• votre commentaire
  • toi aussi collectionne les points kippa d'or cachés dans le blog. Tu peux gagner 15 jours à gaza, tous frais payés...(eau potable non incluse)

     

    France: le consistoire demande d'adapter le calendrier des examens aux fêtes juives
     
    "Nous voulons être sûr que les étudiants juifs pratiquants n'aient pas à choisir entre leur foi et leurs études", a-t-il dit à l'AFP à l'issue de son premier tête à tête avec Jean-Marc Ayrault.
    "J'ai demandé qu'on trouve des dispositions pour qu'il n'y ait pas d'étudiants pénalisés par leurs pratiques religieuses", a-t-il ajouté à la veille de plusieurs fêtes juives. Les juifs vont célébrer du 16 au 18 septembre Roch Hachana (début de l'année juive), le 26 Yom Kippour (Grand pardon) et du 1er au 9 octobre Souccot ou "Fête des Cabanes".
    Le consistoire central souhaite également pouvoir "suivre de près" les travaux de la commission interministérielle sur le racisme et l'antisémitisme. Selon M. Mergui, il ne s'agit pas seulement de questions sécuritaires, mais aussi de "maintenir en France une communauté juive vivante et active".
    "Le Premier ministre a pleinement conscience qu'il faut continuer à rassurer la communauté juive", a-t-il poursuivi. Jean-Marc Ayrault a annoncé lundi qu'il réunirait "dans les prochaines semaines" un comité interministériel pour "adopter un plan d'action" contre l'antisémitisme et le racisme.

    votre commentaire
  • Sollicités par le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, des dignitaires religieux israéliens alimentent à leur tour le débat sur le nucléaire iranien. Leur discours fait froid dans le dos...

    L’affaire remonte au 17 août, un vendredi soir, veille de sabbat. Alors que les rumeurs de l’imminence d’une frappe contre l’Iran ne s’étaient jamais faites aussi insistantes, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, dépêche l’un de ses proches collaborateurs au domicile du grand rabbin Ovadia Yossef, 91 ans.

    Directeur du Conseil national de sécurité, Yaakov Amidror a pour mission de convaincre celui qui est considéré comme le chef spirituel du parti ultraorthodoxe Shass, d’obédience séfarade, de soutenir une intervention militaire contre la République islamique.

    L’Iran, "nation diabolique"

    Sa formation religieuse, représentée au sein du gouvernement israélien par Eli Yishai, ministre de l’Intérieur, s’oppose jusque-là au principe d’une attaque contre les installations nucléaires de Téhéran, jugée « trop risquée » sans le consentement des États-Unis. Or Yishai est aussi l’un des huit membres du cabinet de sécurité, l’instance supposée donner son feu vert à toute action préventive de l’armée. Son vote est potentiellement décisif.

    Quelques jours plus tard, c’est le bouillonnant chef de la diplomatie israélienne, Avigdor Lieberman, qui tente d’obtenir les faveurs de Belzer Rebbe, illustre figure des hassidiques, principal courant du judaïsme ashkénaze ultraorthodoxe.

    Rien ne filtrera des deux réunions, dont la première, révélée après coup par la presse israélienne, aboutira, le lendemain, à cette intrigante déclaration d’Ovadia Yossef devant ses fidèles : « Notre situation actuelle est profondément troublante, terrifiante. L’Iran, cette nation diabolique, souhaite notre destruction. Que nous l’attaquions ou non, nous devons implorer de tout notre coeur le Tout-Puissant. »

    Une semaine plus tard, le chef religieux lance un nouveau message beaucoup plus explicite. « Lorsque nous appelons Dieu à amener la fin de nos ennemis, nous devrions penser à l’Iran, ces démons qui menacent Israël. Puisse Dieu les détruire », s’emporte Yossef, dont les diatribes anti-Arabes ont longtemps défrayé la chronique.

    Discours messianiques

    Cette connivence entre les sphères politique et religieuse n’est pas du goût de tout le monde, surtout quand elle semble engager la sécurité de l’État hébreu et de ses citoyens. « Je n’ai pas confiance dans une direction qui prend des décisions fondées sur des sentiments messianiques », s’était agacé Yuval Diskin en avril dernier.

    À l’instar de cet ancien patron du Shin Bet - les services de contre-espionnage -, plusieurs ténors de l’appareil sécuritaire récusent l’alarmisme de Netanyahou et de son ministre de la Défense, Ehoud Barak, à propos de la « menace » nucléaire iranienne. Tous deux partisans de la manière forte pour l’éradiquer, ils sont accusés de vouloir précipiter le pays dans une guerre aux conséquences dévastatrices.

