• Puisque c'est l'anniversaire de la mort de Pétain, le Clan sort une photo de circonstance : François Mitterrand et René Bousquet, Secrétaire général à la police du régime de Vichy, déjeunant en famille, à Latché (1974).

     
     
    note Webrunner : la femme qui est en face Mitterand est certainement Mme Baylet ,directrice de la Depêche du midi,favorable à Mitterand,et Bousquet était son amant

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  • Mr Arfeuille nous dit : "le vendredi 20 juillet 2012, la région de Valence a officiellement déclaré qu’elle était en faillite et a officiellement demandé l’aide de l’Etat espagnol. En comptant la région de Valence, ce sont 6 régions qui sont en faillite, lisez cet article de El Pais".

    Le journal espagnol dit : "Les exécutifs régionaux sont confrontés à des échéances de plus de 15,838 milliards d’euros d’ici la fin de l’année, y compris les deux prêts, les lignes de crédit et l’endettement ... La Catalogne fait face à une échéance de 5,755 milliards d’euros d’ici la fin de l’année, Valence 2,883 milliards d’euros, l’Andalousie 1,610 milliards d’euros, la région de Madrid 1,344 milliards d’euros, La Rioja 940 millions d’euros, et Castille-La Manche 705 millions d’euros, selon les données fournies par les gouvernements régionaux au Trésor". Youpi.

    Dans le même genre, c’est la Sicile, région administrative de l’Italie, qui est en faillite... Sans parler de ses banques. Mercredi dernier, la banque italienne UBI a a annoncé qu’elle licenciait 1500 personnes avec la fermeture de 44 agences, lire ici Agi.it.

    Mr Arfeuille, comme toute la presse spécialisée, a vu le papier du "Frankfurter Allgemeine Zeitung qui révèle que l’Espagne a de l’argent jusqu’en septembre 2012 seulement et qu’après elle sera en défaut de paiement, cliquez ici" et aussi du journal allemand "Der Spiegel qui affirme que la Grèce va se déclarer en défaut de paiement en septembre 2012 puisque le FMI a décidé d’arrêter de lui prêter des milliards d’euros à fonds perdus".

    Vous avez vu avec mes tweets (@pierrejovanovic) que

    • 1) par deux fois la police royale espagnole a tiré avec des balles plastique sur les gens,
    • 2) le taux que l’Espagne a été obligée de payer pour ses bons du trésor a dépassé le 7% avec 7,3%, ce qui la mène droit vers la faillite. Vous ajoutez donc à cela le fait que "2 régions ont officiellement demandé l’aide de l’Etat, Valence et Murcie ; 4 autres régions sont en faillite Catalogne, Castille-La Manche, les Baléares et l’Andalousie"...

    Attendez-vous à de nouvelles grèves massives dès septembre et surtout à des taux dépassant les 10% pour les nouvelles émissions, une combinaison lethale pour tout gouvernement, qu’il soit de droite ou de gauche.

    Rappelons pour le principe que les députés espagnols n’ont pas voulu nommer de comission d’enquête sur les activités criminelles de la Bankia, ce qui vous montre que les députés, au final, ne représentent JAMAIS le peuple, mais seulement les intérêts de leur parti politique... Il en est de même en France à quelques rares exceptions près.

    Là, notez que même le président du Parlement européen a mis en garde contre "les manifestations en Espagne montrent qu’une explosion sociale menace en raison du fort taux de chômage des jeunes en Europe", a déclaré M. Schulz au quotidien populaire allemand Bild, et de plaider pour la mise en oeuvre rapide "de nouveaux programmes européens pour créer enfin plus d’emplois pour cette génération".

    Monsieur Schultz, espèce de faux-c**, vous retournez votre veste juste quand vous sentez que la situation va vous exploser à la figure... Vous vous êtes toujours moqué des interventions de Nigel Farage, mais là, d’un coup, quand vous sentez la colère du peuple monter, vous commencez soudain à pisser dans votre froc et à prendre vos distances avec l’UE !...

