• I'm going home

     

    Pour les ricains qui tombent en Afghanistan et qui auraient dû rester chez eux

     


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  • Sarkozy fait voler la droite en éclats

    Article lié : LE BON, LA BRUTE, et le TRUAND

    Par LEXPRESS.fr, publié le 24/08/2010 à 12:51

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    Le virage sécuritaire de Nicolas Sarkozy provoque une fracture au sein de la majorité présidentielle. Après Alain Juppé et Dominique de Villepin, c'est Jean-Pierre Raffarin qui tire la sonnette d'alarme.

    Sarkozy fait voler la droite en éclats

    AFP/Archives/Bertrand Langlois

    Le président Nicolas Sarkozy prend le risque avec un discours axé sur la sécurité de se couper d'une partie de sa majorité. 

    LE BON, LA BRUTE, et le TRUAND 

     

     
     
    va arbitrer avec les verts les prochaines élections au 2eme tour
    Voir taille réelle
     
    fait le méchant pour plomber l'UMP et préparer le terrain pour DSK. Un poste bien douillet l'attend
    Voir taille réelle
     
                              a laissé le champ libre à Sarkosy en 2007. ..a été bien récompensé pour ça. Sera le prochain Président "socialiste" de la "République" " Française" ...c'est pas beau ça !
     
    Une présentation du bonhomme (de Gauche...) ici :

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  • Alex Jones : le faux paradigme gauche droite



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  • Les Bobos montent au créneau

    Yannick Noah sur les expulsions de Roms: "On ne doit pas être du même monde avec ces gens du gouvernement"

    et pourtant il a autant de pognon !!!!
     
    En plus, ça tombe bien pour la promo de son dernier album "Frontières". Quand il a un album à vendre, il se pointe en France(vu que personne ne l'achète ailleurs) , il regarde l'actualité, sort une banalité, et fait la une des journaux...balèze le gars , non ?  pub gratos
     
    <script type="text/javascript"> var show_like_button = "1"; var item_titre = "Yannick Noah sur les expulsions de Roms: "On ne doit pas être du même monde avec ces gens du gouvernement""; var item_description = ""; var item_url ="http://www.lepost.fr/article/2010/08/23/2193066_yannick-noah-sur-les-expulsions-de-roms-on-ne-doit-pas-etre-du-meme-monde-avec-ces-gens-du-gouvernement.html"; var item_url_encode ="http%3A%2F%2Fwww.lepost.fr%2Farticle%2F2010%2F08%2F23%2F2193066_yannick-noah-sur-les-expulsions-de-roms-on-ne-doit-pas-etre-du-meme-monde-avec-ces-gens-du-gouvernement.html"; var item_permalien = "http://www.lepost.fr/article/2010/08/23/2193066_yannick-noah-sur-les-expulsions-de-roms-on-ne-doit-pas-etre-du-meme-monde-avec-ces-gens-du-gouvernement.html"; var item_twitter_titre = "Yannick Noah sur les expulsions de Roms: "On ne doit pas être du même monde avec ces gens du gouvernement""; var item_twitter_url = "http://tinyurl.com/3xnedd4"; var item_envoyer_url = "L2Vudm95ZXIvMjE5MzA2Ni5odG1s"; var item_reprendre_url = "L3JlcHJlbmRyZS8/aWQ9MjE5MzA2Ng=="; </script><script type="text/javascript" src="http://www.lepost.fr/medias/www/1.0.380/js/partage_header.js"></script>

     

    Yannick Noah

     

    Nous attendons avec impatience la réaction "outrée" de Guy Bobos !!! préparez vos mouchoirs


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  • BP propose une indemnisation sous conditions

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    MAREE NOIRE – BP propose une indemnisation sous conditions

    Attaquer BP ou bénéficier d’une indemnisation, il faudra choisir pour les victimes de la marée noire dans le golfe du Mexique. Pour toucher les dollars de la compagnie pétrolière responsable de la pollution, les américains touchés devront abandonner leurs droits à se défendre en justice.

    Selon une information du New York Times, les bénéficiaires du fonds d’indemnisation de 20 milliards de dollars créé par BP, sous la pression du gouvernement Obama, devront renoncer à leurs droits pour toucher les dollars de la compagnie pétrolière britannique. Les victimes s’engageront à ne pas attaquer en justice BP mais également Transocean, le propriétaire de la plateforme offshore en cause, et Cameron International.

