• Marielle

     


    Jean-Pierre Marielle
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  • Le nomade Attalien

    "Défiez-vous de ces cosmopolites, qui vont chercher au loin des devoirs qu'ils dédaignent accomplir autour d'eux. Tel philosophe se flatte d'aimer les Tartares, pour être dispensé d'aimer ses voisins"

    J.Jacques Rousseau


    Le nomade attalien par Jean-Claude Michéa
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    Libéralisme et moralité


    Les origines de la société libérale par Jean-Claude Michéa
    Cargado por Axiogene2007. - Las últimas noticias en video.

    Jean-Claude Michéa est un écrivain et professeur de philosophie français, auteur notamment de plusieurs essais autour de la pensée et l’œuvre de George Orwell. Il critique ici la figure du "nomade attalien"

    posté par par Paul mardi 16 novembre 2010


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  • Pour occulter le dollar, rouvrons le dossier des PIGS

    Je vous le disais il y a quelques semaines, il faut s’attendre à ce que les regards se tournent vers la zone Euro, après que le dollar ait sérieusement chuté à l’approche de l’annonce du QE2 de la Fed (voir mon article de la semaine dernière en cliquant ici).

    Eh bien voilà : depuis quelques jours, on nous ressort les mêmes dossiers qu’au printemps dernier : les PIGS sont de retour ! (Pour ceux qui ne le savent pas, les PIGS (ou PIIGS) sont l’acronyme donné par les cambistes anglo-saxons aux pays de la zone euro en proie à des difficultés budgétaires importantes : Portugal, Irlande, Italie, Grèce et Espagne).

    Tout cela serait extrêmement risible si ce n’était pas sérieux. On nous dit maintenant que le Portugal pourrait sortir de la zone Euro (voir l’article ici de Boursorama), où l’on apprend que Van Rompuy (vous savez, notre président de l’Europe) n’a plus peur de parler d’éclatement de la zone Euro. "Nous sommes confrontés à une crise pour notre survie" a-t-il déclaré.

    Moi j’ai plutôt envie de dire "nous sommes confrontés à une crise pour la survie du système monétaire corrompu par la Fed, où on tente de régler des problèmes de surendettement par de la dette supplémentaire".

    Mais que voulez-vous : tant qu’on fera croire aux gens que la survie du système monétaire et leur survie personnelle c’est pareil, nous continuerons à nous saigner de plus en plus pour payer des intérêts qui montent au ciel et s’accumulent au fur et à mesure que nos gouvernants continuent à injecter plus de dette dans le système. La spirale infernale, très loin de se réduire, ne fait que s’accélérer.

    Pendant ce temps, les marchés vont porter leur attention sur l’euro, laissant un peu de côté le dollar, et nous allons assister au retour en grâce du dollar, comme avant l’été 2010. Ce faisant, l’illusion que les monnaies valent toujours quelque chose peut perdurer.

    C’est de la folie, mais c’est bien réel !

    Afin de bien comprendre comment fonctionne ce système monétaire en déroute, je vous propose de lire cet article écrit par un professeur Allemand, Eberhard Harner, que vous pouvez retrouver en cliquant ici. Cet article, écrit en 2005, donc bien avant que la crise éclate au grand jour, est très instructif. Et surtout, il nous mettait en garde : ce qui se passe aujourd’hui était prévu par M. Harner.

    Que faire aujourd’hui ? Il faut bien comprendre qu’on ne sortira pas de cette crise en gardant ce système monétaire. La fuite en avant à laquelle nous assistons nous mène au désastre, c’est évident. A chaque étape, on recule l’échéance un peu plus, c’est tout. Mais alors qu’est-ce qui se prépare ? Que nous concoctent nos dirigeants ? Quel nouvel ordre mondial ? Toutes les spéculations sont possibles : nouvelle monnaie (euro-dollar) avec une banque centrale unique aux mains des mêmes banquiers qui ont déjà la Fed, en passant par une guerre histoire de relancer la machine, ou bien on laisse l’Europe et les USA se désagréger, les problèmes sociaux prendre de l’ampleur histoire de mettre un peu de chaos et de pagaille, ce qui aura pour conséquence immédiate qu’une grande partie des populations voudront se mettre sous la protection de gouvernements forts ? Nul ne sait.