    Cette déclaration vous montre à quel point Hollande est à côté de la plaque... Comme dirait Nigel Farage, il fonce dans le mur en klaxonnant...


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  •  
     
    Près de cinquante ans après la guerre, l’Épuration se poursuit en France et à l’étranger. Animée par Serge Klarsfeld, Simon Wiesenthal, Élie Wiesel et un grand nombre d’organisations juives dont le Congrès juif mondial, dirigé par Edgar Bronfman, et, en France, le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) (…), cette Épuration suscite encore aujourd’hui de nombreuses procédures judiciaires à l’encontre d’individus réputés avoir commis des «crimes contre l’humanité», c’est-à-dire, pour parler clairement, des crimes contre les juifs. (...) Les pays les plus concernés par ce type d’affaires sont les États-Unis, le Canada, l’Allemagne, l’Autriche, la France, l’Angleterre, l’Écosse et l’Australie. La chasse aux «collabos», comme on appelle ceux qui ont collaboré avec l’Allemagne nationale-socialiste, reste ouverte mais la chasse aux «collabos» juifs, la chasse aux «juifs bruns» reste obstinément fermée.

     
     
    (…)

     
     
    Il reste que, dans leur volonté de chercher partout des suspects à traduire devant les tribunaux, les justiciers juifs s’abstiennent de mettre en cause ce que Maurice Rajsfus a pu appeler «une véritable internationale juive de la collaboration nécessaire [selon les Conseils juifs] avec les nazis».

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  • A la faveur de la crise, de plus en plus de Portugais dans le besoin se mettent en situation de semi-esclavage. António et Lídia sont de ceux qui échangent leurs bras contre une aide en nature.

    Dans les petites annonces publiées sur Internet, on voit de plus en plus de gens désespérés demander du travail en échange de nourriture. Ils sont prêts à tout. "On est en train d'assister à une régression civilisationnelle. Avec la crise, les cas de semi-esclavage augmentent", note Joaquim Dionísio, avocat spécialiste du droit du travail et membre de la direction de la CGTP [le principal syndicat portugais].

    A 24 ans, António Santos a tout perdu. D'abord son emploi, puis le logement où il vivait à Matosinhos [ville située à l'ouest de Porto]. En octobre dernier, il s'est retrouvé au chômage sans droit à une allocation. L'argent économisé lorsqu'il travaillait dans le BTP et la restauration lui a permis de payer cinq mois de loyer. Sans revenus ni aides financières, il a donc dû quitter son appartement en février. Les bons jours, il dort sur le canapé chez des amis, les mauvais dans une cabane en carton.

    "Je fais des choses ici ou là pour ne pas mourir de faim. Mais j'ai vraiment besoin de travailler, même si c'est seulement en échange de nourriture et d'un endroit où dormir", soupire le jeune homme, qui a une formation professionnelle en commerce. C'est ce qu'il a écrit dans les annonces qu'il a mises en ligne en mars sur plusieurs sites. Bien qu'il ait proposé de travailler gratuitement, il n'a reçu aucune réponse. Tout du moins jusqu'à fin avril, la dernière fois qu'il a pu aller sur Internet. "Je n'ai même pas assez d'argent pour aller dans un cybercafé", explique António. Il peut compter pour l'instant sur la solidarité de ses amis qui lui offrent un repas par jour et lui prêtent des habits "pour être plus présentable". Avec l'espoir de trouver un jour un emploi.

    Des situations fragiles qui favorisent les exploiteurs

    S'il n'y a pas de données précises sur le nombre de Portugais prêts à travailler sans être payés en retour, la dernière enquête sur l'emploi de l'INE [l'équivalent de l'Insee] évoque le chiffre de 32 000 travailleurs non rémunérés pour le premier trimestre 2012. Un nombre qui correspond uniquement à ceux qui travaillent de manière informelle pour un membre de la famille.

