• Israël veut promouvoir l’enseignement de la langue chinoise

    août 8, 2010 par fonzibrain

    Un officiel israélien chargé de l’éducation a déclaré mercredi que le gouvernement israélien envisage de promouvoir l’enseignement de la langue chinoise à tous les niveaux et d’introduire des cours de chinois dans les écoles primaires et secondaires.

    Au cours du premier symposium sur l’enseignement de la langue chinoise, tenu à Tel Aviv, Shlomo Alon, directeur du ministère de l’Education d’Israël pour les études arabe, chinoise et italienne, a affirmé à Xinhua que son pays allait étalbir un système de l’enseignement de la langue chinoise, destiné à différents groupes.

    Israël a décidé d’introduire le chinois dans les cours, car la Chine et le peuple chinois sont aujourd’hui fortement intégrés dans des technologies sophistiquées, et cette décision se base aussi sur les relations spéciales entre les deux pays.

    Comme le chinois devient une langue étrangère de plus en plus populaire parmi les Israéliens, le ministère de l’Education a mis en place, plus tôt cette année, un panel spécial afin de promouvoir l’enseignement de la langue chinoise en Israël, a-t-il rappelé.
    Le symposium a réuni des officiels et des experts de l’éducation chinois et israéliens.


     


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    • L'Espagne prolonge pour la 2e fois une aide aux chômeurs en fin de droits

      15/08/2010-[14:09] - AFP

      MADRID, 15 août 2010 (AFP) - Le gouvernement espagnol prolongera lundi de six mois, pour la deuxième fois consécutive, une aide mensuelle de 426 euros aux chômeurs en fin de droit, alors que son taux de chômage reste le plus élevé de l’Union européenne, à 20,09%.

      Cette mesure, annoncée fin juillet par le chef du gouvernement socialiste José Luis Rodriguez Zapatero, sera validée de manière rétroactive par le prochain Conseil des ministres, le 20 août. Cette aide exceptionnelle avait été mise en place l’été dernier, pour une durée initiale de six mois. Elle avait ensuite été prolongée une première fois de six mois. Selon M. Zapatero, l’aide avait déjà bénéficié, fin juillet, à 570.000 personnes. Il a justifié cette nouvelle prolongation par le fait que seuls 80% des chômeurs touchent actuellement des allocations chômage. L’Espagne est sortie timidement, en début d’année, de la profonde récession économique dans laquelle elle était plongée fin 2008, sous le double effet de l’éclatement de sa bulle immobilière et de la crise financière internationale. Mais son taux de chômage a continué d’augmenter au deuxième trimestre, atteignant 20,09% de la population active contre 20,05% trois mois plus tôt, soit 4,645 millions de personnes, selon l’Institut national de la statistique (Ine). C’est le taux le plus élevé, avec celui de la Lettonie, en Union européenne. La prolongation de l’aide mensuelle de 426 euros concernera les chômeurs de moins de 65 ans qui ont cessé de percevoir des prestations entre le 16 février et le 15 août 2010, et qui n’avaient pas touché cette aide lors de sa première mise en place.


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  • La Hongrie défie le FMI

    "les pauvres de plus en plus pauvres mais de plus en plus nombreux"

    La Hongrie qui assurera pour 6 mois à partir du 1er janvier 2011 la présidence de l’UE (Union Européenne), subit très fortement les conséquences d’une crise financière qui n’en finit pas. Pourtant pas si éloignée des objectifs de Maastricht en matière de déficit (3,8 % en 2008), la Hongrie devient le premier pays de l’Union européenne à obtenir un soutien financier de la Troïka FMI, UE et Banque mondiale.
    En octobre 2008, un plan de 20 milliards d’euros est décidé pour la Hongrie : 12,3 milliards d’euros sont prêtés par le FMI ; 6,5 par l’Union européenne et 1 par la Banque mondiale. Le stock de la dette s’accroit mécaniquement. Outre la perte sèche en paiement des intérêts qui alourdit le déficit, les conditions sont sévères pour la population : hausse de 5 points de la TVA, aujourd’hui à 25 % ; âge légal de départ à la retraite porté à 65 ans ; gel des salaires des fonctionnaires pour deux ans ; suppression du treizième mois des retraités ; baisses des aides publiques à l’agriculture et aux transports publics…

