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  • Les similitudes troublantes du virus H1N1 et de la grippe espagnole de 1918

     

     


    Des scientifiques canadiens ont infecté des singes macaques avec le virus de la grippe espagnole. Les poumons des singes étaient complètement détruits après quelques jours. Les chercheurs ont pu observer et mieux comprendre le remarquable pouvoir meurtrier de ce virus.

    La grippe espagnole a tué près de 50 millions de personnes en 1918 et 1919. Près de 2% des gens infectés succombaient. Ce virus, comme plusieurs autres virus, s’était d’abord attaqué aux oiseaux avant qu’une modification génétique lui permette d’infecter aussi les humains. La raison de sa virulence n’avait jamais été entièrement élucidée par les scientifiques.

    Pour en savoir plus, un groupe de recherche dirigé par Darwyn Kobasa, chercheur à l’Agence de Santé Publique du Canada à Winnipeg, au Manitoba, a recréé, en laboratoire, une version du virus de la grippe espagnole et a infecté quelques singes. La création de ce fameux virus n’est pas nouvelle. En 2005, des scientifiques étaient parvenus à reconstruire le virus de la grippe espagnole en prélevant des fragments génétiques du corps d’une victime retrouvée enterrée dans le permafrost en Alaska.

    Le virus de 1918 se propage plus rapidement et plus agressivement chez les singes que les virus habituels. Alors que la réaction immunitaire à un virus saisonnier s’atténue généralement après quelques jours, cette fois le système immunaire s’emballe. Les symptômes apparaissent 24 heures après l’exposition au virus et entraînent la destruction rapide des tissus des poumons. Les victimes meurent littéralement noyées, les poumons gorgés de liquide et de sang.

    Selon Darwyn Kobasa, le virus n’est pas directement responsable des lésions causées aux poumons. C’est la réponse immunitaire du corps à ce virus qui entraînerait les symptômes mortels. Kobasa et son équipe ont identifié le gène humain impliqué dans cette réponse immunitaire inhabituelle . Il s’agit du gène RIG-1. Le virus de la grippe espagnole le rendrait inopérant, entraînant du même coup la débandade du système immunitaire.

    Plusieurs scientifiques s’inquiètent des conséquences de la création et de l’expérimentation de virus reconstruits de la grippe espagnole en laboratoire. Et si ce virus tombait entre de mauvaises mains ? Mais Darwyn Kobasa défend sa décision de travailler avec l’un des plus dangereux virus de l’histoire. « Une meilleure compréhension de ce virus permettra aux scientifiques de mieux comprendre les virus de la grippe et leur potentiel à créer des pandémies », estime-t-il.


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  • Grippe A : Le vaccin actuel serait sans effet sur le mutant D225G

    Alors que l’Oms vient de publier un rapport qui, contredisant le précédent, confirme que des cas avérés de mutation dans divers pays (Norvège, Brésil, Chine, Etats-Unis, Mexique, Japon, Ukraine) ont été observé depuis avril - on remercie ses fonctionnaires de nous avoir averti il y a quelques jours -, la vague pandémique ukrainienne, volontairement non différentiée entre grippe saisonnière, H1N1, H1N1 D225G, voire autres affections virales pulmonaires encore non officialisées, déborde de ses frontières.

    Environ 1,7 millions de malades, 100.000 hospitalisés, 400 morts (chiffres du 24/11) en un peu plus de trois semaines en Ukraine, rien ne semble vouloir arrêter la progression qui semble suivre son rythme de croisière à 500.000 malades supplémentaires par semaine. Sans qu’on sache dans quelle proportion se situent les affections pulmonaires graves dont on a pu apprécier les sordides descriptions dans les nombreux témoignages qui parviennent sur les sites d’information alternative : poumons noirs, brûlés, gorgés de sang, hémorragies pulmonaires, décès en quelques jours.
     
    Le Belarus subit les mêmes maux. Le récent témoignage d’un médecin local décrit une maladie similaire « qui est comme un feu qui, s’il n’est pas éteint, brûle tout […] la structure du virus est celle d’une grippe espagnole ». Curieusement, rien ne filtre de ce pays, les dernières statistiques fiables datent du 10 novembre, et indiquaient 223.000 malades.
     
    Aux Etats-Unis, où des pathologies similaires viennent d’être signalées dans l’IOWA (voir mon précédent article), c’est une vague de résistance au Tamiflu qui vient d’être signalée par Niman, où, contrairement aux affirmations de Roche qui défendent une mutation spontanée, il avance la théorie que c’est déjà le D225G qui se transmet par supports multiples en se recombinant. Il sera difficile, maintenant que l’OMS a admis l’existence d’une mutation aux Etats-Unis, de ne pas y voir le D225G, d’autant avec les similarités pathologiques de l’IOWA. Raison de cette résistance farouche des médias américains ? C’est la même souche que la grippe espagnole de 1918 !
     