    Tous les autres cas échappent aux statistiques, et sont a fortiori illégaux. "Il ne peut y avoir de contrat sans rétribution en argent. Sinon, c'est de l'esclavage. Le Code du travail prévoit l'existence de rétributions en nature mais uniquement si elles n'excèdent pas la part pécuniaire", explique Fausto Leite, spécialiste en droit du travail. "Les abus sont quotidiens. Dans la pratique, on trouve de tout. Ces cas sont symptomatiques d'un désespoir criant", ajoute-t-il. Une opinion partagée par Joaquim Dionísio, qui rappelle les milliers de Portugais "vivant dans l'angoisse, sans aucun revenu". Selon les derniers chiffres de la Sécurité sociale, près de 300 000 demandeurs d'emploi n'ont pas d'allocations de chômage. "De nombreux employeurs profitent de cette énorme fragilité pour les exploiter."

    Parmi les gens qui demandent de la nourriture en échange de travail, on ne trouve pas que des chômeurs. Lídia Joaquim, 38 ans, travaille plus de huit heures par jour en faisant des ménages et en prenant soin d'une personne handicapée. Mais les 485 euros mensuels [l'équivalent du smic local] ne suffisent pas. Avec les 300 euros de loyer – un appartement exigu à Ramada [ville dans la banlieue nord de Lisbonne] – et les dépenses en eau, électricité et gaz, il lui reste 30 euros pour nourrir ses deux enfants, âgés de 15 et 18 ans. "On ne fait plus de petit déjeuner ni de goûter. Et si, le soir, le poulet ne suffit pas pour nous trois, je leur donne ma part et je me contente du riz", raconte-t-elle. 

    Acheter un cahier… ou du pain

    Par ailleurs, Lídia et ses enfants ont également perdu une partie de la réduction à laquelle ils avaient droit, quand les tarifs dans les transports en commun ont augmenté. Sa fille Mariana doit aller à pied à l'école, soit une heure et demie de marche. L'argent suffit seulement à payer la carte de transport d'Adilson, le plus grand, scolarisé dans un lycée éloigné de l'appartement. "Si j'achète une carte de transport, pas de yaourts. Si j'achète un cahier, pas de pain."

    Arrivée d'Angola il y a dix ans, Lídia est asphyxiée financièrement. Cette situation l'a poussée à publier une annonce en février proposant de s'occuper d'enfants ou de personnes âgées, ou bien de faire du ménage en échange de nourriture. "Si je nettoie des escaliers et qu'on me donne un paquet de riz, je me sentirai mieux. Je pourrais aussi aller voir une association et demander de l'aide, mais je suis en bonne santé et j'ai assez de force pour travailler", explique-t-elle.

    Le président de l'União das Misericórdias [le principal réseau caritatif du pays], Manuel Lemos, comprend le refus de la charité et loue la volonté de travailler. Mais cela ne peut pas se faire en échange de nourriture, selon lui. Des cantines sociales sont présentes dans tout le pays et "ont pour mission de venir en aide à tous ceux qui sont dans le besoin". A l'instar d'António et Lídia.

    source : http://www.courrierinternational.com/article/2012/07/24/echange-travail-contre-nourriture


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  • Président russe Vladimir Poutine
    12:19 21/07/2012
    MOSCOU, 21 juillet - RIA Novosti

    Le président russe Vladimir Poutine a signé la loi fédérale qui confère le statut d'"agent de l'étranger" aux organisations non gouvernementales (ONG) exerçant des activités politiques et bénéficiant d'un financement étranger, a annoncé samedi le service de presse du Kremlin.

    Adopté par la chambre basse du parlement russe le 13 juillet dernier et approuvé par la chambre haute le 18 juillet, ce texte a provoqué une vive discussion dans la société russe.

    Aux termes de la nouvelle loi, les ONG qualifiés d'agents de l'étranger seront soumises à un régime juridique particulier qui prévoit, en cas d'infraction, une amende allant jusqu'à un million de roubles (24.500 euros) ou une sanction pénale pouvant atteindre quatre ans de prison.

    Une fois signée par le président, la loi entre automatiquement en vigueur.


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  •  un pays qui prend l'eau de partout...

