingtième siècle. N’étaient-ils pas au courant, ces benêts, que le fallacieux prétexte de "l’accident du Tonkin" avait permis aux E-U de massacrer trois millions de personnes au Vietnam ? Ne les avait-on pas informés des dernières découvertes sur le réseau Gladio en Italie, de l’attentat de Bologne faussement attribué à l’extrême gauche italienne et qui faisait en vérité partie d’un plan général de l’OTAN pour évincer les vilains communistes du pouvoir ? Et après le déclenchement de la guerre d’Irak en 2003, que pouvait-il rester de cet argument - au mieux coupable d’un angélisme niais - après le mensonge des ADM et le massacre de centaines de milliers de personnes qui s’en suivit ?
     
    Pourquoi, même parmi ceux qui agonisent d’injures la double-présidence de Bush, il n’est pas concevable qu’une élite gouvernementale ait pu tomber si bas (qu’elle ait été ou non une marionnette dans l’affaire, cf. Hannah Arendt) ? Pourquoi, ce qu’une élémentaire et lucide approche de l’histoire devrait pourtant interdire, choisissent-ils de ne pas envisager qu’une élite ayant tous les pouvoirs se soit permise la plus sombre des horreurs pour parvenir à ses fins ? Qu’est-ce qui leur permet de croire - après la longue litanie de monstruosités dont se sont rendus coupables la plupart des "élites" de l’humanité (à peine contrariées par les jacqueries et les révolutions) - que notre temps "de la démocratie et des droits de l’homme" ait pu, lui, échapper à une telle constante ?
     
    La réponse est pourtant assez simple. Quand on se bat quotidiennement pour se loger, bouffer, vivre, réfléchir même sur sa condition d’être humain et sur les possibilités de l’améliorer vraiment, on ne parvient que très difficilement à envisager que les êtres que l’on a cru bon de placer au pouvoir ne se battent eux que pour la gloriole, le mensonge, la veulerie, la cupidité, l’enrichissement personnel, la défense d’une petite classe parasite (la haute-bourgeoisie) tout occupée à observer les courbes de ses actions dans l’industrie de l’armement, de la pharmaceutique ou de la finance - plutôt que de s’interroger sur les répercussions désastreuses de ces minables préoccupations -, encaissant profit sur profit en surveillant avec gourmandise le prochain classement Forbes des milliardaires de la planète.
     
    Et pourtant si, de tels êtres existent, étonnamment (mais pas tant que ça, les élections ça peut facilement être réduit à une simple campagne de pub - cf. Obama) ils se retrouvent régulièrement au pouvoir, étonnamment on les laisse faire leurs basses besognes sans plus de réactions que cela. De temps en temps pourtant, le peuple va dans la rue, meurt par milliers, on finit par couper quelques têtes, mais la chienlit revient, tenace et monomaniaque.
     
    Le 11-septembre reste l’angle mort de la géopolitique par excès d’angélisme, parce que beaucoup se refusent à penser ce qu’il y a pourtant de plus banal depuis des millénaires : l’être humain n’est pas un ange, il est même plutôt enclin à la violence et à l’égotisme outrancier, seule une implacable lucidité peut parvenir à évincer ses fléaux incessants. Et donc ne pas refuser de s’interroger jusqu’au bout sur le 11 septembre, quelles que soient les horreurs susceptibles d’être dévoilées.
     
     
    (1) Je n’aborderai pas ici la difficulté d’un journal comme le Monde Diplomatique, bien forcé, au-delà d’une légitime prudence, de prêter un tant soit peu de crédit aux déclarations et aux positions officielles des gouvernements. C’est aussi, là, le défaut de la cuirasse...
    (2) Nonobstant l’insipide argument (et conspirationniste, tiens tiens) que ce scientifique aurait très bien pu les placer lui-même ces particules.

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  • La conspiration du 11 septembre prévue en 1996

     

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  • 11 septembre : sur les appels de mobiles depuis un avion


    Une bonne illustration valant mil mots, et la démonstration de mensonges graves donnant à penser qu'il n'y en a pas qu'un et que quand on soulèvera le tapis, la stupeur risque d'être au rendez-vous :

    infographieTelephoneMobileABordFR_web2.jpg
    L'adresse d'origine de la photo, copiée, au cas où : ICI


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  • Des signaux sismiques révèlent l’utilisation d’explosifs au WTC le 11/9

    Le docteur André Rousseau, ex-chercheur du CNRS en géologie-géophysique et spécialiste des ondes acoustiques nous livre ici les résultats de ses analyses des signaux sismiques enregistrés le 11 septembre 2001 à New York et donne son point de vue de spécialiste sur la question de la destruction des trois tours du World Trade Center.