    Le délicat calcul des indemnisations devrait prendre en compte la proximité géographique des victimes, selon le quotidien américain.

    source


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  • Paul-Éric Blanrue: pour qu'il y ait négociation, il faut qu'il y ait sérénité et égalité de traitement pour toutes les parties

    L’historien Paul-Éric Blanrue qui a accepté de répondre aux questions du correspondant de l’Irna à Paris, à l’occasion du lancement physique de la centrale de Bouchehr le 21 août 2010

     
    Dimanche 22 Août 2010

     

    Paul-Éric Blanrue: pour qu'il y ait négociation, il faut qu'il y ait sérénité et égalité de traitement pour toutes les parties
    L’historien à succès Paul-Éric Blanrue qui a accepté de répondre aux questions du correspondant de l’Irna à Paris, à l’occasion du lancement physique de la centrale de Bouchehr le 21 août 2010, à la question de savoir si l’on peut-on d'un côté, menacer et imposer des sanctions à l’Iran et de l'autre côté, lui demander de s’asseoir à la table des négociations, a répondu : « Que les gens réfléchissent un peu : accepteraient-ils de signer un contrat si on leur braquait un revolver sur la tempe ? Bien sûr que non ! Il en va de même pour l'Iran. Pour qu'il y ait négociation, il faut qu'il y ait sérénité et égalité de traitement pour toutes les parties. Sinon, c'est du chantage pur et simple (…). Les Occidentaux s'y prennent donc très mal avec lui, sans aucune psychologie élémentaire, sans aucune éthique. À moins, bien sûr, qu'ils aient pour objectif secret d'envenimer la situation, ce qui est fort possible compte tenu de ce que j'ai dit plus haut."
    Après trente-cinq ans d'attente, l'Iran lance ce week-end sa première centrale nucléaire, construite par la Russie près du port de Bouchehr (sud). Interrogé sur les réactions que le lancement physique de la centrale de Bouchehr suscite chez les pays occidentaux qui n’hésite pas à parler de nouveau défi de l’Iran, Paul-Éric Blanrue parle tout d’abord des raisons officielles qu'invoquent les autorités politiques en Occident et qui sont toujours les mêmes : « sous la pression américano-israélienne, la prétendue "communauté internationale" veut interrompre le programme nucléaire iranien pour, prétend-elle, ne pas prendre le risque que l'Iran parvienne à se doter un jour de l'armement atomique, soi-disant par peur de la "prolifération nucléaire."

    Qualifiant cet argument de tout à fait spécieux parce que ce sont précisément les pays qui disent craindre cette prolifération qui possèdent le plus d'armes atomiques, il précise que « ce serait donc à eux de donner l'exemple, c'est-à-dire de commencer par se désarmer dans ce domaine pour prouver leur bonne foi ».

    Il dénonce également dans la pratique, l'argument des pays occidentaux qu’il qualifie de ridicule puisque, souligne t-il en premier lieu « les opérations de Bouchehr vont se dérouler sous le contrôle des inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et que deuxièmement le site de Bouchehr est une centrale de nature pacifique et non militaire. Pour l'Iran, il s’agit de produire de l'électricité afin de satisfaire à sa demande intérieure.

    Pour comprendre, selon l’historien français en profondeur les réactions négatives des pays soumis à «l'idéologie impérialiste », il évoque des raisons officieuses qui les poussent à agir de la sorte. « Ce qu'ils veulent, en réalité, à terme, c'est le contrôle du pays et de ses ressources naturelles. Ils tentent par conséquent de freiner toute nouveauté technologique permettant à l'Iran de se rendre indépendant et d'accéder à une puissance qui leur permettrait de rester un pays souverain. Les États-Unis et Israël agissent en pays colonialistes » affirme encore Paul-Éric Blanrue.

