• UN HOMME : la critique de Freyr, du site Onirik.

     
     
    Par la nature de cet édito propre à amener la controverse, la rédaction dans son ensemble tient à indiquer que l’opinion de chacun n’est pas engagée, que ce soit dans le documentaire dont il est question ou l’analyse de l’auteur de cet article.
    Documentaire disponible gratuitement sur le web, il donne la parole à Robert Faurisson. Le titre fait référence, ou du moins écho, au livre de Primo Levi Si c’est un homme et aussi certainement à l’expression utilisée par Ponce Pilate au sujet de Jésus : "Voici l’homme" (Jean 19:5).
    Le titre en dit ainsi très long. Le commentaire de Paul-Eric Blanrue aussi : "Pour les médias, Faurisson est le diable. Pour les sionistes, c’est un salaud. Pour moi, c’est un homme. Et cet homme doit être écouté."

    L’objectif du documentaire au final ne semble pas tant d’exposer les thèses révisionnistes mais plutôt de montrer Faurisson différemment de ce que les médias traditionnels nous mon(s)trent.
    Ne vous attendez donc pas à des révélations extraordinaires sur le sujet mais plutôt à une biographie de Faurisson, son approche (technique d’interviews notamment), le tout agrémenté d’une synthèse des argumentations actuelles dans les milieux révisionnistes.
    Faurisson aborde donc son enfance, les procès, les attaques physiques qu’il a subies, le procès Zündel où il était consultant de la défense, etc.
    Techniquement, ce documentaire aurait été mieux servi par une meilleure réalisation. Le son n’est pas toujours de bonne qualité alors que de simples micros-cravates auraient pallié au problème. De même, la caméra a souvent des soucis de mise au point, ce qui nuit à la bonne communicabilité de l’ensemble. Cela a été réalisé avec peu de moyen et cela se ressent, ce qui est dommage.
    Contrairement à ce qui a été dit ici et là, le documentaire n’est pas complaisant dans la mesure où l’auteur, Paul-Eric Blanrue, s’efface complètement.
    Faurisson - expert en communication et technique argumentative - n’a d’ailleurs pas besoin qu’on lui donne le change, il déroule son sujet. Comme un cheval de diligence connaissant parfaitement sa route, Faurisson trotte, fait halte, galope selon un chemin bien établi et bien connu de lui.
    Concernant le contenu à moins d’être spécialiste de l’Histoire, difficile de juger du fond. L’idée, d’ailleurs, consiste plus à donner des contre-arguments aux défenseurs de la thèse officielle. Le principe étant que celui qui affirme quelque chose doit en apporter la preuve, l’approche de Faurisson consiste à analyser chaque argument.
    Là encore il s’agit d’un débat d’experts difficile d’accès pour les néophytes. Analyses littéraires, expertises physico-chimiques, comptabilité et gestion budgétaire, sémantique ; voici un aperçu de l’arsenal que l’historien doit manipuler, au sens premier du terme.
    Enfin, il nous faut aborder l’aspect légal d’un tel reportage. En effet, la loi Gayssot interdit, de manière synthétique, de nier les chambres à gaz homicide(s) [1]. Que ce documentaire tombe sous le coup de cette loi, c’est aux experts une fois de plus d’en décider. Ce qui est sûr c’est qu’Internet permettra à ce documentaire une diffusion loin de toutes censures et de toutes interdictions.
    Ce dernier point est primordial. Que l’on soit pour ou contre ces idées n’est peut-être pas si important que cela. L’important est plutôt que malgré toutes les tentatives de contrôle et d’asservissement de notre pensée, nous ayons encore des moyens de communications libres de toute entrave.
    La liberté de penser et de dire ce que l’on veut sont des libertés fondamentales inaliénables et ce malgré les dérives que cela peut engendrer.
    Il vaut mieux avoir peur d’une dérive du contrôle de la pensée que des dérives d’un non-contrôle. Penser différemment n’a jamais fait de mal à personne même si c’est parfois idiot : TF1 aussi à le droit de diffuser ses programmes. Le but du présent article n’étant d’ailleurs que de rappeler cela.
    Attachons nous à la liberté d’expression dont seul Internet permet encore une diffusion sans barrières ni frontières. Et il y a fort à parier que cela ne durera plus très longtemps.

    Freyr

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  • Le lobby qui n'existe pas

    Le Nobel de chimie à l’Israélien Daniel Shechtman

    LEMONDE.FR avec AFP | 05.10.11 | 12h08

     

    l'Israëlien Daniel Shechtman.

    l'Israëlien Daniel Shechtman.AFP/-

    Le prix Nobel de chimie a été attribué, mercredi 5 octobre, à l'Israélien Daniel Shechtman pour sa découverte des quasi-cristaux, des configurations atomiques que l'on pensait jusqu'alors impossibles, a annoncé le comité Nobel dans un communiqué.


