• Un séisme de 6,4 frappe la préfecture japonaise de Fukushima
      2011-07-31 09:04:34  xinhua

    Un séisme de 6,4 sur l'échelle Richter a frappé la préfecture japonaise de Fukushima (nord-est) dimanche matin, a annoncé l'Agence météorologique japonaise.

    Le tremblement de terre s'est produit à 03h54 heure locale. Son hypocentre a été localisé à 40 km de profondeur, au large de Fukushima.

    Aucune information n'est disponible pour le moment en ce qui concerne d'éventuelles pertes matérielles ou humaines. Les autorités n'ont pas lancé d'alerte au tsunami.

    La secousse a été ressentie à Tokyo, située à 240 km de Kukushima.


    votre commentaire
  • Massacre en Norvège : en savoir plus sur le lien avec la droite juive

    Par Gilad Atzmon

    source : info-palestine.net

    Articles liés : Le tueur d’Oslo est lié à la EDL 

                           Norvège : une professeur de l’Université de Séville accuse Israël

                           La déferlante anti-islam : le sionisme et l'extrême droite européenne

    Merci à l’antisioniste respecté Jeff Blankfort (qui m’a communiqué un lien crucial), je sais maintenant que juste la veille du massacre de vendredi (22 juillet) en Norvège, un ancien trotskyste converti en néocon, David Horowitz, a publié un article de Joseph Klein dans son magazine FrontPage, titré Les Quisling de Norvège, qui aurait pu fournir au meurtrier de masse Anders Behring Breivik toute la motivation nécessaire pour commettre son crime.

    Vous pouvez lire cet article sur le site : FrontPage.

    Voici certaines des « perles » publiées par le magazine pro-guerre de la droite juive [1], quelques heures à peine avant que Behring Breivik ne prenne ses armes et ne se lance dans son expédition meurtrière :

    « L’infâme Vidkun Quisling, ce norvégien qui a soutenu l’Allemagne nazie alors qu’elle avait conquis son propre pays, doit être applaudi dans sa tombe... Dernier exemple de la collaboration norvégienne avec les ennemis des juifs, le ministre norvégien des Affaires étrangères, Jonas Gahr Stoere, a déclaré lors d’une conférence de presse cette semaine, aux côtés du président palestinien Mahmoud Abbas, que "la Norvège estime qu’il est parfaitement légitime pour le président palestinien de se tourner vers les Nations-Unies" pour obtenir la reconnaissance d’un État palestinien indépendant. »

    « Pendant l’occupation nazie de la Norvège, presque tous les juifs furent déportés vers les camps de la mort ou durent fuir vers la Suède et au-delà. Aujourd’hui, la Norvège se trouve effectivement sous l’occupation des gauchistes antisémites et musulmans radicaux, et elle paraît prête à permettre la destruction de l’État juif d’Israël ».

    « Le législateur travailliste norvégien, Anders Mathisen, est allé encore plus loin et a nié publiquement l’Holocauste. Il a déclaré que les juifs "exagéraient leur histoire" et "qu’il n’y avait aucune preuve que les chambres à gaz et les charniers aient existé". Même si l’establishment politique norvégien et l’élite faiseuse d’opinion n’en sont pas encore arrivés à ce niveau de démence, ils n’en ont pas moins tendance à traiter les musulmans comme des victimes de l’oppression israélienne - comme si les musulmans d’aujourd’hui se retrouvaient à la place des victimes juives de l’Holocauste et que les nazis d’aujourd’hui étaient les Israéliens. »

    « La leader socialiste Kristin Halvorsen a conduit la campagne de boycott contre Israël. Alors qu’elle était ministre des Finances de la Norvège, elle se trouvait parmi les manifestants dans une protestation anti-israélienne, où une affiche disait : "Le plus grand axe du Mal : USA et Israël". Et entre autres slogans maintes fois scandés dans la manifestation : "Mort aux juifs ! ».

    « L’an dernier, le gouvernement norvégien a décidé de se désinvestir de deux sociétés israéliennes qui travaillent en Cisjordanie. Les fonds souverains de Norvège ont été désinvestis de la société israélienne Elbit parce qu’elle travaillait à la clôture de sécurité israélienne qui protège contre les kamikazes palestiniens. Israël a été bloqué également alors qu’il soumissionnait pour des contrats pour la Défense norvégienne. »

    « Une part de ce qui motive cet antisémitisme est l’afflux en Norvège ces dernières décennies d’une masse de musulmans venant du Pakistan, d’Iraq, de Somalie et d’ailleurs. Le multiculturalisme a appris à l’élite culturelle norvégienne à être non critique, voire obséquieuse, à l’égard de tout ce qui concerne la culture et la croyance musulmanes. Quand les dirigeants musulmans pestent contre Israël et les juifs, la réaction réfléchie de l’élite multiculturaliste est de se joindre à leurs déchaînements. C’est ce qu’on appelle la solidarité ».

    Sûrement que la vérité en la matière apparaît clairement aujourd’hui : il existe des plates-formes pro-guerre juives de droite, tels Front Page, Daniel Pipes, Harry’s Place et bien d’autres qui suivent leur exemple, qui, consciemment, publiquement, de façon retorse et cherchant la discorde, développent une culture dominante de haine et d’islamophobie.

    Behring Breivik était-il un adepte du magazine FrontPage ou de l’incitation à la haine de Harry’s Place ? Il est trop tôt pour le dire avec certitude, mais espérons que nous le saurons bientôt.

    Cependant, le message doit être pressant et clair pour nous tous : les services intérieurs de police, de renseignements et de sécurité à travers le monde doivent enquêter efficacement et mettre en vigueur des mesures de répression contre ces publications qui inspirent la haine, et ce sans plus attendre. Leurs motivations, objectifs et activités doivent faire l’objet d’examens et d’interrogatoires. Par souci de paix, et de notre sécurité générale, les législateurs d’Europe et d’Amérique feraient mieux très vite de prendre les mesures nécessaires pour limiter l’activité de ces bellicistes sionistes dans notre milieu.

    Notes

    [1] NB : Quand Gilad Atzmon dit "Juif", cela indique bien évidemment l’origine religieuse et non pas une nationalité.


    votre commentaire
  • La région de Fukushima frappée par des inondations

    Par lefigaro.fr <time class="updated" datetime="30-07-2011T16:57:00+02:00;"></time>

     Près de cinq mois après le tsunami, le Japon fait face à de violentes intempéries. Les inondations ont fait une première victime, et près de 300.000 personnes ont été sommées de quitter leur maison.

    note WR : cela va accélérer la propagation de la radioactivité...


    votre commentaire
  • La fin d'un temps :

     


    votre commentaire
  • Bienvenue à Gaza : le film

    video bonus sur ce lien


    votre commentaire
  • Un rabbin s'exprime sur la Shoah

     


    Un RABBIN a PARIS dit LA SHOAT VIENS DES SIONISTES por frenchstreettelevirtuelle


    votre commentaire
  • Le tueur d’Oslo est lié à la English Defense League

    Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte

    source

     

    Yves Camus. Chercheur à l’IRIS

    Jean-Yves Camus est politologue et chercheur associé à l’Institut des relations internationales et stratégiques (IRIS ). Spécialiste des mouvements d’extrême droite en Europe, il répond à El Watan Week-end une semaine après les attaques d’Oslo.