    Le lancement de Bouchehr constitue un succès technologique et politique pour l'Iran Bouchehr "et est totalement protégée de tout risque de prolifération", c’est ce qu’a souligné mercredi le ministre russe des Affaires étrangères Serguei Lavrov. Interrogé sur l’attitude de la presse occidentale qui continue à s’acharner contre la République Islamique d’Iran, en parlant de « nouveau défi de l’Iran », Paul-Éric Blanrue qualifie de « permanent » l’acharnement de la presse occidentale, soulignant avant tout la volonté délibérée de nuire à l’Iran. Il explique que « tout ce que fait l'Iran est systématiquement critiqué avec la plus grande mauvaise foi, sous la pression des lobbies américano-israéliens. Le but est de discréditer ce pays pour que les populations occidentales soient enclines à accepter l'embargo et les sanctions contre l'Iran, ainsi que d'éventuelles attaques militaires à venir (…).Dans notre presse, tout est fait pour comparer le président Ahmadinedjad à Hitler, alors qu'il est au contraire l'un des meilleurs représentants actuels de l'esprit du général de Gaulle ! Il développe en effet l'esprit de Résistance au nouvel ordre mondial, et, comme le général de Gaulle en 1940, ose dire "non" à l'hégémonie d'un pays qui veut lui imposer sa loi ».

    L’historien français dénonce l’attitude des pays occidentaux qui, dit-il « dénient à l’Iran un droit que possèdent ses voisins, sous prétexte qu'il ne se plie pas aux injonctions américaines, est un scandale sans nom. Tout pays a le droit inaliénable de développer sa technologie pour le bien-être de son peuple ».

    Évoquant les politiques des États-Unis et d’Israël, il déclare que « ces deux pays craignent d'avoir à partager les ressources de la planète qu'ils veulent conserver pour eux-mêmes. Ils ont également peur que l'Iran ne soit un obstacle à leur volonté de dominer le Proche et le Moyen Orient ».

    Pour Paul-Éric Blanrue, cependant, les États-Unis et Israël s'y prennent tellement mal que la conséquence est que « l'Iran a de plus en plus de partenaires : non seulement les Russes, aujourd'hui, mais aussi la Syrie ou la Turquie... Voilà pourquoi l'Empire est si agressif en ce moment : il craint de perdre ses prérogatives dans une région dont l'importance géostratégique n'est plus à prouver.»

    A la question de savoir si l’on peut-on d'un côté, menacer et imposer des sanctions a l’Iran et de l'autre côté, lui demander de s’asseoir a la table des négociations, Paul-Éric Blanrue ironise et interroge : « Que les gens réfléchissent un peu : accepteraient-ils de signer un contrat si on leur braquait un revolver sur la tempe ? Bien sûr que non ! Il en va de même pour l'Iran. Pour qu'il y ait négociation, il faut qu'il y ait sérénité et égalité de traitement pour toutes les parties. Sinon, c'est du chantage pur et simple (…). Les Occidentaux s'y prennent donc très mal avec lui, sans aucune psychologie élémentaire, sans aucune éthique. À moins, bien sûr, qu'ils aient pour objectif secret d'envenimer la situation, ce qui est fort possible compte tenu de ce que j'ai dit plus haut ».

    Enfin interrogé sur l’attitude que doit enfin adopter l’Occident face à Israël, qui est le pays qui bafouent le plus grand nombre de résolution de l'ONU au monde, en particulier vis-à-vis de son arsenal nucléaire militaire, l’historien français tout en rappelant que le monde entier sait qu'Israël possède un arsenal atomique illégal, s’interroge sur qui porte la responsabilité de la plupart des conflits dans la région ces dernières années ? Pour lui, c’est évidemment « Israël, et non l'Iran. L'impunité d'Israël doit cesser au plus vite ». Il exhorte la "communauté internationale" à respecter l'égalité des nations qu'elle est censée représenter.

    L’historien à succès Paul-Éric Blanrue qui a son actif une dizaine d’ouvrages, Son dernier ouvrage « Sarkozy, Israël et les Juifs », dont le titre se veut un clin d'œil au De Gaulle, Israël et les Juifs de Raymond Aron, Paul-Éric Blanrue et qui établit une synthèse des rapports entre Nicolas Sarkozy et Israël, n’est pas disponible dans les librairies françaises, non que son contenu ait été condamné par les tribunaux, mais parce qu’au mépris total de la liberté d’expression, le distributeur de son éditeur a décidé de ne pas le diffuser.

     

     

    Lundi 23 Août 2010


    http://www2.irna.ir/fr/news/view/line-94/1008227657145658.htm http://www2.irna.ir/fr/news/view/line-94/1008227657145658.htm


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  • La Chine, un colosse aux pieds en béton armé

    Il est une tradition dans l’histoire qui veut que tous les pays craignent ou jalousent l’apparition d’une nouvelle grande puissance.