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  • Pékin et Moscou torpillent une résolution sur la Syrie à l'ONU

    La Chine et la Russie ont opposé mardi leur veto au projet des pays occidentaux au Conseil de sécurité condamnant la répression et menaçant le régime syrien de «mesures ciblées». Washington et Paris sont «furieux».

    Le blocage se poursuit à l'ONU sur la question syrienne. La Chine et la Russie ont opposé mardi leur veto de membres permanents au projet de résolution du Conseil de sécurité de l'ONU condamnant la violence en Syrie et menaçant le régime de Bachar el-Assad de «mesures ciblées» si la répression ne prend pas fin dans les 30 jours. Le revers diplomatique, notamment pour la France, qui avait co-rédigé le texte, est d'autant plus grand que les autres puissances émergentes siégeant au Conseil, l'Afrique du Sud, le Brésil, l'Inde et le Liban, se sont abstenues. Ce double véto est une première depuis 2008. Quelques heures avant le vote, Moscou avait fait savoir qu'elle trouvait le projet «inacceptable». Cerefus fait craindre une impasse prolongée à l'ONU non seulement sur la question syrienne mais aussi sur d'autres mouvements liés au «printemps Arabe». Et ce malgré les concessions des Occidentaux, qui avaient remplacé dans le projet du texte le mot «sanctions» par le terme moins conflictuel de «mesures ciblées».

    Le «non» sino-russe a provoqué la colère de Washington et Paris. «Les Etats-Unis sont furieux du fait que ce Conseil ait complètement échoué» dans sa tentative de traiter «un défi moral urgent et une menace croissante à la paix régionale», a déploré l'ambassadrice américaine Susan Rice. Moscou et Pékin, a-t-elle dit, «préfèreraient vendre des armes au régime syrien». «Les Etats-Unis pensent qu'il est grand temps que ce Conseil assume ses responsabilités et impose un embargo sur les armes contre le régime». L'ambassadeur de France à l'ONU, Gérard Araud, a souligné que tous les efforts avaient été déployés pour trouver un compromis depuis le début des discussions au Conseil de sécurité en mai dernier, en vain. Le veto russe et chinois «est une expression de mépris pour les aspirations légitimes des Syriens et un rejet de ce formidable mouvement en faveur de la liberté et de la démocratie qu'est le Printemps arabe», a regretté le Français.

    Moscou veut faire pression aussi bien sur l'opposition que sur le régime

    Des critiques balayées par Moscou et Pékin. L'ambassadeur russe Vitali Tchourkine a estimé que deux philosophies s'étaient affrontées lors des discussions au Conseil de sécurité, dont celle de la «confrontation» voulue par les pays occidentaux. La Russie, allié de Damas qui bloque depuis des semaines tout projet de sanctions, souhaite que soit mis «sur le même plan dans la résolution le régime et les rebelles». Son homologue chinois Li Baodong a quant à lui insisté sur le fait que la communauté internationale devait «respecter totalement la souveraineté territoriale de la Syrie».

    Selon l'ONU, la répression en Syrie a fait plus de 2.700 morts depuis la mi-mars. Onze nouvelles victimes ont été recensées mardi, dont six à Homs et deux dans le nord-ouest du pays, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

    (Avec agences)


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  • La naïveté européenne cache une régression menaçante dans le monde arabe

    Hervé Juvin revient sur les révolutions arabes vues d’Europe. Enregistré le 21 septembre 2011. Une vidéo © realpolitik.tv


    La naïveté européenne cache une régression... por realpolitiktv


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  • Moody's baisse la note de l'Italie de trois crans

    mercredi 5 octobre 2011 07h38
     

    NEW YORK/ROME (Reuters) - Moody's Investors Service a abaissé mardi de trois crans la note de l'Italie, expliquant voir une hausse des risques de financement pour les pays de la zone euro ayant un niveau élevé d'endettement.

    Moody's a ramené la note des obligations d'Etat italiennes de Aa2 à A2, soit une note plus basse que celle de l'Estonie. L'agence américaine maintient une perspective négative sur cette note, ce qui veut dire que de nouvelles baisses seront possible d'ici quelques années.

    Le 19 septembre, Standard and Poor's avait ramené sa note sur l'Italie à A/A-1 alors qu'elle était auparavant à A+/A-1+.

    L'Italie se retrouve désormais fermement au centre de la crise de dette de la zone euro.

    "La perspective négative reflète les risques économiques et financiers en Italie et dans la zone euro", indique Moody's dans un communiqué.

    "L'environnement incertain des marchés et le risque d'une nouvelle détérioration du moral des investisseurs pourrait restreindre l'accès du pays aux marchés de la dette publique."

    Les marchés financiers s'inquiètent de plus en plus d'une croissance faible, d'un déficit représentant 120% du produit intérieur brut et d'un gouvernement de coalition en difficulté.

    La décision de Moody's n'est pas véritablement une surprise. L'agence avait indiqué le 17 septembre qu'elle terminerait son examen des finances italiennes en vue d'un déclassement possible d'ici un mois.

    Silvio Berlusconi a estimé que cette décision était "attendue".