    - Existe-t-il un réseau organisé de cellules terroristes d’extrême droite en Europe ?


    Je ne pense pas. Les groupes d’extrême droite scandinaves sont assez liés entre eux, mais ne le sont pas avec le reste de l’Europe. Dans le cas de Behring Breivik, il semble tout de même qu’il y aurait eu des liens avec l’English Defence League, qui a par ailleurs une branche en Norvège avec la Ligue de défense norvégienne. Ensuite, il faut faire attention à la notion de «réseau». Avec internet, cette notion a changé. Les militants d’extrême droite européens sont très actifs sur le web, mais un lien ou un site ne veut pas forcément dire qu’il y a un groupe organisé derrière. Adhérer à une page ou à un groupe facebook n’est pas forcément synonyme d’engagement sur le terrain. Par ailleurs, dans l’état actuel de l’enquête en Norvège, il semble que l’individu d’Oslo ait agi seul. Il a dit au juge qu’il existait deux cellules dans son organisation «templière». Il est peu probable que ces deux cellules existent vraiment. Pour le moment, il n’y a pas d’élément qui puisse affirmer la présence d’un réseau organisé derrière Beihring Breivik.


    - Y a-t-il des liens entre les partis populistes européens et des cellules d’extrême droite ?


    D’après moi, de tels liens n’existent pas. Breivik a quitté le Parti du progrès norvégien en 2006, car il le jugeait trop modéré sur l’islam. On ne peut pas dire que ces partis, qui participent au jeu politique dans leurs pays respectifs, aient des relations avec des petits groupuscules terroristes. Cependant, depuis le 11 Septembre, les partis populistes européens entretiennent la théorie de la guerre des civilisations opposant la chrétienté à l’islam. Il faut que certains membres de ces partis fassent attention, car ils jouent avec le feu. Cette idéologie chauffe à blanc certains esprits dérangés. Pour Behring Breivik, tout musulman est forcément un islamiste qu’il faut expulser d’Europe. Il est dans une optique de croisade.


    - Les services antiterroristes européens ne se sont-ils trop focalisés sur le terrorisme islamiste depuis le 11 septembre ?


    Les services antiterroristes européens doivent agir, en collaboration avec leurs homologues nord-africains, contre la propagation de l’islamisme radical. Mais ils ont oublié qu’on pouvait lutter sur plusieurs fronts. On sait que le terrorisme d’extrême droite existe en Europe, il y a eu des précédents. Depuis le 11 septembre, les services antiterroristes se sont mis à marcher sur une seule jambe. Après, c’est vrai que ce n’est pas évident. La lutte contre le terrorisme islamiste nécessite beaucoup de moyens humains et financiers. Les Etats européens n’ont pas des moyens infinis. Alors forcément, à un moment, il faut faire des choix et cibler ses priorités. 

    note Webrunner : comme par hasard, la E.D.L  a éte infiltrée par les sionistes et la EDL est liée à la Ligue de Defense Norvégienne ...voir cet article : La déferlante anti-islam : le sionisme et l'extrême droite européenne


    votre commentaire
  • Somalie : merci, mais nous avons déjà amplement donné…

    Publié par le 29 juillet 2011

    Somalie : merci, mais nous avons déjà amplement donné… - crédit photo : UNHCR Supply Management Service

    Communiqué de Bernard Lugan – 29 juillet 2011

    Histoire de l'Afrique des origines à nos joursLa Somalie étant encore frappée par une famine, une nouvelle fois les médias déversent des images atroces accompagnées de commentaires dégoulinants de bons sentiments et chargés de reproches culpabilisateurs. Comme si nous, Européens, avions la moindre responsabilité dans ce drame dont les deux principales causes répétitives sont clairement identifiées :

    - Une guerre tribale que se livrent des clans historiquement rivaux ;
    - Une surpopulation suicidaire qui a détruit le fragile équilibre écologique régional. Comment pourrait-il d’ailleurs en être autrement avec un taux de natalité brute de plus de 48% et un indice de fécondité par femme atteignant 6,76 enfants ?

    Au moment où une intense campagne vise à préparer les esprits à une intervention, il est impératif de donner les clés du problème somalien tant il est vrai que seul le retour à l’histoire permet de tempérer les émois humanitaires :

    1) La Somalie est en guerre depuis 1978. Le problème n’y est pas ethnique mais tribal, le grand ensemble ethnique somali qui occupe une vaste partie de la Corne de l’Afrique est en effet divisé en trois grands groupes (Darod, Irir et Saab), subdivisés en tribus, en clans et en sous clans qui se sont toujours opposés. Hier pour des points d’eau et des vols de chameaux, aujourd’hui pour des trafics plus « modernes ».

    2) Le 15 octobre 1969, après l’assassinat du président Ali Shermake, le général Siyad Barre prit le pouvoir. C’était un Darod de la tribu Maheran. En 1977, il lança son armée dans l’aventureuse guerre de l’Ogaden. Dans un premier temps, l’armée éthiopienne fut balayée, puis l’offensive somalienne se transforma en déroute. Après cette défaite, les réalités tribales s’imposèrent avec encore plus de force qu’auparavant et le gouvernement ne fut plus désigné que sous l’abréviation MOD, qui signifiait Marehan-Ogadeni-Dhulbahante, à savoir les trois clans associés aux affaires.

    3) Une terrible guerre tribale opposa ensuite les Darod entre eux. Finalement, la tribu Hawiyé l’emporta sur celle des Maheran et le 27 janvier 1991 le général Siyad Barre fut renversé.

    4) La Somalie subit alors la loi de deux factions antagonistes du CSU (Congrès somalien unifié), mouvement tribal des Hawiyé, qui éclata sur un critère clanique opposant le clan agbal d’Ali Mahdi Mohamed au clan Habar Gedir dirigé par le « général » Mohamed Farah Aidid. Dans le nord du pays, le 18 mai 1991, le Somaliland, ancien protectorat britannique, se déclara indépendant.

    5) La guerre des milices provoqua une atroce famine et l’opinion américaine se mobilisa. En France le docteur Kouchner lança la campagne du « sac de riz pour la Somalie ». Puis, au mois de décembre 1992, un corps expéditionnaire US débarqua dans une mise en scène théâtrale pour « rendre l’espoir » aux populations somaliennes. L’opération « Restore Hope » avait été déclenchée au nom d’une nouvelle doctrine inventée pour la circonstance, l’ingérence humanitaire, ce colonialisme des bons sentiments. Ce fut un échec cuisant et le 4 mai 1993, l’ONU prit le relais des États-Unis en faisant débarquer un corps expéditionnaire de 28.000 hommes. Le 5 juin, 23 Casques Bleus pakistanais furent tués par les miliciens du « général » Aidid et le 12 juin, un commando américain échoua dans une tentative de représailles contre le chef de guerre somalien. Le 3 octobre enfin, 18 soldats américains perdirent la vie dans l’affaire de la « chute du faucon noir ».