     
    Alors que Niman explique qu’en finalité les échantillons de Norvège contiendraient essentiellement le D225E, plutôt que le D225G, présent sur un seul échantillon norvégien, mais majoritaire dans les échantillons ukrainiens , arrive la question du jackpot :
     
    « A : - Est-il possible d’accéder au D225G avec un vaccin ?
     
    Niman : - La cible du vaccin n’était pas le clone avec le D225G
     
    A : - Reposons la question à nouveau : Peut-on raisonnablement penser que le vaccin contienne de quoi atteindre le D225G ?
     
    Niman : - Non. D225G n’est pas dans le vaccin actuellement utilisé dans les vaccinations (il était dans un clone non sélectionné pour la chaîne de fabrication) »
     
    Si Niman avertit que le virus se propage toujours, et pense qu’il va poursuivre sa propagation avec la chute des températures, il ne se prononce pas pour 2010. Personne ne s’étonnera donc du forcing médiatique à faire gober l’actuel vaccin à tous les moutons planétaires. Si D225G doit prospérer, il y aura bien un second vaccin à gober en 2010, et nul doute qu’on passera du gavage médiatique au gavage physique, c’est-à-dire qu’il sera obligatoire, quelles que soient les saloperies qu’il pourra contenir.

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  • FINKYTRAINING ( niveau pro )

     

     


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  • Que Dieu bénisse le port d’arme aux USA.


    Autant le dire d’entrée de jeu, je préférerais de loin un monde sans armes à feu avec des humains assez évolués qui ont appris à vivre ensemble en paix. Mais il semble que l’humanité ne soit pas encore parvenue à ce niveau de conscience et à cette réalité. Nous pourrions faire en sorte d’éliminer toutes les armes à feu du monde, mais vous comprendrez que cela relève plus de l’utopie que de la réalité. Par contre, il serait beaucoup plus facile d’armer la population en général.

    Ceci étant dit, j’aimerais soulever la question des armes à feu, de leur accessibilité, de leur contrôle, voir même leur interdiction, par le gouvernement. Il se trouve que j’ai longtemps pensé que les armes à feu étaient principalement utilisées dans les conflits armés et les guerres, pour la chasse et le tir, ainsi que pour l’autodéfense. L’image négative des armes est probablement causé par les images qui nous parviennent des guerres, mais plus certainement aussi des meurtres, crimes et tueries perpétrés à l’aide d’armes à feu, et avec raison. Pourtant, la plus grande cause de mort non naturelle du 20e siècle est les gouvernements. Ceci est malheureusement un fait historique.

    Chaque fois que nous sommes témoins d’une tuerie dans une école ou ailleurs, commise par un dérangé armé d’un fusil, on se demande tout de suite pourquoi les armes à feu ne sont pas tout simplement bannies, interdites pour tous. Ce débat est particulièrement sensible aux États-Unis, alors que le droit à la possession et au port d’armes à feu arrive tout juste second en priorité, après la reconnaissance des droits et libertés qui constituent le premier Amendement de la Constitution des États-Unis d’Amérique.

    C’est que depuis un certain temps, dans ce pays, on discute de retirer et interdire certaines ou toutes armes à feu. Certains états imposent déjà cette interdiction et proclament des « zone sans armes à feu ». Et depuis l’arrivée au pouvoir de Barack Obama, on parle davantage de bannir certaines armes à feu et les interdire à certains segments de la population, en pleine continuité de l’administration Bush. On discute aussi d’imposer de nouvelles mesures demandant de graver un numéro de série sur chaque balle produite aux États-Unis. Cela augmentera le prix des munitions et imposera un contrôle fédéral des armes à feu de façon indirecte, c’est-à-dire qu’au lieu de bannir directement les armes à feu, on va contrôler les munitions et restreindre leur accessibilité.

    Ceci est un débat sensible pour les Américains qui eux, continuent de réagir en achetant des niveaux records d’armes à feu et de munitions depuis plus d’un an. Cela serait dû à la crainte que l’administration Obama commence à exiger l’enregistrement des armes à feu pour ensuite éventuellement les interdire et les retirer de la population; en plus d’être reliée à la dégradation de l’économie et de la condition générale de la population qui s’appauvrit rapidement. Des troubles civils sont à prévoir dans ce pays, ou du moins, plusieurs les appréhendent.

