• Colonisation : mode d'emploi_part2



    votre commentaire
  • Bienvenue chez le cht'i (rediff)

     

    ça aurait pu s'intituler "vous n'avez rien à déclarer"




    votre commentaire
  • Israël : des écoles interdites aux « noirs »

    Le ministère israélien de l’Education vient d’approuver l’existence d’une école « réservée aux Blancs » dans les colonies, après qu’une écolière juive éthiopienne a été exclue de son école.

    Cette jeune Ethiopienne de religion juive avait été exclue de son école établie dans la colonie d’Immanuel dans les territoires palestiniens occupés, il y a plusieurs mois, en raison de la couleur de sa peau.

    Ses parents ayant protesté, ils ont eu dans un premier temps gain de cause, l’école en question étant publique et financée par l’Etat.

    Mais les parents blancs des 74 enfants fréquentant cette école ont finalement obtenu du ministère de l’Education que les classes de cette école soient réservées aux Blancs, à partir du moment où l’école devient privée, et elle est désormais privatisée.
    Les colons blancs qui refusaient « la mixité raciale » pour leurs enfants sont satisfaits.

    La discrimination raciale est donc légale en Israël dans tout le domaine privé (entreprises, écoles, commerces…..)

    Et cette législation raciale s’applique y compris dans les territoires supposés être sous contrôle palestinien, vient de statuer un tribunal israélien ! Ce sont les règles de l’occupant militaire qui priment sur celle de l’Autorité Palestinienne a-t-il décrété.

    Et pendant ce temps, le maire du 3ème lance une exposition pour « changer l’image d’Israël », des élus affichent des banderoles à la gloire d’une armée d’occupation sur le fronton de nos mairies !
    Et les Sammy Ghozlan, Goldnaddel, et autres officines israéliennes en France, osent engager des poursuites pour « discrimination » contre ceux qui appellent au boycott d’Israël!

    Source : http://www.imemc.org/article/59331
    http://canempechepasnicolas.over-blog.com


    votre commentaire
  • Vacances militaristes en israel, financées par la CAF….

    article lié : Le frere de Julien Dray (PS), chef du Betar

    septembre 8, 2010 par fonzibrain

    Le Canard Enchaîné vient de porter à la connaissance de ses lecteurs les vacances militaristes en Israël organisés par le Bétar, et financées par les Allocations familiales, après que nous ayons dénoncé le scandale.
    Le Bétar, rappelle-t-on, fait sa pub pour ses camps d’été en mettant l’accent sur la formation militaire des jeunes, en indiquant qu’il est lui-même une association « enregistrée au ministère chargé de la Jeunesse et des Sports », et que le paiement peut être fait avec les bons de vacances de la Caisse des Allocations Familiales (CAF).
    Le reportage du Canard, intitulé « Les jolies colonies de vacances franco-israéliennes », ou comment « les sionistes ultras du Bétar voulaient entraîner des ados au tir avec l’argent des allocs », rend compte de la surprise qui a apparemment saisi les administrations concernées, à la révélation de la manœuvre du Bétar.
    Un responsable des Allocs a ainsi expliqué au Canard que quelque chose ne tournait pas rond. Ces bons de vacances sont en effet distribués sous une triple condition : faiblesse des ressources de la famille, neutralité philosophique, politique et religieuse du projet –« ce qui n’est pas exactement le cas du séjour proposé par le Bétar », note le journal avec humour-, et, surtout, l’habilitation des séjours par le ministère de la Jeunesse et des Sports.
    Or, le séjour n’a pas cette habilitation ministérielle. « L’accueil sur une base militaire n’est pas un projet pédagogique à nos yeux », a déclaré au journal un représentant du ministère.
    Interrogé par le Canard, un certain David, au nom du Bétar, n’y voit que « calomnie ». Non sans arrogance, celui-ci affirme que si le scandale n’avait pas été dénoncé, « la CAF aurait payé sans histoire ».
    Les journées de tir, proposées dans le dépliant ? « On faisait ça pour leur faire plaisir, les remercier. En France, à cause de la mentalité pro-palestinienne, ça passe mal », ajoute ce fin analyste.
    Mais le comme dit e Canard, « entraîner des ados à l’usage des flingues dans un pays en guerre, c’était pourtant un beau cadeau ».
    L’hebdomadaire pro-Sharon « Actualité Juive » appelle de son côté à la défense de ce pauvre Bétar, victime d’une « campagne de calomnie ». Confirmant les enquêtes en cours au niveau de la CAF et de l’administration, le journal s’inquiète quelque peu de la situation, et décrète qu’il est « urgent de se mobiliser »
    egalité et réconciliation


    votre commentaire
  • Le tatouage


    votre commentaire
  • L’ombre de la Shoah pèse sur l’avenir du TGV en Floride

    La SNCF est en lice pour construire des lignes à grande vitesse aux Etats-Unis. Mais le souvenir des trains de la déportation pourrait peser lourd. La Californie a voté une loi exigeant la transparence. La Floride va examiner le rôle historique de la SNCF.