    6) Au mois de mars 1994, à Nairobi, un accord de réconciliation fut signé entre les deux chefs hawiyé, mais il demeura lettre morte. A partir du mois d’août, l’anarchie fut totale, les hommes d’Ali Mahdi contrôlant le nord de Mogadiscio et ceux du « général » Aidid le sud. Le 22 août, 7 Casques Bleus indiens furent tués. Les Américains rembarquèrent alors, abandonnant dans le bourbier somalien le contingent de l’ONU composé de soldats pakistanais et bengalais. Le 28 février 1995, il fallut un nouveau débarquement baptisé opération « Bouclier unifié » pour extraire les malheureux devenus otages. L’ONU quittait la Somalie sur un cuisant échec politique et militaire qui lui avait coûté 136 morts et 423 blessés.

    7) Les clans somalis se retrouvèrent alors entre eux et ils s’affrontèrent de plus belle. Le 1er août 1996, le « général » Aidid, grièvement blessé au combat mourût. Son fils Hussein Aidid lui succéda à la tête de son parti, le CSU/UNS (Congrès somalien unifié/Union nationale somalienne), c’est à dire sa milice tribale composée du noyau dur du sous clan des Saad, lui-même étant une sous division du clan des Habr Gedir de la tribu hawiyé. Dans le sud du pays, les miliciens de Hussein Aidid s’opposèrent aux Rahanwein, ces derniers s’affrontant ensuite en fonction de leur appartenance clanique tandis que dans le nord-est, plusieurs composantes des Darod dirigées par Abdullahi Yussuf Ahmed créaient au mois d’août 1998 une région autonome baptisée Puntland.

    8) En 2004, après d’interminables discussions entre les factions claniques, un accord de partage du pouvoir fut trouvé, mais le Gouvernement Fédéral de Transition, incapable de s’installer en Somalie fut contraint de « gouverner » depuis le Kenya.

    9) Puis un nouveau mouvement fit son apparition sur la scène somalienne, les Tribunaux islamiques dont les milices, les Shababs (Jeunes) menacèrent de prendre Mogadiscio. Au mois de décembre 2006, pour les en empêcher, l’armée éthiopienne entra en Somalie sans mandat international, mais encouragée par les États-Unis.

    10) Par le vote de la Résolution 1744 en date du 21 février 2007, le Conseil de sécurité de l’ONU autorisa ensuite le déploiement d’une mission de l’Union Africaine, l’AMISOM. L’UA avait prévu qu’elle serait composée de 8000 hommes, or les pays volontaires ne se bousculèrent pas.

    Depuis, à l’exception du Somaliland et dans une mesure moindre du Puntland, les islamistes contrôlent la majeure partie du pays. Or, pour eux, la famine est une véritable aubaine car :
    - Elle va leur permettre d’être reconnus par la « communauté internationale » qui devra traiter avec eux pour l’acheminement de l’aide alimentaire.
    - Elle va leur permettre d’achever la prise de contrôle du pays.
    - Elle va leur permettre de tirer de juteux profits des détournements de cette aide, comme cela avait été le cas lors de la grande famine d’Éthiopie dans les années 1984-1985.


    La conclusion de cette mise au point est donc claire : nous n’avons rien à faire dans cette galère. A moins, naturellement, de vouloir verser dans le « tonneau des Danaïdes » somalien une aide qui serait pourtant tellement utile à nos SDF et à toutes ces familles françaises qui ne mangent plus à leur faim.

    Enfin, mes pensées vont à cet officier français – et à sa famille -, prisonnier des milices somaliennes depuis deux longues années et dont le sort n’émeut pas particulièrement l’opinion. Mais il est vrai qu’il n’a pas la chance d’appartenir à la corporation journalistique… Pour en savoir plus sur l’actualité africaine libérée du prisme de la pensée unique et du politiquement correct, je ne puis que vous conseiller de vous abonner à la revue l’Afrique Réelle envoyée par PDF le 15 de chaque mois.

    Pour en savoir plus : www.bernard-lugan.com / afriquereelle.blogspot.com


    votre commentaire
  • Fukushima : dialogue de sourds


    votre commentaire
  • Libye – Le nouveau plan diabolique de l’Otan

    par Allain Jules (entre New-York et Paris) (son site) jeudi 28 juillet 2011

    Alors que tout va mal sur le terrain, les membres de l’Otan envisagent le pire pour la Libye. En accentuant les bombardements sur la résidence de Mouammar Kadhafi, seule alternative selon les experts en massacre pour s’en tirer à bon compte, ne sachant finalement pas si le colonel vit encore sur place ou chez l’habitant, l’Otan veut procéder de la manière la plus brutale qui soit, en se vengeant sur le peuple libyen, le vrai, celui resté fidèle à Mouammar Kadhafi.

    Alors que les Nations unies, instigatrices de ce complot morbide contre la Libye ne savent plus comment s’en sortir, elles ont envoyé sur place, une mission conjointe d’organisations humanitaires (Bureau de coordination des affaires humanitaires (OCHA), le Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), le Fonds des Nations Unies pour les populations (FNUAP), le Programme alimentaire mondial (PAM), le Fonds des Nations Unies pour l’ enfance (UNICEF) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et de l’Organisation internationale des migrations (OIM) ), qui s’est rendue à Tripoli, la capitale de la Libye et d’autres zones du pays. Constat amer. Les populations civiles n’ont pas accès aux soins de santé où souffre de pénurie de nourriture à cause des bombardements…

    Alain Juppé et son homologue britannique M. Hague, ont annoncé conjointement, hier, que les bombardements allaient se poursuivre car, selon eux, la méthode est entrain de payer. Kadhafi serait donc dos au mur et par conséquent, il faut appuyer encore plus, même pendant la période de Ramadan. Mais, il y a pire. C’est la mise en place progressive d’un blockhaus assassin. De véritables méthodes scélérates et criminelles. Pis, ces derniers ont même annoncé qu’ils bombarderont désormais des centres civils, si des pro-Kadhafi s’y trouvent. Une façon de justifier in fine, en mentant toujours comme des arracheurs de dents, la destruction des hôpitaux, des Mosquées et des universités. Guerre humanitaire ?

    Or, aujourd’hui, dans les besoins urgents, figurent la nécessité de soigner les personnes blessées par l’Otan et les renégats de Benghazi dans les conflits, le retour en principe des réfugiés (plus d’un million de personnes). Les services de santé sont débordés et la situation sanitaire s’est considérablement aggravée par le fait que de nombreux membres du personnel médical étranger ont quitté le pays depuis le début de la crise et que des fournitures sanitaires et les médicaments commencent à manquer. Les grandes victimes : les femmes et les enfants souffrant de graves problèmes psychosociaux. 