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  • Les exigences de la troïka se heurtent à la rue en Grèce

    LEMONDE.FR avec AFP | 05.10.11 | 06h43   •  Mis à jour le 05.10.11 | 07h56

     

    Le ministère du travail a été occupé, mardi à Athènes, par des manifestants communistes qui refusent les nouveaux efforts demandés par les bailleurs de fonds du pays.

    Le ministère du travail a été occupé, mardi à Athènes, par des manifestants communistes qui refusent les nouveaux efforts demandés par les bailleurs de fonds du pays.AFP/LOUISA GOULIAMAKI

    Les syndicats grecs ne désarment pas. Ce mercredi 5 octobre, une grève de vingt-quatre heures, lancée par l'Adedy, le principal syndicat du secteur public, devrait paralyser le pays. Les fonctionnaires et les employés des entreprises publiques protestent contre la mise en chômage technique de trente mille salariés d'ici à la fin de l'année. Les trafics aérien et ferroviaire devraient être perturbés, les écoles, fermées et les hôpitaux, fonctionner en service réduit.

     

    Le ministère du travail grec a été occupé mardi par des manifestants communistes qui refusent les nouveaux efforts demandés par les bailleurs de fonds du pays, notamment un abaissement du salaire minimum. Les actions de protestation contre l'austérité, auxquelles se mêlent étudiants et lycéens opposés à la réforme de l'enseignement supérieur, se multiplient.

    Ailleurs dans Athènes, des blocages se poursuivent devant les ministères, où les inspecteurs de la troïka sont censés avoir des rendez-vous mercredi pour terminer leur audit des comptes publics.

    BESOIN VITAL

     

    La Bourse d'Athènes a connu mardi sa plus importante chute depuis dix-huit ans.

    La Bourse d'Athènes a connu mardi sa plus importante chute depuis dix-huit ans.AP/Thanassis Stavrakis


    La veille, à Luxembourg, la zone euro avait reporté du 13 octobre à la mi-novembre toute décision sur le versement d'une prochaine tranche du prêt international dont Athènes a un besoin vital pour éviter la faillite, en réclamant des mesures nouvelles d'économies pour 2013 et 2014, et des privatisations supplémentaires.

    Ce report a fait plonger mardi les places boursières mondiales. L'indice de la Bourse d'Athènes a chuté de 6,28 %, pour s'établir à 730,33 points, son plus bas niveau depuis dix-huit ans. Dans ce contexte négatif qui ravive les craintes sur un défaut de la Grèce, le premier ministre, Georges Papandréou, s'est entretenu mardi soir au téléphone avec la chancelière allemande, Angela Merkel, des dernières évolutions sur la Grèce et l'Europe.

    De son côté, le ministre des finances grec, Evangélos Vénizélos, a répondu aux médias, après son retour de Luxembourg, que de nouvelles économies ne seraient "pas nécessaires", "à condition que les mesures déjà annoncées soient appliquées". Il a relativisé le report de la décision sur le versement du prêt, jugeant que la Grèce pouvait tenir jusqu'à la mi-novembre. Et il a assuré que les efforts déjà effectués par les Grecs ont été jugés "impressionnants et ont changé le climat".

    Selon la presse nationale, les mesures nouvelles demandées par les créanciers (UE, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international) portent sur un point crucial : l'accélération de la réforme du marché du travail. Il s'agit d'abaisser les coûts du travail et relancer l'activité en Grèce, où l'économie est totalement asphyxiée par trois ans de récession, dont presque deux d'extrême austérité.

    ABAISSEMENT DU SALAIRE MINIMUM

    La troïka aurait demandé un abaissement du salaire minimum (750 euros) et une révision des conventions collectives qui régissent les salaires dans les entreprises privées. Cette mesure touchant le privé interviendrait après l'abaissement général du traitement des fonctionnaires et des retraites appliqué en 2010 à la demande des créanciers, et le relèvement de nombreuses taxes et de nombreux impôts.

    Le grand quotidien grec Ta Néa évoquait la "torture chinoise de la goutte d'eau" utilisée par la troïka sur la Grèce avant de débloquer les huit milliards d'euros initialement promis en août, en application de l'échéancier du prêt international de 110 milliards sur trois ans accordé en mai 2010, dont la Grèce a reçu 65 milliards à ce jour.

    Le 19 octobre, l'Adedy et la centrale du privé, la GSEE, prévoient une grève générale de vingt-quatre heures.


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  • Les Anglo-américains attaquent l’euro pour le détruire

    « Les banquiers zombies de Wall Street ambitionnent une dislocation chaotique de l’euro avec l’intention de racheter le vieux continent à des prix bradés. Les chacals de la City de Londres veulent détruire l’euro pour redonner un nouveau souffle à la livre moribonde, et pour masquer ainsi le fait que l’Angleterre est plus en faillite que la vaste majorité des membres de l’Union Européenne. ».

