• Zapping internet d'Octobre 2011 (par l'équipe LTS)


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  • note Webrunner : des procédés permettant de produire de l'énergie non polluante et infinie existent. Ils sont ignorés car ne "produisent"pas assez de fric pour les lobbies.

    Exemple ici extrait de l'INPI

     

    ELECTRO-AIMANT GENERATEUR D'ENERGIE  

      Données bibliographiques     Description     Revendications     Mosaïque     Document original     Situation juridique INPADOC  

    N° de brevet : FR2399757 (A2)
    Date de pub : 1979-03-02
    Inventeur(s) :  
    Demandeur(s) : BESSON JOEL [FR] +
    Classification :  
    - internationale: H02K53/00; H02K53/00; (IPC1-7): H02K53/00
    - européenne:  
    N° de demande : FR19770023869 19770803 
    N°(s) de priorité : FR19770023869 19770803
       
     
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    Abrégé pour FR 2399757  (A2)
    Traduire ce texte
    P Electro-aimant permettant de créer, par l'attraction de son noyau, plusieurs fois plus d'énergie mécanique qu'il est nécessaire d'en apporter sous forme d'énergie électrique pour son fonctionnement. /P P L'électro-aimant est constitué par une seule bobine électro-magnétique 7 comportant un noyau cylindrique en fer doux 2 préalablement aimanté et se terminant par un cône 3 qui s'engage lors de l'attraction dans la cavité correspondante de l'armature 4. /P  

    Données issues de la base de données — FR

     

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  • Mayotte en situation insurrectionnelle

     
    Depuis plusieurs jours, l’île de Mayotte que des politiciens irresponsables ont, par misérable calcul électoral, et sans avoir préalablement consulté le peuple français, transformé en département, vit un véritable climat insurrectionnel.
    Pour mémoire, ce Lampedusa d’outre-mer ne produit rien et l’immense majorité de sa population est au chômage ou vit des prestations généreusement versées par la France ; à 60% ses habitants ne parlent que le swahili ou le malgache, les musulmans polygames y sont majoritaires et sur 200 000 habitants, l’on compte au moins 60 000  immigrés clandestins. Quant à la maternité de Mamoudzou elle met au monde chaque année 7000 jeunes compatriotes, dont 80% nés de mères immigrées originaires de toute l’Afrique orientale et jusqu’à la cuvette du Congo[1].
     
    Pour donner une apparence de légalité à cette départementalisation, les politiciens irresponsables qui nous gouvernent ont organisé un simulacre de référendum concernant les seuls habitants de Mayotte, à l’exclusion des Français métropolitains qui, pourtant, vont de leurs deniers, assurer le suivi de l’opération... Cette seule population appelée à voter n’allant pas refuser les avantages sociaux promis par le nouveau statut de l’île, ce fut donc à 95% qu’elle plébiscita la départementalisation, synonyme pour elle de RSA et d’alignement sur les prestations de l’assistanat servies en Métropole.
    Cette manne tardant à être concrétisée, nos « chers » nouveaux compatriotes ont entrepris de détruire avec méthode les équipements ultra modernes payés par les Français hexagonaux. A la date de rédaction de ce texte, l’île est ainsi en situation quasi insurrectionnelle. Une fois de plus impuissant et dépassé par les évènements, le gouvernement français va, à quelques mois d’un scrutin dans lequel il joue sa survie, acheter la paix sociale en acceptant les exigences des Mahorais qui seront soldées par les impôts des autres Français.
    Face à ce véritable diktat qu’est la départementalisation de Mayotte, le plus incroyable est que, juridiquement, il n’existe plus aucun moyen de revenir en arrière, c'est-à-dire au statut antérieur qui permettait de maintenir cette île de l’océan indien dans l’ensemble français mais sans avoir à subir les conséquences dramatiques de cette surréaliste départementalisation. 
     
    Bernard Lugan
    09/10/2011

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  • "L’irréparable bonté !". Par Salim Bouterfas.

     
    Outre le fait que sieur l’historien Robert Faurisson nous avait habitué à son acharnement à défendre vaille que vaille son interprétation de l’Histoire, voici Paul-Eric Blanrue, lui aussi historien et coupable d’un opus courageux (Sarkozy, Israël et les Juifs. Ed. Oser dire 2009) dénonçant les liens incestueux qu’entreprend le lobby qui n’existe pas avec l’ingérence israélienne étrangère, qui en remet une couche, que dis-je : une grosse couche, récidive et mets les pieds dans le plat !
     
    En dépit des menaces et des éternelles packages victimaires réactualisés au grès de la politique intérieure de France-Israël par les usages et les nécessités politiques de l’entité sioniste, l’historien  Paul-Eric Blanrue a une fois de plus commis l’irréparable bonté : celle de laisser parler ce que la loi ne permet plus de dire : la pensée critique.
     
     
     
     
     
    Il aurait pu s’atteler à relayer les dires de l’historien Robert Faurisson et de bien d’autres personnages pestiférés au regard du système de manière plus feutrée et moins audible, mais il présente un documentaire où ce dernier raconte patiemment et méthodiquement les raisons qu’il a de ne pas croire à la version autorisée, notamment en ce qui concerne l’holocauste des juifs d’Europe durant la deuxième guerre mondiale.
     
    Le fait est que contrairement aux professionnels de la rhétorique libertaire, il ne défend pas seulement la liberté d’expression, il en fait usage. Avec courage, donc, puisque s’exposant au racket à une condamnation pécuniaire, et peut être même à de la prison ferme (comme le fut Vincent Reynouard libéré il y a quelques mois en avril 2011).

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  • Egypte : du « printemps arabe » à l’hiver chrétien.

     

    source Bernard Lugan

     
    Pour les Coptes, le « printemps arabe » s’est vite transformé en un « hiver chrétien », à telle enseigne qu’il est possible de se demander s’ils pourront survivre dans leur propre pays.
    Les 6 à 10% d’Egyptiens coptes sont les ultimes survivants de l’ancienne chrétienté égyptienne qui rassemblait quasiment 100% de la population avant la conquête arabo-musulmane du VII° siècle. Aujourd’hui, en dépit des discours lénifiants de certains responsables politiques et religieux, ils subissent un véritable apartheid. Ils sont en effet considérés comme des étrangers, la fonction publique leur est de plus en plus fermée et il leur est de plus en plus difficile de faire de la politique, ou du moins de briguer avec une quelconque chance de succès des mandats électifs.
    L’actuelle vague de violences anti Copte a commencé à Alexandrie, dans la nuit du Nouvel An à l’église des Saints, quand une bombe explosa en plein office, faisant 21 morts et 80 blessés.
    Depuis la chute du président Moubarak, la violence anti chrétienne a pris la forme de véritables pogroms, les Coptes subissant des exactions quotidiennes et plusieurs de leurs églises ayant été attaquées ou incendiées.
     
    Ce qui s’est passé le dimanche 9 octobre au Caire marque cependant un tournant dans la persécution que subit cette communauté. Ce fut en effet l’armée, pourtant théoriquement gardienne de l’ordre et chargée de les protéger qui a froidement massacré les manifestants coptes protestant contre l’incendie d’une de leurs églises. Lançant dans une foule pacifique ses véhicules blindés à pleine vitesse, elle broya 24 personnes et en mutila 200 autres. Face à ce massacre d’Etat les médias officiels ont menti, faisant croire aux Egyptiens que les Coptes avaient attaqué l’armée, laquelle s’était donc trouvée en situation de légitime défense.
     
    Pourquoi de tels mensonges, pourquoi de tels évènements ? La réponse est hélas claire : le total échec du prétendu « printemps arabe » étant désormais une évidence, les dirigeants officiels ou officieux de l’Egypte sont dans une impasse politique, économique et sociale cependant que les islamistes sont en embuscade. Ils cherchent donc un bouc émissaire afin de tenter de lui faire porter la responsabilité de la situation. Les Coptes vont donc jouer ce rôle...
     
    La tragique situation de cette communauté semble moins émouvoir le président de la république française que les islamistes de Benghazi au bénéfice desquels il a fait intervenir l’armée française… 
     
    Bernard Lugan
    11/10/11

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  • Multipolarité 1 — OTAN 0

    source : http://www.realpolitik.tv/2011/10/multipolarite-1-%e2%80%94-otan-0/

    L’échec de la résolution occidentale contre la Syrie porte un nouveau coup sévère a l’imperium américain. Contrairement à la Serbie en 1999 et à l’Irak en 2003, l’administration américaine ne peut passer outre le droit international. La colère impuissante de Susan Rice témoigne du délabrement de la position de l’ex-puissance mondiale sur la scène internationale. Le discours moralisateur, tenu par la diplomatie américaine ces vingt dernières années, n’émeut plus que la presse occidentale. Les États-Unis de Barack Obama ne sont plus ceux de Bill Clinton, ou la planification et l’exécution d’une épuration ethnique, comme celle des Serbes de Krajina, pouvaient se dérouler sans éveiller la moindre opposition internationale sérieuse.

    Les États-Unis récoltent aujourd’hui les fruits de 20 ans d’une politique étrangère cynique et contre-productive. La servilité de la presse occidentale a perdu de son intérêt, tant les populations européennes ne lui font plus confiance. Certes, les régimes islamistes et islamo-mafieux mis en place en Bosnie et au Kosovo, le soutien aux terroristes dans le Caucase et désormais aux Frères musulmans dans les pays arabes, n’ont pas ému les opinions publiques occidentales. Cependant, pour la Chine et la Russie, l’ « Islamérique » est une menace parfaitement prise en compte, non seulement en politique étrangère mais également en politique intérieure.

    La Russie, au bénéfice de ces crises arabes, a fait passer un message clair. Elle soutiendra toujours ses alliés loyaux. La Syrie peut se féliciter aujourd’hui de n’avoir pas eu de comportement ambigu avec son puissant allié. En 2010, l’Iran avait fait les frais de son rapprochement avec la Turquie et la Russie avait laissé agir alors le Conseil de Sécurité de l’ONU contre Téhéran. En ce qui concerne Kadhafi, ses atermoiements avec l’Occident en avaient fait un partenaire douteux aux yeux de Moscou. Ce dernier a signé sa chute, le jour ou il a souhaité devenir l’allié des Occidentaux, comme tous ces « visionnaires » que furent le shah d’Iran, le général Noriega, Slobodan Milosevic, Saddam Hussein, Laurent Gbagbo…

    Les futurs potentats mis en place dans les pays nouvellement conquis par l’OTAN feraient mieux de se rapprocher de la Russie, car comme Moubarak ou Ben Ali, ils sont remplaçables, jugeables et condamnables.

    Xavier Moreau

     

     

     


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  •  

    A PROPOS DU FILM


    Vous êtes-vous déjà demandé où l’Amérique obtient la plupart de son pétrole ? Si vous pensiez qu’il venait d’Arabie saoudite ou d’Irak, vous avez tort. Le plus important fournisseur de l’Amérique est rapidement devenu le Canada avec ses sables bitumineux. Situé sous l’Alberta et ses  forêts boréales vierges, le processus d’extraction des sables bitumineux utilise jusqu’à 4 barils d’eau douce pour produire un seul baril de pétrole brut.

    Il va sans dire que l’eau - son appauvrissement, exploitation, privatisation et sa contamination - est devenue la question la plus importante à laquelle l’humanité doit
    faire face en ce siècle. Dans le même temps, la guerre pour le pétrole a lieu un peu partout sur la planète. Une véritable lutte s’établit entre l’eau et le pétrole.


    Les sables bitumineux de l’Alberta sont au coeur de cette tension. Comme la province se dirige vers une extraction à grande échelle, les impacts sociaux, écologiques et humains atteignent un stade critique. En seulement quelques années le continent deviendra un enchevêtrement de pipelines, qui s’étendra de l’Arctique jusqu’au sud des États-Unis, laissant des bassins d’eaux toxiques de la taille du lac Ontario, et des mines à ciel ouvert aussi grande que la Floride.

    H2Oil suit un voyage de découverte, de chagrin et de la politisation dans les histoires de ceux qui tentent de défendre l’eau en Alberta contre l’expansion des sables bitumineux. Alliances improbables sont construites et des vies sont changées car elles se heurtent le plus grand projet industriel dans l’histoire humaine.

    Finalement nous nous demandons quel est le plus important, le pétrole ou l’eau ? Et quelle sera notre réponse ?
    Avec espoir et courage H2Oil raconte l’histoire d’un des projets les plus significatifs, et destructeurs de notre temps.

    H2Oil sera publié comme un long métrage documentaire en 2009, avec un premier ministre au HotDocs le 8 mai 2009. Versions de la télévision de H2Oil sera diffusée sur Global TV et Télé-Québec plus tard dans l’année. Plus dates et les lieux de dépistage pour être annoncé.