    Malgré tout ça donc, l’Otan a décidé d’aider les galopins de Benghazi, pour que ceux-ci bloquent les livraisons de toutes les denrées alimentaires pouvant entrer à Tripoli pendant la période de Ramadan. Qu’ont-elles fait pour mériter ça ? Ainsi, les régions de Al-Khoums, de Zletan à l’est de la capitale, de Tajoura et de Zaouia seront fortement attaquées, même les convois des denrées alimentaires. Asphyxier, tuer des populations civiles pour qu’elles se soulèvent contre Mouammar Kadhafi desservira forcément les vendus de Benghazi à termes car, le peuple aime Kadhafi à…70%. Si même Jésus n’a pas fait l’unanimité, quel homme peut prétendre le contraire ? Tout ceci, pour avoir du pétrole et du gaz gratuitement. Dans cette guerre prétendument humanitaire, le temps pour Kadhafi, dans la mesure où le monde entier sait désormais, à moins de porter des œillères et d’être autiste, que c’est bel et bien une guerre de prédation injustifiée. Quant aux crimes de plus en plus nombreux de l’Otan, que fait donc Luis Ocampo-Moreno, procureur raciste et instrumentalisé de la Cour pénale internationale (CPI) ? 

    J’étais invité le 24 juin dernier sur la chaine francophone Télésud pour parler de la guerre en Libye. Sans apporter un quelconque soutien à Mouammar Kadhafi, la vision était simplement de dénoncer une fausse guerre.


    votre commentaire
  • SOS Racisme

    Omar Djellil raconte à E&R Marseille son parcours à SOS Racisme. Il en profite pour donner son avis sur l’affaire Eva Joly et fait un point sur l’ARE (Alliance - République - Éthique).

    voir aussi : Qui finance SOS Racisme ?

                      Convention signée entre le ministère de l'Intérieur et la Licra

                      L'antiracisme écologique


    Omar Djellil sur SOS Racisme por ERTV

     


    votre commentaire
  • Fukushima : après le "Melt-through", le "Melt-out" :

    le corium attaque les nappes phréatiques

    source :

    http://gendai.ismedia.jp/articles/-/11152

     

    En considérant l’aspect des sous-sols de la centrale de Fukushima Dai-ichi, les spécialistes font un effroyable constat : le système de refroidissement fonctionne bien en deçà des espérances et le devenir du combustible fondu reste incertain.

    Cependant Tepco s’évertue à remettre en marche le système de refroidissement des réacteurs de la centrale Fukushima Dai-ichi.

     

     

     

     tuyaux au sol près de l'unité 1

    Travail au sol près de l'unité 1

     

     

    A l’ouverture de la séance organisée par Tepco et le gouvernement le 27 juin, le responsable M. Takeshi Hosono a déclaré qu’on se rapprochait de la stabilisation du système de refroidissement, qu’un pas en avant avait été franchi. Ce système, interrompu le 18 juin, avait été remis en marche dans l’après-midi à 16h20.

     

    Cependant, lors de la clôture de cette conférence, Monsieur Junichi Matsumoto de Tepco a mis fin à cette euphorie en déclarant, les yeux baissés, qu’il avait d’autres informations à communiquer : « De l’eau fuit par les joints, ce qui a entraîné l’arrêt du circuit de refroidissement dans l’après-midi à 5h55. »

     

    img_f7fa2c497c2af1145c2af97af567f0a793831.jpg

    Mesure de dose de radiations sur une voiture du site : 94 µSv/h

     

     

     

    La remise en circulation de l’eau de refroidissement n’a fonctionné que 90 minutes. Ce système est encore en situation d’échec. Ce n’est que le 28 juin qu’il a pu refonctionner. A quand sa stabilité ?

     

    C’est parce que ce système a été construit à la hâte que l’on craint des incidents imprévisibles, comme une réplique. Ce système de refroidissement repose sur 4 km de canalisations dans lequel circule une grande quantité d’eau contaminée par le mélange fondu de combustible à haute température. Lors d’un fort tremblement de terre, les canalisations s’endommageraient, les boulons se desserreraient et des matières radioactives se déverseraient dans l’environnement (M. Jun Sakurai technicien spécialisé).

     

    Selon les indications de M. Sakurai, il est fort possible qu’une catastrophe imprévisible intervienne à nouveau d’ici la stabilisation du système de refroidissement. La situation serait alarmante. Une atroce réalité peu imaginable, mais qui peut arriver dans la profondeur des sous-sols de la centrale de Fukushima.

     

    Avec l’intervention des systèmes de désalinisation d’eau, de séparation huile-eau, de purification, et un autre système d’élimination du césium, l’eau légèrement décontaminée de sa radioactivité est réutilisée pour le refroidissement. Selon un rapport de l’AIEA publié le 7 juin, le gouvernement a reconnu la possibilité de perforations dans les cuves des réacteurs 1~3.

     

    Le combustible des réacteurs fondus (melt-down) s’échappe des cuves de pressurisation et s’infiltre dans l’environnement (melt-through).

     

     

    schema reacteur 1 

     

    Selon Monsieur Hiroaki Koide de l’Université de Kyoto, “La situation de la centrale de Fukushima est désespérée” :

    « Je pense que le corium, mélange fondu à base d’uranium, a endommagé le fond des cuves et qu’il s’infiltre au travers du béton et se diffuse dans la terre. Le combustible du cœur des réacteurs ne fond pas à moins de 2800 degrés (la radioactivité empêche la mesure de la température actuelle).

    Il y a à peu près cent tonnes de corium. Les cuves de pressurisation et les métaux utilisés pour l’enceinte du bâtiment fondent à 1500 degrés. Il est donc probable que le corium soit tombé au fond des cuves, qu’une partie ait attaqué le sol et qu’une autre partie se soit mélangée avec l’eau contaminée, entraînant la fonte des murs. »

     

    Le combustible fuit à l’extérieur des réacteurs et diffuse une forte radioactivité dans l’environnement. M. Koide qualifie cette situation catastrophique de « melt-out ».

    Si le corium attaque les nappes phréatiques, on aura beau refroidir, cela n’empêchera pas la radioactivité de s’étendre. Il faut stopper cette infiltration souterraine afin de ne pas contaminer l’océan. Ne faut-il pas envisager de construire une enceinte souterraine autour de la centrale ? Cela protègerait les nappes phréatiques du corium et des sols contaminés.

     

    Si l’on considère la structure de la centrale, il y a de grande chance pour que l’on soit entré dans la phase “melt out”. Voici les explications fournies par M. Masashi Goto, ex-technicien nucléaire chez Toshiba :

    « L’épaisseur des parois des cuves de pressurisation est d’une dizaine de centimètres. Mais les enceintes de confinement ne font pas plus de 30 millimètres d’épaisseur. La pression des cuves est calculée pour supporter une pression de 70 unités mais la pression à l’extérieur ne peut en excéder 4. Si le combustible devait fuir au point de faire fondre la cuve de pressurisation, l’enceinte de confinement ne résisterait pas. Et qui plus est, le bâtiment extérieur et les murs en béton du sous-sol.