    D’une part, on peut se demander si une prohibition ou l’enregistrement des armes à feu est souhaitable. Il faudrait voir historiquement ce qui s’est passé dans les pays qui ont pratiqué ou pratique encore une telle approche. Est-ce que le crime a diminué lorsqu’on a interdit les armes à feu? Il serait peut-être nécessaire de faire une réflexion sur la valeur d’une telle approche. Prenons par exemple un meurtre commis à l’aide d’un couteau ou d’un bat de baseball. Penserions-nous à bannir tous les couteaux et les bats de baseball dans la population? La voiture tue des dizaines de milliers de personnes à chaque année. Allons-nous interdire l’utilisation de la voiture? Si une arme à feu est utilisée pour commettre un crime, devons tous les interdire à la population?

    Pour répondre à ces questions, rien de mieux que d’aller consulter quelques faits historiques, des études et des statistiques gouvernementales.

    Or, il se trouve que le Second Amendement de la Constitution des États-Unis n’est pas relié à la chasse ou au tir sportif. La phrase « Security of a free state » indique clairement ce que les pères fondateurs avaient en tête. Les armes dont il est question dans la Constitution sont de nature militaire et il est question de la nécessité qu’elles soient d’égale puissance et efficacité que celles qui pourraient éventuellement être utilisées par un envahisseur; que ce dernier soit une nation étrangère ou un gouvernement central abusif. Il était excessivement clair pour les fondateurs des États-Unis que le besoin de se défendre ne provenait pas tant de son voisin que d’un gouvernement tyrannique:

    “The strongest reason for the people to retain the right to keep and bear arms is, as a last resort, to protect themselves against tyranny in government.” (Thomas Jefferson Papers p. 334, 1950)

    “While the people have property, arms in their hands, and only a spark of noble spirit, the most corrupt Congress must be mad to form any project of tyranny.” — Rev. Nicholas Collin, Fayetteville Gazette (N.C.), October 12, 1789

    “[I]f circumstances should at any time oblige the government to form an army of any magnitude, that army can never be formidable to the liberties of the people while there is a large body of citizens, little if at all inferior to them in discipline and the use of arms, who stand ready to defend their rights and those of their fellow citizens.” — The Federalist, No. 29 — Alexander Hamilton

    “When governments fear the people, there is liberty. When the people fear the government, there is tyranny. The strongest reason for the people to retain the right to keep and bear arms is, as a last resort, to protect themselves against tyranny in government.” — Thomas Jefferson

    George Washington nommait sa collection d’armes privées « les dents de la liberté du peuple ».

    James Madison a déclaré: « Pour préserver la liberté, il est essentiel que toute la population entière possède des armes en tout temps ».

    Thomas Jefferson disait « qu’aucun homme libre ne devrait être désarmé », que « les lois qui interdisent le port d’arme…désarment seulement ceux qui ne sont pas enclins ni déterminés à commettre des crimes… De telles lois rendent les choses pires pour ceux qui sont assaillis et meilleurs pour les assaillants; elles servent plutôt à encourager les homicides que de les prévenir, parce qu’un homme désarmé peut être attaqué avec une plus grande certitude qu’un homme armé ».

    Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Là où les gens ont des armes à feu, les taux de criminalité sont bas. Là où ils sont interdits, le crime est endémique.

    La Grande-Bretagne a adopté une interdiction totale des armes à feu au nom de la sécurité publique. La criminalité a augmentée, incluant les invasions de domiciles et les attaques sur les personnes âgées. Chaque année aux États-Unis, les propriétaires d’armes à feu préviennent des millions de crimes. La police ne prévient aucun crime. Ils arrivent toujours après que le crime soit commis, ont l’air officiel, nettoient les dégâts, encaissent leurs chèques de paye et retournent à la maison. Avec un policier par environ 2000 habitants, difficile de leur en vouloir. Il est simplement impossible d’arriver à prévenir autant de crimes potentiels.

    En Australie, il y a plus d’un an que les autorités ont forcé les Australiens propriétaires d’armes à feu à s’en départir à l’aide d’une nouvelle loi. 640 381 armes à feu personnelles ont été ainsi détruites par leur gouvernement, un programme qui a couté plus de $500 millions de dollars aux Australiens. Les premiers résultats sont disponibles:

    Sur tout le territoire australien, les homicides sont à la hausse de 3,2%, les assauts ont augmenté de 8,6% et les vols à main armée ont explosé d’un spectaculaire 44%. Dans l’état de Victoria seulement les homicides avec armes à feu ont augmenté de 300%. Il est à noter que les citoyens qui respectent la loi ont dû abandonner leurs armes, alors que les criminels les possèdent toujours. Ceci est exactement le problème avec ces types de loi. Le peuple se retrouve désarmé alors que les criminels conservent leurs armes, tout comme les autorités. Alors que les statistiques australiennes montraient une baisse continue depuis 25 ans des vols à main armée, cela a drastiquement changé à la hausse depuis les douze derniers mois, puisque les criminels savent maintenant avec garantie que leur proie est désarmée.

    Nous savons que le programme d’enregistrement des armes à feu du Canada a été une véritable catastrophe qui a coûté une fortune.

    Jetons un coup d’œil à l’Histoire du contrôle des armes à feu:

    - En 1929, l’Union Soviétique a établie un contrôle des armes à feu. De 1929 à 1953, environ 20 millions de dissidents, incapables de se défendre par eux-mêmes, ont été mis en état d’arrestation et exterminés.

    - En 1911, la Turquie met en place sa loi pour contrôler les armes à feu. De 1915 à 1917, c’est 1,5 million d’Arméniens, incapables de se défendre, qui seront interceptés et exterminés.

    - L’Allemagne imposera un contrôle des armes à feu en 1938 de 1939 à 1945, des millions, incapables de se défendre seront enlevés et exterminés.

    - La Chine en fera autant en 1935 et de 1948 à 1952, 20 millions de dissidents politiques incapables de se défendre seront arrêtés et exterminés.

    Le Guatemala a établi un contrôle des armes à feu en 1964. De 1964 à 1981, 100 000 indiens subiront le même sort.

    - En Ouganda, établira une politique identique en 1970. De 1971 à 1079, 300 000 chrétiens, incapables de se défendre, seront enlevés et exterminés.

    - Au Cambodge, un contrôle des armes à feu fut imposé dès 1956. De 1975 à 1977, un million de personnes « éduquées » incapables de se défendre, seront exterminées. Le tiers de la population cambodgienne.

    Le nombre de personnes qui furent interceptées et exterminées durant le 20e siècle à cause des lois sur le contrôle des armes à feu s’élève à environ 56 millions. (Source)

    Ce fut la même chose avec des tyrans comme Staline, Hitler et Mao qui ont tous cherché à désarmer leurs citoyens pour mieux les contrôler et assurer leur propre pouvoir. Plusieurs victimes de génocides n’ont pas pu se défendre adéquatement avec les moyens nécessaires pour se défendre eux-mêmes.

    Heinrich Himmler; Reichsfuhrer-SS, a déclaré un jour que: « les Allemands qui souhaitent utiliser des armes à feu devraient joindre les SS ou les SA – les citoyens ordinaires n’ont pas besoin de fusils, puisque leur possession de ceux-ci ne sert pas l’État ».

    D’un autre côté, il y a la Suisse où les hommes de 20 à 42 ans sont requis par la loi de posséder une arme à feu. Les Suisses n’ont quasiment pas de meurtres et un taux très bas de criminalité.

    Selon une étude de l’Académie nationale des sciences et du Département de la Justice américaine, le contrôle des armes à feu de réduit pas le crime, ni la violence et ne trouve aucun bénéfice à en restreindre la possession.

    On craignait au Michigan que les choses se dégradent après avoir rendu plus facile d’obtenir une licence de port d’armes il y a six ans. Les habitants de cet état américain ont augmenté le nombre de licences octroyées de six fois, mais les sombres prédictions d’augmentation de la violence et d’effusion de sang ne se sont jamais vraiment matérialisées, selon les forces policières et les statistiques des crimes. Ces incidents sont plutôt à la baisse depuis ce temps.

    Une facette de cela que les médias vont toujours ignorer est la pratique d’autodéfense. Par exemple, la plupart du monde ignore que les citoyens américains utilisent une arme à feu, sans nécessairement tirer un projectile, plus de 2,4 millions de fois par année, soit environ 6 500 fois par jour. Cela signifie que chaque année, les armes à feu sont utilisées soixante fois plus souvent pour se protéger de la part d’honnêtes citoyens que pour enlever la vie à quelqu’un. De ce chiffre, 192 000 sont des femmes qui se défendent d’un assaut sexuel. Seulement que 8% des 2,4 millions d’utilisations d’armes à feu résultent en un coup tiré, alors que dans 92% des cas, la seule présence d’une arme à feu suffit à arrêter le crime et repousser les assaillants.