    En 1900, les grandes puissances européennes qu’étaient la France, le Royaume Uni, l’Allemagne récemment unifiée par Bismarck et dominée par la Prusse, l’Autriche-Hongrie et la Russie considéraient les Etats-Unis comme un territoire lointain, exotique et de peu d’importance. Or, les statistiques d’aujourd’hui, et de l’époque, montrent que dès cette année 1900 les Etats-Unis étaient la plus grande puissance industrielle mondiale et avait la plus large production industrielle du monde (PNB, PIB, GDP n’étaient pas encore agrégés en indices, mais la collecte des données statistiques contemporaines et postérieures aboutissait aux mêmes résultats).

    Il y a quelques mois, la Chine est devenue le premier marché mondial de l’automobile, c’est-à-dire que les Chinois achètent 17 millions de voitures par an, ce qui est plus que dans tout autre pays au monde.

    Il y a quelques semaines, la Chine est devenue le plus grand consommateur pétrolier du monde.

    Il y a quelques jours, la Chine est officiellement passée devant le Japon pour devenir la seconde économie du monde.

    Habilement, les dirigeants chinois nient toute idée d’hégémonie économique, financière ou politique. Ils soulignent que si leur PIB (Produit Intérieur Brut) est désormais le deuxième du monde, le PIB par habitant chinois est au 100ème rang mondial. Certes, mais l’argument est à double interprétation :

    C’est vrai que la Chine a du chemin à faire, mais c’est justement ce chemin qui va produire de la croissance et de la richesse en s’appuyant sur un marché de près d’un milliard et demi de citoyens à la fois producteurs et consommateurs.

    Le terme de Longue Marche (à un rythme accéléré cette fois) s’applique de nouveau et pour de bon à l’Empire du Milieu.

    L’armée chinoise est la première armée du monde en nombre de soldats. Mais les Chinois laissent entendre que la sophistication de leur armement est toute relative. Ce qui n’est pas exact et est démontré par leurs nombreux lancements de vecteurs et de satellites, y compris de satellites tueur de satellites, le développement de leurs sous-marins nucléaires hyper-furtifs et le développement très rapide de leurs technologies informatiques et électroniques (micro-processeurs et autres composants, guidage, etc.) appliquées à l’armement.

    Les Jeux Olympiques de Beijing et l’Exposition Universelle de Shanghai se sont succédés à quelques mois d’intervalle.

    Pourquoi le monde a-t-il accordé une telle place à un seul pays en si peu de temps ?

    Par impérieuse nécessité !

    Le droit chinois était autrefois (il y a quelques années encore) largement emprunté au droit japonais qui lui-même était largement dérivé du droit allemand.

    Aujourd’hui le droit chinois des affaires (business et finance) est un des plus avancés au monde, que ce soit le droit de l’État chinois qui est de plus en plus sophistiqué ou le droit des Provinces chinoises qui bien qu’encore en phase de construction, notamment sur le plan fiscal, avance très rapidement.

    Au cours de la décennie, le droit chinois a très largement puisé dans le droit financier américain pour se placer à la pointe du droit international in shore et off shore. Le droit chinois a aussi pioché dans d’autres droits au gré de ses besoins dont celui de l’Union Européenne (notamment le droit de la concurrence).

    Une fois intégrés ces éléments juridiques étrangers, le droit chinois les a adaptés, améliorés, digérés, et re-conceptualises. Désormais, le droit Chinois est autonome et affirme ses concepts, lois et réglementations, jurisprudence, ainsi que l’exercice de sa juridiction, c’est-à-dire la compétence des tribunaux chinois dans les affaires intérieures et certaines affaires internationales.

    Dans le domaine des conflits de lois la loi chinoise joue un rôle croissant. Les conflits de loi définissent les lois applicables dans les contestations, disputes et procès sur les contrats et affaires internationales mêlant des parties opposées venant de plusieurs pays. Dans une dispute mêlant des ressortissants (individus, sociétés) de pays différents il faut d’abord choisir une loi [dite law of choice of law ou loi désignant la loi applicable] ; et cette loi va à son tour déterminer quelle loi va ensuite s’appliquer au litige.