    Comme nous l’avons dit plus haut, rien n’a été construit en cas de fonte d’un réacteur, ni au niveau des enceintes, ni au niveau des cuves. C’était dès le départ un échec assuré. C’est pour cela qu’il faut envisager des mesures pour le cas où nous entrerions dans la phase « melt down » car ce n’est qu’une question de temps pour que le corium s’échappe des cuves, perce les enceintes extérieures et s’infiltre dans les sous-sols de la centrale. »

     

    Suite à la phase “melt-out”, des particules radioactives terriblement dangereuses sont dispersées. On y trouve de l’iode, dont la demi-vie est de 8 jours, en provenance de l’eau contaminée qui vient du sous-sol des bâtiments et qui remonte à la surface de la terre, ainsi que du césium dont la demi-vie est de 2 ans ; ces particules radioactives assez légères s’accumulent à la surface de l’eau. Par contre, parmi les particules qui s’infiltrent à l’intérieur du sol, il y a le strontium dont la teneur met 29 ans pour diminuer de moitié et le plutonium qui lui mettra 24 000 ans. De plus le plutonium peut rester dans le corps humain 50 ans et y causer de graves dommages. D’après M. Takeda, ancien spécialiste du nucléaire de l’institut de recherche de l’université du Chubu, «  Ses effets sont désastreux ».

     

     

    tuyaux au sol 

    Sous le soleil brûlant, des hommes travaillent avec des combinaisons de protection renforcées de ruban adhésif. La chaleur s’intensifiant depuis juin, plusieurs ont déjà souffert d’hyperthermie.

     

    Le plutonium qui se dépose facilement dans l’eau est une substance radioactive relativement lourde. Si le combustible s’est infiltré dans les eaux souterraines, ce sont les rivières les lacs, les puits, la mer et tout ce qui est en contact avec ces nappes qui vont être contaminés. Et en plus, le niveau de radioactivité est tellement fort que l’homme ne peut pas s’en approcher afin de faire un rapport de la situation.

     

    La construction d’une enceinte de protection

     

    Est-ce que Tepco connait le niveau actuel d’infiltration du combustible ? Certes Tepco a constaté la phase du « melt-out » mais sans pour autant être persuasif dans ses explications.

     

    Selon des analyses, le combustible du réacteur numéro 1 est tombé au fond de la cuve. Actuellement, le refroidissement de ce réacteur est stabilisé grâce aux injections d’eau, ce qui limiterait à partir de maintenant l’éventualité de fortes émanations radioactives. Pour les réacteurs 2 et 3, de mêmes analyses sont en cours mais l’état des réacteurs est inconnu. A la question de savoir si les cuves sont percées ou pas, Tepco répond que l’investigation n’étant pas terminée, les résultats seront communiqués plus tard (Service de presse de Tepco).

     

    Pendant que l’attention se focalise sur “la stabilisation de refroidissement des réacteurs”, les possibilités de “melt through” et “melt out” sont à peine évoquées sous prétexte que “l’enquête suit son cours”. Cependant d’un autre côté, Tepco prépare la construction d’une enceinte de protection en profondeur.

     

    « Les plans sont en cours d’élaboration. Tepco prévoit de construire une enceinte afin de protéger les nappes phréatiques des infiltrations contaminées » (Service de presse de Tepco).

     

    On en revient à l’évocation de M. Koide : « Ne faut-il pas envisager de construire une enceinte souterraine autour de la centrale ? ». Concernant la pire des situations qui pourrait arriver, Tepco ne se prononce pas, mais n’envisage-t-il pas ce « melt out » quand il commence à prendre des mesures à son encontre ?

     

    Un travailleur sur la centrale révèle que, depuis juin, le travail à Tepco devient problématique. Sur le panneau d’affichage du stade de Fukushima, des informations étaient quotidiennement publiées sur la centrale. Mais récemment plus aucune information n’est apparue. Selon le patron d’une compagnie mère qui travaille sur la centrale, il manque l’essentiel. Tepco, qui interdit formellement l’accès de la centrale car c’est trop dangereux, n’en dit pas plus. Les ouvriers soupçonnent « Tepco de manigancer quelque chose ».

     

    Sous la centrale, où l’homme ne peut pas pénétrer, il est possible que se préparent des évènements sans précédents pour l’humanité.


    votre commentaire
  • Attentats à Oslo : une bien étrange police (vidéo)

    Article placé le 27 juil 2011, par Mecanopolis

    Nous apprenons ce soir que la police norvégienne a dynamité en fin d’après-midi la totalité des explosifs qu’elle a retrouvé dans la ferme d’Anders Breivik Behring. Une bien étrange police, qui a également mis plus de 90 minutes à intervenir pour mettre fin au massacre sur l’île d’Utøya, dans des conditions pour le moins rocambolesques…

     

    Selon le site norvégien NRK, la police norvégienne a dynamité mardi en fin d’après-midi l’ensemble des charges explosives qu’elle a retrouvé dans la « ferme de culture biologique » nommée Geofarm, que dirigeait Anders Breivik Behring. Pourquoi, dans une affaire d’une telle ampleur, ne pas les avoir conservés comme pièces à conviction ?

    La police norvégienne prétend que ces explosifs étaient issus d’engrais à base de nitrate d’ammonium. L’idée qu’ils auraient été détruits pour éviter un risque d’explosion ne tient pas la route un instant puisque que, d’une part, il faut le mélanger à un autre composant pour en faire un explosif, comme par exemple du fuel, et d’autre part parce qu’un des avantages du nitrate d’ammonium est qu’il est stable. Il faut un amorçage très puissant afin d’élever sa température à plus de 200°C et provoquer une explosion, comme du nitrométhane ou du TNT.

    Par ailleurs, on ne commande pas de l’engrais composés de nitrate d’ammonium comme des petits pains. En France par exemple, c’est la DRIRE (Directions régionales de l’industrie, de la recherche et de l’environnement), sous l’autorité du préfet, qui est en charge de décider qui peut obtenir, et sous quelles conditions, ce type de produit. Comment se fait-il qu’une « ferme de culture biologique » puisse en commander 6 tonnes sans que cela ne semble contradictoire et ne puisse susciter, au minimum, un contrôle ?

    L’île d’’d'Utøya

    Vendredi 22 juillet, quand Anders Breivik Behring, vêtu d’un uniforme de policier commence à tirer sur l’île d’Utøya, où se trouvent 600 jeunes réunis pour le camp d’été du Parti travailliste, il est alors 17 heures.

    Admettons que la moitié d’entre eux possèdent un téléphone portable, et que seulement un tiers de ceux-là pensent à appeler des secours – soit 100 personnes – comment se fait-il que le premier appel à la police n’ait été enregistré qu’à 17h26 ?

    Les forces de sécurité arrivent en face de l’île vers 18h, en voiture, arguant qu’elles n’ont pu trouver un hélicoptère disponible. Pendant ce temps, la chaîne de télévision norvégienne NRK a, elle, réussi à louer un hélicoptère et filme le carnage qui se poursuit (voir notre vidéo ci-dessous). Nouveau contretemps pour la police : elle ne trouve pas de bateau. Et quand elle finit par en trouver un, il tombe en panne quelques mètres après avoir quitté le rivage…

    Pendant ce temps, ce sont les vacanciers d’un camping voisin, qui ont entendu les coups de feu, qui effectuent des allers-retours pour repêcher les jeunes qui se sont jetés à l’eau alors que le tueur achève méthodiquement ceux qui tentent de fuir par tous les moyens. C’est finalement à 18h25 que les forces d’élite parviennent à débarquer sur Utoya. Deux minutes plus tard, Anders Behring Breivik se rend, sans opposer la moindre résistance.