     

    Betacam NUM / 01h15m00s / Couleur / 2009 / V.O. : anglaise / S-Titres : français

    Réalisation : Shannon Walsh
    Scénario : Shannon Walsh
    Image : Alan Kohl
    Montage : Étienne Gagnon, Sophie Leblond
    Son : Daniel Lagacé
    Musique : Rebecca Foon, Ian Ilavsky, Eric Craven
    Production : Sergeo Kirby et Sarah Spring - Loaded Pictures
    Distribution : Andrew Noble - Filmoption International


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  • La Slovaquie risque de mettre en péril le sauvetage de l'euro

    BRATISLAVA — La Slovaquie risque de bloquer mardi le renforcement du Fonds de secours financier des pays de la zone euro et d'aggraver encore la crise de la dette, qui selon la Banque centrale européenne risque désormais de déstabiliser l'économie mondiale.

    Les députés slovaques se sont réunis en milieu de journée pour une séance destinée à voter sur le renforcement du bras armé de l'Union monétaire pour faire face à la crise, avec un vote négatif qui se profile en raison des divisions au sein de la coalition au pouvoir.

    Le parti Liberté et Solidarité (SaS) a annoncé mardi qu'il refusait de participer à ce vote crucial. Sans le soutien de ce mouvement, le camp de la Premier ministre Iveta Radicova n'a pas la majorité pour faire ratifier les mesures destinées à muscler le Fonds, appelé FESF.

    Estimant que les Slovaques sont trop pauvres pour payer les erreurs des autres, le chef de ce parti Richard Sulik s'oppose au FESF, à moins que la Slovaquie ne soit dispensée de payer son écot, une éventualité balayée par Bruxelles.

    L'affaire tourne à la crise gouvernementale. Face à la gravité de la situation, le Premier ministre slovaque Iveta Radicova a mis sa démission dans la balance mardi. "J'ai annoncé à mes partenaires de coalition que je faisais du vote ce jour sur notre avenir en Europe une question de confiance pour notre gouvernement", a-t-elle déclaré devant la presse.

    Inquiète, la Commission européenne a mis de son côté la pression, en disant "espérer fortement" un vote positif qui doit permettre de garantir "la stabilité de la zone euro". Si tel n'est pas le cas, l'Union monétaire ne sera pas pour autant démunie. Mais elle en reviendrait au FESF ancienne formule, doté d'une capacité de prêts inférieure et privé des nouveaux outils importants censés permettre d'endiguer une contagion de la crise à des pays comme l'Espagne et l'Italie.

    Le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, a lancé mardi une mise en garde. "Depuis trois semaines, les choses se sont détériorées, la crise est devenue systémique", a-t-il averti à Bruxelles , au lendemain de la liquidation annoncée de Dexia, première banque victime de la crise européenne de la dette.

    "Le temps nous est compté et il est important de prendre des décisions claires au regard de la gravité de la situation", a-t-il ajouté.

    Les dirigeants européens ont décidé le 21 juillet de doter le Fonds de secours de nouveaux pouvoirs en augmentant notamment sa capacité de prêts de 250 milliards d'euros à 440 milliards d'euros. Une enveloppe qui pourrait servir notamment à recapitaliser les banques européennes.

    Mais pour entrer en vigueur, ces mesures doivent être entérinées par les Parlements des 17 pays de la zone euro, qui s'étaient fixé jusqu'à mi-octobre.

    Non sans mal, seize pays dont l'Allemagne et la Finlande, très divisées sur le plan intérieur sur l'aide à apporter aux pays fragiles de la zone euro, ont approuvé ces modifications.

    Reste à présent la Slovaquie, qui avait déjà refusé de participer au premier plan d'aide à la Grèce décidé au printemps 2010.

    Entré dans la zone euro en 2009, le pays a longtemps traîné des pieds et même tenté de repousser le vote sur le FESF en décembre qui entraînera pour le pays une contribution à hauteur de 7,7 milliards d'euros.

    Une chose est sûre: les décisions prises le 21 juillet sont en partie obsolètes et les responsables européens donnent le sentiment depuis deux ans d'être systématiquement à la traîne des événements. Le ministre brésilien des Finances, Guido Mantega, a regretté mardi que l'Europe agisse "tardivement".

    D'une part le FESF va devoir probablement être encore musclé pour démultiplier sa force de frappe afin de rassurer les marchés sur sa capacité à faire face à une éventuelle propagation de la crise à d'autres pays de l'Union monétaire comme l'Italie et l'Espagne. Des discussions se tiennent à ce sujet au niveau des experts.