    L’extrême droite entre au Parlement

    La Hongrie, auparavant gouvernée par les sociaux-démocrates, avait réussi à sauvegarder un système social relativement protecteur, mais l’application, sur injonction du FMI, de telles mesures d’austérité a mécontenté la population et bénéficié à la droite conservatrice qui a remporté les élections législatives d’avril 2010. Pourtant, la victoire du nouveau premier ministre conservateur, Viktor Orban, est aussitôt saluée par l’agence de notation Fitch Ratings qui estime que son parti, le Fidesz, obtenant la majorité nécessaire pour modifier la Constitution, « représente une opportunité pour introduire des réformes structurelles  » . Les sociaux-démocrates ont ainsi connu une défaite historique et ont ouvert un boulevard à l’extrême-droite (Jobbik) qui est entrée au Parlement pour la première fois avec un score de 16,6 %.
    A peine arrivé à la tête de l’Etat, le gouvernement lance des déclarations alarmistes sur la situation financière du pays évoquant une sous-estimation des comptes par l’exécutif précédent ramenant le déficit à 7,5 % du PIB, bien plus que les 3,8 % escomptés par le FMI. Coup de bluff ou falsification de comptes ? Le lendemain 5 juin 2010, un vent de panique fait chuter les Bourses de Londres, Paris, Budapest…et l’euro se déprécie dans la crainte de difficultés semblable à celles de la Grèce. Le gouvernement sous pression tente alors de se reprendre et multiplie les communiqués pour calmer tant bien que mal les spéculateurs survoltés.

    Taxer le capital ou le travail ?

    Pour réduire son déficit à 3,8% du PIB en 2010 comme le réclame le FMI et l’UE, le gouvernement prépare l’instauration d’une taxe temporaire sur l’ensemble du secteur financier, qui permettrait de prélever 0,45% de l’actif net des banques (calculée non pas sur les bénéfices, mais sur le chiffre d’affaires), de taxer à hauteur de 5,2% les revenus des compagnies d’assurance et de 5,6 % pour les autres entités financières (bourse, agents financiers, gérants de fonds d’investissement…). La Hongrie surenchérit ainsi sur Obama qui a timidement évoqué une taxe de seulement 0,15 % sur les banques. Mais cette mesure qui devrait rapporter environ 650 millions d’euros de recettes annuelles pendant deux ans (en 2010 et 2011), soit environ 0,8 % du PIB selon le gouvernement, ne plait pas aux banques : celles-ci font pression et menacent de retirer leurs investissements en Hongrie. Quand au FMI, il stoppe toute négociation et menace de fermer le robinet du crédit accordé en 2008. Le plan devant initialement expirer en mars 2010 avait pourtant été prolongé jusqu’à octobre de la même année.
    C’est bien évidemment le projet de taxe sur le secteur financier, véritable pomme de discorde entre le FMI et la Hongrie, qui bloque la poursuite du prêt. Le Fonds estime que le pays doit prendre des mesures en adéquation avec le dogme néolibéral en cours : entendez par là taxer les pauvres avant de taxer les banques : certes, les pauvres ont peu d’argent mais il y a beaucoup de pauvres... N’auriez vous pas remarqué le cynisme à l’œuvre ? 
    De plus, le projet de plafonnement des rémunérations dans la fonction publique, salaire du gouverneur de la banque centrale compris, est tout à fait aux antipodes des recommandations du Fonds qui préfère un nivellement par le bas en réduisant ou gelant les salaires comme en Grèce ou en Roumanie par exemple. Attention à ne pas se faire d’illusion pour autant de la part d’un parti au pouvoir qui avait déjà favorisé la pénétration du néolibéralisme dans les années 1990…

    « C’est soit la taxe bancaire, soit l’austérité »