    Ni le feu vert de la zone euro sur un plan d'aide aux banques, ni l'annonce d'un tour de vis budgétaire draconien n'auront suffi: la plongée des marchés vendredi risque de rapprocher encore l'Espagne d'un sauvetage global, le scénario catastrophe tant redouté par l'Europe.

    Pris en tenailles entre la colère populaire face à l'austérité et l'urgence à assainir les finances publiques, dictée par Bruxelles, le gouvernement a perdu toute marge de manoeuvre dans un pays qui prend l'eau de partout.

    D'un côté, les centaines de milliers d'Espagnols descendus dans les rues jeudi, les manifestations quotidiennes, rappellent que la population est à bout.

    De l'autre, les coups de semonce répétés des marchés, jusqu'à la descente aux enfers de vendredi, témoignent de l'incapacité du pays, quatrième économie de la zone euro, à redonner confiance.

    L'Espagne est entrée dans une "spirale de la mort", lâche Richard McGuire, analyste chez Rabobank, en évoquant la possibilité qu'elle ne puisse plus faire face aux échéances de sa dette.

    "Alors que les perspectives pour les finances publiques espagnoles sont toujours étroitement liées au secteur bancaire, il reste un risque très important que le gouvernement doive demander son propre sauvetage", remarquent les analystes de Capital Economics.

    Vendredi, au moment même où la zone euro bouclait, enfin, le plan prévoyant une enveloppe maximum de cent milliards d'euros pour les banques, asphyxiées par leur exposition à l'immobilier, un vent de panique a balayé les marchés.

    La Bourse de Madrid a perdu près de 6%, les taux d'intérêt espagnols ont dépassé les 7%, proches de leur plus haut historique, et la prime de risque, le surcoût que doit payer l'Espagne par rapport à l'Allemagne, pour se financer, a dépassé les 600 points de base, un record.

    "Le comportement (des marchés) surprend particulièrement au vu du récent paquet de mesures d'assainissement de 65 milliards d'euros, qui accroît de manière substantielle les possibilités de remplir les objectifs de déficit, et la validation définitive du sauvetage bancaire", s'inquiète Daniel Pingarron, analyste de la maison de courtage IG Markets.

    Car, alors que les mauvaises nouvelles ne cessent de s'empiler, les solutions présentées comme des recours montrent déjà leurs limites.

    Ainsi la nouvelle cure de rigueur, associant rentrées supplémentaires et coupes budgétaires, risque d'aggraver la récession.

    "L'austérité frontale va probablement aggraver et prolonger la récession. Le chômage (24,6% désormais prévu pour 2012) pourrait augmenter encore à court terme, accroissant le risque d'un revers politique" pour le gouvernement de droite, souligne Christian Schulz, analyste de la banque allemande Berenberg.

    Et si les taux d'intérêt continuent de grimper, "l'Espagne risquerait de perdre l'accès aux marchés", remarque-t-il.

    Vendredi, c'est aussi la délicate question des régions, l'un des points les plus fragiles de l'économie du pays, avec les banques, qui a ressurgi lorsque la région de Valence a lancé un appel à l'aide publique.

    Le même jour, l'Espagne a dû admettre que son économie resterait dans le rouge en 2013, avec un recul du PIB prévu de 0,5%, après une récession de 1,5% cette année.

    Des prévisions déjà battues en brèche par les analystes de la banque Citi, qui annoncent un repli du PIB de 2,1% en 2012 et 3,1% l'année prochaine.

    Pour Daniel Pingarron toutefois, l'hypothèse d'un sauvetage global "même si elle semble évidente, ne semble pas proche" en raison de son coût énorme, évalué à 500 milliards d'euros, et des risques dévastateurs pour la zone euro.

    "Le sauvetage total de l'Espagne et la contagion ultérieure à l'Italie, peut-être pour 700 milliards d'euros, serait inabordable pour la zone euro", souligne-t-il.

    Car après l'Irlande, le Portugal et la Grèce, le scénario serait tout autre: l'Espagne représente 12% de l'économie de la zone euro, contre 6% pour ces trois pays réunis.