    Ainsi s’exprime le journaliste américain Webster Tarpley, sur son site Tarpley.net notamment connu pour ses déclarations controversées sur les attentats du 9/11, qu’il estime être un complot des services secrets américains. De même, l’élection de Barack Obama ne serait qu’une machination pour satisfaire les Américains réclamant plus d’égalité sociale.

    Pour lui, les hedge funds et les banquiers de Wall Street et de la City redoublent d’effort pour mettre l’euro à terre, pour détourner l’attention du monde de la crise aux Etats Unis et au Royaume Uni. Les agences de notations corrompues seraient les complices de leurs agissements.

    « Les Anglo-américains agissent aussi pour détruire l’euro en tant que concurrent possible du dollar dans le rôle de monnaie de réserve mondiale pour le cours du pétrole, les activités de prêt des institutions internationales, et d’autres fonctions. Le dollar est désormais tellement faible et instable qu’il peut seulement survivre au travers de la chute des autres devises.

    Du fait de l’arrogance et de la stupidité des Eurocrates qui dirigent Bruxelles aujourd’hui, et en particulier du fait de l’incompétence monétariste de Trichet et des autres officiels de la Banque Centrale Européenne (BCE), la rancœur contre l’Euro et la BCE monte dans un certain nombre de pays européens.

    Mais ceux qui se laissent emporter par l’hystérie anti-euro doivent se poser la question de ce qui les motive à avoir choisi d’avancer la destruction de l’euro, alors que ce projet coïncide tellement avec les intérêts des financiers anglo-américains, qui son clairement les plus grands ennemis de l’Europe, et de l’humanité civilisée en général.

    Beaucoup parmi les agitateurs anti-euro n’ont pas réfléchi concrètement sur ce vers quoi leurs campagnes actuelles pourraient les mener. Il est certainement imprudent et irresponsable de proposer la destruction de l’euro sans avoir d’alternative concrète et viable à l’esprit », poursuit Tarpley.

    Sur son site, il propose toute une liste de solutions pour la zone euro, et parmi elles, l’interdiction du recours aux CDS (Credit Default swaps) et aux CDO (collateralized debt obligations, ou « obligations adossées à des actifs), en d’autres termes, des produits très spéculatifs, et l’application de la taxe « Tobin » de 1% sur les opérations des marchés financiers.


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  • Quand Le Parlement Européen Se Transforme En Synagogue

    Sous le patronage de la Pologne le parlement européen s’est transformé en synagogue à l’occasion des fêtes juives du Nouvel An.

    Alors qu’en France Elisabeth Badinter se lamente du fait que seule Marine Le Pen du FN défende la laïcité, au parlement européen l’actuel président du parlement européen le polonais Jerzy Buzek a célébré le début des fêtes juives du Nouvel An en soufflant du Shofar (corne).

    Une réception pour le vernissage de l’exposition « Polin : Thousand Years of Jews in Poland” organisée par le Polish Museum of the History of Polish Jews (MHPJ) sous le patronage de la présidence polonaise du Conseil de l’Europe c’est tenue au parlement européen.

    Cette réception était en fait organisée par l’Union Juive Européenne (EJU) le Centre Communautaire Juif Européen ( EJCC) et lees Affaires Publiques Juives Européennes (EJPA l’équivalent européen du lobby sioniste américain AIPAC). S’est joint à tout ce beau monde le philanthrope et homme d’affaires ukrainien juif mafieux, Vadim Rabinovitch, vice président de l’EJU.

    L’actuel président du Conseil de l’Europe, le polonais Jerzy Buzek s’est vu remettre à cette occasion un Shofar en or. Il s’est empressé de se soumettre à la tradition en soufflant dans le Shofar devant un parterre d’invités de 600 personnes dont 50 membres du parlement européen et des diplomates de 16 pays.

    Lors d’un discours de remerciement le co-directeur de l’EJCC a remercié le président pour avoir accepté qu’un tel évènement religieux/culturel puisse se dérouler au parlement européen précisant :

    « ... Ce moment nous donne beaucoup d’espoir. Nous sommes fiers d’appartenir à une Europe où toutes les cultures ont une plateforme respectable non seulement pour exercer leurs droits mais aussi pour partager leurs fêtes joyeuses avec la famille européenne étendue ».

    Depuis quand le parlement européen accueille- t-il et finance t-il des réceptions à caractère religieux sous couvert de culture ?

    Bref le parlement européen est-il devenu la 1ére synagogue européenne ?

    Ou bien faut-il désormais - car si on le fait pour les Juifs alors pourquoi pas pour les membres d’autres religions, catholique, protestante, anglicane, luthérienne, musulmane etc…- qu’il se transforme régulièrement - aux frais des contribuables européens dont un grand nombre sombrent dans la misère - en synagogue, église, temple, mosquée etc… et devienne ainsi pour tous ces croyants une »plateforme respectable non seulement pour exercer leurs droits mais aussi partager leurs fêtes joyeuses avec la famille européenne élargie ? »

    L’EJU a également profité de cet évènement pour faire la publicité de la nouvelle chaîne télé internationale satellitaire exclusivement juive -organe de propagande mondial des sionistes- JN1 de même qu’ont été annoncées les élections c e mois ci des membres du tout nouveau parlement européen juif seul « institution juive démocratiquement élue en Europe ».