    Christoph Rosenberg, qui conduisait la délégation du FMI en Hongrie, a indiqué que l’organisation internationale souhaitait obtenir davantage de précisions sur le budget de l’année prochaine : "Lorsque nous viendrons la prochaine fois, à moins que nous ne venions la semaine prochaine, le gouvernement aura logiquement avancé sur le budget 2011 et ce sera un budget très important", a-t-il dit . Une fois de plus le FMI s’apprête à revoir la copie du gouvernement et intervenir directement dans l’élaboration du budget hongrois au dépend de toute souveraineté. En attendant, le FMI estime que le pays va devoir prendre « des mesures supplémentaires » d’austérité pour parvenir aux objectifs de déficit qu’il a lui-même fixé. De son côté, le ministre de l’Economie Gyorgy Matolcsy déclare lors d’un entretien : « Nous avons dit que nous ne pouvions pas mettre en place de nouvelles mesures de rigueur [...]. Cela fait cinq ans que nous appliquons des mesures d’austérité, c’est pourquoi nous en sommes là ». «  Nous allons imposer la taxe bancaire, nous savons que c’est un lourd fardeau supplémentaire, mais nous savons également que nous pouvons atteindre (l’objectif) d’un déficit de 3,8%  », « C’est soit la taxe bancaire, soit l’austérité », a-t-il par ailleurs ajouté . Afin de se protéger d’une extrême droite en pleine ascension lors des prochaines élections municipales début octobre, la droite conservatrice au pouvoir veut éviter des mesures trop impopulaires et rejette toute poursuite de négociation avec le Fonds.

    Rupture consommée entre la Hongrie et le FMI ?

    Le 17 juillet le FMI suspend la négociation et par voie de conséquence, le versement de nouvelles tranches. Dans un premier temps, la sanction des marchés ne s’est pas fait attendre et la monnaie nationale, le forint reculait d’environ 2,4% à l’ouverture, tandis que la Bourse perdait plus de 4%. Le premier ministre, Viktor Orban, monte au créneau et réussit à calmer les spéculations en remerciant le FMI pour son « aide de trois ans  » tout en indiquant que « l’accord sur le prêt expirait en octobre, et qu’il n’y avait donc rien à suspendre. ». « Les banques étaient à l’origine de la crise mondiale, il est normal qu’elles contribuent au rétablissement  » de la situation, a-t-il souligné .
    La nouvelle loi sur la taxe financière qui prévoit par ailleurs une réduction de l’impôt sur les petites et moyennes entreprises (PME) de 16 à 10 %, est approuvée haut la main (301 votes en faveur et seulement 12 contre) le 22 juillet par le Parlement dominé par le Fidesz de M. Orban. Sans surprise, dès le lendemain, les agences de notation financière Moody’s et Standard and Poor’s placent la note de la dette souveraine hongroise sous surveillance avec un possible abaissement à la clé. Le rôle de ces agences, juges et parties d’un système spéculatif mortifère, est résumé en peu de temps : on améliore la note lors de l’accession du gouvernement conservateur au pouvoir en l’estimant sur la voie de l’austérité capitaliste et quand on se rend compte que les mesures prennent un chemin divergeant du dogme néolibéral, on s’apprête à l’abaisser.

