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    "Cette année, les mères des élèves d'une école de Haute-Savoie n'auront pas droit au traditionnel collier de pâtes ou à l'empreinte de main en pâte à sel. Les enseignants de l'école d'Allinges ont en effet pris la décision de ne pas faire préparer à leurs élèves de cadeaux pour la fête des Mères, qui a lieu ce dimanche, comme le rapporte le site Francetvinfo. Et la fête des Pères, prévue cette année le 15 juin, n'est pas épargnée.

    Motif ? "Éviter les situations délicates", autrement dit ne pas mettre dans l'embarras des enfants qui auraient perdu un de leurs parents, vivraient dans une famille d'accueil ou une famille recomposée. Selon Le Parisien, à l'origine de l'information, 15 des 17 enseignants de l'école se sont montrés favorables à la mesure, dont les parents ont été informés par un mot dans le carnet de liaison des élèves.

    "Madame, Monsieur. Afin d'éviter les situations délicates pour de nombreux élèves dans l'école, à l'évocation de la fête des Mères ou de la fête des Pères, le conseil de maîtres a décidé que ces événements ne seraient plus l'occasion d'un travail en classe, quel que soit l'âge des enfants, y compris en maternelle. (...) Nous laisserons donc le soin aux familles de traiter le sujet elles-mêmes si elles le souhaitent", précise le texte.

    "Une décision débile"


    L'initiative n'a en tout cas pas manqué de faire réagir plusieurs pères et mères qui ont eu visiblement du mal à comprendre. "Cette décision est débile. Se voir remettre par son enfant un petit cadeau réalisé à l'école, c'est un moment merveilleux", indique au Parisien une mère de deux enfants.

    "Sur ce coup-là, je trouve que les enseignants ne sont pas très pédagogues ni psychologues. C'est à eux d'expliquer les choses aux enfants en difficulté. Ils n'ont qu'à dire à l'enfant que le cadeau peut être offert à une tante, une grand-mère, une maman d'accueil. Mais il ne faut pas pour autant priver tous les autres enfants de la joie de réaliser un cadeau à l'école", renchérit une autre.

    Certains parents sont même allés jusqu'à signer une pétition. La directrice de l'école d'Allinges s'est dite prête à les recevoir, mais rappelle qu'"aucun texte de l'Éducation nationale n'oblige les enseignants à célébrer la fête des Mères ou des Pères." D'autres parents se montrent d'ailleurs plus compréhensifs : "Les enfants qui n'ont plus de papa ou de maman souffrent suffisamment. Il ne faut pas les traumatiser encore plus en leur faisant réaliser un cadeau qui leur rappellerait cruellement leur situation.""
     
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    Commentaire du Clan des Vénitiens : Depuis des années, de petites expériences sont tentées ci et là pour tâter le terrain. Quand les parents d'élèves, qui réagissent encore, auront baissé la garde en constatant que les pouvoirs publics font ce qu'ils veulent et gagnent toujours, la fête des mères et celle des pères figureront au musée du folklore réactionnaire que financera le philanthrope homosexuel Pierre Bergé, fer de lance du "mariage pour tous".
     

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  • Après le voyage cette semaine de Vladimir Poutine à Shanghaï et les 40 accords commerciaux signés entre la Russie et la Chine à cette occasion, Giulietto Chiesa analyse la nature et les impacts stratégiques potentiels de ces tractations qui s’inscrivent dans le contexte de la crise ukrainienne entre l’Europe et les États-Unis d’une part, et la Russie d’autre part, laquelle vient de demander en urgence la réunion du Conseil OTAN-Russie.

     


    Giulietto Chiesa : Impact des accords... par IlFattoQuotidiano


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  • Les chiffres sont ceux de la Commission européenne. Et ils sont inquiétants: malgré les mesures d’austérité prises depuis 2010, le désendettement public engagé dans les pays de la zone euro en difficulté reste problématique.

    Au Portugal, où la dette publique a culminé en 2013 à 129% du PIB, celle-ci devrait se réduire à 126% en 2014, et 125% en 2015, soit un niveau très supérieur aux 83% de 2010, lorsque la crise a éclaté. L’Italie, elle, est confrontée à une dette qui continue d’augmenter, de 127% du PIB en 2013 à 132,6% prévus pour 2014. Idem pour l’Espagne, passée de 86% en 2012 à 94% en 2013, avec une prévision à 100% du PIB en 2014 et 103,6% en 2015. La Grèce, où l’UE a injecté 240 milliards d’euros, est la plus problématique avec une dette passée de 157% du PIB en 2012 à 175,1% en 2013, supposée atteindre 177% en 2014 et 172% en 2015. L’Irlande est en revanche le bon élève, avec une dette de 123,7% du PIB censée atteindre 120% en 2015. Un niveau de dette qui, dans tous les cas, reste écrasant pour des Etats supposés redevenir compétitifs.

     

    source

    http://www.letemps.ch/Page/Uuid/d48c43a8-e10f-11e3-a6a0-66e041ce382a/D%C3%A9sendettement_probl%C3%A9matique_des_pays_europ%C3%A9ens_en_difficult%C3%A9


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  • ERTV s’est entretenu à Londres avec Gilad Atzmon, jazzman et essayiste britannique d’origine israélienne, connu en France pour ses travaux sur le judaïsme et le lobby sioniste.

    Dans cet entretien, Gilad Atzmon jette un regard inédit sur le socialisme de George Orwell en y introduisant la question juive. À partir des œuvres Hommage à la Catalogne (1938) et 1984(1949), Atzmon souligne les rapports entre judaïsme et élites « antifascistes » en Espagne, et plus généralement la proximité entre la vision du monde juive et la matrice idéologique de cette « gauche » progressiste, bourgeoise et antinationale qu’Orwell n’a eu de cesse de dénoncer.

     


    Entretien avec Gilad Atzmon sur le national... par ERTV


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