    Lire la suite de l’article : jeuneafrique.com


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • source

    L’actuelle « époque dorée juive » touche inévitablement à sa fin. Pourtant, la question qui demeure est de savoir si nos dirigeants sionistes et israéliens laisseront notre planète survivre à l’effondrement de leur tout dernier Empire juif ? Suivant les poussées incessantes vers l’Armageddon de Netanyahu, de Barak et de l’AIPAC, ainsi qu’en gardant à l’esprit que les récits de suicides collectifs tels que Samson et Massada sont si précieux au sein du discours sioniste et israélien, nous devrions rester en état d’alerte. Malheureusement, la transformation de notre planète en poussière est pleinement compatible avec la mission israélienne et sioniste.

    Il incombe aux responsables du monde de démanteler Israël et ses puissants lobbies juifs avec sagesse et prudence, en acceptant le fait que nous avons affaire à une entité très meurtrière. Mais c’est aussi à chacun d’entre nous d’être pleinement attentif aux échanges de Gordis avec ses compatriotes de la diaspora juive. C’est à nous de s’opposer à toute forme de symptôme de la puissance juive : les sionistes, les antisionistes et les shabbos goyim. C’est à nous de nous sauver et notre univers avec, mais aussi de sauver les juifs qui sont malheureusement, encore une fois, sur le point de déclencher une autre catastrophe sur eux-mêmes ainsi que sur nous tous.


    votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire

  • Présentation : "Géopolitique du Moyen-Orient et... por realpolitiktv

    (Deuxième partie) – Philippe Conrad recevait Florian Louis le 21 juin dernier pour une présentation de l’ouvrage “Géopolitique du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord”, sous titré “du Maroc à l’Iran” (PUF, coll. Major, 192 pp.) – “Une présentation complète et structurée des grands enjeux géopolitiques et géoéconomiques du Proche-Orient et de l’Afrique du Nord, à l’heure de la mondialisation.”


    votre commentaire
  • Quels sont les produits à surveiller ?


    La culture d’organismes génétiquement modifiés est aujourd’hui concentrée, en matière d’alimentation, sur trois espèces : le soja, le maïs, le colza. Si la traçabilité est généralement assurée, n’hésitez pas à être vigilant face à certaines "déclinaisons", parfois présentes en très faibles quantités dans notre alimentation quotidienne :

    - la farine, les flocons ou la semoule de maïs,
    - l’amidon de maïs et les dérivés de l’amidon de maïs, présents notamment dans le sirop de glucose,
    - les protéines et la farine de soja,
    - les matières grasses végétales de soja, de colza et de maïs,
    - les additifs issus du soja : lécithine (E 322), huile de soja oxydée (E 479b) ;
    - les additifs issus du maïs : amidon oxydé (E 1404), phosphates d’amidon (E 1410, E 1412 à E 1414), amidons acetylés (E 1420, E 1422), amidons hydroxypropylés (E 1440, E1442), succinate d’amidon (E 1450), amidon oxydé acetylé (E1451), caramels (E 150a à E 150d), sorbitol (E 420), mannitol (E421), isomalt (E 953), maltitol (E 965), lactitol (E 966), xylitol (E 967), glucono-lactone (E 575), erythorbates (E 315 et E 316).
    A noter : la mention "amidon modifié ou transformé" ne signifie pas la présence d’OGM.

    Comment choisir des aliments sans OGM ?
    Les gages de qualité que nous aimons parfois repérer sont aussi une garantie pour une alimentation sans OGM. Quelques pistes à privilégier à l'envi:
    - Les produits issus de l’agriculture biologique, reconnaissables au logo AB, excluent la présence d’OGM, sauf présence fortuite, qui doit être mentionnée.
    - Certains labels de qualité, tels que le Label rouge, sont aussi garantis sans OGM d’un bout à l’autre de la chaîne de production. Contrairement à un poulet de Loué ou de Challans, un poulet à bas prix peut avoir été nourri avec des céréales génétiquement modifiées.
    - De nombreux fromages AOC rejettent l’utilisation d’OGM. Les produits à consommer sans hésitation : l’abondance, le beaufort, le chevrotin, l’époisses, le saint-nectaire, le mont-d’or, le comté, etc.

    Pour en savoir plus sur les producteurs qui ont décidé de produire sans OGM, n’hésitez pas à le Guide des produits avec ou sans OGM de Greenpeace.


    votre commentaire