    Pourtant, il y a bien une chose à laquelle nous pourrions tous réfléchir : un nouveau système monétaire. Mais je voudrais avant tout être bien clair : analyser le système tel qu’il est aujourd’hui et en faire la critique ne veut certainement pas dire que les solutions sont à chercher du côté des révolutionnaires de tous poils, qui pensent que la solution au problème est plus d’impôts, faire payer les riches (toujours la même rengaine) et en finir avec le capitalisme. La crise que nous traversons n’a rien à voir avec le capitalisme, ni "l’ultra-libéralisme". D’ailleurs, qu’est-ce que l’ultra-libéralisme ? On est soit pour la liberté (d’opinion, d’entreprendre, d’échanger, etc.), soit on ne l’est pas. Il y a la liberté ou pas. Je ne connais pas "d’ultra-liberté" ! Et de libéralisme, aucun pays n’en a jamais connu, surtout pas les USA : plus interventionniste tu meurs !

    Non, la crise du système est une crise monétaire. Depuis 1913, date de la création de la Fed, année où on a mis le monopole de création monétaire du dollar dans les mains de banquiers oligarques, en passant par 1944 et les accords de Bretton Woods faisant du dollar (adossé à l’or) la monnaie mondiale, puis 1965 et De Gaulle changeant tous ses dollars en or et créant la panique, puis 1971 et Nixon annulant la parité avec l’or (laissant ainsi les mains totalement libres aux banquiers contrôlant la Fed), puis dans la foulée 1973 et la loi Pompidou Giscard interdisant à la Banque de France de prêter au Trésor Français sans intérêt, et enfin le traité de Lisbonne de 2007 inscrivant au niveau constitutionnel (les traités ont valeur constitutionnelle) l’abandon de la prérogative aux gouvernements de battre monnaie et laissant cela à la BCE, que de chemin a été parcouru par ces oligarques !

    Alors que faire ? A mon avis, la première des choses est d’éduquer nos concitoyens sur ce qu’est la monnaie, afin qu’ils cessent de chercher des solutions palliatives dans des schémas "droite gauche" complètement dépassés. Le coeur du problème est là, et c’est là qu’il sera réglé. Alors faut-il revenir aux bons vieux systèmes d’avant 1973, qui permettaient aux gouvernements "d’imprimer" leurs monnaies sans intérêts ? Cela engendrait bien souvent d’autres types de manipulations, par les gouvernements cette fois, qui avaient une fâcheuse tendance à "trop" imprimer, créant de l’inflation (qui est une forme de taxe déguisée, puisque l’argent que vous gagnez vous est confisqué non pas par l’impôt mais par la perte de valeur due à l’inflation).

    Il existe aujourd’hui des formes de monnaie qui élimineraient totalement tous les problèmes : plus d’inflation incontrôlée, plus de dette lorsqu’elles sont émises, plus de manipulation sur la quantité en circulation, plus de taux de change fluctuant. Ces monnaies sont aujourd’hui embryonnaires, à l’essai. Des sites existent et en parlent. Les SEL (systèmes d’échange locaux) en sont un exemple. Certains imaginent des monnaies virtuelles, émises par n’importe quel acteur économique du moment qu’il offre un service ou un produit dans lequel d’autres sont intéressés. Sans entrer dans les détails ici, plein de possibilités existent. Paul Grignon et son "digital coin" a des idées très intéressantes. Une monnaie virtuelle basée sur ces idées existe même ici : bitcoin.

    Nous n’en sommes qu’au début. Je suis pourtant certain d’une chose : implémenter ce genre de nouveauté sera très compliqué, car nos oligarques y perdraient beaucoup (ou du moins ils ne gagneraient plus autant). Et cela, ils ne le laisseront jamais faire...

    par dimitripas (son site) mercredi 17 novembre 2010 -


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  • La séquence Borloo, une manipulation de l’Elysée pour 2012 ?