    La Floride compte se doter prochainement d’un train à grande vitesse et la SNCF est naturellement sur les rangs. Avec pourtant un handicap sérieux, historique, dont il est difficile de se défaire : l’ombre de la Shoah. C’est en train que les Juifs de France déportés lors de la Seconde guerre mondiale ont été transportés jusqu’aux camps de concentration. Ces trains étaient ceux de la SNCF.

    Le gouverneur de Floride, Charlie Crist, a fait savoir que son Etat allait enquêter sur le rôle de la SNCF dans la déportation des Juifs dans le cadre de l’attribution de ce fameux contrat de train à grand vitesse. L’élu a indiqué avoir été informé "d’inquiétudes" concernant le "rôle" de la SNCF "dans la Shoah". En conséquence, "j’ai demandé à notre secrétaire au Transport Stephanie Kopelousos et à son équipe d’examiner cette information et de veiller à ce que tous les aspirants participants au projet de train à grand vitesse en Floride répondent aux critères définis par les lois fédérales et de l’Etat".

    "2000 cheminots exécutés par l’occupant nazi"

    La demande du gouverneur intervient après le vote fin août en Californie d’une loi imposant à tout candidat à un gros contrat dans la future ligne à grande vitesse entre Los Angeles et San Francisco d’expliquer son rôle éventuel dans le transport des prisonniers vers les camps de travail, de concentration ou d’extermination entre 1942 et 1944. La loi, qui doit entrer en vigueur le 1er janvier prochain, stipule que l’obligation de transparence sera l’un des éléments pris en compte par les autorités dans l’attribution des contrats estimés à 43 milliards de dollars. S’il ne la cite pas nommément, la loi vise avant tout la SNCF.

    La SNCF est de son côté prête à ouvrir ses archives aux Américains pour se conformer à cette loi locale, a indiqué dimanche dernier son président. "Il y a 20 ans nous avons ouvert toutes nos archives, il y a eu des colloques, des travaux" et "nous allons ouvrir tout ça aux Américains", a souligné Guillaume Pepy. "Mais il ne faut pas oublier une chose : la SNCF, les cheminots, étaient sous le joug de l’occupant nazi, sous menace de mort" et "2000 cheminots ont été exécutés par l’occupant nazi", a-t-il souligné.


    votre commentaire
  • Pourquoi les Juifs d’Iran sont mieux lotis que les Palestiniens de Gaza

    video liée La communauté juive d'Iran

    25.000 Juifs vivent en Iran. C’est la population juive la plus importante au Moyen-Orient en dehors d’Israël. Les Juifs iraniens ne sont ni persécutés ni maltraités par l’Etat, en fait, la constitution iranienne les protège. Ils sont libres de pratiquer leur religion et de voter aux élections. Ils ne sont ni arrêtés ni fouillés à des checkpoints, ils ne sont pas brutalisés par une armée d’occupation, et ils ne sont pas parqués dans une colonie pénale densément peuplée (Gaza) où ils sont privés des moyens de survie de base. Les Juifs iraniens vivent dans la dignité et jouissent des avantages de la citoyenneté.

    Les médias occidentaux diabolisent le président iranien Mahmoud Ahmadinejad. Ils le traitent d’antisémite et de « nouvel Hitler ». Mais si ces affirmations sont justes, alors pourquoi la majorité des Juifs d’Iran ont-ils voté pour Ahmadinejad aux dernières élections présidentielles ? Se pourrait-il que la plupart de ce que nous savons sur Ahmadinejad ne soit qu’une rumeur sans fond et de la propagande ?

    Voici un extrait d’un article paru à la BBC :

    « Le bureau (d’Ahmadinejad) a récemment donné de l’argent pour un hôpital juif de Téhéran. C’est l’un des quatre seuls hôpitaux caritatifs juifs au monde et il est financé par la diaspora juive – quelque chose de remarquable en Iran où même les organisations locales d’aide ont des difficultés à recevoir des fonds de l’étranger de crainte d’être accusés d’être des agents étrangers. »

    Quand Hitler a-t-il jamais fait des dons aux hôpitaux juifs ?

    L’analogie avec Hitler est une tentative désespérée de laver le cerveau des Américains. Elle ne nous dit rien sur ce qu’est vraiment Ahmadinejad.

