• Chantage communautaire


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  • Portugal : grève générale historique contre l’austérité

    Enseignants et cheminots mais aussi pompiers, artistes ou médecins : la grève générale contre l’austérité, convoquée mercredi au Portugal, a remporté la plus forte adhésion jamais enregistrée dans l’histoire du pays, selon les syndicats.

    "C’est la plus grande grève jamais réalisée, plus importante que celle de 1988", année de la dernière grève générale unitaire du pays, a déclaré le dirigeant de l’UGT Joao Proença, tandis que son collègue de la CGTP Manuel Carvalho da Silva faisait état de "plus de trois millions de grévistes".

    Le mouvement, convoqué par ces deux centrales syndicales, a provoqué la paralysie quasi-totale des transports publics, et tous les vols commerciaux au départ comme à l’arrivée au Portugal ont été annulés.

    Lire la suite de l’article : http://www.leparisien.fr/flash-actu...


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  • USA et Chine dansent sur le volcan nord-coréen

    Deux morts, 18 blessés, les forces nord-coréennes ont bombardé mardi une île sud-coréenne, déclenchant une riposte de Séoul, qui menace d'énormes représailles, et envisage des manoeuvres militaires conjointes avec les Etats-Unis. Seule puissance à ne pas avoir condamné la Corée du Nord la Chine se retrouve très isolée.



    USA et Chine dansent sur le volcan nord-coréen
    Séoul en état d’alerte maximum, deux soldats tués, 18 blessés, au loin la fumée s’échappant des maisons détruites et la menace « d’énormes représailles ». C’est l’incident le plus grave depuis la fin de la guerre de Corée en1953.
    En tout, la Corée du Nord aurait tiré près de 200 obus sur l'ile de Yeonpyeong. Un affront qui s’inscrit dans la stratégie de Pyongyang de pérenniser son régime et de négocier en position de force avec Washington.

    Pour Séoul, l’heure de la riposte a sonné. Les présidents Barack Obama et Lee Myung-Bak ont convenu de « relever le niveau de préparation » et de tenir des manoeuvres militaires conjointes dans « les jours prochains », a annoncé la Maison Blanche.

    L’échange de tirs intervient alors que l'envoyé spécial américain, Stephen Bosworth, chargé du dossier du nucléaire nord-coréen auprès d’Hillary Clinton, est actuellement en tournée en Asie. Il a notamment rencontré les dirigeants japonais et sud-coréens et est arrivé mardi en Chine.

    Dans le même temps, un universitaire américain a confirmé, le 20 novembre dernier, que la Corée du Nord disposait d’une nouvelle filière nucléaire: l’enrichissement de l’uranium. Siegfried Hecker, de l’université de Stanford, qui visitait, la semaine dernière, ces installations situées dans le complexe atomique de Yongbyon, à une centaine de kilomètres au nord de Pyongyang a déclaré avoir été «stupéfait» par le caractère ultramoderne des installations («comparables aux équipements américains»), et avoir vu «des centaines et des centaines» de centrifugeuses (2000, selon Pyongyang, moitié moins selon les experts américains).

    Des provocations en rapport avec le processus de succession en cours à pyongyang

    Les installations nucléaires du site de Yongbon
    Selon la Corée du Nord, les 2000 centrifugeuses de ce site produiraient d’ores et déjà de l’uranium enrichi à un taux de 3,5% et à des fins simplement civiles. En effet, cet uranium devrait permettre de faire fonctionner une centrale électrique, alors que le pays est au plus mal.
    Selon Siegfried Hecker, ce programme révèle la capacité nord-coréenne à produire de l’uranium enrichi à un taux de 90%, taux nécessaire à la fabrication d’une bombe atomique.

    Joo Hong-Nam, l'ambassadeur de la Corée du Sud pour la sécurité internationale estime que «le régime cherche à consolider son emprise sur le pouvoir par le ralliement de son peuple autour de ces mesures radicales ». Le programme d'enrichissement d'uranium et les provocations font partie des efforts d’installation du successeur de Kim-Jong-Il dans la ligne du  « Songun », la doctrine politique élaborée par le dictateur nord coréen qui donne la priorité à l’armée dans la construction du socialisme nord-coréen.

    « Il semble indéniable que ces actes ont un rapport avec le processus de succession qui a lieu en Corée du Nord », a déclaré Mark Fitzpatrick, de l'Institut international d'études stratégiques. Kim Jong-un a une crédibilité limitée, sinon celle de la lignée dynastique, et ses succès militaires sont inexistants alors qu’il doit s’imposer à une myriade de généraux bardés de médailles.

    La Chine isolée

    Gérer le dossier nord-coréen est peut-être le défi le plus difficile à relever aujourd’hui sur la scène diplomatique mondiale. Totalitaire et fermée, isolée idéologiquement et économiquement en ruine, la Corée du Nord inquiète autant ses ennemis que ses « alliés ».

    La Corée du Sud pourrait demander aux Etats-Unis une présence renforcée des forces armées américaines sur son territoire. Face au conflit inter-coréen, le Japon s’estime de plus en plus vulnérable, la présence d’une seconde puissance nucléarisée sur son front occidental pourrait persuader Tokyo de nucléariser son arsenal militaire afin de préserver l’équilibre dans la région.

    Quant à la Chine qui a dit sa « préoccupation », elle est la seule puissance à ne pas avoir condamner les tirs d’obus nord-coréens et se retrouve désormais très isolée. Obsédé par la stabilité de sa frontière nord-est, où elle redoute un afflux de réfugiés, Pékin, qui aurait pu calmer les ardeurs nord coréennes depuis longtemps entretient une relation des plus ambivalentes avec le régime de Pyongyang. « Il est probable que la Chine va dire, en privé, aux Nord-Coréens d'aller vers une désescalade mais les performances de la Chine en matière de pressions sur la Corée du Nord sont, en fait, très faibles » écrit l’Eurasia Group, centre d’évaluations américains des risques politiques en Asie.  En proie à une crise permanente, Pyongyang est contraint, à intervalles réguliers, de se rappeler au bon souvenir des grandes puissances. Au risque, un jour, à trop jouer avec le feu, les obus et les essais nucléaires, de dépasser le seuil du tolérable.

    Barack Obama a ainsi exhorté la Chine à faire pression sur la Corée du Nord pour lui signifier « l'existence de règles internationales qu'elle doit respecter ». Une invite polie à choisir son camp alors qu'à  Séoul, certains évoquent un état de « semi guerre ».

    Jeudi 25 Novembre 2010
    Régis Soubrouillard - Marianne


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  • La crise irlandaise confirme la suprématie de l'Europe allemande

    Le Vrai Débat - Blogueur Associé | Mardi 23 Novembre 2010

     

    L'euro se casse la figure, les Etats-Unis et la Chine nous concurrencent sévèrement sur la monnaie mais la grande Europe reste passive et continue de prêter de l'argent à tout va. L'objectif avoué, que les pays touchés par la crise ne quitte pas la zone euro alors que cette fuite semble inéluctable. Le Vrai Débat considère que ce constat ne signifie qu'une chose: la soumission de l'Europe à l'Allemagne.


     

    Flickr - Julius! - cc
    Après la Grèce, le plan de sauvetage de l'Irlande - 90 milliards d'euros de prêts étalés sur trois ans - marque encore davantage la soumission des élites européennes au dogme de l'euro, et derrière ce dogme à ce que nous ne devons plus avoir peur d'appeler « l'Europe allemande ».

    Ce plan de sauvetage, comme le précédent et comme le suivant, n'a en effet qu'un seul objectif : permettre aux pays touchés par la banqueroute de survivre sans avoir besoin de quitter l'euro.
    Au lieu de tirer les conséquences de l'échec désormais patent de la monnaie européenne, les élites dirigeantes préfèrent sacrifier les peuples à cette vache sacrée, et prennent toutes les mesures pour sauver le soldat euro. Quitte à entraîner avec elles dans le gouffre de leur folle idéologie les peuples d'Europe !

    Derrière la politique de l'euro à tout prix, il y a la soumission à l'Europe allemande.

    Comme l'écrit Emmanuel Todd, avec beaucoup d'autres et de nombreux économistes (citons Jean-Luc Gréau par exemple), l'euro est un instrument aux mains de l'Allemagne pour affirmer sa suprématie sur le continent et écraser ses concurrents. En effet, à l'époque des monnaies nationales, les pays comme la France ou l'Italie, présents sur les mêmes marchés que l'Allemagne, pouvaient rester compétitifs vis-à-vis de leur puissant voisin en pratiquant régulièrement des dévaluations monétaires. Quand l'Allemagne baissait le coût de sa main d'oeuvre, ces pays dévaluaient leur monnaie nationale. Ainsi, de 1950 à 1990, la parité entre le franc et le mark est passée de 1 mark = 1 franc à 1 mark = 3,5 francs. La France résistait sur les marchés extérieurs, et notre croissance économique ne souffrait pas de cette politique, au contraire.

    Depuis la création de l'euro, cette équation n'est plus possible. Face à une Allemagne qui fait pression comme jamais à la baisse sur ses propres salaires, la France ou l'Italie, notamment, ne sont plus en mesure de riposter, liées par une monnaie qu'il leur est impossible de dévaluer. Le résultat est très clair : les 2 tiers de la dégradation de notre balance commerciale avec l'Allemagne a lieu au sein même de la zone euro. C'est au sein de la zone essentiellement, et non en Chine ou ailleurs, que l'Allemagne grignote régulièrement des parts de marché sur le dos des exportateurs français et italiens, essentiellement.

    Mettre le paquet pour sauver la monnaie unique, c'est donc assurer la pérennité de ce modèle euro-germanique.

     

    La crise irlandaise confirme la suprématie de l'Europe allemande
    D'autres signes témoignent de la suprématie allemande sur la construction européenne.
    Prenons l'exemple du Traité de Lisbonne, que les dirigeants européens ont récemment accepté de réouvrir, sous pression d'Angela Merkel. Cette réécriture partielle du Traité a une explication majeure, rarement perçue dans les médias français : la nécessité pour l'Allemagne de l'adapter à ses propres règles constitutionnelles. La Cour constitutionnelle allemande de Karlsruhe (équivalent de notre Conseil Constitutionnel) n'a en effet accepté la création du Fonds européen de stabilisation financière qu'à condition qu'il soit temporaire. Il était donc nécessaire de modifier Lisbonne pour répondre à cette exigence de la Cour allemande.

    Vous avez bien lu : quand l'Allemagne juge qu'un Traité n'est pas conforme à sa Constitution, ce n'est pas sa Constitution qu'elle modifie comme la France l'a déjà fait à 5 reprises pour des raisons liées à l'Europe depuis 1992, mais c'est le Traité qu'elle modifie !

    Cette attitude qu'on peut qualifier de « souverainiste » est aux antipodes de la position « européiste » de notre Conseil Constitutionnel, et témoigne de ce que l'Allemagne n'a pas froid aux yeux quand il s'agit d'assurer sa suprématie.

    La Cour constitutionnelle de Karlsruhe est d'ailleurs de plus en plus clairement sur une ligne très nationale, qui renforce ce sentiment de domination germanique assumée.
    Ainsi, dans un arrêt très intéressant rendu le 30 juin 2009 à l'occasion de l'adoption du Traité de Lisbonne, la Cour a pointé du doigt « un déficit de démocratie structurel au niveau de l'Union européenne » (nous n'imaginons pas une seconde nos « Sages » du Conseil Constitutionnel se permettre un tel affront à l'encontre de la Sainte-UE...).
    Mais ce n'est pas tout. Dans le même arrêt, la Cour allemande exige une place plus importante pour le parlement allemand dans le processus de prise de décision européen. Elle demande à l'Union européenne de ne pas « outrepasser les compétences qui lui sont octroyées », et affirme que la primauté du Droit européen n'est pas « absolue » (de quoi faire tomber tomber de leur chaise nos grands juges du Conseil d'Etat, de la Cour de Cassation ou du Conseil Constitutionnel...) et se réserve le droit de bloquer certaines lois pour préserver « la souveraineté et l'identité constitutionnelle allemandes ».

    Enfin, elle considère - avec justesse oserons-nous écrire - qu'il n'existe pas de peuple européen, et que dans ces conditions le parlement européen n'a pas de légitimité politique propre. Celle-ci émane des peuples, et donc des nations.

    Décoiffant pour qui appartient à l'élite européiste française !

    L'Union européenne de plus en plus nettement est sous domination allemande. L'Allemagne l'utilise pour promouvoir ses propres intérêts nationaux. Il n'y a rien de choquant à le dire, à l'écrire et à le faire savoir. Il faut simplement en être conscient et se dire qu'après tout, il n'y a qu'en France qu'on croit encore naïvement que l'Europe est le paradis des bisounours, unis pour la paix et l'amour.