    Le journal “Le Monde” soutient les créanciers

    Contrairement aux dire du journal français Le Monde  dans son édition du 20 juillet, il faut soutenir l’insoumission affichée du gouvernement hongrois envers le FMI et défendre l’idée qu’il en fasse de même avec son autre créancier, l’Union européenne. Prendre ses distances envers ces créanciers ne constitue en rien une insulte envers le peuple hongrois qui devra in fine rembourser une dette dont les conditions imposées par le FMI et l’UE sont déjà un lourd fardeau pour la population.
    Bien sûr, il faut aller au-delà d’une simple rupture diplomatique en proposant par exemple un front de pays unis contre le paiement de la dette, car comme l’a si bien dit Sankara, ancien président du Burkina Faso, quelques mois avant d’être assassiné : « La dette ne peut pas être remboursée parce que d’abord si nous ne payons pas, nos bailleurs de fonds ne mourront pas. Soyons-en sûrs. Par contre si nous payons, c’est nous qui allons mourir. Soyons-en sûrs également. (…) Si le Burkina Faso tout seul refuse de payer la dette, je ne serais pas là à la prochaine conférence. Par contre, avec le soutien de tous, dont j’ai besoin, (applaudissements) avec le soutien de tous, nous pourrons éviter de payer. Et en évitant de payer nous pourrons consacrer nos maigres ressources à notre développement. »  Seule une mobilisation populaire réclamant la vérité sur la destination des sommes empruntées au même titre que la satisfaction des revendications en termes de salaires, emplois ou protection sociale permettra de faire payer le coût de la crise aux véritables responsables de celles–ci.
    C’est pourquoi il est primordial pour les peuples d’Europe et d’ailleurs, d’auditer ces dettes entachées d’illégalités pour en répudier le paiement. C’est un premier pas vers la souveraineté qui permettrait d’envoyer les énormes fonds dédiés au remboursement de la dette vers les véritables besoins des populations en matière de santé, d’éducation ou de pensions de retraite, de sauvegarder leurs services publics plutôt que de les offrir aux entreprises privées.


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  • Pour Obama, Ground Zero peut accueillir une mosquée

    Par LEXPRESS.fr avec REUTERS, publié le 14/08/2010 à 11:45

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    Le projet de construction d'un centre culturel musulman près du site des attaques terroristes du 11 septembre 2001 à New York a reçu le soutien du président américain.

    Pour Obama, Ground Zero peut accueillir une mosquée

    Reuters/Yuri Gripas

    Barack Obama a exprimé vendredi son soutien au projet de construction d'un centre culturel musulman près du site de Ground Zero, théâtre des attaques terroristes contre les tours du World Trade Center le 11 septembre 2001 à New York.  

    Mettra-t-il un terme à la polémique? Vendredi 13 août, le président américain a en tout cas donné son accord au projet de centre culturel musulman prés du site de Ground Zero, théâtre des attaques terroristes contre le World Trade Center, le 11 septembre 2001, à New York.  

    Ce projet, soutenu par le maire républicain de la ville Michael Bloomberg, a provoqué de vives oppositions de la part des élus conservateurs américains mais également de la part de nombreux habitants de la ville.  

    "En tant que citoyen et en tant que président, je crois que les musulmans doivent bénéficier du droit de pratiquer leur religion comme n'importe quel autre ressortissant de ce pays", a déclaré Obama lors d'une réception réunissant des diplomates des pays islamiques et des représentants de la communauté musulmane.  

    "Cela inclut le droit de construire un lieu de culte et un centre communautaire sur une propriété privée dans le bas de Manhattan dans le respect des règlements et du droit local", a-t-il dit.  

    Le service des domaines de la ville de New York a autorisé au mois d'août la construction du centre musulman qui devrait comporter une salle de prière, à deux pâtés de maisons de l'endroit où se trouvaient autrefois les tours jumelles du WTC.  

    "Nous sommes en Amérique et notre engagement pour la liberté religieuse est indéfectible", a dit Obama qui a fait de l'amélioration des relations avec les nations musulmanes une clé de sa politique étrangère.  

    Près de 2750 personnes avaient péri le 11 septembre 2001 lors des attentats d'Al Qaïda qui avaient provoqué l'effondrement des deux tours du World Trade Center dans le bas de Manhattan. 

    note WR : vraiment cools ces Ricains !!


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  • C'est la chute finale

    version intégrale (2h24) sous-titrée : http://www.veoh.com/browse/videos/category/activism_non_profit/watch/v19430941bk2Qkay6


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  • <btn_espacement>

    Alerte aux bactéries mutantes

    Tous les rapatriés sanitaires feront désormais l’objet d’un dépistage aux bactéries super résistantes venues d’Inde. Un cas, heureusement sans conséquences, vient d’être repéré en France.