    Les mensonges sur Ahmadinejad ne sont pas différents de ceux sur Saddam Hussein ou Hugo Chavez. Les Etats-Unis et Israël essaient de créer des justifications pour une nouvelle guerre. C’est pourquoi les médias font dire à Ahmadinejad des choses qu’il n’a jamais dite. Il n’a jamais dit qu’il voulait « rayer Israël de la carte. » C’est une autre fiction. L’auteur Jonathan Cook explique ce que le président iranien à réellement dit :

    « Ce mythe a été recyclée sans fin depuis une erreur de traduction d’un discours d’Ahmadinejad d’il y a près de deux ans. Des experts en farsi ont vérifié que le président iranien, loin de menacer de détruire Israël, citait un discours antérieur de feu l’Ayatollah Khomeiny, dans lequel il affirmait aux soutiens des Palestiniens que ‘le régime sioniste de Jérusalem disparaîtrait dans les pages du temps’. »

    « Il ne menaçait pas d’exterminer les Juifs ni même Israël. Il comparait l’occupation des Palestiniens par Israël à d’autres systèmes de gouvernement illégitimes, dont le règne est terminé, dont celui des Shah qui ont jadis dirigé sur l’Iran, l’Afrique du Sud d’apartheid et l’empire soviétique. Néanmoins, cette traduction erronée a survécu et prospéré parce qu’Israël et ses soutiens l’ont exploitée pour leurs propres desseins de propagande grossière. »

    ("Israel’s Jewish problem in Tehran", Jonathan Cook, Counterpunch, 3 août 2007)

    Ahmadinejad ne représente aucune menace pour Israël ou pour les Etats-Unis. Comme n’importe qui au Moyen Orient, il veut juste un répit dans l’agression US-Israël.

    Voici ce qu’on trouve sur Wikipedia :

    « Le département d’Etat américain s’est plaint de discriminations contre les Juifs en Iran. Selon son étude, les Juifs ne peuvent pas occuper des postes élevés au sein du gouvernement et sont empêchés de siéger dans la magistrature et les services de sécurité et de devenir chefs d’établissement public. L’étude indique que les citoyens juifs sont autorisés à obtenir des passeports et de voyage à l’extérieur du pays, mais souvent ils se voient refuser le permis de sorties multiples normalement délivré aux autres ressortissants.

    Ces allégations formulées par le Département d’Etat américain ont été condamnées par les juifs iraniens. L’Association des Juifs de Téhéran a déclaré dans un communiqué, ‘Nous, Juifs iraniens, condamnons les affirmations du Département d’Etat US sur les minorités religieuses iraniennes, annonçons que nous sommes totalement libres d’exercer nos devoirs religieuses et que nous nous ressentons aucune restriction quant à l’exercice de nos rites religieux.’ »

    Qui croire ? Les Juifs vivant en Iran ou le département d’Etat américain fauteur de trouble ?

    Il y a 6 boucheries kasher, 11 synagogues et de nombreuses écoles hébraïques à Téhéran. Ni Ahmadinejad ni aucun autre responsable gouvernemental iranien n’a tenté de les fermer. Jamais. Les Juifs iraniens sont libres de voyager (ou de se déplacer) en Israël s’ils le souhaitent. Ils ne sont pas mis en prison par une armée d’occupation. Ils ne sont pas privés de nourriture et de médicaments. Les enfants ne grandissent pas avec des troubles mentaux provoqués par le traumatisme de la violence sporadique. Leurs familles ne sont pas détruites par des hélicoptères de combat tournoyant au-dessus des plages. Leurs soutiens ne sont pas écrasés par des bulldozers ni touchés à la tête par des balles en caoutchouc. Ils ne sont pas asphyxiés par les gaz lacrymogènes ni tabassés lorsqu’ils manifestent pacifiquement pour leurs libertés civiles. Leurs dirigeants ne sont ni traqués ni tués dans des assassinats ciblés.

    Roger Cohen a écrit un essai très sérieux sur le sujet pour le New York Times. Il a dit :

    « Je préfère peut-être les faits aux paroles, mais je dis que la réalité de la courtoisie iranienne envers les Juifs nous en dit plus sur l’Iran – son raffinement et sa culture – que tous les discours incendiaires. C’est peut-être parce que je suis juif et que j’ai rarement été traité, constamment, avec autant de chaleur qu’en Iran. Ou peut-être ai-je été impressionné par le fait que la fureur sur ce qui s’est passé à Gaza, affichée sur les murs et claironnée à la télévision iranienne, n’a jamais débordé en insultes ou en violences contre les Juifs. Ou peut-être est-ce parce que je suis convaincu que la caricature de « Mollah Fou » de l’Iran et l’assimilation de tout compromis avec lui à Munich 1938 – une position populaire dans certains cercles juifs américains – sont trompeuses et dangereuses. »

    ("What Iran’s Jews Say", Roger Cohen, New York Times, 22 février 2009)

    Tout n’est peut-être pas parfait pour les Juifs qui vivent en Iran, mais leur situation est meilleure que celle des Palestiniens qui vivent à Gaza. Bien meilleure.


    votre commentaire
  • Un commissaire européen accusé d'antisémitisme

    BRUXELLES — Le commissaire européen Karel De Gucht, ancien chef de la diplomatie belge, s'est retrouvé vendredi au centre d'une polémique, accusé d'antisémitisme, après avoir dénoncé l'attitude à ses yeux fondamentalement irrationnelle des juifs sur le Proche-Orient.