    Au final, il aura fallu plus de 90 minutes aux forces de l’ordre pour intervenir…

    Comment le tueur est-il parvenu, seul, à tuer plus de quatre-vingt personnes ? De nombreuses questions demeurent sans réponse.

    Anders Breivik Behring a utilisé des balles à fragmentation (qui se pulvérisent en dizaines de fragments au moment de l’impact), de sorte qu’il est impossible de savoir avec quelle arme elles ont été tirées.

    Des témoins parlent de plusieurs tireurs sur l’île. Si c’était le cas ils auraient laissés des traces et il faudrait de nombreuses complicités au sein des forces de sécurité pour que l’information ne filtre pas. Eventuellement, quelques acolytes du tueur, embusqués sur un ou plusieurs bateaux, auraient pu participer au massacre, comme peuvent le laisser penser ces témoignages pour le moins troublants :

     

    « Lorsque j’ai vu des bateaux arriver je n’étais pas sûre de pourvoir leur faire confiance. »

    Propos de Lenita Jones, rapportés par NRK

    « On nous tire dessus ici. Un homme qui est habillé en policier. Nous ne savons pas combien ils sont. Tous les membres de l’AUF sont dispersés pour se cacher. Love you. »

    SMS envoyé par Emma Martinovic à ses parents à 17h53, rapporté par FVN

    « Après avoir nagé pendant 10 minutes, nous étions à 500 mètres du rivage. Nous nous somme fait tirer dessus. Ce fut la panique complète. L’un de nous a été touché, j’ai vu du sang dans l’eau, mais je ne sais pas comment c’est arrivé. ».

    Propos de Emma Martinovic rapportés par FVN

    « Nous nous sommes cachés quand nous avons entendu des tirs provenant de différentes directions. »

    Propos de Kaltenborn rapportés par NRK


    Spencer Delane, pour Mecanopolis


    Utøya por Mecanopolis


    votre commentaire
  • Les avoirs financiers extérieurs de la Chine atteignent 4.395 milliards de dollars

    Les avoirs financiers extérieurs de la Chine ont totalisé 4.395 milliards de dollars à la fin du mois de mars, en augmentation de 7% par rapport à la fin de l'année dernière, a annoncé mardi l'Administration nationale des Devises étrangères.

    Parmi ces avoirs extérieurs, les avoirs de réserves en devises étrangères ont compté pour 3.120 milliards de dollars, représentant 71% du total, et le reste inclut les investissements directs étrangers, les valeurs mobilières de placement et autres, a précisé l'administration dans une déclaration publiée sur son site Internet.

    En comparaison avec la fin de l'année dernière, les dettes financières extérieures de la Chine ont augmenté de 5% à 2.460 milliards de dollars fin mars, et les avoirs financiers extérieurs nets se sont élevés à 1 934 milliards de dollars, en hausse de 8%.

    Source : CHINE INFORMATIONS


    votre commentaire
  • Soral et l'antisémitisme


    votre commentaire
  • Un plan mondial pour une réduction de la population ? (vidéos)

    Article placé le 21 juil 2011, par Mecanopolis

    Dans ce document vidéo, le journaliste américain Webster Trapley (1) expose les théories du conseiller scientifique la maison blanche du président Obama, John-Paul Holdren.

    J.-P. Holdren est depuis plus de quarante ans l’un des principaux partisans d’une réduction de la population mondiale. Déjà, en 1969, il écrivait dans la revue scientifique Bioscience que, « si les mesures de contrôle des populations ne sont pas engagées immédiatement et efficacement, aucune technologie ne saura repousser la catastrophe à venir » (2). En 1977, Holdren a co-écrit le « Manuel Ecoscience » (3), ouvrage qui préconisait la stérilisation forcée de certaines couches de la population afin de contrôler le nombre de naissance aux Etats-Unis. Holdren est aujourd’hui le directeur du Bureau scientifique et technologique de la Maison Blanche et co-président du Conseil présidentiel des conseillers sur la science et la technologie (PCAST).

     


    1/4 Webster Tarpley: le plan mondial de... por hussardelamort
    2/4 Webster Tarpley: le plan mondial de... por hussardelamort
    3/4 Webster Tarpley : le plan mondial de... por hussardelamort
    4/4 Webster Tarpley : le plan mondial de... por hussardelamort


    votre commentaire
  • Norvège : une professeur de l’Université de Séville accuse Israël

    María José Lera est professeur de l’Université de Séville, selon elle, il ne serait pas étonnant qu’Israël soit impliqué dans le carnage qui a eu lieu en Norvège, les raisons invoquées seraient le positionnement de la Norvège vis à vis d’Israël :

    - Les déclarations faites par M. Jonas Gahr Støre (ministre norvégien des Affaires étrangères), sur l’île Utøya (1 jour avant les attentats), Les Palestiniens “doivent avoir leur propre Etat, l’occupation doit cesser, le mur doit être démoli et il cela doit se passer maintenant » a déclaré le ministre des Affaires étrangères.

    - Les déclarations faites par Eskil Perdersen (chef de l’AUF) demandant un boycott contre Israël et la reconnaissance d’un Etat palestinien.

    - Les déclarations faites par Kristin Halvorsen en 2006 (quand elle était ministre norvégien des Finances) demandant un boycott contre Israël, ainsi que des mesures de désinvestissement ultérieure par la Norvège contre Israël. Halvorsen est un membre de la Venstreparti Sosialistisk ou Parti socialiste de gauche.

    - Les déclarations faites par M. Jonas Gahr Støre soutenant la reconnaissance norvégien d’un Etat palestinien, lors d’une visite de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.

    - Le passeport palestinien dont l’ancien Premier ministre norvégien Kåre Willoch a donné à Mahmoud Abbas, ainsi que les déclarations de soutien Willoch aux Palestiniens. Willoch est un membre de la Høyre ou droite, connu internationalement comme le Parti conservateur norvégien.

    - Les actions de BDS (boycott, désinvestissement et sanctions) ont été approuvées en Janvier 2006 par le ministre de l’Economie http://www.elreloj.com/article.php?...

    Plus précisément, le 23 août 2010 la Norvège a indiqué que le Fonds norvégien du pétrole (Norvège Oil Fund) a retiré leurs investissements d’une entreprise de construction internationale Danya Cebus, qui appartient au fond de Africa-Israel Investments. Selon le ministre des Finances « Le conseil d’éthique souligne que la construction dans les colonies dans les territoires occupés est une violation de la Convention de Genève sur la protection des personnes civiles en temps de guerre “, a t-il dit. “Plusieurs résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies et les opinions de la Cour internationale de Justice ont conclu que la construction dans les colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés est interdite en vertu de la présente Convention”, a déclaré ministre de l’Economie Sigbjoern Johnsen dans un communiqué ” .