    On a du mal à y croire. Comment Sarkozy pourrait du jour au lendemain se mettre à dos des centristes comme Morin et Borloo. Une seule explication, un plan de communication bien préparé. Pourquoi… la présidentielle de 2012 et ses enjeux.

    Dissimulations et manipulations. Ce sont les deux mamelles de la politique. Ils ne vivent que pour le pouvoir et par le pouvoir. Cela leur vient depuis le plus jeune âge et on devrait peut etre les détecter dès la maternelle pour éviter que nos démocraties paient le prix fort de leur désir de domination. Mais, pour revenir au sujet, on imagine mal qu’un Nicolas Sarkozy, l’homme des écoutes, l’homme de l’affaire Bettencourt et de Karachi, celui des Roms et du discours de Grenoble bien organisé, cet homme là aurait pu vexer un Borloo au point de s’en faire un Villepin Bis. Aussi je mets en doute la séquence des dernières semaines. Certes, la scène qu’on nous a joué était crédible mais ce sont les conséquences qui mettent en lumière une théâtralisation qui prépare les présidentielles de 2012.
     
    Mon hypothèse est qu’il fallait pour les média une histoire qui tienne la route avec une victime qui puisse se plaindre. Les tenants et aboutissants sont évidents. Par la plainte et la complainte, Borloo serait mandaté par l’Elysée pour rassembler un centre droit et plus pour réunir à quelques semaines de l’échéance de 2012 un parti dirigé et organisé par Borloo-Morin. Cela siphonnerait l’électorat de François Bayrou d’une part et permettrait de rafler des mécontents qui pourrait rejoindre le PS par dépit. Cette manipulation permettrait de s’assurer de soutien au centre tout en stabilisant l’UMP et en réjouissant l’électorat du Front National. Pour ce point, on voit dans l’actuel remaniement pas moins de quatre anciens dirigeants du RPR ou UMP. Difficile de faire plus à l’évidence.
     
    Dans cette politique fiction assez probable, il me semble que le deal pourrait être un poste de premier ministre pour Borloo pour le quinquennat de 2012 et un ministère d’Etat pour Morin. En effet, on sent plus cette configuration qu’une forme de mise en danger de la campagne qui se profile à grand pas. On a vu Monsieur Woerth être débarqué, dernier aveu tacite pour les journalistes de Médiapart. On a vu aussi une mise à l’écart des ministres d’ouverture qui aurait pu être dérangeant lors d’une campagne électorale difficile, hormis bien sur le cas Besson qui a un passif plus lourd que Monsieur Kouchner. Ensuite on a pu entendre Fadela Amara, vissée à une forme de révérence à l’égard du Président au point qu’on la sent déjà comme ambassadrice désignée de l’UMP dans les cités. Tout ce remaniement est bien consistant avec la mise en place d’un gouvernement dit de « combat », ou plutôt de propagande. En effet, tout l’enjeu est déjà de faire disparaître le « travailler plus pour gagner plus » à une France cristallisée dans la « génération sacrifiée », le chômage massif des jeunes (25%) et l’exécution sociale des quinquagénaires trop vieux pour l’entreprise… Tout le jeu sera de montrer des coupables acceptables comme les Roms… probablement les biffins ou les fraudeurs. Sur cette idée de fraude, la gauche a d’ailleurs un point à gagner en montrant les comportements d’entreprises « racailles » qui vivent au dépend de la santé des hommes (malbouffe, médicaments foireux comme le Médiator ou l’Acomplia), voire au dépend du social (abus des stages dans les banques).
     