    Un autre fait ignoré par les médias est le lien entre les tueries et les zones sans armes à feu, comme dans le cas du massacre en Virginie, ainsi que la fréquence avec laquelle ont retrouve ces dangereux tueurs sur des médicaments comme des antidépresseurs. (Source: 1, 2, 3)

    Il n’est pas difficile de démoniser les fusils, ils sont dangereux et peuvent causer de graves dommages. Il serait mieux de vivre dans un monde où ils n’existent pas. Mais ce n’est pas le cas. La Constitution des États-Unis donne donc aux Américains le droit de porter des armes pour que n’importe qui aurait l’idée d’imposer une tyrannie ferait mieux d’y penser deux fois.

    Le peuple américain est le plus armé de l’Histoire et il y a une bien réelle peur dans les cercles de contre intelligence US, incluant le FBI et le DHS que les misères causées par la situation économique dégénèrent en résistance publique massive. C’est pourquoi le projet de loi H.R. 2159, the Denying Firearms and Explosives to Dangerous Terrorists Act of 2009 est né.

    Obama a déjà sorti sa liste d’armes à interdire. Rahm Emanuel a déclaré que si quelqu’un était sur la « no-fly list », la liste d’interdiction de vol, sur laquelle on peut atterrir seulement pour être « soupçonné » d’être un potentiel terroriste ou d’y être relié d’une façon ou d’une autre par le gouvernement, il ne sera pas permis de posséder des armes à feu:

    “If you are on that no-fly list, your acces to the right to bear arm is canceled, because you’re not part of the American family. You don’t deserve that right, there is no right for you if you are on that terrorist list.” – Rahm Emanuel (Source)

    Le problème est que plus d’un million de personnes se retrouvent sur cette liste! N’importe qui se retrouvent sur cette liste, même des enfants. Nous savons tous que la majorité des gens qui se retrouvent sur ces listes le sont par erreur, et avec la définition du terrorisme qui ne cesse de s’élargir pour inclure jusqu’à des dissidents politiques, à peu près n’importe qui peut s’y retrouver sans avoir fait quoi que ce soit d’illégal. (Source)

    Encore une fois, il faut revoir les chartes qui montrent la relation entre le contrôle des armes à feu et les génocides. Tous les génocides du 20e et 21e siècle ont commencé avec une interdiction des armes à feu pour la population ciblée.

    Lors du dernier siècle, les gouvernements ont tué quatre fois plus de civils que ce qui fut tué dans tous les conflits internationaux et nationaux combinés. Les gouvernements ont tué plus de gens que les criminels communs ont pu le faire. Comment cela est-il possible? Les gouvernements avaient le pouvoir, et le peuple, les victimes, n’étaient pas en mesure de résister. Les victimes étaient désarmées. La formule est la suivante: la haine, combinée à un gouvernement hors de contrôle et des civils désarmés = génocide. Une population désarmée est une population esclave. Lorsque le peuple a peur du gouvernement, il y a tyrannie; lorsque le gouvernement a peur du peuple, il y a liberté.

    Il semble donc qu’on puisse dire que lorsque la population laisse au gouvernement le soin et pouvoir de
    contrôler les armes à feu, elle se tire une balle dans le pied…

    mondialisation.ca

    Superbe article qui remet les pendules à zéro !!!

    Moi même j’ai été manipulé par le discours franco français contre les armes à feu, il n’y a que quelques mois que j’ai révisé ma position.
    J’ai compris que dans certaine situation, il est préférable que la population soit armée.Comme vous avez pu lire dans l’article, tout les régimes totalitaires ont désarmé leurs populations et vous avez bien compris que nos sociétés se radicalisent, et virent totalitaires… à grande vitesse.C’est cela qui m’a fait changer d’avis sur le port d’arme.Si toute une population est armée, elle pourra se défendre contre un gouvernement fasciste, et chaque jours que Dieu fait nous avons la preuve que l’europe se transforme en union soviétique à la solde d’élites dégénérées qui n’ont peur de rien.C’est vraiment dommage que les européens soient totalement pacifiés et qu’ils ne possèdent pas une culture des armes à feu. Un signal important sera un controle accru des armes aux USA, je crois avoir lu quelque part qu’ils se dirigent vers un système de balles numérotées !!, lorsque les armes à feu seront controlées ou interdites, c’est que le gouvernement US sera prêt à s’attaquer à peuple.

    L’article l’explique très bien, de tout temps, c’est l’état l’ennemi, c’est l’état qui opprime, massacre et extermine, jamais les gens ne s’entretueraient comme ça pour rien !!!
    Le droit à se défendre est essentiel et je comprends de plus en plus que ce soit une règle fondamentale chez les américains.

    Protegez vous, envisagez le pire et agissez en conséquence, ” mieux vaut prévenir que guérir “


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  • États-Unis: l’agence de gestion des crises veut utiliser les sites de socialisation. La FEMA sur facebook !


    L’agence américaine de gestion des crises (Fema), très critiquée il y a quatre ans après le cyclone Katrina, veut mettre à profit les sites de socialisation sur internet comme Twitter et Facebook pour communiquer en cas d’urgence, a annoncé son chef.

    Selon Craig Fugate, ces outils peuvent aussi bien faire remonter les informations sur des catastrophes aux autorités qu’informer les habitants des zones à risque ou sinistrées.

    «Lors d’une catastrophe, le public nous donne des renseignements sans prix», a affirmé M. Fugate, qui dispose déjà d’un compte sur le site de micro-blogues Twitter, tandis que la Fema entretient une page sur le site de socialisation Facebook.

    Ces services pourraient prendre le relais au cas où les réseaux classiques de communication seraient inopérants, selon l’administrateur.

    En 2005, alors que la Louisiane et le Mississippi avaient été ravagés par le cyclone Katrina, l’inefficacité des opérations de secours avait été mise en partie sur le compte des difficultés de communication entre les différents services, faute d’appareils de transmission compatibles.
    cyberpresse

    En plus de pouvoir toucher beaucoup de gens, une armée de petit délateur pourra aider le gouvernement dans des temps de crise.Ce sera bien plus fun de balancer ses voisins sur facebook que d’appeler la police.J’imagine bien des gens dire ” mon voisin ne c’est pas fait vacciner ” par exemple.

    ” Ces services pourraient prendre le relais au cas où les réseaux classiques de communication seraient inopérants ” Que veulent ils dire par là ?
    La gestion de crise possible grace à une société privée, je pense que c’est surtout pour drainer des informateurs, en se servant de la population comme agent de sécurité ou de surveillance.
    Nous allons tout droit vers une société de délation, de haine et de division.


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  • PÉTROLE/Les tensions géopolitiques et le dollar faible font grimper le baril

    Londres (awp/afp) - Les prix du pétrole grimpaient d'un dollar et demi, dépassant les 79 dollars lundi en fin d'échanges européens, soutenus par les tensions géopolitiques avec l'Iran et la faiblesse renouvelée du dollar, qui a propulsé l'or à de nouveau record historique.

    Vers 17H00 GMT (18H00 à Berne), le baril de Brent de la mer du Nord, échangé à Londres, pour livraison en janvier, prenait 1,67 dollar à 78,87 dollars.

    A la même heure, le baril de "light sweet crude" échangé à New York, pour livraison en janvier (premier jour de cotation de ce contrat), prenait 1,53 dollar à 79,00 dollars, après un pic à 79,92 dollars.

    Les cours continuaient à profiter lundi d'inquiétudes géopolitiques en Iran, sur fond de faiblesse persistante du dollar.

    Les forces armées iraniennes ont mené lundi un exercice de défense contre une éventuelle attaque nucléaire, bactériologique ou chimique (NBC), au deuxième jour de grandes manoeuvres destinées à tester la protection des sites nucléaires du pays.

    Les craintes d'une possible interruption de la production iranienne sont "injustifiées", estime toutefois Eugen Weinberg, de Commerzbank, sachant que "les capacités de production mises en réserve par l'Organisation des pays producteurs de pétrole (Opep) avoisinent 6 millions de barils par jour (mbj)", soit près de 2 fois la production quotidienne de l'Iran.

    Selon l'Agence internationale de l'Energie (AIE), l'Iran a produit 3,7 mbj en octobre.

    Autre facteur de soutien des cours, le dollar replongeait lundi matin face à l'euro, dopant les achats de matières premières. La faiblesse du dollar renforce le pouvoir d'achat des investisseurs munis d'autres devises, et elle incite les spéculateurs à acheter des matières premières pour se prémunir contre l'inflation.

    Poussée par le dollar faible, l'once d'or a encore enchaîné les records lundi, culminant à 1174 dollars sur le London Bullion Market.

    L'ascension des prix, de près de 30 dollars en décembre dernier, à quelque 80 dollars environ, a été due en bonne partie aux "spéculateurs, qui utilisent le pétrole comme protection contre la baisse du dollar", a jugé lundi dans son rapport mensuel le cabinet Centre for Global Energy Studies (CGES), qui souligne la faiblesse du marché physique.