    Les lois chinoises très longtemps absentes de ce jeu légal complexe, mais aux enjeux qui se chiffrent en milliards de dollars, s’imposent de plus en plus à la Communauté Internationale.

    Les autres pays ou leurs ressortissants économiques (sociétés, groupes, conglomérats) n’ont alors pas d’autre choix que de faire avec. Ceci est par ailleurs totalement légitime, et parfaitement légal.

    C’est aussi conforme à la loi du plus fort qui est une bonne vieille recette toujours efficace.

    Sur le plan des droits de l’Homme la Chine a renvoyé ses détracteurs à leurs propres manquements. Il est bien évident qu’on ne peut pas s’exonérer de ses fautes en arguant de celle des autres. Mais en termes diplomatiques c’est un rapport de forces qui s’est engagé. Paralyser son adversaire c’est déjà remporter une première manche.

    Le Premier Ministre Wen Jiabao vient d’ailleurs d’appeler à des réformes indispensables dans le domaine des libertés publiques et démocratiques.

    Montrer à ses adversaires que l’on veut encore aller plus loin que ce qu’il vous réclame, c’est remporter une seconde manche.

    Pétrole, production industrielle, armée, voitures, la liste des premières places mondiales de la Chine s’allonge chaque jour.

    D’aucuns peuvent alors se poser la question légitime de savoir s’il faut : souhaiter ou craindre la montée en puissance de la Chine ?

    Les deux.

    Olivier Chazoule

    par Olivier CHAZOULE (son site) lundi 23 août 2010


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  • Par Reuters, publié le 22/08/2010 à 22:15

    L'armée iranienne dévoile un drone à long rayon d'action

    L'Iran a dévoilé dimanche le prototype de son premier drone à long rayon d'action, le Karrar, présenté comme une réponse aux "agresseurs" de la république islamique.

    L'armée iranienne dévoile un drone à long rayon d'action

    Lors d'une cérémonie à laquelle participait le président Mahmoud Ahmadinejad (premier à droite), l'Iran a dévoilé dimanche le prototype de son premier drone à long rayon d'action, le Karrar. Cette présentation intervient au lendemain de l'inauguration de la centrale nucléaire de Bouhcher (sud-ouest), le premier réacteur de production d'électricité nucléaire de l'histoire de l'Iran. (Reuters/Ministère iranien de la Défense/Vahidreza Alaii/HO)


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  • par Maldoror samedi 21 août 2010 - 


    Claire Séverac et le complot mondial contre la santé

     

    Claire Séverac est l’auteur de plusieurs ouvrages ; elle présente ici son travail de recherche sur les multinationales et la santé, dans son livre "Complot mondial contre la santé".

    Voici la présentation de l’éditeur :

    "On a retenu les sommes colossales dépensées pour sauver le système bancaire. Elles sont dérisoires à côté du pactole que se partagent les 4 grands cartels mondiaux : chimie, biotechnologie, agro-alimentaire et médico-pharmaceutique. Les consortiums de l’agro-alimentaire ont réussi à faire disparaître toute l’agriculture vivrière, tout l’artisanat des métiers de bouches, toutes les particularités gastronomiques régionales, tout ce que les consommateurs pouvaient mettre dans leurs assiettes sans passer à leur caisse, avec la complicité des cartels de la distribution. Comment l’énorme comédie des normes alimentaires a-t-elle transformé notre nourriture en poison ? A qui sert réellement le codex Alimentarius ? Et pour qui tourne réellement l’OMC ? Depuis des décennies les grands groupes pharmaceutiques sont les financiers des plus grandes écoles et des formations de médecins, ils occupent en sous-mains les commissions sanitaires des pays et des instances internationales, ils sont partout, mais on ne les voit nulle part, comment opèrent-ils ? Comment étouffent-ils les scandales sanitaires ? De la naissance à la mort, chaque individu est une mine d’or pour eux, les pandémies des périodes fastueuses ! Et la "vraie-fausse" pandémie de grippe A en est un exemple de plus. Pour comprendre les interconnections de ces systèmes mafieux il fallait dresser leurs portraits et pratiques dans un même ouvrage. C’est désormais chose faite : après des mois d’enquête, Claire Séverac nous démontre, dans ce réquisitoire implacable, pourquoi et comment notre santé est en danger. "

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  • Finkytraining (niveau bling-bling)

     

    pour en savoir plus (bof!)


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