    Pour conclure ce billet politique, il semble que la présidence soit déjà dans l’objectif de campagne prochaine. Borloo tient une aile d’une armée de reconquête, Fillon tient l’autre troupe. Borloo essaiera de faire taire la complainte de Bayrou pendant que les bourgeois de la Sarthe feront une alliance avec le FN que beaucoup de journaliste prévoit. Mais, il n’y a rien de révolutionnaire dans cette gouvernance, juste une adaptation française de stratégie de Berlusconi qui a toujours marché jusqu’à présent. Au bilan, si la gauche ne sort pas de ses divisions, « le monstre doux  » renaitra en France avec sa brutalité vis-à-vis des pauvres, des classes moyennes, des sans-droits. Tout le jeu aujourd’hui de 2012 semble se focaliser sur un « hyper-centre » à créer ou à reconquérir. 

    par Yannick Comenge (son site) mercredi 17 novembre 2010


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  • STRESS MAXIMUM SUR LES GOUVERNEMENTS EUROPÉENS

    mardi 16 novembre 2010, par Comité Valmy

     

    Sa Majesté de droit divin, Herman 1er van Rompuy, mêlant panique réelle et manipulation, met la pression en dramatisant à outrance : "c’est une question de survie !"

    Si certains avaient imaginé, avant la réunion des ministres des Finances des seize pays coincés dans la zone euro, qu’il serait peut-être enfin possible de revenir à la réalité et envisager, enfin, de privilégier l’économie réelle en écoutant leurs peuples en colère, le président de l’UE, nommé par le groupe de Bilderberg, dramatise pour faire passer le message : "le 1er qui bronche sera diabolisé comme jamais, il portera la responsabilité de la chute de l’Empire. Aucun châtiment ne sera trop doux pour son peuple, aucune représailles ne lui sera épargnée."

    Réunion de crise à Bruxelles, le président de l’UE estime que le zone euro joue “sa survie”

    La zone euro et l’Union européenne tout entière avec elle ne “survivront pas” si les problèmes budgétaires actuels de certains pays ne sont pas résolus, a mis en garde mardi le président de l’UE, alors que les inquiétudes grandissent au sujet de l’Union monétaire.

    “Nous sommes confrontés à une crise pour notre survie”, a déclaré Herman Van Rompuy lors d’une intervention devant un centre de réflexion bruxellois, le European Policy Center.

    “Nous devons tous travailler de concert afin de permettre à la zone euro de survivre. Car si la zone euro ne survit pas, l’Union européenne ne survivra pas non plus”, a-t-il ajouté.

    “La première année du traité de Lisbonne”, entré en vigueur en décembre 2009, “a été marquée par la crise de la zone euro,

    c’était une période de survie et ce n’est pas encore terminé”, a encore souligné le président du Conseil européen.

    “Mais j’ai confiance dans le fait que nous allons surmonter cela”, a-t-il ajouté.

    Il s’exprimait alors que la zone euro traverse une nouvelle zone de fortes turbulences en raison des inquiétudes que suscitent l’Irlande, mais aussi le Portugal, le Grèce ou même l’Espagne, des pays handicapés par un déficit très important.

    Les ministres des Finances des seize pays de l’Union monétaire, qui se réunissent dans l’après-midi à Bruxelles, doivent discuter de la situation.

    Dublin, en particulier, est sous pression de certains de ses partenaires et surtout de la Banque centrale européenne pour accepter une aide financière extérieure afin de renflouer ses banques, rassurer les marchés et éviter un phénomène de contagion aux autres pays de la zone euro.

    Mais les autorités irlandaises refusent pour le moment.

    “L’Irlande ne sollicitera aucune aide financière parce que nous sommes totalement financés jusqu’au milieu de l’année prochaine”, a déclaré le Premier ministre irlandais Brian Cowen lundi soir à la radio publique de son pays.

    M. Van Rompuy a rappelé que la zone euro avait traversé une période très difficile déjà au printemps avec la crise grecque et sa contagion à l’ensemble de la zone euro. Les pays européens avaient dû à l’époque voler à la rescousse d’Athènes, puis mettre en place un Fonds de secours pour les autres pays de la zone euro si nécessaire.

    “Lors de la crise de l’euro, l’Union européenne a fait la preuve de sa détermination” et elle pourrait encore avoir à le “prouver”, a-t-il dit.

    Le président de l’UE est confronté à une situation délicate car la gestion de la crise actuelle suscite des divergences entre responsables européens.

    La BCE pousse pour un plan d’action rapide car elle redoute de graves répercussions sur le marché des emprunts d’Etat. Elle est soutenue par des pays comme le Portugal ou l’Espagne qui veulent éviter d’être à leur tour emportés par la bourrasque.

    Mais d’autres capitales apprécient peu ces pressions, selon des diplomates.

    En outre, certains pays européens règlent ouvertement leurs comptes.

    Le Premier ministre grec Georges Papandréou a ainsi accusé lundi Berlin d’être à l’origine de la hausse spectaculaire la semaine dernière des taux d’intérêt payés par l’Irlande et le Portugal, par sa volonté de faire payer les investisseurs privés en cas de défaillance d’un Etat, dans le cadre d’un Fonds de secours permanent de la zone euro actuellement en discussion, qui serait mis en place à partir de 2013.


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  • Beady Eye 'Bring The Light'


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  • Terrorisme : un aveu étonnant à la Chambre des Lords britannique

    S’il subsistait un quelconque doute sur le fait que les gouvernements financent la terreur et montent de toute pièce de fausses attaques contre eux-mêmes, ce dernier doit disparaître à l’écoute d’un récent échange (voir vidéo plus bas) au sein de la Chambre des Lords britannique. En s’adressant à ses pairs à la Chambre, Lord James of Blackheath a révélé qu’il avait été impliqué dans le blanchiment de milliards de livres d’argent du terrorisme, en particulier celui de l’IRA et de divers terroristes d’Afrique du Nord, à la demande de la Banque d’Angleterre. James a également expliqué qu’il avait été contacté par une organisation secrète qui offrait d’aider la Grande-Bretagne à rembourser son énorme dette.

    La question de la dette a été en fait ce qui a provoqué un aveu de culpabilité aussi incroyable de la part de Lord James au départ. Au début, il a annoncé qu’il avait été contacté par une très « étrange » et secrète organisation qui voulait « investir de grosses sommes d’argent pour aider à la reprise de l’économie » en Angleterre. Après avoir relayé cette information à un collègue à la Chambre des Lords, on aurait apparemment dit à Lord James qu’il n’était pas suffisamment important pour que cette organisation le contacte directement, une déclaration que James a évidemment mal pris. En réponse à la déclaration de son collègue selon laquelle il n’avait pas l’expérience nécessaire pour traiter avec cette agence, qui est apparemment inconnue pour tout le monde sauf pour ceux qui sont dans le secret des dieux, la réponse de James a été remarquable.

     

    « Si c’est le cas », a-t-il dit. « Je dispose d’une des plus grandes expériences dans le blanchiment de l’argent du terrorisme et de l’argent sale/contrefait qui soit à la City. J’ai eu sous ma responsabilité des milliards de livres de l’argent du terrorisme. »

    Lorsque la baronne Hollis of Heigham lui a demandé où cet argent était allé, il a en outre expliqué:

    « Pas dans ma poche. Mon plus gros client terroriste était l’IRA, et je suis heureux de dire que j’ai réussi à blanchir plus de # 1 milliard de son argent. J’ai également eu de nombreux contacts avec des terroristes d’Afrique du Nord, mais ceci était d’une nature bien plus nauséabonde, et je ne veux pas en parler parce que c’est toujours une question de sécurité. »

    James est allé encore plus loin dans ses révélations, impliquant également la Banque d’Angleterre dans le financement des terroristes. « Je m’empresse d’ajouter que ça ne serait pas une bonne idée de faire intervenir la police, parce que j’appellerais immédiatement la Banque d’Angleterre en tant que témoin pour ma défense, étant donné que c’est elle qui m’a chargé de m’occuper de ces problèmes. »

    Bien que l’idée que la Banque d’Angleterre, la Chambre des Lords, et d’autres institutions gouvernementales financent les terroristes mêmes dont ils prétendent avoir si peur ne soit pas du tout surprenante; il est juste étonnant de voir une discussion aussi ouverte à ce sujet en public. La Grande-Bretagne a dégénéré en un Etat policier, ces dernières années sous couvert de lutte contre le terrorisme, mais leurs propres institutions gouvernementales et bancaires admettent ouvertement qu’elles financent ces terroristes. Il s’agit d’un exemple évident de mise en oeuvre de la technique Problème-Réaction-Solution qui a été un tel succès pour les gouvernements et les dirigeants sociaux durant des milliers d’années.

    Mais les commentaires de James ne s’arrêtent pas là. « Le fait est« , dit-il, »que lorsque j’accomplissais cette activité étrange, j’avais à ma disposition une intéressante série de numéros de téléphone et de références que je pouvais utiliser pour demander de l’aide quand j’en avais besoin. Donc, les gens à la City savent que s’ils veulent vérifier quelque chose qui leur semble anormal, ils peuvent venir me voir et je peux composer quelques numéros de téléphone pour obtenir une référence. » James n’a pas expliqué qui sont ces contacts en réalité, mais ils s’agit à n’en pas douter de gens qui ont beaucoup de relations et sont très puissants s’ils peuvent être appelés ainsi pour confirmer et fournir des références pour des affaires intérieures telles que celles evoquées par Lord James.

    Pourtant, les commentaires de James révèlent une activité encore plus secrète, quand il commence à parler de l’organisation de l’ombre, la Fondation X comme il l’appelle, qui l’aurait contacté pour proposer d’aider l’Angleterre dans le paiement de sa dette. Il ne fait aucun doute que la stature de la Fondation X est supérieure à celle de toutes les organisations que nous connaissons. Alors que Lord James tentait de mettre en rapport la Fondation X avec les personnes appropriées au sein de la Chambre des Lords et de la Banque d’Angleterre, il a dit, « je me suis retrouvé entre le marteau et l’enclume qui étaient totalement paranoïaques les uns vis-à-vis des autres, parce que les gens de la fondation X font preuve d’une obsession incroyable pour leur propre sécurité. Ils s’attendent à n’être contacté que par une personne ayant un statut équivalent à celui d’un chef d’Etat, ou une personne ayant une cote de sécurité internationale équivalente à celle des six personnes les plus hauts placées dans le monde. »

     

    James décrit clairement des personnages très puissants ayant des tendances élitistes. Ils sont de manière évidente habitués à être contactés par des personnes très haut placées dans la hiérarchie sociale, et ils n’apprécient pas d’être contactés par ceux des couches inférieures. Cependant, lorsque des membres de la Banque d’Angleterre et de la Chambre des Lords britannique sont considérés comme des membres inférieurs de la société, ont peut se demander où les gens de la Fondation X se situent dans la hiérarchie? Alors que des blogueurs ont suggéré que la mystérieuse organisation pourrait être l’Office des Nations Unies de contrôle du Trésor international (UNOITC), certains laissant même entendre qu’il s’agirait du Vatican, Lord James a précisé que la Fondation X, quelle que soit son identité, en est « toujours à l’étalon-or depuis les années 1920, et que leurs avoirs en devises dans le monde entier, qui sont très importants, sont appuyés sur des lingots d’or. » Cela signifie que « le chiffre pour le montant de lingots qui seraient nécessaires pour couvrir leurs réserves de devises, ainsi qu’il est soutenu, serait supérieur à la valeur totale de lingots qui a jamais été extraite dans l’histoire du monde. » Selon Lord James, la Fondation X est disposée à prêter des milliards de livres au gouvernement britannique pour des projets aussi divers que des hôpitaux, des écoles, et des crossrails.

    Quel que soit le résultat final de la discussion sur la Fondation de prêt X, son offre a provoqué un aveu des plus étonnants de la part d’un membre de la Chambre des Lords britannique. Un gouvernement qui admet ouvertement financer le terrorisme, qui vise sa propre population, et envisage ensuite de passer des accords commerciaux avec des organismes financiers de l’ombre sans les en informer devrait provoquer une vague d’indignation. Mais, étant donné l’état actuel des choses en Angleterre, ceci n’arrivera probablement pas.

    Références:

    « Le pair Conservateur Lord James of Blackheath: je suis un nettoyeur d’argent, pas un blanchisseur. » Belfastetelegraph.co.uk. 4 novembre 2010. http://www.belfasttelegraph.co.uk/news/local-national/northern-ireland/conservative-peer-lord-james-of-blackheath-im-a-money-washer-not-a -blanchisseur-14995248.html

    Brandon Turbeville est un auteur de Mullins, Caroline du Sud. Il a un diplôme de l’Université Francis Marion où il a obtenu le Prix Pee Dee Electric Scholar en tant qu’étudiant de premier cycle. Il a publié de nombreux articles traitant d’un large éventail de sujets dont la santé, l’économie, et les libertés civiles. Il est également l’auteur de Codex Alimentarius – The End of Health Freedom

     


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  • La zone euro au chevet de l'Irlande

    Source AFP

    La zone euro au chevet de l'Irlande

    L'inquiétude monte en Irlande et dans le reste de l'Europe, alors que la probabilité d'une aide financière à l'Irlande grandit © Peter Morrison / Sipa

     

    Les ministres des Finances de la zone euro se retrouvent mardi pour une réunion de crise alors que la probabilité d'une aide financière à l'Irlande grandit et que les risques de contagion à d'autres pays comme le Portugal s'accentuent. La rencontre de l'Eurogroupe doit débuter vers 17 heures à Bruxelles et sera suivie mercredi par une réunion élargie aux ministres des Finances de toute l'Union européenne. Elle était programmée de longue date mais intervient dans un contexte très sensible.

    L'Irlande, confrontée à une grave crise de son secteur bancaire suite à l'explosion d'une bulle immobilière, est sous la pression de certains de ses partenaires ainsi que de la BCE pour accepter une aide financière extérieure. Objectif : rassurer les marchés et éviter la contagion comme au printemps lorsque la crise de la dette en Grèce avait fait vaciller les fondements mêmes de la zone euro, créée en 1999.

    La zone euro s'inquiète d'une contagion

    Pour le moment, le gouvernement irlandais résiste et entend profiter de la réunion de l'Eurogroupe pour rassurer. Il affirme qu'il sera en mesure de régler ses problèmes financiers tout seul car une intervention extérieure risquerait d'être vécue dans le pays comme une perte intolérable de souveraineté. L'Irlande a vu les taux sur sa dette souveraine s'envoler la semaine dernière à des niveaux sans précédent, les investisseurs privés se délestant de leurs obligations par crainte que le pays n'arrive pas à juguler son déficit abyssal. Celui-ci devrait culminer à 32 % du Produit intérieur brut (PIB) cette année à cause du renflouage des banques nationales. Le reste de la zone euro s'inquiète d'une contagion à des pays comme le Portugal, la Grèce ou l'Espagne, dont les taux d'emprunt à long terme ont également flambé.

    Le ministre portugais des Finances, Fernando Teixeira dos Santos, a parlé d'un risque "élevé" que son pays doive aussi faire appel à l'aide de l'Europe. Cette dernière a mis en place au printemps un filet de sécurité de 750 milliards d'euros au total pour sauver la monnaie unique. Dans un premier temps, une enveloppe de 60 milliards de prêts garantis par l'UE est prévue. Puis, si cela ne suffit pas, une enveloppe de 440 milliards d'euros de garantie de prêts des pays de la zone euro, complétée par 250 milliards d'euros de prêt du FMI, peut être débloquée.


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  • Lait de vache= cancers et rhumatismes

     

    Le lait renferme des hormones mâles (androgènes) signale le Pr William Danby et serait impliqué dans le cancer de la prostate et l'hypertrophie de la Prostate.

    L'Ecole de Santé publique de Harvard fut la première à attirer l'attention des scientifiques sur le risque possible de cancer associé à une consommation importante de laitages. Même le beurre pourrait exposer à un risque élevé de cancer du poumon selon un rapport du Fonds mondial de recherches sur le cancer de 2007.

    Le Professeur Walter WILLET, Directeur de l'Ecole de santé publique de Harvard (Boston) : "Il nous parait irresponsable de faire la promotion des laitages comme on le fait dans de nombreux pays". Ce même professeur précise également qu'il existe d'autres bonnes sources de calcium parmi lesquelles figurent l'eau minérale calcique, les légumes crucifères, les sardines, les amandes. Les laitages ne sont donc pas un passage obligé, mais une option.

    Sur le site de "lanutrition.fr", Thierry Souccar a créé avec beaucoup d'humour "SUPERVACHE".

    En effet, les vaches sont de plus en plus grosses ce qui a fait dire à une dame dans le Sept-neuf trente , l'émission animée par Nicolas Demorand, "pourquoi les vaches sont-elles si grosses, est-ce qu'elles n'avaleraient pas autre chose que du fourrage ?". La réponse a été donnée par Philippe Meurs, président du syndicat des jeunes agriculteurs. "Les vaches bénéficient des progrès de la génétique". C'est donc une transformation normale que notre "vache qui rit" soit devenu "vache qui rit jaune" et "Supervache"pour d'autres. Et la conclusion de M. Meurs, "c'est donc un progrès".

    Mais le Professeur Willet, comme les chercheurs de Harvard se sont fait détectives car ils ont pris en compte les résultats de l'enquête qui disait clairement que les laitages étaient en cause dans la multiplication des cancers de la prostate et des ovaires entre autres méfaits. Ce qui est curieux, car il y a quelques années les vaches, "la vache qui rit encore" je suppose, n'étaient pas au banc des accusés comme aujourd'hui. Alors nos détectives ont réussi à analyser des laits prélevés des années plus tôt et ensuite le lait de "supervache" et le résultat a été sidérant.

    Le lait de "Supervache" contient des quantités infiniment plus élevées d'une protéïne appelée IGF-1. Et ce n'est pas l'Impôt sur les Grosses Fortunes, l'IGF-1 c'est le bras armé de l'hormone de croissance, une substance qui stimule la prolifération de toutes les cellules, les bonnes et les moins bonnes. Or l'IGF-1 des bovins et celui des hommes sont identiques. Des études récentes démontrent qu'on en retrouve une partie dans le sang et surtout lorsqu'il est absorbé avec de la caséïne, qui est la principale protéïne du lait.

    Et maintenant une petite anecdote personnelle. Je ne suis pas jeune, et comme beaucoup, j'ai une hérédité qui me prédispose trés facilement à être perclus de rhumatismes. Et bien, je ne prends plus de lait et je n'ai aucune douleur. Si je me laisse aller à manger quelques yaourts (j'adore), la réponse est rapide, le matin je me lève tout raide de la tête au pied. Il me faut demi-heure avant que la machine se dégrippe et encore avec beaucoup de précautions.

    C'est la réponse aux partisans du tout scientifique.

    Voilà la boucle est bouclée, on veut toujours plus gros, plus beau et c'est ainsi que "Supervache" veut nous faire grossir nous aussi et elle nous donne ce que Thierry Souccar appelle malicieusement "le lait enchanté".

    Et je lui laisse la conclusion : "Ce serait irresponsable de ne pas inciter à la modération, sachant qu'une consommation modérée (un à deux laitages par jour) serait sans conséquence néfaste."

    Encore que personnellement, je serais encore plus catégorique que lui et j'irais beaucoup plus loin dans les restrictions de lait. En tous cas, si vraiment vous ne pouvez vous en passer, optez plutot pour les laitages à base de lait de brebis ou de chèvre. On n'a encore pas vu de "Superchèvre".

    SOURCE


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