    <btn_espacement> </btn_espacement></btn_espacement><script type="text/javascript" src="http://www.leparisien.fr/commentaires/get_nb_com.js.php?m=201008140848&list=2010/08/13/1030845"></script>

    <btn_noimpr>
     
    </btn_noimpr> Marie-Pierre Villaverde | 13.08.2010, 16h11 | Mise à jour : 14.08.2010, 07h51

    Un premier cas de bactérie résistant à presque tous les antibiotiques connus vient d’être découvert en . Il a été repéré chez un homme qui rentrait de ses vacances en Inde, où il a été hospitalisé. Simplement porteur de la bactérie incriminée, il n’a pas connu de complications notables, selon l’Inserm (Institut national de la et de la recherche médicale), qui ne donne pas plus d’indications sur le patient, précisant simplement « qu’il va bien ». <btn_noimpr> </btn_noimpr>

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    Même si la est bien moins touchée que la Grande-Bretagne, où une cinquantaine de cas auraient déjà été détectés, les autorités sanitaires prennent la menace au sérieux. « Suite aux recommandations du Haut Conseil de la santé publique, nous allons mettre en place des mesures concernant tous les rapatriés sanitaires dans l’Hexagone », révèle Didier Houssin, directeur général de la santé. Dorénavant, le dépistage de la bactérie sera systématique pour tous les Français ramenés sous surveillance médicale, et dans l’attente du résultat les patients seront isolés.
    Car le monde médical est en alerte. Si les organismes multirésistants ne sont pas si rares, celui-ci, qui se présente sous forme d’une mutation génétique affectant plusieurs types de bactéries infectieuses, permet la synthèse d’une redoutable enzyme (New Delhi métallo-beta-lactamase, NDM-1, car elle semble originaire d’Inde) : elle inactive la plupart des antibiotiques. Si un patient porteur développe une infection, il devient alors presque impossible de le soigner. Seuls deux produits sont susceptibles de le combattre, dont l’un se révèle peu efficace. Aucune solution médicale n’est à prévoir avant au moins cinq ans, assurent les spécialistes. En attendant, les bactéries mutantes commencent à faire des victimes. Un Belge est décédé en juin dernier, à son retour du Pakistan, d’où il était originaire. Hospitalisé sur place pour un accident de voiture puis rapatrié, le patient (par ailleurs diabétique) n’a pas résisté malgré l’administration de colistine, un antibiotique puissant. Trois cas de contamination ont été relevés en Australie. D’autres seraient dus au tourisme médical, florissant en Inde et au Pakistan, où les visiteurs bénéficient d’opérations chirurgicales de bonne qualité à moindre coût.
    Le professeur Patrice Nordmann, chef du service de bactériologie-virologie-parasitologie à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), avoue manquer de recul. « En France, nous sommes extrêmement vigilants sur l’évolution de la bactérie, mais en Inde, l’un des réservoirs de celle-ci, il n’y a ni suivi ni étude la concernant. Il y a fort à parier que dans six mois, on va découvrir des milliers de cas là-bas, une fois que les données des hôpitaux auront commencé à être rassemblées. »
    NDM-1 inquiète également par la rapidité de sa propagation. Il se transmet par les mains, mais pas dans l’air, ou encore en buvant de l’eau contaminée. Les symptômes sont multiples : infections urinaires ou pulmonaires, septicémies ou encore infections de cathéter. « Il faut absolument éviter de se faire opérer en Inde ou au Pakistan », prévient donc Patrice Nordmann.


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  • Dr André Gernez

     

    videos ici : Dr Gernez : traitement du cancer

                                              Dr Gernez : Dr Gernez: qui est-il?

     

    À la fin des années 60, le Dr André Gernez définissait un protocole permettant d’éviter les cancers, et non pas palliatif, comme j’avais pu l’écrire par méprise dans Le peuple microbien, le faux ennemi. Ce protocole repose sur une bonne connaissance de l’origine du cancer et de son évolution.