    Faut-il en conclure que les autres institutions telles le CRIF le Consistoire de France et celles citées précédemment - EJU, EJCC, EJPA- ne le sont pas ?


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  • Le premier devoir d'un homme n'est-il pas d'être un homme ?

    Robert Faurisson

     

    Pour les médias, Faurisson est le diable.
    Pour les sionistes, c'est un salaud.
    Pour moi, c'est un homme.
    Et cet homme doit être écouté.

    Paul-Éric Blanrue

     

    http://www.unhommefaurisson.com/


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  • L’inside Job du 11/9/2001 : Questions Réponses avec un Physicien

    Questions & Réponses avec Frédéric Henry-Couannier, un physicien conspirationniste :

    Pourquoi ne publiez vous pas vos analyses sur le 11/9 dans des revues à comité de lecture ?

    La théorie de l'Inside Job du 11/9, coup monté de l'intérieur, a un corolaire évident : les criminels sont encore au pouvoir et ont les moyens de contrôler tous les organes gouvernementaux mais aussi tout ce qui a une quelconque importance dans le domaine de la diffusion de l'information. Ce contrôle s'effectue en particulier par une propagande permanente visant à assimiler le conspirationnisme à un délire paranoïaque et révisionniste idéologiquement nauséabond et à créer un tabou dans la conscience collective. Les grands médias mais aussi les revues scientifiques sont soumis à cette pression et il est illusoire d'espérer publier quoi que ce soit de plus ou moins conspirationniste dans une revue à comité de lecture ayant un certain prestige.

    Internet ne pouvant être verrouillé de la sorte, le deuxième non moins évident corollaire est que des professionnels de la désinformation ont pour mission de complètement investir et saturer le terrain du conspirationnisme sur la toile afin d'y noyer les arguments pertinents, susceptibles de convaincre des experts, sous un flot d'idioties à peine croyables et considérations ésotériques amalgamées : théories holographiques d'absence d'avions, armes à champs scalaires, complot des Illuminati ... etc...

    La liste des preuves d'une destruction planifiée non conventionnelle des tours jumelles que je vais dresser résulte donc d'un tri de longue haleine entre le vrai, le faux et l'idiot et surtout d'analyses indépendantes que j'ai effectuées ces dernières années.

    Les rapports officiels soutiennent la version officielle en ce qu'ils prétendent établir que les dégâts occasionnés par les impacts d'avions et les incendies qui suivirent aux étages où les protections au feu de l'acier ont été arrachées rendirent l'initiation de l'effondrement inévitable.

    La référence incontournable en la matière est le rapport du NIST de plusieurs milliers de pages qui détaille les résultats d'une étude de plus d'une centaine d'ingénieurs extrêmement compétents, ayant bénéficié d'un budget de 16 M$, 3 années d'étude et des moyens de simulation informatique très au delà de ceux de toutes les autres études indépendantes réunies. Ces ingénieurs ont eu pour mission de faire toute la lumière sur les effondrements des tours du WTC. Par conséquent il est assez raisonnable de considérer que si les effondrements étaient inévitables, le rapport du NIST devait l'établir sans ambiguïté, sinon il y a un problème.

    La première surprise est que le scénario d'effondrement exclusif soutenu par le NIST, est radicalement différent de celui soutenu précédemment par une autre étude officielle, celle de la FEMA (600k$ de budget) mais diffère aussi de ceux de toutes les autres études d'ingénieurs indépendants qui pensaient que l'affaiblissement des colonnes d'acier par le feu suffirait à produire les conditions inévitables de l'effondrement. Pour rendre l'effondrement possible les ingénieurs du NIST ont dû en effet imaginer un mécanisme inédit : les poutres soutenant les planchers ployant à haute température ont dû tirer sur les colonnes externes jusqu'à les tordre vers l'intérieur, courbure d'ailleurs visible sur les faces opposées aux impacts dans les deux tours.

    Malheureusement les ingénieurs reconnaissent que dans leurs simulations détaillées des planchers le tirage attendu, crucial pour expliquer l'initiation de l'effondrement, ne s'est pas produit, car les attaches des poutres aux colonnes ont lâché d'abord. Ils donnent alors une longue série d'explications pour nous convaincre que ce résultat négatif n'est que la conséquence de l'imperfection de leurs simulations et confiants dans le fait que tout fonctionnerait comme prévu avec des simulations plus complètes, ils introduisent à la main les forces de tirage pour produire la destruction des colonnes externes. Ils analysent ensuite le report des charges qui en résulte et se contentent de dire qu'au bout d'un certain nombre de colonnes externes ainsi tordues vers l'intérieur une instabilité s'est probablement propagée entrainant la ruine complète des tours.