    Alors, pour sortir de ce cercle vicieux, l'Espagne ne cesse d'en appeler à une intervention de la Banque centrale européenne (BCE) afin de stabiliser les marchés.

    "L'heure de vérité pour la BCE, le moment où elle pourrait être contrainte d'agir de manière décisive, pourrait approcher rapidement", prédit Christian Schulz.

    © 2012 AFP

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  • Par lefigaro.fr,<time class="updated" datetime="22-07-2012T13:05:00+02:00;"></time><time datetime="22-07-2012T11:52:00+02:00;" pubdate=""></time>

    Le chef de l'État a ainsi confirmé la première déclaration en 1995 de Jacques Chirac tout en brisant l'ambiguïté entretenue par François Mitterrand.

    François Hollande a affirmé dimanche que l'arrestation de milliers de Juifs lors de la rafle du Vélodrome d'Hiver (Vél' d'Hiv), les 16 et 17 juillet 1942 à Paris, était un «crime commis en France par la France». La commémoration officielle se déroulait à Paris, sur les lieux de l'enceinte sportive (aujourd'hui démolie) dans le XVe arrondissement de la capitale. Peu avant 10h, le chef de l'État a déposé une gerbe et s'est incliné devant une plaque commémorative. De très nombreux ministres ont assisté à la cérémonie.

    «La vérité, c'est que la police française s'est chargée d'arrêter des milliers d'enfants et de familles. (...) La gendarmerie les a escortés jusqu'aux camps d'internement», a dit François Hollande.

    «La reconnaissance de cette faute a été énoncée pour la première fois, avec lucidité et courage, par le président Jacques Chirac, le 16 juillet 1995», a souligné Hollande dans son discours, se démarquant ainsi de la position de François Mitterrand sur le sujet. Le premier président socialiste de la Ve République n'avait en effet jamais reconnu la responsabilité du pays dans cette rafle.

    François Hollande a ajouté que ce crime «fut aussi un crime contre la France, une trahison de ses valeurs. Ces mêmes valeurs que la Résistance, la France libre, les Justes surent incarner dans l'honneur».

    Vives critiques contre Mitterrand

    Il y a 70 ans, 13.152 Juifs de Paris et sa banlieue furent arrêtés les 16 et 17 juillet 1942, la plupart d'entre eux parqués dans le Vélodrome d'Hiver avant d'être envoyés vers les camps de la mort nazis.

    Aucun chef d'État de la Ve République ne souhaita reconnaître la responsabilité de la France, avant Jacques Chirac. François Mitterrand suscita de vives critiques en refusant de présenter des excuses au nom de la France, expliquant que la République n'était pas comptable des actes d'un autre régime.

    L'ancien président socialiste avait occupé un poste subalterne dans l'administration de Vichy avant d'être résistant et fut surtout toute sa vie l'ami de René Bousquet, chef de la police de Vichy et organisateur de la rafle du Vél' d'Hiv. Mitterrand créa cependant une journée de commémoration nationale de la rafle en 1993. Jacques Chirac fut ensuite le premier président en 1995 à reconnaître la responsabilité du pays.

    «Ces heures noires souillent à jamais notre histoire et sont une injure à notre passé et à nos traditions. Oui, la folie criminelle de l'occupant a été secondée par des Français, par l'État français. (...) La France, patrie des Lumières et des droits de l'homme, terre d'accueil et d'asile, la France, ce jour-là, accomplissait l'irréparable», avait-il déclaré à l'époque.

     


    La France pourchassera l'antisémitisme

    À l'occasion de la commémoration de la rafle du Vél' d'Hiv, François Hollande a affirmé que la République pourchasserait «avec la plus grande détermination» l'antisémitisme, qui n'est «pas une opinion mais une abjection». L'antisémitisme, «partout où il se déploie, doit être démasqué et puni. Toutes les idéologies d'exclusion, toutes les formes d'intolérance, tous les fanatismes, la xénophobie, qui tentent de développer la logique de la haine, trouveront la République sur leur chemin», a assuré le chef de l'État dans son discours.

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