         Pour des raisons peu charitables et très mercantiles, cette méthode n’a jamais été révélée au public par les autorités gouvernementales et médicales. Ces zèbres ne se sentent pas tenus de le faire, sans doute parce qu’il s’agit de prévention. Ils préfèrent manifestement que le public ne soit pas au courant et continue de tomber malade, de manière à pouvoir le « traiter. » Cela permet de réclamer des sous aux gogos pour faire éternellement une recherche qui ne sert à rien et fait perdurer une médecine industrielle nuisible, comme nous en verrons un exemple ci-dessous avec les conséquences des antibiotiques.


         Voici un résumé permettant de comprendre pourquoi le protocole fonctionne. Ce résumé est très succinct, et son seul but est d’inciter à lire attentivement les pages (la brochure) du site original d’où il est tiré :
    prevention-cancer.over-blog.com/article-evenir-le-cancer-c-est-prouve-52665544.html


    Origine naturelle des cancers


         Sur les 50.000 milliards de cellules qui forment chaque individu, 3% meurent et sont remplacées à chaque instant. Sur ce nombre de naissances cellulaires, environ 1 pour 1.000 est composé de cellules mal venues, mutées, tarées. Cette lie d'avortons constitue une cour des miracles d'individus inviables, mais qui est constamment renouvelée. Chacun d’entre nous fabrique chaque jour plusieurs millions de cellules mutantes.


         Le pourcentage naturel d'éclosion de cellules mal venues peut être accru par l'effet de divers facteurs comme les radiations, certains produits chimiques, les virus, les poisons cellulaires, des anomalies constitutionnelles des chromosomes, etc., mais un pourcentage minimal est inévitable pour des raisons génétiques.


         Dès que la masse de cellules mutantes atteint le seuil d'irréversibilité, le point de non-retour, le cancer évolue inexorablement, que les conditions qui lui ont été favorables au début subsistent ou non.


         La masse de non-retour est atteinte en moyenne en 5 ans pour l'ensemble des cancers. C'est un délai très long pendant lequel le cancer doit trouver des conditions qui se maintiennent favorables sous peine de disparition du micro-cancer.



    Prévention des cancers


         Le protocole de prévention des cancers du Dr Gernez consiste à créer une fois par an les conditions d'extinction des cellules mutées, dont les cellules cancéreuses.


         Ces conditions sont crées par :


         - La réduction de la ration calorique globale. En particulier, les glucides et les aliments riches en cholestérol et viande rouge.


         - La création d’une acidose métabolique. À partir d'un certain degré d'acidification, le cancer ne peut plus utiliser le sucre dont il est friand. Les rares cancers dont la guérison est spontanée (1 cas sur 90.000), guérissent toujours à la suite d'une fièvre intense et prolongée dont la traduction sur le milieu cellulaire de l'organisme est une acidose. L'utilisation, depuis 30 ans, de médicaments anti-infectieux majeurs (antibiotiques) et l’utilisation quasi systématique de produits contre la fièvre a éliminé ces épisodes acidosiques provoqués par le banal cortège des infections fébriles banales (angines abcès, etc.) qui sont combattues maintenant dès leur apparition. La disparition de ces périodes acidosiques spontanées participe à l'accroissement de la cancérisation, l'effet de ces phases acidosantes étant d'autant plus important que les cellules cancéreuses sont peu développées.

         La restriction alimentaire avec réduction des matières grasses, du sucre et du sel, implique un jeûne relatif qui induit dans l’organisme un état d’acidose. Son observance peut être difficile les premiers jours. Concrètement, il faut réduire d’un tiers la ration alimentaire habituelle pour obtenir en trente jours une diminution du poids corporel de l’ordre de 3%. Dans ce but, ne prendre qu’un repas complet et une collation chez les sédentaires.