    "Les prix ont grimpé en dépit du fait que la demande mondiale de pétrole a chuté de presque 3 mbj depuis fin 2007, que le commerce international se soit effondré et que les stocks de pétrole débordent, avec plus de 140 millions de barils de pétrole et de produits pétroliers stockés dans des bateaux".

    Toutefois, pour le cabinet "les cours du pétrole devraient rester autour de leurs niveaux actuels durant l'hiver (de l'hémisphère nord), l'offre et la demande étant assez équilibrée".

    "Etant donné l'état peu reluisant de l'offre et la demande, il est probable que les cours de l'énergie tombent sous le plancher des niveaux de prix où il évoluent", estime de son côté William Copp, analyste chez MF Global.

    rq

    (AWP/23 novembre 2009 18h30)


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  • Réchauffement : des pirates mettent de l'huile sur le feu

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    En publiant des courriels volés dans un centre de recherche britannique sur le climat, une mystérieuse équipe provoque une polémique en prétendant montrer que les scientifiques trichent lorsqu'ils annoncent un réchauffement de la planète. Les données sont publiées sur un serveur russe, à deux semaines de la réunion de Copenhague et font les délices des climato-sceptiques.

    La base de données du Climate Research Unit (CRU) de l'université East Anglia a été piratée par des hackers, qui ont récupéré des courriels échangés depuis treize ans par des chercheurs spécialistes du climat et participant, pour nombre d'entre eux, au Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat).

    Plus d'un millier de ces documents ont été immédiatement rendus publics sur un serveur installé en Russie. L'introduction de la page indique clairement l'objectif. Ces échanges démontreraient que les scientifiques faussent leurs résultats pour faire admettre la réalité d'un réchauffement de l'atmosphère terrestre dû à l'homme.

    Dans un communiqué, le CRU a reconnu le vol et l'authenticité d'au moins une partie des courriels mais « le volume du matériel publié et son éparpillement en petits documents font qu'il est impossible de confirmer quelle proportion est réelle ». La police britannique a ouvert une enquête.


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  • Stratégie de l'OMS et du NWO

     

       Il est extrêmement important de remarquer que les médias officiels ont minimisé le plus possible la nouvelle très sérieuse et inquiètante d’une mutation du virus H1N1 vers une forme plus létale. Quasiment aucun média n’a repris l’information, ce qui semble très bizarre étant donné la gravité de cette nouvelle.
     
     Comme nous le savons tous, les médias officiels fonctionnent sur ordre et ne sont pas des médias libre de parole, ils ne sont qu’un moyen de communication privilégié pour permettre aux élites d’imposer leurs vues, leurs politiques, … leur vérité fabriquée de toute pièce, à l’ensemble des populations.
     
     On peut donc, sans trop prendre de risque, penser que les médias officiels à travers le monde minimisent, voire ignorent délibérément la mutation du virus H1N1. Il n’est pas encore temps selon le plan initial de l’OMS et Big Pharma de profiter de cette information pour faire avancer leur « opération pandémie ». L’heure n’est pas à la panique pour le moment.
     
     En effet, le taux de mortalité du virus H1N1 mutant se situe entre 0.5 et 0.7% des personnes infectées, ce qui donnerait un nombre de 10 000 décès en Ukraine, nous sommes très loin de ce chiffre avec moins de 400 morts jusqu’à présent déclarés en Ukraine.
     
     Beaucoup de rapports venant d’Ukraine indiquent qu’un grand nombre de décès n’ont pas été comptabilisés comme étant dus à la nouvelle souche du virus H1N1, ceci vient confirmer qu’il existe bel et bien un trucage des résultats en Ukraine pour minimiser le nombre de mort.
     
     La stratégie dictée aux gouvernements par l’OMS est pour le moment de minimiser au maximum le nombre de décès dus au nouveau virus, de parler le moins possible de la mutation du virus, d’attendre que l’OMS déclare successivement que la souche mutante s’est propagée tous les jours dans un nouveau pays. Une fois la mutation ayant officiellement atteint la totalité du globe, les médias et les gouvernements se mettront à donner les vrais chiffres concernant le nombre de décès du nouveau virus H1N1. Une compagne de terreur suivra pour convaincre les dernies récalcitrants.
     
     Cette période risque de coïncider avec le gros de l’arrivée des vaccins, ce qui peut varier d’un pays à l’autre. En France cela est prévu entre fin Décembre et Janvier, la première vague de vaccination se terminant à la mi-Février, leur marge de manœuvre est donc assez grande pour ajuster leur timing le moment venu.
     
