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  • Pas de chance. Dans cette France acquise au sionisme, seuls ont le droit à des égards les judéo-sionistes agressés et insultés.

    Le 12 mars 2012, j’ai été agressé et insulté par un groupe connu pour ses méthodes expéditives et fascistes. Ce n’était pas leur première agression.

    Ils sont connus et répertoriés, même par les services de police et le ministère de la Justice.

    Mais c’est la LDJ, la ligue de défense juive, une des institutions sacrées du lobby. Ils se sentent tellement dans l’impunité qu’ils ont filmé l’agression et l’ont postée sur leur site.

    Et pourtant, la police républicaine n’a pas bronché, pas d’arrestations, pas de convocations, pas de confrontations. Le Parquet, aux ordres du gouvernement, attend tranquillement la prochaine décennie pour examiner ma plainte.

    Eh oui ! Si j’avais été un écrivain sioniste agressé par des islamistes, j’aurais été reçu par le ministre de l’Intérieur et même par le président de la République, on m’aurait interviewé à la télévision, on m’aurait assuré que les responsables seraient recherchés et déférés et jugés sans délai et avec la plus extrême sévérité. J’aurais même pu avoir la légion d’honneur !

    Mais bon, les autorités françaises ont mieux à faire. Elles recherchent activement ceux qui ont agressé des juifs ailleurs.

    Car quand on agresse un juif (pas Jacob Cohen, un juif mais un antisioniste notoire et ennemi du CRIF) c’est toute la République qu’on agresse.

    Et là, je vous parie qu’on va les arrêter très vite, et que les caméras seront là.

    Vive la République française ! Liberté égalité fraternité !


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  • L'Espagne a lancé mardi un appel à l'aide à l'Europe, lui demandant de la "soutenir" via un mécanisme pour recapitaliser ses banques, alors que la tension actuelle lui ferme l'accès aux marchés financiers et la place "dans une situation d'extrême difficulté".

    Depuis la demande d'aide publique historique de 23,5 milliards formulée en mai par Bankia, troisième banque du pays par actifs, l'Espagne est au coeur des inquiétudes des marchés, les investisseurs craignant qu'elle ne puisse assumer seule ses obligations financières et doive demander une aide extérieure.

    Mais cela ne sera pas le cas, veut croire Madrid, qui refuse jusqu'à présent un sauvetage à l'image de ce qui a été fait pour le Portugal, l'Irlande ou la Grèce. L'Espagne ne peut "techniquement pas faire l'objet d'un sauvetage" en raison de sa taille importante, a ainsi affirmé le ministre du Budget Cristobal Montoro.

    Le pays est la quatrième économie de la zone euro, dont il représente 12% du PIB total, contre seulement 6% pour l'Irlande, le Portugal et la Grèce réunis. Les plans de sauvetage de ces trois pays ont coûté respectivement 85 milliards, 78 milliards et 292 milliards d'euros... ce qui laisse augurer d'un coût encore plus élevé pour Madrid.

    M. Montoro a reconnu l'importance des turbulences actuelles: "ce qu'indique la prime de risque (surcoût que l'Espagne paie pour emprunter par rapport à l'Allemagne, ndlr) c'est que la porte des marchés n'est pas ouverte à l'Espagne".

    Le problème "le plus urgent" du pays est "un problème de financement, de liquidité et de maintien de la dette publique", a aussi admis le chef du gouvernement Mariano Rajoy devant le Sénat, ajoutant que "l'Espagne est dans une situation d'extrême difficulté".


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  • F. Asselineau sur la Syrie : "BHL n'est pas plus philosophe que je ne suis moine tibétain."


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    Gaëlle Lucas, à Madrid

    Un sauvetage de la quatrième puissance économique de la zone euro dans les conditions actuelles des mécanismes de solidarité européens comportent pour Madrid un coût politique certain, mais pourrait avoir aussi un impact financier considérable. C'est pourquoi le gouvernement Rajoy préfèrerait que l'aide se manifeste sous une autre forme.

    Cristobal Montoro, le ministre du Budget espagnol, a reconnu mardi que l'accès aux marchés financiers pour l'Etat était fermé en raison des taux élevés /Copyright AFP
    Cristobal Montoro, le ministre du Budget espagnol, a reconnu mardi que l'accès aux marchés financiers pour l'Etat était fermé en raison des taux élevés /Copyright AFP Cristobal Montoro, le ministre du Budget espagnol, a reconnu mardi que l'accès aux marchés financiers pour l'Etat était fermé en raison des taux élevés /Copyright AFP

    "Ils ne veulent pas. Ils sont trop orgueilleux", a affirmé à Reuters une source du G7 en marge de la réunion du groupe mardi, à propos d'un recours au fonds de secours européen par l'Espagne. En effet, le gouvernement de Mariano Rajoy refuse tout sauvetage de son économie par les fonds européens. Mais est-ce là seulement péché d'orgueil ? La situation est certes critique. Avec le sauvetage de Bankia, la quatrième banque d'Espagne, les besoins de recapitalisation des banques pourraient s'élever à plus de 60 milliards d'euros.

    Madrid rejette la conditionnalité liée au MES

    Trois options principales s'offrent à l'Espagne pour y faire face : l'émission de dette, mais les taux de plus de 6 % rendent ces opérations très onéreuses. "En ce moment, comme Etat, nous avons un problème pour accéder aux marchés, pour refinancer notre dette", a ainsi concédé Cristobal Montoro, ministre du Budget. Par ailleurs, l'Espagne milite pour que le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) puisse recapitaliser directement les banques sans passer par les Etats. Mais cette option n'est pas opérationnelle même si sa gestation s'accélère. Enfin, se pose la question du recours au fonds de secours dans ses conditions actuelles, mais celui-ci s'adresse seulement aux Etats et l'aide apportée est « subordonnée à une stricte conditionnalité ». C'est cette option que rejette l'exécutif espagnol.

    Un recours "techniquement" impossible

    Outre qu'un sauvetage de l'Espagne serait « techniquement » impossible, d'après Cristobal Montoro, en allusion à la taille de la quatrième économie de la zone euro, le gouvernement affirme que le pays n'a pas besoin d'être secouru. L'Espagne estime qu'elle a fait toutes les réformes nécessaires et que ce dont elle a besoin désormais est de « davantage d'Europe"... et donc d'une union bancaire, et d'euro-obligations, comme l'a réclamé mardi Rajoy au Sénat.

    De fait, pour les analystes, le problème espagnol est circonscrit au secteur financier. Or, en termes comptables, l'Espagne pourrait y faire face seule : "On arrivera à un ratio de 86% dette/PIB si la recapitalisation est de 60 milliards", un taux inférieur à celui de nombreux pays d'Europe, calcule José Carlos Díez, chez Intermoney. De plus, le spread (écart entre les taux allemand et espagnol à dix ans) est élevé mais à plus de 6%, le taux d'intérêt reste acceptable s'il ne se prolonge pas.. Toutefois, le risque de fermeture des marchés à l'Espagne fait que l'accès direct au MES semble la meilleure option.

    Le risque d'une perte de confiance dans la dette publique

    Par ailleurs, compte tenu des réformes engagées et de la mise au pas des régions, en voie de respecter leurs engagements de déficit en 2012, un sauvetage assorti de conditions budgétaires semble inutile, voire contreproductif. "L'UE pourrait imposer la hausse de la TVA, la baisse des retraites et des salaires des fonctionnaires... ce qui n'a pas d'utilité pour résoudre le problème du secteur financier", rappelle Daniel Pingarrón, chez IG Markets. « Ces solutions équivaudraient à celles de Rajoy, mais en plus strict, avec les risques d'explosion sociale qui s'ensuivent", ajoute José Ramón Pin, économiste à l'IESE.

    Les analystes s'inquiètent en outre de la hausse de coût de financement associée à tout sauvetage. « La perte de confiance en la dette publique s'accompagnera d'une fuite des capitaux et de la fermeture des marchés au secteur privé », explique José Carlos Díez, économiste en chef chez Intermoney. En mars, 66 milliards d'euros ont déjà été sortis des banques espagnoles. Enfin, le coût politique d'un tel sauvetage constitue en soi un puissant argument contre son recours: "Il serait compris comme un échec absolu du gouvernement de Rajoy et pourrait provoquer des élections anticipées", affirme Daniel Pingarrón. D'aucuns estiment toutefois qu'avec une majorité absolue du parti de Mariano Rajoy (PP) au Parlement, cette possibilité est écartée.


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