    Force est de constater que toute la démonstration du NIST ne reposant que sur un pari, celle-ci n'est pas probante et que même si elle l'était, il n'est pas permis à des chercheurs indépendants de la vérifier, les codes de simulations du NIST n'ayant pas été publiés. Nous ne pouvons bien évidemment pas faire confiance sur parole à des équipes dépendant directement de l'exécutif US et dont nombre de leaders travaillent pour l'armée. Par contre, je remarque qu'il aurait été très simple avec des incendiaires ou autres technologies permettant de porter l'acier à des températures bien supérieures à celles accessibles par les incendies de bureau et de Kérozène, d'obtenir l'initiation certaine de l'effondrement d'apparence naturelle, surtout si les soudures et boulons fixant les poutres aux colonnes avaient été préalablement sabotées et/ou si des câbles actionnés à distance par des vérins ont tiré sur les colonnes externes pour les détruire.

    Pour en avoir le cœur net j'ai décidé d'analyser toutes les caractéristiques des effondrements qui suivirent l'initiation, ce que le NIST n'a pas fait, afin de tester si elles étaient compatibles avec la thèse d'un effondrement sous le seul effet de la gravité.

    Le sont elles ?

    Il n'y a pas d'anomalies flagrantes à relever en ce qui concerne les trois premières secondes d'effondrement ni même les temps d'effondrement global. Par contre, durant les quelques secondes transitoires où l'effondrement se situe à mi-parcours on établit facilement que le front de destruction le plus en avance progresse plus vite que la chute libre dans le cas de la tour Sud : le profil des expulsions de débris est orienté vers le haut, autrement dit les débris en chute libre sont en retard sur le front de destruction. Dans le cas de la tour Nord le front de destruction est à peine en retard sur les débris en chute libre, ce qui est aussi une violation manifeste des lois de la physique dans ce cas car l'effondrement théorique le plus rapide que l'on puisse imaginer, prenant en compte la conservation de l'impulsion, devrait être nettement plus lent que ce que l'on observe. En fait, si le front de destruction local le plus en avance observé était bien dû à l'effondrement de portions de planchers les uns sur les autres, ce qui est déjà difficilement concevable, des résistances considérables ont dû se manifester pour déchirer tous ces planchers en béton armé. Or j'ai pu montrer au contraire que ce front de destruction se propage à la vitesse d'une pile d'étages s'effondrant à résistances nulles de la structure inférieure.

    Ce que nous voyons n'est donc en fait pas un effondrement mais une succession d'éjections violentes de tonnes de béton pulvérisé et d'acier par une processus de désintégration planifiée des étages successifs de haut en bas. Signalons qu'un effet de piston (une idée ridicule de certains défenseurs de la VO) ne chasserait bien évidemment pas des débris solides et poussières par le bas, de nombreux étages en avance sur le front de destruction !

    J'ai pu établir qu'un débris de dizaines de tonnes a été projeté à 45 degrés vers le haut à une vitesse incroyable de 90 km/h au tout début de l'effondrement, donc à un stade où la base d'un effondrement en pile d'étages n'aurait de toutes façons pas atteint une vitesse de plus de 30km/h. Un immense pan de colonnes qui représentait une dizaine d'étages et un tiers de façade (100 tonnes : la masse d'un Boeing 757) a été projeté à 90km/h à une distance de deux longueurs de terrain de foot du pied de la tour Nord. Plusieurs observations et analyses aboutissent à la même conclusion : il n'y a pas eu de pile d'étages atteignant le sol, l'essentiel de la masse de béton ayant été pulvérisée en plein ciel et les colonnes d'acier projetées avec une violence incroyable dans toutes les directions comme les vidéos déjà le suggéraient fortement.

    Quelles sont ces observations ?

    - L'extrême dispersion des débris en comparaison de ceux d'une démolition contrôlée comme celle de l'immeuble Hudson par exemple. La pile de débris au WTC ne dépassait pas 3% de la hauteur initiale des tours au dessus du sol.

    - Des survivants qui auraient dû être écrasés sous une pile de 90 étages mais se sont retrouvés au lieu de cela au sommet d'un champ de débris, les étages ou ils descendaient les escaliers en courant ayant été apparemment épargnés par la séquence de désintégrations qui avait transformé en poussière tous les planchers au dessus d'eux.

    - Un signal sismique enregistré 1000 fois moins puissant que celui qu'aurait inévitablement produit une pile d'étages percutant les fondations à 180km/h, mais par contre correspondant bien à la chute d'un grand nombre de petits débris d'acier, étalée dans le temps.

    - Une disparition de la quasi totalité (en tout cas beaucoup plus de la moitié) du béton dans le champ de ruines mais par contre, de 5 à près de 20 cm d'épaisseur de fine poussière étalée sur tout Manhattan. Sur cette base, même des estimations de défenseurs de la VO aboutissent à plus de 30% du béton des dalles de béton armé des étages, pulvérisé en poussières d'un dixième de millimètre, alors que la théorie du fractionnement par les chocs entre dalles n'en prédisait qu'un pourcentage dérisoire comme dans les démolitions contrôlées usuelles qui ne pulvérisent pas l'essentiel du béton, loin s'en faut.