    D'autre part, le chef de file des ministres des Finances de la zone euro Jean-Claude Juncker a reconnu lundi soir que les pertes que vont subir les banques créancières de la Grèce seront probablement plus importantes que prévu.

    Mises à contribution exceptionnellement dans le cadre du second plan d'aide à la Grèce, décidé le 21 juillet, les banques s'étaient alors engagées à accepter à terme une dépréciation de 21% sur leur portefeuille d'obligations grecques, ceci afin de soulager Athènes, qui croule sous une dette proche de 350 milliards d'euros.

    Mais le chiffre de 21% paraît aujourd'hui dépassé. "Les discussions portent sur une décote de 50%" aujourd'hui, a indiqué une source gouvernementale européenne à l'AFP.

    Si ce seuil est atteint, la Grèce s'acheminerait vers un défaut de paiement comparable à celui de l'Argentine en 2001.

    Les créanciers du pays avaient dû au final accepter une décote de quelque 70% sur une dette quatre fois moins importante que celle d'Athènes.

    Copyright © 2011 AFP. Tous droits réservés.


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  • Jean-Claude Trichet parle de crise systémique et urgente

    mardi 11 octobre 2011 13h20
    [

    "Il faut que toutes les autorités agissent à l'unisson le plus rapidement, avec le plus grand dévouement pour préserver la stabilité financière", a-t-il lancé.

    Mis sur pied fin 2010, le CERS fait partie du système européen de surveillance financière (SESF), dont l'objectif est d'assurer la surveillance du système financier de l'Union.

    S'il ne dispose pas de pouvoirs réels, il peut toutefois prendre le parti de faire état publiquement de ses interrogations.

    RECAPITALISATION

    Sur le dossier des banques, Jean-Claude Trichet a réclamé des décisions claires sur la question de la recapitalisation, soulignant qu'il n'y avait plus de temps à perdre.

    La montée des inquiétudes dissuade de plus en plus les banques de se prêter les unes aux autres, comme en témoigne le recul des volumes des prêts interbancaires et le recours de plus en plus fréquent aux financements offerts par la BCE.

    Les dépôts au jour le jour des banques commerciales auprès de la Banque centrale européenne ont ainsi atteint 213 milliards d'euros la semaine dernière, un volume sans précédent depuis juillet 2010.

    Un vent d'espoir s'est levé dimanche soir après les annonces de Paris et Berlin, qui ont pris l'engagement de proposer au plus vite un plan de recapitalisation des banques. Mais l'absence de détails incite les investisseurs à rester prudents, d'autant que la Slovaquie n'a pas encore validé le renforcement du FESF.

    "Le secteur bancaire européen a besoin d'une recapitalisation", a jugé Jean-Claude Trichet. "Les décisions doivent être prises très rapidement."   Suite...


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  • Moscou est surprise par le refus des Etats-Unis de détruire les plantations de pavot en Afghanistan

    Moscou est surprise par le refus des Etats-Unis de détruire les plantations de pavot en Afghanistan, a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors du forum international"Objectifs du Millénaire pour le développement en Europe orientale et en Asie centrale".

    "Je voudrais attirer l'attention sur une question qui reste irrésolue depuis plusieurs années: la nécessité de lutter contre la drogue afghane à toutes les étapes de sa fabrication, en commençant par la destruction des plantations. Il nous est difficile de comprendre pourquoi nos partenaires américains ne veulent pas que la Force internationale d'assistance à la sécurité en Afghanistan s'en charge", a déclaré le chef de la diplomatie russe.


    Selon lui, la Russie ne comprend pas pourquoi les Etats-Unis jugent nécessaire d'inclure la destruction des plantations de coca dans sa stratégie de lutte contre la drogue en Colombie et dans d'autres pays d'Amérique latine, mais mettent en doute l'efficacité de cette mesure en Afghanistan.

    L'Afghanistan est le premier producteur de drogues au monde, fournissant plus de 80% du volume mondial d'opiacés. Selon le Service russe pour le contrôle des stupéfiants, le pays produit près de 150 milliards de doses d'héroïne et 30 milliards de doses de haschisch par an.

    Selon le même Service, la drogue tue en Russie quelque 30.000-40.000 personnes. En outre, la Russie arrive en tête des pays où la consommation d'héroïne est la plus élevée, absorbant 21% de la production mondiale.

    Source du texte : RIA NOVOSTI


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