     
    Relations ondes sismiques/processus d’effondrement
     
    L’observation de l’effondrement de chacune des trois tours montre qu’il a été différent, et cela est à corréler avec les émissions d’ondes sismiques correspondantes.
    L’effondrement du WTC7 est celui qui se rapproche le plus de la démolition contrôlée classique, avec effondrements successifs des étages à partir de la base du bâtiment fragilisée par une puissante explosion subaérienne. En ce qui concerne les Tours Jumelles, elles ont d’abord été fragilisées par des explosions à leur base au moment où les avions les percutaient. Ensuite, il faut distinguer la partie du bâtiment située au-dessus de la zone de percussion des avions, et celle située au-dessous. Si les ondes sismiques n’ont pu être générées par les explosions visibles dans les étages et qui ont permis les effondrements graduels du bas vers le haut au-dessus de la zone de percussion et du haut vers le bas au-dessous de cette zone, c’est une puissante explosion située à la base du bâtiment pour le WTC2 et une autre souterraine pour le WTC1, qui ont accéléré le processus de ruine totale, et ont émis les ondes sismiques étudiées. C’est d’ailleurs selon toute vraisemblance l’explosion sous le WTC1 qui, en précipitant la ruine de la base de la tour, a « remis » dans la verticalité la trajectoire initialement oblique de la chute du sommet du WTC1.
     
     
    Au moment de la percussion des Tours Jumelles par les avions et de l’effondrement de ces dernières, ainsi que de celui du WTC7, des ondes sismiques ont été générées. Dans la mesure où (1) les ondes sismiques ne sont créées que par des impulsions brèves et (2) où les basses fréquences sont associées à une énergie (magnitude) comparable à celle d’un séisme instrumental, ces ondes révèlent indubitablement une origine explosive. Même si la percussion par les avions et la chute des débris des tours sur le sol ont pu générer des ondes sismiques, d’une part leur magnitude a été insuffisante pour être enregistrée à 34 km, et d’autre part elles ne pouvaient qu’être homogènes.

    Or les signaux sismiques montrent des différences significatives dans leur composition et leur magnitude et surtout dans leur vitesse de propagation, alors que leur parcours est pourtant identique dans des conditions identiques. Cette dernière différence étant physiquement inexplicable dans le cadre de la version officielle, on doit remettre en question le calcul des vitesses effectué à partir d’une origine calée sur les images vidéo. On ne peut que conclure qu’en réalité la source (explosive) a été déclenchée manuellement, donc avec un décalage variable pour chaque origine par rapport aux vidéos.

    La composition des ondes est révélatrice de l’emplacement de la source et la magnitude dépend de l’énergie transmise au sol. L’origine souterraine des ondes émises au moment de l’effondrement du WTC1 est attestée par la présence des ondes de volume (P et S) en plus des ondes de surface (ondes de Rayleigh), lesquelles sont présentes dans les cinq cas. L’emplacement de la source des quatre autres explosions est subaérien, ce qui est attesté par la seule présence des ondes de Rayleigh. Les explosions aériennes visibles sur les vidéos dans les étages supérieurs des Tours Jumelles ne fournissent pas d’ondes sismiques à 34 km de distance de la source.

    Il y a un facteur dix entre la puissance des explosions contemporaines des percussions des Tours Jumelles (ainsi que de celle contemporaine de l’effondrement du WTC7) et la puissance de celles – les plus puissantes – contemporaines de leur effondrement, l’explosion souterraine sous le WTC1 étant celle qui a transmis le plus d’énergie au sol.
    Notons aussi que dans la mesure où les ondes de surface sont dispersives (la vitesse dépend de la fréquence), la durée du signal enregistré n’est pas représentative de la durée du signal à sa source.

    Enfin, la démolition contrôlée des trois tours, suggérée par les témoignages visuels et auditifs, ainsi que par les observations sur leur chute est donc démontrée par l’analyse des ondes sismiques émises au moment des percussions par les avions et au moment des effondrements.
     
    par André Rousseau (*)

     

    (*) André Rousseau, Docteur d’État, est retraité du CNRS, où il a étudié plus particulièrement les relations entre les caractéristiques des ondes mécaniques progressives et la géologie. Il a publié de nombreux articles sous comité de lecture sur la géophysique ainsi que participé à de nombreux congrès, y compris à comité de sélection.
    Dans cet article, il met en évidence que les ondes sismiques enregistrées le 11 Septembre à New York sont le résultat d’explosions souterraines et subaériennes participant à la démolition contrôlée des Tours Jumelles et du Bâtiment 7.

    (6) Vidéo de la preuve d’une explosion survenue à la base du WTC1

    "Cette vidéo montre l’effondrement du WTC1 (…). La caméra n’était pas tenue à la main, mais directement reliée au sol par un trépied, ce qui permit à la caméra de saisir visuellement un tremblement du sol qui est survenu environ 13 secondes avant que l’immeuble ne s’effondre. La vidéo montre aussi un objet tombant de la droite du bâtiment peu avant que la caméra ne commence à trembler. La proximité dans le temps de ces deux événements indique qu’ils sont liés."

    http://whatreallyhappened.com/WRHARTICLES/shake.html

     

     

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  • Le 11 Septembre et la crise économique aux Etats-Unis

    par Giulietto Chiesa*

    La crise économique et financière mondiale n’a pas débuté avec la crise des subprimes en 2007, mais avec le début de la récession aux Etats-Unis, en avril 2001. Cependant les Etats-Unis ont été sauvés par la guerre globale au terrorisme qui a permis de relancer leur économie, quelques années au moins. Dès lors comment ne pas constater que les attentats du 11-Septembre, loin de blesser les USA au coeur, ont au contraire été leur planche de salut. Giulietto Chiesa, membre du Bureau exécutif du World Political Forum, poursuit son analyse dans la seconde partie sa conférence « Guerre et mensonge ».

    L’opposition à la guerre (nucléaire) infinie

    Je ne suis pas quelqu’un qui cherche à vendre de l’espoir. Qui vend de l’espoir dans un moment pareil n’est qu’un bonimenteur. D’espoir, nous n’en avons qu’un seul, celui de nous organiser pour empêcher que cette guerre se poursuive. C’est très difficile, d’autant plus que nous avons peu de temps à notre disposition. La guerre contre l’Irak est encore fumante. D’autres guerres suivront et ce seront des guerres asymétriques. Parmi elles, il y en aura de grandes et de mineures. Après l’Irak, ce sera le tour de l’Iran. Les plans de Washington l’exigent parce que l’Amérique doit éliminer tous les adversaires intermédiaires. Tous, avant d’affronter la Chine. Ou mieux, pour être plus précis, les guerres intermédiaires auront pour fonction de maintenir un état de tension permanente qui, à son tour, permettra aux États-Unis de développer une effrayante stratégie de réarmement.

    La Chine pourrait aussi devenir un adversaire que l’on ne combat pas, à condition qu’elle soit préalablement mise dans un état d’infériorité absolue et, en tous cas, dans une situation où il lui soit impossible de rivaliser avec la puissance militaire états-unienne et d’approcher — même de beaucoup — des conditions d’égalité. Voilà pourquoi le renversement des obstacles intermédiaires a pour fonction de préparer stratégiquement le grand affrontement : il pourra ainsi être évité par la reddition de l’adversaire potentiel. Reddition préventive. Pour cela, il faut abattre l’Irak et l’Iran.

    Monsieur Bush ne plaisante pas lorsqu’il parle des responsables de l’ « Axe du Mal ». Il les a déjà désignés, énumérés, pris dans son collimateur. Il s’agit à présent de trouver le moyen et les prétextes pour les liquider, puisqu’il est évident que la véritable raison pour laquelle on le fera sera inavouable. La nouvelle doctrine nucléaire de l’Amérique confirme tout cela, déclarant ouvertement que les bombes atomiques seront utilisées comme des armes conventionnelles. On nous l’a dit au mois de mars 2002. Les seules conditions posées à leur utilisation seront des évaluations d’intérêt politique, certainement pas des critères militaires. Même à l’encontre des pays qui ne la possèdent pas, la voie de l’utilisation de l’arme atomique est libre.

    Pourtant, la possibilité d’arrêter cette guerre existe. En Italie, un mouvement important de la population n’en voulait pas. En Italie toujours, 93 % des députés, y compris ceux du centre-gauche, ont voté en faveur de la guerre en Afghanistan, mais tout ce que je vois et que je ressens en parcourant ce pays, c’est qu’une grande partie de la population ne veut pas de cette guerre. Nous pouvons donc en conclure que le Parlement italien ne représente en aucun cas la moitié — une moitié abondante — de l’Italie réelle. Il y a un grand vide de représentation démocratique.

    C’est de là qu’il faut repartir afin de nous organiser pour l’avenir. Nous devons demander, par exemple, à tous les futurs candidats de toutes les futures élections, à tous les niveaux institutionnels — du Conseil de quartier au Parlement italien, jusqu’au Parlement européen — de nous dire avant le vote ce qu’ils ont l’intention de faire s’ils sont élus, quels engagements ils ont l’intention de prendre envers nous. Et puisque la guerre continuera et se multipliera, nous devrons leur demander de signer un pacte avec nous. Plus jamais en faveur de la guerre.

    Ceux qui n’accepteront pas de signer ce pacte, nous devrons les considérer comme des adversaires politiques — quels que soient les partis ou les coalitions auxquels ils appartiennent —. Et ils devront le signer publiquement car nous devrons combattre tous ceux qui se déclareront en faveur de la guerre, avec toutes les forces dont nous disposerons, et avec la plus grande intransigeance, dans le respect des règles de la démocratie. Enfin, à l’inverse, nous devrons appuyer tous ceux qui prendront l’engagement de ne pas soutenir la guerre. Je crois que le thème de la guerre et de la paix est fondamental et que c’est à partir de là qu’il faut commencer à organiser notre défense. Voilà la première tâche qui s’impose à nous.

    La fin du désarmement : le rôle de la Chine et de la Russie

    Protagoniste, la Chine. Les Chinois ont commencé à se réarmer et ils le font à un rythme très soutenu. Ils construiront des centaines de nouveaux missiles, des centaines de nouvelles ogives nucléaires. Ils disposent de la technologie nécessaire et dans dix ans, elle sera devenue très sophistiquée : d’une part ils se développent très rapidement, de l’autre ils en ont les moyens. Nous assistons à une nouvelle course aux armements, qui inaugure une phase totalement inédite. Nous croyions que cette époque-là était révolue, eh bien elle repart à toute allure.

    Deuxième protagoniste, la Russie, avec Poutine. La guerre en Afghanistan, je l’ai définie de la manière suivante : un nouveau grand Yalta asiatique, dont les Etats-uniens sont sortis vainqueurs, sans conditions, arrachant à l’influence russe non moins de cinq républiques d’ex-Union soviétique. La guerre afghane s’est achevée par la conquête US non tant de l’Afghanistan que de bases militaires en Asie centrale, notamment la nouvelle base états-uniennes du Kirghizistan, près de sa capitale Bichkek, mais surtout non loin des frontières de la Chine : l’observatoire le plus avancé sur la Chine et la Russie que les États-Unis aient jamais eu en Asie. C’est un tournant géopolitique aux enjeux inimaginables il y a encore une année.

    La base du Kirghizistan servira essentiellement à mettre en place le brouillage électronique de la Chine et les contrôles de toutes les communications. Deux autres bases militaires sont en construction en Ouzbékistan et au Tadjikistan. Une autre, très secrète, semble être en construction au Turkménistan. Je n’ai aucune certitude sur ce point. J’ai tenté à plusieurs reprises d’obtenir un visa pour Ashgabat mais on ne me l’a pas accordé. Le secret est total. Simultanément, deux autres anciennes républiques soviétiques sont passées sous le contrôle direct des USA : l’Azerbaïdjan, avec sa part d’exploitation de la mer Caspienne et de son pétrole, et la Géorgie, où les Etats-uniens ont pour la première fois déployé des troupes pour armer et instruire l’armée géorgienne, ainsi que surveiller les frontières méridionales de la Russie [1].

    Dire que ça avait commencé comme la grande guerre contre le terrorisme. Il en résulte une géographie politique de l’Asie centrale complètement bouleversée. Poutine a avalé la couleuvre et, en ce sens, il s’est montré sage. Il ne pousse aucun cri car il sait que c’est inutile. Mais il ne faut pas interpréter le silence russe comme une approbation. Il y a des grondements profonds et menaçants, les entendre n’est qu’une question de temps. En décembre 2001, Poutine a lancé le submersible Guépard, le sous-marin nucléaire le plus technologique jamais conçu par la recherche militaire russe, c’est-à-dire soviétique. Les sources états-uniennes elles-mêmes ont écrit qu’il s’agissait là d’une première. Ce qui signifie que ce sous-marin nucléaire, armé d’au moins 120 missiles à tête multiple, devient une arme stratégique extrêmement dangereuse. Depuis la fin de l’Union soviétique, c’est la première fois que la Russie lance un submersible nucléaire, un an après la catastrophe du Koursk.

    L’abandon des continents pauvres

    En ce qui concerne les autres partenaires du monde, je ne crois pas qu’ils aient la moindre importance en ce moment. La partie se joue dans les termes que viens d’indiquer. L’Afrique tout entière compte un milliard d’habitants, avec 23 guerres en cours. Tout au plus y aura-t-il une augmentation des débarquements de migrants sur nos plages. Je crois que la super-société globale qui est en train de se former n’a que faire des régions marginales. Le reste du monde vivra à l’écart. Nous, nous sommes des consommateurs d’énergie vitale et ces millions, ou plutôt ces milliards de gens qui nous disputerons l’énergie seront non seulement inutiles mais aussi nuisibles pour la société du futur. Une telle main-d’oeuvre ne sera pas nécessaire et, en tant que consommateurs, ils seront trop pauvres pour présenter de l’intérêt. Ce grand « reste du monde » sera abandonné à son destin et si les 300 millions d’Etats-uniens (plus exactement 10 % des 300 millions d’Etats-uniens) et les 800 autres millions de « riches » qui peuplent cette planète (ceux qui mangent les miettes parce que les vrais riches, avec leurs familles, ne sont qu’une soixantaine de millions) veulent continuer de consommer ce qu’ils consomment actuellement, le reste du monde devra se résigner à consommer beaucoup moins, c’est-à-dire à végéter ou à mourir.

    Beaucoup devront mourir, et ils meurent déjà. D’après les données des Nations Unies, on avait décidé de réduire de 20 %, d’ici à 2015, les millions de gens qui souffrent de la faim. Mais six ans ont passé depuis le début de ce programme et le nombre de personnes mortes de faim augmente. Aujourd’hui, plus de huit cents millions d’êtres humains mangent peu et mal. Le reste du monde a été mis hors de combat dans cette perspective, dans ce dessein.

    Le 11 Septembre et la crise économique en Amérique

    Cette affaire du 11 Septembre a donc tout l’air d’avoir été une grande opération politique. Les dirigeants états-uniens se préparaient au grand affrontement, mais un peu plus tard. Il y a eu un imprévu. Et l’imprévu, c’est que l’Amérique s’est arrêtée. Pendant vingt ans, on nous a raconté que le modèle états-unien était le meilleur, que la locomotive US dominait le monde et qu’il n’y avait rien d’autre à faire que d’imiter « l’Amérique » ; le plus beau, c’est qu’on continue, malgré tout, à nous le répéter. Mais il y a eu un accident, l’Amérique s’est arrêtée.

    On nous a fait savoir en novembre 2001 que les Etats-Unis était entrée officiellement dans une phase de récession et novembre, comme on le sait, vient après septembre. Mais tandis qu’on nous annonçait cette belle nouvelle, on nous a aussi dit qu’eux (ceux qui commandent) le savaient depuis avril 2001, et avril, comme on le sait, vient avant septembre. Lorsque j’ai lu cette nouvelle, j’ai songé : parbleu, huit mois pour donner au monde entier l’information la plus importante des vingt dernières années !

    Puis, je me suis demandé : ces huit messieurs qui se sont réunis à Gênes pour le sommet du G8, en juin 2001, ils savaient que l’Amérique était arrêtée ou ils ne le savaient pas ? S’ils le savaient, ils nous ont raconté un tas de bobards. Ils se sont réunis en sachant que les Etats-Unis étaient en crise et ils ne nous l’ont pas dit. Si, en revanche, ils l’ignoraient, cela veut dire que ces huit messieurs appartenant au directoire du monde ne possèdent pas les informations essentielles sur la situation mondiale. Mais alors, qui a ces informations ?

    Si nous ajoutons à cela que durant ces mois fatals, d’avril à novembre, on a assisté à l’effondrement de l’une des plus grandes multinationales de l’énergie, Enron Corporation, que faut-il en penser ? 40 000 personnes jetées sur le pavé d’un seul coup ; une entreprise ruinée ; deux mille milliards de dollars envolés, dérobés par un groupe dont le chef s’appelait Kenneth Lay : ami intime de George Bush, il avait aussi financé une grande partie des campagnes électorales de Bush, de Dick Cheney et de Donald Rumsfeld. Tout cela ne vous paraît pas bizarre ? Il y a trop de coïncidences pour penser que le 11 Septembre soit arrivé par hasard.

    Derrière cet événement, il y a une grande opération. Finie l’époque du grand ennemi russe, l’Union soviétique a disparu depuis dix ans et la mondialisation s’est arrêtée. Qui l’a arrêtée ? Y a-t-il un coupable ? Ce ne peut pas avoir été Oussama Ben Laden, lui est arrivé après. Cela veut donc dire que l’Amérique s’est arrêtée toute seule. Ils s’étaient persuadés — et ils en avaient persuadé le monde entier — que leur mondialisation aurait continué telle quelle pour l’éternité. L’histoire était finie et il ne devait plus y avoir de crises cycliques. Mais tout à coup, la machine états-unienne s’est arrêtée ; c’est-à-dire, à ce qu’il semble, que l’histoire est revenue à la vie. Et tout finit par se payer. Alors voilà qu’un élément de diversion est devenu extraordinairement opportun. Oussama Ben Laden a été le deus ex machina qui a permis de détourner l’attention de la planète, de la distraire du désastre et, dans le même temps, d’allumer un moteur qui remplace celui qui s’était cassé. Il fallait créer un grand ennemi et cet ennemi intermédiaire s’est appelé Islam.

    Intermédiaire et transitoire. On s’en servira tant qu’il s’avèrera utile. Le véritable ennemi, je l’ai décrit plus haut et il ne me reste plus qu’à revenir d’où je suis parti : le système d’information fonctionne pour nous fournir une version des faits qui ne correspond pas le moins du monde à la vérité des choses. Il nous interdit donc de comprendre ce qui se passe, nous et tous les millions d’individus, d’hommes et de femmes qui s’émeuvent et souffrent devant les écrans de télévision.

    [1] Ce texte a été prononcé en 2002. La Géorgie a attaqué l’Ossétie du Sud en août 2008 avec le soutien militaire des Etats-Unis, du Royaume-Uni et d’Israël.

    *Giulietto Chiesa est journaliste. Il fut correspondant de presse d’El Manifesto et d’Avvenimenti, et collaborateur de nombreuses radios et télévisions en Italie, en Suisse, au Royaume-Uni, en Russie et au Vatican. Auteur de divers ouvrages, il a notamment écrit sur la dissolution de l’URSS et sur l’impérialisme états-unien. Ancien député au Parlement européen (Alliance des démocrates et libéraux, 2004-2008), il est membre du Bureau exécutif du World Political Forum.


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  • Forte proportion de passagers liés à l’armée dans le vol 77 qui aurait percuté le Pentagone
    par Pino Cabras*

    Nombreuses sont les incohérences concernant le Vol 77 d’American Airlines qui a prétendument percuté le Pentagone à 9h37 le 11 septembre 2001, nous ne les enumèrerons pas ici, d’autres articles de ce site en donnent une liste détaillée. Mais de nouveaux éléments sont apparus récemment, fruit d’investigations effectuées par des journalistes indépendants. Nous vous livrons ici un extrait du livre Strategie per una guerra mondiale de Pino Cabras. Il y relève l’étrange proportion de passagers travaillant pour le secteur militaire dans le Vol 77, et qui officiellement auraient trouvé la mort le 11-Septembre au Pentagone.

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