    Vous soutenez donc qu'il y a eu une démolition contrôlée par des explosifs, c'est cela ?

    Absolument pas ! Si l'on exclue les armes nucléaires (pas de radioactivité à GZ ni de taux de tritium compatibles avec l'usage d'armes à fusion), les explosions les plus puissantes à ce jour pour détruire de grands volumes de structures sont celles de thermobariques comme la MOAB (Mother Of All Bombs). Ceux-ci produisent des sons d'explosion audibles à des kilomètres à la ronde sans même être capables d'atteindre un degré de pulvérisation de structures de béton comparable à ce qui a été observé au WTC. Au contraire, les tours ont été désintégrées par un processus produisant des hautes températures mais dans un silence incroyable relativement au niveau de destruction constaté : pas d'énormes bangs acoustiques ce qui semble contradictoire. C'est pourquoi les experts en explosifs de la recherche publique sont complètement désarmés face aux observations du 11 septembre qui ne correspondent à rien qu'ils puissent interpréter avec leurs connaissances et expérience en matière d'explosifs. J'ai montré que toutes les caractéristiques de cette destruction sont celles d'un domaine de physique fondamentale très prometteur qui a été discrédité médiatiquement dans les années 90, celui de la fusion froide, discrédité pour que les recherches puissent être poursuivies en secret dans les laboratoires militaires US aboutissant à ce que nous avons vu le 11/9.

    Vous dites qu'il ne s'agit pas d'une démolition explosive alors que la plupart des sites conspirationnistes parlent de dizaines de témoignages d'explosions.

    Ces témoignages de multiples bruits et flashes d'explosions après les impacts d'avions et même avant sont à prendre très au sérieux car on montre aisément qu'ils ne peuvent s'expliquer ni par les incendies, ni le Kérosène déversé dans les puits d'ascenseurs, ni les impacts d'ascenseurs en chute libre dont les câbles auraient été sectionnés par les avions. On sait que ces explosions ont en fait permis de détruire des portes coupe feu, des extincteurs, et la quasi totalité des ascenseurs pour empêcher les pompiers d'intervenir efficacement sur les étages en feu et pour que les incendies puissent perdurer le temps nécessaire pour rendre crédible un effondrement suite à l'affaiblissement de la structure par la chaleur. D'autres explosions souterraines beaucoup plus puissantes qui ont précédé de très peu les effondrements, ont fait trembler le sol pour secouer les tours, pichenette ultime pour déclencher l'initiation d'effondrement aux niveaux des étages impactés qui n'attendaient que cela, affaiblis qu'ils étaient par des hautes températures, vérins et sabotages des fixations entre colonnes et poutres. D'autres explosions qui ont parcouru la structure juste avant et pendant l' « effondrement » n'expliquent pas le niveau de destruction atteint et avaient plutôt des puissances typiques de détonateurs.

    Quels types de preuves avez vous de l'exploitation d'une nouvelle physique au WTC ?

    Premièrement, la pulvérisation de l'essentiel du béton dans un silence relatif incroyable est un fait incompréhensible dans les cadres admis.

    Ensuite nous disposons de très nombreux témoignages y compris de pompiers en vidéo faisant état de ruisseaux de métal fondu rouge-orange à Ground Zero comme dans une fonderie, témoignages corroborés par des photos et une vidéo d'un écoulement de métal fondu à très haute température (de l'ordre de 1400°C d'après sa couleur) avant l'effondrement de la tour Sud.

    Le métal fondu était de l'acier car on a bel et bien retrouvé dans les ruines des flaques d'acier précédemment fondu solidifiées et d'énormes conglomérats d'éléments de structure d'acier fondus et de béton fusionnés par la chaleur (baptisés météorites), en fait des mille-feuilles de portions de plusieurs étages fusionnés. Or l'acier fond vers 1500°C tandis que les incendies de bureau n'ont culminé qu'à 1100 degrés d'après le NIST. Ces données seules n'impliquent pas nécessairement de la nouvelle physique mais on commence à s'interroger lorsqu'on apprend que les températures extrêmes se sont entretenues pendant des semaines à Ground Zero, malgré d'incroyables quantité d'eau déversées dans le bassin des fondations.

    Les choses se précisent lorsque on étudie les résultats d'analyse de la poussière du WTC par de nombreux laboratoires qui ont non seulement confirmé les températures incroyables atteintes mais aussi montré que ces températures n'ont pas été atteintes seulement localement mais ont bel et bien concerné la quasi totalité des étages détruits. Ainsi dans certains échantillons prélevés dans Manhattan c'est jusqu'à 5% en masse de la poussière qui était constituée de myriades de gouttelettes de fer précédemment fondu, et on apprend que la poussière du WTC est constituée de 40% en masse de ce que les laboratoires ont identifié à de la laine de roche ce qui représente des dizaines de milliers de tonnes, quantité complètement aberrante pour un matériau extrêmement léger utilisé dans les constructions pour l'isolation. Lorsqu'on sait que la laine de roche, est constituée de fibres de scories, de celles qui sont produites dans les irruptions volcaniques lorsque des gaz passent au travers de roche en fusion riche en silicium, et à la lumière des autres preuves de températures fantastiques atteintes (liquéfiant du molybdène à 2600°C, vaporisant des alumino-silicates à 2760°C et du plomb à 1740°) une autre interprétation s'impose : des dizaines de milliers de tonnes de béton ont été désagrégées par la chaleur, en produisant des fibres de scories.