         - La supplémentation en « substances vitales, » vitamines et oligo-éléments. Le magnésium [voir ici] présente toutefois une importance particulière parce qu'il est indispensable à toutes les cellules de l'organisme pour que leurs divisions s'effectuent normalement, alors que les cellules cancéreuses se satisfont, pour leurs divisions, de catalyseurs de substitution. Une insuffisance de magnésium constitue donc un facteur spécialement favorable à l'ensemble des cellules cancéreuses de l'organisme dans la sélection cellulaire,


         - L’oxygénation de l’organisme. S'il survient dans un tissu une cause quelconque qui le prive d'oxygène, les cellules capables de se nourrir par fermentation subsistent seules. De cette façon s'opère une sélection entre les cellules qui pourront non seulement continuer à vivre mais encore à se développer plus activement. Or ces cellules qui peuvent se passer d'oxygène en lui substituant une fermentation, ce sont les cellules cancéreuses.


         La cure est complétée par une « chasse terminale » des micro-cancers, se pratique une fois par an et dure 40 jours. On lira la suite des instructions sur le site Prevention cancer.


         Cette cure est très sophistiquée car elle est destinée à éliminer à coup sûr une fois par an tous les micro-cancers qui apparaissent naturellement chez les gens qui mangent de façon traditionnelle. Les gens qui suivent les principes hygiénistes, comme ceux préconisée par Herbert Shelton ou Albert Mosséri, et ne font par jour qu’un seul repas composé uniquement de fruits, d’oléagineux, et de légumes, se portent très bien et ne risquent guère de chopper un cancer.


    Pétrus Lombard, 13 août 2010

     

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  • Manœuvre israélienne d’envergure à la frontière avec le Liban

    video liée : Previsions Webbot du 21 juin 2010

    Dans le cadre des préventions à une éventuelle guerre avec le Liban, les médias israéliens ont diffusé les faits d’une manœuvre militaire d’envergure simulant le transport des brigades israéliennes d’un front à un autre, durant la guerre.

    La télévision israélienne a qualifié cette manœuvre de sans précédant, étant donné que c’est la première fois que l’armée transfère des brigades du sud des territoires occupés vers les frontières nord avec le Liban.

    Pour le commandant du département du Transport des troupes, le général Youram Azoulai, il s’agit d’un grand transfert de chars, de blindés, d’artillerie et de soldats du sud vers le nord.

    Cette manœuvre a pris en considération les scénarios d’une prochaine guerre, au cours de laquelle le Hezbollah lancera des milliers de roquettes non seulement vers le front intérieur mais aussi sur les routes principales empruntées par l’armée.

    Raison pour laquelle, le général Youram Azoulai, a recommandé aux soldats d’élargir l’étendue de leur déploiement, pour réduire au maximum le taux des pertes dans leurs rangs.

    En revanche, plusieurs officiers ont émis des doutes sur la faisabilité d’un tel déplacement sous le feu des missiles de l’"ennemi".

    Pour le chef de la Brigade logistique, le général Nisem Peretz, "la menace grandissant de l’ennemi, notamment au niveau des missiles, entravera, sans doute, le mouvement de notre armée".

    Un autre chef d’une Brigade, le général Fayshben, a, lui aussi, émis des doutes sur "la possibilité de déplacer les réservistes vers le front nord, au moment même ou le front interne sera ciblé par les missiles ennemis".

    Entre-temps, le quotidien Yediot Ahranot, a rapporté que l’armée israélienne a intensifié les entrainements militaires dans les hauteurs du Golan afin d’habituer les soldats à agir dans des terrains similaires aux deux fronts syrien et libanais et notamment la vallée de Houjeir (sud-liban), où des dizaines de soldats israéliens avaient été tués ou blessés par les tirs du Hezbollah.

    Il est à noter que ces manœuvres interviennent quelques jours après l’agression israélienne, du 3 août, contre le Liban, durant laquelle l’armée libanaise a riposté aux violations de l’occupation, tuant un officier et blessant un autre.


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  • Alexandre Adler dans ses oeuvres (rediff)


    Analyse de propagande : Adler sur Operation Lune por fermetabush


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  • GB: vers la réouverture de l'enquête sur la mort de David Kelly

    Par Catherine Gouëset, publié le 13/08/2010 à 12:00

    Des experts médicaux britanniques demandent la réouverture de l'enquête sur la mort, en 2003, du spécialiste en armement non conventionnel mêlé aux accusations sur les mensonges ayant justifié la guerre en Irak. L'enquête officielle avait conclu à un suicide.

    L'ancien Premier ministre Tony Blair sera-t-il rattrapé par l'affaire David Kelly? Un groupe d'experts en médecine légale a demandé, ce vendredi 13 juillet, la réouverture de l'enquête sur la mort de David Kelly. Ce dernier, l'un des meilleurs experts britanniques en armement chimique et biologique s'est -officiellement- suicidé en 2003 après avoir été identifié comme la source d'un journaliste accusant le gouvernement de Tony Blair d'avoir exagéré la menace irakienne.  

    Des doutes sur le rapport qui justifie le déclenchement de la guerre

    En septembre 2002, à l'appui des accusations de l'administration Bush qui accuse l'Irak de posséder des armes de destruction massive (ADM), Tony Blair promet de fournir des preuves et ses services publient un rapport dont le sérieux sera par la suite mis en doute. Tony Blair obtient néanmoins l'appui d'une majorité des députés à la Chambre des communes pour déclencher la guerre, en mars 2003.  

    En mai 2003, un journaliste de la BBC, Andrew Gilligan, spécialiste des questions de défense, affirme que le contenu du dossier sur les armes de destruction massive publié avant le conflit a été "gonflé" et rendu "plus sexy" afin de justifier plus facilement la guerre. Le nom de David Kelly comme source d'Andrew Gilligan circule dans les médias. L'expert est convoqué devant la commission des Affaires étrangères. Deux jours plus tard, le 18 juillet 2003, son corps sans vie est retrouvé dans un champ proche d'Oxford.  

    L'enquête sur les circonstances de sa mort est confiée à un juge de la cour d'appel, lord Hutton (Lire l'enquête détaillée de l'Express sur cette affaire: le roman des armes de destruction massive).  

    Rendu public en janvier 2004, le rapport Hutton blanchit le gouvernement Blair et charge la BBC: David Kelly s'est suicidé "en s'ouvrant le poignet gauche" et sa mort a été "accélérée" par les tablettes de Coproxamol qu'il a absorbées. Le rapport estime probable que l'expert se soit considéré comme humilié publiquement pour avoir été identifié comme la source de Gilligan.  

    En revanche, le rapport conclue que Tony Blair et son équipe n'ont rien fait pour "muscler" le document sur les ADM. Cette accusation "très grave", lancée par le journaliste Andrew Gilligan, est, selon le rapport Hutton, "infondée", et la BBC est "fautive" de ne pas avoir mieux enquêté après les démentis du gouvernement. Andrew Gilligan démissionne de la BBC après la publication du rapport Hutton.  

    Le dossier médical interdit d'accès pendant 70 ans

    Aujourd'hui, huit médecins et experts en médecine légale demandent la réouverture de l'enquête. Ils considèrent en effet que la section de l'artère du poignet de David Kelly n'aurait pas suffi à menacer sa vie.  

    Le Guardian rapporte qu'une enquête judiciaire a été interrompue par le ministre de la justice de l'époque, Lord Falconer, avant la création de la commission Hutton, et n'a pas été relancée ensuite.  

    En janvier dernier, précise le quotidien, cinq médecins qui demandaient la réouverture de l'enquête, se sont vu répondre que Lord Hutton avait, en 2003, fait en sorte que le dossier médical et les photos soient fermés pour une durée de 70 ans. Interrogé, Lord Hutton aurait déclaré qu'il ne fallait pas aggraver la "détresse de la famille".  

    C'est le changement de gouvernement qui permet aux protagonistes d'espérer la réouverture de l'enquête. Le procureur général Dominic Grieve, a déclaré avant les élections, en avril, que les Conservateurs réfléchissaient à la réouverture de l'enquête sur la mort de David Kelly. 


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