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    21.03.2012 Мали солдаты армия государственный переворот

     
    Photo : EPA

    Le Département d’État américain a annoncé samedi l'évacuation des familles de l'ambassade américaine à Bamako, la capitale du Mali, en raison des affrontements en cours dans les régions centrales et du nord du pays, de l'instabilité politique, ainsi que de la perte de contrôle du gouvernement sur les territoires du Nord et de la menace des attaques contre les Occidentaux.

    La situation au Mali s'est aggravée ces dernières semaines, quand les islamistes ont lancé une offensive dans le sud afin de prendre tout le territoire sous son contrôle. /L


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  • http://french.ruvr.ru/2013_01_20/524-257-euros-pour-Laurent-Fabius-et-son-equipe/
     
    20.01.2013, 11:38, heAjouter au blogure de Moscou
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    евро деньги евро горшок

     
    © Flickr.com/Images_of_Money/cc-by

    524 257 euros, ce n’est pas le dernier montant de la Loterie nationale, mais le salaire hors primes de Laurent Fabius, de Bernard Cazeneuve, de Pascal Canfin, de Yamina Benguigui et d’Hélène Conway-Mouret ainsi que de leurs 37 collaborateurs directs pour un mois… C’est ce que rapportait hier l’Observatoire des subventions, soit sans les primes et autres avantages la coquette somme de 6,3 millions d’euros par an.

    Et nous nous trouvons en face d’un seul ministère, celui des Affaires étrangères, nous imaginons les sommets vertigineux atteints par les salaires cumulés de tous les ministères et grandes institutions de l’Etat, l’Elysée compris… vous serez surpris d’en apprendre la longue litanie que j’ose vous dévoiler dans l’ordre : la Présidence, Matignon, les AE, l’Education nationale, la Justice, l’Economie et les Finances, les Affaires sociales et la santé, l’Egalité des territoires et le logement, l’Intérieur, le Commerce extérieur, le Redressement productif, le Développement durable et l’énergie, l’Emploi, la Défense, la Culture, l’Enseignement supérieur et la recherche, le droits des Femmes, l’Agriculture et la forêt, la Réforme de l’Etat, l’Outre-mer, l’Artisanat et le Tourisme, les Sports, ainsi qu’un certain nombre de ministres délégués pour le Budget, la Réussite éducative, les Relations avec le parlement, l’Egalité des territoires, les Affaires européennes, les Personnes âgées, l’Economie sociale et solidaire et la Consommation, la Famille, les Handicapés, le Développement, la Formation professionnelle, la Francophonie, les Transports et la Mer et la pêche, les Petites entreprises et l’Innovation, les Anciens combattants, la Décentralisation, l’Agroalimentaire et les Français de l’étranger…

    Vous êtes fatigués ? Moi aussi ! C’est donc pas moins de 20 ministères, 18 ministres délégués et bien sûr la présidence et Matignon. Combien de personnes dirigeantes sont-elles concernées ? Difficile de le savoir, quelques centaines tout au moins pour un budget pharaonique tandis que des milliers de Français sont dans le besoin. La moitié seulement des salaires de ces hommes et femmes seraient suffisants pour nourrir plusieurs milliers de familles en France ou pour supporter la création de centaines de petites entreprises ou même l’alimentation de centaines de recherches innovantes dans une université lambda. Le grand scandale des places chaudes du gouvernement est aujourd’hui un secret de polichinelle.

    Pourtant, jusqu’à ce jour, aucun gouvernement de gauche ou de droite n’a honnêtement pris le taureau par les cornes pour demander un audit général, revoir les salaires au raisonnable, faire les réformes simples et de bon sens qui sont demandées par les temps de crise, mais également par les temps de bombances, car les fonctionnaires de l’Etat ne sont que des représentants du Peuple, de simples citoyens dont l’importance ne surpasse pas celle de n’importe lequel des Français, fusse-t-il le plus modeste. Ces sommes incroyables sont en hausses depuis l’ère Mitterrand sans discontinuité. Chaque gouvernement à partir de ce Président de la République n’a eu de cesse, souvent quasiment immédiatement au pouvoir, d’allonger la note.

    François Hollande, malgré les annonces démagogiques de mai 2012 avait bel et bien revu à la baisse les salaires mais en gonflant les équipes et en octroyant des privilèges cachés qui au final représentent ensembles une hausse… Les ministères ne sont d’ailleurs que la partie visible de l’iceberg, le cas de l’Assemblée nationale et du Sénat, mais aussi de nombreuses autres institutions moins en vue ajoutent au trou béant qui est fait dans les budgets et auxquels s’ajoutent les coûts usuels de fonctionnement des institutions, entretiens, périssables, frais énergétiques, de transports, de bouche, de prestige et nous en oubliant forcément. Comparés à la cour de Versailles et aux listes civiles et budgets des derniers souverains français, de Louis XVI par exemple, l’exercice serait très intéressant et révélateur, nous pourrions savoir jusqu’à quel point la République française est devenue le creuset d’abus et du népotisme.

    Il est malheureusement à parier, que le gouvernement qui mettra le coup de pied dans la fourmilière n’est pas près de voir le jour. Quant à son président, il ou elle, gambade peut-être en culotte courte dans quelque crèche ou jardin public… avec un peu de chance… Les fonctions de l’Etat au fil des républiques, de la glorieuse aînée de 1792 à la petite dernière de 1958, semblent être devenues le repaire et le lit confortable d’une nouvelle sorte de courtisans. Les Français avaient vu ceux de Versailles, que le Roi Soleil amusait de ces fastes et spectacles, et il semble que ces temps lointains ont été largement dépassés. Ils avaient pourtant provoqué la Révolution de 89, rien de moins. Quant aux vertueux ou moins vertueux orateurs de l’An I de la République, que diraient-ils ? Que diraient en effet les Desmoulins, Condorcet, Lindet ou Carnot en voyant l’évolution de leur création ?

    L’un d’eux, ou plutôt une, Madame Roland l’égérie des Girondins, s’était écriée dans sa charrette sur le terrible chemin de l’échafaud « Oh Liberté, que de crimes commis en ton nom ! » Elle ne pensait pas si bien dire à son heure ultime car après la mort de ses bourreaux, la République des corrompus, celle des Barras et des Tallien avait dominé le paysage et eut de beaux jours jusqu’à l’époque présente. Aujourd’hui dans une France goguenarde repue (partiellement) des repas de fin d’année, amusée (partiellement) par les quelques émissions de TV réalité, les Français sont assoupis. « Du pain, du vin et des jeux », le vieil adage romain des empereurs de l’Antiquité pour tenir le Peuple tranquille n’a jamais eu de meilleurs jours, la fameuse « Poule au pot » voulue par Henri IV dans toutes les assiettes de ses sujets ne sera pas encore pour demain !

     

    Les opinions exprimées dans cet article n'engagent que la responsabilité de l'auteur.


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  • Question Webrunner du mois :

    Pourquoi les djihadistes n'ont pas fait sauter le complexe gazier ????


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  • « L’Iran s’est caractérisée par la tolérance depuis les anciens temps et surtout après la victoire de la Révolution islamique. Ainsi, il n’y a pas de signes d’hostilité envers la communauté juive ou envers une religion particulière. »

    Syamak Morra Sadq, député juif iranien, octobre 2012 [1].

     


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  • Publié le 19 janvier 2013


    Troupes syriennes à Daraya

    Troupes syriennes à Daraya

    C’est, je crois, sans risque de me tromper, le règne de la servitude journalistique occidentale. On ne le dira jamais assez, l’argent-roi reste l’ultime chose derrière laquelle courent ces gens. Sans foi ni loi, se comportant comme des mercenaires, tous, sans exclusive, nous parlons-là de ceux qui sont dans les grands médias. Ils sont à la rue. Ils en sont conscients mais, c’est plus fort qu’eux, exister ou survivre, malgré les mensonges et la propagande officielle est leur unique combat.

    Que voulez-vous, il y a plusieurs catégories d’hommes. Ceux qui sont fiers, altiers donc, et refusent toute compromission. D’autres, ne vivent que par la recherche effrénée de la gloriole et de l’argent. Peu importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse ? Logés dans les beaux quartiers, hypocrites, menteurs et surtout cyniques, ils sont surtout corvéables et malléables à souhait. Ils sont fragiles et ne peuvent plus tenir avec ce qui se passe conjointement au mali et en Syrie.

    Le petit pays de chameliers l’a bien compris et surjoue dans la cour dite des grands, devrais-je dire des nuls et des criminels ? Sans doute. Ainsi, payant rubis sur l’ongle, il corrompt tout le monde, du moins, ceux qui acceptent d’être corrompus. Comment ces personnages qui deviennent au fil des années la risée des citoyens, peuvent-ils encore se regarder dans une glace ? Assez pathétique en effet.

    Les journalistes occidentaux aiment l’odeur du sang. C’est ainsi qu’ils refusent de parler des opérations justes de l’armée arabe syrienne, qui est entrain de prendre le dessus, chaque jour davantage, sur les terroristes. Mais, ceux qui disent ici « rebelles » pour parler des djihadistes, et au Mali disent « terroristes », ne sont que des esclaves.  Ils n’ont aucun honneur !


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  • Un poisson pêché à des fins de contrôle près de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima présente un niveau impressionnant de contamination radioactive, plus de 2.500 fois supérieur à la limite légale fixée par le Japon, a annoncé vendredi l'opérateur du site.

    La compagnie Tokyo Electric Power (Tepco) a déclaré avoir mesuré dans un poisson appelé "murasoi" une quantité de césium radioactif égale à 254.000 becquerels par kilogramme, soit 2.540 fois la limite de 100 becquerels/kg définie pour les produits de la mer par le gouvernement. Le poisson, proche des sébastes, a été capturé dans la baie à proximité de la centrale Fukukshima Daiichi située sur la côte nord-est du Japon, au bord du Pacifique.


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  • Je viens d’en apprendre une bien bonne. SOS Racisme a demandé au Conseil d’État que la gratuité des musées et monuments nationaux soit accordée… aux « sans-papiers » (c’est-à-dire, pour sortir de la novlangue, aux immigrés clandestins).

    Eh oui, expliquent les potes de Cindy Leoni, Dominique Sopo et autre Fodé Sylla, pourquoi ces victimes d’un système inique ne bénéficieraient-elles pas du même accès à la culture que les « jeunes Européens et résidents en Europe de moins de 26 ans » ? Et, pour faire bon poids, ils proposent que les touristes soient également exonérés de tickets d’entrée. Logique, les « sans-papiers » n’étant que des touristes qui ont oublié leur passeport à la maison.

    « Demander aux jeunes de présenter leur titre de séjour aux caisses des musées, c’est une curieuse manière de promouvoir l’accès à la culture et au patrimoine culturel français ! » a plaidé leur avocate. Tout cela ressemblant fort, elle a bien raison, à un contrôle au faciès qui ne dit pas son nom…

    Et puis, très soucieuse des deniers de l’État, notre avocate a ajouté : « Le temps de travail que cela représente pour le personnel des caisses des musées est sans rapport avec le bénéfice que cela peut rapporter. » Si, en plus, on doit faire des économies…

    On a bien entendu deux de nos ministres – dont on pouvait naïvement penser qu’ils incarnaient l’État et la loi — ne rien trouver à redire à l’occupation illégale d’un bâtiment au nom du « droit au logement », alors pourquoi ne pas invoquer maintenant un « droit à la culture » ?

    Gageons que les Français qui, pour certains, auraient bien du mal à acquitter les 11 euros d’entrée pour le Musée du Louvre, sauront apprécier qu’au nom de la lutte contre les « discriminations », nos jeunes amis « sans-papiers » puissent, eux, admirer — et à l’œil — ces chefs-d’œuvre qui leur font tant aimer la France…

    Robert Ménard, le 15 janvier 2013

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  • Analyse de Bernard Lugan- 17 janvier 2012
     
    L’intervention française au Mali conduit à quatre grandes réflexions :
     
    1) Compte tenu des réalités frontalières, l’action de la France ne peut réussir que si l’Algérie la soutient. Or, la prise d’otages d’In Amenas, site stratégique hautement protégé, montre soit qu’Alger ne contrôle pas son territoire, soit que les islamistes ont des complicités au plus haut niveau de l’appareil sécuritaire d’Etat. Dans les deux cas, les conséquences pour l’opération Serval sont de la plus haute importance.
     
    2) Nous payons aujourd’hui au prix fort la politique de désengagement  initiée sous Jacques Chirac puis amplifiée sous Nicolas Sarkozy à savoir, fermeture de bases et abandon de ces irremplaçables implantations qui étaient nos yeux et nos oreilles.
     
    3) La place laissée libre par la France fut  prise par les Etats-Unis qui investirent de gros moyens, notamment au Mali. Ignorant la tectonique ethno-raciale sahélienne, ils y formèrent des cadres qui désertèrent au mois de janvier 2012 et contre lesquels nos soldats sont aujourd’hui engagés.
     
    4) Ceux qui ont lancé la guerre contre le colonel Kadhafi étaient des irresponsables et je n’ai cessé de le dire depuis le premier jour. Outre qu’ils ont provoqué une réaction déstabilisatrice en chaîne, ils ont armé les jihadistes. Il faut en effet savoir que certaines des armes aujourd’hui utilisées contre nos soldats proviennent de nos propres arsenaux et qu’elles furent généreusement parachutées aux « démocrates » libyens  chers à BHL.  
     
    Ceci étant, quelle est la réalité de la situation ?
     
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  • Source : oumma.com

    Le changement dans la continuité. Lundi, le ministère de l’Intérieur a désigné Rémy Schwartz pour présider l’Office français de l’immigration et de l’intégration. Problème : cet éminent juriste est également un dirigeant communautaire engagé, comme son prédécesseur, aux côtés d’Israël.

    Souvenez-vous : en novembre dernier, Oumma avait appelé à la démission d’Arno Klarsfeld, alors président en exercice de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, en raison de son soutien, révélé par notre site, en faveur des derniers bombardements israéliens de la bande de Gaza. Ce faisant, il trahissait manifestement son devoir de réserve, sur le plan politique, en tant que responsable d’un organisme public sous tutelle du ministère de l’Intérieur.

    Aujourd’hui, le Journal Officiel annonce le remplacement d’Arno Klarsfeld par Rémy Schwartz, nommé hier par décret du Président de la République. Réaction laconique de l’ex-soldat de l’armée israélienne : « La gauche est plus sectaire que la droite sur les nominations. Mais en gros, je m’en fous de me faire virer, ce qui compte c’est le discours de François Hollande sur le Vel’d’Hiv. »

    Laïcité à géométrie variable

    Si son successeur est inconnu du grand public, il est, en revanche, réputé pour les spécialistes des questions communautaires. Conseiller d’État, Rémy Schwartz avait été, en 2003, le rapporteur de la Commission Stasi, à l’origine de l’interdiction des signes religieux – et plus spécifiquement, du foulard islamique – à l’école. Six ans plus tard, il était également intervenu en faveur de la prohibition du niqab dans l’espace public.

     

    Si Le Monde, La Croix, Le Parisien et Europe 1 ne manquent pas de rappeler le brillant parcours de l’énarque, tous omettent de signaler au citoyen la particularité de Rémy Schwartz : son engagement politico-communautaire. 

     

     

    Président et cofondateur en 1995 de la Communauté juive libérale (CJL) d’Ile-de-France, l’homme a construit, en parallèle, une image de chantre de la laïcité lors de ses interventions devant les parlementaires à propos du foulard à l’école ou du niqab. Ce grand écart ne l’a pas empêché de rendre hommage, dans une lettre de décembre 2007, à Jacques Chirac et Bertrand Delanoë au sujet de leur assistance matérielle pour consolider son centre communautaire.


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