• Une sommité du rabbinat israélien : Yitzhak Kaduri, décédé en janvier 2006, a tout au long de l’année précédant sa mort, eu des visions.

     

    Ses visions portaient principalement sur le Messie, ce Messie que le peuple juif attend encore, et notamment sur son identité. Le rabbin écrivit le nom du Messie sur une note et demanda que cette note ne soit rendue publique, qu’une année après sa disparition !

     

    Il annonça également que le Messie se révèlerait à Israël peu de temps après le décès d’Ariel Sharon.

     

    En 2007, la note fut publiée et révéla que le nom du Messie qu’attendent les juifs, n’est autre que Jésus !

     

    Pour l’heure, Ariel Sharon est toujours maintenu dans un coma artificiel alors que selon ses médecins, il n'y a pas d'espoir qu'il se réveille un jour.

     

    Est-ce à dessein ?

     

    par DIVA mardi 30 juillet 2013


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    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-07-30T15:58" itemprop="datePublished" pubdate=""> 30/07/2013 à 15:58</time>

    Le petit Connor Levy, né le 18 mai dernier à Philadelphie (États-Unis), se porte très bien ! Il faut dire qu'il a toutes les chances de son côté : le jeune garçon est le premier à avoir vu le jour grâce à une nouvelle technologie de fécondation in vitro (FIV), né après que ses parents eurent passé en revue son génome complet. La nouvelle méthode, qui utilise une technique de séquençage de l'ADN de pointe, permet aux futurs parents de choisir l'embryon qui présente le moins de risques d'anomalies génétiques. En effet, Marybeth Scheidts, 36 ans, et David Levy, 41 ans, parents du petit Connor, ont pu envoyer treize embryons fécondés à l'université d'Oxford pour repérer les gènes défectueux. Les tests ont déterminé que seul trois des treize embryons avaient un nombre correct de chromosomes. Un de ces trois embryons a donc été implanté dans l'utérus de Marybeth, donnant naissance au premier bébé "génétiquement parfait". Une deuxième femme américaine devrait donner naissance dans les prochaines semaines à un bébé ayant subi les mêmes tests génétiques, selon le Centre de recherches biomédicales de l'Université d'Oxford.

    Au vu des taux d'échec extrêmement élevés des FIV (80 % des implantations d'embryons se terminent par une fausse couche), la tentation de passer en revue le génome du futur enfant est grande, d'autant plus qu'une bonne partie des échecs sont liés à des anomalies chromosomiques. C'est pourquoi la nouvelle technique de dépistage génétique développée par l'université britannique peut potentiellement bouleverser la fécondation in vitro. En à peine 24 heures - grâce à une recherche embryonnaire accélérée -, les embryons en meilleure santé sont sélectionnés, permettant d'accroitre considérablement les chances de réussite tout en limitant les coûts. En France, une FIV coûte entre 3 000 et 4 000 euros. Un dépistage génétique permet de maximiser les chances de grossesse réussie, et donc d'éviter les coûts économiques et psychologiques de fécondations artificielles à répétition. La procédure britannique est estimée 33 % moins chère que celle couramment utilisée, et susceptible d'augmenter de 50 % le taux de grossesses menées à terme.

    Des bébés sur mesure

    La revue des génomes n'est pas nouvelle, mais jusqu'ici, on se contentait d'un examen visuel approximatif. Si l'équipe de l'université d'Oxford n'a recherché que les anomalies chromosomiques les plus connues (trisomie 21, syndrome de Turner...), rien ne l'empêche, dans les faits, de choisir le futur bébé en fonction de la couleur de ses yeux ou du risque de développer à l'âge adulte la maladie d'Alzheimer. Cette dérive est interdite et contrôlée en Grande-Bretagne, mais le chercheur Dagan Wells, à l'origine de cette avancée scientifique, soulève déjà les risques potentiels de la pratique : "Il y a donc une possibilité de chercher une quantité d'informations sans précédent sur l'embryon avant son transfert dans l'utérus. Nous devons prendre garde à ce que ce ne soit pas utilisé pour des raisons triviales, non-médicales." explique-t-il dans un communiqué.

    Cette nouvelle technique fait écho aux questions éthiques qui se posent de plus en plus dans la communauté scientifique sur la recherche de l'embryon. Un débat d'autant plus présent depuis l'autorisation récente, en France, de la recherche sur les cellules souches embryonnaires.