    Non, l'Europe est une affaire politique, et donc par définition une question de conflits d'intérêts. A nous de savoir retrouver le sens légitime de nos intérêts nationaux !


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  • Leonera_trailer


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  • La danse du ventre de l’oncle Sam dans les banlieues françaises

    Récemment, la presse s’est fait l’écho de l’entreprise de séduction menée par l’ambassade des Etats-Unis en France à l’égard des populations afro-antillaises et/ou musulmanes dans les banlieues parisiennes. La France n’est pas le seul pays où l’Etat impérial nord-américain déploie ce type de stratégies envers les minorités discriminées. Stratégie qui a plusieurs objectifs :

    1/ Objectif politique à long terme : identifier les futurs leaders des pays où les Etats-Unis ont des intérêts stratégiques.

    Depuis de nombreuses années, les Etats-Unis ont mis en place une politique « d’amitié » et de « séduction » vis-à-vis de leaders potentiels au travers d’un programme du Département d’Etat administré depuis les ambassades. Sous couvert d’échanges culturels, des personnalités indigènes sont invitées à visiter les Etats-Unis lors de voyages de propagande. Nicolas Sarkozy, qui a participé à l’une de ces expéditions quand il était un jeune politicien prometteur, constitue un bon exemple du succès de cette initiative, et, sous sa présidence, les résultats ne sauraient être plus explicites : alignement sur la politique nord-américaine dans des domaines qui vont de la politique internationale, avec le soutien du sionisme en Palestine ainsi que des intérêts militaires et sécuritaires nord-américains en Asie et au Moyen-Orient, à l’alignement sur les intérêts économiques et financiers dans la crise financière actuelle.

    En ce qui concerne les banlieues françaises, les États-Unis savent que pour des raisons politiques et démographiques, la France pourrait bien un jour avoir son Obama. Le Département d’Etat cherche par conséquent à séduire les dirigeants noirs et arabes en leur vendant l’idée fausse d’une Amérique paradis des minorités raciales.

    2) Objectif à moyen terme : diviser les groupes racialisés des pays étrangers entre ceux qui sympathisent avec les Etats-Unis et les autres.

    En cas de crise, ces leaders potentiels constitueront une cinquième colonne à l’intérieur des mouvements antiracistes. Si éclate une émeute, les Etats-Unis pourront compter sur leurs collabos pour influencer les conflits conformément à leurs intérêts. Et ainsi disposer d’une arme de négociation fondamentale face aux élites politiques françaises.

    3) Objectif à court terme : les agences nord-américaines de renseignement ont besoin de recruter des Arabes et des Noirs européens afin d’infiltrer les groupes politiques radicaux et les réseaux islamistes en Europe.

    Le monolinguisme des Américains constitue, en effet, un handicap. Le recrutement de personnes de couleur en France est une question stratégique, car, en raison de la forte présence de Français d’origine maghrébine et africaine, il existe des populations qui non seulement parlent le français, mais aussi l’arabe (ou tout au moins le comprennent). Dans cette affaire, l’approbation et la complicité des services français de renseignement et en particulier de l’administration Sarkozy ne fait pas le moindre doute. Comment les Etats-Unis pourraient-ils venir recruter des Arabes et des Noirs dans les banlieues parisiennes avec un discours critique sans créer un conflit diplomatique ?

    Pour montrer de quel côté se trouve l’hégémonie, qu’on imagine seulement l’Etat français utilisant son ambassade à Washington pour aller dans les ghettos parler de la discrimination raciale aux Etats-Unis et pour vendre la France comme paradis pour les minorités ! Non seulement cela serait impossible sans le consentement de l’empire, mais cela ne se produit tout simplement pas.

    Quels accords les deux pays ont-ils conclus pour que les Etats-Unis puissent se permettre de se livrer à ce genre de prosélytisme en France ? Pourquoi les défenseurs du sionisme et de l’impérialisme tels qu’Alain Finkelkraut, Bernard Henri-Levy et André Glucksman, qui pensent que le problème principal en France est le racisme anti-blanc produit dans les banlieues et que l’islamophobie et le racisme anti-arabe/anti-noir ne sont pas un problème social, ont-ils gardé le silence face à cette intervention des Etats-Unis dans les banlieues françaises ?

    Quant aux Noirs et Arabes qui collaborent avec l’empire, reste à savoir s’ils le font par ignorance ou en pleine conscience de leurs actes. Certes, les discriminations raciales constituent un terreau fertile pour les recruteurs des agences d’intelligence nord-américaines. Le désespoir politique et économique produits par la frustration et le désenchantement que vivent quotidiennement les « issus de » en France facilitent sans doute l’émergence d’individus prêts à vendre leur âme au diable.

    Mais faire les mercenaires pour l’empire américain est injustifiable quelles que soient leur condition en France. Espérons qu’ils auront la décence de ne pas venir manifester contre le prochain bombardement de Gaza, Beyrouth ou Téhéran.


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  • La guerre de velours

    par Michel Drac


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  • Plan de rigueur irlandais : hausse de la TVA, impôt sur les sociétés inchangé

    LEMONDE.FR avec Reuters et AFP | 24.11.10 | 15h35

     

    L'Irlande a dévoilé, mercredi 24 novembre, un plan de rigueur draconien visant à diviser par dix un déficit public astronomique d'ici à 2014 : conditions d'un vaste plan de sauvetage international de l'île, ces mesures d'austérité, les troisièmes depuis l'entrée en récession de l'ancien Tigre celtique en 2008, étaient redoutées par une population qui a déjà fait de nombreux sacrifices.

    Ce programme budgétaire sur quatre ans sera composé aux deux tiers d'une réduction des dépenses et d'un tiers de hausse de la fiscalité. Dublin a ainsi annoncé que la TVA passera à 22 % en 2013 et 23 % en 2014, dans le but de lever 620 millions d'euros. En revanche, l'Irlande maintiendra son taux d'imposition sur les sociétés à 12,5 %. Par ailleurs, les dépenses courantes seront réduites de 7 milliards d'euros d'ici à 2014.

    Les mesures annoncées visent à dégager 15 milliards d'euros par le biais de mesures d'austérité, soit près de 10 % du produit intérieur brut (PIB), d'ici à 2014. Pour la seule année 2011, l'objectif est d'économiser 6 milliards d'euros. L'objectif est de ramener le déficit public irlandais à 3 % du PIB, comme l'exige l'UE, contre 32 % cette année. Par ailleurs, l'île maintient ses prévisions de croissance à 1 % du PNB réel en 2011 et prévoit un taux de croissance annuel de 2,5 % sur 2012-2014.

    Le plan de rigueur constitue un préalable incontournable à l'octroi d'une aide de l'Union européenne et du Fonds monétaire international, en cours de mise au point. Elle "sera autour de 85 milliards d'euros", a déclaré mercredi le ministre du budget français, François Baroin. C'est "20 000 euros" par Irlandais, a calculé l'Irish Sun.


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  • Alex Jones & Ron Paul sur la crise Coréenne

    Lorsque Alex Jones parle de la Corée en premier lieu, j’ai traduit Corée du Sud même s’il dit Corée du Nord car il semble qu’il se soit trompé, la Corée du Sud ayant bien reconnu qu’elle a réalisé des exercices militaires en Mer Jaune, et effectué des tirs d’artillerie dans une zone revendiquée par la Corée du Nord. Pyongyang a ensuite répliqué en bombardant l’île sud-Coréenne de Yeonpyeong. On en saura certainement plus dans les jours à venir, affaire à suivre ...

     


    Alex Jones Et Ron Paul Sur La Crise Coréenne [VOSTFR]
    Cargado por la-matrice_org. - Las últimas noticias en video.

    par la-matrice (son site) mercredi 24 novembre 2010


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  • Quand DSK dévoile son plan secret pour l’Europe

    DSK a fait un rêve… Celui d’une Europe où les citoyens travailleraient plus, où un marché du travail unique s’imposerait et où la Commission européenne aurait toujours plus de pouvoir. Un songe qui s’avère tellement audacieux qu’il risque fort de ne jamais se réaliser. Et heureusement, car ce serait un véritable cauchemar pour les pays membres.

    En un temps où l’étoile de DSK semble retrouver quelque éclat parmi les astres morts de la galaxie socialiste, il n’est pas inintéressant de se pencher avec attention sur les propos tenus récemment à Francfort par le chef du Fonds Monétaire International (FMI).

    Lire la suite de l’article : http://www.marianne2.fr/Quand-DSK-d...


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