    Le fait que le nuage de poussière dense et extraordinairement expansif soit demeuré à une température vivable dans ce contexte est un des aspects les plus énigmatiques que j'explique par des processus de nouvelle physique (ceux-la même à l'œuvre dans les expériences de « fusion froide ») que je décris en détails sur mon site. Les structures de béton et d'acier ont été soumises à un intense bombardement de micro foudres en boule (appelées également Ectons, Eves, Amas chargés, monopoles ou encore rayonnements étranges par leurs multiples et indépendants co-découvreurs). Cette nouvelle phénoménologie découle en fait d'un nouveau cadre théorique que j'ai proposé et publié en 2004, celui de la théorie de la gravité obscure que je vulgarise également sur mon site internet, www.darksideofgravity.com où bien entendu vos lecteurs sont invités à prendre connaissance des détails des démonstrations.

    Que pensez vous de la découverte récemment publiée de nanothermite dans la poussière du WTC ?

    J'ai également observé dans la poussière du WTC ces fameux chips rouges ayant toutes les caractéristiques y compris la composition chimique de ceux décrits par les auteurs de cette publication. Mais, même chauffés bien au delà de 400°C, aucun des miens n'a réagi en produisant du fer fondu ce qui serait la signature d'une réaction thermitique. Cependant même si j'avais obtenu cette réaction j'aurais du nécessairement me poser quelques questions avant de conclure. Sachant en effet que les tours ont été détruites par des technologies exploitant de la nouvelle physique, ne doit on pas s'attendre à ce que pour protéger le secret de ces technologies, les criminels tentent de brouiller les pistes des chercheurs indépendants qui s'interrogeraient sur la provenance de ces innombrables chips métalliques dans la poussière ? Est il plus probable dans ce contexte que les échantillons envoyés aux chercheurs indépendants aient été préalablement saupoudrés de nanothermite toute fraiche et prête à réagir, ou qu'au contraire les chercheurs aient réussi à faire réagir des nanoparticules d'aluminium de plus de 8 ans d'âge (véritablement stupéfiant !) de micro-chips rouge-gris récoltés dans la poussière du WTC ? Bref, alors qu'il existe de nombreuses autres preuves pour lesquelles les données de base sont fiables et accessibles à tous, les vidéos des effondrement diffusées en direct par exemple, on tente de focaliser notre attention sur une étude sous prétexte qu'elle a donné lieu à une publication dans une revue à comité de lecture. Or cette étude est invérifiable en toute indépendance puisque force est de constater que la poussière du WTC n'est pas accessible en libre service : en ce qui me concerne, le seul fait de déclarer m'intéresser à une autre piste que la nanothermite, notamment des processus de nouvelle physique, a eu pour conséquence que les auteurs ont décidé de me sanctionner d'un embargo immédiat et définitif sur la poussière du WTC. Curieux comportement pour de soit disant chercheurs ! D'ailleurs quelle serait la probabilité que puissent être acceptées pour publication dans une revue à comité de lecture des découvertes établissant de façon vraiment convaincante l'utilisation d'explosifs en grande quantité au WTC ? S'il s'agissait par contre d'une opération de sabordage, de discrédit planifié, tout s'explique beaucoup mieux. Quoi qu'il en soit, j'ai déjà donné les raisons pour lesquelles des explosifs (sans compter que la nanothermite qui ne libère pas de gaz serait un très mauvais explosif) ou incendiaires quels qu'ils soient, n'expliqueraient pas les principales caractéristiques de la destruction des tours ... alors, pourquoi s'attarder sur cette hypothèse à la fois inadéquate et invérifiable ?

    Vous expliquez que les caractéristiques de la destruction des tours ne peuvent être interprétées par des experts en démolition ou en explosifs, ce qui a contribué à rendre l'opération possible … d'un autre coté, même si le but était la destruction totale des tours pourquoi ne pas avoir opté pour un plan plus discret consistant simplement à fragiliser de nombreux points clefs de la structure plutôt que de littéralement désintégrer les 110 étages.

    Il est possible que nous ayons affaire à une démonstration de force visant à intimider d'autres nations avancées, mais on peut aussi imaginer que les apprentis sorciers n'ayant qu'une maitrise empirique et pas suffisamment théorique des nouvelles technologies utilisées, n'aient pas pris en compte certains facteurs et que les réactions se soient amplifiées bien au delà de ce qui était prévu.

     

    par fhenryco (son site) mardi 4 octobre 2011


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