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  • Le sens objectivé, amputé de toute subjectivation, se prive de tous ses réservoirs de représentation, pourtant vitaux à son fonctionnement. Soumis au crible de la raison scientiste, le sens redevient signe, lettre, ou pire encore, nombre, mais jamais récit, dans une analyse univoque, statistique, statique ou prévisionnelle, d'un contrôle généralisé de gestion comparative, nommé benchmarking. C'est par l'alibi de cette objectivité, que l'intelligentsia dominante, imposera ses analyses et ses verdicts, du haut de son imposture scientiste.

    Après cette première décennie du XXI siècle, quels sont les destructions du sens, imposés par l'organisation économique et sociale ? Quel avenir pour la culture française, perdue quelque part entre le piquet de la liberté et celui de l'égalité, et dont la fraternité se cherchera bientôt dans une éprouvette. Ne s'agit-il pas pour comprendre ces destructions, de déterminer l'ensemble des procès, qui régissent notre société. La profonde singularité, par rapport aux sociétés passées, provient du fait que notre société moderne se déclare, objective, de façon formelle. C'est le règne de la raison pure, ou plutôt de son avatar l'apparence. La société est devenue exclusivement rationnelle, elle a réduit, par la même occasion, la part de subjectivité dans son fonctionnement. Mais c'est surtout sa part de rêve qui fait défaut ou qui a été commercialisée, pour ce qui est rentable ou exploitable, dans un spectacle permanent, où tout est payant, et régi par le profit . Dans cette objectivation, le sujet complètement objectivé lui-même, n'est plus sujet, mais objet. Il n'est plus, être et personne, mais avoir et chose. Il n'a plus de valeur intrinsèque, mais un prix. Ce processus, par son extension générale et l'étendu de son champ, est totalement inédit dans l'histoire. Mais cette objectivation est aussi partie prenante et permanente, du mythe du progressisme, dans une objectivation de tous les instants, de type mathématique et statistique, propre aux objets, mais étrangère et délétère aux sujets et au sens. L'homme objectivé est devenu une probabilité. C'est l'évaluation des risque qui gère ses écarts par les normes et les assurances. Son comportement s'évalue, dans un écart type objectif, qui évolue sous une cloche de Gauss. L'homme, fruit du hasard, cherche en permanence à circoncire ce hasard, dans ce nouveau théâtre objectivé, qui est le marché. Le marché est maintenant la référence absolue. Et le marché créa l'homme, à sa ressemblance, dans la marge et les méandres de sa rationalité de gestion de masse et de rouleau compresseur.

    Par une égalisation objective de type mathématique, l'être dénaturé et étayé par les normes, perd sa richesse polysémique, dans une uniformisation générale, débilitante et mortifère. C'est l'ère du clonage et des diversités, choisis et exploités par le marché. L'action et le fait, souvent résultat de la confrontation de l'objet et du sujet, sont soumis uniquement au crible scientiste du rationalisme marchand, sans pouvoir être dépassés, dans un avatar du réel qui n'a pas de nom, parce qu'il ne s'inscrit plus dans un récit mythique ou fondateur, et dont la science ne peut rendre compte au niveau du sens. C'est l'hédonisme au jour, le jour, et l'économisme de l'instant. C'est l'individuation ensemble, pour faciliter le ciblage, et par ailleurs, le débitage de l'homme en morceaux plus ou moins rentables, sur l'étal de la boucherie capitaliste. C'est, enfin, la sacro-sainte atomisation, nécessaire à la concurrence pure et parfaite.

    Le sens objectivé, amputé de toute subjectivation, se prive de tous ses réservoirs de représentation, pourtant vitaux à son fonctionnement. Soumis au crible de la raison scientiste, le sens redevient signe, lettre, ou pire encore, nombre, mais jamais récit, dans une analyse univoque, statistique, statique ou prévisionnelle, d'un contrôle généralisé de gestion comparative, nommé benchmarking. C'est par l'alibi de cette objectivité que l'intelligentsia dominante, imposera ses analyses et ses verdicts, du haut de son imposture scientiste. Rien de nouveau sous le soleil de la politique, seuls les paramètres se compliquent, et se mélangent, de façon inextricable, aux variables. L'intelligence se réduit alors à une approche pseudo-verbale et organisationnelle partisane, par exclusion du non verbal, du rêve et de la créativité. La polysémie du symbole s'appauvrit dangereusement, dans une tentative totalitaire d'objectivation, elle aussi permanente. Cette tentative manipulatrice de rationaliser, par la réduction du sens qu'elle impose, est en train de tuer toutes les racines culturelles des symboles, en détruisant ou en réduisant le territoire du sens. Chaque territoire abandonné est immédiatement investi par le marché et le capital. Ces pseudo-exigences d'objectivité imposent l'évaluation pour seule approche, de ce qui se réclame vérité, mais qui relève uniquement de la rationalité douteuse des marchés. Le réel serait-il uniquement mathématique, comme ce paradigme semble dangereusement l'affirmer ? Cette approche se veut effectivement, celle des réels en mathématique, mais comment s’accommoder d'un pareil raccourci. On oublie, effectivement, que le réel n'a pas de mots pour le dire, il relève du chaos et du fractal. Il échappe au verbal, dans son indépendance totale et ne saurait être pris en otage par un positivisme réductionniste. Le réel en tant que vécu intrinsèque, n'intéresse personne ! C'est dans sa collusion avec le sens que le réel acquière une valeur éphémère et sans cesse renouvelée, qui l'inscrit alors en tant que sens, dans un récit. En perdant ses rêves dans les méandres des équations réductionnistes, l'homme perd tout, tant il y a peu de réalité dans l'homme. C'est à ce niveau que la prolétarisation et l'aliénation de l'homme moderne sont totales et probablement définitives. Nous sommes loin des espérances du Siècle des Lumières, ou du Sur-Homme de Nietzsche. La mort de Dieu, loin du triomphe de la renaissance objective annoncée, devient alors un avis d’obsèques d'une hécatombe futur. La laïcité, dans sa forme la plus enthousiaste de l'objectivité libérée, est la porte parole du vide. Le matérialisme devient le prisme du néant. Raison où est ta victoire ? La vérité est-elle vraiment dans l'objectivité hégélienne, ne serait-elle pas plutôt à chercher dans la subjectivité et l'existence de Kierkegaard ?

    Toujours est-il que la logique est manipulée et instrumentalisée. Elle objective tout, dans une pseudo rationalité de rentabilité, et une utilité marginale, qui exploite le besoin utilitaire infini, mais factice de notre société de consommation. Nous sommes plongés dans les logiques marginalistes de l'économie, et avons abandonné toute interrogation épistémologique. La culture qui, traditionnellement, a fait le lien entre le récit et la réalité, est réduite à sa version marchande, dans un décors de marketing et un rayonnage de super marché. La chose, trop rationalisée, détruit la part invisible qu'elle porte en elle, et qui la dépasse dans le sens et la signification, capacité à donner du sens dont ne sont point dotés les animaux. Par une amputation du champs symbolique, cet excès de rationalisation anéantit ce qui n'est pas verbal, au delà du marché, et nous ramène immanquablement à lui. Or tout idéal ou toute idéalisation, se situent dans ce triangle constitué du visible, de l'invisible et du symbole. Que devient alors l'intelligence et la créativité qui sont essentiellement non verbales ? Allons nous vers le sacre de l'imbécile, comme l'effondrement du système éducatif semble nous l'annoncer ?

    L'information remplace la connaissance et le savoir, dans une imposture générale qui se nomme la transparence, et qui est avant tout une exigence du marché. Cette transparence cache en réalité un égalitarisme sournois, véritable optimum pour la demande, mais où, tout doit être étalé, dans un exhibitionnisme et un voyeurisme malsain. C'est la parfaite circulation de l'information, de la concurrence pure et parfaite, et son corollaire la visibilité, qui n'épargne et ne respecte plus rien. Mais c'est aussi un barbarisme certain, signe d'une régression culturelle, ressemblant fort à un abandon de tout humanisme, face à une marchandisation générale . C'est là que commence la communication dans ce qu'elle a de plus immonde, et qui constitue, maintenant, notre monde, fait de télé réalité, de séries télévisées et de pacotilles.

    Nous avions un héritage culturel, mais point de testament chez le notaire. Seule la religion du marché, qui est en passe de devenir universelle, nous relie encore ensemble, les uns avec les autres. Pour cette religion de la mondialisation et de l'universel, ceux ne sont pas les grands prêtres qui manquent, ni les temples ni les grands messes. La nouvelle langue sacré universelle, de ce miracle marchand, est le globish english. L'homme, complètement chosifié, n'est pas encore à vendre, mais sa mise à prix est déjà faite. Bonjour le progrès ! Merci au radicalisme rationaliste, progressiste et formel, de nous avoir conduit dans cette galère ! On nous avait parlé de lumière ? Bonjour les ténèbres. L'alibi de la science et de l'objectivité, est la forme la plus avérée de la persuasion et de la manipulation. C'est le chausse pied de toutes ces normes, que l'on nous impose, au nom du principe de précaution et d'objectivité.

    Toutes les cultures ont cherché, au delà des apparences et du visible, un lien avec l'invisible, le rêve et l'intelligence, pour donner du sens et du signifiant. C'est terminé ! Nous sommes dans une civilisation qui s'appauvrit dans son humanisme, et qui n'est plus un récit, mais une chose tentaculaire. Le récit demain sera le domaine réservé de la publicité qui investira aussi le champ du politique. C'est un réel progrès !

     Eric de Trévarez


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  • Louis Aliot, le compagnon de Marine Le Pen et N°2 du FN, a évoqué ses origines juives hier dans "Salut les terriens", l'émission de Thierry Ardisson sur Canal+.
     

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    Louis Aliot parle de sa famille. Hier, sur le plateau de "Salut les terriens !", l'émission diffusée chaque samedi vers 19h et animée par Thierry Ardisson sur Canal+, le N°2 du Front National et compagnon de Marine Le Pen a évoqué sa famille maternelle algéroise d'origine juive.

     

    "Vous êtes juif Salomon ?"

    Comme à son habitude, l'animateur en noir a décliné le CV de son invité : "Naissance à Toulouse d'un père ariégeois et d'une mère algéroise. Votre Grand mère maternelle tenait les archives du parti communiste dans le quartier de Bab el oued le quartier populaire d'Alger (...) et le père de votre mère était juif." Devant ce détail étonannt au vu des convictions politiques de Louis Aliot, l'homme en noir lâche : "Vous êtes juif Salomon ?", en référence à la célèbre réplique de Louis de Funès dans "Les Aventures de Rabbi Jacob".

     

    "Il y a des étrangers parfaitement assimilables"

    Louis Aliot a acquiéscé et a alors expliqué que son arrière grand-père avait été naturalisé français lors du décret Crémieux en 1870. "Ce décret a été une grande injustice car on avait en quelque sorte nationalisé les juifs d'Algérie, s'ils le voulaient, mais on l'avait refusé aux musulmans, ce qui avait créé une des premières fractures entre les communautés. C'était un décret profondément discriminatoire", a déclaré le dirigeant du FN.

     

    Ardisson l'a ensuite interrogé sur le rapatriement de sa mère en France au moment de l'indépendance en lui demandant si le cas de sa mère n'était pas un contre-exemple des idées de son parti en matière d'intégration. "Je suis persuadé qu'il y a des étrangers parfaitement assimilables à la Nation France et ça demande des efforts et de faire des sacrifices sur soi, sur sa culture et sa façon d'être au quotidien", a-t-il conclu.


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  • Drame ferroviaire en Espagne : des similitudes troublantes avec la catastrophe du métro de Valencia en 2006

    Le drame ferroviaire de Saint-Jacques de Compostelle nous rappelle un autre accident très similaire dans le sud-est de l' Espagne à Valencia en 2006 lors de la venue du pape. L'accident du métro de Valencia ... Plus de 40 morts... Le machiniste avait été tué dans l'accident et la commission d'enquête l'avait rendu responsable de ce massacre alors qu' il était évident qu' un simple système de balises sur la voie aurait évité la tragédie ( là aussi le train avait abordé un virage trop rapidement).

     

    Les familles de victimes n' ont jamais accepté les seuls motifs officiels du drame. La pression citoyenne ne s'est pas démentie depuis lors et chaque début de mois il y a une manifestation en mémoire des victimes près de la station de métro. Du coup, et grâce aussi à un excellent reportage de la chaîne de TV espagnole Sexta l'enquête va être réouverte. On sait aujourd'hui que le conducteur a été le bouc émissaire qui a permis de couvrir des tas de manquements et d'irrégularites.

    A l'époque la droite au pouvoir dans la région de Valencia était triomphante et ne voulait pas d'ennuis... c'était l'époque de l'argent facile où tout avait été fait à la va-vite... y compris le métro. L'émission de la sexta a démontré que le procés avait été une farce, que l'entreprise ferroviaire avait organisé des cours d' enseignements obligatoires pour faire apprendre à ses travailleurs ce qu'il devaient dire au juge !!! incroyable !

    La commission d'enquête parlementaire régionale avait été bâclée par la droite qui avait tout goupillé en quelques jours pour vite passer à autre chose.

    Aujourd'hui on sait tous qu' une simple balise de sécurité aurait pu éviter ces dizaines de morts. On sait aussi que les fenêtres des wagons (montées à la va-vite) avaient été mal scellées, ce qui avait provoqué une authentique boucherie : les vitres n'avaient pas tenu et des milliers d'éclats avaient transpercé les victimes.

     

    En ce qui concerne la tragédie de Saint Jacques de Compostelle, le machiniste est vivant : il admet avoir commis un excès de vitesse mais on peut d'ores et déjà penser qu' une simple erreur humaine n' aurait pas dû provoquer cet accident et qu'il aurait fallu un système automatique qui empêche le conducteur de commettre une telle bourde.

    Cette ligne est mixte (avec des tronçons à haute vitesse et d'autres à vitesse modérée) et les experts affirment que ce type d'accident n' aurait pas pu se produire sur une ligne purement à haute vitesse.

    On peut donc se demander si la précipitation politique à vouloir ouvrir de nouvelles lignes semirapides ne s'est pas faite sans prendre toutes les précautions techniques nécessaires. Pour l'instant le deuil et la douleur prévalent mais les citoyens sont déjà en train de se demander pourquoi les systèmes automatiques de sécurité n' ont pas empêché le conducteur de commettre cet excès de vitesse.

    La polémique et la colère légitime sont déjà au coeur des débats avant même d'avoir les premiers résultats de l'enquête .

     

    Même si la technologie du train de Saint-Jacques n'a rien à voir avec celle du métro de Valencia, il n'en reste pas moins vrai qu'en moins de 7 ans il y a eu 2 catastrophes ferroviaires avec un seul et même motif ( le train qui arrive trop vite dans une courbe) et une seule cause ( une sécurité insuffisante ou défaillante)...

    Tout cela semble donner raison aux familles des victimes de l'accident de 2006 qui considèrent qu'on leur a caché une partie importante de la vérité.

    Je vous laisse avec une photo de ces manifestants du métro de Valencia, avec une pancarte qui dit :

    43 morts+47 blessés... et 0 responsables

     
    par ALEA JACTA EST (son site) samedi 27 juillet 2013 - 26 réactions

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  • Holodomor : 6 millions de chrétiens assassinés par les soviétiques. Le patron du génocide : Lazare Kaganovitch. C'est il y a 80 ans, au printemps-été 1933, que le nombre de victimes a été le plus important. Y aura-t-il une soirée spéciale sur TF1 ?

     
     
     
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Holodomor : "La question de savoir si le Holodomor constitue ou non un génocide reste âprement débattue." Ah tiens ? On en parle ?



     

     

     

     


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  •  lettre de Sylvie Goy-Chavent à François Hollande

    Monsieur le Président de la République,

     

    La Mission commune d’information du Sénat sur la filière viande vient de rendre public son rapport.

    Parmi la quarantaine de propositions adoptées à l’unanimité par les Sénateurs, figure l’étiquetage de la viande issue des filières d’abattage sans étourdissement préalable. En effet, comme vous le savez de nombreux animaux sont aujourd’hui abattus en France de façon rituelle, sans étourdissement et une grande partie de la viande issue de ces filières est écoulée dans les circuits de distribution classique, sans aucune information des consommateurs.

    Avant même la publication officielle de ce rapport, j’ai été victime d’insultes graves à caractère raciste, de diffamations publiques et de menaces de mort sur Internet.

    Pour votre parfaite information, sachez que plusieurs collègues parlementaires de gauche comme de droite et moi-même réfléchissons également à la possibilité d’étiqueter les produits issus des colonies israéliennes en Cisjordanie, ces produits étant le plus souvent commercialisés en France avec la mention « Made in Israël », en totale contradiction avec le droit français et international.

    Depuis quelques jours, des groupes proches de l’extrême droite israélienne se déchainent contre moi et appellent ouvertement à la haine et à la violence.

    Hier, un message à peine voilé appelant à la guerre civile et demandant explicitement au Gouvernement Israélien de mener des attaques contre la France a également été publié sur un site internet.

    Différentes personnes, notamment des parlementaires, m’ont conseillé de faire preuve de la plus grande prudence, évoquant même la possible intervention contre moi des services spéciaux d’une puissance étrangère.

    Alors que la France et ses valeurs semblent aujourd’hui menacées et que l’élue que je suis fait l’objet de graves menaces, j’en appelle au Président de la République pour faire respecter le droit et me permettre d’exercer mon mandat librement et en toute sécurité.

    Veuillez agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute considération.

     

    Sylvie GOY-CHAVENT
    Sénatrice de l’Ain
    Rapporteure de la Mission commune d’information sur la filière viande

    À l’attention de Monsieur François HOLLANDE
    Président de la République
    Palais de l’Élysée
    55 rue du Faubourg Saint-Honoré
    75008 Paris

     

    Petit rappel sur la question de l’étiquetage de la viande (Alain Soral, entretien de mars 2012) :


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