    Le désinvestissement continue en Juin 2010, le ministre norvégien et chef d’un parti politique appelle à un boycott international du commerce des armes avec Israël après un raid meurtrier par des commandos israéliens sur une flottille d’aide pour Gaza. (http: / / www.swedishwire.com/nordic/4...) Le boycott norvégien est appuyé massivement par la population et, selon des sources israéliennes, en 2010 de 40 pour cent des Norvégiens ont refusé d’acheter les produits israéliens (http://www.israel7.com/2010/06/40-d...)

    La Norvège a excellé dans le boycott d’Israël, en déclarant et reconnaissant l’État palestinien. Le 19 Juillet, le président palestinien Mahmoud Abbas s’est rendu en Norvège et le ministre Norvégien des Affaires étrangères Jonas Gahr Støre a déclaré sur TV2 que la Norvège est prête à reconnaître l’Etat palestinien. Ces paroles sont répétées au cours de laquelle Utøya chat : “Nous sommes prêts à reconnaître l’État palestinien. Je suis en attente pour le libellé de la résolution afin que les Palestiniens soient présents à l’Assemblée générale des Nations Unies au mois de Septembre »(source : http://english.ruvr.ru/2011/07/19/5.... html). (ndlr : État palestinien à l’ONU : Israël envisage d’abroger les accords d’Oslo. Selon le quotidien Haaretz, Israël étudie cette possibilité en réponse à la demande d’adhésion d’un Etat de Palestine à l’ONU, en septembre. lien)

    Fait intéressant, le « terroriste » accusé du massacre norvégien “Anders Behring Breivik”, est mentionné comme le propriétaire d’un blog intitulé “Fjordman” il commente et écrit aussi sur Jihad Watch, Gates of Vienna (http://www.wakeupfromyourslumber.com) Si oui, le blog Fjordman montre qu’il serait un extrémiste néocon. Breivic qui déteste les immigrants et en particulier les musulmans, il est aussi pro-israéliens, voir le blog, « pourquoi la lutte d’Israël est aussi notre combat » ( http://vladtepesblog.com/?p=21434).

    “Il se peut qu’en fin de compte les tentacules de l’État d’Israël ne soient pas très éloignés de ce carnage et ce ne serait ni la première ni malheureusement la dernière fois. Oui, la Ligue des jeunes travailleurs de Norvège (AUF) et le ministre norvégien des Affaires étrangères et tout son gouvernement ont reçu un coup terrible. Mais précisément ceux qui prennent position le plus fermement contre la politique génocidaire d’Israël envers le peuple palestinien sont ceux qui souffrent le plus. Ils avaient déjà été mis en garde par Israël pour leur “courage extraordinaire” … ceci signifie dans le jargon israélien qu’il en paieront les conséquences.” (Maria José Lera, professeur à l’Université de Séville)


    Les attentats d’Oslo, un nouvel 11 Septembre por rikiai

    Concernant les attentats d’Oslo, les premiers doutes mettant en cause la version officielle d’un attentat "populiste" et "islamophobe"commencent à se faire jour. Egalité et Réconciliation relaie une vidéo mise en ligne par un particulier qui demande : A qui profite le crime ? En effet, l’explosion survient au moment où l’establishment, d’après la vidéo, cherche à confectionner le mythe d’un ’"Al Qaïda blanc".

     

    Quelques incohérences et questionnements :

     

    Un témoin de l’explosion a déclaré qu’une bombe avait déjà été désamorcée la veille (la TV norvégienne le signale aussi). Un autre norvégien, qui a écrit par courriel, et dont le père est expert en explosifs, signale que, au regard du type d’explosion et de débris, l’explosion était clairement souterraine. Ceci n’est pas cohérent avec la version officielle selon laquelle l’explosion serait dûe à une voiture piégée.

     

    La rue était barrée depuis quelques jours pour des travaux dans les égoûts et encore : le bâtiment était quasiment vide du fait que le vendredi était férié. Les bureaux étaient donc désertés. Pourquoi des terroristes auraient-ils choisi de faire exploser leur bombe alors que les bâtiments étaient quasiment vides ?

     

    De plus, le blog quebecois Poste de Veille, relayant le siteJihadwatch, se demande :

     

    Qui a ajouté "chrétien" et "conservateur" à la page Facebook du tueur d’Oslo hier ?

     

    Des disparités existaient en effet entre les versions en anglais et en norvégien du site du suspect Anders Behring. Ce n’est que dans la version en anglais qu’apparaissaient les termes "chrétien" et "conservateur" (ces pages ont disparu, mais des captures d’écran ont été faites avant qu’elles soient supprimées).

    par Catherine Segurane lundi 25 juillet 2011


    votre commentaire
  • On a retrouvé le corium de Fukushima

    par olivier cabanel (son site) mardi 26 juillet 2011

    On le sait, depuis le premier jour de la catastrophe de Fukushima, les trois cœurs des réacteurs ont fondu, formant le corium, agglomérat de combustible nucléaire, et d’éléments d’assemblage.

    On sait qu’il atteint de très hautes températures ( 3000 °C) et peut faire fondre la plupart des matériaux. lien

    On sait aussi que les cuves des réacteurs sont devenues des passoires, et que le corium s’est déjà attaqué à l’épaisse dalle de béton de 8 mètres d’épaisseur.

    Logiquement cela ne devrait pas empêcher sa progression en direction du sol, une fois passé l’obstacle du béton, et le faire rencontrer à un moment à un autre, la nappe phréatique.

    A ce moment, il y aura une explosion chimique avec un important dégagement de matières radioactives dans l’atmosphère.

    Dans cette vidéo, on peut découvrir le processus de la formation du corium.

    Selon Hiroaki Koide de l’Université de Kyoto «  la situation de la centrale de Fukushima est désespérée (…) il y a à peu près cent tonnes de corium. Les cuves de pressurisation et les métaux utilisés pour l’enceinte du bâtiment fondent à 1500 °. Il est donc probable que le corium soit tombé au fond des cuves, qu’une partie ait attaqué le sol et qu’une partie se soit mélangée avec l’eau contaminée, entraînant la fonte des murs  ». lien

    Il pense qu’il aurait fallu depuis longtemps construire une enceinte souterraine autour de la centrale afin de protéger les nappes phréatiques du corium et des sols contaminés, mais c’est manifestement bien trop tard.

    Alors bien sur, le service de communication de Tepco affirme « les plans sont en cours d’élaboration. Tepco prévoit de construire une enceinte afin de protéger les nappes phréatiques des infiltrations contaminées », mais quelle crédibilité peut-on donner encore à Tepco, toujours dans la dissimulation ou la manipulation ?

    Si l’on observe cette vidéo, (à partir de 1’ 30 ‘’) prise le 19 juillet dernier, cette soudaine importante fumée qui se dégage de la centrale pourrait indiquer que le corium est bel et bien en contact avec l’eau souterraine.

    Un autre problème vient de surgir, celui de « pluies noires ».

    C’est l’expert nucléaire Arnie Gundersen, qui nous explique que celle-ci, radioactive et chaude, est responsable de l’importante pollution des sols et des cultures, bien au-delà de la zone d’exclusion, ce qui explique le problème que connaissent maintenant les bœufs japonais.

    Il y en a eu pour l’instant 130 de contaminés, et ça ne devrait s’arrêter là, car la paille de riz qui sert à nourrir les bovins est elle-aussi contaminée à 500 000 bq/k de césium radioactif, et qu’elle provient d’une zone se trouvant a 72 km de la centrale. lien

    Il y a donc bien contamination de la chaîne alimentaire.

    Il évoque le témoignage de quelques uns de ses amis biologistes, qui ayant travaillé sur le dossier Tchernobyl, se sont rendus au Japon pour y analyser la situation. « Ils ont bien vu que les choses allaient mal tourner (…) ils ont dit que la situation était très mauvaise. A vrai dire ce sont des scientifiques endurcis qui sont habitués à traiter avec la radioactivité et ils croient que les conditions sont bien pires que ce qu’ils avaient pensé  ».

    Comme le dit Gundersen, au lieu de minimiser le tragique de la situation, le gouvernement japonais serait bien inspiré de minimiser plutôt leur exposition aux radiations.

    Comme on s’en doute, jour après jour depuis bientôt 5 mois, la centrale continue à rejeter des quantités considérables de radioactivité ainsi que le prouve ce lien.

    On sait maintenant que la pollution radioactive de Fukushima a largement dépassé la zone d’exclusion : à 88 km au sud de la centrale, près d’Hitachi, des retombées en césium ont été mesurées à plus de 50 000 Bq/m2 et à 160 km au sud-sud-ouest de la centrale, à Ishioka, les retombées en césium sont de plus de 48 000 Bq/m2. lien

    De nombreux citoyens alarmés par ces informations se sont dotés de compteurs afin de mesurer eux même la radioactivité.

    Sur ce lien, on peut suivre la déambulation de l’un d’eux dans une ville située à 220 km de Fukushima, le 7 juin dernier, au moment où il découvre sur le sol 5,58 µSv. lien

    A Tokyo, 32 millions de japonais vivent sans se douter pour certains que le taux de radioactivité en progression a été mesuré à 1,36 µSv/h. lien

    Au sujet de la « décontamination » de l’eau radioactive, il y a un décalage important avec les promesses et la réalité puisque le procédé « miraculeux » d’Areva semble ne fonctionner que sur la base de 35 h par semaine, et que le 24 juillet la machine a été totalement mise hors service pendant 7 h. lien

    Pour toutes ces raisons, le « projet 47 » est en train de se mettre en place : avec l’aide de la CRIIRAD, et de nombreuses associations locales, Wataru Iwata va pouvoir mesurer gratuitement la radioactivité dans les zones polluées. lien

    Rama C. Hoetzlein nous propose une animation étonnante montrant ponctuellement tous les points irradiés au Japon au mois mars 2011. lien

    Il n’y a plus que 17 réacteurs nucléaires sur 54 qui fonctionnent encore et les japonais, hostiles maintenant à 70% à cette énergie dangereuse réclament une zone d’exclusion élargie, et demandent des comptes. lien

    Dans cette vidéo, des citoyens japonais s’adressent à Akira Sato, directeur du département des urgences nucléaires locales, n’obtenant comme seule réaction qu’une magnifique « langue de bois ».

    Extraits :

    « Ne pensez vous pas que les gens de Fukushima, comme les autres gens, ont le droit de s’échapper pour ne pas être exposées à la radioactivité ? »

    Réponse :

    « Le gouvernement essaye de réduire le taux d’exposition autant que possible »

    -Vous ne répondez pas à la question !

    -Comme cela, vous dites qu’ils n’auraient pas ce droit ?

    -Ils ont bien ce droit, n’est-ce pas ? »

    Réponse :

    « Je ne sais pas s’ils ont ce droit » (…)

    -Alors vous aussi, vous-même, vous pensez que vous n’avez pas le droit de vivre une vie en bonne santé ?

    -Répondez-moi ! (…)

    -Vous voulez dire qu’il existe une différence de standard d’exposition à la radioactivité pour la préfecture de Fukushima, et pour les autres préfectures ? »

    Réponse

    « Ce que je dis c’est que le gouvernement a essayé de réduire autant que possible le taux d’exposition ».

    « Vous n’avez pas répondu à la question » Etc.

    Devant l’assaut de questions sans réponse, Akira Sato, finira par s’enfuir lâchement poursuivi par un citoyen qui lui demande en vain d’analyser un flacon d’urine.

    Alors maintenant le gouvernement Japonais vient de promulguer une loi qui censurera sur Internet les mauvaises nouvelles provenant de Fukushima. lien

    Mais supprimer le thermomètre n’empêchera pas la température de monter.

    Du côté de l’OMS, (organisation mondiale de la santé) c’est aussi la loi du silence.

    Comme l’explique Christophe Elain, membre du collectif « independentwho » sur l’antenne de TV5 monde : « l’OMS ne peut prendre aucune initiative concernant la santé et le nucléaire, et toutes les informations qui pourraient nuire au développement du nucléaire sont passées sous silence (…) toute sorte de décision qui pourraient être prise par l’OMS ou l’AIEA (agence internationale à l’énergie atomique) doivent être prises d’un commun accord (…) et l’AIEA a une possibilité de véto sur d’éventuelles déclarations de l’OMS ». lien

    En effet, l’Aiea s’occupe la promotion des activités nucléaires civiles et l’OMS qui est normalement en charge de la santé publique a signé avec l’Aiea, dès 1959 un accord qui dispose que les deux agences « agiront en coopération étroite et se consulteront régulièrement ». lien

    Et puis, comme chacun s'en doute, le Japon n’est pas le seul touché par la catastrophe : depuis Tchernobyl on sait qu’une frontière n’arrête pas la pollution.

    Dans la région de Princeton, au Canada, des taux importants ont été mesurés comme le prouve cette vidéo où on découvre des niveaux allant jusqu’à 0,79 mcSv/h.

    Le Physicien Chris Busby expert en nucléaire, affirme que les conséquences de la catastrophe de Fukushima ont été largement sous-évaluées, en terme de santé : il estime que dans les 50 prochaines années, il y aura 200 000 cas de cancer de plus au Japon, et que les retombées de l’accident dépasseront largement celles de Tchernobyl. lien

    Jeremy Rifkin l’a compris : le nucléaire est mort, il est urgent de tourner la page et il est essentiel d’écouter ses arguments imparables, parce qu’il fait vraiment le tour de la question (lien) et pourtant le gouvernement Japonais devrait rester insensible à la jolie chanson anti-nucléaire de ces collégiennes japonaises. lien

    Car comme dit souvent mon vieil ami africain : « si tu vis dans la peur, tu ne vis qu’à moitié »

    L’image illustrant l’article provient de forum-rpcirkus.com


    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique