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    Communiqué de Jacob Cohen, 5 juillet 2012  :
     
    Jacob Cohen : Seconde agression par la LDJ
     

    François Hollande et Manuel Valls : Les larbins du CRIF.
    Après l’agression perpétrée le 12 mars contre l’écrivain antisioniste Jacob Cohen par les membres de la LDJ, agression filmée et postée sur le site de la LDJ, les autorités françaises n’ont rien fait pour arrêter et punir les coupables. Se sentant dans l’impunité totale, la LDJ vient à nouveau d’agresser Jacob Cohen près du métro Saint-Paul, ce 5 juillet 2012. Farine et peinture rouge. Plainte a été déposée au commissariat. Mais étant donnée la complicité qui règne entre le CRIF et sont bras armé la LDJ et les plus hautes instances de la République, il est peu probable que cette plainte aboutisse.


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  • La Russie doit reprendre la livraison de missiles sol-air S-300 à l’Iran, car cette arme ne tombe pas sous le coup des sanctions décrétées par l’ONU à l’encontre de Téhéran, a déclaré jeudi Igor Korotchenko, directeur du Centre d’analyse du commerce mondial d’armes.

    "La Russie doit revenir sur sa décision d’annuler le contrat de livraison de systèmes S-300 à l’Iran et, compte tenu de la nouvelle situation géopolitique dans le monde, relancer les exportations d’armes défensives vers ce pays. Cette démarche n’irait à l’encontre d’aucun document en vigueur de l’ONU", a indiqué M. Korotchenko dans une interview à RIA Novosti.

    C’est ainsi qu’il commentait les informations de certains médias selon lesquelles le ministère iranien de la Défense et la compagnie The Aerospace Industries Organisation ont déposé une requête auprès de la Cour internationale d’arbitrage de Genève contre l’exportateur d’armes russe Rosoboronexport pour avoir failli à honorer ses engagements concernant les S-300.

    Conclu en 2007, le contrat de livraison de missiles sol-air S-300 à l’Iran engageait la Russie à fournir cinq unités complètes de ces systèmes pour un montant d’environ 800 millions de dollars. Or, l’exécution du contrat a été suspendue en septembre 2010 par le président russe Dmitri Medvedev, en application d’une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU, interdisant la fourniture des armes conventionnelles à Téhéran, dont les missiles, les chars, les hélicoptères d’assaut, les avions de combat et les bâtiments de guerre.

    Parmi les arguments à l’appui de la reprise des livraisons, M. Korotchenko a cité le refus des Etats-Unis et de l’Otan de prendre en compte la position russe sur le bouclier antimissile américain en Europe, la pression exercée sur Moscou en vue de l’amener à modifier sa position sur la crise syrienne, ainsi que la décision de l’Ouzbékistan de se retirer de l’Organisation du traité de sécurité collective (OTSC), ce qui laisse présager l’apparition de bases otaniennes sur le territoire de cet Etat centrasiatique.

    Dans ce contexte, "la Russie est parfaitement en droit de défendre ses intérêts nationaux en soutenant les pays et les régimes amis qui ne constituent pas de menace pour notre sécurité", estime l’expert.

    "L’Iran bloquait toute aide financière et autre apportée aux séparatistes dans le Caucase russe et soutenait les efforts de Moscou visant à rétablir l’ordre constitutionnel dans cette région. Les positions de l’Iran et de la Russie sont proches ou identiques sur la plupart des problèmes internationaux", a rappelé M. Korotchenko.

    "Dans ces conditions, la révision par Moscou de ses décisions antérieures constituerait une démarche visant à défendre les intérêts géopolitiques de la Russie dans cette région", a conclu l’analyste militaire.


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  • Une conférence de Sheikh Imran Hosein


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  • Deux coïncidences historiques étranges.

    1 - Le tribunal de Nuremberg a été créé en vertu de l'accord de Londres du 8 août 1945, c'est-à-dire pile entre l'atomisation d'Hiroshima (6 août) et celle de Nagasaki (9 août) ;

    2 - Pierre Vidal-Naquet est devenu chevalier de la Légion d'honneur le même jour qu'a été promulguée la loi Gayssot (JO du 14 juillet 1990) qui interdit sous peine de prison la contestation des crimes contre l'humanité tels qu'ils sont définis par le tribunal de Nuremberg.

    Question : doit-on, pour comprendre ces coïncidences, évoquer l'action de mystérieux phénomènes paranormaux ?

    Blanrue


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    Comment les lsraéliennes et les israéliens sont manipulés afin de réprimer les Palestiniens (ainsi que leurs animaux) et de voir un terroriste potentiel dans chacun d’entre eux. Yael, qui a rejoint l’association israélienne "Break the Silence" (Brisez le silence) témoigne.


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  • par Julien Toyer

    MADRID (Reuters) - Il sera difficile pour l'Espagne d'éviter de demander une aide internationale en bonne et due forme, malgré les mesures décidées lors du dernier sommet européen pour aider ses banques et faire baisser ses coûts de financement.

    Vendredi, les dirigeants de la zone euro se sont mis d'accord pour que les fonds de sauvetage de la région, le Fonds européen de stabilité financière (FESF) puis le Mécanisme européen de stabilité (MES), puissent injecter directement de l'argent dans les banques espagnoles à partir de l'année prochaine.

    Ces fonds pourront aussi acheter des obligations souveraines des pays en difficulté afin d'endiguer la crise de la dette qui menace l'existence même de l'euro.

    Mais l'accord européen, s'il présente des avancées réelles, manque de détails et le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy va devoir faire face à de longues et difficiles négociations pour finaliser le plan de sauvetage des banques, alors que la récession en Espagne s'aggrave, que le déficit public se creuse et que le taux de chômage s'envole.

    Un actif sur quatre en Espagne est sans emploi.

    "L'Espagne reste menacée. Son endettement total, public et privé, est toujours écrasant (...) Il sera crucial de voir si la recapitalisation (des banques) peut être faite suffisamment rapidement", a dit un haut responsable de l'Union européenne (UE) qui a participé au sommet.

    Selon des sources au sein du gouvernement espagnol, au moins 40 milliards d'euros seront nécessaires dans les prochaines semaines pour éviter la faillite des banques Bankia, CatalunyaCaixa, NovaGalicia et Banco de Valencia. Il reste encore à déterminer d'où proviendra cet argent.

    Le Trésor espagnol détient environ 40 milliards d'euros de trésorerie grâce à des conditions de marché devenues plus favorables en début d'année. Mais il va devoir faire face à des échéances de dette de l'ordre de 27,5 milliards d'euros à la fin du mois d'octobre et doit encore émettre environ 100 milliards d'euros de dette cette année.

    Le tout alors que les coûts d'emprunt de l'Espagne restent sous pression. Le rendement des obligations espagnoles à 10 ans baissait de quatre points de base ce mardi, mais à 6,36%, il reste proche de la barre des 7% qui s'est révélée insoutenable pour d'autres pays de la zone euro comme l'Irlande et le Portugal.

    LE TEMPS PRESSE, LES OBSTACLES SONT NOMBREUX

    Les 40 milliards d'euros nécessaires pour secourir les banques espagnoles vont porter la dette publique de l'Espagne à 84% du produit intérieur brut (PIB) à la fin de l'année. Mais si les rendements obligataires espagnols continuent de progresser, ce ratio d'endettement pourrait être encore plus élevé.

    Dans ce contexte, le gouvernement espagnol envisage des réformes fiscales, telles que la hausse de la TVA, une nouvelle taxe sur l'énergie et la fin de certains allègements sur la taxe foncière.

    Le déficit du gouvernement central a atteint 3,41% du PIB entre janvier et mars, non loin de l'objectif de 3,5% fixé pour l'ensemble de l'année.

    Les investisseurs redoutaient de voir l'aide européenne de 100 milliards d'euros promise aux banques espagnoles reléguer au second plan les créanciers privés en cas de défaut de l'Espagne. Ils ont donc accueilli avec soulagement l'accord européen, qui écarte le statut de créancier privilégié du MES dans le cas de l'aide au secteur bancaire espagnol.

    Les investisseurs saluent également la possibilité que le coût de la recapitalisation des banques ne soit pas supporté par les finances publiques espagnoles mais soit transféré au MES dès 2013.

    Madrid doit signer le 9 juillet un protocole d'accord sur les contours de l'aide européenne de 100 milliards d'euros à ses banques. Mais le gouvernement a déjà prévenu qu'il procéderait d'ici au mois d'octobre à de nouveaux tests de résistance sur ses banques, en particulier sur sept établissements.

    La facture finale de l'aide au secteur bancaire espagnol pourrait donc ne pas être connue avant la fin de l'année.

    Certains pays européens pourraient par ailleurs se poser en obstacles aux projets de l'UE. Le gouvernement finlandais a ainsi prévenu lundi qu'avec les Pays-Bas, il empêcherait le MES d'acheter des obligations d'Etat sur le marché secondaire.

    Certains parlements nationaux, y compris le Bundestag en Allemagne, devraient aussi approuver au cas par cas tout rachat d'obligations souveraines par le MES, ce qui rendrait ce dispositif d'aide moins flexible qu'escompté.

    L'Espagne elle-même pourrait avoir du mal à demander au MES de racheter ses obligations souveraines sur les marchés primaire et secondaire étant donné les conditions strictes qui seront attachées à cette aide.

    Blandine Hénault pour le service français, édité par Natalie Huet


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  • par Frédéric B.

    Il s’agit là d’une des nombreuses propositions émises par le Think Tank « Terra Nova », groupe de réflexion proche du Parti Socialiste. Parmi les fantaisies retenues par le gouvernement écolo-socialiste figure le mariage et l’adoption des homosexuels, l’abandon des classes populaires indigènes au profit des immigrés, le droit de vote des étrangers non communautaires aux élections locales, la défense des droits des femmes, le droit de ceci, les droits de ceux-là. Ces penseurs déconnectés de la réalité servent de porte-voix à des revendications qui ne sont souvent partagées que par une minorité des minorités et aboutissent, au final, à stigmatiser davantage ceux qu’ils sont censés défendre.

    À l’ouest rien de nouveau, ces pseudo agitateurs d’idées n’ont, en fait, strictement rien inventé. Juste remis sur le camping-gaz le ragoût nauséabond des idées anarcho-gauchistes post-soixante-huitardes. Il s’agit là d’une vieille lune de la gauche libertaire dont le seul souci dans l’existence semble être le dépoussiérage d’anciennes revendications et l’érection de montagnes, là où il n’y en avait point. Au sein de la social-démocratie, cette obsession de l’homosexualité (déjà louche en elle-même) est la convergence d’une idéologie étudiante petite bourgeoise radicalisée (fils à papa frustrés) et d’intérêts catégoriels grand-bourgeois (le papa ouvert et expérimenté) qui ont fini par fusionner au sein de la même étroite impasse.

    Tournant le dos au prolétariat français, une partie de l’extrême-gauche n’a cessé, bien avant 1968, d’inventer de nouvelles avant-garde censées se substituer au peuple dont au fond elle se méfie. Tour à tour, ou conjointement, ce furent les colonisés, les femmes, les immigrés et enfin les homosexuels à qui furent dévolu ce rôle de ferment révolutionnaire.

    On retrouve plus particulièrement cette marotte chez les pablistes* de la Ligue Communiste Révolutionnaire (NPA actuel). De nombreux transfuges de ce courant trotskiste sont actuellement des cadres du Parti Socialiste (Henri Weber, Gérard Filoche, Julien Dray, Christophe Cambadélis, Harlem Désir). Ils assurent la diffusion d’un parfum de subversion qui tourmente les jeunes militants et leur donne la fièvre du Grand Soir jusqu’à l’aube rose bonbon. Insidieusement, le drapeau rouge des luttes sociales s’est transmuté en un criard chiffon arc-en-ciel.

    Pour citer Karl Marx : « La bourgeoisie a déchiré le voile de sentimentalité qui recouvrait les relations de famille et les a réduites à n’être que de simples rapports d’argent » (Manifeste du Parti Communiste ). Autrement dit, actuellement, une partie de la "communauté" homosexuelle (notamment les plus aisés) souhaite, pour des questions de succession et d’héritage, aller plus loin que ce qu’autorise le Pacte civil de solidarité (Pacs).

    D’où la revendication du mariage et de l’adoption. En ce sens, le droit au mariage, le droit à l’enfant sont, avant-tout, des revendications bien bourgeoises et libérales. À tel point qu’une fraction de l’UMP rejoint le Parti Socialiste sur ce sujet. Cerise sur le gâteau, on peut faire un beau geste en adoptant les enfants des pays pauvres pour les rééduquer dans nos pays "riches", en éludant vite l’idée que cette action fleure bon le colonialisme tant décrié par ces progressistes.

    Plus que jamais, gauchistes décomposés et grands bourgeois décadents épousent le même objectif gaucho-mondialiste :

    • créer les conditions d’une effervescence permanente (le médiatique jeu de la démocratie) sur des thèmes sociétaux minoritaires (l’homosexualité, le féminisme, l’immigré).
    • détourner l’attention des masses vers des miroirs aux alouettes tout en soustrayant, sournoisement, à la majorité, l’essentiel de ses libertés.
    • Sincèrement, quelle fraction de la population est capable de comprendre la portée dramatique du Pacte Budgétaire Européen bientôt adopté par tous les parlements de la zone euro ?

    Par contre, en 2013, le goulu baiser nuptial de deux gays fraîchement épousaillés, émoustillera la France des journalistes et espèrent-ils, toute la France profonde. D’aucuns ne diront-ils pas, à ce moment, qu’un homme inverti en vaut deux.

    L’homosexualité est un aspect de la sexualité qui doit demeurer dans la sphère privée. Elle n’est ni une minorité, ni un lobby, ni une communauté. Elle doit demeurer dans la communauté nationale.

    Je ne parlerai pas des enfants adoptés, élevés dans une relation dénaturée, des interrogations dans la cour de récréation et de leur questionnement sur la désopilante structure qui les accueille.

    Ce que les doigts homosocialistes parsemés de nacre ont détricoté, une main devra un jour, avec un cœur de pierre, le reconstruire. Plus que jamais, la France a besoin de se réunir autour de valeurs communes partagées par la majorité de la population et non par des communautés de trublions stériles qui attisent le chaos et la désagrégation de notre patrimoine commun.

    La dernière page n’est pas encore écrite.

    Ce combat ne fait que commencer !

    *désigne un courant trotskiste du nom de Michalis Raptis dit Pablo, plaçant l’épicentre de la révolution dans les mouvements de libération coloniale au détriment du rôle historique des prolétariats métropolitains.


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  • Iran : Une centaine de députés veulent fermer le détroit d'Ormuz aux pétroliers allant vers l'Union européenne

    Quelque 100 députés du Parlement iranien ont signé une proposition de loi visant à interdire le passage du détroit d'Ormuz aux pétroliers se rendant vers les pays européens qui ont imposé des sanctions contre le pétrole iranien, rapportent lundi les médias iraniens.

    "Ce projet est une réponse aux sanctions pétrolières de l'Union européenne contre la République islamique", a déclaré Ebrahim Agha Mohammadi, membre de la commission des affaires étrangères du Parlement, cité par l'agence Mehr.

    "Selon ce projet, le gouvernement a le devoir d'empêcher le transit des pétroliers transportant du pétrole vers les pays qui ont imposé des sanctions pétrolières contre l'Iran", a-t-il ajouté.


    Il a précisé que le projet serait déposé avec la mention "priorité" devant le bureau du parlement.

    L'Union européenne a décrété à partir du 1er juillet un embargo total sur l'achat mais aussi le transport de pétrole iranien, qui n'est plus garanti par les assureurs européens, couvrant 90% du trafic maritime pétrolier mondial.

    Selon les estimations de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), ces sanctions, annoncées en janvier, auraient provoqué depuis le début de l'année une baisse de 30% des exportations iraniennes de brut, tombées en mai à 1,5 million de barils/jours contre plus de 2,1 mb/j fin 2011.

    Les dirigeants iraniens rejettent ces estimations et affirment au contraire que les exportations sont stables et que la production a augmenté à 3,75 mb/j.

    Ces derniers mois, l'Iran a menacé à plusieurs reprises de fermer le détroit d'Ormuz, par lequel transite 35% du pétrole brut transporté par voie maritime dans le monde, en cas de sanctions contre ses exportations pétrolières. Mais ensuite, des responsables politiques et militaires ont affirmé qu'ils n'avaient pas l'intention de mettre à exécution ces menaces.

    Source du texte : RTLINFO.BE


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