    [http://www.infowars.com/hold-off-on-calling-this-pandemic-overblown-or-a-dud-just-yet/]url: http://www.infowars.com/hold-off-on-calling-this-pandemic-overblown-or-a-dud-just-yet/
     
     Au final, le vaccin quoique “dangereux” ne semble pas destiné à décimer les populations, il a déjà rempli son objectif en rapportant des milliards de dollars aux fabricants de vaccins, utiliser le vaccin contre la nouvelle souche du virus est totalement inutile, voire empirerait les choses, affaiblissant davantage votre système immunitaire sans apporter de contreparties. La panique créée par un virus mutant, plus létal, pourrait server à réduire directement la démographie, ou du moins pourrait servir de vecteurs pour les élites pour atteindre leurs objectifs eugénistes.


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  • L’énergie osmotique à l’essai en Norvège

     


     

    Après le vent, le soleil, les courants et les marées, des chercheurs veulent mettre à profit un autre don de la nature, la réaction obtenue quand eau douce et eau salée se rencontrent, pour produire de l’électricité sans asphyxier la planète.

    Nouvelle étape dans la quête d’énergie propre, la Norvège va inaugurer mardi sur les rives du fjord d’Oslo le premier prototype au monde de centrale osmotique, un projet à échelle réduite mais jugé prometteur.

    “C’est une forme d’énergie renouvelable qui, contrairement au solaire ou à l’éolien, produit un volume d’électricité prévisible et stable, quelle que soit la météo”, explique Stein Erik Skilhagen, responsable du projet chez Statkraft, compagnie publique norvégienne spécialisée dans les énergies propres.

    Exploitant le principe selon lequel la nature aime l’équilibre, l’énergie osmotique joue sur les différences de concentration entre liquides.

    Si l’on met en contact deux masses d’eau, l’une douce, l’autre salée, séparées par une membrane –fine pellicule qui bloque le sel mais laisse passer l’eau–, la première, moins concentrée, migre naturellement vers la seconde, jusqu'à parvenir à équilibrer les concentrations.

    Ce déplacement génère une surpression sur la masse d’eau salée qui, canalisée vers une turbine, peut alors produire de l’électricité.

    Répandu dans la nature –il permet aux plantes de s’abreuver–, le principe de l’osmose est déjà utilisé dans certaines activités humaines, en premier lieu pour le dessalement d’eau de mer.

    Implanté dans les murs d’une ancienne usine de chlore à Hurum, à une soixantaine de kilomètres au sud d’Oslo, le prototype de Statkraft aura une puissance limitée de 2 à 4 kilowatts (kW), tout juste de quoi couvrir les besoins électriques d’un ménage.

    “L’important, pour l’instant, c’est de tester et valider la technologie, pas de produire beaucoup”, souligne M. Skilhagen.

    Mais Statkraft espère pouvoir dès 2015 mettre en service une centrale à l’échelle commerciale, d’une puissance de 25 mégawatts (MW), susceptible d’alimenter quelque 10.000 foyers en électricité.

    Placées aux embouchures de fleuve, où l’eau douce se jette dans la mer, de telles centrales devraient avoir une emprise relativement limitée, un gros stade de football, qui permettra de les enfouir sous des bâtiments industriels ou résidentiels.

    L’eau utilisée doit toutefois être préfiltrée avant utilisation pour limiter le colmatage de la membrane et assurer un transfert d’eau optimal.

    Selon le groupe norvégien, l’énergie osmotique représente un potentiel mondial de 1.700 térawattheure (TWh) par an, l’équivalent de la consommation chinoise en 2002.

    “Tout ce qui contribue au développement des énergies renouvelables est positif au vu de la progression des émissions de CO2 dans l’atmosphère et de l’amenuisement des ressources d’énergie fossile”, commente Gérald Pourcelly, directeur de l’Institut Européen des Membranes affilié au CNRS.

    “Le principe de la centrale osmotique est prometteur car il permet de produire de l’électricité propre”, ajoute-t-il.

    De l’aveu de Statkraft, il reste toutefois un défi majeur, à savoir la confection de membranes affichant une meilleure efficacité énergétique.

    Sur le site de Hurum, avec 2.000 m2 de membranes spiralées, le groupe ne peut pour l’instant récupérer que 3 watt/m2. Ce chiffre devra passer à 5 watt/m2 pour que la technologie soit rentable.

    “C’est indéniablement un point à améliorer”, estime M. Pourcelly. “Je pense qu’avec le temps, on arrivera à 5 ou 6 watt/m2″, ajoute-t-il.
    romandie


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