    Le commissaire belge, responsable du commerce à Bruxelles, s'en est pris à la fois au lobby pro-israélien aux Etats-Unis et à l'attitude des juifs en général.

    "Il ne faut pas sous-estimer le poids du lobby juif sur la colline du Capitole, le Parlement américain. C'est le groupe de pression le mieux organisé qui existe là-bas", a-t-il déclaré jeudi à la radio publique belge néerlandophone VRT.

    "Il ne faut pas non plus sous-estimer l'opinion, en dehors du lobby, du juif moyen qui ne vit pas en Israël", a ajouté M. De Gucht, connu pour son franc-parler.

    "Il y a en effet la foi chez la plupart des juifs --je pourrais difficilement décrire cela autrement-- qu'ils ont raison. Et la foi est quelque chose qu'on peut difficilement combattre avec des arguments rationnels", a poursuivi ce membre du parti libéral flamand.

    "Même les juifs laïques partagent la même croyance d'avoir effectivement raison. Il n'est donc pas facile, même avec un juif modéré, d'avoir une discussion sur ce qui se passe au Proche-Orient. C'est une question très émotionnelle", a-t-il conclu.

    Le Congrès juif européen (CJE) s'est dit vendredi "outré" de cette sortie et a appelé Karel De Gucht à s'excuser.

    "Il s'agit une fois de plus d'une forme outrageuse d'antisémitisme de la part d'un haut responsable européen. La diffamation du pouvoir juif est apparemment acceptable au plus haut niveau de l'UE", a tempêté son président, Moshe Kantor.

    Le CJE a fait lien entre cette polémique et celle qui secoue la banque centrale allemande. Le directoire de la Bundesbank a demandé jeudi l'éviction de l'un de ses membres, Thilo Sarrazin, coupable d'avoir évoqué la prétendue existence d'un gène particulier à tous les juifs.

    La Commission a aussi pris ses distances avec M. De Gucht.

    "Il s'agit de propos personnels qui ne représentent pas l'opinion bien connue de la Commission et du Conseil (des ministres de l'UE) sur le processus de paix au Proche-Orient et la reprise des discussions directes entre Israël et les Palestiniens", a déclaré un porte-parole, Olivier Bailly.

    M. De Gucht n'est pas allé jusqu'à s'excuser mais a dit vendredi "regretter" l'interprétation ayant pu être faite de ses propos, assurant n'avoir jamais voulu "stigmatiser" la communauté juive et dénonçant toute forme d'antisémitisme.

    La controverse survient alors que que les négociations de paix entre Israéliens et Palestiniens, interrompues pendant 20 mois, ont repris jeudi à Washington.


    votre commentaire
  • Le rôle des juifs sionistes dans les deux guerres mondiales

    (par Benjamin H. Freedman)

    voir aussi :le mythe de la bonne guerre

    septembre 2, 2010 par fonzibrain

    videos et articles liés : comment le peuple juif fut inventé

                                             La cour suprême Israelienne


    votre commentaire
  • Suspendue pour ses cours sur la shoah

    Une professeur de confession juive, qui enseigne l'histoire dans un lycée de Nancy, a été suspendue quatre mois de ses fonctions pour avoir manqué à ses obligations « de neutralité et de laïc...

    Une professeur de confession juive, qui enseigne l'histoire dans un lycée de Nancy, a été suspendue quatre mois de ses fonctions pour avoir manqué à ses obligations « de neutralité et de laïcité » dans ses cours et lors de voyages scolaires dans des anciens camps de concentration.
    L'enseignante avait fait l'objet d'une enquête de l'Inspection générale à la suite d'une manifestation organisée par des élèves en décembre, lors d'un déplacement du ministre de l'Education nationale, Luc Chatel. Dans leur rapport, les inspecteurs estiment que l'enseignante consacrait trop de temps à l'organisation de voyages sur l'histoire des juifs en Europe centrale. « La faute que l'enseignante a commise n'est-elle pas d'être juive ? », s'interroge son avocate, Me Christine Tadic.
    Dans un communiqué diffusé mardi, le rectorat souligne qu'il s'agit d'« une mesure conservatoire à fin de complément d'instruction » et qu'il ne s'agit pas d'une « sanction ».


    votre commentaire
  • Tsahal :  l’armée la plus morale au monde (BHL)

    Au lendemain de la publication des photos d’une ex-militaire israélienne posant face à des prisonniers palestiniens, huit nouvelles images ont été divulguées ce mardi par une ONG de défense des droits de l’homme.

    Des corps meurtris et décédés de Palestiniens, entourés de soldats israéliens souriants, figurent sur ces clichés.

    La norme, et non pas une exception. C’est ce qu’affirme l’association Briser Le Silence (Shovrim Shtika) à propos des deux photos polémiques, révélées lundi, de l’ex-officier Eden Abergil.

    Publiés sur son compte Facebook, ces clichés la représentaient, l’air moqueur et s’affichant face à des prisonniers palestiniens aux yeux bandés et aux mains attachées.

    Le scandale a aussitôt été dénoncé par l’Autorité palestinienne ainsi que par la presse arabe. Dans les esprits, un parallèle fut rapidement établi avec les séances photographiques humiliantes réalisées par l’armée américaine au sein de la prison irakienne d’Abou Ghraib.

    Depuis dix ans, l’ONG Briser Le Silence, composée de vétérans israéliens, s’est donnée pour mission de lutter contre la corruption au sein de l’armée et de dénoncer les abus commis par ses soldats dans les territoires occupés.

    Des témoignages et des documents sont recueillis auprès d’anciens militaires indignés ou traumatisés par leur expérience. C’est ainsi que de nombreuses photos, illustrant des sévices à l’encontre des Palestiniens, ont été collectées par l’association.

    Mardi après-midi, en réaction aux propos lénifiants du porte-parole de l’armée israélienne -selon lequel Eden Abergil était un cas isolé-, Briser Le Silence a décidé de mettre en ligne, sur sa page Facebook, huit photos témoignant de la généralisation de cette pratique.

    « Juste la partie émergée de l’iceberg », indique Yehuda Shaul, responsable de l’association. « Beaucoup de gens possèdent des milliers de photos mais très peu ont été publiées. On a fait d’Eden un bouc émissaire alors qu’on devrait plutôt s’attaquer à la banalisation de ce phénomène », ajoute-t-il. La cause de ces dérives ? « C’est le résultat de l’occupation et du contrôle quotidien de la population civile », précise Yehuda Shaul. Selon le co-fondateur de l’ONG, « le temps est venu de mettre fin au silence qui facilite la culture du déni ». En 2007, le groupe avait réalisé un documentaire, « To see if I’m smiling », qui dévoilait déjà ce loisir morbide, au sein de l’armée, consistant à poser en photo auprès de cadavres palestiniens.

    Cette nouvelle affaire vient ternir davantage l’image, largement écornée, d’Israël : après le scandale du trafic d’organes, le fiasco de l’opération de Dubaï et l’attaque sanglante de la flotille humanitaire, Tel Aviv n’en finit pas d’incarner le nouveau paria de la communauté internationale.

    Désormais, la propagation, à vitesse numérique, des huit photos mises en ligne, finira d’abattre le mythe selon lequel « Tsahal » - comme l’appellent avec affection ses partisans- serait, comme l’a qualifié encore récemment Bernard-Henri Lévy, « l’armée la plus morale au monde ». In fine, c’est le visage de la société israélienne que les bandeaux apposés sur les yeux des Palestiniens révèlent.

     


    votre commentaire
  • Le Tabou

     


    2 commentaires
  • Iran: La centrale "inacceptable" pour Israël

    Israël juge "totalement inacceptable" le chargement en barres de combustibles de la première centrale nucléaire iranienne et réclame davantage de pressions internationales pour forcer Téhéran à cesser tout enrichissement d'uranium, a déclaré samedi un porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

    source

     


    votre commentaire
  • Déclassification de l’enquête sénatoriale sur le lobby sioniste aux USA

    L’enquête réalisée en 1962-63 par la Commission des Affaires étrangères du Sénat des Etats-Unis sur le lobby pro-israélien dans les médias vient d’être déclassifiée à la demande de l’Institute for Research Middle Eastern Policy. Cette enquête faisait suite aux interventions de l’Attorney général des Etats-Unis, Robert F. Kennedy, pour contraindre les lobbyistes israéliens à se dévoiler.

    Elle établit que le gouvernement israélien, via l’Agence juive, finançait l’American Zionist Council afin de corrompre des journalistes et de « planter » des articles de propagande dans les grands médias US (Reader’s Digest, Saturday Evening Post, Life, The Atlantic…).

    A l’époque, les campagne visaient principalement à dénier l’existence du programme nucléaire militaire israélien et à faire accroire que les réfugiés palestiniens renonceraient à leur droit inaliénable au retour pour se fondre à terme parmi les autres populations arabes.

    Au cours de l’enquête, le gouvernement israélien réforma son système de propagande aux Etats-Unis. Il mit en sommeil l’AZC, qui avait violé plusieurs lois fédérales, et lui substitua l’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee), qui continua ses activités sous un montage juridique plus approprié.

    Part 1 : http://www.voltairenet.org/IMG/pdf/...

    Part 2 : http://irmep.org/ila/Senate/Part2.pdf

    Part 3 : http://irmep.org/ila/Senate/Part3.pdf

    Part 4 : http://irmep.org/ila/Senate/Part4.pdf

     
     

    votre commentaire
  • Le fanatisme dont on ne parle pas souvent

    Naomi Ragen et les "autres" barbus

    1564889-Main_entrance_to_Mea_Shearim-Jerusalem.jpgOn parle peu de Naomi Ragen, et pourtant elle lutte contre l'intégrisme sévissant en ce moment dans plusieurs quartiers de Jérusalem et essaimant en Israèl, voir cet article et celui-là. Il ne se limite plus à Meah Shearim (en photo l'entrée du quartier et les recommandations aux visiteurs) à Jérusalem. Elle connait bien ce dont elle parle, puisqu'elle a vécu dans la communauté « haredim » très longtemps. Dernièrement, elle a dû aller s'asseoir au fond d'un bus Egged, la compagnie nationale, avec les autres femmes, sur l'injonction de juifs ultra-orthodoxes ce qui constitue de fait une ségrégation. Pour elle ce n'est qu'un symptôme parmi d'autres de l'envahissement progressif des préceptes de ces fanatiques de toute la vie sociale israélienne, ceux-ci bénéficiant largement de privilèges et de pensions (quant au service militaire, entre autres...), ce qui est plutôt ironique quand on pense que les premiers fondateurs de kibbutz fuyaient justement cet emprise de la religion et de ses prescriptions arbitraires, en plus de l'antisémitisme.

    Dernièrement, un rabbin de cette tendance a demandé que les femmes ultra-orthodoxes ne portent plus de perruques mais se voilent complètement les cheveux, voire se couvrent le visage tout comme les talibans. Naomi Ragen fait partie de ces femmes israéliennes courageuses qui s'émeuvent de cette progression souterraine des pires sottises qu'elles croyaient oubliées, le tout dû à la radicalisation de certains de ses compatriotes nationalistes. Élie Barnavi explique parfaitement cela dans un entretien, par là. Rappelons que pour ces prises de position courageuses, Élie Barnavi est maintenant qualifié d'allié objectif des islamistes par ses adversaires qui ne veulent surtout pas écouter les voix de la raison et du bon sens.

    On le sait de toutes façons, c'est principalement la question de Jérusalem qui bloque la paix au Proche Orient, du fait de plusieurs facteurs dont le fanatisme des uns et des autres est certainement le plus important, les musulmans n'étant pas en reste, sans parler de certains chrétiens, surtout occidentaux, qui prennent aveuglément partie pour un camp ou l'autre, boutant le feu à la haine par bêtise et irresponsabilité, tout comme ces généreux mécènes qui achètent des quartiers entiers de la ville, les vidant de leurs habitants musulmans ou chrétiens, remplacés alors par des colons venus d'Amérique ou de Russie. Que je sois moi-même bien clair, il ne s'agit pas de s'opposer une seconde à Israël, d'en contester une seconde les droits les plus élémentaires à la sécurité, mais que cet intégrisme dont on ne parle pas provoque également la violence et incite à la haine tout autant que d'autres.

    Et par peur ainsi que par lâcheté, ceux qui ne soutiennent pas par exemple Ayan Hirsi Ali soutiennent encore moins des femmes comme Naomi Ragen. Cette coupable indulgence envers des coutumes d'une autre âge c'est autant de nouveaux "Münich". Cette indulgence certains l'excusent en l'expliquant par les fanatismes des autres religions, et réciproquement : "si nous sommes fanatiques c'est la faute des fanatiques d'en face en somme". Ce qui n'est pas une seconde une justification audible.

    source


    votre commentaire
  • Manœuvre israélienne d’envergure à la frontière avec le Liban

    video liée : Previsions Webbot du 21 juin 2010

    Dans le cadre des préventions à une éventuelle guerre avec le Liban, les médias israéliens ont diffusé les faits d’une manœuvre militaire d’envergure simulant le transport des brigades israéliennes d’un front à un autre, durant la guerre.

    La télévision israélienne a qualifié cette manœuvre de sans précédant, étant donné que c’est la première fois que l’armée transfère des brigades du sud des territoires occupés vers les frontières nord avec le Liban.

    Pour le commandant du département du Transport des troupes, le général Youram Azoulai, il s’agit d’un grand transfert de chars, de blindés, d’artillerie et de soldats du sud vers le nord.

    Cette manœuvre a pris en considération les scénarios d’une prochaine guerre, au cours de laquelle le Hezbollah lancera des milliers de roquettes non seulement vers le front intérieur mais aussi sur les routes principales empruntées par l’armée.

    Raison pour laquelle, le général Youram Azoulai, a recommandé aux soldats d’élargir l’étendue de leur déploiement, pour réduire au maximum le taux des pertes dans leurs rangs.

    En revanche, plusieurs officiers ont émis des doutes sur la faisabilité d’un tel déplacement sous le feu des missiles de l’"ennemi".

    Pour le chef de la Brigade logistique, le général Nisem Peretz, "la menace grandissant de l’ennemi, notamment au niveau des missiles, entravera, sans doute, le mouvement de notre armée".

    Un autre chef d’une Brigade, le général Fayshben, a, lui aussi, émis des doutes sur "la possibilité de déplacer les réservistes vers le front nord, au moment même ou le front interne sera ciblé par les missiles ennemis".

    Entre-temps, le quotidien Yediot Ahranot, a rapporté que l’armée israélienne a intensifié les entrainements militaires dans les hauteurs du Golan afin d’habituer les soldats à agir dans des terrains similaires aux deux fronts syrien et libanais et notamment la vallée de Houjeir (sud-liban), où des dizaines de soldats israéliens avaient été tués ou blessés par les tirs du Hezbollah.

    Il est à noter que ces manœuvres interviennent quelques jours après l’agression israélienne, du 3 août, contre le Liban, durant laquelle l’armée libanaise a riposté aux violations de l’occupation, tuant un officier et blessant un autre.


    votre commentaire
  • Une forêt sur les ruines

    «Un jour, une Intifada bédouine éclatera»

    Le Temps - Le hameau d’Al-Arakib, dans le désert du Néguev, a a été rasé mardi pour la troisième fois. La politique de sédentarisation par Israël est un échec.

    Il faut s’armer de patience pour trouver Al-Arakib. Car ce village bédouin situé un peu au nord de Beer-Sheva, la «capitale du désert du Néguev», n’est pas reconnu par l’Etat hébreu et il ne figure pas sur les cartes. Pourtant, le 27 juillet dernier, 1250 policiers accompagnés de 12 bulldozers ont envahi ce hameau et l’ont rasé en moins d’une heure. Depuis lors, ses habitants reviennent quotidiennement sur place et assemblent à la hâte des baraquements qui sont aussitôt détruits par des forces de l’ordre stationnant en permanence dans les environs.

    Mardi, Al-Arakib a donc été démoli pour la troisième fois en moins de deux semaines, mais les habitants ont d’ores et déjà promis de le reconstruire. «On nous expulse de nos terres ancestrales juste avant le ramadan, mais nous ne partirons pas d’ici. Nous n’acceptons pas d’être traités comme des chiens», fulmine Awad Abou Farikh, le porte-parole des habitants.

    Une forêt sur les ruines

    En attendant, le territoire d’Al-Arakib ressemble à un champ de bataille sablonneux. Les ruines des 45 habitations détruites sont dispersées au gré du vent. Quelques boîtes métalliques rouillées traînent ici où là. «Un jour, une Intifada bédouine éclatera. Les juifs vont payer pour ce qu’ils nous font», jure Awad, un ouvrier qui campe à l’endroit où il résidait avant l’«attaque» et dont les yeux brillent de frustration.

    De fait, ces dernières heures, quelques plantations appartenant à des kibboutzim voisins ont été saccagées et plusieurs véhicules incendiés. Principalement visés, les camions du Fonds national juif (KKL), une organisation qui récolte de l’argent auprès des communautés juives de la diaspora pour «reverdir le désert» et qui promet de planter une forêt sur les ruines d’Al-Arakib. Mais une partie de l’espace dégagé abritera également des installations militaires. A long terme, quelques hectares devraient également accueillir certains des colons de Cisjordanie évacués dans le cadre d’un accord de paix avec l’Autorité palestinienne.

    «Nous avons perdu nos terres au terme de onze ans de procédure judiciaire parce que les tribunaux israéliens exigeaient des actes de propriété écrits alors que notre patrimoine se transmet selon la tradition orale. Face à une administration hostile, notre parole ne valait donc rien», soupire un ancien du village, un cheikh qui promet de «déclencher une guerre d’indépendance bédouine».


    votre commentaire
  • Le judaïsme et la France


    votre commentaire
  • Marine Lepen membre de la délégation pour les relations avec Israel(mandat européen)

     

     


    votre commentaire
  • En France, un écrivain, père de huit enfants, est incarcéré pour ses recherches historiques. Et la presse dite "libre" n’en dit rien !

    Né en 1969, marié et père de 8 enfants, le Français Vincent Reynouard est ingénieur chimiste de formation, issu de l’ISMRA (Institut des sciences de la matière et du rayonnement atomique) de Caen. Il se présente volontiers comme catholique traditionaliste et ne cache pas ses opinions politiques ultra-conservatrices. Mais, surtout, il conteste publiquement, sous la forme de DVD et d’écrits, la version classique de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. ll fait partie de ces chercheurs se proclamant « révisionnistes » et qualifiés de « négationnistes » car ils ne croient pas à l’existence des chambres à gaz homicides dans les camps de concentration allemands.

    En 2005, Reynouard écrit et envoie à des syndicats d’initiative, des musées et des mairies un fascicule de 16 pages intitulé « Holocauste ? Ce que l’on vous cache », dans lequel il prend le contre-pied de l’histoire académique. La justice française s’abat aussitôt sur lui.

    En première instance, il est condamné, en 2007, par le tribunal correctionnel de Saverne (Bas-Rhin) à 1 an de prison ferme, 10.000 euros d’amende et 3.000 euros de dommages et intérêts pour la LICRA. En appel, en juin 2008, la Cour de Colmar confirme la peine de prison et le condamne à un total de 60.000 euros (20.000 euros d’amende + publications forcées et frais divers). Du jamais vu.

    Comme Reynouard réside en Belgique, la France lance contre lui un mandat d’arrêt européen pour l’obliger à purger la peine de 1 an de prison ordonnée par la Cour d’appel de Colmar. Le 9 juillet dernier, il est emprisonné par la police belge, en attendant son extradition en France. Ce qui fait dire à l’intéressé : « Quand on ne songe qu’à la mise en prison pour se débarrasser d’un contradicteur, c’est qu’on n’a pas d’arguments. »

    Conclusion : un homme de 41 ans, père de 8 enfants, est actuellement emprisonné pour ses recherches historiques, en raison de la loi Gayssot.

    Cette loi, promulguée au Journal officiel de la République française le 14 juillet 1990, interdit, dans son article 24bis, le fait de « contester (…) l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité tels qu’ils sont définis par l’article 6 du statut du tribunal militaire international [dit de Nuremberg] annexé à l’accord de Londres du 8 août 1945. »

    Dans mon livre Sarkozy, Israël et les juifs (Oser dire, 2009), j’ai rappelé que cette loi liberticide a été vivement critiquée par des personnalités comme l’académicienne française Simone Veil ; le Secrétaire perpétuel de l’Académie française, Hélène Carrère d’Encausse ; les ministres Jean Foyer, Jacques Toubon, Alain Peyrefitte ; les historiens Henri Amouroux, Pierre Vidal-Naquet, Annie Kriegel, François Furet, Alain Besançon, Jacques Willequet et François Bédarida ; la fondatrice de l’Institut de recherche Hannah Arendt, Chantal Delsol ; le prix Nobel d’économie 1988, Maurice Allais ; les écrivains Michel Tournier, Louis Pauwels, Michel Houellebecq, Philippe Muray, Jean Daniel, Vladimir Volkoff, Michel Rachline et Alain Robbe-Grillet ; les magistrats Philippe Bilger, Alain Marsaud et Raoul Béteille ; les juristes Olivier Duhamel, Anne-Marie Le Pourhiet, Emmanuelle Duverger, André Decoq et Guy Carcassonne ; les avocats Jacques Vergès et John Bastardi Daumont ; le philosophe Paul Ricoeur ; l’humoriste Bruno Gaccio ; des défenseurs de la liberté d’expression comme le fondateur de Reporters sans frontières Robert Ménard (qui la dénonce comme une « police de la pensée ») et Gabriel Cohn-Bendit ; les journalistes Dominique Jamet, Delfeil de Ton, Alain Rollat, Albert du Roy, Philippe Tesson, Jacques Julliard et Ivan Rioufol ; ou encore l’ancienne présidente de la Ligue des droits de l’homme, l’historienne Madeleine Rebérioux. À l’étranger, le linguiste américain Noam Chomsky s’en est déclaré l’adversaire absolu. Pour le physicien et intellectuel belge Jean Bricmont, « la loi Gayssot est une régression juridique de plusieurs siècles ». Les présidents Hugo Chavez et Mahmoud Ahmadnedjad ont, quant à eux, condamné sévèrement cette répression.

    Il nous incombe désormais de défendre la libre expression dans les faits et non plus seulement en théorie. Pourquoi n’entend-on personne dénoncer publiquement le sort réservé à Vincent Reynouard ? Que font Reporters sans frontières, Amnesty International et Human Rights Watch ? Aucun média, ni français ni étranger, n’a informé l’opinion de cette affaire. Un tel silence est anormal.

    Personnellement, j’ai décidé de réagir en tant qu’historien et citoyen, et de faire savoir, par ce communiqué, combien je suis révolté par le fait que, chez nous, on jette en prison un homme pour ses opinions, aussi insolites, stupéfiantes et controversées soient-elles. Un tel traitement est indigne de la France et de sa tradition intellectuelle. La loi n’a pas à intervenir dans la définition de la vérité historique : dans un État libre, cette fonction est celle des historiens. La loi Gayssot, qui restreint la liberté du chercheur, est contradictoire avec la notion d’État démocratique ; c’est une loi scélérate. Je demande en conséquence son abrogation immédiate.

    J’espère être bientôt rejoint par des dizaines, des centaines, des milliers d’autres personnes ne pouvant rester indifférentes face à ce scandale qui nuit gravement à l’image de la France et bafoue l’esprit de la République.

    Celles et ceux qui veulent cosigner avec moi ce communiqué peuvent m’envoyer leur nom et leurs coordonnées à cette adresse : eugenie.blanrue@laposte.net. Il ne s’agit pas de soutenir les idées religieuses, politiques ou historiques de Vincent Reynouard, mais de défendre son droit à les exprimer. Pour les contester, il suffit d’un débat démocratique, ouvert, franc et loyal.

    Nous ferons le point sur ces signatures à la fin du mois de septembre prochain. En attendant, merci de diffuser ce texte au maximum.


    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique